Les salaires en Monsieur Serge Volkoff. In: Economie et statistique, N 54, Mars pp Citer ce document / Cite this document :
|
|
- Lucien Paradis
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Monsieur Serge Volkoff Les salaires en 1971 In: Economie et statistique, N 54, Mars pp Citer ce document / Cite this document : Volkoff Serge. Les salaires en In: Economie et statistique, N 54, Mars pp doi : /estat
2 Les salaires en 1971 O En 1971, comme en 1970, on observe une hausse rapide de la moyenne des salaires, ainsi que le maintien de leur dispersion et des écarts hiérarchiques. Ces résultats de la statistique annuelle sur les salaires de l'industrie, du commerce et des services viennent de paraître dans le volume M 30 des Collections de l'insee, série «Ménages». Cette collection a été réalisée partir des déclarations annuelles de salaires des employeurs*. diminuer la dispersion globale des salaires. Ce fait apparaît, pour l'e nsemble des catégories socioprofessionn elles, sur les «courbes de réparti tion» des salaires, de , (graphique), qui ont une pente d'autant plus forte que la dispersion est faible; on voit que cette pente a augmenté en 1968, puis 1969, et n'a guère changé depuis. Serge VOLKOFF B La hausse de l'ensemble des salaires, qui ne s'est pratiquement pas ralentie depuis 1968, n'avait encore jamais atteint, au cours des années 1960, le chiffre enregistré en En revanche, si l'éventail des salaires s'était sensibl ement ressené en 1968 et la suite principalement du relèvement important du SMIC ce phénomène ne s'est guère poursuivi en 1970, ni en 1971 (tableau 1). Des phénomènes analogues peuvent être mis en évidence parmi les seuls ouvriers (tableau 2). Maintien des écarts hiérarchiques L'écart entre contremaîtres et ouvriers qualifiés d'une part, ouvriers spécialisés et manœuvres d'autre part, qui s'est accru de manière sensible entre 1963 et 1967, a beaucoup diminué entre 1967 et 1969, et tend de nouveau augmenter légèrement depuis. Au total, la période a été surtout favorable aux ouvriers qualifiés et, presque autant, aux contremaîtres. Dans les tableaux 1 et 2, il peut advenir que la hausse d'ensemble soit supérieure aux hausses enregistrées sur la même période dans chacune des catégories. Ce résultat n'est paradoxal qu'en apparence. Il provient de ce que la hausse d'ensemble reflète les hausses de chaque catégorie, mais aussi les modifications de la structure profes sionnelle de la population; par exemp le, lorsque la proportion de cadres augmente rapidement (tableau 3), ce seul fait provoque une hausse rapide du salaire moyen d'ensemble; de même, le salaire moyen des ouvriers est sensible la forte augmentation relative du nombre d'ouvriers qualifiés (tableau 4). 52 Des renseignements plus précis sur les salaires dans les diverses catégories socioprofessionnelles sont fournis par le tableau 5, qui donne la répartition des salariés de chaque catégorie socio professionnelle par tranche de salaire. Sa comparaison avec les tableaux des années précédentes montre nouveau une grande stabilité de la pyramide des salaires entre 1969 et 1971, alors que les relèvements des bas salaires en 1968 et 1969 avaient contribué Effectifs % 99,9 99,8 99,5 99,0 98,0 to 3 g 9 90 o <3> 2 80,0 3 m «70.0 I LU 60,0 50,0 40,0 30,0 20,0 10,C 2,0 1.0 // t y / y / //y// ////// V// W * Cette publication, suit d'assez près celle rela tive M 29, aux paru salaires en décembre de ). (Collections Le retard de VIXSEE, accumulé au cours des exploitations de 19C9 et 1970 tend ainsi se réduire et l'on espère que les résultats de 1972 seront publiés avant la fin de Ce retard avait principalement deux causes : d'une part, la mise au point d'un nouveau système de codification automatique sur ordinateur (pro cédé l'ensemble dit «Salariés de la France II»); d'autre d'un nouveau part, l'extension modèle de déclarations lieu du «2460 de»). salaires (document «DAS», au 1. Le resserrement de l'éventail de provenait surtout du fait que les accords de Grenelle, qui datent de juin 1968, n'ont eu d'effet que sur un peu plus de la moitié de l'année 1968, mais sur la totalité de l'année H Salaire net annuel moyen (F/an) p
3 TABLEAU 1 Hausse des salaires l socioprofessionnelle ( ) Entre 1963 et 1971, les salaires moyens annuels nets de tous les salariés ont augmenté de 88 %. Pour chacune des catégories de salariés, cette hausse a été inférieure. Cet apparent paradoxe s'explique par les glissements catégoriels : la part relative des cadres et employés dans la population totale des salariés a augmenté par rapport celles des ouvriers. (Voir tableau 3). Cadres supérieurs Cadres moyens Employés Ouvriers Personnel de service... Ensemble 1964/ ,9 8,9 7,7 6,8 6,4 1965/ ,8 5,8 5,1 4,5 6,6 1966/ ,8 5,5 5,6 6,9 1967/ ,5 7,7 4,7 5,4 1. Salaire annuel moyen net des salariés temps complet. 1968/ ,2 9, / , ,8 12,9 10,8 1970/ ,7 8, / , ,8 10,9 En% 1971/ ,8 77,3 86,3 88, / IW/ /19»i!) En /c 1071 /1063 TABLEAU 2 Hausse des salaires 1 des ouvriers ( ) On observe le même paradoxe apparent que dans le tableau 1 ; le salaire annuel moyen de l'ensemble des ouvriers a crû plus vite que celui de chacune des catégories d'ouvriers. L'explication en est la même (voir tableau 4). Ouvriers qualifiés Ouvriers spécialisés Tous ouvriers 27,8 27,8 18,9 18,8 24,1 1. Salaire annuel moyen net des salariés temps complet. 16,6 17,4 22,2 21,4 22, ,7 19,3 2 79,6 82,9 72,5 72,1 TABLEAU 3 TABLEAU 4 GRAPHIQUE I Répartition des salariés par tranches de salaires (année ) Répartition des salariés socioprofessionnelle (1963 et 1971) En /0 Répartition des ouvriers socioprofessionnelle détaillée (1963 et 1971) En /00 La courbe de répartition des salaires fait correspondre, chaque niveau de salaire, le nombre de salariés rémunérés en dessous de ce niveau. La pente d'une telle courbe dans sa partie centrale, est d'autant plus importante que les salaires sont moins dispersés : la limite, si tous les salariés percevaient le même salaire, la courbe serait verticale. On constate ici un léger changement de pente entre 1967 et 1969 pour les bas salaires, alors que pour les hauts salaires les courbes restent parai' lèles. Ceci correspond l'augmentation un peu plus rapide des bas salaires la suite des accords de Grenelle. Après 1969, les courbes restent pratiquement parall èles. Cadres supérieurs Cadres moyens.. Employés Ouvriers Autres Total Contremaîtres Ouvriers qualifiés Ouvriers spécialisés... Manœuvres Autres 1 Total Mineurs, marins et pêcheurs, apprentis. CHRONIQUES 53
4 CATÉGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE Cadres supérieurs 33. Ingénieurs 34. Cadres administratifs supérieurs 4. Cadres moyens 43. Techniciens 44. Cadres administratifs moyens 5. Employés 51. Employés de bureau 53. Employés de commerce 6. Ouvriers 60. Contremaîtres 61. Ouvriers qualifiés 63. Ouvriers spécialisés 68. Manœuvres 67. Apprentis et jeunes ouvriers. 65. Mineurs, 7. Personnel de service 8. Autres catégories, 1,4 6,0 2,0 4,2 1 54,5 1 19,2 5,1 1 5,9 7,0 20,8 1 2,8 TABLEAU 5 Répartition des salariés 1 de chaque catégorie socioprofessionnelle par tranche de salaire en Ensemble des catégories socioprofessionnelles 5,4 1. Secteur privé et semipublic. Salariés des 2 sexes employés temps complet. Source : INSEE, États 2460.
5 TRANCHE DE SALAIRE NET ANNUEL (EN F) ~> ** Effectifs (en millions) 2,4 17,0 17,1 14,6 1 7,4 12,8 n Z,O Q 3,2 477,8 1,2 4,8 10,0 22,4 15,9 24,5 15,4 19,6 13,6 1 11,2 7,9 8,4 14,6 1,1 3,5 1,1 4,2 110,0 357,9 7,4 15,5 36,6 22,6 8,8 3, ,6 6,6 45,5 2 1,6 0,9 44 3,7 8,4 32,6 29,8 13,4 5,3 1,2 554,0 33,2 27,2 15,9 2, ,4 34,7 31,8 3 15,6 17,9 11,6 3, , ,6 23,7 U 6 773,0 33,4 5 43,8 8,8 2 36,0 17,0 7,1 51,8 3,9 1,6 33,9 42,6 18,0 395, ,6 326,0 64,3 42, ,8 437,4 i 18,4 22,0 1 8,6 1, ,2 1 4, ,9 CHRONIQUES 55
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailStéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements
En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détailObservation des modalités et performances d'accès à Internet
Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailPublication de comptes financiers du secteur privé non-financier
Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailL'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme
IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailMONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014
MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailUne épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales
Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailDares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011
Dares Analyses OCTObre 2012 N 068 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 En 2011, sur 22,3 millions de
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses MARS N publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PORTRAIT STATISTIQUE DES PRINCIPALES CONVENTIONS COLLECTIVES DE BRANCHE EN, millions de
Plus en détailEvolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile
Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile Contenu 1. Nombre de sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence des sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence
Plus en détailGestion des entreprises du Btp
Organisation et gestion des entreprises 3. La simplification du travail La simplification du travail (SdT) est à la fois, un état d esprit (consistant à penser que l on peut toujours améliorer) et un ensemble
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailDiplômes et insertion professionnelle
Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les
Plus en détailD un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français. «Défricher les nouveaux champs de la générosité» 3 décembre 2009
D un tsunami à l autre. Etat des lieux de la générosité des français Antoine Vaccaro Chris Olivier Les sources L étude annuelle du CerPhi réalisée à partir des données de la Direction Générale des Finances
Plus en détailEvolution de la fréquence des sinistres 2002-2011 en assurance RC automobile
Evolution de la fréquence des sinistres 2002-2011 en assurance RC automobile Contenu 1. Nombre de sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence des sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L ENQUÊTE
ENQUÊTE MISSIONEO.COM RÉALISÉE PAR METEOJOB SEPTEMBRE 2014 L A R E C H E R C H E D E M P L O I E T L E T R A V A I L P A R M I S S I O N LES ENSEIGNEMENTS DE L ENQUÊTE Le travail en indépendant ou par
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région
ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette
Plus en détailRECOMMANDATIONS PRO BTP POUR PARAMÉTRER LA DADS-U
RECOMMANDATIONS PRO BTP POUR PARAMÉTRER LA DADS-U Le présent document s'appuie sur le cahier technique de la norme DADS-U version V08R04 du 31 mars 2006. Les valeurs qui sont rappelées et/ou précisées
Plus en détailUN REGAIN D OPTIMISME
2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement
Plus en détailLes Cahiers du DESS MRH
DESS Management des Ressources Humaines http://www.dessmrh.org ➎ Les Cahiers du DESS MRH Les travailleurs handicapés dans L entreprise 6 - L accompagnement du travailleur handicapé http://www.e-rh.org
Plus en détailBULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE
BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE La Ville de Montréal et le Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP) LE 9 FÉVRIER 2011 Dans le cadre du deuxième affichage faisant
Plus en détailREUNION D INFORMATION 30 JUIN 2008 LES RETRAITES
REUNION D INFORMATION 30 JUIN 2008 LES RETRAITES Synthèse CPI-CNBF (maj 17 avril 2008) Documents de travail : Comparatif CPI et CNBF 25 ANS et 30K Comparatif CPI et CNBF 35 ANS 65K avec produit de retraite
Plus en détailUne évaluation à partir de l Échantillon interrégimes de cotisants de 2005
ét udes résultats et N 692 mai 29 Les durées d assurance validées par les actifs pour leur retraite Une évaluation à partir de l Échantillon interrégimes de cotisants de 25 L Échantillon interrégimes de
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailStratégie de rémunération
CONSULTING Offre Conseil RH Stratégie de rémunération La stratégie de rémunération est un facteur de stabilité et de performance de l'entreprise. GFI Consulting vous accompagne en mettant en cohérence
Plus en détailRetentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.
Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Dr Raphaël BRIOT ; Dr Jean GARRIC Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d'anesthésie-réanimation RÉSUMÉ
Plus en détailPROFIL STATISTIQUE DRUMMONDVILLOIS DÉMOGRAPHIE ET ÉCONOMIE DRUMMONDVILLE
DRUMMONDVILLE Le contenu de ce rapport a été rédigé et produit pour une utilisation par tous les services municipaux. Le Commissariat au commerce a colligé les données relatives au développement économique
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailL emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire
L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale
Plus en détailM a n u e l J o s é T r i n d a d e C o e l h o C o r r e i a M a r q u e s
E N G L I S H V E R S I O N ( P o u r l a v e r s i o n F r a n ç a i s e, c l i q u e z i c i ) M a n u e l J o s é T r i n d a d e C o e l h o C o r r e i a M a r q u e s L i s b o n, P o r t u g a l
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailEn 1999, on dénombrait 3,6 millions de
Non-syndiqués assujettis à une convention collective Ernest B. Akyeampong En 1999, on dénombrait 3,6 millions de travailleurs syndiqués au Canada. On comptait en outre plus d un quart de million d employés
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailLa crise n'a pas entamé la générosité des belges
INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Chaussée de Chastre, 113 B-5140 Sombreffe Tél : 0484.109.764 E-mail : idd@iddweb.be La crise n'a pas entamé la générosité des
Plus en détailq u estions santé d économie de la résultats Repères
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé résultats Repères Fin 2003, l Irdes a mené une enquête sur la protection sociale complémentaire d entreprise (PSCE) auprès
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailSEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation
SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût
Plus en détailL emploi et la formation dans la métallurgie Région Ile-de-France
L emploi et la formation dans la métallurgie Région Ile-de-France Avril 2012 Sommaire 1. Les effectifs salariés et entreprises employeurs 2 2. Les profils des salariés 10 3. Les caractéristiques de l emploi
Plus en détailLa gestion du personnel
Auto-diagnostic de votre fonction Ressources Humaines Le questionnaire ci-après vous permet de préparer vos réponses avant de les saisir en ligne sur www.fact.aract.fr Evaluez la gestion des compétences
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailFrance et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts
France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailDocument N 2 Document de travail, n engage pas le Conseil Les durées d assurance validées par les actifs pour leur retraite
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 9 juillet 214 à 9 h 3 «Carrières précaires, carrières incomplètes et retraite» Document N 2 Document de travail, n engage pas le Conseil Les durées
Plus en détailChiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM
Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...
Plus en détailLE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques
Plus en détailNote technique. Formats de compression vidéo utilisés par CamTrace V11 avantages et inconvénients.
Note technique Formats de compression vidéo utilisés par CamTrace V11 avantages et inconvénients. 1) Formats d'acquisition et de stockage utilisées par CamTrace. CamTrace n'effectue aucune compression
Plus en détailRapport de branche 2013 des entreprises artistiques et culturelles
Rapport de branche 2013 des entreprises artistiques et culturelles Eléments pour la négociation annuelle des salaires Exercice 2012 18 novembre 2013 CPDO (Chambre Professionnelle des Directions d Opéra)
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailReprésentation d une distribution
5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque
Plus en détailRendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH
Rendez-vous de Insee «Des projections de ménages aux besoins en logement» Mardi 11 décembre 2012 Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH SOMMAIRE 1. L'évaluation des besoins en logements menée en Pays de la Loire Contexte
Plus en détailConvention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012
AFPF APC APFP SPI UPF Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 Notre étude d impact a été réalisée à partir de données objectives
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailSurqualification et sentiment de déclassement : public-privé, des profils et des opinions proches
MINISTÈRE DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE études, recherche et débats Janvier 2015 Surqualification et sentiment de déclassement : public-privé, des profils et des opinions proches Magali
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailSPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.)
SPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.) Dernière mise à jour : octobre 2013 Ce document a pour objectif de décrire ce que l OPCA (OPCA 3+) attend du fichier à transmettre par l adhérent.
Plus en détailIdées reçues et autres contre-vérités
Idées reçues et autres contre-vérités "Juger, c'est de toute évidence, ne pas comprendre ; si l'on comprenait, on ne pourrait plus juger." Citation d'andré Malraux A l occasion des prochaines manifestations
Plus en détaille flash actualité Avril 2014
le flash actualité Avril 2014 Thème : Conformité des contrats collectifs santé prévoyance retraite Une période transitoire a été instituée par le décret du 9 janvier 2012 pour la mise en conformité des
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailFormations Diplômantes. 94, rue des Blancs Mouchons 59500 Douai 03.27.98.47.43 03.27.92.99.97 arep.dg@orange.fr www.arep-douai.fr
Formations Diplômantes 94, rue des Blancs Mouchons 59500 Douai 03.27.98.47.43 03.27.92.99.97 arep.dg@orange.fr www.arep-douai.fr Les Formations Diplômantes Le BTS Assistant de Gestion PME-PMI... 1 Le BTS
Plus en détailPortrait statistique des entreprises et des salariés
Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et
Plus en détailLicence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet
IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet / Objectifs de cette licence professionnelle
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailMARKT/2508/02 FR Orig. EN REGIME DE SURVEILLANCE DES ENTREPRISES DE REASSURANCE A INSTAURER PAR PROCEDURE ACCELEREE
MARKT/2508/02 FR Orig. EN REGIME DE SURVEILLANCE DES ENTREPRISES DE REASSURANCE A INSTAURER PAR PROCEDURE ACCELEREE Le projet sur la surveillance de la réassurance en est maintenant à un stade où certains
Plus en détailL emploi des seniors
L emploi des seniors dans la branche des laboratoires de biologie médicale Observatoire des métiers des Professions Libérales 52 56 rue Kléber 92309 LEVALLOIS PERRET Cedex Tél. 01 46 39 38 64 Fax 01 46
Plus en détailSERVICE NAVIGATION NORD PAS-DE-CALAIS
MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Centre Interrégional de Formation Professionnelle d'arras SERVICE NAVIGATION NORD PAS-DE-CALAIS AVIS DE
Plus en détailECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR
ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détail500 W sur 13cm avec les modules PowerWave
500 W sur 13cm avec les modules PowerWave Philippe Borghini / F5jwf f5jwf@wanadoo.fr Janvier 2012 Introduction Tout le monde a déjà vu au moins une fois, sur les puces, ces fameuses platines PowerWave
Plus en détailBâtiment et ENR : Diagnostic «marché emploi - formation» sur le bassin de Lens-Liévin- Hénin-Carvin
Bâtiment et ENR : Diagnostic «marché emploi - formation» sur le bassin de Lens-Liévin- Hénin-Carvin Synthèse des données produites par la CERC (Cellule Economique Régionale de la Construction) 1 Premiers
Plus en détailLes évolutions de vos régimes au cours des prochaines années
Les évolutions de vos régimes au cours des prochaines années La généralisation de la couverture complémentaire santé à tous les salariés La loi relative à la sécurisation de l emploi du 14 juin 2013 prévoit
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détail