Introduction. 3. I. Synthèse générale... 6 A. Définition générale de l audit.. 6 B. Typologies des missions d audit.. 7

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Introduction. 3. I. Synthèse générale... 6 A. Définition générale de l audit.. 6 B. Typologies des missions d audit.. 7"

Transcription

1 Sommaire Introduction. 3 I. Synthèse générale... 6 A. Définition générale de l audit.. 6 B. Typologies des missions d audit.. 7 II. La démarche de l Audit. 9 A. Positionnement des missions... 9 B. Caractéristiques de la démarche d audit. 9 III. Autres typologies d audits A. Audit opérationnel. 12 B. Audit de conformité 12 C. Audit comptable. 12 D. Audit fiscal.. 13 E. Audit légal.. 13 F. Audit d efficacité.. 13 Conclusion générale 15

2 Introduction

3 Le terme «Audit» vient du latin, du verbe audire qui signifie «écouter». Ce sont les Romains qui commencèrent les premiers à utiliser ce terme pour désigner un contrôle de la gestion des provinces et des terres, à la demande de l Empereur. Le terme s est propagé dans le continent Européen pour être utilisé chez les Anglais, pour lesquels il désignait la gestion. C est à Londres, au XIVème siècle, que le premier cabinet d audit fut fondé. De nos jours, l audit est un métier et une fonction à part entière dans un grand nombre d entreprises et d organisations de par le monde, qui s attache tout d abord à repérer les anomalies et les problèmes dans les entreprises examinées. L auditeur se charge donc de trouver une solution et de faire comprendre aux différents acteurs le système à mettre en place pour une meilleure organisation de l entreprise. D où la nécessité de contrôle des opérations par un tiers de confiance et compétent. La pratique d audit, tout d abord dans le domaine financier et comptable, puis par extension dans les autres fonctions de l entreprise a connu ces dernières années un développement considérable. C est avec une image de modernité et d efficacité que cette technique s impose aujourd hui dans le monde du business. Il s appuie sur trois grands facteurs : la richesse du concept, l exigence des compétences étendues des auditeurs et la rigueur de la méthode. Nous allons commencer cet exposé en donnant une définition explicite de ce qu est l audit. Puis, nous continuerons l étude en analysant ce que sont les principes d une démarche d audit, pour enfin finir par en énoncer les différentes typologies.

4 PREMIERE PARTIE

5 I Synthèse générale Définition générale de l audit : Commençons par la définition de l audit du dictionnaire juridique: «L'audit est la procédure de vérification dans un domaine comptable, fiscal, juridique, ou social confiée à un professionnel dénommé quelquefois "auditeur", dont la mission est de contrôler l'opportunité d'un projet ou la conformité à la loi, d'un acte ou d'une série d'actes juridiques et d'en faire rapport.» Plus simplement, l audit est un examen mené par un professionnel indépendant, en vue de donner, sur l objet examiné, une opinion sur la concordance de cet objet avec le référentiel applicable. Cet examen consiste à établir puis mettre en œuvre une méthodologie qui examinera, par exemple, les comptes annuels, semestriels, intermédiaires ou encore une branche d activité. Cette expertise est réalisée par un agent compétent et impartial. Toute institution doit rendre compte de ses activités mais également de ses ressources. De plus, le personnel de l institution en question doit pouvoir fournir des informations financières sûres au Conseil d Administration et aux investisseurs extérieurs comme les actionnaires et les bailleurs de fonds. De ce fait, pour vérifier la validité des informations fournies par l institution, les investisseurs font appel à des auditeurs. Les auditeurs financiers et réglementaires sont des commissaires aux comptes professionnels, agréés par une association professionnelle nationale. Ils vérifient que informations fournies par l institution ont été traitées selon les règles de l art et les règlements en vigueur, et détectent ainsi d éventuelles failles dans le contrôle de gestion de l institution. En d autres termes, c est une profession organisée, un outil structuré mis au service d une direction générale ou d un comité d audit représentant les intérêts des actionnaires et de toutes parties prenantes (stakeholders). C est ainsi une fonction de contrôle, qui s oriente de plus en plus vers un rôle généraliste pouvant évoluer vers un rôle de conseil. Mais avant tout, l'audit est un outil d'amélioration continue car il permet de faire l «état des lieux» existant afin d'en dégager les points faibles et/ou les non-conformités. Afin de mener par la suite les actions adéquates qui permettront de corriger les écarts et dysfonctionnements constatés. Quels sont ses enjeux? Quel est le but concret de l audit? En effet, l audit permet le recueil d informations objectives dans le but de déterminer si les éléments du système cible satisfont les exigences des référents du domaine concerné. Ainsi on détecte non seulement les anomalies mais également les risques étudiés dans le domaine qui est examiné.

6 En conclusion, auditer c est savoir étudier les différents acteurs d un système pour comprendre et faire comprendre le système actuellement en place ou celui qu il convient de mettre en place. Concrètement, l audit vise à vérifier les données des états financiers, à évaluer les principes comptables appliqués, à évaluer les estimations faites par la Direction et enfin, à évaluer la transparence des états financiers dans leur ensemble. Typologie des missions d audit : Comme nous l avons vu, l audit tend à s étendre à de nombreux domaines. Néanmoins, on peut les classer ces missions selon trois critères bien distincts : - Le caractère facultatif ou obligatoire de l audit, - La position de la fonction d audit c'est-à-dire si elle se fait de manière interne ou externe par rapport à l entreprise contrôlée, - Le domaine d application de cette action et son objectif. Nous savons que pour certaines entreprises, c est la loi même qui impose une vérification et plus précisément une attestation des comptes de ladite société par un professionnel qui n est autre qu un commissaire aux comptes. Ceci définit donc une mission imposée et définie par la loi. Il existe également un type de mission contractuelle pour laquelle un expertcomptable ou une société d expertise comptable est chargée d accomplir cette mission sans recevoir été imposé par la loi.

7 DEUXIEME PARTIE

8 II La démarche d audit : 1. Deux types de positionnement de la fonction d audit Outre les différents types de mission d audit, on différencie également l audit externe de l audit interne définit par le positionnement de ceux qui auditent, par rapport à l entreprise auditée. A Audit externe L audit externe est une mission exécutée, obligatoire ou non par une structure extérieure et indépendante de l entreprise contrôlée mandatée par l entreprise elle-même ou par des tiers. Cette structure peut être représentée par un cabinet d audit ou d expertisecomptable, un cabinet d avocat. L audit externe regroupe l audit comptable ainsi que l audit financier. B Audit interne Quand l audit est exécuté par une fonction de l entreprise (salarié), on parle d audit interne. C est donc un audit réalisé par ou pour l entreprise pour régler des problèmes d ordre internes. Cependant, pour la démarche d audit interne ou externe, la marche à suivre est la suivante. Caractéristiques de la démarche d audit : L audit est une fonction très réglementée. Il faut veiller au respect et à l application de nombreuses procédures. En effet, un auditeur se doit de respecter certaines règles dans sa mission : - Il doit être rigoureux, et - Aller chercher dans les moindres détails, et - Etre impartial. La démarche d audit se présente sous quatre grandes étapes. La première phase se nomme la phase «amont». Elle consiste en l identification des référentiels, le recensement des méthodes de travail spécifiques et particularités réglementaires, et le rassemblement des données à auditer.

9 Ensuite on trouve une phase de préparation. On définit un calendrier d intervention, on constitue l équipe d audit et on établit un programme de travail. Ce qui nous amène à la phase préliminaire, avec l évaluation du contrôle interne (contrôle de gestion ou contrôle interne à l entreprise qui se charge d assumer des fonctions de contrôles au sein de l entreprise & de préparer le travail des auditeurs), qui se fait par une évaluation théorique, qui nous permet d en déterminer les forces et les faiblesses. On va ensuite tester (évaluer) ces forces apparentes afin d en mesurer l effectivité. Enfin, la phase préliminaire s achève avec l évaluation des risques de fraudes. Pour finir, lors de la phase finale, l auditeur collecte les éléments probants, formalise des conclusions, les contrôle et les valide et établit un jugement. On clôt la mission par la matérialisation des travaux d audit (rédaction du rapport), par une éventuelle consolidation dans le dossier permanent. On rappelle que les entreprises doivent être en mesure de produire un rapport de contrôle qui répertorie toutes les erreurs passées ainsi que les nouvelles mesures prises en charge afin qu un tiers puissent vérifier que ces problèmes ne soient pas reproduits. On termine avec l enregistrement du dossier annuel. Pour procéder à un bon déroulement de ces missions, quelques outils sont nécessaires. Sont fréquemment utilisés l entretien d audit, les observations physiques, les relevés statistiques mais aussi à des questionnaires. Pour conclure, le premier objectif de la méthodologie d audit est de révéler les risques d une organisation dans l application de ces processus opérationnels ou fonctionnels. Trois types de risques sont recherchés : - Risque inhérent : la possibilité qu une erreur se produise, - Risque de contrôle : le risque qu une erreur puisse survenir sans avoir été détectée et corrigée en temps voulu par une procédure de contrôle interne de l entreprise, - Risque de non-détection : risque que les travaux mis en œuvre par l auditeur ne détectent pas une erreur ou une série cumulative d erreurs.

10 TROISIEME PARTIE

11 III Autres typologies d audits : Selon les objectifs et le domaine audité, on distingue les audits suivants : - l audit opérationnel, - l audit de conformité, - l audit comptable et financier, - l audit fiscal, - l audit informatique, l audit juridique, l audit des ressources humaines, - l audit légal, - l audit d efficacité. A Audit opérationnel L audit opérationnel porte sur les opérations d un établissement, d une structure, d une fonction, voire d un système ou d un processus. L ensemble des procédures (quelles soient administratives, fonctionnelles,.) sont concernées, et pas seulement les procédures comptables et financières. Son objectif est d évaluer les performances (qualité, sécurité, efficacité et efficience) de la fonction concernée. L audit opérationnel peut faire l objet de missions contractuelles confiées à des intervenants extérieurs. B Audit de conformité Il a pour but d évaluer le bon fonctionnement et la bonne application des politiques, des instructions et règles en vigueur. Toutes les procédures de l entreprise sont concernées. Par exemple, l audit de conformité vise à donner à l organisation une accréditation ou une certification (ISO 900X).Tout comme l audit opérationnel, l audit de conformité peut également faire l objet de missions contractuelles confiées à des intervenants extérieurs à l entreprise concernée. C Audit comptable et financier L audit comptable et financier est l audit des comptes annuels. C est un domaine d action de l audit externe. L auditeur donc s assurer que le conseil d administration ou les parties prenantes reçoivent des états financiers fidèles de cette institution. Dans un audit financier, l auditeur va donner son opinion en vérifiant que les états financiers soient conformes à des normes comptables. On en compte trois : - les normes d audit reconnues et définies par l ordre professionnel des expertscomptables du pays. - Les normes d audit reconnues par certains pays. - Les normes internationales d audit. D Audit fiscal

12 L ensemble des secteurs de l entreprise sont concernés par les audits. L audit fiscal vise à vérifier la conformité des opérations d une organisation vis-à-vis des règles fiscales, tant du point de vue interne qu externe. E L'audit légal Cet audit consiste à vérifier l'ensemble des services de l'entreprise. Comment? Tout d'abord en s'assurant dans tous les domaines (financier, commercial, management que les procédures en vigueur dans l'entreprise sont conformes à des normes ou des règles préalablement définies. L'auditeur utilise pour cela un guide des procédures et compare leur définition et l'application qui en est faite en entreprise. Si ces mesures sont parfaitement appliquées, l'auditeur conclura à un bon fonctionnement de l'entreprise. Dans le cas contraire, sa tâche sera un peu plus longue puisqu'il devra rédiger des recommandations visant à améliorer cette situation. Ces recommandations peuvent suivre deux axes : - Faire en sorte que les employés suivent mieux les procédures & règlements - Faire en sorte que les procédures soient améliorées. En effet, surveiller le respect des normes et des procédures n'est pas suffisant pour garantir l'efficacité de ces méthodes : il est donc possible de recourir à l'audit d'efficacité F L'audit d'efficacité Celui-ci se rapproche d'une mission de conseil car il consiste à mesurer l'efficacité des différentes procédures internes à la société. Le but de l'audit n'est alors plus d'observer mais de juger. En effet, les employés peuvent très bien respecter les règles de l'entreprise sans que celle-ci fonctionne bien pour autant. Dans ce cas, la seule possibilité d'amélioration est de changer les règles qui, apparemment, ne vont pas dans le sens du développement de l'entreprise. Cela peut notamment se retrouver dans les structures très anciennes et qui n'ont jamais mis à jour leur guide des procédures.

13 CONCLUSION

14 Un audit est conçu dans le but du recensement des conformités et défaillances d une entreprise dans l application de ses obligations vis-à-vis des tiers. La démarche d audit apporte donc un point de vue référent & compétent sur la situation d une entreprise face à ses obligations, ses principes de fonctionnement, La démarche d audit est un des principaux moyens en vue d améliorer le système d une entreprise donnée ainsi que son efficacité dans les diverses tâches à accomplir mais est également conçu dans le but d observer la bonne réalisation de ses objectifs. Au final, la démarche d audit apporte des garanties de cohérence au regard de règles généralement admises & permet l identification des écarts et moyens nécessaires pour converger vers celles-ci à toutes organisations sur la plupart de ses domaines d interactions avec le «monde extérieur».

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL.

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL. DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL Introduction Module 1 Contrôle de la qualité et documentation Module 2 Acceptation de

Plus en détail

THEORIE ET CAS PRATIQUES

THEORIE ET CAS PRATIQUES THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Réussir l externalisation de sa consolidation

Réussir l externalisation de sa consolidation Réussir l externalisation de sa consolidation PAR ERWAN LIRIN Associé Bellot Mullenbach et Associés (BMA), activité Consolidation et Reporting ET ALAIN NAULEAU Directeur associé Bellot Mullenbach et Associés

Plus en détail

www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC

www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC IFEC - La démarche générale d audit et les nouvelles normes - septembre

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS

Plus en détail

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-3 : pourcentage de contrôle et pourcentage d intérêt II-1 : les missions de l auditeur des comptes consolidés

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION 02 CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

Plus en détail

421 203 993 R.C.S. AGEN * * * * *

421 203 993 R.C.S. AGEN * * * * * ACCES INDUSTRIE Société Anonyme à Directoire et Conseil de surveillance Au capital de 1 754 704,80 Siège social : 2 rue du Pont de Garonne 47400 TONNEINS 421 203 993 R.C.S. AGEN * * * * * RAPPORT DU PRESIDENT

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre

Plus en détail

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5

Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5 Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

1. COMPOSITION ET CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION

1. COMPOSITION ET CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION PREVU A L ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE

Plus en détail

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5 AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre

Plus en détail

Principales dispositions du projet de règlement

Principales dispositions du projet de règlement Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur

Plus en détail

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC

RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes

Plus en détail

Plan de maîtrise des risques de la branche Retraite Présentation générale

Plan de maîtrise des risques de la branche Retraite Présentation générale DIRECTION DELEGUEE DIRECTION FINANCIERE ET COMPTABLE YC/PR/MS Le 18 novembre 2011 Plan de maîtrise des risques de la branche Retraite Présentation générale Le plan de maîtrise des risques de la Branche

Plus en détail

L Assurance Qualité DOSSIER L ASSURANCE QUALITE

L Assurance Qualité DOSSIER L ASSURANCE QUALITE DOSSIER L ASSURANCE QUALITE L Assurance Qualité DOSSIER N D4-2-GW0301 Satisfaction.fr 164 ter rue d Aguesseau 92100 Boulogne Billancourt 01.48.25.76.76 http://www.satisfaction.fr/ Page 1 Définition Normalisée.

Plus en détail

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique

Plus en détail

SEMINAIRES SPECIFIQUES

SEMINAIRES SPECIFIQUES 57, bd Abdelmoumen Résidence Al Hadi n B15 Tél 022 47 06 13 /15 - Fax 022 47 06 78/91 mailacf@acf.ma SEMINAIRES SPECIFIQUES AUX ENTREPRISES D ASSURANCES ET DE REASSURANCE MUTUELLES ET CAISSES DE RETRAITE.

Plus en détail

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Lorraine Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU OU METTANT EN COMMUN DES MOYENS GEN PROC 10 Révision 03 CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Evaluation des risques et procédures d audit en découlant

Evaluation des risques et procédures d audit en découlant Evaluation des risques et procédures d audit en découlant 1 Présentation des NEP 315, 320, 330, 500 et 501 2 Présentation NEP 315, 320, 330, 500 et 501 Les NEP 315, 320, 330, 500 et 501 ont fait l objet

Plus en détail

III.2 Rapport du Président du Conseil

III.2 Rapport du Président du Conseil III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES

DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION POUR L EXERCICE DES ACTIVITES DE ROUTAGE, DE COMPENSATION ET DE REGLEMENT DES TRANSACTIONS MONETIQUES Ce document est à adresser à la Direction des Opérations Monétaires

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Rapport d audit interne

Rapport d audit interne Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe

Plus en détail

Banque européenne d investissement. Charte de l Audit interne

Banque européenne d investissement. Charte de l Audit interne Charte de l Audit interne Juin 2013 Juin 2013 page 1 / 6 Juin 2013 page 2 / 6 1. Politique L Audit interne est une fonction essentielle dans la gestion de la Banque. Il aide la Banque en produisant des

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992.

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992. Introduction 1 I n t r o d u c t i o n Créer des usines, des entreprises, des organisations, des méthodes, des produits, des services nouveaux suppose d avoir des équipes motivées, obéissant à un calendrier

Plus en détail

Missions des comités en détail

Missions des comités en détail Missions des comités en détail Missions et attributions des Comités du Conseil Le Conseil d administration a défini dans son règlement intérieur les missions et attributions de ses différents Comités permanents

Plus en détail

ESGIS AUDIT COMPTABLE ET FINANCIER. SUPPORT DE COURS MASTER Mr WHANNOU SERGE

ESGIS AUDIT COMPTABLE ET FINANCIER. SUPPORT DE COURS MASTER Mr WHANNOU SERGE ESGIS AUDIT COMPTABLE ET FINANCIER SUPPORT DE COURS MASTER Mr WHANNOU SERGE 1 SYLLABUS DU COURS I- OBJECTIF Donner aux étudiants les concepts fondamentaux, les techniques et les outils les plus efficaces

Plus en détail

Atelier A N 13. Titre : Gestion des risques, audit interne et contrôle interne

Atelier A N 13. Titre : Gestion des risques, audit interne et contrôle interne Atelier A N 13 Titre : Gestion des risques, audit interne et contrôle interne Intervenants Georges BOUCHARD GAZ DE FRANCE Directeur de l'audit et des Risques. E.mail : georges.bouchard@gazdefrance.com

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Sommaire Introduction... 3 Les éléments internes essentiels à auditer... 4 Le dimensionnement de l infrastructure... 4 Les factures...

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES 1 SOMMAIRE 1. Les sources d information 2. Les conditions d acceptation de mission 3. La planification de l audit de la consolidation 4. Les travaux d

Plus en détail

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les

Plus en détail

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d

Plus en détail

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME... PAGE 2 I a. Référentiel des activités professionnelles...page 3 I b. Référentiel de certification... page 21 I c. Lexique....

Plus en détail

Rapport du Président du Conseil d'administration

Rapport du Président du Conseil d'administration SOCIETE ANONYME DES BAINS DE MER ET DU CERCLE DES ETRANGERS A MONACO (S.B.M.) Société anonyme monégasque au capital de 18 160 490 euros Siège social : Monte-Carlo - Place du Casino, Principauté de Monaco

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil

Plus en détail

Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014

Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Diffusion : Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

Université de Lausanne

Université de Lausanne Université de Lausanne Records management et archivage électronique : cadre normatif Page 2 Ce qui se conçoit bien s énonce clairement Nicolas Boileau Page 3 Table des matières Qu est- ce que le «records

Plus en détail

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE Septembre 2011 Page 1 Au sommaire Préambule Le nouveau référentiel sur la forme Le nouveau référentiel sur le

Plus en détail

La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB

La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB La surveillance de la fabrication des équipements des centrales nucléaires pour EDF Création de l EMIB Journées Techniques AFIAP du 14 mai 2013 C. Boveyron D. Dhennin (EDF/CEIDRE) 1 1 - CT du lundi 4 octobre

Plus en détail

Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013

Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Eléments de contexte Un coût significatif, une évolution des typologies Selon l ALFA (sur la base

Plus en détail

SYNTHESE D INSPECTIONS

SYNTHESE D INSPECTIONS Direction de l Inspection et des Etablissements Département Inspection en Contrôle du Marché Unité Inspection des dispositifs médicaux SYNTHESE D INSPECTIONS THEME : Prothèses Dentaires Il importe de souligner

Plus en détail

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834 1 PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN 2 SYNTHESE DES REVISIONS Révision 0 : Révision 1 : édition originale de la procédure modification du paragraphe 3.3.1 c) : critères pour évaluation des coordonnateurs

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur Guide > > Fiche 1 : Pourquoi être certifié? > > Fiche 2 : Les trois types de certificats et leurs critères > > Fiche 3 : La préparation de votre projet > > Fiche 4 : Le questionnaire d auto-évaluation

Plus en détail

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type :

i) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type : Raison d être Plan des examens Audit interne et contrôles internes [MU1] 2011-2012 Les examens Audit interne et contrôles internes [MU1] ont été élaborés à l aide d un plan d examen. Le plan d examen,

Plus en détail

Diagramme d'une mission d'audit interne

Diagramme d'une mission d'audit interne Diagramme d'une mission d'audit interne Ordre de Mission Prise de connaissance du sujet & Découpage en Objets Auditables TaRi = Tableau de Risques Risques Finalités scénarios Points Impact de contrôle

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE

RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE 22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30

Plus en détail

Gouvernance IT et Normalisation

Gouvernance IT et Normalisation http://www.ab consulting.eu Gouvernance IT et Normalisation Alain Bonneaud AB Consulting V1.1 03/11/2008 2 Livre blanc rédigé par Alain Bonneaud, CEO de AB Consulting et QualiTI7 France, certifié ISO 20000

Plus en détail

Consulter notre site : www.nt2s.net. Network Telecom Security Solutions. www.hsc.fr. en partenariat technique avec

Consulter notre site : www.nt2s.net. Network Telecom Security Solutions. www.hsc.fr. en partenariat technique avec NOS PARTENAIRES Network Telecom Security Solutions en partenariat technique avec Conseil, formation et accompagnement Création, Gestion et Stratégie Management et sécurité de l'information stratégique

Plus en détail

Les principes de la sécurité

Les principes de la sécurité Les principes de la sécurité Critères fondamentaux Master 2 Professionnel Informatique 1 Introduction La sécurité informatique est un domaine vaste qui peut appréhender dans plusieurs domaines Les systèmes

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

La pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle

La pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle La pratique de l ITSM Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle Création : avril 2012 Mise à jour : avril 2012 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des

Plus en détail

LES LE DDL : DES DE MISSIONS ACCE A SSIBLE CCE S SSIBLE A TOUS U! Dates

LES LE DDL : DES DE MISSIONS ACCE A SSIBLE CCE S SSIBLE A TOUS U! Dates LES DDL : DES MISSIONS ACCESSIBLES A TOUS! Dates SOMMAIRE Référentiels normatifs des 2 professions NEP DDL : généralités Pé Présentation des 8 DDL EC et CAC : beaucoup de ressemblances de normes Utilité

Plus en détail

«Management et Direction de Projets»

«Management et Direction de Projets» Centrale Paris & Cegos Vos partenaires pour un nouvel élan dans votre carrière MASTERE SPECIALISE «Management et Direction de Projets» Bienvenue! René PALACIN Responsable pédagogique MS Management et Direction

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information Direction des finances municipales Janvier 2008 ISBN 978-2-550-51851-8 (PDF seulement) (3 e édition) ISBN 978-2-550-49637-3 (PDF seulement) (1 re édition) La consolidation des états

Plus en détail

CAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES

CAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES ACTIVITES : TACHES 1 - Prendre connaissance des documents, des consignes écrites et orales. 2 - Relever des cotes pour l'exécution

Plus en détail

DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr

DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES

R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES A PROPOS DE NOUS Conscio Technologies développe des solutions complètes de formation et de communication afin de

Plus en détail

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX

Nantes, le 22 décembre 2014. Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-056821 Nantes, le 22 décembre 2014 Monsieur le Directeur IONISOS Zone industrielle Les Chartinières 01120 DAGNEUX Objet Contrôle des installations

Plus en détail

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE

Plus en détail

REF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3

REF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3 Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement

Plus en détail

Les clés de la réussite

Les clés de la réussite Pierre ALARD Pierre-Arnaud GUGGÉMOS CRM Les clés de la réussite Préface de Patrick GOUNELLE Président de Ernst & Young Sommaire Remerciements...................................... 1 Préface.............................................

Plus en détail

Rapport de Transparence

Rapport de Transparence Bureau régional d Arles Bureau régional d Avignon Bureau régional de Bagnols s/ Cèze Bureau régional de Grenoble 5, rue Charles Chaplin Zone de la Courtine 14, Avenue Paul Langevin 27 rue René Cassin 13200

Plus en détail

Les audits de projets, pourquoi?

Les audits de projets, pourquoi? Les audits de projets, pourquoi? Par Benoît Lalonde, MGP, MBA, PMP, CPM, OPM3 6 juin 2008 1 Pourtant! Airbus 380 Métro de Laval Eurotunnel Projet des armes à feu GIRES Hibernia Dcartes Vente et perception

Plus en détail

CONSEIL ET ASSISTANCE EN CONDUITE DU CHANGEMENT, PILOTAGE DE PROJETS ET GESTION DE PRODUCTION

CONSEIL ET ASSISTANCE EN CONDUITE DU CHANGEMENT, PILOTAGE DE PROJETS ET GESTION DE PRODUCTION CONSEIL ET ASSISTANCE EN CONDUITE DU CHANGEMENT, PILOTAGE DE PROJETS ET GESTION DE PRODUCTION Siège social : 23, rue du Départ / 75014 PARIS Tél. : +33 (0) 1 40 64 70 25 Fax : +33 (0) 1 40 64 74 63 contact@exid.fr

Plus en détail

Programme Hôpital numérique

Programme Hôpital numérique Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE

Plus en détail

MBA Spécialisé en Alternance

MBA Spécialisé en Alternance MBA Spécialisé en Alternance "Achats Internationaux & Supply Chain" Diplôme d'etat de Niveau I enregistré au Registre National des Certifications Professionnelles JO du 14 Avril 2012 2 2013 / 2014 Groupe

Plus en détail

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER

Plus en détail

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN

Plus en détail

REFERENTIEL DES ACTIVITES PROFESSIONNELLES

REFERENTIEL DES ACTIVITES PROFESSIONNELLES PREAMBULE Le baccalauréat professionnel Electrotechnique Energie Equipements Communicants traite des secteurs d activités : de l industrie, des services, de l habitat, du tertiaire et des équipements publics.

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

Un audit mieux informé Comment transformer l audit interne par l analytique de données

Un audit mieux informé Comment transformer l audit interne par l analytique de données Un audit mieux informé Comment transformer l audit interne par l analytique de données Tables des matières Pourquoi l analytique et pourquoi maintenant?.............. 1 Les avantages de l analytique d

Plus en détail

Demande de devis RC PRO FINANCE ET PATRIMOINE

Demande de devis RC PRO FINANCE ET PATRIMOINE Demande de devis RC PRO FINANCE ET PATRIMOINE Responsabilité Civile Professionnelle des Conseillers en Gestion de Patrimoine (CGP), Conseil en Investissement Financier (CIF), Démarcheurs Bancaires et Financiers

Plus en détail

Programme des services aux familles des militaires. Contrôle de conformité et d assurance. Exercice financier 2013-2014

Programme des services aux familles des militaires. Contrôle de conformité et d assurance. Exercice financier 2013-2014 Programme des services aux familles des militaires Contrôle de conformité et d assurance Exercice financier 2013-2014 INTRODUCTION Conformément au Protocole d entente () entre le ministère de la défense

Plus en détail

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de

Plus en détail

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3

Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance

Plus en détail

société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris

société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris 1 A U D I K A société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement

Plus en détail