DOSSIER DE PRESSE. Mardi 25 novembre 2014

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1 Service départemental de communication interministérielle de la Corrèze Tulle, 24 novembre 2014 DOSSIER DE PRESSE Journée internationale pour l élimination de la violence à l égard des femmes Mardi 25 novembre Service départemental de communication interministérielle

2 SOMMAIRE Le 25 novembre : journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes... page 3 Intervention et formation au centre hospitalier de Brive par le Dr Gérard Lopez, médecin psychiatre... page 5 Inauguration de l accueil de jour «Inform elles» à Tulle... page 7 2 Service départemental de communication interministérielle

3 Le 25 novembre : journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes C est en souvenir du 25 novembre 1960, où trois femmes dominicaines, les sœurs Mirabal furent assassinées sur les ordres du chef de l état dominicain, que le 19 octobre 1999, lors de la 54e session de l Assemblée générale des Nations Unies, les représentants de la République dominicaine et 74 États membres ont présenté un projet de résolution visant à faire du 25 novembre, la Journée internationale pour l élimination de la violence à l égard des femmes et proposé que cette journée soit consacrée à des activités destinées à sensibiliser l opinion publique sur la question de la violence à l égard des femmes. Quelques chiffres : 1 femme sur 10 déclare avoir été victimes de violences physiques de la part d un conjoint ou ex-conjoint en 2012 En moyenne, chaque année, 1 femme décède tous les 2,5 jours sous les coups de son conjoint 20 % des homicides commis en France sont dus aux violences conjugales L estimation du coût des violences au sein du couple est de 2,5 milliards d euros chaque année 1 femme victime de viol toutes les 6 minutes en France Depuis, en France, cette célébration est marquée par un nombre croissant de manifestations impulsées tant par le ministère et son réseau des droits des femmes que par les associations qui militent dans ce domaine. Toutes formes de violences confondues, ce sont près de 1,1 million de femmes de 18 à 60 ans qui ont été victimes de violences en France, en C est dire l importance et la mesure du phénomène des violences faites aux femmes. Les statistiques dont nous disposons sont issues d enquêtes de plus en plus fiables (fournies par le ministère de l Intérieur et l Observatoire de la délinquance ). Pourtant les chiffres exacts et l ampleur de ces violences restent méconnus, car le nombre de plaintes enregistrées par les services de police et de gendarmerie ne peut refléter à lui seul la réalité. Moins de 8 % des femmes portent plainte pour violences conjugales ou pour violences hors ménage. Une forte mobilisation des pouvoirs publics L ampleur et la gravité du phénomène des violences faites aux femmes ont appelé depuis plusieurs années une réponse forte de la part des gouvernements qui se succèdent. La France poursuit son action dans le droit fil des engagements qu elle a pris en ratifiant la Convention sur l élimination de toutes les formes de discriminations à l égard des femmes adoptée à l ONU (1993) ainsi que dans les orientations renouvelées de l Union européenne. 3 Service départemental de communication interministérielle

4 Le quatrième plan triennal s inscrit dans la continuité des précédents en maintenant une vigilance soutenue sur les questions de violences intrafamiliales, de mariages forcés et de polygamie. Mais il aborde également la question des violences sexistes et sexuelles au travail, ainsi que le viol, les agressions sexuelles et la prostitution. Il conjugue trois orientations : Ne laisser aucune violence déclarée sans réponse pénale, sanitaire et sociale Mobiliser la société et former les professionnels Organiser une réponse urgente en cas de viols. 4 Service départemental de communication interministérielle

5 Intervention et formation au centre hospitalier de Brive par le Dr Gérard Lopez, médecin psychiatre L approche médico-légale dans le processus de prise en charge des victimes de violences conjugales Le système de santé est le lieu de premier recours pour les victimes de violences : en France, ¼ des victimes font appel en 1 er recours à un médecin, alors que 13 % seulement se rendent au commissariat. Les urgences des centres hospitaliers sont à cet égard l un des lieux décisifs pour organiser les réponses aux violences. En Corrèze, pour inciter les victimes à dénoncer les faits de violences subies, un dispositif encore trop peu connu du public a été mis en place en 2007 en partenariat avec les Centres hospitaliers de Tulle, Brive et Ussel et les 3 caisses de sécurité sociale (CPAM, MSA, RSI) : la convention relative à la prise en charge financière des actes médico-légaux pour les femmes victimes de violences, hors réquisition judiciaire. Cette convention permet à tout médecin urgentiste ou de tout autre service des 3 centres hospitaliers de procéder à un examen médico-légal de la victime, afin de lui remettre un certificat médical, avec ITT (interruption totale de travail), que la victime ait déposé plainte ou non et quelle que soit la gravité des violences subies. Cet acte gratuit et anonyme permet ainsi à la victime de faire valoir, le cas échéant et à son rythme, ses droits. Mais pour que ce dispositif donne sa pleine mesure, il convient d apporter aux professionnels de santé des éléments de connaissance du phénomène des violences conjugales, car l implication des équipes médicales reste essentielle. À titre indicatif, 60% des médecins généralistes considèrent qu ils ne disposent pas de la formation suffisante en la matière. Le Docteur Gérard LOPEZ, fera partager les fruits de ses recherches et de sa pratique au sein de l Institut de Victimologie de Paris dont il est le fondateur. Le programme de la journée Les objectifs de la session de formation : améliorer les réponses en matière d accueil et de prise en charge sanitaire des victimes ; donner les pistes et les préconisations d une orientation et d un traitement dans le cadre des urgences ; accompagner les professionnels de santé dans la rédaction d un certificat médical eu égard à ce type de violence dans une approche médico-légale. 5 Service départemental de communication interministérielle

6 Les contenus de l intervention : Le visionnage du film «Anna» Le repérage des violences (les questions à poser à la victime) Les conséquences des violences répétées Les troubles psycho traumatiques complexes La rédaction du certificat de coups et blessures volontaires La notion pénale de l Incapacité Totale de Travail (ITT) Les questions autour du signalement? Éléments biographiques du Dr Gérard Lopez Gérard Lopez est un psychiatre français né en Il est le président-fondateur de l Institut de Victimologie de Paris. L'Institut de Victimologie a pour mission d améliorer la prise en charge des victimes qui ont subi un traumatisme psychologique. Il vise à promouvoir le traitement précoce et spécifique de ces victimes. Il a été créé le 8 novembre 1994, et se structure autour de 2 pôles : le pôle santé et le pôle formation/ débriefing/ recherche. Le Dr Gérard Lopez a été l initiateur des premiers diplômes universitaires de victimologie et du premier diplôme de psychotraumatologie en France. Il est un des membres fondateurs de la cellule d urgence médico-psychologique (CUMP) mise en place par le Président de la République et Xavier Emmanuelli, le secrétariat d'état à l Action humanitaire d urgence, en Il enseigne actuellement à l Université Paris 5 au Laboratoire d Éthique Médicale dans le Département de médecine légale (P r Christian HERVE) et à l institut de criminologie de l Université Panthéon Assas Paris 2. Il est le coordinateur de la Chaire Unitwin Unesco : «Abord de la violence : un défi transdisciplinaire». 6 Service départemental de communication interministérielle

7 Inauguration de l accueil de jour «Inform elles» à Tulle L accueil de jour, un dispositif de proximité indispensable et un lieu de ressource L accueil de jour est un dispositif de proximité ouvert durant la journée pour accueillir, informer et orienter les femmes victimes de violences conjugales dès la première alerte. Il s agit ainsi d éviter les situations d urgence et d organiser en amont le départ des victimes sans passage par un hébergement d urgence, et sans traumatisme supplémentaire pour leurs enfants. En résumé, cet accueil de jour offre : - une prise en charge plus précoce, - une plus grande fluidité dans le parcours des femmes pour sortir de la violence, - une meilleure coordination des acteurs sur le territoire. Ce dispositif a fait ses preuves depuis sa mise en place et répond à un besoin réel. Il constitue un nouveau maillon indispensable dans la chaîne d accompagnement des femmes victimes de violences conjugales et vient compléter le dispositif déjà existant sur le département en matière de lutte contre les violences faites aux femmes. Les accueils de jour «Inform E lles» à Tulle et à Brive La structure porteuse de ces accueils de jour est l association «SOS Violences conjugales», dont l activité en Corrèze se décline aussi en plusieurs axes : Un pôle Ecoute et Entretien : écoute téléphonique, entretiens individuels, groupe de parole. Un pôle Formation : formation des professionnels et sensibilisation tout public à la problématique des violences conjugales. La référence départementale 19 : organisation du parcours des victimes en coordination avec les acteurs de terrain. Le Centre d hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) «Solidarelles» : mise à l abri des victimes 24h/24h, accompagnement social, éducatif et psychologique, aide administrative, accueil mères-enfants de moins de 3 ans. 7 Service départemental de communication interministérielle

8 Un nouveau lieu d accueil pour «Inform elles» Tulle Depuis son ouverture le 3 décembre 2012, l'accueil de jour Inform Elles 19 Tulle était localisé au sein du bâtiment anciennement «Bains Douches» place Albert Faucher. Au vu du nombre de personnes accompagnées et des caractéristiques particulières que nécessite l accueil de ce public (confidentialité, discrétion, convivialité, accueil des enfants, accueil simultané de personnes victimes etc ), la configuration de ce local est apparue inadaptée. La municipalité a été attentive à ces écueils et a mis à disposition un appartement d une surface de 125 m2 sur deux niveaux. Ce nouvel outil va permettre d optimiser les missions de l accueil de jour. L Etat, quant à lui, a financé à hauteur de l aménagement de l appartement. Quelques informations sur Inform Elles 19 En 2013, 49 femmes ont contacté l accueil de jour Inform Elles Tulle En ajoutant le nombre de femmes accueillies sur le site de Brive, 124 femmes ont contacté Inform Elles lors de la première année d activité en Au 31 octobre 2014, 48 femmes ont contacté l accueil de jour Inform Elles Tulle et 84 femmes Inform Elles Brive. Cela représente donc un total de 132 femmes depuis le début de l année jusqu au 31 octobre Segmentation du public accueilli En 2013 (statistiques 2014 en cours) - Le public accueilli est en majorité relativement jeune : 27 % ont entre 25 et 35 ans et 23 % ont entre 18 et 25 ans. Toutefois, la proportion de femmes entre 45 et 60 ans est de 22 % % des femmes accueillies à Tulle sont de nationalité française - L accueil de jour touche un public large et diversifié (catégories socio-professionnelles variées) - 47 % des femmes résident à Tulle, 21 % en haute Corrèze, 10 % sur les communes de l agglomération de Tulle - 71 % femmes reçues sont mères de famille - 4 % des femmes sont en situation de grossesse au moment de leur accueil à Inform Elles 19 - Les violences subies par les femmes accueillies sont à 90 % conjugales, 6 % sont intrafamiliales et 4 % au sein de la sphère publique 8 Service départemental de communication interministérielle

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