La fi lière vin de. Champagne. du bassin Seine-Normandie. L eau et l industrie. Livret n 2 DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES

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1 La fi lière vin de Champagne du bassin Seine-Normandie L eau et l industrie Livret n 2 DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES

2 sommaire ACTIVITÉ DE LA BRANCHE RAPPEL DU PROCÉDÉ INDUSTRIEL BILAN EAU ET POLLUTION ACTIONS ENGAGÉES PAR L AESN PERSPECTIVES ET CONCLUSION La fi lière vin de Champagne du bassin Seine-Normandie La Champagne viticole avec ses ha de vignes en production, ses récoltantsmanipulants, ses 150 coopératives, et ses 110 maisons de Champagne assure chaque année une production comprise entre 250 et 300 millions de bouteilles soit 3,5% de la production vinicole nationale. Les différentes étapes de l élaboration du vin de Champagne sont à l origine d une consommation d eau voisine de m 3 par an. Cette consommation représente près de 2 litres par bouteille expédiée. La filière génère chaque année tonnes de DCO, soit en ordre de grandeur l équivalent de la pollution domestique produite en un an par une agglomération de habitants. Directeur de publication : Jean-Marc PICARD, Directeur des Actions Industrielles Réalisation : François BADIE, Service Industrie Est (D.A.I Châlons-en-Champagne) Coordination : Michèle SLANSKY D.A.I Nanterre EDITION

3 Activité de la branche Activité de la branche Le vignoble Champenois Située aux marges de l Ile-de- France, l aire délimitée de l appellation Champagne comprend hectares, dont ha sont aujourd hui plantés. Accordée à 317 communes, elle s étend principalement sur le département de la Marne (202 communes, ha). Autour de Reims et d Epernay, qui sont les deux principaux centres d activité de l économie champenoise, la zone viticole est essentiellement constituée par la montagne de Reims, la Côte des Blancs et la Vallée de la Marne. Celle-ci se prolonge à l Ouest, dans le département de l Aisne (2 400 ha), de part et d autre de Château- Thierry. La vigne est également présente dans le département de l Aube (6 000 ha), au Sud-Est de Troyes, à proximité de Bar-sur-Aube et de Bar-sur-Seine et à titre anecdotique en Haute-Marne (40 ha) et Seine-et- Marne (30 ha). Le vignoble champenois ne représente toutefois que quelque 2% de l ensemble du vignoble français. Pour bénéfi cier de l appellation «Champagne», le vin doit être élaboré dans l une des 647 communes constituant l aire géographique de l élaboration. focus Un potentiel de production estimé à 300 millions de bouteilles par an Vallées d Oise Vallées de Marne Seine Amont Vignoble 2

4 L organisation de la production Plus de établissements dont centres de pressurage assurent la production du vin de Champagne. Les 110 maisons de Champagne, commercialisent plus des 2/3 de la production. Elles emploient près de salariés et leur chiffre d affaires annuel excède 2 milliards d euros. Entre et vignerons dit «récoltants-manipulants» assurent par eux-mêmes la vini- fi cation de tout ou partie de leur récolte et la commercialisation du champagne sous leur propre marque. Enfi n 150 coopératives de vignerons assurent, à elles seules, le pressurage de la moitié des récoltes. Certaines assurent également les étapes postérieures au pressurage, jusqu à la commercialisation de leur production. Le Comité Interprofessionnel du Vin de Champagne a pour mission d assurer l harmonie des rapports entre vignerons et négociants, de gérer leurs intérêts communs dans les domaines économiques, techniques et sociaux et de veiller à la pérennité de l appellation. L évolution de la production Les surfaces en production qui avaient augmenté de plus de 70 % lors des trente dernières années sont désormais stabilisées et les possibilités d extension sont maigres. On situe aujourd hui le potentiel de production champenois à 300 millions de bouteilles. Les quantités récoltées restent soumises aux aléas climatiques (gelées tardives en 2003 entraînant une diminution de la production de 40% après cinq belles récoltes). Graphique représentant sur la période l évolution des surfaces en production, récolte, expédition (source : Union des Maisons de Champagne ) Récolte (équivalent bouteilles) Expéditions de bouteilles Surface en production 3

5 Rappel du Rappel du procédé industriel procédé industriel 4

6 Bilan eau Bilan eau et pollution et pollution Caractéristiques des rejets vinicoles Les activités vinicoles, notamment celles qui conduisent à l élaboration du vin de Champagne, génèrent des rejets polluants importants. Ces rejets, à caractère très saisonnier, sont à l origine du dysfonctionnement de nombreuses stations d épuration de communes viticoles, souvent sous-dimensionnées, et perturbent gravement l équilibre biologique des cours d eau (qualité de l eau fortement dégradée sur la Marne et ses affl uents autour d Epernay pendant les vendanges, pollution régulière des affl uents de l Aube et de la Seine en région viticole). Les effl uents vinicoles, très chargés en matières organiques (10 à 30 fois plus concentrés qu un effl uent domestique) sont rejetés pour l essentiel pendant la période des focus Des rejets vinicoles dix à trente fois plus concentrés en matières organiques qu un effluent domestique vendanges (activité pressurage) et pendant les opérations de soutirage et de clarifi cation du vin. Ces périodes correspondent à de nombreux lavages de matériels (pressoirs, cuves,...) et au rejet de sous-produits. Les eaux de lavage représentent un peu plus de la moitié de la pollution produite. Les sous-produits liquides tels que bourbes, lies, jus de marc constituent la deuxième source de pollution. Rejets d un récoltant-manipulant (sur une échelle théorique de 100) Répartition de la pollution organique produite La gestion des sous-produits La maîtrise des rejets vinicoles passe d abord par une bonne gestion des sous-produits. La réglementation européenne impose désormais une livraison en distillerie de la totalité des sous-produits vinicoles. En 2002, près de 80% des volumes produits ont été orientés vers une distillerie (100% des lies, 90% des bourbes, une partie des jus de marcs). Une partie des volumes fait l objet d un épandage agricole seule ou en mélange avec les eaux de lavages. Pollution organique liée aux sous-produits 5

7 Les conditions de stockage et la collecte du marc (jus de marc) constituent la principale marge de progrès dans la gestion des sousproduits vinicoles. Le marc relargue, dans les heures qui suivent le pressurage et avant d arriver à la distillerie, une part importante de son jus, notamment pendant son stockage sur site ou sur une aire de regroupement, voire pendant son transport. Les 150 aires de regroupement, par lesquelles transitent 40% des tonnes de marc produit chaque année, sont en majorité des dépôts sauvages pour lesquels il n y a aucune maîtrise des écoulements. La mise en place sur l ensemble du vignoble de plates-formes collectives, spécifi quement aménagées pour assurer la récupération et le stockage des jus de marc est une manière de répondre à cette problématique. Il existe actuellement un peu moins d une trentaine de plates-formes collectives de ce type, dont la plupart ont fait l objet d une participation fi nancière de l agence. Destination des sous-produits vinicoles Le traitement des eaux de lavage L ÉPANDAGE AGRICOLE L épandage agricole est de loin la technique la plus employée pour assurer le traitement des rejets vinicoles, notamment ceux liés au pressurage. Cette technique concerne près d un centre de pressurage sur quatre et 45 % des fl ux issus du pressurage (soit en année normale, m 3 d effl uents épandus sur environ 600 ha de terrains agricoles). Un quart des rejets liés à la vinifi cation, soit m 3 supplémentaires font également l objet d un traitement par épandage agricole. Bien que l intérêt agronomique des rejets vinicoles soit limité, l épandage demeure la solution idéale pour assurer une dégradation de la pollution carbonée et son recyclage. Elle passe par la mise en œuvre au niveau de chaque établissement d un réseau de collecte séparatif et d un stockage de sécurité étanche Pressurage : traitement des eaux de lavage permettant de faire face à plusieurs jours sans épandage. L épandage par tonne à lisier est le plus courant. Certains établissements disposent de canons d aspersion. Vinification : traitement des eaux de lavage focus Un tiers des eaux de lavage ( m 3 ) fait l objet d un traitement par épandage agricole. Epandage agricole Stockage aéré Raccordement sur step adaptée Autres (méthanisation bioréacteur à mb) Pas de traitement adapté LE RACCORDEMENT AUX RÉSEAUX Cette solution suppose que l outil d épuration de la collectivité permette d envisager un traitement simultané des rejets vinicoles et des rejets domestiques. Pour les petites communes viticoles, le principe du traitement réside dans la mise en place de grandes capacités de stockage (de plusieurs milliers de m 3) en amont d une station d épuration de type boues activées, raisonnablement surdimensionnée. La pollution vinicole et domestique produite pendant les quinze jours de vendanges, stockée dans ces bassins, pourra ainsi subir un traitement différé, étalé sur plusieurs mois. Une quinzaine de stations d épuration de ce type existent aujourd hui. Elles permettent d assurer le traitement d environ 13% de la pollution issue du pressurage et concerne 285 établissements. Un peu plus de 30% des rejets issus de la vinifi cation font l objet d un traitement adapté sur station d épuration urbaine. Il s agit pour les trois quarts des rejets de Maisons de Champagne de l agglomération Rémoise. 6

8 LE TRAITEMENT PAR STOCKAGE AÉRÉ Le traitement par stockage aéré repose sur une mise en œuvre rustique du traitement biologique aérobie. Il s agit d un traitement par bâchée dont toutes les phases se déroulent dans un stockage unique (bassin ouvert à géomembrane, stockage en béton, cuve hors sol) équipé d un dispositif d aération et d une pompe de reprise des eaux traitées et des boues. Ce principe de traitement peut être mis en œuvre dans un cadre individuel, mais aussi dans un cadre collectif, à l échelle d une commune, avec dans ce cas, un ramassage par citerne des effl uents produits par chaque établissement. Il permet d obtenir des rendements d épuration élevés (voisins de 99% sur la pollution organique), compatibles avec un rejet direct dans le milieu naturel. En 2003, un peu moins d une centaine d établissements ont vu leurs effl uents traités par stockage aéré dont les deux tiers dans un cadre collectif. Globalement, cette technique de traitement concerne 12% des rejets issus du pressurage et 7% des rejets de vinifi cation. Bilan du traitement par sous bassins en 2003 VALLÉES DE MARNE Le bassin de la Marne, qui regroupe près de 58% de l activité est sans doute le plus en retard. Même si plus de 60 % de la pollution est orientée vers une solution de traitement adaptée, 75 % des établissements SEINE-AMONT Le bassin de l Aube et de la Seine, qui représente 22 % de l activité, se caractérise par une avance importante en terme de traitement : près de 80% des rejets sont d ores et déjà orientés vers des solutions ne disposent d aucun dispositif de traitement. L épandage agricole arrive loin devant puisqu il permet d assurer le traitement de 50 % des flux polluants et concerne plus de 300 établissements. de traitement adaptées, en premier lieu, le raccordement sur station communale, suivi par l épandage puis le stockage aéré. Un tiers des centres de pressurage ne dispose d aucun dispositif de traitement adapté. Le stockage aéré dans ses deux versions, individuelle et collective, assure le traitement de près de 10% des rejets. VALLÉES D OISE Le bassin de la Vesle et de ses affluents qui regroupe 20% de l activité se situe a une place honorable avec 75% des rejets correctement traités. Toutefois, près de 60% des établis- sements ne disposent toujours pas de solutions adaptées pour le traitement de leurs rejets. Vallées d Oise Vallées de Marne Seine Amont Vignoble Traitement des rejets vinicoles champenois en Vallées de Marne (période vendanges) Traitement des rejets vinicoles champenois en Seine-Amont (période vendanges) Traitement des rejets vinicoles champenois en Vallées d Oise (période vendanges) Epandage agricole autre traitement Stockage aéré collectif Raccordement sur step adaptée Stockage aéré individuel pas de traitement adapté 7

9 Actions engagées Actions engagées par l AESN par l AESN Redevance pollution UNE REDEVANCE SPÉCIFIQUE DEPUIS 1981 Suite à une campagne de mesures menée au cours des années 1978 et 1979 au sein de plusieurs établissements vinicoles, l agence mettait en place dès 1981 une redevance pollution s appliquant spécifi quement aux établissements vinicoles champenois pour l activité de pressurage (G113, G114). En 1998, l agence a proposé à une quarantaine d établissements ayant comme activité principale la vinifi cation un barème spécifi que (6468) mieux adapté à cette activité. La quasi-totalité des assiettes de redevances sont établies sur ces bases forfaitaires. Bases des estimations forfaitaires de la redevance pollution Catégories d activités Numéro Grandeur Coefficients spécifiques d activité caractéristique de pollution (en grammes) MES MO NR MP Vins de Champagne : opérations G113 hl de moût produit ,5 de lavage des pressoirs, des belons et sols Vins de Champagne : non- G114 hl bourbes non récupération des bourbes récupérées Réception et stockage de vins G125 hl embouteillé ,5 terminés avec embouteillage en bouteilles neuves Vinification (non repris par l arrêté du 28/10/75 modifi é) 6468 hl vinifié annuellement 1 5 0,05 0,01 PRÈS DE 500 ÉTABLISSEMENTS SUIVIS Dans le cadre de la redevance pollution, l agence suit aujourd hui près de 500 établissements vinicoles, parmi les que compte la Champagne, dont 85% font l objet d une interrogation annuelle, la plupart (90%) au titre de leur activité de pressurage, 7% au titre de leur activité de vinifi cation et 3% au titre des activités d embouteillage. Les établissements suivis permettent à l agence d appréhender près des deux tiers de l activité de pressurage et près des trois quarts de l activité de vinifi cation. En 2001, 356 établissements étaient redevables sur leurs rejets bruts et 281 sur leurs rejets nets. EVOLUTION SUR LA PÉRIODE Sur la période , la redevance nette des établissements vinicoles champenois représente près de 3% de la redevance nette totale «industrie». Les assiettes de redevances nettes ont peu évolué sur cette période : la tendance à la diminution étant compensée par des niveaux d activité plus importants depuis Le taux global d épuration augmente de façon régulière et approche les 50%. Il reste toutefois relativement faible compte tenu du fort taux de raccordement observé : 20% des fl ux aboutissent sur une station d épuration urbaine correctement dimensionnée. focus Au travers des 500 plus gros établissements suivis, l agence appréhende les deux tiers de l activité de pressurage et les trois quarts de la vinification. Traitement des rejets vinicoles des établissements redevables (année 2002) Epandage agricole Stockage aéré Raccordement sur step adaptée Autre traitement Pas de traitement adapté 8

10 Evolution des redevances (en k ) Evolution de l assiette MO (en kg/j) Les fl ux polluants liés aux bourbes envoyées en distillerie sont, depuis 1998, exclus de l assiette brute de la redevance, d où une baisse apparente des assiettes brutes et du taux global d épuration. Aides financières : UNE AUGMENTATION RÉGULIÈRE DES DEMANDES D AIDES FINANCIÈRES Parallèlement à la mise en place, dès 1981, d une redevance pollution spécifi que, l agence, décidait d apporter son concours fi nancier aux établissements vinicoles champenois qui par leurs études ou leurs travaux s engageaient à maîtriser leurs rejets. C est ainsi que l agence a été amenée à fi nancer en quinze ans, sur la période , près de 170 projets liés au traitement des effl uents vinicoles. A partir de 1995, le rythme des investissements a fortement augmenté : 180 projets aidés entre 1996 et 1999 et 370 sur la période Les projets aidés concernent désormais pour les deux tiers des établissements non redevables, inconnus de l agence. Pour 2003, on note un fl échissement signifi catif des investissements, sans doute, au moins en partie, consécutif à un effet «fi n de programme» sur Sur les deux dernières années, la branche vinicole «Champagne» représente 15% des dossiers et 5% du total des aides à l investissement attribuées à l industrie. Evolution des investissements liés à la maîtrise des rejets vinicoles champenois 9

11 2001 : UN CONTRAT CADRE POUR LA MAÎTRISE DES REJETS VINICOLES L agence et le Comité Interprofessionnel du Vin de mise en conformité. pour l élaboration de leurs projets de Champagne (CIVC) ont signé le 11 avril 2001 un contrat cadre dont l objectif est d atteindre en 5 ans, c est à dire courant 2006, un traitement adapté d au moins 80 % de la pollution liée aux activités vinicoles. Cet accord garantit un accès aux aides de l agence à tous les établissements quelle que soit leur taille et apporte aux plus petites structures un appui Plus de établissements vinicoles, ne disposant encore d aucun traitement sont concernés par ce contrat. Le rythme annuel des investissements nécessaires pour atteindre cet objectif a été évalué à 6 millions d euros par an (30 millions d euros sur 5 ans). Sur la période , le CIVC a assuré près de 200 technique et administratif renforcé conseils individualisés ainsi que la pré-instruction d une centaine de dossiers de demande d aides fi nancières. focus L accord cadre signé en 2001 avec la profession vise à atteindre un traitement adapté d au moins 80 % des rejets en LE CONTRÔLE DES DISPOSITIFS AIDÉS De façon régulière, l agence confi e à un mandataire le contrôle pendant les vendanges d une partie des dispositifs de traitement ayant bénéfi cié d une aide fi nancière (plus d une centaine d établissements contrôlés sur la période ). Ces contrôles n ont pas mis en évidence de problèmes majeurs de réalisation ou d exploitation des dispositifs concernés. Evolution du traitement des eaux de lavage du pressurage Stockage-épandage Stockage aéré collectif Raccordement Stockage aéré individuel Pas de traitement adapté 10

12 Perspectives et Perspectives et conclusion conclusion PLUS DE 80% DES REJETS TRAITÉS EN 2006 Un certain nombre de projets permettent d ores et déjà d affi rmer relativement avancés correspondants que les engagements pris par la à la mise en place de profession visant à un traitement capacités supplémentaires de adapté d au moins 80% des rejets traitement des rejets vinicoles vinicoles champenois courant 2006 (stations d épuration urbaines, devrait être atteint sans diffi cultés. stockages aérés, épandages) Ainsi, dès les vendanges 2006, plus de 80% des rejets issus du pressurage et plus de 95% des rejets issus de la vinifi cation seront orientés vers des fi lières de traitement adaptées. UNE NOUVELLE STATION POUR EPERNAY La nouvelle station d épuration de Pressurage la Communauté de Communes d Epernay-Pays de Champagne permettra, à elle seule, d assurer un traitement adapté d environ 5% des rejets issus du pressurage et de près de 20% des rejets de vinifi cation produits à l échelle de toute la Champagne. Projection pour les vendanges 2006 de la répartition en fl ux polluants du traitement des eaux de lavage Vinification Epandage agricole Stockage aéré Raccordement sur step adaptée Autre traitement Pas de traitement adapté ENCORE DES EFFORTS POUR LES PETITS COURS D EAU Toutefois, il est évident que les efforts devront être poursuivis afi n d aller vers une maîtrise de la totalité des rejets, notamment dans certains secteurs du vignoble, si l on veut restaurer à l horizon 2015 la qualité des cours d eau les plus sensibles. Nul doute que les acteurs de cette fi lière sauront relever le défi d une viticulture «en équilibre avec son environnement». 11

13 Glossaire Sigles & Abréviations glossaire Pressurage Soutirage Clarification Tirage Bourbes Dégorgement Lies Jus de marc Traitement par bâchée Rejets bruts Rejets nets Step DCO Action de presser le raisin dans un pressoir pour en extraire le jus. Action de changer le vin de cuve par pompage pour l aérer et le débarrasser de ses impuretés (lies). Action visant à débarrasser le vin de ses impuretés par fi ltration ou par collage (en y mélangeant une solution gélatineuse à laquelle vont s agglutiner les particules en suspension pour tomber au fond du contenant). Opération de mise en bouteilles. Dépôt gras de boues minérales et végétales provenant de la première décantation du jus de raisin. Opération d élimination du dépôt des vins effervescents (obtenus suivant la méthode champenoise) avant bouchage défi nitif. Le goulot est plongé dans une solution qui solidifi e le dépôt en le congelant. La bouteille est ouverte et le gaz évacue le «bouchon» de sédiments. Dépôt jaunâtre ou rougeâtre qui se dépose au fond de la cuve ou du tonneau et que le vigneron retire au moment des soutirages. Jus s écoulant du marc de raisin. Traitement discontinu. Rejets en sortie de l atelier avant épuration. Rejets après traitement ou prétraitement sur site. Abréviation de «station d épuration». Demande Chimique en Oxygène. La DCO permet d apprécier la concentration en matières organiques, biodégradables ou non, dans l eau au travers de la quantité d oxygène nécessaire pour leur oxydation chimique. 12

14 DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES Service Actions et Coordination des Branches Industrielles D.A.I. Nanterre 51 rue Salvador Allende Nanterre Cedex Tél. : Fax : Service Industrie Ouest D.A.I. Honfleur 21 rue de l Homme-de-Bois Honfl eur Tél. : Fax : Service des Redevances Industrielles 51 rue Salvador Allende Nanterre Cedex Tél. : Fax : Service Déchets et Petites Entreprises Ile-de-France D.A.I. Nanterre 51 rue Salvador Allende Nanterre Cedex Tél. : Fax : Service Industrie Est D.A.I. Châlons-en-Champagne chaussée du Port Châlons-en-Champagne Cedex Tél. : Fax : Photo Brand X Pictures / Brian Hagiwara 51 RUE SALVADOR-ALLENDE NANTERRE CEDEX Tél : Fax : Site Internet :

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