Liaisons et molécules R.Welter Licence Physique et Application S2
|
|
- Martine Michele Gagnon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE IV : Les électrons dans la molécule : la liaison intramoléculaire Le concept de molécule est fondamental en chimie. Une molécule est un groupe d atomes qui est conservé lors des changements d état physique. Par exemple, on retrouve la molécule d eau (H 2 O) aussi bien dans le cristal de glace, dans l eau liquide et dans la vapeur d eau. Dans ce chapitre, on se propose d étudier quelques théories qui décrivent la formation des liaisons entre les atomes d une molécule. On envisagera ici que les molécules diatomiques de type AB. 1) Molécules diatomiques homonucléaires 1.1 La Liaison covalente D une façon générale, toute liaison qui s obtient par la mise ne commun d électrons est une liaison covalente. Exemple : H-H (représentation dite de Lewis). Dans l hydrogène moléculaire H2, les deux électrons sont indifférenciables. La distance internucléaire (en virons 0.74 Å) correspond à l équilibre du système protons+électrons. On sait que les électrons ont tendance à se concentrer entre les noyaux. Les forces en jeu sont certes de nature électrostatique, mais pour expliquer l existence et la stabilité de la molécule, il faut faire appelle à l approche quantique, qui rend compte du caractère ondulatoire des électrons. 1.2 Orbitales moléculaires monoélectroniques Dans l atome --> électron décrit par une orbitale atomique ψ. Dans la molécule --> électron décrit par une orbitale moléculaire correspondant à une fonction d onde Φ. Les quelques principes suivants s applique aux orbitales moléculaires (analogue des orbitales atomiques) : a) La fonction d onde Φ a même signification physique que l orbitale atomique. Φ 2 représente la densité de probabilité de présence de l électron. De plus la fonction doit être normée : Φ Φdτ = 1.
2 b) A chaque fonction d onde Φ correspond une énergie bien définie. La somme des énergies de chaque électron représente l énergie totale de la molécule. c) Les électrons occupent les différents niveaux d énergie par ordre d énergie croissante. Tous calculs faits, on arrive à 2 orbitales moléculaires dont les expressions sont : Le principe d exclusion de PAULI s applique à tout système électronique tant atomique que moléculaire. Comme chaque électron a spin, à une orbitale moléculaire correspondent au maximum deux électrons qui ont des spins opposés. L étude détaillée (non présenté ici) de l ion moléculaire H 2+, permet d introduire les notions fondamentales d orbitales liantes et antiliante. Remarque : La résolution rigoureuse de l équation de Schrödinger est possible pour un système monoélectronique, mais le problème est beaucoup plus difficile que celui de l atome d hydrogène, à cause de la perte de symétrie sphérique, et les calculs sont considérablement plus conséquents. Il existe plusieurs méthodes d approximation nécessaires pour l étude des molécules à plusieurs électrons, dont la méthode générale LCAO : Linear Combinations of Atomic Orbitals. -56-
3 Ci-dessous, les formes des fonctions correspondantes - L énergie des orbitales moléculaires. A l orbitale Φ + correspond une énergie E +. A l orbitale Φ - correspond une énergie E -. α étant l énergie de l électron dans un atome d hydrogène isolé (α<0). β étant la diminution d énergie due à la formation de l orbitale moléculaire. β est également négatif. E + = (2α+2β)/2(1 + S) = α+(β - αs)/(1+s) E - = α (β - αs)/(1-s) avec S intégrale de recouvrement Comme le second terme de cette relation est né- -57-
4 gatif, on voit que E - > E +. L énergie E + de l électron est d autant plus basse que l intégrale de recouvrement S est plus grande. Cela signifie que la liaison sera d autant plus forte que les orbitales atomiques se recouvrent mieux.` Ce minimum de E + justifie d ailleurs l existence de l ion moléculaire H La molécule d hydrogène En appliquant la méthode LCAO au système constitué de deux électrons se trouvant dans le champ des deux noyaux, on trouve deux fonctions d onde : Φ + = (2(1+S)) -1/2 [σ A + σ B ] Φ + = (2(1 - S)) -1/2 [σ A - σ B ] Ces orbitales correspondent aux énergies E + et E -. Dans l état fondamental, les deux électrons vont occuper l orbitale liante d énergie E+, comme montré ci-dessous. L énergie E + passe par un minimum pour une distance non-nulle entre les deux noyaux. -58-
5 1.4 Orbitales moléculaires σ et π. Puisqu aucune orbitale atomique ou moléculaire ne peut contenir plus de deux électrons, il s ensuit que n orbitales atomiques vont former n orbitales moléculaires. Les calculs détaillés montrent que deux orbitales atomiques peuvent se combiner si : - leurs énergies est voisines, - elles peuvent se recouvrir de façon appréciables - elles ont même symétrie par rapport à l axe A-B de la molécule. Ainsi, les orbitales atomiques p ou d, comme les orbitales s, sont susceptibles de former des orbitales moléculaires. Selon la symétrie, on distingue : - Les orbitales moléculaires de type σ, obtenu par recouvrement axial de deux orbitales atomiques. - Les orbitales moléculaires de type π, obtenu par recouvrement latéral de deux orbitales atomiques. Elles possèdent un plan nodal (dans lequel la probabilité de trouver l électron est nulle) et une symétrie cylindrique de révolution. Voici quelques exemples : 1.5 Molécules à plus de deux électrons -59-
6 -60-
7 - par ordre d énergie croissante, - à raison de deux électrons au maximum par orbitale (PAULI). Nbre- liants - Nbre- antiliants = nbre- qui assurent la stabilité de la molécule. (Nbre- liants - Nbre-antiliants)/2 = ordre de liaison Un ordre de liason élevé indique une liaison forte. N.B : Les électrons des sous-couches complètes ne participent pas à la formation de la liaison moléculaire. -Configuration électronique. Quelques points à retenir : - La stabilité d une molécule (valeur de De dans le tableau) augmente en général avec l ordre de liaison. - Quand l ordre de liaison est nul, la molécule Pour établir la structure électronique des molécules ne se forme pas. Ex : Be 2 ou He 2. à l état fondamental, nous placerons les électrons - Attention, inversion des niveaux 2pσ et 2pπ dans les orbitales moléculaires selon les critères dans certaines molécules légères (à cause d une suivants : répulsion 2pσ et 2sσ). Remarquer la faiblesse de la liaison dans F 2 ainsi -61-
8 que la stabilité supérieure de O 2 + par rapport O 2. Remarquer également les deux électrons célibataires dans O 2, qui présente effectivement un caractère paramagnétique marqué. -Structure de Lewis : exemple de F N.B : Le diagramme de Lewis de O2 laisse supposer
9 que tous les électrons sont appariés. Modèle insuffisant pour rendre compte de toutes les propriétés des molécules. -63-
10 2) Molécules diatomiques hétéronucléaires Lorsque les atomes A et B sont différents, la répartition des charges électroniques n est plus symétrique par rapport au plan médiateur de l axe AB de la molécule. 2.1 Le moment dipolaire On comprend facilement que si B est plus électronégatif que A, la densité électronique est plus élevée dans la région de B que de A. Exemple de HF : Par définition, le moment dipolaire est le vecteur : μ = δ. r Il est dirigé arbitrairement du centre des charges négatives vers le centre des charges positives. Son unité : le Debye (du nom du scientifique Debye ). Un debye vaut : unités cgs.cm Une molécule apolaire a un moment dipolaire nul. Les molécules polaires (qui possèdent un moment -64-
11 dipolaire) s orientent dans un champ électrique (voir ci-contre). Molécule Moment dipolaire en debye (D) HF 1,91 HCl 1,07 HBr 0,79 HI 0,38 F 2 0 CO 0,12 ICl 0,65 FCl 0,88 KF 8, Structure des molécules hétéronucléaires Dans le diagramme des niveaux d énergie, on trouvera les orbitales atomiques de l atome le plus électronégatif aux énergies les plus basses. D après le diagramme de la page 69, la structure électronique de CO et NO s écrira : CO : KK(2sσ) 2 (2sσ * ) 2 (2pπ) 4 (2pσ) 2 NO : KK(2sσ) 2 (2sσ * ) 2 (2pπ) 4 (2pσ) 2 (2pπ * ) -65-
12 -66-
13 2.3 La liaison ionique On aura formation de liaison dite ionique lorsque les deux atomes de la molécule AB ont une électronégativité trop différente. L atome le plus électronégatif accapare alors un ou plusieurs électrons à l atome fortement électronégatif. La molécule est alors constituée de deux ions. A + B --> A + + B - Il n y a plus partage d électrons mais transfert d électrons d un atome à un autre. En général se sont les atomes alcalins ou alcalinoterreux qui forment des composés ioniques avec les atomes les plus électronégatifs comme les halogénures, par exemple. On dira aussi que dans une molécule ionique, les deux nuages électroniques ne s interpénètre pas. L équilibre énergétique pour la molécule ionique intervient pour une certaine distance r entre les deux noyaux. Comme les orbitales atomiques dépendent exponentiellement de la distance au noyau, l énergie de répulsion entre les ions s écrit : E R = be -ar a et b sont des constantes qui peuvent être déterminées théoriquement à partir des fonctions d onde atomique ou évaluées expérimentalement. L énergie d attraction (ou potentielle) : E a = - (e 2 /r) + E( ) E( ) est l énergie des ions pour r infini. Sa valeur dans le cas de NaCl est 1,49 ev. -67-
14 Ainsi l énergie potentielle totale du système s écrit : E t = E a +E R = - (e 2 /r) + E( ) + be -ar Dans le cas de NaCl, le graphe ci-contre donne : r e = 2,36 Å et D e = 3,87 ev 2.4 Liaison covalente et liaison ionique On peut considérer que les liaisons ioniques et covalentes ne sont pas fondamentalement différentes. C est le caractère ondulatoire des électrons qui explique aussi bien le recouvrement électronique dans le cas de la liaison covalente que le non-recouvrement électronique dans le cas des molécules ioniques. On pourra considérer que la liaison ionique est un cas limite de la liaison covalente. On vient de voir que les courbes d énergie potentielle d une molécule covalente ou ionique sont semblables. On peut facilement en déduire ( confirmé expérimentalement) que les constantes de force des liaisons ionique et covalente sont du même ordre de grandeur (~ 50 à 200 kcal.mole -1 ). Comparativement aux liaisons intermoléculaires, les liaisons ionique et covalente sont des liaisons fortes (100 à 1000 fois plus fortes que les liaisons intermoléculaires). -68-
15 Quelques valeurs d énergies de liaison : Liaison Energie de la liaison (en kcal.mol -1 ) H-H 103,3 Cl-Cl 57,1 N N 225 H-F 134 H-Cl 102,2 H-I 70,5 Na + Cl - 98 K + Cl Rb + Cl Cs + Cl Na + F K + F Rb + F Cs + F Caractère ionique partiel d une liaison covalente. Pour introduire ce concept, on considère une molécule covalente AB de moment dipolaire μ. Si la liaison était 100% ionique, A porterait la char ge +e et B la charge -e. Le moment électrique est alors : μ = er Si la liaison était purement covalente, le moment dipolaire serait nul. Ainsi, pour évaluer le caractère ionique de la liaison covalente, on peut utiliser le rapport μ/μ i entre le moment dipolaire observé et le moment calculé pour une structure ionique pure. - Pouvoir polarisant et polarisabilité. En assimilant les ions à des sphères chargées, le champ électrique créé par une petit cation dans son voisinage immédiat est plus intense que le champ créé par un gros anions. C est le module du champ E au voisinage de l ion qui mesure son pouvoir polarisant.
16 Sous l influence d un champ électrique externe, le nuage électronique d un anion se déformera plus facilement que celui d un cation en raison des variations de la charge nucléaire effective. Le champ externe induit un dipôle dans l ion qu il déforme. C est le phénomène de polarisation. Conséquence : la liaison entre un cation A + et un anion B - ne sera pas purement ionique ; son caractère covalent sera d autant plus accentué que le pouvoir polarisant du cation et la polarisabilité de l anion seront importants. Le pouvoir polarisant d un cation augmente de gauche à droite de décroît de haut en bas de la classification périodique. La polarisabilité de l anion augmente de droite à gauche et de haut en bas de la classification. Cs + a le pouvoir polarisant le plus faible. Les ions Be 2+ et Al 3+ sont très polarisants. F - est très peu polarisable. I - et Te 2- sont très polarisables. -70-
Molécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailSimulation des processus moléculaires à la surface de la glace.
Simulation des processus moléculaires à la surface de la glace. Cas de la photodissociation de la molécule HCl. Stéphane Briquez ( * )( ** ), Maurice Monnerville ( ** ), Brigitte Pouilly ( * )( ** ), Céline
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMEMOIRE Présenté pour l obtention du diplôme de MAGISTER EN : PHYSIQUE Spécialité : Matériaux & Composants
N d ordre : 41/2010-M/PH République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENE
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailLes liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans l infrarouge à 3µ G. Bosschieter, J. Errera To cite this version: G. Bosschieter, J. Errera. Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES
Table des matières 1 LE PTN 2 LES SLUTINS CLRÉES 3 AVANCEMENT D UNE RÉACTIN CIMIQUE 4 STRUCTURE DES MLÉCULES PYSIQUE 5 INTERACTINS FNDAMENTALES 6 RADIACTIVITÉ ET RÉACTINS NUCLÉAIRES 2 CIMIE 7 MATIÈRE ET
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détail3 Charges électriques
3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailUE6 - Cycle de vie du médicament : Conception rationnelle
UE6 - Cycle de vie du médicament : Conception rationnelle Dr. Raphaël Terreux Faculté de Pharmacie (ISPB) Département pédagogique des Sciences Physico-Chimiques et Pharmacie Galénique 8 avenue Rockefeller,
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailIntroduction à l absorption X
Introduction à l absorption X Yves Joly Institut Néel, CNRS et UJF FAME+, Mai 2012 1 Définition 2 Section efficace Coefficient d absorption linéaire Faisceau monochromatique I 0 Matériau isotrope et homogène,
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailCHIMIE ET ENVIRONNEMENT : LA «CHIMIE VERTE»
CHIMIE ET EVIEMET : LA «CHIMIE VETE» A.1. Liaison chimique et structure du monoxyde d azote A.1.1. Donner la configuration électronique de l atome d azote et de l atome d oxygène dans leur état fondamental
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailRenouvellement à 50000MW étalé sur 20 ans (2020-2040) rythme de construction nucléaire: 2500MW/an
L uranium dans le monde 1 Demande et production d Uranium en Occident U naturel extrait / année 40.000 tonnes Consommation mondiale : 65.000 tonnes La différence est prise sur les stocks constitués dans
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailDe l utilisation des calculs ab initio appliqués à la théorie moléculaire du défaut quantique
De l utilisation des calculs ab initio appliqués à la théorie moléculaire du défaut quantique Inauguraldissertation zur Erlangung der Würde eines Doktors der Philosophie vorgelegt der Philosophisch-Naturwissenschaftlichen
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailVie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon
Vie et mort des étoiles Céline Reylé Observatoire de Besançon Qu est-ce qu une étoile? Sphère de gaz hydrogène (¾) hélium (¼) pèse sur le centre qui est alors chauffé E. Beaudoin Sphère de gaz hydrogène
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détail