10ème Anniversaire des principes fondamentaux de la statistique officielle
|
|
- Philippe Brunet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 juin 2003 original: Anglais 10ème Anniversaire des principes fondamentaux de la statistique officielle Examen d ensemble de la mise en oeuvre des principes fondamentaux de la statistiques officielle Lors de sa réunion de 2003, la Commission de statistique a demandé à la Division de statistique des Nations Unies (UNSD) de mener un examen d ensemble sur la mise en oeuvre des principes fondamentaux de la statistique officielle et de préparer un rapport qui sera discuté à la prochaine session de la Commission au mois de mars Cette réunion coïncide avec le 10ème anniversaire de l adoption des principes fondamentaux par la Commission. 1 Dans ce contexte, nous vous demanderons de bien vouloir remplir le questionnaire ci-joint 2 en tant qu évaluation de la manière dont sont appliqués les principes fondamentaux dans votre pays. Nous nous sommes efforcés de simplifier la plupart des questions, nous espérons donc que cet exercice ne vous prendra pas trop de temps. N hésitez pas à rajouter des exemples, des commentaires ou de la documentation pour étoffer vos réponses si vous le jugez utile. Pour votre information, sachez que ce questionnaire sera maintenu confidentiel et que nous n envisageons pas de faire figurer les réponses individuelles dans le rapport adressé à la Commission de statistique. Nous avons élaboré ce questionnaire électroniquement sous la version Word. Nous apprécierions si vous pouviez utiliser la version électronique et nous la renvoyer par e- mail à l attention de Mme Sabine Warschburger (Warschburger@un.org) avant le 30 juin Si vous préférez remplir le questionnaire à la main, veuillez avoir l amabilité de nous le faxer au numéro suivant : avant le 30 juin également. 1 La Commission de statistique des Nations Unies a adopté les principes fondamentaux de la statistique officielle lors d une session spéciale en avril Le texte des principes fondamentaux de la statistique officielle ainsi que des exemples de bonne utilisation figurent sur le site Internet de la Division à l adresse suivante : Le texte des principes est également rappelé dans le questionnaire ; les titres donnés à chacun des principes ont été développés et ajoutés postérieurement à l adoption des principes, ils n en font donc pas partie. 2 Nous adressons nos remerciements au groupe de travail «Etablissement des indicateurs statistiques» du groupe Paris 21 pour son travail réalisé, ainsi qu au «Cadre d évaluation de la qualité statistique» du Fonds monétaire international, ces travaux nous ayant inspiré pour la réalisation de ce questionnaire.
2 Questions générales : Pays : Nom de l institution : Adresse postale : Téléphone : Fax : Adresse URL/Internet : La personne à contacter pour ce questionnaire est : 0.1 Avez-vous déjà entendu parler des principes fondamentaux? Si oui, comment? Rapport de la Commission de Statistique 1994 Division de statistique des Nations Unies /Site Internet des Commissions régionales Autres. Veuillez préciser : 0.2 Les directeurs d autres entités produisant la statistiques officielle sont-ils au courant des principes fondamentaux de la statistique officielle? Je ne sais pas Veuillez préciser : 0.3 La personne /l entité au sein du gouvernement qui supervise les Bureaux nationaux de statistique est-elle au courant des principes fondamentaux? Veuillez préciser :
3 Principe n. 1 : Pertinence, impartialité et égalité d accès à l information statistique «La statistique officielle constitue un élément indispensable du système d information d une société démocratique, fournissant aux administrations publiques, au secteur économique et au public des données concernant la situation économique, démographique et sociale et la situation de l environnement. A cette fin, des organismes responsables de la statistique officielle doivent établir les statistiques officielles selon un critère d utilisation pratique et les rendre disponibles, en toute impartialité, en vue de rendre effectif le droit d accès des citoyens à l information publique.» 1.1 En règle générale, dans votre pays, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 1.2 Existe -t il un «conseil d utilisateurs» ou un autre organe consultatif? Si oui, veuillez donner des détails (sur son mandat, sa composition/le nombre et la nature de ses membres et sur la fréquence des réunions, etc.) : Si non, veuillez donner les principales raisons/ les principaux obstacles : 1.3 Existe -t il un suivi régulier et sérieux du niveau de satisfaction des usagers quant aux produits et services statistiques? Si oui, veuillez préciser de quelle manière ce suivi est recherché : Si non, veuillez donner les principales raisons/ les principaux obstacles : 1.4 Le Bureau national de statistique a -t il un plan de travail (multi) annuel? Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les raisons principales/ les principaux obstacles :
4 1.5 Politique de relations publiques et politique de diffusion des informations sont- elles recherchées de manière systématique? Si oui, veuillez préciser de quelle manière : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 1.6 Produisez-vous des catalogues de publication, de documents et d autres services? Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 1.7 Le Bureau national de statistique est-il indépendant de toute interférence politique en matière de préparation et d élaboration des plans de travail annuels et multiannuels? Si oui, de quelle manière ce principe est-il garanti? Si non, veuillez donner les raisons principales/ les principaux obstacles : 1.8 Est-il nécessaire pour le Bureau national de statistique d obtenir au préalable un accord politique avant de publier l information statistique?, dans certains cas, jamais Si oui, veuillez préciser : 1.9 Le Bureau national de statistique publie-t il à l avance un calendrier annonçant la future publication des différentes séries de statistiques?
5 Si oui, veuillez préciser la fréquence et la couverture : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 1.10 Les statistiques sont-elles mises à la disposition de tous les usagers en même temps?, toujours, dans certains cas, jamais Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez préciser par exemple, si un ministère reçoit les statistiques avant leur publication : 1.11 Dans le cas où certaines entités au sein du gouvernement ont accès aux statistiques avant leur publication, cela est-il porté à la connaissance du public?, toujours, dans certains cas, jamais N a pas lieu Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les principales raisons/les principaux obstacles : 1.12 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 1 dans votre pays :
6 Principe n. 2 : Standards professionnels et comportement professionnel «Pour que se maintienne la confiance dans l information statistique officielle, les organismes responsables de la statistique doivent déterminer, en fonction de considérations purement professionnelles, notamment de principes scientifiques et de règles déontologiques, les méthodes et les procédures de collecte, de traitement, de stockage et de présentation des données statistiques.» 2.1 Dans votre pays, en règle générale, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 2.2 Dans quelle mesure êtes-vous satisfait du nombre de personnes composant votre personnel ainsi que de ses compétences et de son expérience? Totalement satisfait (le nombre de personnes composant le personnel ainsi que ses compétences et son expérience sont suffisants) Satisfait (le nombre de personnes composant le personnel, ainsi que ses compétences et son expérience ne sont pas tout à fait suffisants) Pas satisfait (le nombre de personne composant le personnel, ainsi que ses compétences et son expérience ne sont pas suffisants) Veuillez préciser quels sont les principaux problèmes : 2.3 Le budget alloué au Bureau national de statistique pour la formation du personnel est il suffisant? 2.4 Le Bureau national de statistique est-il indépendant de toute interférence politique en matière de méthodologie et de conception des enquêtes? Si oui, de quelle manière ce principe est-il garanti? Si non, veuillez donner des exemples détaillés de telles interférences : 2.5 Avez-vous pour le personnel des directives relatives au comportement professionnel?
7 Si oui, veuillez détailler et préciser de quelle manière en informez-vous le personnel : Si non, veuillez donner les principales raisons/ les principaux obstacles : 2.6 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 2 dans votre pays :
8 Principe n. 3 : Responsabilité et transparence «Pour faciliter une interprétation correcte des données, les organismes responsables de la statistique doivent fournir, en fonction de normes scientifiques, des informations sur les sources, les méthodes et les procédures qu ils utilisent.» 3.1 En règle générale, dans votre pays, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 3.2 Donnez-vous des indications sur la qualité des données publiées, par exemple l exactitude de la source des données, les distorsions possibles des données, le niveau des réponses, des non-réponses et leur traitement, le traitement des données manquantes? Si oui, veuillez préciser: Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 3.3 Le Bureau national de statistique fournit-il généralement un texte analytique/explicatif qui comporte les statistiques publiées? Si oui, veuillez préciser : Si non, donner les raisons principales / principaux obstacles : 3.4 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 3 dans votre pays:
9 Principe n. 4 : Prévention des mauvais usages des statistiques «Les organismes responsables de la statistique ont le droit de faire des observations sur les interprétations erronées et les usages abusifs des statistiques.» 4.1 Dans votre pays, en règle générale, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 4.2 Le Bureau national de statistique a-t il le droit de faire des observations sur les interprétations erronées et les mauvais usages des statistiques? Si cela fut fait dans le passé, veuillez donner des exemples : 4.3 Le Bureau national de statistique organise-t il des activités de formation destinées aux usagers ainsi qu aux médias? Si oui, donner des exemples : Si non, donner les raisons principales / les principaux obstacles : 4.4 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 4 dans votre pays:
10 Principe n. 5 : Sources de la statistique officielle «Les données utilisées à des fins statistiques peuvent être tirées de toutes sortes de sources, qu il s agisse d enquêtes statistiques ou de fichiers administratifs. Les organismes responsables de la statistique doivent choisir leur source en tenant compte de la qualité des données qu elles peuvent fournir, de leur actualité, des coûts et de la charge qui pèse sur les répondants.» 5.1 En règle générale, dans votre pays, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 5.2 Le Bureau national de statistique a-t il accès aux données administratives? Si oui, donner des exemples : 5.3 Le Bureau national de statistique travaille-t il de manière systématique pour améliorer les délais de production des statistiques? Si oui, donner des exemples : Si non, donner les raisons principales / les principaux obstacles : 5.4 Le Bureau national de statistique travaille-t il de manière systématique pour réduire la charge qui pèse sur les répondants? Si oui, donner des exemples : Si non, donner les raisons principales/ les principaux obstacles :
11 5.5 Le Bureau national de statistique a-t il un programme de gestion de la qualité pour ses résultats statistiques? Si oui, veuillez préciser: Si non, donner les raisons principales / les principaux obstacles : 5.6 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 5 dans votre pays :
12 Principe n. 6 : Confidentialité «Les données individuelles collectées pour l établissement des statistiques par les organismes qui en ont la responsabilité, qu elles concernent des personnes physiques ou des personnes morales, doivent être strictement confidentielles et ne doivent être utilisées qu à des fins statistiques.» 6.1 Dans votre pays, en règle générale, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 6.2 Dans quelle mesure la protection des données individuelles est-elle développée? Très développée (aucune donnée individuelle n est jamais révélée) Développée (généralement les données individuelles ne sont pas révélées, mais il y a eu des exceptions) N est pas développée (les données individuelles sont fréquemment révélées ) Veuillez donner des exemples a) de mesures de protection mises en place et b) de situations où les données individuelles ont été révélées ou utilisées à des fins autres que statistiques : 6.3 Quelle est la pratique adoptée quant à l autorisation d accès aux micros- données issues des statistiques officielles, ceci à des fins statistiques ( chercheurs par exemples)? 6.4 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 6 dans votre pays :
13 Principe n. 7 : Législation «Les textes législatifs et réglementaires et toutes dispositions régissant le fonctionnement des systèmes statistiques doivent être portés à la connaissance du public.» 7.1 En règle générale, dans votre pays, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 7.2 Existe-t il une loi régissant les statistiques? Si oui, veuillez donner des exemples de ce que la loi couvre: Si non, sur quelle base législative (décret) le Bureau national de statistique fonctionne-t il? 7.3 Généralement, les répondants sont-ils tenus par la loi de répondre aux enquêtes statistiques émises par le Bureau national de statistique? Toujours Dans beaucoup de cas Quelquefois Jamais 7.4 Lors d une enquête statistique, les répondants sont-ils informés de la nature de l enquête ainsi que de leurs droits? Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les raisons principales/ les principaux obstacles : 7.5 Quelle est la personne/ l entité au sein du gouvernement qui supervise le Bureau national de statistique?
14 7.6 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 7 dans votre pays :
15 Principe n. 8 : Coordination nationale «A l intérieur de chaque pays, il est essentiel que les activités des différents organismes responsables de la statistique soient coordonnées pour assurer la cohérence et l efficacité du système statistique.» 8.1 En règle générale, dans votre pays, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 8.2 Il y a- t il dans votre pays des producteurs de statistique officielle autres que les bureaux nationaux de statistique? Si oui, veuillez donner des exemples : 8.3 Existe-t il des dispositions institutionnelles au niveau national pour coordonner la collecte de données destinées aux statistiques? Si oui, veuillez donner des exemples de telles dispositions : 8.3 Existe-t il des dispositions institutionnelles au niveau national pour établir les règles de la production de statistique (terminologie, définitions, classifications, classifications géographiques, méthodes, plans de sondage, etc.)? Si oui, veuillez donner des exemples de telles dispositions : 8.4 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 8 dans votre pays :
16 Principe n. 9 : Utilisation des standards internationaux «L utilisation par les bureaux statistiques dans chaque pays de concepts, classifications et méthodes internationaux encourage le consistance et l efficacité des systèmes statistiques à tous les niveaux officiels.» 9.1 Dans votre pays, en règle générale, ce principe est : Totalement appliqué En grande partie appliqué Assez appliqué N est pas appliqué 9.2 Appliquez-vous les standards internationaux aux comptes de la nation /à d autres domaines économiques?, tels quels, adaptés au contexte national, pas du tout Si oui, veuillez préciser: Si non, veuillez donner les principales raisons/ les principaux obstacles : 9.3 Appliquez-vous les standards internationaux aux statistiques relatives aux recensements de la population et à la démographie?, tels quels, adaptés au contexte national, pas du tout Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 9.4 Appliquez-vous les standards internationaux aux statistiques sociales?, tels quels, adaptés au contexte national, pas du tout Si oui, veuillez préciser : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles :
17 9.5 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 9 dans votre pays:
18 Principe n. 10 : Coopération internationale «La coopération bilatérale et multilatérale dans le domaine de la statistique contribue à l amélioration des systèmes d élaboration des statistiques officielles dans tous les pays.» 10.1 Le Bureau national de statistique a-t -il été engagé depuis les cinq dernières années dans des projets de coopération internationale? En tant que bénéficiaire? En tant que donateur? Si oui, il y a- t il une unité spéciale au sein du Bureau national de statistique responsable de l organisation des activités de coopération? Veuillez préciser/donner des exemples : Si non, veuillez donner les raisons principales / les principaux obstacles : 10.2 Dans votre pays, la coopération internationale en matière de statistique a-t elle contribuée à l amélioration du système de statistique officielle? Considérablement En quelque sorte Pas du tout Ne s applique pas 10.3 Autres commentaires d ordre général sur l application du principe n. 10 dans votre pays : Combien de temps avez-vous mis pour remplir ce questionnaire? Veuillez retourner ce questionnaire à Mme Sabine Warschburger : warschburger@un.org Fax : EN VOUS REMERCIANT POUR VOTRE COLLABORATION.
Diagnostic entreprise
PREDURA PREvention DURAble des Troubles Musculo-Squelettiques Programme de suivi des entreprises exposées au risque de TMS Diagnostic entreprise Modalités à lire avant de remplir ce questionnaire : Ce
Plus en détailINTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)
INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 29/01/99 Origine : AC Mmes et MM. les Directeurs Mmes et MM. les Agents Comptables. des Caisses
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention
Plus en détailCités et Gouvernements Locaux Unis - Commission de culture. Conseils sur la mise en œuvre locale de l'agenda 21 de la culture
Cités et Gouvernements Locaux Unis - Commission de culture Conseils sur la mise en œuvre locale de l'agenda 21 de la culture Conseils sur la mise en œuvre locale de l Agenda 21 de la culture Document approuvé
Plus en détailBanque européenne d investissement. Charte de l Audit interne
Charte de l Audit interne Juin 2013 Juin 2013 page 1 / 6 Juin 2013 page 2 / 6 1. Politique L Audit interne est une fonction essentielle dans la gestion de la Banque. Il aide la Banque en produisant des
Plus en détailLignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile
Financial Services Commission of Ontario Commission des services financiers de l Ontario Lignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile
Plus en détailCHARTE ETHIQUE ACHATS
Page : 1/5 CHARTE ETHIQUE ACHATS LES ENJEUX Les conflits d intérêts sont aujourd hui un thème essentiel du débat de société. Il convient de garantir l intégrité des achats et la saine concurrence entre
Plus en détailAVENANT CONVENTION DE COMPTE
AVENANT CONVENTION DE COMPTE Le présent avenant a notamment pour objet d élargir le périmètre actuel de votre offre Services en Ligne, figurant dans votre Convention de compte ou souscrite par acte séparé,
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailCONTRAT DE DOMICILIATION POSTALE AVEC UN PARTICULIER
CONTRAT DE DOMICILIATION POSTALE AVEC UN PARTICULIER ENTRE LES SOUSSIGNES : NEUILLYDOM SARL au Capital de 5.000 Euros, dont le siège social est 14, rue Beffroy - 92200 Neuilly-sur- Seine, immatriculée
Plus en détailDossier de candidature Opérateurs en Diagnostic Immobilier
Page 1 sur 8 Dossier de candidature Opérateurs en Diagnostic Immobilier à retourner à CESI Certification 30 Rue Cambronne 75015 Paris Nom :.. Prénom :.... Domaines de certification demandés : Certificats
Plus en détailQUESTIONNAIRE D'ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE (Renseignements servant de base à l'établi ssement d'un éventuel contrat en euros)
QUESTIONNAIRE D'ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE (Renseignements servant de base à l'établi ssement d'un éventuel contrat en euros) Attention : conformément aux dispositions de l article
Plus en détailCe questionnaire est une attaque caractérisée contre l existence et le bien-fondé de votre syndicat.
Page 1 sur 6 Ce questionnaire est une attaque caractérisée contre l existence et le bien-fondé de votre syndicat. Le comité SEV-TPG vous propose de vous inspirer de nos commentaires et remarques. Il s
Plus en détailSondage de référence 2005 sur la satisfaction des clients du CRSH
Rapport Final Conseil de recherches en sciences humaines du Canada 1 Réseau C i r c u m I n c. Conseil en gestion et en recherche 74, rue du Val-Perché Gatineau (Québec) J8Z 2A6 (819)770-2423, (819)770-5196
Plus en détailLibre choix du réparateur en assurance automobile
Mise à jour du 05/01/2015 Libre choix du réparateur en assurance automobile Que dit la Loi? La Loi impose aux Assureurs de mentionner la faculté pour l assuré, en cas de dommage garanti par le contrat,
Plus en détailFLEGT Note d Information
Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application
Plus en détailDématérialisation des factures
Dématérialisation des factures Dématérialisation des factures Page : 2 / 6 1 INTRODUCTION 1.1 Objet du document Le présent document expose les modalités de dématérialisation des factures clients de la
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailL ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK
L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface
Plus en détailTable des matières: Guidelines Fonds de Pensions
Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE
Plus en détailMise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable
2012 Référentiel normatif des professionnels de l expertise comptable Mise à jour juin 2013 Avant-propos Avant-propos LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR Le
Plus en détailVeuillez dûment compléter les documents suivants en majuscules et signer conformément à la signature de votre(vos) carte(s) d identité :
Dossier d ouverture de compte pour les Autres professionnels 1 Sont considérées comme "Autres professionnels" : les personnes morales de droit public belge et les indépendants. Veuillez dûment compléter
Plus en détailLes présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue
Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue anglaise régira à tous égards vos droits et obligations. L
Plus en détailJe suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.
Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE SUR LE SITE INTERNET www.ctbr67.fr. Applicables au 25 février 2013.
CONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE SUR LE SITE INTERNET www.ctbr67.fr Applicables au 25 février 2013. PREAMBULE Le Client s engage à lire attentivement les présentes Conditions Générales de Vente en
Plus en détailQuestionnaire de souscription Responsabilité Civile Professionnelle A2D ASSURANCES Beauté - Esthétique
Vous:Le souscripteur/l'assuré: Questionnaire de souscription Responsabilité Civile Professionnelle A2D ASSURANCES Beauté - Esthétique Personne physique Nom : Prénom : Statut : Libéral Salarié Personne
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailIntroduction. Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP 27/06/2012. Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel
Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Sommaire Conférence animée par Fabrice Pesin, secrétaire général adjoint de l ACP 1. La veille
Plus en détailTREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE
TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme
Plus en détailAlerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»
Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailAssurance collective sans compromis
Assurance collective sans compromis Notre engagement envers vous Afin de trouver le produit d assurance le mieux adapté à vos besoins, les conseillers salariés devigilis* ont accès aux produits des sociétés
Plus en détailComment remplir le dossier de demande subvention?
Comment remplir le dossier de demande subvention? Ville de Suresnes année 2015 Le dossier de demande de subvention est à déposer en 3 exemplaires avant le 5 décembre 2014 Au service Vie Associative 6 rue
Plus en détailCliquez sur une image pour l'agrandir
Cliquez sur une image pour l'agrandir LA VIDEO SURVEILLANCE À LA PORTÉE DE TOUS LES BUDGETS ET EN RÉPONSE À TOUTES LES EXIGENCES La vidéo-surveillance à la portée de tous les budgets et en réponse à toute
Plus en détailLettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017
UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours
Plus en détailéq studio srl Gestion des informations pour un choix- consommation raisonnée - GUIDE EXPLICATIVE
Résumé PREFACE 2 INTRODUCTION 2 1. BUT ET CHAMP D APPLICATION 2 2. REFERENCES DOCUMENTAIRES ET NORMES 3 3. TERMES ET DEFINITIONS 3 4. POLITIQUE POUR UNE CONSOMMATION RAISONNEE (PCC) 3 5. RESPONSABILITE
Plus en détailUSAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS
USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailTRANSPORT A LA DEMANDE POUR LES PERSONNES A MOBILITE REDUITE ET LES PERSONNES AGEES DOSSIER D ADMISSION
-RESERVE AU SERVICE Nom :... Prénom :... N carte :... Admission jusqu au :... TRANSPORT A LA DEMANDE POUR LES PERSONNES A MOBILITE REDUITE ET LES PERSONNES AGEES DOSSIER D ADMISSION Demandeur Mme Mlle
Plus en détailBRZ GED : Il n'y a pas que sur vos chantiers que nous vous ferons gagner en productivité!
BRZ GED : Il n'y a pas que sur vos chantiers que nous vous ferons gagner en productivité! Introduction Les avantages d une GED : 1. Sécurise les données de votre entreprise : La GED devient la mémoire
Plus en détailLa pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle
La pratique de l ITSM Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle Création : avril 2012 Mise à jour : avril 2012 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat
Plus en détailRèglement intérieur du Conseil de surveillance
Règlement intérieur du Conseil de surveillance 1. Préambule...3 2. Rôle du Conseil de surveillance...4 2.1. Mission générale de contrôle permanent... 4 2.2. Rôle de vérification du bon exercice du pouvoir
Plus en détailConditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine»
Conditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine» Les présentes Conditions Générales d Utilisation régissent l ensemble des différentes utilisations de l APPLICATION tablettes
Plus en détailAIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges
Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE
Plus en détailIdentification du module
Identification du module Numéro de module 475 Titre Développer une analyse pour une application Compétence Développer à partir des exigences fonctionnelles et non fonctionnelles pour une application, les
Plus en détailCERTIFICATION CERTIPHYTO
CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation
Plus en détailDernière date de mise à jour : 31 mai 2015 ARTICLE 1 : DEFINITIONS CONDITIONS GENERALES DE VENTE
Dernière date de mise à jour : 31 mai 2015 CONDITIONS GENERALES DE VENTE PREAMBULE : ARTICLE 1 : DEFINITIONS "Abonnement" désigne le Contrat conclu entre l Utilisateur et SchoolMouv en vue de permette
Plus en détailDiscours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher étudiants
CP du 18 février 2013 Etaient présents: voir feuille de présence ci jointe Discours introductif du directeur du département. Mesdames Messieurs les professeurs, Mesdames Messieurs, Cher collègues, cher
Plus en détailCurrent challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future
Current challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future Session 3.1 Sampling method Expérience de l Autorité d audit dans le programme
Plus en détailUniversité de Lausanne
Université de Lausanne Organisation et classement des documents électroniques Page 2 Ce qui se conçoit bien s énonce clairement Nicolas Boileau Page 3 Table des matières Qu est- ce que le «records management»?...
Plus en détailConsultation publique du 12/07/10 au 12/09/10 : l ouverture des.fr à l Europe
L AFNIC dispose de deux ans pour ouvrir le.fr aux personnes physiques dont l adresse est située hors de France, dans l Union européenne ainsi qu à l ensemble des personnes morales établies dans l Union
Plus en détailOPERATION SOLIDARITE INOVALLEE 2013
APPEL A CANDIDATURE OPERATION SOLIDARITE INOVALLEE 2013 Inovallée est la structure pilote du parc technologique situé sur les communes de Meylan et Montbonnot regroupant plus de 340 entreprises et 10 000
Plus en détailSEVRES ESPACE LOISIRS
SEVRES ESPACE LOISIRS MARCHE PUBLIC DE SERVICES Nettoyage et entretien du SEL Marché n SEL13-01 CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES (CCP) Mode de consultation : procédure adaptée Le présent document vaut
Plus en détailCharte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG
Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...
Plus en détailAdministration en Ligne e-démarches. Console du gestionnaire. Guide utilisateur. Aout 2014, version 2.1
Administration en Ligne e-démarches Console du gestionnaire Guide utilisateur Aout 2014, version 2.1 Table des matières 1. INTRODUCTION... 3 2. LES MENUS... 4 2.1. Mon organisation / Informations... 5
Plus en détailOffre MMJ - Ouverture
M U T U E L L E D U M I N I S T E R E D E L A J U S T I C E Bulletin d adhésion Offre MMJ - Ouverture MES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS Merci de renseigner les informations demandées EN LETTRES CAPITALES N
Plus en détailTraduction de la lettre d introduction. 23 janvier 2015. Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez,
Traduction de la lettre d introduction 23 janvier 2015 Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez, Au nom de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU ),
Plus en détailL élaboration de la fiche de poste
L élaboration de la fiche de poste 1 Guide pratique pour l élaboration de la fiche de poste Christine SCHMELTZ-OSCABY 40 Allée Ikinoak - 64210 Guethary tél.: 06 07 51 95 97 E-mail :chrischmeltz@yahoo.fr
Plus en détail- Pendant les mois de janvier et février 2013.
8ème Challenge Business Plan Master Entrepreneuriat Dauphine C ESTQUOI? Le Master Entrepreneuriat et Projets Innovants de l Université ParisDauphine lance son 8ème Challenge Business Plan, en association
Plus en détailDéclaration des droits sur Internet
Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailGestion électronique des procurations
Gestion électronique des procurations Table des matières Généralités... 2 1. Approuver des procurations... 4 1.1 Section «Procurations à approuver»... 4 1.2 Section «Signaux»... 6 1.3 Messages particuliers...
Plus en détail(Adopté le 29 février 2012) CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD
(Adopté le 29 février 2012) CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD Table des matières Introduction Normes générales de conduite Devoirs
Plus en détailVersion consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations
Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DES BOITES POSTALES 1. DEFINITIONS
CONDITIONS GENERALES DES BOITES POSTALES 1. DEFINITIONS bpost : bpost, Société Anonyme de Droit Public, ayant son siège social à 1000 Bruxelles, Centre Monnaie, enregistrée sous le n d entreprise TVA BE
Plus en détailL observatoire de la dématérialisation
L observatoire de la dématérialisation Les Français, les Anglais et les Espagnols face à la numérisation des supports Vague 2 Etude en souscription Mai 2011 Contexte OpinionWay a lancé en 2010 le premier
Plus en détailDécision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes
DECISION 2009-02 Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes Relative aux contrôles périodiques auxquels sont soumis les commissaires aux comptes Principes directeurs du système des contrôles
Plus en détail28/06/2013, : MPKIG034,
1. OBJET DES CGU Les présentes CGU ont pour objet de préciser le contenu et les modalités d utilisation des Certificats de signature cachet délivrés par l AC «ALMERYS CUSTOMER SERVICES CA NB» d Almerys
Plus en détailla séparation totale des activités des postes et télécommunications;
LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,
Plus en détailVu la Loi n 1.165 du 23 décembre 1993 relative à la protection des informations nominatives, modifiée ;
DELIBERATION N 2015-04 DU 28 JANVIER 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AUTORISATION A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR
Plus en détailDemande de devis RC PRO FINANCE ET PATRIMOINE
Demande de devis RC PRO FINANCE ET PATRIMOINE Responsabilité Civile Professionnelle des Conseillers en Gestion de Patrimoine (CGP), Conseil en Investissement Financier (CIF), Démarcheurs Bancaires et Financiers
Plus en détailVeuillez transmettre à Hertz Eastern Region Credit Dept. (416) 679-4153 FICHE D INFORMATION CLIENT NOM DE L ENTREPRISE
POUR USAGE INTERNE SEULEMENT Branch No. Salesman No. Customer No. Veuillez transmettre à Hertz Eastern Region Credit Dept. (416) 679-4153 FICHE D INFORMATION CLIENT NOM DE L ADRESSE VILLE ADRESSE DE FACTURATION
Plus en détailDEMANDE DE SUBVENTION EN FAVEUR DU PASTORALISME (DISPOSITIF N 323 C DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL) Cadre réservé à l administration
N 13672*01 DEMANDE DE SUBVENTION EN FAVEUR DU PASTORALISME (DISPOSITIF N 323 C DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL) Cadre réservé à l administration N de dossier OSIRIS : Date de réception :
Plus en détailChez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG
Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de
Plus en détailRépublique Démocratique du Congo
TERMES DE REFERENCE Pour une étude finale du projet Intégration des messages sur la santé dans les émissions radiophoniques et télévisées avec C-Change, FHI360 Search for Common Ground (Centre Lokole),
Plus en détailMARCHE N 2014.05 MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE RELATIF AU NETTOYAGE DU GYMNASE D AMBLAINVILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP
CCP PIECE 2/2 MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES MARCHE N 2014.05 MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE RELATIF AU NETTOYAGE DU GYMNASE D AMBLAINVILLE Mairie d AMBLAINVILLE Place du 11 Novembre
Plus en détailPar Me Eric Théroux. Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec
Par Me Eric Théroux Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec L Entente France-Québec sur la reconnaissance mutuelle des
Plus en détailLa téléassistance en questions
8 La téléassistance en questions Il y a une coupure de courant, qu est-ce que je fais? Vous ne faites rien. Une batterie de secours de plusieurs heures est incluse dans le transmetteur. Vous pouvez éventuellement
Plus en détailAnnexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration
Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de
Plus en détailBulletin d inscription
Bulletin d inscription Information importante : Payez moins cher en adhérent à l www.associationtreeoflife.org Identité : Ecrivez lisiblement vos noms et prénoms de la même manière et dans le même ordre
Plus en détailL externalisation des activités bancaires en France et en Europe
ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme
Plus en détailCompétences essentielles numériques dans les petites entreprises rurales QUESTIONNAIRE DU SONDAGE PRÉ- FORMATION DES EMPLOYEURS
1 Nom de l organisation INTRODUCTION Merci de prendre le temps de participer à ce sondage. Les résultats nous fourniront des données essentielles afin de mesurer l efficacité de la formation. Ces données
Plus en détailEXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION
EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)
Plus en détailCommunication et suivi des problèmes via le Helpdesk NKCN
- Concerne: Projet: Au profit de: Par: Communication et suivi des problèmes via le Helpdesk NKCN C.I.A.-server: Central Identification & Authentication Server FCA Chambre Nationale des Huissiers de Justice
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailLes modalités d application des garanties et le détail des services d assistance sont décrits dans la Notice d information.
INFORMATIONS PRÉALABLES RELATIVES A L ENTREPRISE Raison Sociale de l entreprise Adresse Code postal Ville VOUS (L ADHÉRENT) M. Mme Nom d usage Prénom Nom de naissance Date de naissance Adresse Code postal
Plus en détailLA COUR DES COMPTES a rendu l arrêt suivant :
COUR DES COMPTES ------ DEUXIÈME CHAMBRE ------ PREMIÈRE SECTION ------ Arrêt n 65315 COMPTE DE COMMERCE N 901 «Approvisionnement des armées en produits pétroliers» Exercices 2007 et 2009 Rapport n 2012-510-0
Plus en détailCent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006
Août 2006 F COMITÉ FINANCIER Cent quinzième session Rome, 25-29 septembre 2006 Recommandations et décisions de la Commission de la fonction publique internationale et du Comité mixte de la Caisse commune
Plus en détailStatus de la banque des états de l Afrique Centrale
Status de la banque des états de l Afrique Centrale T I T R E I CONSTITUTION - STATUT JURIDIQUE Article premier La Banque des Etats de l Afrique Centrale (ci-après désignée la Banque) est un établissement
Plus en détailPROCEDURE DE CREATION D UN COMPTE MAIL
République Tunisienne Ministère de l Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche PROCEDURE DE CREATION D UN COMPTE MAIL PRD04 Version : 01 Date : 20/06/2014 Diffusion publique Rédacteur : Equipe
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailPrincipales dispositions du projet de règlement
Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur
Plus en détailPOUR CONFIRMER LA SOUSCRIPTION DE VOTRE CONTRAT, TRES VITE! AUTO
Contact : www.direct-assurance.fr Tél. : 09 70 80 80 02 (Appel local selon opérateurs) Proposition de contrat auto n 5 629 624 566 Référence courrier : L20/30J Identifiant client : 1 654 178 466 MADAME
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailINSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT
INSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT MISE À JOUR OCTOBRE 2009 Christian Gavalda Jean Stoufflet Agrégé des facultés de droit Professeur émérite de l Université de Clermont-Ferrand I Doyen honoraire de
Plus en détailCHARTE ETHIQUE DE WENDEL
CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se
Plus en détail