Parcours de psychologie clinique. Parcours de conseillère d orientation psychologue. Missions des COP / Psy EN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Parcours de psychologie clinique. Parcours de conseillère d orientation psychologue. Missions des COP / Psy EN"

Transcription

1

2 Parcours de psychologie clinique Parcours de conseillère d orientation psychologue Missions des COP / Psy EN

3 Introduction 1. Changements physiques et implications psychologiques 2. Développement cognitif à l adolescence 3. Développement psychoaffectif 4. Repérer les difficultés liées à l adolescence 5. Trouver sa place auprès de l élève Ressources bibliographiques Etudes de cas / situations vécues

4 L enfant ou l adolescent n est pas qu un élève : c est un «sujet global» qu il faut savoir appréhender dans sa totalité. C est un être : physique moral intellectuel social émotionnel

5

6 Notions clés : Puberté Adolescence Crise d identité Tâches développementales Développement psychosexuel

7 «Puberté» fait référence aux modifications physiques et physiologiques. «Adolescence» fait référence aux modifications émotionnelles, psychologiques, affectives et relationnelles. Crise / perte d un équilibre. Tâches développementales : intellectuelles, corporelles, sexuelles, sociales, émotionnelles.

8 Développement psychosexuel Adolescence = «trop plein pulsionnel» Crise narcissique = crise d identité Angoisse, sentiment d étrangeté Modification de l image de soi Altération de l estime de soi

9

10 Notions clés : Théorie de PIAGET Intelligence = Adaptation Stade opératoire formel Interactions sociales

11 Travaux de Jean PIAGET en psychologie du développement. Schème = schéma mental qui sous-tend une action. Assimilation = intégration d un élément nouveau dans les structures mentales déjà existantes. Accommodation = modification de certains schèmes pour les adapter à de nouvelles situations-problèmes.

12 L adaptation (ou équilibration) = dynamique entre assimilation et accommodation (entre apprendre et s adapter). Pour Piaget, le développement de l intelligence = processus d équilibration / processus d adaptation.

13

14 Stade sensori moteur : 0 à 2 ans Stade pré opératoire : 2 à 7-8 ans Stade opératoire concret : 7-8 à ans Stade opératoire formel : à ans

15 Vidéo

16 E4wvZdk

17 Stade opératoire formel : Capacité à raisonner sur du matériel abstrait (des propositions verbales, des formules d algèbre, des notions abstraites..) Raisonnement hypothético-déductif. Conscience réflexive. Ne pas négliger l importance des interactions sociales dans le développement de l intelligence (Bruner).

18

19

20 Notions clés : Construction identitaire Processus de séparationindividuation Identification aux pairs Période centripète

21 S individualiser et construire sa propre identité : se détacher des modèles parentaux. Conquête d autonomie Investissement de nouvelles relations (amitiés, amours ) Sentiment d appartenance à un groupe Adolescence = période centripète, où l affectivité domine largement le développement intellectuel.

22 Intéressant et complet, même si un peu daté!! (2002)

23

24 Notions clés : Norme qualitative et quantitative Troubles de l humeur Troubles du comportement Passages à l acte Tentative de suicide

25 «anormalité» = déviance par rapport à une norme établie. s exprime en termes de quantité, pas de qualité. troubles déjà existants + période de l adolescence = «double peine». savoir repérer les signes de difficulté psychologique.

26 Troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie ) Conduite à risque, scarifications, tentative de suicide Passages à l acte divers (agressivité envers autrui, vol, délinquance ) Recours à des addictions diverses (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, sport, travail )

27 Troubles de l humeur : «L adolescence est une maladie qui guérit avec le temps, et à cette période on se déprime» (Winnicott) Des facteurs surajoutés (comme un trouble des apprentissages, un handicap reconnu) peuvent créer un état de souffrance plus intense. Les troubles de l humeur sont souvent déniés par les enfants/ados et remplacés par une plainte de malaise indéfini (voir les 2 diapos suivantes).

28 Symptômes à repérer : Fluctuations rapides de l humeur Irritabilité Hypersensibilité affective Sentiment permanent d insatisfaction Ralentissement idéo moteur : masqué par une agitation / agressivité Chute des performances scolaires Refus anxieux de l école

29 Symptômes à repérer (suite) : Isolement relationnel et social Comportements antisociaux, fugues, troubles des conduites (prises de risques, addictions ) Sexualité : inhibition ou hypersexualité Idées noires / idées suicidaires Tentative de suicide Facteurs prédictifs d une TS : intensité des manifestations dépressives : idées suicidaires, isolement, anxiété, impulsivité contexte familial actuel antécédents personnels & familiaux

30

31 Notions clés : Développer l autonomie Posture d accompagnement Dialogue Concertation Confiance Bienveillance Cadre & limites Adaptation

32 se positionner face à une problématique se positionner auprès de l élève se positionner dans la relation sociale avec l élève se positionner par rapport aux autres professionnels intervenant auprès de l élève réagir en situation de crise ou de difficulté

33 La place & les formes de l accompagnement varient en fonction de : la situation de handicap de l élève l âge de l élève son niveau scolaire son temps de scolarisation hebdomadaire (si l élève n est pas scolarisé à plein temps) son environnement personnel (famille, équipe de soins, etc ) les spécificités de l établissement scolaire

34 «Aide à la vie quotidienne dans l'établissement, l'auxiliaire de vie scolaire intervient pour permettre à l'élève en situation de handicap d'accomplir des gestes qu'il ne peut faire seul, travaille en collaboration avec l'enseignant, facilite le contact entre l'élève et ses camarades de classe, tout en veillant à l'encourager dans ses progrès en autonomie.» Source : ONISEP

35 Préparation de l espace de travail. Viser l autonomie de l élève. La forme et le contenu de l'aide doivent s'adapter aux besoins variables et évolutifs de chaque élève. Rester dans la zone proximale de développement (Vygotski) = écart entre ce que l enfant peut faire / apprendre tout seul et ce qu il peut apprendre uniquement avec l aide d une personne plus experte.

36

37 rapport de confiance à instaurer. éviter le «copinage», l excès affectif favoriser la relation de l élève avec ses pairs. éviter la surprotection. aider les autres élèves à comprendre la situation de handicap de l élève accompagné.

38 Repérer et prévenir les situations d isolement ou de conflit : aider l élève à gérer ses émotions et éventuellement son agressivité, anticiper les moments de crise. Aider l élève à s apaiser (s isoler un court moment dans un coin prévu dans la classe, ou un lieu prévu au moment de l ESS).

39 inciter l élève à prendre la parole et à communiquer avec ses pairs ou les adultes (mots, images, pictogrammes, communication alternative...). inciter l élève à réaliser des activités avec d autres élèves.

40 assurer une présence active et discrète en anticipant les difficultés relationnelles ou comportementales. aider l élève à se positionner au sein du groupe. valoriser les activités effectuées en autonomie ou en coopération avec d autres élèves. sensibiliser les pairs et les adultes aux situations de handicap.

41 prendre en compte (voire rectifier) les représentations parfois erronées des professeurs, des parents, des élèves se situer par rapport au PPS de l élève et dans le cadre défini par la CDAPH : suivre les conseils de la MDPH lorsqu'il y en a sur les notifications d'attribution d'avs. rencontres, réunions, dialogues permettent de clarifier le rôle et les attentes de chacun, et de définir clairement le protocole d accompagnement.

42 «Les AVS n'ont pas vocation à se substituer aux professionnels de l'enseignement ou du soin.» (Source ONISEP) Ne pas craindre de proposer à l'enseignant des dispositifs innovants (rappels mnésiques...) Ne jamais critiquer les demandes ou décisions de l'enseignant devant l'élève. L AVS n est ni éducateur-trice spécialisé(e), ni assistant(e) social(e), ni psychologue, ni infirmier(e) il s agit simplement de repérer les choses pour savoir passer le relais au professionnel adéquat.

43 Identifier au préalable les personnes à contacter en cas de problème. Situation de danger pour l élève = obligation d alerter l enseignant, le directeur d école / chef d établissement. Désaccord / conflit avec une autre personne jouant un rôle dans le parcours scolaire de l élève = s adresser au directeur / chef d établissement ainsi qu à l enseignant référent. Toujours veiller prioritairement à la sécurité de l élève accompagné. Ne pas alerter les parents directement (devoir de réserve).

44

45 Bibliographie : BERGERET, Jean. Psychologie pathologique, théorique et clinique. Paris : Masson, TOURRETTE Catherine, GUIDETTI Michèle. Introduction à la psychologie du développement. Du bébé à l adolescent. Paris : Armand Colin, Sitographie :

46

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves :

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé

Plus en détail

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves :

quel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL, DE SUIVI ET D INFORMATION DES AUXILAIRES DE VIE SCOLAIRE

LIVRET D ACCUEIL, DE SUIVI ET D INFORMATION DES AUXILAIRES DE VIE SCOLAIRE Direction des Services Départementaux de l Education nationale d Ille-et-Vilaine 1, Quai Dujardin - CS 50605 35706 RENNES CEDEX 7 Service ASH départemental Pôle Aides humaines LIVRET D ACCUEIL, DE SUIVI

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

Surfer Prudent - Tchats. Un pseudo peut cacher n importe qui

Surfer Prudent - Tchats. Un pseudo peut cacher n importe qui Tchat Un tchat est un outil de communication sur Internet qui permet de parler en temps réel avec un ou plusieurs internautes. Un tchat est aussi appelé messagerie instantanée. Un pseudo peut cacher n

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Quand le corps devient objet de l autre

Quand le corps devient objet de l autre Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?

ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles

Plus en détail

Autisme Questions/Réponses

Autisme Questions/Réponses Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions

Plus en détail

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique

Plus en détail

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

Organisation des enseignements au semestre 7

Organisation des enseignements au semestre 7 Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances

Plus en détail

N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 13 juillet 2010. PROPOSITION DE LOI visant à mieux garantir le droit

Plus en détail

Une passerelle pour votre avenir

Une passerelle pour votre avenir Une passerelle pour votre avenir Livret d accueil Jeunes de 14 à 20 ans Plusieurs structures pour des parcours individualisés Des équipes pluridisciplinaires pour un service de qualité Enfance et Adolescence

Plus en détail

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

PRESENTATION DE LA MDPH

PRESENTATION DE LA MDPH PRESENTATION DE LA MDPH 1) LA LOI HANDICAP DU 11/02/2005 La loi handicap de 2005 (la précédente remonte à 1975) a révolutionné tant les institutions dans leur fonctionnement, que l accueil des élèves dans

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur

coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des

Plus en détail

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

ACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP

ACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP ASSOCIATION DES CENTRES DE LOISIRS 11 avenue Jean Perrot - 38100 GRENOBLE Tél. : 04 76 87 76 41 - Fax : 04 76 47 52 92 E-mail : secretariat@acl-grenoble.org Site Internet : http://www.acl-grenoble.org

Plus en détail

Différents facteurs impliqués dans l addiction

Différents facteurs impliqués dans l addiction Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce 3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles

Plus en détail

Le retour au travail après une absence prolongée en

Le retour au travail après une absence prolongée en Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les

Plus en détail

LE HARCELEMENT A L ECOLE

LE HARCELEMENT A L ECOLE 1 05/05/2014 LE HARCELEMENT A L ECOLE l'essentiel : Selon une statistique nationale, un élève sur 10 est victime de harcèlement à l'école. Pour la moitié ce sont des cas de harcèlement sévère. Le harcèlement

Plus en détail

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels European School Brussels II Avenue Oscar Jespers 75 1200 Brussels Toute forme de harcèlement, qu il soit verbal, physique ou psychologique, est absolument inacceptable dans notre école. Ce document de

Plus en détail

LES MECANISMES DE DEFENSE

LES MECANISMES DE DEFENSE LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre

DOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre keskidi Keskili? 25 route du Sacré Cœur 97420 Le Port 06.92.95.34.24 keskidikeskili@gmail.com Keskidi Keskili? : Orthophonie et Prévention à La Réunion DOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre NOVEMBRE 2013

Plus en détail

A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015

A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015 A la découverte du Service jeunesse Edition 2014-2015 Dédié aux 11-25 ans «Depuis le 7 juillet 2014, le Service jeunesse (consacré aux pré-adolescents, adolescents et jeunes adultes de 11 à 25 ans) est

Plus en détail

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que

Plus en détail

Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves. Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées

Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves. Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées Une école bienveillante face aux situations de mal-être des élèves Guide à l attention des équipes éducatives des collèges et des lycées Ce guide constitue l une des mesures annoncées lors du Comité interministériel

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE

Plus en détail

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009

Plus en détail

Les enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres

Les enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres LJ Corporate. Crédits photo : Fotolia - J.B. Mariou - D.R. Nos associations militent pour un accompagnement éducatif et comportemental précoce des personnes autistes, afin de les aider à progresser et

Plus en détail

Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité

Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations

Plus en détail

Le développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget

Le développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant

Plus en détail

Service Enfance et Scolaire 9-10-09 Réf : MB/JH. Edito de Monsieur le Maire

Service Enfance et Scolaire 9-10-09 Réf : MB/JH. Edito de Monsieur le Maire Service Enfance et Scolaire 9-10-09 Réf : MB/JH CHARTE SUR LE TEMPS DE LA RESTAURATION SCOLAIRE Edito de Monsieur le Maire Depuis les années 1980, à l issue d une convention liant la commune avec l Etat

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

FORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM

FORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Traumatisme crânien léger (TCL) et scolarité

Traumatisme crânien léger (TCL) et scolarité Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,

Plus en détail

Règlement intérieur de l établissement année 15-16

Règlement intérieur de l établissement année 15-16 Ecole Sainte Anne Saint Joachim 3 rue de Ker Anna 56400 Sainte Anne d'auray Règlement intérieur de l établissement année 15-16 Admission et inscription à l école Maternelle Tout enfant est admissible à

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Ergonomie et Prévention des risques professionnels

Ergonomie et Prévention des risques professionnels Ergonomie et Prévention des risques professionnels Catalogue des formations AVISErgonomique Laurent AVISSE Laurent AVISSE Ergonome Consultant 29, Rue de Montbazon 37 300 JOUE-LES-TOURS Tél : 06 09 44 30

Plus en détail

Comportements addictifs

Comportements addictifs Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit

Plus en détail

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58

REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Les jeunes et les médias interactifs, les jeux et les réseaux sociaux

Les jeunes et les médias interactifs, les jeux et les réseaux sociaux Les jeunes et les médias interactifs, les jeux et les réseaux sociaux Internet Jeux en ligne Textos Courriel Messagerie vocale Facebook Twitter Autrefois, les parents s inquiétaient du temps que leurs

Plus en détail

Formations INTRA 2015

Formations INTRA 2015 «Unir les associations pour développer les solidarités» Formations INTRA 2015 Place de l Europe 14 200 HÉROUVILLE SAINT CLAIR Tél : 02 31 35 46 50 Fax : 02 31 47 98 90 Email : accueil@uriopss-basse-normandie.asso.fr

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise?

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise? Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui

Plus en détail

A. Qui êtes-vous? 119 questionnaires recueillis. 2.Votre statut. Vous avez été recruté sur un poste 0.8% 4.2% 1.Quelle est votre activité principale?

A. Qui êtes-vous? 119 questionnaires recueillis. 2.Votre statut. Vous avez été recruté sur un poste 0.8% 4.2% 1.Quelle est votre activité principale? 1 119 questionnaires recueillis A. Qui êtes-vous? 1.Quelle est votre activité principale? AVSi 96 80.7% AVSco 9 7.6% les deux à quotité horaire égale 14 11.8% Total 119 2.Votre statut. Vous avez été recruté

Plus en détail

Des questions..des réponses

Des questions..des réponses 1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact

Plus en détail

Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail

Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la

Plus en détail

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION

Plus en détail

Bibliothèque des Compétences clés

Bibliothèque des Compétences clés Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques

Plus en détail

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)

OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence) OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille

Plus en détail

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation

Plus en détail

RÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015

RÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Dispositif différent et. Présentation du dispositif et de l expérimentation dans le 64

Dispositif différent et. Présentation du dispositif et de l expérimentation dans le 64 Dispositif différent et compétent Présentation du dispositif et de l expérimentation dans le 64 Décret du 20 mai 2009 Les modalités s d organisation d sont du ressort de l ESAT Le choix de certification

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,

Plus en détail