La problématique des néonicotinoïdes en grandes cultures. Geneviève Labrie, Ph.D., chercheure en entomologie, CÉROM

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La problématique des néonicotinoïdes en grandes cultures. Geneviève Labrie, Ph.D., chercheure en entomologie, CÉROM"

Transcription

1 La problématique des néonicotinoïdes en grandes cultures Geneviève Labrie, Ph.D., chercheure en entomologie, CÉROM Trois-Rivières, 18 décembre 2014

2 Plan de la présentation Les traitements de semences néonicotinoïdes Les ravageurs ciblés par les néonicotinoïdes en grandes cultures Résultats d un projet de recherche en grandes cultures Impacts environnementaux des néonicotinoïdes Mesures de protection et d atténuation des risques Conclusion

3 Les néonicotinoïdes

4 Les traitements de semence néonicotinoïdes Développés dans les années 1980 et début d utilisation dans les années 1990 (Kollmeyer et al. 1999; Hopwood et al. 2012) Certains produits homologués sur une base temporaire depuis 2004 au Canada (ARLA 2012) Protection efficace contre les insectes ravageurs de sol et les défoliateurs en début de saison Permettent de diminuer l application d insecticides foliaires (et en poudre au semis) et la quantité de matière active (Taylor et al. 2001; Albajes et al. 2003)

5 Les néonicotinoïdes (quelques exemples) Matière active Nom commercial Cultures Imidaclopride Thiaméthoxame Clothianidine GAUCHO Maïs, canola STRESS SHIELD Céréales, légumineuses (soya) ADMIRE GRAPPLE Pomme de terre, Tomates, Laitue, Pommes, Bleuet en corymbe, Aubergines, Coux bruxelle, Goupe culture 9 Pomme de terre, Tomates, Laitue, Goupe culture 5, Pêches, Mûres et framboises ; Patates douces, Ginseng, Fraisiers, Aubergines, Groupe de culture 9 (melons, citrouilles...) CRUISER Maïs, céréales, légumineuses (soya) HELIX Canola ACTARA Aubergine, Concombre, Laitue, Piments, Poivron, Pomme de terre, Pommier, Scarole, Frisée, Tabac, Tomates PONCHO Maïs, canola PROSPER Canola CLUTCH 50 WDG pommes, raisins, poires, pomme de terre, fruits à noyaux Source : SAgE Pesticides, 17 février 2014

6 Les néonicotinoïdes Insecticides systémiques Insecticide dans le xylème et le phloème Retrouvé dans pollen et nectar Persistance dans le sol : 65 à 1250 jours (SAgE Pesticides; Jones et al. 2014) 1-20 % du traitement de semence absorbé par la plante (Sur et Stork 2003) Potentiel de lessivage «élevé» (SAgE Pesticides) Inhibiteurs d acétylcholinestérase

7 Portrait des grandes cultures au Québec ha 1% ha 35% ha 36% ha 6,4% avoine Blé Céréales mélangées Orge Maïs fourrager Maïs grain Soya Canola + de ha de cultures traitées aux néonicotinoïdes en 2014 Institut de la statistique du Québec, 10 déc 2014

8 Les ravageurs ciblés en grandes cultures Vers fil-de-fer Mouches des semis Vers blancs Altises Ver gris-noir Chrysomèle des racines du maïs Puceron du soya

9 Mouches des semis

10 Cultures affectées : Soya, Maïs Canola Autres Facteurs de risques : Épandage de fumier (MO) Résidus tout juste enfouis Photo : B. Duval, MAPAQ

11 Pas de seuil d intervention Méthodes de lutte: Dates de semis Gestion des résidus et du fumier Traitement de semence 1 avis de dommage FAQ Photo : B. Duval, MAPAQ

12 Vers blancs

13 Vers blancs Cycles de 1 ou 3 ans Larves hibernent dans le champ Adultes émergent durant l été Dépistage par prélevement de mottes de terre (15cm x 15cm) Au moins 5 endroits/champ Seuils d intervention (ON) 2 larves/pi 2 ou 0,5 larves/échantillon

14 Vers blancs Cycles de 1 ou 3 ans Larves hibernent dans le champ Adultes émergent durant l été Dépistage par prélevement de mottes de terre (15cm x 15cm) Au moins 5 endroits/champ Seuils d intervention (ON) larves/pi 2 ou 0,5 larves/échantillon 2 avis de dommages à la FAQ

15 Méthodes de lutte Date de semis Rotation Lutte mécanique Traitements de semence (historique) Traitements insecticides foliaires pour le scarabée japonais

16 Vers fil-de-fer (larves de taupins) Adulte («click beetle»)

17 Vers fil-de-fer Différentes espèces

18 1 2 3

19

20 1 génération: 1-6 ans selon l espèce Température: entre 10 et 26 C Sols sableux Graminées et légumes Vers fil-de-fer Seuil d intervention 1 ver fil-de-fer/piège Rotation, Gestion des mauvaises herbes, Lutte mécanique, Entomopathogènes, Traitements de semence

21 Nombre de sites Vers fil-de-fer à 2014 Sites dépassant le seuil d'intervention Tous les sites dépistés 6 champs sur 129 dépassaient le seuil d intervention (4,6 % des champs) Facteur de risque principal: sols de type sable à loam sableux Source : RAP Grandes cultures, bulletin d information à venir en 2015

22 Objectifs du projet de recherche CÉROM, MAPAQ, Clubs-conseils Évaluer l effet de traitements de semence insecticides sur L abondance des vers fil-de-fer et leurs dommages L abondance des mouches des semis et leurs dommages Le rendement du maïs-grain

23 Méthodologie 14 champs de producteurs par année (2012, 2013) Montérégie-Est et Ouest 8 champs en retour de prairie, 6 en retour de soya Maïs-grain semé fin avril à mi-mai Hybride Pride K293 RR, 2825 UTM (2012) HZ872 GT/CB/LL, 2750 UTM (2013)

24 Méthodologie 3 parcelles traitées et 3 parcelles non traitées Semences traitées : 2012 : Maxim Quattro et PONCHO 600FS 2013 : Maxim Quattro et CRUISER 5FS Semences non traitées : Maxim Quattro seulement (contient 4 fongicides)

25 m de long Dispositif expérimental Au moins m 2 par parcelle 6 9 m de large

26 Méthodologie Populations du maïs (à 6, 9 et 12 feuilles) Dépistage d insectes Vers fil-de-fer Mouches des semis Rendement du maïs Manuel (2 rangs X 3 m pour chaque station) Pesées par le producteur

27 Méthodologie Populations du maïs (à 6, 9 et 12 feuilles) Dépistage d insectes Vers fil-de-fer Mouches des semis Rendement du maïs Manuel (2 rangs X 3 m pour chaque station) Pesées par le producteur

28 Résultats du projet de recherche

29 St-Isidore St-Édouard-de-Napierville St-Louis St-Constant St- Mathias-sur-Richelieu Stanbridge East Rigaud St-Nazaire Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Anicet St-Patrice-de-Sherrington nombre total moyen de vfdf/station Hemmingford 1 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0,1 0 Résultats Vers fil-de-fer F 3,80 = 0,21; P = 0,89 traité témoin retour de prairie retour de soya 86 spécimens capturés durant 6 semaines Aucun champ ne dépassait le seuil d intervention Pas de différence significative entre traité et témoin ou selon le précédent cultural

30 Abondance moyenne de vfdf/piège/semaine St-Isidore St-Sébastien St-Césaire St-Louis-de-Gonzague Ste-Marguerite Ange-Gardien St-Bernard-de-Lacolle 1 St-Bernard-de-Lacolle 2 St-Bernard-de-Lacolle 3 Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington 5 4,5 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0,5 0 Résultats Vers fil-de-fer 2013 F 1.74 = 17,44; P 0,0001 Vers fil-de-fer 2013 Terre noire Traité Non traité Retour de prairie Retour de soya 435 spécimens capturés durant 4 semaines (330 sur les 3 sites en terre noire) 3 sites dépassaient le seuil d intervention (2 sites en terre noire) Aucune différence selon traitement; + sur retour de soya

31 Abondance moyenne de mouche des semis/piège St-Isidore St-Sébastien St-Césaire St-Louis-de-Gonzague Ste-Marguerite Ange-Gardien St-Bernard-de-Lacolle 1 St-Bernard-de-Lacolle 2 St-Bernard-de-Lacolle 3 Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington Résultats Mouche des semis F 3,86 = 1,18; P = 0, adultes identifiés en 3 semaines Mouche des semis 2013 Traité Témoin Retour de prairie Retour de soya Nombre variable selon les sites Aucune différence selon le traitement ou le précédent cultural 0,5% des plantules endommagées par la mouche des semis

32 Abondance moyenne de plants sur 2 rangs x 3m St-Isidore St-Édouard-de-Napierville St-Louis St-Constant St-Mathias-sur-Richelieu Stanbridge East Rigaud St-Nazaire-d'Acton St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington Hemmingford Résultats Population maïs 2012 Peuplement 2012 Traité Témoin F 3.74 = 1.96; P =0.13 Retour de prairie Retour de soya Pas de différence significative entre traité et témoin ou selon précédent cultural

33 Nombre de plants moyen sur 2 rangs x 3m St-Isidore St-Sébastien St-Césaire St-Louis-de-Gonzague Ste-Marguerite Ange-Gardien 1 St-Bernard-de-Lacolle 1 St-Bernard-de-Lacolle 2 St-Bernard-de-Lacolle 3 Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington Résultats Population maïs 2013 Peuplement V Traité Témoin Retour de prairie Retour de soya Pas de différence significative entre traité et témoin ou selon précédent cultural

34 St-Constant St-Isidore St-Louis St-Mathias-sur-Richelieu St-Édouard-de-Napierville St-Nazaire-d'Acton Stanbridge East Rigaud Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington Hemmingford Rendement moyen (kg/ha) Résultats Rendement 2012 F 3,80 = 0,92; P = 0, Traité Témoin 0 Retour de prairie Retour de soya Pas de différence significative entre traité et témoin, ou selon précédent cultural

35 St-Isidore St-Sébastien St-Césaire St-Louis Ste-Marguerite Ange-Gardien St-Bernard-de-Lacolle 1 St-Bernard-de-Lacolle 2 St-Bernard-de-Lacolle 3 Beloeil St-Dominique St-Hyacinthe St-Patrice-de-Sherrington Rendement moyen (kg/ha) Résultats Rendement 2013 F 3,69 = 1,53; P = 0,21 Rendement 2013 Traité Non traité Retour de prairie Retour de soya Pas de différence significative entre traité et témoin, ou selon précédent cultural 2 champs en terre noire, avec forte pression de VFF, + gel

36 Discussion projet de recherche Effet des traitements de semence Pas de différence dans l abondance des ravageurs Pas de différence dans les populations de maïs Pas de différence statistique dans le rendement Étude Gilles Quesnel (MAAARO, 2004 et 2005) 200 kg/ha de + avec semences traitées Significatif sur retour de prairies, soya et céréales Pas significatif sur retour de maïs, de luzerne ou maraîcher Effet sur le rendement très variable entre les sites pour un même traitement Si pas d insectes ravageurs, peu rentable

37 Discussion projet de recherche Étude de Krupke et al. (Purdue University, Indiana) Aucune différence de rendement dans le maïs traité ou non-traité (étude 2011, 2012, 2013) Étude en Italie depuis 1995 (Furlan 2014, Furlan et al. 2014) Pertes de rendement si plus de 1 plant/m 2 affectés par les vers fil-de-fer Environ 5% des champs présentaient des populations élevées et des pertes de rendement significatives

38 Discussion projet de recherche Étude de Seagraves et Lundgren, USDA (2012) Pas d effet des traitements de semence sur le puceron du soya, les thrips ou les sauterelles Pas de différences dans le rendement Punaises prédatrices 25 % moins abondantes dans les parcelles traitées

39 Aperçu du projet interrégional Étude plus poussée des facteurs de risques dans le maïs 28 sites/an dans 7 régions du Québec Facteurs de risques étudiés: Type de sol (léger ou lourd) Travail de sol (semis direct ou labour) Précédent cultural (prairie ou soya) Variables mesurées: Abondance et dommages de vers fil-de-fer, vers blancs, mouche des semis, vers de terre, prédateurs Peuplement (V2, V4, V6, récolte) Maladies (août) Rendement (manuel et commercial)

40 Impacts des néonicotinoïdes Développement de résistance chez les insectes (Goulson 2013) Les traitements de semences ne tuent pas les vers fil-de-fer (Vernon et al. 2009) Effets documentés sur la faune - Coccinelles larves meurent quand boivent des gouttes de rosée sur les plants (Moser et Obrycki 2009) - Oiseaux par l ingestion de grains ou par la réduction des populations d insectes (Belisle et al. Non publié; Lopez-Antia et al. 2013; Gibbons et al. 2014) - Faune aquatique intoxication par les résidus dans l eau (Van Dijk et al. 2013; Agatz et al. 2014)

41 Impacts des néonicotinoïdes - Vers de terre réduction du nombre et de la longueur des trous dans le sol (Eisena et al. 2014; Pisa et al. 2014) - Limaces Augmentation des dommages dans le soya par un effet sur la chaîne alimentaire (Douglas et al. 2014) Limaces concentrent les néonicotinoïdes dans leur corps Les prédateurs (carabes) qui les mangent meurent Perte de peuplement de soya de 19% et perte de rendement de 5% observée dans les champs suivis

42 Impacts des néonicotinoïdes - Abeilles problèmes d orientation, réduction du couvain, mortalité (Samson-Robert et al. 2013; Krupke et al. 2012; Henry et al. 2012; Tapparo et al. 2011, 2012; etc.) Au Québec, 4x plus de mortalités dans ruches situées en Montérégie qu en Estrie. Abeilles mortes contenaient des néonicotinoïdes en Montérégie, pas en Estrie (Samson-Robert et al. 2014). Les flaques d eau dans les champs semés avec du maïs traité contiennent des néonicotinoïdes qui peuvent affecter les abeilles (Samson-Robert et al. 2014).

43 Impacts des néonicotinoïdes Présence dans des puits et cours d eau au Québec (Giroux 2014) 20 rivières échantillonnées (ex. Chibouet, Chateauguay, Tortue, Rouge, Blanche, ) 100% des cours d eau contenaient des néonicotinoïdes Doses maximales pour l eau potable pas encore connues pour la clothianidine et le thiaméthoxame Contamination de 80 à 90% des milieux humides dans les prairies canadiennes (régions avec canola) (Morissey et al., 2014) Hypothèse pour la diminution des oiseaux

44 Impacts des néonicotinoïdes Effets sur les humains Quelques cas d intoxication aiguës en Asie (thé) (Taira et al. 2013) Effet potentiel sur le développement du cerveau des fœtus de mammifères (dont l homme) (Kimura-Kuroda et al. 2012) cas d intoxications aux États-Unis - anti-puces et anti-poux mal appliqués (J. Sass, NRDC, 12 novembre 2014) Moratoire de deux ans dans l Union Européenne pour interdire les néonicotinoïdes dans le colza, maïs, tournesol et coton Réévaluation des néonicotinoïdes au Canada (ARLA) et aux États-Unis (EPA) en cours

45 Méthodes pour diminuer les risques Dépister les insectes afin d évaluer le besoin d utiliser un insecticide (lutte intégrée) Installation d un déflecteur sur les semoirs à pression négative Programme de subvention du MAPAQ Utilisation de l agent lubrifiant de Bayer (Fluency) pour diminuer les émanations de poussière (21 à 65% d efficacité) Si nécessaire, avertir l apiculteur Ne pas contaminer les plantes et sources d eau fréquentées par les abeilles Respect des bonnes pratiques d utilisation des semences traitées

46 Respect des bonnes pratiques d utilisation des semences traitées Port de l équipement de protection individuel Éviter de charger, mettre en marche ou nettoyer le semoir près des colonies ou de champs visités Disposer des sacs de semence de façon sécuritaire Déclarer tout incident à l Agence de Règlementation de la Lutte Antiparasitaire (ARLA)

47 Conclusion Néonicotinoïdes pas nécessaires sur la totalité des superficies Impacts importants pour les pollinisateurs Impacts environnementaux Dépistez vos champs (connaître ses champs; notes et photos) Laboratoire de diagnostic du MAPAQ Informez-vous : Réseau d avertissements phytosanitaires SAgE Pesticides

48 PRODUCTEURS AGRICOLES Remerciements Clubs conseils : Agrinove, ProConseil, DuraClub, Gestrie Sol, Agri Conseil Maska, Les Patriotes, Agri Durable, Agro-Moisson Lac St-Louis, Techno-Champ 2000, Groupe Conseil Montérégie-Sud, Agri-Action de la Montérégie, ProfitEauSol, Cogenor, Pleine- Terre, Club Agro de l Estrie, Club des Bois-Francs, Club Fertior, Club de Fertilisation de la Beauce, Yamasol, Durasol, Club Route 341, Roxanna Bindea, Marcel Moreau, Alexandre Tessier, Yves Perreault, Stéphanie Mathieu (MAPAQ MO); Sabrina Talbot, Fannie Blanchard, Sandrine Potvin, André Rondeau, Yvan Faucher (MAPAQ ME); Ermin Menkovic (MAPAQ Estrie), Line Bilodeau (MAPAQ Lévis), Brigitte Duval (MAPAQ Nicolet), Julie Breault (MAPAQ Joliette), Stéphane Goyette, Jean-Baptiste Sarr (MAPAQ Laurentides) RAP Grandes-Cultures (MAPAQ) Olivier Samson-Robert, Valérie Fournier (U.Laval), Madeleine Chagnon (UQAM) Gilles Tremblay, Katia Colton-Gagnon, Roxanne S. Bernard, Alexis Latraverse, Jennifer De Almeida, Julie Guérin, Simon Chaussé, Virginie Faucher, Laurence Cadotte, Marie- Ève Gagnon, Marie-Ève Rivard, Andréanne Lavallée, Martine Fugère, Charles Ricard, Eddy Michaud, Georges-Étienne Fréchette, Stéphane Beaulieu (CÉROM) $$$ Prime-Vert Volet 11.1, Volet 3.2, MAPAQ, CÉROM

49 Questions? L. Voynaud

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES

GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES 2014-2015 Publication 812F Jeter les éditions périmées de la présente publication. Chaque année, le sous-comité concerné du Comité ontarien de la recherche et des

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL

POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL PMRA Approved April 22, 2010 GROUPE 3 INSECTICIDE INSECTICIDE decis 5 CE POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL NUMÉRO D HOMOLOGATION 22478 LOI SUR LES PRODUITS

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides

Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Hiérarchisation des substances actives pour la surveillance des expositions alimentaires Alexandre Nougadère Direction de l Evaluation

Plus en détail

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens

Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Par : JONATHAN ROY, agronome Conseiller en agriculture biologique MAPAQ - Chaudière re-appalaches Journée e d information d «Serres modiques

Plus en détail

Stratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques. Jean Duval, agronome

Stratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques. Jean Duval, agronome Stratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques Jean Duval, agronome Éléments de stratégies gagnantes Identification et dépistage Lutte culturale

Plus en détail

INSECTICIDE CLUTCH 50 WDG

INSECTICIDE CLUTCH 50 WDG PMRA APPROVED F MFW 202-69 AUGUST 202 INSECTICIDE CLUTCH 50 WDG INSECTICIDE USAGE COMMERCIAL GROUPE 4 A INSECTICIDE GRANULÉS DISPERSABLES DANS L'EAU POUR L UTILISATION DANS LES POMMES DE TERRE, LES PATATES

Plus en détail

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

La culture de la fraise à jours neutres

La culture de la fraise à jours neutres La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

MALATHION 500 INSECTICIDE EN CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE

MALATHION 500 INSECTICIDE EN CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE 2014 5336 2014 12-12 Group/1B/Insecticide MALATHION 500 INSECTICIDE EN CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE AGRICOLE CONTENU NET : 10 LITRES Supprime les criquets (sauterelles), les pucerons, acariens (mites), altises

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Mieux connaitre votre enfant

Mieux connaitre votre enfant Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement

Plus en détail

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte?

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? En culture de maïs, le pourcentage de surfaces traitées avec un insecticide avoisinne actuellement les 3

Plus en détail

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f) LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

POIS (Famille des haricots) HARICOTS (Famille des haricots)

POIS (Famille des haricots) HARICOTS (Famille des haricots) HARICOTS (Famille des haricots) POIS (Famille des haricots) Pour semer : 9 haricots par Divisez le carré en 9 petits carrés, et puis semez un haricot dans chacun d'eux. Compagnons : Carottes ou radis.

Plus en détail

Fusariose : réduire les risques aux champs!

Fusariose : réduire les risques aux champs! Fusariose : réduire les risques aux champs! Denis Pageau, M. Sc., Ferme de recherche de Normandin, AAC Pierre Filion, t.a., MAPAQ Montérégie Ouest Collaborateurs : Jean Lafond, M. Sc., Julie Lajeunesse,

Plus en détail

Les gestes responsables

Les gestes responsables Insecticide céréales, maïs, colza, pomme de terre, betteraves, pois, légumières, arboriculture, vigne Conditionnement(s) Bidon 5 L Bidon 1 L Bidon 5 L Bidon 1 L Bidon 5 L Fiche d'identité Composition :

Plus en détail

Contacts. Juin 2014 CONSEILS DE SAISON

Contacts. Juin 2014 CONSEILS DE SAISON Juin 2014 CONSEILS DE SAISON Les fortes chaleurs dans les abris et en sont favorables au développement des ravageurs : thrips, acariens notamment sur cucurbitacées, aubergine,etc. Les auxiliaires naturels

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Au Québec, les superficies en culture

Au Québec, les superficies en culture QUALITÉ DE L EAU EN MILIEU AGRICOLE L utilisation des pesticides dans le maïs et le soya Au Québec, les superficies en culture de maïs ont augmenté d environ 29% entre 1996 et 2001. En 2001, elles atteignaient

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?

Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement

Plus en détail

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

MONITOR 480 Insecticide Liquide À USAGE RESTREINT

MONITOR 480 Insecticide Liquide À USAGE RESTREINT 28-FEB-2007 MONITOR 480 Insecticide Liquide À USAGE RESTREINT Page 1 of 7 GROUPE 1B INSECTICIDE Pour la suppression des insectes sur la Pomme de Terre, les Choux, la Laitue pommée et les Graines de colza

Plus en détail

Annexe A : Tableau des exigences

Annexe A : Tableau des exigences E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

Insecticide SCIMITAR MC CS

Insecticide SCIMITAR MC CS Approved Pamphlet SCIMITAR 28499 06-11-23 Page 1 of 7 USAGE COMMERCIAL Insecticide SCIMITAR MC CS GROUPE 3 INSECTICIDE GARANTIE Lambda-cyhalothrine... 100 g/l Ce produit contient du 1,2-benzisothiazolin-3-one

Plus en détail

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer

Plus en détail

CRAM- 1-12-1595. Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL

CRAM- 1-12-1595. Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL Évaluation du type de dommage causé par la punaise pentatomide verte, Acrosternum hilare (Say) selon le développement des fruits (pommes et raisins) CRAM- 1-12-1595 Avril 2013 à janvier 2015 RAPPORT FINAL

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

Actualité Ecophyto 2010

Actualité Ecophyto 2010 N 12 - Décembre 21 SOMMAIRE Actualité Ecophyto 1 Actualité réglementaire 1 Actualité cultures 3 Résultats essais 3 Actualité Ecophyto 21 Prochaines échéances JANVIER 211 Résultats de la sélection des groupes

Plus en détail

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi

Plus en détail

en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES 100 % goût zéro compromis, my-vb.com

en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES 100 % goût zéro compromis, my-vb.com en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES zéro compromis, 100 % goût my-vb.com SORBETS (en grammes) Recettes réalisées par O. Christien Chef pâtissier, E. Ryon MOF

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

Pour en savoir plus sur la

Pour en savoir plus sur la Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE

PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE www.filpack-agricole.com PROTECTION ANTI-GRÊLE SUR VIGNE ET RAISIN DE TABLE POURQUOI INSTALLER DES TOILES ANTI-GRÊLE? LE SERVICE FILPACK LES DIFFERENTS SYSTEMES D INSTALLATION LE FILET ANTI-GRÊLE AVEC

Plus en détail

Nourrir les oiseaux en hiver

Nourrir les oiseaux en hiver les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Geoffroy Ménard, agr.

Geoffroy Ménard, agr. Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation

Plus en détail

Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor

Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à

Plus en détail

Le printemps et l été du compost

Le printemps et l été du compost Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

Nathalie Juteau. Nathalie Juteau CONSEIL D ADMINISTRATION 2006-2007. Juillet 2007

Nathalie Juteau. Nathalie Juteau CONSEIL D ADMINISTRATION 2006-2007. Juillet 2007 Juillet 2007 http://www.spg.qc.ca/aqgp Volume 12, numéro 3 CONSEIL D ADMINISTRATION 2006-2007 Présidente Nathalie Juteau (450) 962-5589 Parasi-Tech Vice-Présidente Sylvie Morin (450) 436-1779 Extermination

Plus en détail

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

Les insectes jardiniers

Les insectes jardiniers Les insectes jardiniers Vous avez dit jardin? Le jardin à la française se caractérise par la régularité et la symétrie. Domptée, la nature ne s y exprime plus, les végétaux acceptés ne sont là que pour

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Planification des superficies de légumes nécessaires

Planification des superficies de légumes nécessaires MODULE 3 CHAPITRE 3 Planification des superficies de légumes nécessaires SOMMAIRE 1. Rendements 1 1.1 Rendements moyens des légumes 2 1.2 Évaluation des rendements 4 2. Choix de l espacement entre les

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

Bulletin d information

Bulletin d information Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont

Plus en détail

La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir.

La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir. La culture de la vigne au Québec; Tout ce dont vous devez savoir. Texte rédigé pour les Journées horticoles des Laurentides Par Larbi Zerouala, agronome Conseiller en horticulture 450-971-5110, poste 227

Plus en détail

Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école

Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école PISTE 1. LE SENS DU TOUCHER Destinataires Type d activité Disciplines Cycle ou degrés concernés Durée Objectifs Classes; groupes Jeux de reconnaissance

Plus en détail

2. Détermination de la teneur en eau

2. Détermination de la teneur en eau 2. Introduction à la détermination de la teneur en eau... 2-2 Tolérances applicables à la teneur en eau... 2-3 Estimer la teneur en eau d échantillons légers de blé, d avoine et d orge... 2-5 Blé CWRS,

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

PROGRAMME D ASSURANCE RÉCOLTE

PROGRAMME D ASSURANCE RÉCOLTE PROGRAMME D ASSURANCE RÉCOLTE Version du 22 juillet 2015 NOTE AU LECTEUR Le Programme d assurance récolte est entré en vigueur le 14 février 2002 (2002, G.O. 1, 261). La présente version du Programme intègre

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

BIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES

BIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES BIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES Le guidage par GPS est un outil qui trouve maintenant sa place dans les structures de type polyculture-élevage. Avec des prix de plus en plus abordables,

Plus en détail

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

Pour un compostage reussi. Les avantages du compostage 2 PAGE. Pour bien commencer. La recette du chef. Pratique. Economique.

Pour un compostage reussi. Les avantages du compostage 2 PAGE. Pour bien commencer. La recette du chef. Pratique. Economique. suivez le guide! Les avantages du compostage Pour un compostage reussi 4 Pour bien commencer Ecologique Améliore la santé des plantes. Augmente la production du potager. Protège vos plantes des parasites.

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

Le bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau

Le bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau Le bouleau Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau EN BREF Le bouleau fait partie de la famille des bétulacées. Très répandu en France, il domine dans le nord du pays.

Plus en détail

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè.

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. Photo : M.Seelow / Cedus Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. LES CONFITURES TABLE DES MATIERES DYNAMIQUE INTRODUCTION I. DEFINITION DES CONFITURES

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Les potagers Neerstalle

Les potagers Neerstalle Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service

Plus en détail