Cours SIA 380/1, édition 2009

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cours SIA 380/1, édition 2009"

Transcription

1 Cours SIA 380/1, édition 2009 HES-SO Valais Pierre-André Seppey Novembre 2009

2 Aujourd hui Il y a quelques années

3 La norme SIA 380/1, édition 2009 Les 6 chapitres de la norme: 0 Domaine d application 1 Terminologie 2 Performances requises 3 Calcul des besoins de chaleur pour le chauffage 4 Besoins de chaleur pour l eau chaude sanitaire 5 Pertes de chaleur du système de chauffage, du système de préparation d eau chaude et fraction utile

4 La norme SIA 380/1, édition 2009 et ses annexes normatives A. Catégories d ouvrages et conditions normales d utilisation B. Récapitulation des valeurs de calcul C. Cages d escalier et cages d ascenseur et informatives D. Valeurs indicatives de la fraction utile E. Recueil des formules F. Indice de dépense d énergie G. Publications

5 Délimitation (0.1) Traite des besoins pour chauffage et production d ECS Concerne les bâtiments à construire, les éléments d enveloppe neufs, les transformations et les changements d affectation dès l instant où T ambiante > 10 C N aborde pas la production efficace de chaleur => SIA 384 Installations de chauffage dans les bâtiments et SIA 385 Installations d alimentation en ECS dans les bâtiments N aborde pas l utilisation rationnelle de l électricité => SIA 380/4 L énergie électrique dans le bâtiment

6 Domaine d utilisation (0.3) Optimisation Justification Comparaison Pour planifier et optimiser la conception d un bâtiment Pour vérifier le respect des exigences normatives et légales Pour comparer les valeurs mesurées avec celles calculées Comparaison des valeurs U de chaque élément d enveloppe avec les valeurs-limites (ou cibles) = Performances ponctuelles Le besoin en énergie de chauffage pour l objet est inférieur à la valeur-limite (ou cible) = Performance globale

7 Le bâtiment : un équilibre

8 Bilan thermique (1.1)

9 Besoins de chaleur pour le chauffage (1.2)

10 Taux d utilisation des apports de chaleur C est un facteur de réduction qui intervient dans un bilan stationnaire: une partie seulement des apports de chaleur sont utiles Le facteur de réduction tient compte, de manière approchée, du comportement dynamique du bâtiment. Il dépend de l inertie du bâtiment et du rapport entre les apports et les déperditions de chaleur

11 Quelques définitions (1.3) Température ambiante? o et extérieure? e [ C] Surface de l enveloppe thermique A th [m 2 ] Capacité thermique C [MJ/K] Déperditions par transmission Q T et par renouvellement d air Q V [MJ/m 2 ] Facteurs de réduction des déperditions contre terrain ou locaux non chauffés Besoins de chaleur pour le chauffage Q h [MJ/m 2 ] Surface de référence énergétique (SRE) A E [m 2 ] Facteur d enveloppe A th /A E Coefficients de transmission thermique U [W/m 2 K],? [W/mK],? [W/K] Apports de chaleur solaires Q S et internes Q i [MJ/m 2 ] Ponts thermiques Valeur-limite des besoins de chaleur pour le chauffage Q h,li [MJ/m 2 ]

12 PERFORMANCES PONCTUELLES

13 Avertissement préalable Le respect des performances ponctuelles ou de la performance globale ne signifie pas que l ouvrage répond aux exigences concernant la protection contre l humidité et la protection thermique en été, selon la norme SIA 180 ou le cahier technique 2021 (bâtiments vitrés). (SIA 380/1, chiffre 2.1.5)

14 Justification par performances ponctuelles (SIA 2.2) Permet d éviter le calcul des besoins de chaleur

15 Qualité de l ouvrage: «performances ponctuelles» Coefficients de transmission thermique à respecter SIA 380/1 chapitre SIA 380/1 chapitre Respecter les valeurs-limites des ponts thermiques

16 Les valeurs U : exemple de calcul Catalogues d éléments de construction, logiciels de calcul Attention au calcul des éléments inhomogènes

17 Les valeurs U : Rsi - Rse

18 Qualité fixée pour les composants Pour les transformations et les changements d affectation, les valeurs sont différentes ( )

19 Qualité de l enveloppe

20 Les ponts thermiques

21 Valeurs-limites et valeurs-cibles des ponts thermiques

22 Valeurs-limites U pour lesquelles le justificatif des ponts thermiques n est pas exigé

23 Remarques concernant les ponts thermiques Il n existe pas de valeurs-limites pour les ponts thermiques constructifs situés en sous-sol et devant être exécutés en béton armé pour des raisons de statique ou d étanchéité (pris en compte lors de la performance globale) Les ponts thermiques combinés (exp: porte-fenêtre et dalle de balcon) doivent être calculés séparément Pour les ponts thermiques, il n y a pas de correction des valeurs-limites en fonction de T ambiante ou de T moyenne annuelle SIA 380/1 chapitre SIA 380/1 chapitre SIA 380/1 chapitre

24 Majoration des valeurs-limites SIA 380/1 chapitre Si T ambiante* > 20 C U = 5% de moins par K *Selon conditions normales d utilisation Si T ambiante* < 20 C U = 5% de plus par K

25 Cages d escaliers et cages d ascenseur ( & Annexe C) pour performances ponctuelles Si dans enveloppe thermique: étanche selon SIA 180, avec clapets étanches et si partie inférieure non chauffée: alors pas d exigence pour la partie inférieure malgré l interruption du périmètre isolé Cette simplification n est pas applicable aux escaliers ouverts sur appartement (maison individuelle)

26 PERFORMANCES GLOBALES

27 Le principe de calcul (2.3) Air vicié T ext Gains solaires Transmission T int Gains internes Stockage T Air frais C est le concept dans son ensemble qui est «certifié»

28 Justification par performance globale (2.3)

29 Liste des logiciels homologués

30 Rappel: bilan énergétique et besoins de chaleur Q h Q h = Q T + Q V? g (Q i + Q s ) Besoins = transmissions + renouvellement air -? g (apports internes et solaires) = taux d utilisation des apports de chaleur

31 Qualité de l ouvrage «performance globale» Les 2 règles essentielles restent valables, mais le concepteur peut dépasser les valeurs-limites quelque part et compenser ailleurs Choisir des bons éléments d enveloppe (isolation) Réduire les ponts thermiques

32 Grandeurs considérées Air vicié T ext Gains solaires T int Transmission Gains internes T Stockage Air frais

33 La surface de référence énergétique Dimensions extérieures Toutes les surfaces brutes de plancher des locaux chauffés ou climatisés Attention aux locaux non pris en compte dans la SRE: chambre à lessive, buanderie, chauffage, garage, rangement, SRE: voir SIA 416/1

34 Coup d œil à la norme 416/1 Au chapitre 2.2 et 2.3: Précisions concernant les limites de l enveloppe thermique du bâtiment

35 Coup d œil à la norme 416/1 (suite) Au chapitre 3.2: Précisions concernant la surface de référence énergétique (SRE) Si hauteur finie d étage < 1m: Pas pris en compte dans la SRE

36 Surface de l enveloppe thermique Les surfaces contre les locaux chauffés ne sont pas comprises

37 Facteur de réduction contact terrain

38 Cages d escaliers et cages d ascenseur ( ) Si dans enveloppe thermique: étanche selon SIA 180, avec clapets étanches et si partie inférieure non chauffée: Calculer alors avec U = 2,5 W/m 2 K pour la surface de contact, avec?? =?ambiant -?extérieur Surface de contact Cette simplification n est pas applicable aux escaliers ouverts sur appartement (maison individuelle)

39 Capacité thermique

40 SIA 380/1 Annexe A Les conditions normales d utilisation pour chaque catégorie d ouvrages

41 La température ambiante Majoration de la température ambiante : Si régulation par pièce ou Tdépart chauffage <30 C : 0 K Si régulation à partir d une pièce de référence : 1 K Autres cas : 2 K

42 La surface par personne

43 La chaleur moyenne dégagée par personne

44 La durée de présence des personnes

45 Les besoins d électricité et leurs facteurs de réduction

46 Le débit d air neuf Correspond au débit moyen d air neuf nécessaire pour garantir une hygiène de l air en fonction de l occupation des locaux à la température de consigne

47 Données climatiques Les données climatiques sont données par le cahier technique SIA Ces données remplacent celles de la norme SIA 381/2 depuis l édition 2009 de la norme SIA 380/1 L altitude, le rayonnement ainsi que les températures moyennes mensuelles sont considérés dans le calcul

48 Les stations climatiques de la SIA 380/1:2009

49 Facteur d ombrage ( ) Le facteur d ombrage Fs = F s1 x F s2 x F s3 tient compte de l effet des ombres sur la réduction des apports solaires F s1 facteur de réduction dû à l horizon (topographie ou bâtiments) F s2 facteur de réduction dû à un surplomb F s3 facteur de réduction dû à un écran latéral

50 Les valeurs étant introduites Surface de référence énergétique Surface des éléments du bâtiment Valeurs U et ponts thermiques Facteurs de réduction (terrain, non chauffé) Inertie Thermique T chauffage sol ou devant vitrage Système de régulation Catégorie d ouvrage Bât. neuf ou transformé? Facteur d ombrage Station météo

51 Le programme de calcul les digère dans le logiciel homologu é de votre choix

52 pour définir les flux d énergie

53 et déterminer les besoins de chaleur pour le chauffage SIA 380/1 chapitre 3

54 puis les comparer à la valeur-limite Q h Q h,li

55 Si Q h > Q h,li Où se trouve l isolation? Peut-on améliorer les valeurs U (épaisseur, conductibilité)? Peut-on améliorer la qualité des fenêtres (valeurs U et g du vitrage, cadre)? Peut-on réduire les ponts thermiques?

56 Les valeurs-limites (2.3.8) Q h,li = Q h,li0 +? Q h,li (A th / A E )

57 Les valeurs sont pondérées en fonction du facteur d enveloppe A th /A E Forme compacte plus favorable que forme découpée Surface d enveloppe réduite par rapport à SRE = économie d énergie et d argent

58 Correction (automatique) des valeurs-limites (2.3.9 à ) Ces valeurs sont calculées pour une température moyenne extérieure de 8,5 C. Si T moyenne annuelle plus froide: + 8% par K d écart Si T moyenne annuelle plus chaude: - 8% par K d écart S il s agit de transformation, une majoration de 25% des valeurs-limites est appliquée

59 La norme SIA 380/1 prescrit en outre Une majoration de la température ambiante pour une régulation non performante ( ) Une majoration de température ambiante si chauffage intégré aux éléments d enveloppe ou radiateur devant vitrage ( ) Un facteur de réduction pour plafonds, parois ou planchers contre locaux non chauffés ( ) Un facteur de réduction pour parois ou planchers contre le terrain. Ce facteur dépend du rapport entre la surface de l élément concerné et de son périmètre en contact avec le terrain, et de la profondeur à laquelle se trouve l élément ( ) Par défaut: une valeur g pour les vitrages ( ) Un facteur de réduction des apports solaires dû aux cadres de fenêtre ( )

60 EXEMPLE

61

62 LES ERREURS LES PLUS FRÉQUENTES

63 Les erreurs les plus fréquentes Les erreurs de surface - SRE La non introduction des ombrages La non introduction des ponts thermiques La non introduction du chauffage de sol Le calcul des valeurs U composites Les divers paramètres de régulation, température, etc.

64 Les erreurs les plus fréquentes Façades opposées de mêmes surfaces Toit > plancher

65 QUOI DE NEUF EN 2009

66 Les changements dans l édition 2009 (1) Les performances ponctuelles requises sont sensiblement renforcées SIA 380/ SIA 380/1 2007

67 Les changements dans l édition 2009 (2) Les valeurs-limites pour la performance globale requise sont abaissées en moyenne de 25% sur l ensemble des catégories SIA 380/ SIA 380/1 2009

68 Les changements dans l édition 2009 (3) Lors de transformations et de changements d affectation, exigences différenciées entre éléments neufs ou touchés par transformations ou changements d affectation Les valeurs-limites pour les transformations = 125% des valeurslimites pour bâtiments neufs (performance globale) (SIA 380/1 2007: 140%) Les nouvelles valeurs-cibles pour transformations et changements d affectation = 80% des valeurs-limites pour transformations et changements d affectation Les valeurs-limites pour performances ponctuelles requises ne sont plus corrigées en fonction de la température moyenne annuelle

69 Les changements dans l édition 2009 (4) Pour la performance globale requise, la correction des valeurslimites et valeurs-cibles passe de 4% à 8% par K d écart par rapport à 8.5 C Un tableau présente les valeurs-limites évitant le justificatif des ponts thermiques pour les performances ponctuelles requises Les données climatiques de la norme SIA 381/2 sont remplacées par celles du cahier technique 2028 (édition 2008) Les indices maximaux de dépense d énergie sont adaptés aux valeurs-limites pour performance globale RAPPEL: la correction de hauteur n est plus appliquée

70 Questions?

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable Les règles d or de la con struction écologique Rénover l habitat écologique économique climatiquement neutre peu gourmand en énergie sain durable Le Centre suisse d études pour la rationalisation de la

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974 DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail

L individualisation des frais de chauffage

L individualisation des frais de chauffage L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis. JOURDA Architectes Paris

MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis. JOURDA Architectes Paris MEDIACOM 3 Immeuble de bureaux à Saint-Denis Densifier la ville Construire un volume compact, et un maximum de plateaux afin de densifier la ville. Remplir l objectif de densification et de valorisation

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

Aquitaine Thermographie

Aquitaine Thermographie Recherches de fuites par thermographie infrarouge Aquitaine Thermographie La thermographie La thermographie est une technologie précise et efficace, un allié fiable dans le domaine du bâtiment, de la maintenance

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE

TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE COMBINEZ VOTRE STATION INDIVIDUELLE Le module thermique d appartement TacoTherm Dual Piko s adapte parfaitement à toutes les configurations

Plus en détail

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003 CONFERENCE DES SERVICES CANTONAUX DE L'ENERGIE KONFERENZ KANTONALER ENERGIEFACHSTELLEN Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air 1. Contexte Une série d'aides

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO Version: Mars 2014 Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/-) ECO 1. Introduction e présent document permet de calculer facilement le degré de lumière naturelle pour la demande Minergie-Eco.

Plus en détail

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Résidence des Badinières

Résidence des Badinières Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)

Plus en détail

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements

Plus en détail

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface

Plus en détail

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian Pontlieue

Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian Pontlieue Projet de recherche EPA-F4 éhabilitations des Etablissements pour Personnes Agées et Facteur 4 Apports thermiques avec collecteurs solaires pour de l eau chaude sanitaire dans la Maison de retraite Korian

Plus en détail

Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010

Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC

Plus en détail

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Arrêté du 13 juin 2008 relatif à la performance énergétique

Plus en détail

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,

Plus en détail

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0

6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 Les renseignements qui sont au dossier sont issus de documents appartenant au propriétaire vendeur. Le propriétaire vendeur atteste la conformité des données

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE Habitat, bureaux, commerces : le W conjugue les trois fondamentaux de l urbain. Dans cet esprit, Vauban Immobilier, Scharf Immobilier, GIPA et Rive Gauche CB Richard

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES

ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES Vue du terrain à bâtir Plan de masse Surface plancher La «surface de plancher» s entend comme la somme des surfaces de plancher dans la maison dans les pièces où la hauteur

Plus en détail

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique

Plus en détail

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009)

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Marché de l entretien-amélioration des bâtiments en 2007 Commissariat général au développement durable - Service

Plus en détail

Maison QUATRE FAçades

Maison QUATRE FAçades Maison QUATRE FAçades Bruxelles Lieu : Woluwé-Saint-Lambert Typologie : Maison quatre façades DATE DE CONSTRUCTION : 1945-1946 DATE DE RENOVATION : 2008 -... Surface chauffee : 147 m² BESOIN DE CHAUFFAGE

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE

CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE Royaume du Maroc Ministère de l Habitat et de la Politique de la Ville CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE Ministère

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel 1. A QUOI CORRESPOND LA LETTRE (A,B G) SUR MON CERTIFICAT PEB? La lettre correspond à une consommation théorique qui se base sur les caractéristiques propres

Plus en détail

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

MINOR 11. *2701444_rev.6* Guide d installation et d utilisation MINOR 11. DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore.

MINOR 11. *2701444_rev.6* Guide d installation et d utilisation MINOR 11. DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore. Guide d installation et d utilisation MINOR 11 6151042 MINOR 11 DELTA DORE - Bonnemain - 35270 COMBOURG E-mail : deltadore@deltadore.com Appareil conforme aux exigences des directives : 2004/108/CE (Compatibilité

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale

Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale Protocole de certification de la PEB des unités tertiaires «bureaux et services» en Région de Bruxelles-Capitale Protocole certification PEB bureaux > 500 m² 1/180 V 1.1.1 juin 2013 CHAPITRE I - CADRE

Plus en détail

Réglementation et attestations thermique

Réglementation et attestations thermique Réglementation et attestations thermique Réunions d échanges ADS des 25 novembre et 2 décembre 2014 DDT 38 - SLC- QC 1 réglementation thermique attestations -... 1 la réglementation thermique 2 les attestations

Plus en détail

Et la ventilation créa l eau chaude

Et la ventilation créa l eau chaude VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %

Plus en détail

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT

Plus en détail

Diagnostic de performance énergétique logement (6.2)

Diagnostic de performance énergétique logement (6.2) Diagnostic de performance énergétique logement (6.2) N :... 2014-09-3370 Valable jusqu au :... 29/09/2024 Type de bâtiment :... Habitation (parties privatives d immeuble collectif) Année de construction

Plus en détail

RESIDENCE «LES PERCE-NEIGE» Morgins Troistorrents Val d Illiez Portes du Soleil

RESIDENCE «LES PERCE-NEIGE» Morgins Troistorrents Val d Illiez Portes du Soleil Architecture Promotion Alberto Alberti Architecte EPF-SIA Place de l Hôtel de Ville 1a CH-1870 Monthey Tel +41 (0) 24 471 76 16 Michaud Mariaux SA Génie-civil et Bâtiments Z.I. Les Ilettes 34 / CP 171

Plus en détail

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest Les outils de simulation Myriam HUMBERT CETE Ouest Outils de simulation pour la GPE Objectif Ø Recommandations pour la mise en œuvre des calculs dans le cadre d une GPE ü Analyse qualitative des outils

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

Contenu et but. 1. Domaine d application, état de la technique

Contenu et but. 1. Domaine d application, état de la technique Aide à l'application EN-3 Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter pour la conception, la mise en place, la transformation

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement SDH - SARL n 23 Avenue Gambetta 17100 Saintes Tél. : 05 46 97 61 34 - Fax : 05 46 97 26 30 N SIREN : 504 761 248 Compagnie d assurance : Generali Assurances n AL169975 Diagnostic de performance énergétique

Plus en détail

Auré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE

Auré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE Les solutions solaires pour l Eau Chaude Sanitaire ou le Chauffage ficie z d'u Auréa n it Crédpôt d'imn la loi deueur Béné Solar Keymark N 011-7S841 F Chauffe-Eau Solaire selo s en vig ce finan Système

Plus en détail

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE LA REALISATION D UN PROJET D HABITATION PASSIVE Evolution et phases de la réalisation d une habitation en ossature bois et en écoconstruction. Qu est-ce qu une maison passive?

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques

Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

RAPPORT D'AUDIT ENERGETIQUE

RAPPORT D'AUDIT ENERGETIQUE RAPPORT D'AUDIT ENERGETIQUE Résidence du coteau 5 avenue Aristide Briand 94240 L HAY LES ROSES Rédigé par : MAXIME TERRIER Chef de Projet : NATHALIE TAILLADE 1. Préambule. 2 Le Bâtiment Existant 3 2. Présentation

Plus en détail