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1 Katy Gaudreault, agr.

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3 Mise en contexte Plan de conservation et de mise en valeur du complexe tourbeux du delta de Lanoraie (portrait, diagnostic, plan d action) en 2012: La tourbière constitue un immense réservoir naturel d eau. La conservation de la tourbière de Lanoraie est primordiale pour le maintien de la zone agricole pourvue de sol sableux fin. Depuis plusieurs années, celleci perd en superficie (déboisement, drainage, etc). Il est important de préserver la tourbière pour assurer la pérennité de la ressource EAU. Rang du Brulé Autoroute 40

4 Objectifs 1. Documenter les pratiques d irrigation des producteurs agricoles dans ce secteur 2. Vérifier les possibilités d améliorer les pratiques d irrigations actuelles afin de diminuer les prélèvements d eau

5 Méthodologie Déroulement sur 2 ans ( ) 2 sites à l étude (St-Thomas et Lanoraie): Pomme de terre Système de pivot Sable fin

6 Méthodologie Caractérisation des sols Courbe de désorption réalisée par l IRDA Pluviomètre (Hobbo) en bordure des sites T ambiante Précipitations Compteur d eau mécanique sur 1 site Système Hortau situé dans le champ Tensiomètres 6 et 12 pouces Ajout sur le système Hortau Sonde T de sol Pluviomètre Ajout de la prise de test de nitrates 0-30 cm cm

7 Combien d eau le sol est-il capable de retenir? La granulométrie du sol est faite en laboratoire. Résultat : sol extrêmement sableux (92 % de sable, 2 % limon et 6 % argile) L'évapotranspiration de la culture (Etc) correspond au besoin en eau de la culture en fonction de son stade de développement et des conditions de température.

8 Théoriquement, selon les valeurs représentées et en considérant la valeur de la réserve en eau pour le mois de juillet est de 28 mm, le sol serait en mesure de fournir suffisamment d eau à la culture pour environ 5 jours avant que cette dernière ne soit en situation de stress hydrique.

9 Valeur critique: IRRIGATION À quel moment doit-on déclencher l irrigation?

10 Est-ce que les irrigations causent le lessivage des nitrates? Le sol où se pratique la culture de la pomme de terre est un sol sableux qui fournit peu d azote, par contre, cette culture a des besoins élevés pour ce nutriment.

11 Suite à ces deux années d essais Caractérisation des sols est importante pour être en mesure d établir la réserve en eau utilisable (RFU) Les producteurs n irriguent pas la pomme de terre tôt en saison. Le début de l irrigation correspond à l initiation des tubercules, après le buttage Les producteurs n irrigue pas assez longtemps lors d un printemps sec et n irrigue probablement pas assez souvent. Afin de bien déterminer les périodes d irrigation il faut considérer plusieurs facteurs agronomiques tel que la variété la compaction, le marché visé, etc L emplacement des tensiomètres par rapport au déplacement du système d irrigation doit être pris en considération pour le déclenchement de l irrigation.

12 Remerciements Collaborateurs : Carl Boivin et Jérémie Vallée, chercheurs, Institut de recherche et de développement en agroenvironnement Mélissa Gagnon, agr. et Xavier Bernard, agr., Ministère de l'agriculture, des pêcheries, l'alimentation du Québec Remerciements : Francis Desrochers et Ninon Perreault, Maxi-Sol Inc. Martin Goyet et Patricia Masse, agr., Les Fermes MVG Inc. Mathieu Ricard, ing., Irrig Expert

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14 Mise en contexte En 2014, un champ de l entreprise Maxi-sol inc avait une incidence élevée de gale commune sur les pommes de terre. En 2015, un essai préliminaire sur l utilisation de biostimulants pour réduire l incidence de gale commune des pommes de terre a été réalisé à l Île du Prince-Édouard par Robert Coffin (chercheur privé) et présenté au North East Potato Tech Forum en février Selon cet essai, le Microflora Pro a permis de diminuer l incidence de gale commune et d augmenter les rendements de variétés de pommes de terre plus sensibles à cette maladie. Microflora Pro est un biostimulant produit par la compagnie Abnatura de Trois-Rivières.

15 Méthodologie Comparaison de 5 traitements à un témoin non traité: Microflora Pro : Vendu comme fertilisant et protecteur microbien (bacillus subtilis et de b. amyloliquefaciens), dans sillon Biosyn : dans l engrais Asco-root : algue marine Ascophyllum nodosum, dans l engrais Serenade soil: Biofongicique (Bacillus subtilis), dans sillon Double Nickel : biofongicide (B. amyloliquefaciens), dans sillon 6 répétitions, parcelle de 200 pieds par 8 rangs

16 Ancienne ligne de pins Goldrush Méthodologie 6 E D B F A C 5 A E C D F B 4 C F A B E D 3 F A D C B E 2 D B F E C A 1 B C E A D F Rang no : 1 à 8 9 à à à à à 48 Route St-Jean Baptiste Traitement: A= Asco root B = Biosin C= conventionnel D = Double nickel E = Serenade soil F= Microflora

17 Méthodologie Classement des pommes de terre et pesées Analyses réalisées par l équipe de Richard Hogue, IRDA : Sol: Avant le semis afin de caractériser le sol et à la récolte (par bloc) Tuberculosphère à la récolte (par répétition) Pelures de pommes de terre pour détection de la gale commune par répétition

18 Résultats

19 Poids de pommes de terre (kg) Résultats Composition du rendement par traitement 120, ,000 80,000 60,000 40,000 Rejet Gale 5 Gale 1 Verte Vendable 20,000 0,000 A B C D E F Traitement

20 Résultats Traitement Poids pdt avec gale (kg) Proportion gale cote 1 Proportion gale cote 5 % du poids total de pdt A 55,864 21,0 79,0 54,9 B 60,478 29,6 70,4 61,7 C 59,718 29,1 70,9 57,1 D 56,684 31,5 68,5 58,9 E 53,694 24,5 75,5 54,9 F 50,046 24,9 75,1 54,0

21 Résultats Échantillon sol (printemps) Bande 1 Bande 2 Bande 3 Bande 4 Bande 5 Bande 6 Verdict (UA/g sol sec) 4,09E+03 5,29E+03 < 4,4E+03* < 4,4E+03* < 4,4E+03* < 4,4E+03* Les détections observées sont inférieures au seuil de quantification de 4,40E+03 et supérieures au seuil de détection de 2,20E+02 UA/g de sol sec

22 Constats Pas eu de différences visuelles d observées au champ. Lorsque l incidence de la gale augmente, la proportion de cote 1 semble croître. La sévérité de la maladie ne semble pas influencer par la concentration de la bactérie dans le sol

23 Merci!! Des questions??

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