Activité 3 : Modéliser pour comprendre l origine de la chaleur interne de la Terre.
|
|
- Anne-Marie Joseph
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Activité 3 : Modéliser pour comprendre l origine de la chaleur interne de la Terre. Domaine Compétences J ai réussi si Elève Prof D1 Communiquer (C1, C2) -Ma réponse comporte les mots clés scientifiques judicieusement employés. D2 D3 D4 Etre méthodique (M1, M2) Rechercher, organiser de l information utile (I1) Comportement autonome (A3, A4) Raisonner dans une démarche scientifique (R2) Concevoir, réaliser (F3) -J ai organisé mon travail dans le temps et avec mon binôme. -J ai extrait les informations des documents et de la modélisation concernant l origine des sources chaudes -j ai fait preuve d autonomie et d initiative avec mon binôme -j ai fait preuve de réflexion fasse aux documents et d esprit critique fasse à la modélisation. -j ai raisonné sur les résultats d une modélisation et mis en relation les informations des documents afin d expliquer le mécanisme des sources chaudes. -J ai réalisé un schéma de la modélisation en respectant les conventions. Consigne : A partir de la modélisation et des documents à votre disposition, expliquer à Liam pourquoi cette piscine naturelle est à 35 C et donc qu il n aura pas froid. Vous appuierez votre explication d un schéma de la modélisation réalisée ainsi que d une critique des éléments étudiés pour celle-ci. Activité 3 : Modéliser pour comprendre l origine de la chaleur interne de la Terre. Domaine Compétences J ai réussi si Elève Prof D1 Communiquer (C1, C2) -Ma réponse comporte les mots clés scientifiques judicieusement employés. D2 D3 D4 Etre méthodique (M1, M2) Rechercher, organiser de l information utile (I1) Comportement autonome (A3, A4) Raisonner dans une démarche scientifique (R2) Concevoir, réaliser (F3) -J ai organisé mon travail dans le temps et avec mon binôme. -J ai extrait les informations des documents et de la modélisation concernant l origine des sources chaudes -j ai fait preuve d autonomie et d initiative avec mon binôme -j ai fait preuve de réflexion fasse aux documents et d esprit critique fasse à la modélisation. -j ai raisonné sur les résultats d une modélisation et mis en relation les informations des documents afin d expliquer le mécanisme des sources chaudes. -J ai réalisé un schéma de la modélisation en respectant les conventions. Consigne : A partir de la modélisation et des documents à votre disposition, expliquer à Liam pourquoi cette piscine naturelle est à 35 C et donc qu il n aura pas froid. Vous appuierez votre explication d un schéma de la modélisation réalisée ainsi que d une critique des éléments étudiés pour celle-ci.
2 Situation : Situation : Situation :
3 Documents ressources Chapitre 2 Activité 3 : L origine de la chaleur interne de la Terre Document 1 : Bloc diagramme montrant l origine des piscines naturelles chaudes Islandaises Document 2: Carte montrant les zones d évacuation de la chaleur à la surface de notre planète. Islande pacifique atlantique indienne Chaleur évacuée
4 Document 3 : Modélisation pour comprendre la remontée de matériel chaud depuis la profondeur de la Terre : Objectif : Observer le mécanisme de remontée du matériel chaud (magma) et des transferts d énergie sous forme de chaleur dans les profondeurs de notre planète. Matériel : Un bécher de 100mL Craie rouge en poudre, huile Bougie chauffe plat, trépied Protocole : Prendre la craie rouge broyée en poudre Ajouter 20mL d huile à la poudre de craie dans un bécher de 100mL. Ajouter délicatement 80mL d huile en la faisant glisser le long de la paroi du bécher Chauffer le bécher Observer et conclure. Document 4: L origine de la chaleur interne de la Terre : L intérieur de la Terre est fait de roches contenant des éléments radioactifs (élément chimique qui se transforme spontanément en un autre en émettant de la chaleur) comme l Uranium. Ces éléments ont la capacité de se transformer au cours du temps en d autres éléments. Ces transformations libèrent de l énergie sous forme de chaleur, qui chauffe les roches.
5 Correction Explication : Lors de la transformation des éléments radioactifs des roches en profondeur, de la chaleur est libérée. Celleci entraine la remontée de matière en fusion ou magma vers la surface. Ce magma chaud à proximité des eaux de surface les réchauffe ; ceci est à l origine de la température élevée des eaux des piscines naturelles. Critique : En profondeur les roches sont solides et pas liquides comme dans le modèle, Le volume réel est beaucoup plus important que celui d un bécher, La source de chaleur est différente : bougie et radioactivité. Graphique montrant les lignes de températures en fonction de la profondeur et de part et d autre de l axe de la dorsale. Schéma du résultat de la modélisation.
I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailDescription du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.
Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS
Fiche sujet-élève Les végétaux chlorophylliens collectent l énergie lumineuse grâce à différents pigments foliaires que l on peut classer en deux catégories : - les chlorophylles a et b d une part, - les
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailDETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE
P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailLA QUALITE DE LA PRODUCTION
LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier
Plus en détailA-MIP 200 Manuel d installation et de fonctionnement
00 A-MIP 00 Manuel d installation et de fonctionnement Informations Générales Important Lisez ce mode d'emploi avant l installation et l utilisation de l Aivia. Lisez attentivement cette section et suivez
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION
NOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION Plafond filtrant Lumispace Il est important de lire attentivement cette notice avant la maintenance du plafond Lumispace Ce document doit être remis au client
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailT.I.P.E. Optimisation d un. moteur
LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement
Plus en détailNotre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse
Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Page Lessives poudres 4 Lessives liquides 5 Lessives spéciales 6 7 Aides au lavage 8 Adoucissants 9 Nettoyants ménagers 10 11 Nettoyants vaisselle
Plus en détailComment procéder : 9 étapes simples pour installer un plan de travail préformé
Comment procéder : 9 étapes simples pour installer un plan de travail préformé L'installation de votre propre plan de travail vous donne l'opportunité de vous exprimer et d'économiser de l'argent. Pour
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailTABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES INTRODUCTION CHAPITRE 1 : INSTALLATION DE L ALGORITHME CHAPITRE 2 : EXECUTION & OPTIMISATION DU BACKTEST
TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES INTRODUCTION CHAPITRE 1 : INSTALLATION DE L ALGORITHME CHAPITRE 2 : EXECUTION & OPTIMISATION DU BACKTEST CHAPITRE 3 : UTILISATION DE L ALGORITHME CONCLUSION MENTIONS
Plus en détailOptimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches
Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches Par Neil Rasmussen Livre blanc n 44 Révision n 1 Résumé de l étude L espace vertical inutilisé dans les racks à cadre
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière.
Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. En effet, l ordinateur est un appareil qui consomme de l électricité dont une partie importante
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détail3, rue de la Louvière - 78120 RAMBOUILLET Tél. : 01 34 57 11 55 - Fax : 01 30 41 15 38 S.A.V. 0811 69 67 60 - www.coffres-forts.com.
3, rue de la Louvière - 7820 RAMBOUILLET Tél. : 0 34 57 55 - Fax : 0 30 4 5 38 S.A.V. 08 69 67 60 - www.coffres-forts.com SOLAR Basic Mode d emploi de la serrure électronique de haute sécurité Sommaire
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailModule ATW-C-INV pour commande des unités extérieures d'inverter Fujitsu Airconditioning
Module ATW-C-IV pour commande des unités extérieures d'inverter Fujitsu Airconditioning e module ATW-C-IV (ci-après désigné uniquement par le terme «module») est conçu pour la commande directe des unités
Plus en détailCOLOR LUSTRE. BAUME RAVIVEUR DE REFLETS 277 RUE ST HONORE 75008 PARIS +33 (0)1 40 20 60 00 WWW.SHUUEMURAART OFHAIR.COM
COLOR LUSTRE. BAUME RAVIVEUR DE REFLETS 277 RUE ST HONORE 75008 PARIS +33 (0)1 40 20 60 00 WWW.SHUUEMURAART OFHAIR.COM NEVER STOP THINKING, IMPROVING, INNOVATING. CREATING SOMETHING THAT IS UNIVERSALLY
Plus en détailChauffe-eau électrique Chaffoteaux
Chauffe-eau électrique Chaffoteaux Guide de montage Difficulté : Durée de l intervention : 1h30 à 2h00 Besoin d informations? Contactez-nous au 01 47 55 74 26 ou par email à Sommaire Introduction... 2
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailSHAMPOOINGS ET SOINS REPIGMENTANTS GUIDE TECHNIQUE
SHAMPOOINGS ET SOINS REPIGMENTANTS GUIDE TECHNIQUE Une alternative naturelle aux colorations traditionnelles 7 couleurs déclinées en 7 shampooings et 7 soins > Pour apporter des reflets aux cheveux naturels,
Plus en détailThe next step in Power Management. AVOB Energy Saver Building Energy Management Alternative Vision Of Building 1
The next step in Power Management AVOB Energy Saver Building Energy Management Alternative Vision Of Building 1 1 Présentation de la société AVOB IT en bref Mars 2009 Présent dans 30 pays + 120 clients
Plus en détailMOTEURS A DEUX TEMPS Comment fonctionnent-ils?
MOTEURS A DEUX TEMPS Comment fonctionnent-ils? Ce n est pas un hasard si, en modélisme, les moteurs à deux temps sont utilisés dans 95% des cas. Le deux temps est un moteur très simple quant à sa composition;
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailTravaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr
Brioche Farine de force type 45 500g Sel 10g Sucre 50g Levure 25g Œufs 7 Eau pour délayer la levure beurre 300g Pétrir doucement en hydratant la pâte petit à petit Eviter de chauffer la pâte en pétrissant
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailPOUR PRENDRE SOIN DE VOTRE NOUVELLE UNITÉ BAIN MAGIQUE MD
POUR PRENDRE SOIN DE VOTRE NOUVELLE UNITÉ BAIN MAGIQUE MD Merci d avoir choisi BAIN MAGIQUE MD. Comme pour toute autre acquisition de cette nature, nous comprenons l importance d un tel investissement
Plus en détailICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES
ICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES INCENTIVES EN ISLANDE INCENTIVES Quand on pense incentives, la première idée est souvent le plaisir et l amusement. Mais une excursion incentive réussie,
Plus en détailAttention vague. de très grand froid
Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand
Plus en détailLes Supports UC d ordinateur
Les Supports UC d ordinateur Les solutions pour Unité Centrale sont bien plus que de simples supports pour unités centrales. Voilà de bonnes raisons de choisir les solutions pour UC pour protéger votre
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailComment économiser de l électricité dans le bloc traite?
Comment économiser de l électricité dans le bloc traite? La consommation électrique du bloc traite représente 20 % en moyenne de la consommation énergétique totale d une exploitation laitière. Le tank
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailTable des matières. Il est réconfortant de savoir que votre famille est préparée. Vous préparer pour une panne
Êtes-vous prêt? Êtes-vous prêt? Nous avons tous vécu l expérience d une panne de courant. Bien que la plupart d entre elles ne durent pas longtemps, chaque famille doit dresser un plan d urgence, au cas
Plus en détailKenwood Limited, New Lane, Havant, Hampshire PO9 2NH, UK www.kenwood.co.uk 56117/2
Kenwood Limited, New Lane, Havant, Hampshire PO9 2NH, UK www.kenwood.co.uk 56117/2 O I MG510 a b c o n d O I m l e k i j f g h p q r s t Français Avant de lire, dépliez la première page pour voir les illustrations
Plus en détailF.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B
F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d
Plus en détailNOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990
NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP DE 5 E CATEGORIE SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 Documents obligatoires à joindre à cette notice de sécurité pour le
Plus en détailActivités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée
Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailL énergie dans notre quotidien
4 5 6 7 8 L énergie dans notre quotidien QUE SAIS-TU SUR L ÉNERGIE? Sur ton cahier de sciences, essaie de répondre par VRAI ou FAUX aux phrases ou expressions qui suivent. A. 1. Nous utilisons de plus
Plus en détailMODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT
MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats
Plus en détailL a gamme financière en Belgique
L a gamme financière en Belgique L approche crédit-solvabilité : le rapport de crédit Des outils pour la gestion efficace de vos risques financiers. Tout entrepreneur prend des risques : - accorder des
Plus en détail1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS
Fontenay-aux-Roses, le 9 juillet 2014 Monsieur le président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis/IRSN N 2014-00265 Objet : Réacteurs électronucléaires EDF - Réacteur EPR de Flamanville 3 Conception détaillée
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailL organisation de chantier
L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailSYSTEMES ELECTRONIQUES NUMERIQUES
ACTIVITE :MISE EN PLACE D'UN SERVEUR DE TELEPHONIE VOIP-SIP TP @ CONDITIONS D EXERCICE - Moyens et Ressources TAXONOMIE 1 2 3 4 Internet Logiciel Tél SIP Planet VIP 154 PC Logiciel voip client Logiciel
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP
Mairie de BRAILLANS 9 rue de la mairie 25640 BRAILLANS 03 81 57 93 30 Email : mairie.braillans@orange.fr MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 08/06/98 Origine : ACCG DISI MMES et MM les Directeurs et Agents Comptables - des Centres de
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailSOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS
1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX
Plus en détail36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE
T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul
Plus en détailPassons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire.
Du Saucats au Lissandre : Une histoire d eau Projet mené par des cinquièmes du Collège Paul Emile Victor de Branne. Dès notre arrivée, nous découvrons un musée et tentons de définir le terme «Réserve»
Plus en détailEau chaude sanitaire
4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailENERGIS. CHAUDIÈRE ÉLECTRIQUE - EAU CHAUDE DE CHAUFFAGE 36 À 1 400 kw
NRGIS HUIÈR ÉLTRIQU - U HU HUFFG À 00 kw Souples d utilisation, fiables et performantes, les chaudières électriques eau chaude LZ NRGIS trouvent leurs applications dans de nombreux domaines. n fonctionnement
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailMonitoring d un Datacenter du concept à la réalisation
Monitoring d un Datacenter du concept à la réalisation Par Norbert Andrey Tél: ++41(0)21 316 26 00 - Fax: ++41(0)21 316 27 26 Page 1 Objectifs - Détecter les défauts de fonctionnement et les notifier -
Plus en détailVERSION 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé les travaux
VERSION 2011 Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt du 1 er janvier 2011. Ce document doit être complété et signé par l installateur agréé Soltherm ayant réalisé
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailNOTICE DE SECURITE POUR LES ERP
Le Service Départemental d Incendie et de Secours Préfecture du Gers NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP GERS (En complément du dossier grand rassemblement) Objet de la démarche : Cette notice descriptive
Plus en détailAssises Européennes du Bâtiment Basse Consommations. Frédéric ric FRUSTA. Président Directeur Général. ENERGIVIE 25 Juin 2010
c1 Assises Européennes du Bâtiment Basse Consommations Frédéric ric FRUSTA Président Directeur Général ENERGIVIE 25 Juin 2010 Diapositive 1 c1 Merci de me fournir le texte complet de la page de titre cql;
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détail