ALIMENTATION ET ACTIVITE PHYSIQUE ET SPORTIVE AU COLLEGE

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2 ALIMENTATION ET ACTIVITE PHYSIQUE ET SPORTIVE AU COLLEGE L impact du sport sur la santé publique fait aujourd hui l objet d un intérêt croissant de la part des acteurs institutionnels concernés. L Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme «un plein bien être physique, psychique et social, qui ne se résume pas à une absence d infirmité ou de maladie». Le Comité Départemental des Offices Municipaux des Sports 13 (CDOMS 13) a initié depuis 2003, en partenariat avec la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative, une démarche de mobilisation des acteurs sportifs autour de la problématique Sport Santé. En association avec les habitudes alimentaires, le niveau habituel d activité physique est un des déterminants important de l état de santé des individus et des populations à tous les âges de la vie. En effet, il est aujourd hui de notoriété publique que la pratique d activités physiques et sportives régulières et adaptées participe activement à la prévention de nombreuses pathologies et notamment l obésité. Cette maladie s accompagne de conséquences majeures, pouvant conduire à une détérioration de la qualité de vie des individus concernés. Au niveau collectif, l obésité représente des coûts considérables qui pourraient, d après l OMS, doubler d ici 2015 si le rythme actuel de progression de la prévalence se poursuit. Plusieurs facteurs économiques et sociaux ont une influence majeure sur l obésité. Est souvent avancée l évolution profonde des modes de vie, notamment concernant les rythmes et les modes alimentaires ainsi que la sédentarisation des individus. En effet, l alimentation est depuis toujours pointée du doigt comme étant la principale raison des problèmes d obésité. La diminution de l activité physique au fil des années est également de plus en plus mise en avant dans la liste des déterminants de l obésité. Ces deux facteurs sont incontournables et complémentaires pour lutter contre l obésité. L alimentation est définie par ce que l on ingère, c est à dire les aliments et les boissons. Cette notion implique aussi l achat, la préparation et la consommation des aliments. L activité physique est définie par tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques qui entraîne une augmentation substantielle de la dépense énergétique. Elle inclut tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne et ne se réduit pas à la seule pratique de loisirs ou sportive 1. 1 Source : Groupe de travail spécifique PRSP 1 / 33

3 Sommaire 1/ Equipe projet et Comité de Pilotage... 4 Le chef de projet... 4 L équipe projet... 4 Le Comité de Pilotage / Analyse de la situation et caractérisation de la population concernée... 4 Les jeunes... 4 L offre d activité physique et alimentaire... 6 Les obstacles à la pratique et à une alimentation équilibrée et les leviers d action... 6 Les actions déjà mises en œuvre localement... 7 Les cadres législatifs, réglementaires et institutionnels / Partenaires... 9 Ministère de l Education nationale... 9 Collectivités territoriales... 9 Autres / Stratégies d intervention et objectifs... 9 Objectif général Objectifs spécifiques Objectifs opérationnels / Elaboration des actions Mobiliser les partenaires Accroître l offre d AP et alimentaire Mobiliser l entourage du jeune Modifier l attitude et développer les compétences des jeunes / Planification du projet / Estimation des besoins Humains Logistiques / Sources de financement / 33

4 9/ Suivi du projet / Evaluation / Communication autour du projet Communication pour la mobilisation administrative et les relations publiques Communication pour la mobilisation communautaire Communication médias pour la promotion de la pratique régulière d activité physique et pour une alimentation équilibrée Communication interpersonnelle visant la mobilisation de l entourage et la mise en œuvre du soutien social Information directe au public visé sur les actions mises en place ANNEXES Annexe 1 : Mise en œuvre d activités physiques régulières Annexe 2 : Point d information «Sport et santé» Annexe 3 : Aménagements d équipements Annexe 4 : «Semaine du goût» et Menus festifs Annexe 5 : Journées sportives extrascolaires Annexe 6 : Médiatisation du projet Annexe 7 : Journée «Rallye Sport Santé» Annexe 8 : Rencontres débats Annexe 9 : Intégration des thématiques «activités physiques» et «alimentation» dans les enseignements scolaires Annexe 10 : Supports d information Annexe 11 : Tableau de planification du projet Annexe 12 : Tableau d évaluation / 33

5 1/ Equipe projet et Comité de Pilotage Le chef de projet Arnaud GEBLEUX. L équipe projet Elèves délégués ou volontaires, chef d établissement, enseignants, infirmière de l établissement, médecin de l établissement, documentaliste, personnel de cuisine, Conseiller Principal d Education (CPE), parents d élèves, surveillants, assistante sociale de l établissement, réseau de spécialistes «sport santé 13» (coordonateur, nutritionniste, diététicien, médecin du sport, préparateur physique, physiologiste, psychologue du sport, ostéopathe, podologue ), familles (parents d élèves), collectivités territoriales, éducateurs sportifs, DRJSCS. Le Comité de Pilotage Chef d établissement, équipe pédagogique, Collectivités territoriales, CDOMS 13, Office Municipal des Sports (OMS) de la ville du collège, représentant rectorat, service prévention et promotion de la santé de l Agence Régionale de la Santé (ARS), DRJSCS PACA, CPCAM, CODES 13, mutuelles santé, CDOS 13. 2/ Analyse de la situation et caractérisation de la population concernée Les jeunes Le projet porte sur une population de préadolescents (classes de 6 ème à 3 ème ). Les Activités Physiques et Sportives (APS) pratiquées par les collégiens incluent la pratique obligatoire dans le cadre du cursus scolaire ainsi que l activité physique dans la vie quotidienne, les APS de loisirs encadrées (en club, en association, et dans le cadre de l éducation populaire et des accueils collectifs de mineurs à caractère éducatif), et les APS de loisirs libres. 4 / 33

6 D après un rapport mené dans les collèges et les lycées, l Education Physique et Sportive (EPS) bénéficie d une image très positive de la part des élèves. Le niveau d APS total des jeunes a diminué d environ 40 % en quelques années, ce qui renvoie à une baisse de leur forme physique. Seulement la moitié des jeunes atteignent le niveau d activité physique défini par les recommandations. En effet, 40 à 60 % des jeunes pratiquent uniquement l activité physique des cours obligatoires au collège et 50 % des jeunes adhèrent à un club ou une association sportive ou de loisirs, avec une fréquentation plus importante pour les garçons. Cette diminution de la pratique pendant l enfance contribue à l augmentation de l obésité chez les enfants et les adolescents. Aussi elle aura forcément, indépendamment de ses effets sur le poids, des répercussions sur l état de santé des futurs adultes. L obésité s accompagne de phénomènes de stigmatisation plus ou moins marqués. Ceux ci peuvent alors exercer une influence négative sur les parcours scolaires et sociaux des enfants, avec un risque de stagnation sociale. En effet, les enfants obèses peuvent souffrir de discrimination et de stigmatisation en milieu scolaire, de la part d élèves ou de professeurs. En France, la prévalence de l obésité infantile a fortement progressé au cours de ces 15 dernières années. Par exemple, en Provence Alpes Côte d Azur (PACA), la prévalence des enfants en surpoids est en forte augmentation (+ 48 % en 3 ans). Un enfant sur six présente un excès de poids. Cela est aussi dû à une mauvaise alimentation. En effet, la majorité des jeunes n a pas une alimentation équilibrée. On observe donc chez eux un déséquilibre dans les proportions des apports nutritionnels nécessaires. 68 % des adolescents (11 17 ans) ont des apports en calcium alimentaire inférieurs au besoin nutritionnel moyen 2. Seulement 20 % des enfants (3 18 ans) consomme au moins 5 fruits et légumes par jour. 30 % consomme du pain, des céréales, des pommes de terre, ou des légumes secs à chaque repas. Pas même la moitié consomme 1 à 2 fois par jour de la viande, de la volaille, des produits de la pêche, ou des œufs. Plus de la moitié ne privilégie pas les matières grasses végétales. Seulement 45 % d entre eux limite leur consommation de produits sucrés. Un quart des enfants à peine limite leur consommation de boissons sucrées et boit plus d un litre d eau par jour. Enfin, encore un quart d entre eux consomme du sel en trop grande quantité 3. 2 Source : INCA2, Source : ENNS, / 33

7 L offre d activité physique et alimentaire Les activités sportives de loisirs ont connu un développement important mais pas suffisant. Elles ne permettent pas de compenser la diminution de l activité physique quotidienne liée aux transports ou aux occupations scolaires et domestiques. Quant au nombre d heures de sport prévues dans les programmes scolaires français par les textes officiels, il fait partie des plus importants de la communauté européenne. La pratique est de 4 heures hebdomadaires en 6 ème, 3 heures hebdomadaires en 5 ème, et 2 heures en 4 ème et 3 ème. L alimentation des jeunes comprend celle servie à midi à la cantine du collège (pour les élèves demi pensionnaires) et celle dans le cadre extrascolaire (au domicile ou à l extérieur). La cantine propose des repas équilibrés adaptés aux enfants. Par contre, l alimentation varie d un jeune à l autre en fonction des habitudes familiales. Ces habitudes dépendent des possibilités financières, des connaissances nutritionnelles, de l implication et de la culture de la famille. Ce projet concernant des collèges différents, l offre d activité physique et alimentaire diffère en fonction de l implantation de ceux ci. Il est nécessaire d adapter les actions selon le constat réalisé sur place. Les obstacles à la pratique et à une alimentation équilibrée et les leviers d action Aujourd hui, notre société est structurée de telle sorte que la majorité des individus n ont pas besoin d être physiquement actifs au cours d une journée habituelle. L évolution de l offre de loisirs dits «passifs» (télévision, jeux vidéo ) favorise les comportements sédentaires. Aussi, la disponibilité et l accessibilité (spatiale, temporelle, organisationnelle, et financière) des lieux de pratique (espaces verts ou parcs, zones de loisirs, chemins piétonniers ou cyclables ) et des équipements sportifs sont souvent rendues difficiles par l urbanisation extensive ou par les distances entre le domicile et ces équipements. Enfin, les politiques de transport urbain influencent les pratiques familiales et celle des jeunes. Pour beaucoup, il n est souvent pas possible d être physiquement actif au quotidien à moins d une motivation et d efforts importants. De plus, on observe une diminution des APS de loisirs avec l âge (notamment à l adolescence). Le sexe est aussi un facteur déterminant de la pratique physique. En effet, la baisse de pratique touche plus particulièrement les filles. D autres facteurs individuels tels que les facteurs génétiques et biologiques, les compétences physiques, les facteurs intellectuels, émotionnels ou sociologiques, influencent la pratique. Par exemple, beaucoup d enfants obèses renoncent à l activité physique. L exclusion de l activité physique est source de discrimination et ne contribue pas à la qualité de vie et à la santé. Des mesures doivent 6 / 33

8 être prises et des dispositifs mis en place pour faciliter l activité physique adaptée aux enfants obèses en milieu scolaire et contribuer ainsi à la qualité de vie et à la santé 4. On remarque que la pratique est moins importante dans les milieux les moins favorisés. Le revenu du foyer est un facteur discriminant important, tout comme certains facteurs culturels qui constituent des freins à la pratique. En effet, en fonction de leur niveau socio économique, les individus ont une hiérarchie de valeurs différente. On peut ajouter que plus ce niveau est bas, moindre est la connaissance des bénéfices de l exercice, plus les ressources financières limitent l accès aux équipements, moins les milieux de vie sont favorables à la pratique d APS ou moins ils sont sécurisés (violence urbaine, trafic routier ). Les comportements nutritionnels et vis à vis des activités physiques des élèves ne dépendent pas uniquement de leurs choix. Des facteurs personnels (biologiques, socioculturels, changements liés à l adolescence ) et environnementaux (offre alimentaire et en activités physiques, publicités, pressions médiatiques ) sont aussi responsables. Il faut donc prendre en compte les conditions de vie des élèves et impliquer leurs familles ainsi que tous les acteurs concernés au sein du collège. En effet, l entourage social (famille, amis, enseignants, éducateurs, personnel de santé ) peut influencer la pratique d APS et l alimentation par son attitude et la transmission de valeurs ou par une incitation à la pratique et à une alimentation équilibrée. Par exemple, les parents, en tant que modèle sociétal et ayant la capacité à contrôler les comportements de leurs enfants, peuvent encourager ceux ci à être actifs, les inscrire à des activités, les accompagner, contrôler le temps qu ils passent devant un écran, contrôler leur alimentation, leur inculquer de bonnes habitudes alimentaires Il est clair que l environnement a une influence sur le mode de vie et l état de santé des individus. Il est donc nécessaire de prendre en considération le contexte social, culturel, physique et organisationnel dans lequel le jeune évolue. Des stratégies ciblant l environnement sont nécessaires pour une efficacité à long terme. On peut ajouter que le plaisir associé à la pratique d APS pendant l enfance et l adolescence est un élément prédictif du niveau de pratique du futur adulte. Il est donc nécessaire de mettre l accent sur l aspect convivial des activités et les rencontres amicales que peut entraîner leur pratique. Les actions déjà mises en œuvre localement Les études démontrent qu une meilleure alimentation, avec entre autre une consommation régulière de fruits et légumes, ainsi qu une activité physique régulière 4 Source : Plan Obésité / 33

9 permettent de prévenir les affections chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2, l obésité et certains cancers. Différentes interventions ciblant l activité physique ont permis un effet favorable à court terme sur la corpulence des jeunes. Mais seulement une étude à long terme (ICAPS) a démontré l intérêt, en termes de santé publique et de prévention de l obésité, de stratégies promouvant l activité physique. Les interventions fondées uniquement sur l information ou l éducation des individus améliorent les connaissances mais ont un effet limité sur les comportements et l état de santé des populations cibles. Celles ciblant les cours d EPS entraînent une hausse du niveau d activité physique à l école mais ont un effet limité sur les APS en dehors de l école et sur le poids. Très peu de projets ont pris réellement en compte l influence de l environnement sur le mode de vie des individus. Les cadres législatifs, réglementaires et institutionnels Ce projet se conforme au programme pour la santé des élèves du Ministère de l Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative. Il s inscrit aussi dans le cadre du projet d établissement de chaque collège, qui intègre le projet du Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté (CESC). Il renvoie au volet de l accompagnement éducatif, mis en place par le ministère de l Education nationale, consacré à la pratique physique. La pratique physique au sein des structures d accueil du périscolaire ainsi que dans la commune peut rentrer dans le cadre du Projet Educatif Local, des Ateliers Santé Ville (ASV), des Villes Vie Vacances (VVV), du Contrat Enfance et Jeunesse, ou du Contrat Urbain de Cohésion Sociale. En lien avec la santé et les collectivités, ce projet rentre dans le cadre des priorités régionales de santé et du Programme National Nutrition Santé (PNNS) / 33

10 3/ Partenaires Ministère de l Education nationale Etablissement scolaire : chef d établissement et équipes administratives et pédagogiques Associations de parents d élèves Equipes de médecine scolaire (mission pour la promotion de la santé en faveur des élèves) Représentants des élèves CESC Foyers socio éducatifs des collèges Chef cuisinier Collectivités territoriales CG 13 Villes et intercommunalité Autres OMS des Bouches du Rhône DRJSCS PACA ARS PACA Mutuelles santé CPCAM 13 CODES 13 Réseau de spécialistes «sport santé 13» 4/ Stratégies d intervention et objectifs Stratégiquement, l intervention suit une méthodologie de type ICAPS, à savoir : mettre en œuvre une série d actions articulées ciblant 3 niveaux : l enfant ou l adolescent lui même (ses motivations, ses connaissances et ses attitudes) 9 / 33

11 son support social (famille, amis, enseignants, éducateurs, animateurs pour l encourager à augmenter son niveau de pratique) son environnement physique et organisationnel (pour le rendre favorable à la pratique d activités physiques) Cette méthodologie s inscrit dans une logique de promotion de la santé (en référence à la Charte d Ottawa) qui favorise la pratique de l activité physique (Charte de Toronto). Objectif général Le projet contribue à moyen terme (dans les 4 ans) à améliorer les habitudes alimentaires et la forme physique des jeunes collégiens, et à long terme à améliorer leur espérance de vie en bonne santé. Objectifs spécifiques Un environnement physique et organisationnel favorisant la pratique d'ap et l alimentation équilibrée dans et autour de l'école, dans le quartier, au quotidien et pendant les loisirs : Dans les 4 ans, les collèges du projet ont inscrit un programme de type ICAPS dans leur projet d établissement. Dans les 4 ans, les collèges ont modifié leur règlement intérieur pour permettre la pratique d activités physiques attrayantes durant les pauses méridiennes, les permanences et en périodes périscolaires. Dans les 4 ans, les collèges ont initié les coopérations nécessaires avec les partenaires associatifs et institutionnels concernés. Dans les 4 ans, certaines communes du département inscrivent un programme de promotion de l activité physique dans la politique de la municipalité. Dans les 4 ans, tous les jeunes collégiens auront accès à une offre supplémentaire d activité physique dans le cadre scolaire ou périscolaire, fondée sur les jeux, le plaisir et la non compétitivité. Cette offre est connue par plus de 75% des jeunes et elle est utilisée par plus de 30% d entre eux. Ils bénéficient de plus de facilités d accès à une diversité d AP. 10 / 33

12 Un entourage social facilitant la pratique d'activités physiques et une alimentation équilibrée : Dans les 4 ans, la majorité des parents connaissent le projet et se déclarent favorables à sa mise en œuvre. Dans les 4 ans, plus de 75% des équipes professionnelles du collège connaissent les bénéfices pour les jeunes de l activité physique et de l alimentation équilibrée et ont modifié leur attitude pour encourager ou faciliter la pratique des jeunes. Dans les 4 ans, plus de 50% des parents d élèves des collèges auront pris des mesures concrètes pour encourager la pratique d activité physique et l alimentation équilibrée de leurs enfants (inscription dans un club, accompagnement à une activité, participation à une activité, conception de repas équilibrés). Une augmentation de la pratique de l'activité physique et de l alimentation équilibrée par les jeunes dans ses différentes composantes : Dans les 4 ans, tous les jeunes collégiens de chaque établissement seront sensibilisés aux bienfaits de la pratique d activité physique et sportive et aux bons comportements alimentaires. Dans les 4 ans, tous ces jeunes collégiens auront élaboré et formalisé un capital de connaissances sur ces mêmes thèmes. Dans les 4 ans, plus de 50 % de ces collégiens auront été amenés à rééquilibrer leurs apports nutritionnels journaliers et à pratiquer au moins 60 minutes d activité physique quotidienne (passage de la connaissance à la mise en pratique). Objectifs opérationnels Etablir un diagnostic Une offre d'activité physique et alimentaire diversifiée et connue : Entre octobre 2012 et janvier 2013, distribuer aux professionnels des établissements scolaires et extrascolaires une brochure de présentation du projet répertoriant l'offre de sensibilisation qui leur est destinée. 11 / 33

13 En mars avril 2013, organiser une session de sensibilisation des professionnels (Education Nationale, acteurs de terrain du quartier) sur chaque établissement scolaire. Entre décembre 2012 et mars 2013, distribuer aux parents une brochure de présentation du projet. Entre septembre 2012 et janvier 2013, distribuer aux parents via les élèves une brochure répertoriant l offre d activité physique (club, associations, centres de loisirs, écoles, infrastructures, aires de jeux ) par quartier. Entre septembre 2012 et janvier 2013, distribuer aux parents via les élèves une brochure répertoriant le profil des aliments. Des intervenants en capacité de la mettre en œuvre : En mars, mai et novembre 2013, organiser des sessions de formation de 2 jours des professionnels encadrant des temps d'activités sur les moyens d'encourager les jeunes à changer leur comportement. Des institutions engagées : De septembre 2012 à février 2014, organiser 3 comités de pilotage sur chaque établissement. De septembre 2012 à février 2014, organiser 4 réunions de travail entre l'équipe projet et les équipes administratives et/ou de vie scolaire de chaque établissement pour favoriser la mise à disposition d'espaces de pratiques et de temps d'intervention auprès des jeunes. Entre septembre 2012 et février 2014, organiser 9 réunions de travail entre l équipe projet et les équipes pédagogiques de chaque établissement en vue d une appropriation du projet et de son intégration dans les programmes dans le cadre du Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté (CESC). De septembre 2012 à février 2014, organiser 3 réunions de travail entre l'équipe projet et les équipes municipales et les représentants de parents (parents d'élèves et réseau parentalité) pour organiser les trajets des sorties familiales. 12 / 33

14 Un entourage concerné : En mars, mai et novembre 2013, organiser 3 sorties actives familiales dans chaque secteur afin de promouvoir la pratique familiale et ludique d'activités physique (sortie pédestre, cycliste, maritime, roller ). Entre septembre 2012 et février 2014, mobiliser les réseaux parentalité afin de sensibiliser les parents sur les bienfaits de la pratique régulière d activités physiques et d une alimentation équilibrée par la présentation de la démarche lors de réunions thématiques du réseau. Des jeunes concernés : De janvier à juin 2013, dans chaque collège, un groupe de jeunes est formé et accompagné pour devenir pairs éducateurs. De janvier 2013 à février 2014, les jeunes pairs éducateurs travaillent avec les professionnels encadrant pour élaborer et étendre l'offre d'activité Physique. De janvier 2013 à février 2014, sur chaque territoire, 5 journées de découverte d'activités physiques sont organisées par les pairs éducateurs et les encadrants pour qu'ils découvrent l'ensemble de l'offre disponible dans le quartier. En octobre 2012, organiser une journée découverte d activités avec quelques ateliers de diagnostic (voir rallye). Entre novembre et décembre 2012, organiser les rencontres débat sur les heures de vie des classes (débriefing rallye sport santé). Entre novembre 2012 et juin 2013, mettre en place des séances d activité physique dans le temps périscolaire 2 fois par semaine, auxquelles 20% des élèves de 6 ème participent régulièrement. Dans les 4 ans, les élèves auront élaboré des supports d information et de sensibilisation avec leurs enseignants. 13 / 33

15 5/ Elaboration des actions Mobiliser les partenaires Sensibilisation et implication des institutions concernés : collège, municipalité, inspection académique, rectorat, ARS, structures périscolaires et de loisirs, DRJSCS PACA, Conseil Général 13 (engagements explicites, modifications organisationnelles, partenariats avec organismes et associations extrascolaires, collaboration de nouveaux acteurs). Organisation de réunions de travail entre l équipe projet et les équipes pédagogiques des collèges. Sensibilisation et formation à l organisation et à l animation d activités physiques de loisirs et au renforcement positif des compétences des jeunes, en direction des intervenants et professionnels. Accroître l offre d AP et alimentaire Mise en œuvre d activités physiques régulières pendant la pause méridienne et/ou 16h30 17h30 en périodes scolaires après les vacances de la toussaint 2012 (cf. annexe 1). Création et animation au sein du collège, un point d information sur les possibilités d activités physiques dans et en dehors du collège (cf. annexe 2). Aménagements d équipements diversifiés sécurisés et sécurisants favorisant l activité physique et une alimentation saine (installer un garage à vélo, aménager une salle de sport, terrains multisports, installer un bar à soupe, distribution de fruits de saison, fontaines à eau réfrigérantes, code couleur ) (cf. annexe 3). Instauration d une «semaine du goût» et de «menus festifs» réguliers (cf. annexe 4). Mobiliser l entourage du jeune Organisation de 3 journées sportives extrascolaires avec les familles (cf. annexe 5). Médiatisation du projet (cf. annexe 6). Invitation des sportifs de haut niveau de la ville à intervenir dans les écoles ou lors de journées évènementielles. 14 / 33

16 Modifier l attitude et développer les compétences des jeunes Mise en place d une journée événementielle sous forme de Rallye dans le temps scolaire (1/2 journée banalisée) afin de sensibiliser au «mieux bouger», «mieux manger», et prendre conscience de la sédentarité (cf. annexe 7). Organisation de rencontres débats avec les élèves, les professeurs, et les professionnels de santé à la suite de la journée rallye sport santé sur les heures de vie de classe, aux bénéfices de l activité physique régulière et d une alimentation équilibrée (cf. annexe 8). Intégration des thématiques «activité physique» et «alimentation» dans les enseignements scolaires (cf. annexe 9). Elaboration dans le temps scolaire de supports d information avec les enseignants (cf. annexe 10). Mise en place de stages multi activités (alimentation + APS). 6/ Planification du projet Coordination du projet : Mars 2012 Juin 2016 Conception et préparation du projet : Mars 2012 Juin 2012 Campagne d information des familles : A partir de Septembre 2012 Bilan initial (enquête sur les activités, les habitudes et les connaissances des jeunes et de leurs parents, photo langage, mesure de l IMC ) : Septembre 2012, 2013, 2014, 2015 (une journée banalisée dans le temps scolaire) Lancement et développement : Septembre 2012 Juin 2016 (cf. annexe 11) 15 / 33

17 7/ Estimation des besoins Humains Les besoins en ressources humaines comprennent le temps de coordination de l action et le temps d intervention auprès des jeunes. Educateurs, intervenants relais, ETAPS, responsables des associations et des centres d accueil Personnels pédagogiques, administratifs, médicaux et paramédicaux des établissements scolaires, et de l Education nationale Personnels médicaux et paramédicaux des institutions partenaires (collectivités locales, associations, ARS ) Bénévoles, familles, amis, accompagnateurs Réseau de spécialistes «sport santé 13» Logistiques Ordinateurs Salle de réunion Cour de récréation Parcs à vélo et casiers Mise à disposition d un bus ou de vélos Salle de formation Matériel pédagogique Salle de classe Fléchage, éclairage, matérialisation des zones 30 (en lien avec la sécurité routière) Autre matériel à prévoir 8/ Sources de financement La mise en place du projet nécessite des sources de financements internes et externes. o ARS o DRJSCS o Collectivités territoriales : Municipalité, Intercommunalité, CG13, Conseil Régional o Centre National de Développement des Sports (CNDS) o Assurance maladie 16 / 33

18 o Financements privés (Mutuelles, Fondations ) 9/ Suivi du projet Le suivi de projet est indispensable pour le pilotage du projet ; il est réalisé tout au long du projet à l aide d indicateurs de processus et de résultats. Nombre de participants (enfants et parents) aux activités scolaires et périscolaires. Nombre de réunions et présence des personnes concernées. Nombre de partenaires acquis par rapport au nombre de demandes effectuées au préalable. Composition des plateaux des jeunes à la cantine : Equilibré? Soupe? Fruits? Légumes? Réponses aux questionnaires sur la pratique physique et sur l alimentation des jeunes et de leurs parents. 10/ Evaluation Quantitative : Fréquentation des journées sportives extrascolaires et des séances d Activité Physique Nombre de supports diffusés Nombre d aménagements d équipements effectués Nombre d articles de presse Qualitative : Sondage des partenaires Enquête auprès des bénéficiaires (questionnaire de satisfaction) Résultats des évaluations 17 / 33

19 (cf. annexe 12) 11/ Communication autour du projet Pour être efficace, la communication doit se dérouler avant, pendant et après le projet. Communication pour la mobilisation administrative et les relations publiques Contact et sensibilisation des personnes clé au moyen de : Réunions et discussions avec les différentes composantes du comité de pilotage et les autorités administratives Réunions de partenariat Recours à des porte parole connus pour faire connaître le projet L inscription du projet à l ordre du jour de la gestion publique et administrative par les médias Communication pour la mobilisation communautaire Actions d information et de sensibilisation sur l activité physique et l alimentation, en lien avec la santé, et sur l influence déterminante du soutien de l entourage : Dépliants distribués au collège, dans la ville, dans les associations Site internet à destination de la population Affiches incitant à l activité physique et à une alimentation saine dans la ville, expositions Médiatisation des actions mises en place dans le cadre du projet : Presse écrite, site internet Dépliants, brochures, campagne d affichage Manifestations et journées évènementielles visant à faire connaître les possibilités d activité physique sous toutes ses formes et une grande variété d aliments, et à inciter les populations cibles ou leur entourage (parents, éducateurs ) à la pratique physique et à une alimentation équilibrée : «Journée Tous à vélo» Réalisation de documents Journées découverte de «l activité physique plaisir» Journées portes ouvertes d associations 18 / 33

20 Journées sport en famille Actions similaires ciblant la population générale : Presse écrite Débats citoyens Dépliants, lettres posters Campagne d affichage au sein des établissements, de la région Communication médias pour la promotion de la pratique régulière d activité physique et pour une alimentation équilibrée Création d un nom ou slogan pour le projet Création d un logo pour le projet Création d un acronyme Radio locale ou régionale Journaux locaux ou régionaux Internet (site de la commune, du collège, des structures périscolaires) Affiches Communication interpersonnelle visant la mobilisation de l entourage et la mise en œuvre du soutien social Mise à disposition des enseignants, éducateurs, parents, d un support d information sur les liens activité physique, alimentation et santé (brochures d information sur l activité physique et l alimentation remises aux parents via les enfants) Réalisation par les collégiens d affiches, de flyers, de brochures, d expositions Promotion des déplacements actifs et de l activité physique en général ainsi que de l alimentation équilibrée Information directe au public visé sur les actions mises en place Information régulière des jeunes et de leur entourage sur l offre d activité physique de la structure concernée (horaires, lieux, conditions de participation, personne référente), sur son accessibilité et sa mise en sécurité Information régulière des jeunes et de leur entourage sur l offre alimentaire de leur environnement, son accessibilité Annonce des journées évènementielles aux jeunes, à leurs parents ou aux personnesrelais Annonce de formations sur la promotion de la pratique régulière d activité physique et d une alimentation équilibrée 19 / 33

21 ANNEXES 20 / 33

22 Annexe 1 : Mise en œuvre d activités physiques régulières Objectifs : Augmenter le temps de pratique d activités physiques des jeunes en recherchant la participation maximale de tous et en renforçant leurs compétences. Public cible : 200 élèves de 6 ème et 5 ème volontaires (recensés notamment lors du rallye) Sans inscription préalable (mais relevé du nombre de participants par séance) Contenu : Mise en place d un cycle de séances d activités physiques basées sur le plaisir, la non compétition et la rencontre de l autre. Les activités sont de type «Hip Hop», «jeux collectif» et autres, à définir avec les élèves lors du débriefing. Utilisation de cardio fréquencemètres et travail sur le ressenti lors de l effort à partir de l échelle de Borg. Quand : Pendant la pause méridienne (de 12h20 à 13h20), ou immédiatement après le temps scolaire. Fréquence : 4 jours par semaine. Lieu : Structure sportive de l établissement scolaire ou proximité. Encadrement : Les séances sont animées par des éducateurs sportifs extérieurs à l établissement ou des enseignants volontaires (1 éducateur pour 15 enfants). Modalités : Prise en charge, organisation et suivi des séances par le CDOMS en s appuyant sur les compétences locales (enseignants volontaires, associations sportives locales, OMS local ). Fiche technique n 2 : Mise en mouvement grâce à des jeux collectifs + Exemple d animation d activité physique favorisant le renforcement des compétences des jeunes (ICAPS) Exemple d animation d activité physique pendant le temps périscolaire (ICAPS) 21 / 33

23 Annexe 2 : Point d information «Sport et santé» Objectif : Informer régulièrement les collégiens sur les possibilités d activités physiques dans et en dehors du collège. Public cible : Tous les élèves du collège. Contenu : Affichage de l actualité du programme des activités au collège (ICAPS, UNSS, etc ) Guide des activités physiques des clubs, de la ville, des centres de loisirs Guide des installations sportives, des espaces sportifs par quartier Pyramide alimentaire Communication sur les circuits de déplacements domicile école périscolaire (à pied ou vélo) et leurs conditions de sécurité (balisage, adultes pour faire traverser les enfants ) Quand : Durant toute l année scolaire. Lieu : Au sein du collège. Encadrement : Informations disponibles en libre service. 22 / 33

24 Annexe 3 : Aménagements d équipements Objectif : Favoriser la pratique d activités physiques et une alimentation saine par l aménagement d équipements diversifiés. Public cible : Tous les élèves du collège. Contenu : Installation d un garage à vélo Instauration d un espace de pratique (salle de musculation, terrain en libre service ) Bar à soupe Généraliser la distribution de fruits de saison Favoriser la consommation d eau potable en facilitant l accès aux points d eau (installation de fontaines à eau réfrigérantes ) Instauration d un code couleur à la cantine pour repérer les différents groupes d aliments Quand : Dès le début de l année scolaire. Lieu : Au sein de l établissement. 23 / 33

25 Annexe 4 : «Semaine du goût» et Menus festifs Objectif : Valoriser l éducation sensorielle des enfants. Public visé : Tous les élèves de l établissement. Contenu : «Semaine du goût» : Durant une semaine, les élèves découvriront, dans les menus de la cantine, des produits moins classiques et peu connus. Menus festifs : Ponctuellement, la cantine proposera aux élèves des menus à thème (de Noël, de la Chandeleur, de Pâques, de la mer, de la terre, de différentes régions ). Quand : Tout au long de l année scolaire. Lieu : Au sein de la cantine du collège. 24 / 33

26 Annexe 5 : Journées sportives extrascolaires Objectif : Organiser des sorties où les élèves et leurs familles sont conviés afin de mobiliser l entourage des collégiens sur le thème de l activité physique, et de donner le goût de la pratique du sport en famille. Public cible : Tous les élèves du collège et leurs familles. Contenu : Une journée multisports : en partenariat avec l OMS et la ville en septembre 2012 Une sortie VTT en famille. Une sortie Randonnée pédestre en famille. Quand : De septembre à la fin de l année scolaire. Lieu : Extérieur. Fréquence : 3 par an. Encadrement : Les sorties sont encadrées par des éducateurs sportifs extérieurs à l établissement (1 éducateur pour 15 enfants). Fiches techniques n 3 et 5 + Exemple d une journée multisports (ICAPS) 25 / 33

27 Annexe 6 : Médiatisation du projet Objectif : Faire connaître au plus grand nombre de personnes l existence du projet, son thème, et ses principaux axes d action. Public cible : Tout le monde. Contenu : Brochure à destination des parents Brochure à destination de l équipe pédagogique Spots radio et télévisuels (chaîne locale) Affiches Apparition sur divers sites internet Parution dans la presse écrite locale Quand : Avant le lancement de la première action et tout au long de la réalisation du projet. 26 / 33

28 Annexe 7 : Journée «Rallye Sport Santé» Objectif : Recenser les profils des élèves de 6 ème Faire prendre connaissance aux élèves de leur potentiel physique Evaluer leur niveau de connaissance en termes de bonnes pratiques en nutrition Faire découvrir des activités physiques aux enfants avec notamment de nouvelles formes de pratiques (ex : jeux collectifs, hip hop, etc.) Donner aux élèves le goût de la pratique physique Public cible : Tous les élèves de 6 ème de l établissement. Contenu : Des ateliers d évaluation : Évaluations biométriques (IMC) Evaluation de la condition physique (tests mentionnés ci dessous) Evaluation de l inactivité physique et la sédentarité (questionnaire) Evaluation des connaissances sur la nutrition (Quizz nutrition) Evaluation des habitudes alimentaires (liste des courses, inventaire du frigo, menus ) «Jeu de l oie» (CODES ou CDOS 13) Questionnaire pour évaluer l activité physique des jeunes (ICAPS) Tests condition physique : Force de préhension (dynamomètre) Détente verticale (Optojump) Lancer de Medecine ball assis Vitesse sur 50 m départ arrêté Endurance marche ou course à pied sur 6 minutes (TDM6) Test de souplesse des épaules Test de souplesse des chaines postérieures Des ateliers de pratiques physiques ludiques (conditionnés par l offre de pratique locale) : Jeux collectifs Hip hop Arts martiaux 27 / 33

29 Tennis de table / Badminton Parcours habileté en VTT Fitness Ultimate Quand : Entre octobre et décembre 2012, dans le temps scolaire (1/2 journée banalisée). Lieu : Au sein des locaux du collège. Fréquence : 1 par année scolaire. Encadrement : La demi journée est encadrée par des éducateurs sportifs extérieurs à l établissement (1 éducateur pour 15 enfants), ainsi que par les professeurs des classes concernées. Modalités : Banalisation d une journée dans l établissement qui permet à tous les enfants de 6 ème d être disponibles. Appui humain des professionnels de l activité physique, de la santé et des enseignants pour les évaluations et/ou les quizz et l accompagnement des groupes d élèves sur les ateliers. Ateliers d activité physique par des associations locales et des intervenants extérieurs pour de nouvelles formes de pratique. Coordination et support logistique du CDOMS 13 pour la mise en place de la journée. Support matériel Ville et OMS. 28 / 33

30 Annexe 8 : Rencontres débats Objectif : Renforcer l information sur la notion de sédentarité (notamment temps d écran) et informer sur les bienfaits physiologiques, psychologiques et sociaux de l activité physique et sur les bénéfices d une alimentation équilibrée. Public visé : Tous les élèves de 6 ème, ainsi que l équipe pédagogique de l établissement. Contenu : Présenter et interpréter les résultats obtenus Profil de la classe (statistiques présentation radars) : Résultats du Rallye Résultats nutrition Résultats pratique d Activités Physiques Informer sur la notion de sédentarité et sur les bienfaits de l Activité Physique Informer sur les repères nutritionnels, sur la notion de portion, sur les relations entre nutrition et pathologies, sur le bon usage des compléments alimentaires, sur la question de la consommation d alcool ; apprendre à lire les étiquettes des emballages des produits alimentaires ; insister sur la consommation d eau et l importance de l apport hydrique lorsque l on pratique des activités physiques ; faire le lien avec la notion de rythme de vie (repas structurés, activités, sommeil) Animer un photo langage sur le thème de la santé (nutrition, environnement, activité physique ) Echanges avec les élèves et les professeurs Choix partagé d une offre de pratique complémentaire à proposer dans le périscolaire Quand : Suite à la journée «Rallye Sport Santé», sur les heures de vie de classe. Lieu : Au sein de l établissement. Fiche technique n 4 + Exemple de «rencontres débats» (ICAPS) 29 / 33

31 Annexe 9 : Intégration des thématiques «activités physiques» et «alimentation» dans les enseignements scolaires Objectif : L Activité Physique et l alimentation dans leurs multiples dimensions sont incluses dans certains enseignements par les professeurs des classes de 6 ème de manière à devenir un «fil rouge» tout au long de l année scolaire. Public visé : Toutes les classes de 6 ème, et plus précisément les professeurs concernés. Contenu : Langues vivantes : Enrichir le vocabulaire spécifique lié au corps et à l activité physique, ainsi qu à l alimentation. Musique : Travailler différents rythmes musicaux de manière active (debout, par des mouvements corporels ). Arts plastiques : Découverte de diverses techniques au cours de productions artistiques sur les thèmes de l Activité Physique et de l alimentation. Français : Expression orale et écrite utilisant les thématiques «Activité Physique» et «Alimentation». Quand : Tout au long de l année scolaire. Lieu : Au sein de l établissement. 30 / 33

32 Annexe 10 : Supports d information Objectif : Faire réfléchir les enfants sur le thème de l alimentation et de l activité physique, leur faire intégrer les connaissances de base, les mettre à contribution. Public visé : Toutes les classes de 6 ème. Contenu : - Réalisation d une fresque sur «l activité physique au quotidien» - Réalisation d une brochure sur l Activité Physique et/ou l alimentation équilibrée - Réalisation de sets de table sur le thème de l alimentation pour la cantine - Réalisation d une exposition sur l alimentation équilibrée dans la cantine Quand : Dans le temps scolaire. Lieu : Au sein de l établissement. Encadrement : Réalisés avec les enseignants. 31 / 33

33 Annexe 11 : Tableau de planification du projet 32 / 33

34 Annexe 12 : Tableau d évaluation 33 / 33

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