Introduction aux concepts de la théorie DEB (Dynamic Energy Budget) ; Applications pour l étude des cycles de vie de poissons

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Introduction aux concepts de la théorie DEB (Dynamic Energy Budget) ; Applications pour l étude des cycles de vie de poissons"

Transcription

1 Introduction aux concepts de la théorie DEB (Dynamic Energy Budget) ; Applications pour l étude des cycles de vie de poissons Laure PECQUERIE IRD / LEMAR Brest laure.pecquerie@ird.fr NOTA: de (très) nombreuses diapos sont tirées du cours d introduction à la théorie DEB de Y. Thomas aux Master 1 du Pôle Halieutique d Agrocampus Ouest (2012)

2 PLAN DE L EXPOSÉ 1. Concepts de la théorie DEB 2. Le modèle DEB standard (+ code R) 3. L otolithe = un exemple de «DEB product» 4. Pour aller plus loin

3 Un peu d histoire Bas Kooijman, en 1979 Deux questions : Comment peut on quantifier l effet de composants toxiques sur la reproduction des daphnies? Quel est l effet d une réduction faible de la reproduction d un individu sur la dynamique de la population?

4 Observations : Croissance asymptotique

5 Hypothèses Pütter (1920) : la croissance est le résultat d une différence entre processus de synthèse (anabolisme) et de dégradation (catabolisme) croissance = surface volume et V W Kleiber (1932) : taux métaboliques sont proportionnels à W 3/4 von Bertalanffy (1938) dw dt = aw b cw d 2 b 3 c = 1, 3 4

6 Equation de von Bertalanffy K.L. von Bertalanffy ( ) L : longueur asymptotique k : taux de croissance de VB L 0 : longueur à t 0

7 Equation de von Bertalanffy Croissance = Anabolisme catabolisme f(surface) f(volume) Equation différentielle de VB en masse

8 Modèles bioénergétiques Modèles statiques, Scope for Growth C consommation G reproduction E excrétion F faeces R respiration dw dt = C ( G + E + F + R) Modèles dynamiques de production nette et modèles DEB

9 Diffusion de la théorie

10 1. LES CONCEPTS DE LA THÉORIE DEB

11 Objectifs de la théorie DEB Décrire l acquisition d énergie et utilisation de cette énergie par un organisme au cours de son cycle de vie pour réaliser ses différentes fonctions biologiques (croissance, reproduction ) de manière mécaniste et en fonction de l environnement. Comprendre les points communs entre les espèces d un point de vue bioénergétique, en lien avec l évolution Un modèle DEB = un ensemble d hypothèses principales (modèle standard) + hypothèses secondaires (spécifiques de l application) Bactéries, champignons, plantes et animaux

12 Transferts d échelles Espace Climat Ecosystème Anthropisation Population Toxiques Individu Cellule Temps

13 Démarche de modélisation Consommation d oxygène Empirique R = al b Kleiber (1932) b=2.25 Théorique R = cl 2 + dl 3 (Kooijman, 2000) a = ; b = c = ; d = Daphnia pulex d après Kooijman (2000)

14 Why Dynamic Energy Budget (DEB) theory? (Kooijman 2010) Simplest full life cycle model: single set of equations and parameters to describe individual growth, development and reproduction in a dynamic environment Body size scaling relationships to describe which physiological parameters differ among related species Integration of multiple stressors (e.g. age and size at every stage transition will depend on temperature, food conditions, pollutants, parasites, encountered by the individual)

15 Cycle de vie d un individu Modèle standard = 3 stades Embryon, qui ne se nourrit pas et ne se reproduit pas Juvénile : qui se nourrit mais ne se reproduit pas Adulte : qui se nourrit et se reproduit (1) (3) (2)

16 Life events in a standard DEB model food assimilation faeces somatic maintenance κ reserve 1-κ maturity maintenance growth development reproduction structure reproduction maturity buffer

17 Model simulations Length Flow Weight Food density Fecundity / egg size Temperature INPUTS DEB MODEL OUTPUTS

18 Schéma conceptuel Environnement Organisme Variables forçantes Modèle Equations Variables d état Paramètres Variables secondaires (longueur, masse ) Données de calibration / validation

19 Body size scaling relationships based on length at spawning Pink (L sp = 53 cm) Sockeye (L sp = 55 cm) Coho (L sp = 64 cm) z = 53/87 = 0.6 z = 55/87 = 0.63 z = 64/87 = 0.74 Some parameters vary: Assimilation Development thresholds Chum (L sp = 68 cm) Chinook (L sp = 87 cm) (Quinn, 2005) z = 68/87 = 0.78 z = 1 Other parameters stay constant

20 Step 1: Reproduction weight follows predictions from body size scaling relationships Data Analysis (From Beacham and Murray, 1993)

21 Step 1: Reproduction weight follows predictions from body size scaling relationships Data (From Beacham and Murray, 1993) Simulations (Pecquerie et al. 2011)

22 Step 1: Length at emergence as a function of egg weight is also well reproduced Data (From Beacham and Murray, 1990) Simulations (Pecquerie et al. 2011)

23 Step 2: Variation among individuals (Chinook) High food Average food Low food 5 C 7.5 C 10 C

24 Step 2: Variation among individuals (Chinook) High food Average food Low food 5 C 7.5 C 10 C

25 Step 2: Qualitatively, the model captures variations in life history traits among individuals (Chinook)

26 2. LE MODELE DEB STANDARD

27 Notations Codification DEB : { } : Surface dépendant (.cm -2 ) [ ] : Volume spécifique (.cm -3 ) : Taux (j -1 ) Exemples : {&p Am } max. journalier d 'assimilation surface spécifique (J. j 1. cm 2 ) [ Em] Densité max. de l'énergie réserve (J. cm 3 )

28 Volume structurel La longueur (L, cm), ou volume structurel (V, cm 3 ) plutôt que l âge. Avec V = (δl) 3 Un pin centenaire 2 individus d une même cohorte Kooijman(2000)

29 La réserve Un organisme réagit lentement aux variation du milieu, il faut un «filtre» E est présent dans (1) les organes de stockage et (2) dans chaque cellule (vacuole, lysosome ) E = protéine, glucide, lipide, ARN W = d.v + µ E.E L L d = densité de la structure µ E = contenu énergétique des réserves V E 1 W 1 V E 2 W 2

30 La densité de réserve [E] = E / V [E] 0 [Em] [Em] : capacité maximale de stockage d un organisme (J.cm -3 ) En conditions constantes, la densité de réserve d un organisme reste constant: hypothèse fondamentale de la théorie = contrôle la dynamique des réserves E V E V E V.

31 Equations du modèle X p X p A P 3 équations différentielles E p c de dt dv dt deh dt der dt = = = = p& A ( κp& C p& C p& (1 κ) p& (1 κ) p& C C M ) /[ E p& p& J J G ], if, if E E H H < E E H H p p,else,else V de dt de dt H R κp C p M pg pr = 0 = 0 (1 - κ) P C p J E R

32 Effet de la température Tout flux physiologique dépend de la température (dérivée de la loi d Arrhénius, 1889, qui décrit la vitesse d une réaction chimique en fonction de la température) Dans la gamme de tolérance on a : &k(t ) = k(t & 1 ).exp T A T A T 1 T T A :Température d ' Arrhénius (K) = f (espèce) T 1 :Température de référence (K) Daphnia magna (d après Kooijman, 2010)

33 Effet de la température Au delà de la gamme de tolérance : Limite inférieure : entrée en phase de quiescence Limite supérieure : dégradation des protéines &k(t) = k(t & 1 ).exp T A T A T 1 T 1+ exp T AL T T AL T L + exp T AH T H T AH T 1 T A T AL T AH Escherichia coli (d après Kooijman, 2010)

34 Assimilation L ingestion suit une loi de saturation X Le taux d ingestion dépend: de la surface de l individu de la température de la densité en nourriture Une fraction de ce qui est ingéré sera assimilé p X E p A F {&p X } Michaelis Menten {&p Xm } { } X f = = réponse fonctionnelle X + X K 0.5 &p Xm X k X

35 Assimilation L ingestion suit une loi de saturation Le taux d ingestion dépend: de la surface de l individu de la température de la densité en nourriture Une fraction de ce qui est ingéré sera assimilé (fonction du type de nourriture) &p A = V 2/3 f { &p Xm } κ X k(t & ) V : volume structurel (cm 3 ) f : réponse fonctionnelle (0 1) {&p Xm }:max.d 'ingestion (J.cm 2. j 1 ) κ X : efficacité d 'assimilation (%) X p X E p A F X K : coefficient de demie saturation

36 Utilisation des réserves &p A Em p A E de dt = &p A &p C E p c &p C = f ( E [ ],V) Coût de construction d une unité de V (J.cm -3 ) &p C = [ E G ]V 1/3 &p Am [ E ] m { } + &p M [ ] [ E ] G E + κ V 1 Coût de maintenance d une unité de V (J.cm -3 ) Max. de réserve par unité de V (J.cm -3 )

37 Allocation de l énergie κ rule Une fraction constante de l énergie de réserve est allouée à la croissance et maintenance somatique, le reste étant alloué à la maturité/reproduction V p c κp C (1 - κ) P C p M p J p G p R E R Sous certaines conditions, κ peut varier : entre les sexes (dimorphisme sexuel); en fonction de la photopériode (e.g. végétaux); dans les conditions de jeun extrême (remobilisation de la structure); en cas d infection et de pollution (perturbation endocrinienne).

38 Maintenance somatique Lamaintenance somatique permet le maintient en vie : Maintien des gradients cellulaires de concentration Turnover des protéines et des enzymes Tension moyenne des muscles Mouvements minimaux Production de phanères (poil, plume, écaille, coquille), de mucus et de mue Osmo régulation p M V κp C p G La maintenance somatique dépend : Du volume structurel De la température Prioritaire sur la croissance! &p M = V [ &p ] M k(t & ) [ &p M ] : taux de maintenance par unité de V (J. cm 3. j 1 )

39 p& G dv = dt = κp& C p& G [ E ] G p& M Croissance L énergie allouée à la croissance somatique est : p M V κp C p G [ E G ]: énergie allouée à la construction d 'une unité de V (J. cm 3 1 ) Ce coût, [E G ] revêt un caractère universel : «a cell is a cell» ; du «même ordre de grandeur» pour les eucaryotes: ( J.cm 3 )

40 Développement/maturité Développement et acquisition de la maturité : Développement du système immunitaire Mise en place du système de régulation hormonale Développement des caractères sexuels primaires et secondaires Métamorphose /... p & = J k& J E H (1 - κ) P C p J p R E H Max à la «puberté», i.e. E H = E Hp

41 Reproduction L énergie allouée à la reproduction est : &p R = (1 κ) &p C &p J (1 - κ) P C p J p R La synthèse des gamètes se fera à partir de l énergie stockée pour la reproduction, avec une certaine efficacité (κ R ). La gestion de l énergie allouée à la production puis l émission des gamètes est extrêmement variable dans le règne animal : Des espèces se reproduisent dés lors que E R est suffisant pour produire un œuf; D autres attendront qu une certaine quantité d énergie soit disponible; Le buffer E R peut ne pas être vidé totalement après la reproduction (ponte partielle); E R Gamètes

42 En résumé Pour le modèle «standard» : 3 stades de vie 4 variables d état 2 variables forçantes 3 équations différentielles 10 aine de paramètres primaires

43 3. L otolithe = un exemple de «DEB product»

44 Fish otoliths = bio calcified structures Fish metabolism (growth + maintenance) Environment

45 Biocarbonate = metabolic product

46 Biocarbonate = metabolic product Assumption: biocarbonate formation coupled to growth + maintenance fluxes

47 Biocarbonate = metabolic product dv dt O = α p& + β p& G D O α p& G = αp& + βp& G D Assumption: biocarbonate formation coupled to growth + maintenance fluxes

48 Biocarbonate = metabolic product Simulation for a constant environment dv dt O = α p& + β p& G D O α p& G = αp& + βp& G D Assumption: biocarbonate formation coupled to growth + maintenance fluxes

49 Otolith modeling : individual history Otolith growth and opacity Data Environment DEB model (Pecquerie et al. 2012) Length Simulation

50 Otolith modeling : individual history Otolith growth Slow growing fish have larger otoliths and opacity We can reproduce main observations on otolith growth and opacity with simple mechanisms Environment (Pecquerie et al. 2012) DEB model Length

51 Food history reconstruction from otolith DEB model We can theoretically reconstruct both growth and assimilated food from temperature and otolith data extraction of new information from data difficult to obtain new information = food in natural conditions, at the individual scale Assimilated food + (Pecquerie et al. 2012) Reconstruction of length DEBtool routine: animal/o2f.m

52 Two age-3 individuals? Individual 1 Individual 2 (Pecquerie et al. 2012)

53 3 years-old 2 years-old False check

54 Application: North Sea (NS) cod otoliths at odds with Barents sea (BS) cod otoliths Classic pattern: translucent edge in winter Slow growth in winter Opposite pattern: translucent edge in summer Slow growth in summer? (Beckman et al. 1996, Hoie et al. 2009)

55 Model extension to take into account temperature effect on CaCO 3 precipitation Fablet et al. 2011, PLoS ONE

56 Model extension to take into account temperature effect on CaCO 3 precipitation OM: Organic Matrix Fablet et al. 2011, PLoS ONE

57 Model extension to take into account temperature effect on CaCO 3 precipitation Otolith accretion = CaCO 3 (V C ) flux + OM (V P ) flux Specific temperature effect on dv C /dt dv dt C P C = c ( T ) C L O = V C 1/3 δ O O = ΔV ΔV dv dv P C dt dt [ α p + β p ] C C G 1 α P p = c ( T ) α p C G G C C M + β P p + β p M M Fablet et al. 2011, PLoS ONE

58 Model calibration and validation with long term experimental data

59

60

61 4. POUR ALLER PLUS LOIN

62 Où trouver plus d infos? Artwork: Yoan Eynaud

63 Où trouver plus d infos? Introduction aux concepts de la théorie DEB: 4 vidéos réalisées par Roger Nisbet (UC Santa Barbara) peuvent être téléchargées (laure.pecquerie@ird.fr) Site AquaDEB BreizhDEB: Marianne Alunno-Bruscia, Cedric Bacher, Fred Jean, Jonathan Flye Sainte Marie, Laure Pecquerie + Veronique Loizeau, Yoann Thomas DEB course tous les 2 ans (fev 2015) Bas Kooijman, Department theoretical biology, Vrije Universiteit Amsterdam

Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics

Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics Approche systémique des pêches Boulogne-sur sur-mer 2008 Population responses to environmental forcing : approaches to model and monitor habitat characteristics Pierre Petitgas (1), M. Huret (1), B. Planque

Plus en détail

Quelles représentations des interactionsbiotiques dans les modèles?

Quelles représentations des interactionsbiotiques dans les modèles? Session 1. Quelles représentations des interactionsbiotiques dans les modèles? Exemple du Modèle GEMINI Nicolas Gross, Vincent Maire, Jean François Soussana Nicolas Gross Chargé de recherche 1 er Classe

Plus en détail

Chapitre 1: Facteurs d'échelle

Chapitre 1: Facteurs d'échelle Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,

Plus en détail

Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment

Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment + Post-processing of multimodel hydrological forecasts for the Baskatong catchment Fabian Tito Arandia Martinez Marie-Amélie Boucher Jocelyn Gaudet Maria-Helena Ramos + Context n Master degree subject:

Plus en détail

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie

Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie Optimisation multi-critère pour l allocation de ressources sur Clouds distribués avec prise en compte de l énergie 1 Présenté par: Yacine KESSACI Encadrement : N. MELAB E-G. TALBI 31/05/2011 Plan 2 Motivation

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

Quelques éléments de bibliographie :

Quelques éléments de bibliographie : Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

Instructions pour mettre à jour un HFFv2 v1.x.yy v2.0.00

Instructions pour mettre à jour un HFFv2 v1.x.yy v2.0.00 Instructions pour mettre à jour un HFFv2 v1.x.yy v2.0.00 HFFv2 1. OBJET L accroissement de la taille de code sur la version 2.0.00 a nécessité une évolution du mapping de la flash. La conséquence de ce

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes

Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes M. Nick, R. Cherkaoui, M. Paolone «Le réseau électrique de demain» - EPFL, 21.05.2015 Table

Plus en détail

Mesure de la dépense énergétique

Mesure de la dépense énergétique Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie

Plus en détail

Demande d inscription aux cours IB pour septembre 2012

Demande d inscription aux cours IB pour septembre 2012 École Gabrielle-Roy 6887, 132 e Rue, Surrey, C.-B. V3W 4L9 Téléphone / Phone : (604) 599-6688 Télécopieur / Fax : (604) 599-6628 Courriel : ecole_gabrielle-roy @csf.bc.ca Site hypertoile : www.csf.bc.ca

Plus en détail

Cliquez pour modifier les styles du texte du masque

Cliquez pour modifier les styles du texte du masque Cliquez pour modifier les styles du texte du Building & Utilities maintenance at SOLEIL Journée SINERGY 1 Utilities parameters The group Bât Infra guarantees the supply of the utilities in the SYNCHROTRON:

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Data issues in species monitoring: where are the traps?

Data issues in species monitoring: where are the traps? Data issues in species monitoring: where are the traps? French breeding bird monitoring : Animations locales : - dealing with heterogenous data - working with multi-species multi-sites monitoring schemes

Plus en détail

PANDORA database: a compilation of indoor air pollutant emissions

PANDORA database: a compilation of indoor air pollutant emissions PANDORA database: a compilation of indoor air pollutant emissions Marc O. Abadie and Patrice Blondeau LEPTIAB University of La Rochelle, France Corresponding email: mabadie@univ-lr.fr 1 Scope Context Modeling

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Interest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION

Interest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Interest Rate for Customs Purposes Regulations Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes SOR/86-1121 DORS/86-1121 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août

Plus en détail

MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM TUNISIE MAROC ALGERIE

MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM TUNISIE MAROC ALGERIE TUNISIE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM MAROC ALGERIE FACULTES Sciences Economiques, Commerciales et de Gestion Sciences

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE Maîtrise d ambiance et Qualité de l air SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE PERTURBATION À L ÉTAT STATIQUE OU DYNAMIQUE Alina SANTA CRUZ École d Ingénieurs de Cherbourg LUSAC «Équipe

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation de quelques problèmes de calibration Plan de la présentation 1. Présentation de quelques modèles à calibrer 1a. Reconstruction d une courbe

Plus en détail

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DE LA BIOLOGIE DE SYNTHESE SYNTHETIC BIOLOGY OBSERVATORY

L OBSERVATOIRE DE LA BIOLOGIE DE SYNTHESE SYNTHETIC BIOLOGY OBSERVATORY L OBSERVATOIRE DE LA BIOLOGIE DE SYNTHESE Un outil au service du dialogue entre sciences et société SYNTHETIC BIOLOGY OBSERVATORY A resource to foster dialogue between sciences and society Solène Margerit,

Plus en détail

Biologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison

Biologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF

Plus en détail

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001 FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre

Plus en détail

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master

Plus en détail

This is a preview - click here to buy the full publication NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STAN DARD. Telecontrol equipment and systems

This is a preview - click here to buy the full publication NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STAN DARD. Telecontrol equipment and systems NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STAN DARD CEI IEC 870-3 Première édition First edition 1989-03 Matériels et systèmes de téléconduite Troisième partie: Interfaces (caractéristiques électriques) Telecontrol

Plus en détail

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée

Section «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen

Plus en détail

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique

Plus en détail

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

Photoactivatable Probes for Protein Labeling

Photoactivatable Probes for Protein Labeling Photoactivatable Probes for Protein Labeling THÈSE N O 4660 (2010) PRÉSENTÉE LE 26 MARS 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE D'INGÉNIERIE DES PROTÉINES PROGRAMME DOCTORAL EN CHIMIE ET GÉNIE CHIMIQUE

Plus en détail

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique

Plus en détail

Modélisation prédictive et incertitudes. P. Pernot. Laboratoire de Chimie Physique, CNRS/U-PSUD, Orsay pascal.pernot@u-psud.fr

Modélisation prédictive et incertitudes. P. Pernot. Laboratoire de Chimie Physique, CNRS/U-PSUD, Orsay pascal.pernot@u-psud.fr Modélisation prédictive et incertitudes P. Pernot Laboratoire de Chimie Physique, CNRS/U-PSUD, Orsay pascal.pernot@u-psud.fr Le concept de Mesure Virtuelle mesure virtuelle résultat d un modèle visant

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

I. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes):

I. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes): Master Chimie Fondamentale et Appliquée : spécialité «Ingénierie Chimique» Examen «Programmation, Simulation des procédés» avril 2008a Nom : Prénom : groupe TD : I. Programmation I. 1 Ecrire un programme

Plus en détail

AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES

AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE / APPLICATION FORM Espace réservé pour l utilisation de la fondation This space reserved for foundation use

Plus en détail

RÈGLEMENT SUR LA RÉGION DE CONSERVATION DU NOYAU DE POPULATION MOBILE DU CARIBOU DE BATHURST R-006-2015 En vigueur le 28 janvier 2015

RÈGLEMENT SUR LA RÉGION DE CONSERVATION DU NOYAU DE POPULATION MOBILE DU CARIBOU DE BATHURST R-006-2015 En vigueur le 28 janvier 2015 WILDLIFE ACT MOBILE CORE BATHURST CARIBOU CONSERVATION AREA REGULATIONS R-006-2015 In force January 28, 2015 LOI SUR LA FAUNE RÈGLEMENT SUR LA RÉGION DE CONSERVATION DU NOYAU DE POPULATION MOBILE DU CARIBOU

Plus en détail

staff worldwide years 36b. revenues countries

staff worldwide years 36b. revenues countries 150 336 000 staff worldwide years 36b. 72 72 revenues countries In the lab Special expertise In the field Pilot demonstration Deployment Access to market and customers Decentralized market Risk adverse

Plus en détail

Données longitudinales et modèles de survie

Données longitudinales et modèles de survie ANALYSE DU Données longitudinales et modèles de survie 5. Modèles de régression en temps discret André Berchtold Département des sciences économiques, Université de Genève Cours de Master ANALYSE DU Plan

Plus en détail

Business Process Management

Business Process Management Alain Darmon Responsable Avant-Vente BPM, IBM 1 er mars 2011 Business Process Management Améliorez l agilité de l entreprise avec la gestion des processus métier Les processus sont partout! Ouverture de

Plus en détail

Surveillance et maintenance prédictive : évaluation de la latence de fautes. Zineb SIMEU-ABAZI Univ. Joseph Fourier, LAG)

Surveillance et maintenance prédictive : évaluation de la latence de fautes. Zineb SIMEU-ABAZI Univ. Joseph Fourier, LAG) Surveillance et maintenance prédictive : évaluation de la latence de fautes Zineb SIMEU-ABAZI Univ. Joseph Fourier, LAG) SURVEILLANCE Analyser une situation et fournir des indicateurs! Détection de symptômes!

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

CLIQUEZ ET MODIFIEZ LE TITRE

CLIQUEZ ET MODIFIEZ LE TITRE IUFRO International Congress, Nice 2015 Global challenges of air pollution and climate change to the public forest management in France Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque Manuel Nicolas

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

PVCHECK Rel. 2.02 09/11/12

PVCHECK Rel. 2.02 09/11/12 Metel: HV000PVC Pag 1 of 5 Multifunction instrument for safety, functionality and performance verifications on a PV plant The multifunction instrument PVCHECK performs prompt and safe electrical checks

Plus en détail

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Samuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr

Samuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr !""#$%&'()*+,-#,'((.'(&),#/#%&)0/1$*(.'("/+%&0(.2&/3)+/+('*(4/5'6#(.'(7/(%$**'%15)+,(8(( 9)7)'6:($65'#+0('+(9)7)'6:(4$#'01'#0( ( (!"#$%&#'"#(%#)*"+,-.(("#*,-&&"#"+#/&0*"# Samuel Decout, Sandra Luque Sandra.luque@cemagref.fr

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Plan. Department of Informatics

Plan. Department of Informatics Plan 1. Application Servers 2. Servlets, JSP, JDBC 3. J2EE: Vue d ensemble 4. Distributed Programming 5. Enterprise JavaBeans 6. Enterprise JavaBeans: Special Topics 7. Prise de recul critique Enterprise

Plus en détail

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT #4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat (Résultats de WOOPI) N. Tran, A. Vernier (CLS) F. Rémy R (LEGOS) P. Féménias F (ESA) Calottes glaciaires & classification de la neige/glace

Plus en détail

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Saoussen Khalfallaoui, Dominique Seguin, Moulay Ahmed Adelghani-Idrissi LSPC Université de Rouen IUT 8 Rue Lavoisier

Plus en détail

Figure 3.1- Lancement du Gambit

Figure 3.1- Lancement du Gambit 3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh

Plus en détail

Nouveaux enjeux de recherche en sécurité routière liés à l'automatisation des véhicules : conséquences sur l'activité de conduite

Nouveaux enjeux de recherche en sécurité routière liés à l'automatisation des véhicules : conséquences sur l'activité de conduite Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Nouveaux enjeux de recherche en sécurité routière liés à l'automatisation des véhicules : conséquences sur

Plus en détail

Moteur DC: Comment faire varier sa vitesse?

Moteur DC: Comment faire varier sa vitesse? Moteur DC: Comment faire varier sa vitesse? Zone d'utilisation Moteur à excitation shunt Influence I e Petite perturbation : e.g. augmentation vitesse À partir de P : couple moteur P'' < couple résistant

Plus en détail

Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants)

Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants) CIVILITE-SES.doc - 1 - Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants) 1 PRÉSENTATION DU DOSSIER CIVILITE On s intéresse

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

Fabricant. 2 terminals

Fabricant. 2 terminals Specifications Fabricant Nominal torque (Nm) 65 Minimal torque (Nm) 0,63 Coil resistance - 20 C (ohms) 20 Rated current DC (A) 1 Rotor inertia (kg.m 2 ) 2.10-3 Weight (kg) 7,20 Heat dissipation continuous

Plus en détail

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC

Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC Le PCI Express comme standard Depuis ces dernières années, le PCI Express est le standard reconnu comme étant le principal interconnexion

Plus en détail

McGILL UNIVERSITY MARTLET CLASSIC UNIVERSITE McGILL CLASSIQUE MARTLET

McGILL UNIVERSITY MARTLET CLASSIC UNIVERSITE McGILL CLASSIQUE MARTLET McGILL UNIVERSITY MARTLET CLASSIC UNIVERSITE McGILL CLASSIQUE MARTLET DATE DATE Sunday, November 30, 2014 Dimanche 30 Novembre 2014 TIME HEURE 9:30-5:00 9h30-17h00 TRACK PISTE 200m banked Mondo 6 couloirs

Plus en détail

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 4, HorsSérie 2, 20 (2005) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bibj3ea:2005720 EDP Sciences, 2005 Projet

Plus en détail

Z-Axis Compliance Device Compliance en z

Z-Axis Compliance Device Compliance en z Compensation for different vertical positions Collision recognition in Z-direction Protection of parts and work pieces Monitoring of the insertion forces during assembly operations Monitoring of the picking

Plus en détail

Mon Service Public - Case study and Mapping to SAML/Liberty specifications. Gaël Gourmelen - France Telecom 23/04/2007

Mon Service Public - Case study and Mapping to SAML/Liberty specifications. Gaël Gourmelen - France Telecom 23/04/2007 Mon Service Public - Case study and Mapping to SAML/Liberty specifications Gaël Gourmelen - France Telecom 23/04/2007 Agenda Brief presentation of the "Mon Service Public" project (main features) Detailed

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,! 0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail

Introduction à l analyse numérique : exemple du cloud computing

Introduction à l analyse numérique : exemple du cloud computing Introduction à l analyse numérique : exemple du cloud computing Tony FEVRIER Aujourd hui! Table des matières 1 Equations aux dérivées partielles et modélisation Equation différentielle et modélisation

Plus en détail

Modélisation géostatistique des débits le long des cours d eau.

Modélisation géostatistique des débits le long des cours d eau. Modélisation géostatistique des débits le long des cours d eau. C. Bernard-Michel (actuellement à ) & C. de Fouquet MISTIS, INRIA Rhône-Alpes. 655 avenue de l Europe, 38334 SAINT ISMIER Cedex. Ecole des

Plus en détail

Lean approach on production lines Oct 9, 2014

Lean approach on production lines Oct 9, 2014 Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production

Plus en détail

NOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan

NOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan Document : Plan Qualité Spécifique du Projet Project Specific Quality Plan Référence Reference : QP-3130-Rev 01 Date Date : 12022008 Nombre de Pages Number of Pages : 6 Projet Project : JR 100 Rédacteur

Plus en détail

Conception de Médicament

Conception de Médicament Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

Singapore Schools Green Mark Scheme on Indoor Air Quality

Singapore Schools Green Mark Scheme on Indoor Air Quality Singapore Schools Green Mark Scheme on Indoor Air Quality Teo Ai Lin, Evelyn (Dr) Associate Professor Department of Building National University of Singapore BCA Green Mark (version 4.0) 2007 Version

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail