ACTIVITÉS PÉDAGOGIQUES

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1 Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv ACTIVITÉS PÉDAGOGIQUES

2 L équipe du Musée, en lien avec l Éducation nationale, propose un large choix d activités pédagogiques pour les élèves, du au lycée. Ces propositions évoluent en fonction des projets pédagogiques des enseignants et du niveau des élèves afin de leur rendre accessible l histoire des camps de Pithiviers, Beaune-la-Rolande et Jargeau. Explorant différents thèmes, tel que l art dans les camps ou le parcours de familles, les élèves découvrent le destin de ces hommes, femmes et enfants juifs internés, cachés, évadés ou déportés, ainsi que des famille tsiganes internées à Jargeau jusqu en décembre Ces activités mettent en lumière le rôle majeur que ces camps ont joué dans le processus de déportation des Juifs de France et dans l internement des Tsiganes en France. L élève est en contact direct avec les sources historiques : documents d archives publiques et privées, témoignages, images. Il est amené à les analyser, les décrypter, les confronter. Il acquiert ainsi une meilleure compréhension de la période et développe son esprit critique. L équipe du Cercil et en particulier, Agathe Laurent et Marie Pourriot, professeures missionnées par l Education nationale, est à la disposition des enseignants pour étudier tous les projets pédagogiques dans le cadre des EPI, de la Semaine de la presse et des médias dans l école, de la Semaine d éducation contre le racisme et l antisémitisme, du Concours National de la Résistance et de la Déportation et enfin pour préparer les voyages sur les lieux de mémoire. La bibliothèque du Cercil Située dans le Musée Mémorial, la bibliothèque du Cercil regroupe plus de titres et plusieurs centaines de témoignages vidéo. Elle est ouverte à tous les publics gratuit e- ment et en consultation sur place. Possibilité d emprunter des séries d ouvrages pour l étude en classe. Les ateliers CES ATELIERS S ADRESSENT AUX ÉLÈVES DE, COLLÈGE, LYCÉE GÉNÉRAL, TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL, AUX ÉTUDIANTS DE BTS ET AUX APPRENTIS, ET SONT LE PROLONGEMENT D UNE VISITE COMMENTÉE DU MUSÉE-MÉMORIAL. ILS SONT ADAPTÉS AU NIVEAU DE LA CLASSE ET DU PROJET PÉDAGOGIQUE DE L ENSEIGNANT, EN LIEN AVEC LES PROGRAMMES D HISTOIRE, FRANÇAIS, ALLEMAND, ÉDUCATION À LA CITOYENNETÉ Histoire d une famille juive ou d une famille tsigane pendant la Seconde Guerre mondiale À partir des archives d une famille juive ou tsigane, les élèves sont invités à retracer le parcours de celle-ci sous forme chronologique, en s appuyant sur des documents qui leur permettent de comprendre les mécanismes des persécutions dont ces familles furent victimes. Les actions de sauvetage, les actes de résistance, les Justes Ce travail met en évidence les différentes actions de sauvetage menées dans le Loiret pendant la Seconde Guerre mondiale (). À partir de documents d archives et de témoignages, les élèves étudient différents parcours d aide apportée aux Juifs persécutés dans le Loiret (collège, lycée). Shoah et bande dessinée À travers la découverte d albums parus depuis la fin de la guerre sur le thème de la Shoah, les élèves abordent l analyse formelle et stylistique, ainsi que le vocabulaire spécifique de ceux-ci, et ils élaborent une analyse historique à partir de l évolution des représentations. Ils créent ensuite une planche de bande dessinée en partant de l histoire d Annette, «la petite fille du Vel d Hiv» () ou d Adélaïde Hautval, «amie des Juifs» (collège, lycée). L étoile jaune dans la littérature Plusieurs ateliers sont proposés autour de ce thème ; à partir d un poème de Max Jacob, d extraits de correspondances d hommes internés dans les camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers ou de récits autobiographiques évoquant le port de l étoile jaune à partir de juin Horaires pour la bibliothèque Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 sur rendez-vous Du lundi au dimanche de 14h à 18h. Fermeture le samedi Le mardi nocturne jusqu à 20h. Quand la chanson se souvient de la Shoah Autour d une trentaine de chansons de 1962 à aujourd hui, les élèves réfléchissent à la manière dont cet art populaire évoque l assassinat des Juifs de France : chansons témoignages ou moyen d éduquer contre les dérives du racisme et de l antisémitisme. 2 3 Rita Mitsouko TDR

3 Les ateliers spécifiques Pour les Je m appelle Isaac et j ai été un enfant caché Étude de l album autobiographique présentant le parcours d Isaac, jeune garçon juif caché pendant la Seconde Guerre mondiale. Son père et sa mère ont été internés au camp de Pithiviers avant leur déportation à Auschwitz. Pour les collèges et les lycées La rafle du Vel d Hiv au cinéma Les élèves visionnent plusieurs extraits de films représentant la rafle du Vel d Hiv et les confrontent avec des documents d archives. La réflexion porte sur l évolution, depuis les années 1970, du regard des historiens, des cinéastes et du grand public. Le dessin animé, outil de propagande pendant la Seconde Guerre mondiale Cet atelier étudie comment, sous les crayons nazis, vichystes et américains, le totalitarisme et l antisémitisme ont été martelés par les uns, combattus par les autres. La propagande et les camps de Beaunela-Rolande et Pithiviers Les camps de Beaune-la-Rolande et Pithiviers ont été, à partir de mai 1941, au cœur d une propagande orchestrée par les Allemands et le gouvernement de Vichy. Les élèves apprennent à décrypter les photos et images de propagande utilisées à cette fin. L art dans les camps : dessins, sculptures, théâtre, musique Une intense vie culturelle s organise dans les camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers entre mai 1941 et le printemps Les élèves découvrent les pratiques des internés, artistes amateurs ou confirmés, ainsi que l impact de cette activité culturelle dans la résistance individuelle et collective. Pour les collèges et les lycées De l antijudaïsme à l antisémitisme Pour les Terminales La mémoire des camps du Loiret depuis 1946 À partir des monuments et plaques, d articles de presse sur les commémorations, mais aussi de témoignages, objets et lieux de transmission, les élèves réfléchissent sur l évolution et la pérennité de la mémoire autour de ces camps. Cet atelier permettra d analyser comment se construisent et se transmettent les stéréotypes, permettant le passage de l antijudaïsme antique à l antisémitisme moderne. La libération des camps nazis et le retour des déportés Le nazisme à travers les Jeux Olympiques de Berlin Travaillant sur des photos, des affiches, des extraits de films et des parcours individuels de sportifs, les élèves sont amenés à analyser l utilisation du sport par les nazis. Les élèves découvrent comment les populations ont pris connaissance de l horreur concentrationnaire, en étudiant des dessins d un jeune juif allemand revenu de déportation, le témoignage d un survivant déporté de Beaune-la-Rolande vers Auschwitz, des extraits de films des Alliés tournés à la Libération ainsi que des photographies parues dans la presse. La représentation de la rafle du Vel d Hiv et dans la mémoire collective Les élèves s interrogent sur l évolution de la mémoire de cet événement à partir d une chanson, d extraits de films de fiction et de choix muséographiques. 4 5 La négation de l homme dans l univers concentrationnaire nazi Cet atelier invite à réfléchir au processus de déshumanisation des victimes des camps nazis. C est d abord la manière dont les bourreaux les ont privées de leur humanité, par l humiliation, la violence absurde ou la destruction. C est également la façon dont les victimes ont su résister au sein de l univers concentrationnaire, conserver leur identité et plus tard témoigner pour que l on n oublie pas ce qu ils étaient : des hommes, des femmes et des enfants.

4 Parcours inter-musées AVEC LE MÉMORIAL DE LA SHOAH-PARIS OU MÉMORIAL DE LA SHOAH- DRANCY AVEC LE CONSERVATOIRE D ORLÉANS Les camps d internement et leur mémoire en France Entre 1938 et 1946, il y a eu sans doute plus de 200 camps en France et internés : républicains espagnols, communistes, juifs, tsiganes, «étrangers indésirables»... Ce parcours présente l histoire complexe de ces camps, depuis leur ouverture jusqu à l après-guerre, et la lente construction d une mémoire de lieux toujours singuliers. L histoire des camps de Pithiviers, Beaune-la-Rolande et Drancy est privilégiée dans ce parcours d histoire et de mémoire. Les chemins de l histoire en musique : Musique et histoire de la Shoah Les élèves découvriront au conservatoire la musique klezmer de ses origines à aujourd hui, de ses traditions à sa nouvelle effervescence artistique. Puis en résonance avec la découverte de la musique klezmer, deux ateliers sont proposés au choix de l enseignant : «Quand la chanson se souvient de la Shoah» ou «Je m appelle Isaac, j ai été un enfant caché». AVEC LES ARCHIVES DÉPARTEMENTALES DU LOIRET De l archive à l histoire 1h30 aux Archives départementales du Loiret (rue d Illiers) - gratuit 3 e lycée 2h au Cercil Musée-Mémorial des Enfants du Vel d Hiv - 40 pour un groupe de 25 élèves Réservation obligatoire avant fin novembre (attention créneaux très restreints) Les élèves sont amenés à découvrir la diversité des métiers autour de l archive : comment la conserver, la coter, la photographier, la stocker, la manipuler, la valoriser puis l étudier en tant qu historien. Un parcours entre les Archives départementales et le Musée-Mémorial permet de rencontrer les différents professionnels mobilisés pour ces missions. Aux Archives départementales du Loiret, la classe alterne entre la visite commentée des Archives et un parcours d observation en autonomie dans le centre d Orléans en partant du fonds de photographies sur la Reconstruction de la ville. Puis les élèves se rendent au Musée-Mémorial pour une visite commentée du musée axée sur la valorisation des documents d archives et un atelier sur le thème de la muséographie de l histoire de la Shoah et de la recherche en histoire contemporaine. 3 e AVEC LE CENTRE CHARLES PEGUY La guerre des petits Centre Charles Péguy La grande guerre des petits : En , l effort de guerre ne concerne pas que les adultes à l arrière, très tôt, les enfants sont impliqués et s impliquent. Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv Éliane, 9 ans durant la 1 re guerre mondiale, rédactrice d un journal patriotique, l Etoile. Durant la 1 re guerre mondiale, patriote, Éliane, 9 ans, rédige un journal. Elle en écrit 31 numéros qu elle illustre, ronéotype et vend au profit des soldats aveugles. Son père, soldat dans l armée française, passe toute la guerre au front. À partir de juillet 1940, Éliane, devenue maman, est pour les nazis et le gouvernement de Vichy, une femme juive qu il faut persécuter. Comment se retrouvet-elle dans le camp de Pithiviers? Que deviennent ses enfants et son père ancien combattant français de la Grande guerre? AVEC LE CENTRE CHARLES PÉGUY Héroïnes de Guerre Centre Charles Péguy 1914, la guerre est déclarée en France, les hommes sont mobilisés, mais les femmes aussi. Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv Septembre 1939, la guerre est déclarée. À cette guerre, viennent s ajouter les persécutions : pour sauver les enfants juifs, il faut les cacher. Pour les cacher, il faut mettre en place des filières. Les femmes juives et non-juives vont mener des actions souvent méconnues, mais qui vont permettre de sauver les trois quarts des enfants juifs qui vivaient en France. L atelier permet de découvrir certaines de ces femmes, qui sont des figures de l engagement : des mères, des assistances sociales, des habitantes du Loiret, des religieuses catholiques ou protestantes ( ) 6 7

5 Parcours historiques Orléans sous l Occupation et les persécutions Les élèves sont emmenés sur les lieux où se sont installés les forces d occupation et les représentants du gouvernement de Vichy. À l aide de documents d archives, sont rappelés, sur les lieux mêmes, les bombardements, la répression, la vie quotidienne, les persécutions antisémites, les déportations. Y sont évoqués également ceux qui refusèrent d obéir. Pithiviers : de la gare au camp, du camp à la gare De l internement à la déportation L élève recherche les traces existantes du camp à l aide de photographies de propagande, de documents d archives et de témoignages. Il s interroge ainsi sur la place qu occupe, encore aujourd hui, l histoire de ce camp. Les fermes de Sologne : un chemin pour l histoire En 1941, des internés juifs de Beaune-la-Rolande et Pithiviers ont été envoyés pour travailler dans trois fermes de Sologne appelées parfois par la préfecture d Orléans «kommandos». Sur les lieux mêmes, où rien n a changé, grâce à des témoignages et des documents d archives, les élèves découvrent la vie quotidienne des hommes qui y furent internés, ainsi que les relations qui se créèrent avec la population locale, dont certaines aboutirent à des actes de sauvetage de familles juives persécutées. En partenariat avec l Œuvre Universitaire du Loiret Visite de la nécropole de Fleury-les-Aubrais Durant les deux conflits mondiaux, l armée française fait appel à son empire colonial. Ces milliers d hommes d origines très diverses combattent et meurent ensemble. Le travail pédagogique mené par le Cercil dans la Nécropole de Fleury-les-Aubrais permet d approcher cette histoire dans toute sa complexité. Cette visite aborde aussi un sujet peu connu, les crimes racistes commis par la Wehrmacht sur plusieurs centaines de soldats de l armée française, de ceux qu on appelait les «tirailleurs sénégalais». Ce fut le cas à Clamecy en Bourgogne ou encore à Gaubertin, entre Beaune-la-Rolande et Pithiviers. 3 e À DESTINATION DES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES DU CHER Du Cher au camp de Pithiviers : parcours de familles juives déportées. Les élèves de collège et de lycée travaillent sur des familles juives du Cher internées dans le camp de Pithiviers ou Beaunela-Rolande avant leur déportation à Auschwitz. Correspondances, archives administratives, photographies permettent de restituer leur histoire. Cette journée financée par l Europe de la Mémoire conduit les élèves sur les traces et les lieux mêmes de la persécution. Deux options sont possibles : - Visite sur les traces de l ancien camp d internement de Pithiviers puis travail en atelier à Orléans au Musée-Mémorial - Visite du musée de la déportation et de la résistance de Bourges, puis visite et atelier à Orléans au Musée-Mémorial. Information et inscription : infos@europedelamemoire.org CNRD S ENGAGER POUR LIBÉRER LA FRANCE Concours National de la Résistance et de la Déportation Comme chaque année, le Cercil vous accompagne dans la préparation au Concours National de la Résistance et de la Déportation. Le thème du CNRD pour 2018 est : «S engager pour libérer la France». Un atelier et un cycle de conférences seront consacrés à ce sujet. ATELIERS POUR LES BTS Culture générale et expression Pour l année , pour chacun des deux thèmes, l équipe du Cercil propose un atelier qui amène les étudiants à envisager ces questions à partir de témoignages, articles de presses, archives, des internés des camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers. Le nouveau thème «Corps naturel, corps artificiel» permet une réflexion sur la négation de l homme dans l univers concentrationnaire nazi, en invitant les étudiants à réfléchir au processus de déshumanisation des victimes des camps nazis. C est la manière dont les bourreaux les ont privées de leur humanité, par l humiliation, la violence absurde ou la destruction. Mais c est également la façon dont les victimes ont su résister au sein de l univers concentrationnaire, conserver leur identité et leur dignité et plus tard témoigner. Cet atelier posera aussi la question de l éthique des médecins allemands qui pratiquèrent de terribles expériences «médicales» sur des milliers de détenus des camps de concentration, sans leur consentement. Certaines de ces expériences médicales visaient à confirmer les dogmes racistes et idéologiques de la conception du monde nazie, ainsi les recherches menées par August Hirt à l Université de Strasbourg avaient également pour but d établir l infériorité raciale des Juifs.» 8 9 KLARSFELD/FFDJF NON DATÉ La famille Chrzanowski est arrêtée dans le Cher et transférée au camp de Beaunela-Rolande en novembre e lycée Dessin de Zelman Brajer, déporté à Auschwitz depuis le camp de Beaune-la- Rolande. (1991).

6 FINANCEMENTS POSSIBLES Pour tous La Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des archives du secrétariat général pour l administration (SGA/DMPA) et la Direction Générale de l Enseignement Scolaire (DGESCO) aide au financement de projets et de voyages pédagogiques. Le dossier de demande de subvention peut être obtenu soit auprès du ministère de la défense soit par téléchargement sur le site La Fondation pour la Mémoire de la Shoah soutient les établissements dans leurs projets de voyages scolaires : déposer une demande sur le site fondationshoah.org/fms/voyages. Pour les lycéens et apprentis de la région Centre-Val de Loire Les visites, ateliers, parcours historiques proposés par le Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d hiv sont éligibles aux dispositifs «Voyage de la mémoire» mis en œuvre par la région Centre-Val de Loire. Ce dispositif prévoit le remboursement de 75 % du transport et de 50 % des frais de médiation. Se renseigner auprès du Cercil. Le Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv accepte les chèques Clarc délivrés par la région Centre-Val de Loire Pour les lycées de la région Ile-de-France Dans le cadre du partenariat avec le Cercil - Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv, la région Ile-de-France prend en charge le transport entre Orléans et Pithiviers, les repas, ainsi que les frais liés à la médiation et à l accompagnement pédagogique. Fiche d inscription spécifique à demander par mail à : mediationpedagogique@cercil.eu Pour les collèges de la région Centre-Val de Loire Dans le cadre d une convention avec le Cercil, la DIlcrah prend en charge le transport des élèves des collèges de la région Centre-Val de Loire situés en zone rurale. Si vous souhaitez participer à ce dispositif, vous vous rapprochez du Cercil à cercil@cercil.eu INFORMATIONS PRATIQUES Visite commentée du Musée-Mémorial : 1h à 1h30 Atelier pédagogique : 1h à 1h30 Visite du Musée-Mémorial et atelier : minimum 2h Circuit Orléans sous l Occupation et les persécutions : 2h Visite du site du camp de Pithiviers : 2h Visite des fermes de Sologne : la demi-journée Visite de la nécropole de Fleury-les-Aubrais : 1h30 à 2h Tarifs : 40 l activité pour un groupe de 25 élèves 85 la visite sur l ancien camp de Pithiviers et le circuit pédestre autour des fermes de Sologne Les groupes sont accueillis tous les jours sur réservation. Possibilité de pique-niquer à proximité. Pour nous contacter du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h cercil@cercil.eu 10 11

7 Cercil - Musée-Mémorial des enfants du vel d Hiv - 45 rue du Bourdon-Blanc Orléans Réservation et renseignement cercil@cercil.eu Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h Fermé le lundi et le samedi Mardi nocturne jusqu à 20h Groupes : ouverture tous les jours sur rendez-vous L équipe du Cercil est présente du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h. Tarifs pour les visiteurs individuels Visite du musée-mémorial : 4e - Tarif réduit : 2e Gratuité pour les moins de 18 ans Visite guidée et atelier : 4e RUE BANNIER PLACE DE GAULLE AV. DE PARIS RN20 PLACE DU MARTROI RUE ROYALE GARE SNCF BD DE VERDUN RUE DE LA RÉPUBLIQUE RUE ALBERT 1 ER RUE JEANNE-D ARC PLACE DE L ÉTAPE RUE F. RABIER RUE E. VIGNAT P AVENUE P. SEGELLE R. DUPANLOUP P RUE DE BOURGOGNE Accès : suivre direction centre ville Parking : Hôtel de ville ou cathédrale Ligne tram A arrêt place de Gaulle Ligne tram B arrêt Cathédrale-Hôtel de Ville BOURDON-BLANC RUE DES BOUTEILLES RUE DU RUE DE LA TOUR-NEUVE THÉÂTRE CERCIL AVENUE J. ZAY RUE SAINT-EUVERTE RUE DE BOURGOGNE BOULEVARD SAINT-EUVERTE PONT GEORGE V QUAI DU CHÂTELET QUAI DU LA LOIRE FORT-ALLEAUME PONT R. THINAT Le Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d Hiv est une association soutenue par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, la Ville d Orléans, la Région Centre - Val de Loire, la Région Ile-de-France, le Ministère de la Culture Centre-Val de Loire, le Ministère de la Défense-DMPA, le Ministère de l Education Nationale, le Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports au titre du Fonjep, la DILCRAH, le Conseil départemental du Loiret, les Villes de Paris, Beaune-la-Rolande, Pithiviers, Jargeau et par de nombreuses communes du Loiret.