Objet de la macroéconomie. 1- La théorie de Keynes
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- Bénédicte Lafleur
- il y a 6 ans
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1 Ce polycopie vise à donner des éléments de cours de macroéconomie. Il s agit d un aperçu très synthétique de l évolution de la macroéconomie depuis Keynes. Il met l accent sur des débats suivants : le dilemme Etat/Marché et la place de l Etat dans l activité économique. Il demeure entendu qu il est perfectible et ne peut se substituer au cours dispensé en Amphithéâtre. Objet de la macroéconomie La théorie macroéconomique a pour objectif l étude des comportements des groupes d agents (plutôt que les comportements individuels), l étude des interactions entre ces groupes sur les marchés nationaux et l étude des relations que ces groupes entretiennent avec le reste du monde. 1- La théorie de Keynes Avec sa théorie générale de l emploi, de l intérêt et de la monnaie (1936), John Maynard Keynes est le premier économiste à avoir théorisé la politique budgétaire. Pour construire sa théorie, Keynes utilise le mécanisme du «multiplicateur d investissement» conceptualisé par Kahn en À l appui de cette théorie, il démontre les effets multiplicateurs de la dépense publique Le multiplicateur d investissement Le multiplicateur constitue l une des pierres angulaire de l analyse keynésienne. Il convient donc de présenter son principe et son utilisation. a- Le principe L investissement a un effet multiplicateur sur la production nationale et sur l emploi. Plus précisément, une augmentation de l investissement entraine une variation plus que proportionnelle de la production nationale et, par conséquent, une baisse du chômage. Le cercle vertueux est le suivant : augmentation des investissements, amélioration des capacités de production des entreprises, augmentation de la production, accroissement du revenu des agents économiques, élévation de la demande, nouvelle augmentation de la production, nouvel accroissement des revenus et renforcement de la demande et ainsi de suite.
2 Schéma N 1 : Le cercle vertueux + Investissement + Capacités de production + Production + Demande +revenus des agents En effet, l investissement permet l augmentation des revenus des agents. Ces revenus distribués dans l économie, seront, en partie consommées et en partie épargnés. La partie consommée des revenus permet d augmenter la production et donc les revenus distribués. Ces derniers à leur tour, alimentent la consommation et donc la production. Au final, une variation de l investissement I entraine une augmentation du revenu Y suivant la formule suivante : Y = (1/1-c). I Avec c propension marginale à consommer (0<c<1). k f = (1/1-c) mesure le multiplicateur d investissement en économie fermée. Si les agents décident de consommer 80% de leurs revenus (c =0,8), donc k f = 5 Ceci signifie qu une augmentation de l investissement de 100 millions entraine une augmentation du PIB de 500 millions. b- Utilisation du principe de Keynes Si l effet multiplicateur de l investissement joue pleinement en situation de croissance économique, il n en va pas de même en période de récession. Le génie de Keynes va consister à faire intervenir le moteur de la dépense étatique pour réparer les pannes de croissance. En effet, lorsque les entrepreneurs sont frileux et qu ils n anticipent aucune demande suffisante (appelée «demande effective» par Keynes) de la part des ménages, ils ne veulent prendre aucun risque. Le rôle de l État va consister à réveiller les «esprits animaux» des entrepreneurs en leur redonnant des perspectives de débouchées. L action de l État pour réparer l effet multiplicateur de l investissement peut s exercer de quatre manières : - Augmentation des dépenses publiques, et baisse des recettes publiques. Relance de l activité par les dépenses publiques Dépenses accrues Demande globale (composante publique) Hausse de la production Hausse de l emploi Hausse des Revenus et consommation Hausse de l emploi Demande globale (composante privée) Hausse de la consommation
3 - Diminution des taux d intérêt ou stimulation directe du pouvoir d achat. Effet de relance par la baisse d impôts dans l analyse keynésienne Baisse d impôts Hausse du revenu disponible Demande Consommation accrue Accroissement de production Accroissement de consommation Hausse de revenus des ménages Demande d emploi accrue Hausse Demande travail des firmes - La troisième, à savoir la baisse des taux d intérêt, a pour objet d augmenter la quantité de monnaie en circulation pour rendre l investissement moins onéreux. - Enfin, la dernière issue pour stimuler l investissement consisterait à redistribuer du pouvoir d achat aux ménages les moins favorisés, lesquels ont une forte propension à consommer susceptible d offrir de nouveaux débouchés aux entreprises très rapidement. c- Les hypothèses posées par Keynes Keynes émet un certain nombre d hypothèses pour que le multiplicateur d investissement puisse fonctionner : insuffisance de la demande effective, forte élasticité de l offre, forte propension à consommer des ménages et absence d effet d éviction. Une précision élémentaire doit être apportée : une fois que le retour au plein emploi des facteurs est garanti, Keynes estime qu il faut laisser à nouveau libre cours aux mécanismes du marché pour assurer une répartition optimale des ressources. La politique budgétaire n est qu une parenthèse qui permet un retour à l équilibre du marché Le multiplicateur des dépenses publiques Keynes est convaincu que l augmentation des dépenses publiques (investissement public) est le meilleur moyen de relancer l activité en période de ralentissement économique. Dans un premier temps, le gouvernement décide d augmenter les dépenses publiques, ce qui suppose l apparition d un déficit provisoire. Directement, l augmentation des dépenses publiques conduit à une augmentation plus que proportionnelle du produit intérieur brut (PIB). En effet, si l Etat emprunte, par exemple
4 50 milliards, ce sont 50 milliards supplémentaires qui viennent s ajouter au revenu du pays et qui n auraient jamais été injectés dans le circuit économique sans l intervention de l Etat. Indirectement, cette augmentation du revenu de tous conduit à une augmentation du revenu disponible de chacun. Les agents économiques vont effectivement bénéficier des 50 milliards que l Etat vient d investir. Cette somme permet à l Etat de passer des commandes aux entreprises (construction d écoles, de routes, d hôpitaux), d octroyer des prestations sociales aux ménages, d accorder des aides publiques aux entreprises, de créer de nouveaux services publics gratuits, d embaucher des fonctionnaires autant dire que l Etat redistribue ce qu il emprunte, et ce, de façon indirecte, sous forme de profits, de salaires ou de services. Par conséquent, le revenu disponible des agents économiques s accroit mécaniquement. La demande intérieure est stimulée. Concrètement, la demande des ménages (consommation) retrouve sa vigueur et les entreprises dégagent à nouveau les marges nécessaires (profits) pour investir. Un effet multiplicateur s exerce alors et le PIB augmente. Pour répondre à cette hausse de la demande intérieure, les producteurs sont obligés d embaucher des salariés supplémentaires, ce qui entraîne une nouvelle création de revenus et une baisse du chômage. 2- Les théories libérales 2-1- Les classiques D après Adam Smith, une intervention minimale de l Etat est possible pour répondre à certaines défaillances du marché. D une part, l Etat peut intervenir dans les domaines régaliens pour assurer la défense de la sécurité extérieure (armée) et intérieure (justice et police). D autre part, le souverain doit assurer une autre fonction «construire et d entretenir certains ouvrages publics et certaines institutions bénéfiques pour la collectivité mais dont la rentabilité n est pas assez immédiate pour qu ils soient pris en charge par le secteur privé». Il s agit des infrastructures (ponts, routes ), nécessaire pour l exercice de l activité commerciale et se préoccuper des questions d éducation. En effet s il n est guère question de mettre en œuvre une politique budgétaire, le budget de l Etat est déjà perçu comme un outil de financement des biens publics que le marché n est pas capable de fournir Les néoclassiques L école néoclassique considère que l action de l État, par la politique économique, est subsidiaire et déterminée par les contraintes du marché. Ce dernier détermine en principe un
5 équilibre unique et stable et l État n intervient que pour réduire les obstacles techniques qui empêchent la réalisation de l allocation optimale des ressources (monopoles, effets externes, biens collectifs purs ). Les néoclassiques ne croient pas en la politique budgétaire conjoncturelle. L intervention étatique est totalement contre-indiquée ; il faut laisser le marché des biens et services agir librement, le retour à l équilibre se réalisant automatiquement Les monétaristes Pour les monétaristes, la politique économique doit se cantonner à garantir la stabilité des prix. Toute politique budgétaire discrétionnaire est nocive pour l économie nationale ; son seul effet serait de favoriser l éviction par l inflation. Les auteurs monétaristes, à l image de Milton Friedman, proposent que l on conduise des politiques monétaires réglementaires et que l on abandonne toute solution budgétaire. La règle monétaire devra fixer un taux de croissance de la quantité de monnaie en circulation qui soit en adéquation avec le taux de croissance à long terme de l économie La nouvelle macroéconomie classique La contribution de ce courant de pensée à l évolution du débat autour de la politique budgétaire est l apport de Barro avec son «théorème d équivalence ricardienne» dit aussi «Théorème Barro-Ricardo». En effet, Barro R. (1974), en s appuyant sur les travaux de Lucas R. sur les anticipations rationnelles et en reprenant l hypothèse formulée par Ricardo D en 1817 montre que toute politique budgétaire conjoncturelle est neutre (à court ou à long terme). En fait Ricardo D. critique le recours au déficit public qui se solde toujours par un emprunt ou par une augmentation des impôts. La neutralité de la politique budgétaire tient au fait que les agents économiques, du fait de leur rationalité déjouent «le piège fiscal» L économie de l offre et la courbe de Laffer Après des décennies d interventionnisme de l Etat et de son «empiètement» sur les règles du marché, la fin des années 1970 avait connu l apparition d une nouvelle école de pensée dite «économistes de l offre». Le représentant le plus connu de cette école est Laffer avec la fameuse courbe, à laquelle il a donné son nom. Ces auteurs proposant une faible intervention de l Etat qui se matérialise par une faible imposition mais aussi par des réductions de programmes de dépenses publiques sociales.
6 La courbe de Laffer L'objectif de cette courbe est de montrer l'existence d'un plafond de recettes fiscales. L'augmentation du taux marginal d'imposition engendre, dans un premier temps, des recettes fiscales supplémentaires. Passé un point t* (point où les recettes fiscales sont maximales), l'augmentation du taux d'imposition entraîne une baisse des recettes fiscales. La baisse du rendement de l'impôt s'explique, par la modification des comportements des agents : - d'une part, la hausse des taux d'imposition entraîne des effets désincitatifs sur le travail et l'épargne ce qui entraîne une baisse du volume de production. Cette baisse du volume de production a pour effet de diminuer la base d'imposition. - d'autre part, la hausse du taux d'imposition suscite des comportements d'évasion et de fraude fiscales à l'origine de perte de rentrées fiscales pour l'etat. II- Typologie des politiques macroéconomiques Au sens strict, la politique économique comprend les deux grandes politiques économiques conjoncturelles que sont la politique budgétaire et la politique monétaire. Au sens large, la politique économique englobe aussi les politiques structurelles (politique fiscale, politique sociale, politique de l emploi, politique industrielle 1- Politique conjoncturelle vs politique structurelle 1-1- La politique conjoncturelle Pour réguler la conjoncture économique, l Etat agit sur deux instruments qui permettent ainsi de qualifier la politique envisagée : La politique économique est dite «budgétaire» quand les pouvoirs publics privilégient l utilisation de l instrument budgétaire (impôts et dépenses publiques) afin d encourager la consommation et l investissement, c'est-à-dire la demande intérieure. La politique économique est dite «monétaire» lorsque les pouvoirs publics font recours prioritairement aux instruments monétaires (quantité de monnaie en circulation et fixation des taux d intérêt) afin de fournir les liquidités nécessaires à la croissance de l économie tout en maîtrisant l inflation et la stabilité du taux de change de la monnaie. Ces deux politiques conjoncturelles peuvent être des politiques de relance (d inspiration keynésienne) ou de rigueur (d inspiration néoclassique). La politique de relance sera favorisée en période de faible croissance et de chômage élevé. La politique de rigueur sera la solution adéquate en période de surchauffe de l économie, d inflation élevée et de déficit extérieur inquiétant. Pour relancer, c est principalement l outil budgétaire qui est
7 privilégié afin d augmenter la demande ; pour «faire murir» l économie en douceur, c est l instrument monétaire qui est privilégié afin de contenir les tensions inflationnistes. En fait, les politiques conjoncturelles cherchent à atteindre simultanément les objectifs du carré magique imaginé par Nicolas Kaldor : croissance économique élevée, chômage faible, inflation maitrisée et excédent commercial. Shéma N 6 : Le carré magique Carré magique Série1 CROI 1 CHOM INFL 1,5 DEF COM Les objectifs du carré magique semblent contradictoires. En effet, une politique de relance de la croissance ayant pour objectif de réduire le chômage sera génératrice d inflation et de déficit commercial. Une politique de rigueur sera susceptible de stabiliser les prix et de rendre l économie compétitive sur le plan du commerce extérieur, mais n enclenchera pas immédiatement une dynamique de croissance et un retour au plein emploi. Au total, la politique monétaire et la politique budgétaire ont une finalité commune : répondre aussi rapidement que possible aux problèmes économiques du moment (problèmes conjoncturels), tels qu une baisse de la consommation, une augmentation des prix ou une dépréciation de la monnaie La politique structurelle Une politique structurelle est une politique économique indépendante de la conjoncture ; elle engage un pays à très longue échéance et de manière quasi définitive sur les options économiques fondamentales. La politique budgétaire consiste donc, à améliorer sur longue période les performances de l appareil productif d un pays et à garantir sa réussite tant microéconomique que macroéconomique.
8 Bien entendu, une politique structurelle suppose un besoin de financement important. Une politique économique structurelle est donc par nature une politique budgétaire puisqu il s agit d engager les finances publiques sur plusieurs décennies et à hauteur de sommes colossales. 2- Stabilisateurs automatiques ou politique discrétionnaire «La politique budgétaire se définit en termes de stabilisateurs automatiques et de politique discrétionnaire. Dès qu un ralentissement de l activité se met en place, les stabilisateurs automatiques agissent naturellement à travers une baisse des recettes et une hausse des dépenses publiques. La politique discrétionnaire résulte d un changement délibéré de politique économique en matière de dépenses, impôts et transferts» L avantage des stabilisateurs automatiques est qu ils réagissent de façon quasiimmédiate aux fluctuations du cycle. Leur importance varie en fonction de la taille de la sphère publique et l élasticité des recettes et des dépenses à la conjoncture. L appellation stabilisation automatique comprend l adjectif «automatique» qui signifie que des réactions budgétaires se produisent mécaniquement, elles sont «incorporées dans les structures institutionnelles existantes». A titre d exemple un dispositif d «allocation chômage», illustre parfaitement le jeu des stabilisateurs automatiques. En effet, en période de contraction d emploi, des transferts sont versés aux chômeurs en guise d indemnisations. Ces allocations permettent d amortir les chocs et de stabiliser l activité économique. 3- La politique réglementaire La politique de règles s oppose à la politique discrétionnaire. Selon Gregory Mankiw «on parle de politiques économiques régies par des «règles»lorsque les responsables politiques annoncent à l avance la manière dont leurs politiques réagiront à diverses situations et lorsqu ils s engagent à respecter, la teneur de cette annonce. Au contraire, les politiques dites «discrétionnaires» laissent les responsables politiques libres d évaluer les situations au cas par cas et de leur appliquer, les politiques économiques qui leur semblent les plus adéquates.» Les exemples de politique de règle : Graham-Rudman-Act aux Etats-Unis, la règle d or des finances publiques en Grande Bretagne ou le Pacte de Stabilité et de Croissance dans la zone euro. III- Les principales contraintes des politiques macroéconomiques La conduite de la politique économique se heurte à un certain nombre de contraintes :
9 1- Le déficit budgétaire Il faut signaler que dans la «finance publique classique», l équilibre était un principe cardinal dont l objectif était la consécration du «laisser faire, laisser passer». Sur le plan politique, l équilibre budgétaire implique que les recettes d impôt votées par le parlement soient exactement calculées pour couvrir les charges publiques. - Sur le plan économique, un déséquilibre budgétaire entraine un recours à l emprunt ou à des avances de la Banque centrale qui conduisent à une inflation monétaire et portent atteinte à la stabilité de la monnaie. Dès lors, le recours à l emprunt n est acceptable qu en situation extraordinaire (guerre ), alors qu il est en règle générale à proscrire (car il reporte les charges sur les générations futures, et détourne les capitaux des emplois productifs). Pour conduire une politique budgétaire de relance en période de récession, il est nécessaire d augmenter le montant des dépenses budgétaires. Or, le besoin de financement de ces dépenses supplémentaires se traduit couramment par un déficit budgétaire. Ce déficit neutralise les effets positifs de la politique budgétaire mise en place à plusieurs titres : la dépense publique peut évincer la dépense privée car elle entraine une augmentation des taux d intérêt, des tensions inflationnistes, ainsi qu une hausse de l épargne privée des agents économiques qui anticipent une future augmentation des impôts. 2- L éviction par les taux d intérêt L éviction se manifeste en deux temps : Dans un premier temps, l éviction financière est directe (éviction directe). Afin de financer un déficit budgétaire naissant, l Etat attire vers lui une partie des capitaux disponibles et prive les entreprises de solutions de financement pour leurs investissements. Dans un second temps, l éviction financière est indirecte (éviction indirecte). Si le déficit budgétaire devient permanent, la pression de la demande publique de capitaux sur le marché financier finit par provoquer indirectement une montée des taux d intérêt. Pourquoi? D abord, parce que la demande de capitaux dépasse l offre disponible. 3- L éviction par l inflation
10 Dans les années , Milton Friedman, chef de file de l école monétariste, avait déjà développé la théorie de l effet d éviction par l inflation, également qualifiée de l éviction monétaire. Friedman remet en cause l hypothèse keynésienne du «revenu courant». Schématiquement, disons que, pour Keynes, un agent détermine sa consommation en fonction de son revenu courant, c'est-à-dire par rapport au revenu qu il touche réellement à la fin du mois. D après Friedman, les agents fixent leur consommation en fonction de leur «revenu permanent», c est-à-dire par rapport au revenu moyen qu ils pensent toucher au cours de leur existence.
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