EXPERTISE DE CHAUSSEES. Auscultation dynamique et diagnostic de réparation avec un déflectomètre à charge tombante
|
|
- Yves Pinard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EXPERTISE DE CHAUSSEES Auscultation dynamique et diagnostic de réparation avec un déflectomètre à charge tombante
2 Plateforme Technologique TP 2 SOMMAIRE A. PRESENTATION GENERALE...3 A.1. INTRODUCTION...3 A.2. PRESENTATION DE LA CHAUSSEE...3 A.2.1 PLAN DE SITUATION...3 A.2.2 CARACTERISTIQUES GENERALES...3 A.3. OBJECTIFS DE L ETUDE...3 B. PRESENTATION DES ESSAIS EFFECTUES...4 B.1. GENERALITES SUR LE FWD...4 C. MESURES IN SITU...5 C.1. CONDITIONS DE L INTERVENTION...5 C.2. METHODOLOGIE...5 C.2.1. DEFINITION DE LA METHODOLOGIE APPLIQUEE SUR LE PROJET...5 C.2.2. PRESENTATION DES RESULTATS D UN ESSAI...5 D. EXPLOITATION DES RESULTATS...7 D.1. HYPOTHESES...7 D.2. DEFLECTIONS...7 D.3. CALCUL DES MODULES...8 D.3.3. POINTS PARTICULIERS...8 D.4. CALCUL DE LA DUREE DE VIE RESIDUELLE...9 D.4.1. CALCULS PRELIMINAIRES...9 D.4.2. CALCULS DE DUREE DE VIE RESIDUELLE A L AIDE D ALIZE...9 D.4.3. SOLUTION DE REPARATION F. SYNTHESE ET CONCLUSION G. ANNEXES... ERREUR! SIGNET NON DEFINI. H. TABLE DES ILLUSTRATIONS Expertise de chaussées Sommaire 2007
3 Plateforme Technologique TP 3 A. PRESENTATION GENERALE A.1. INTRODUCTION La plateforme technologique travaux publics du Limousin rapproche les entreprises et les centres de formation aux métiers des travaux publics. Elle met à la disposition des collectivités, des entreprises régionales, et notamment des PME les ressources (humaines, matérielles, documentaires, d informations diverses ) dont disposent les établissements de formation et de recherche constituant le dispositif. Elle est constituée de six établissements : le lycée Pierre Caraminot, le centre AFPA d Egletons, le CFC d Egletons, L EATP, EFIATP, le lycée des métiers Marcel Barbanceys et l IUT d Egletons et le Laboratoire 3MGC de l Université de Limoges. Le défléctométre à charge tombante permet de mesurer les déflexions d une chaussée et de proposer des solutions de travaux durables. La demande du CFC Sylvain Joyeux s est faite dans ce cadre là. Souvent, on préfère attendre le dernier moment, celui qui précède l accélération de la dégradation de la chaussée, pour entreprendre des travaux. Au contraire, la plateforme technologique, grâce au défléctométre à charge tombante, peut proposer un diagnostic entraînant un entretien préventif moins coûteux. C est ce qui a été fait ici. A.2. PRESENTATION DE LA CHAUSSEE A.2.1 Plan de situation La portion de voie privée dont nous avons fait l étude passe devant le bâtiment principal du CFC et se prolonge devant les bâtiments d hébergement. Chaussée soumise à notre étude CFC Sylvain Joyeux Figure 1 : Tronçon étudié A.2.2 Caractéristiques générales La chaussée soumise à notre étude est constituée de deux couches : Une couche de roulement en enduit superficiel de type bicouche d environ 30mm d épaisseur. Une couche de forme réalisée en GNT de 200mm d épaisseur environ. Ces informations nous ont été fournies par le CFC. A.3. OBJECTIFS DE L ETUDE L étude menée comporte trois objectifs principaux : La détermination des caractéristiques mécaniques de la chaussée. La détermination de la durée de vie résiduelle de la chaussée citée ci dessus. La proposition de solutions de réparations si la chaussée le nécessite. Expertise de chaussées Présentation générale 2006
4 Plateforme Technologique TP 4 B. PRESENTATION DES ESSAIS EFFECTUES B.1. Généralités sur le FWD Phase de mesures in situ : Le défléctométre à masse tombante ou FWD (Falling Weight Deflectometer) est conçu pour mesurer le bassin des déflexions provoqué par une masse tombante sur une plaque (Φ30 cm). Il se compose : d'une remorque tractée de 850 kg environ transportant les éléments de mise en charge et les neuf capteurs de déplacement, d'un système de pilotage automatique, d'acquisition et de traitement de l'information, embarqué dans le véhicule tracteur. Après la mise en station de la remorque au droit du point de mesure, la masse est libérée d'une hauteur pouvant varier de 2 à 40 cm provoquant une force variable de 7 à 135 kn. La hauteur de chute et la force appliquée sont fixées en fonction de la nature de la structure testée. La transmission de la charge se fait par un ressort dont la constante permet de définir la durée du chargement. Les 9 capteurs (dont un est au centre de la plaque) enregistrent la déformée longitudinale sur 2 mètres environ du point d'application de la charge. Pour les structures routières, les caractéristiques de chargement sont réglées de manière à obtenir une impulsion correspondant à la durée de charge d'un PL circulant à une vitesse d'environ 70 km/h. Au droit de chaque station, 9 déflexions sont enregistrées par les 9 capteurs répartis le long d'une poutre. Le premier capteur est situé au centre de la plaque de chargement, et le dernier à 1,80 m environ dans l'axe longitudinal. A ce stade, on dispose de la demi déformée (voir figure 2) provoquée par un demi-essieu standard, ainsi que de tous les paramètres nécessaires à l'exploitation future des résultats. Figure 2 : Principe de fonctionnement du FWD Phase d exploitation des mesures : Si les données de la superstructure le permettent (épaisseurs connues des bétons bitumineux ) la durée de vie résiduelle de la chaussée testée peut être calculée soit en terme de centimètres de renforcement nécessaire soit en terme de nombre d'années disponibles sans renforcement. En effet, au droit de chaque station de mesures, grâce au logiciel Elmod nous procédons selon deux phases qui sont les suivantes : validation des mesures de déflexions, calcul des modules élastiques Ei des couches. Après avoir introduit les épaisseurs (ei) des différentes couches de la structure et compte tenu d'une part du module moyen défini et, d'autre part, des valeurs mesurées lors de l'essai, le module de chacune des couches est calculé (calcul inverse) ainsi que les contraintes et déformations correspondantes A la fin de cette première phase d'exploitation des mesures, les données suivantes, qui sont les réponses in-situ de la structure, sont disponibles au droit de chaque point testé : Ae1 Après cette partie analytique, il reste à interpréter les résultats en termes de "résistance globale à la portance" vis à vis du trafic futur prévu. Pour cela nous utilisons le logiciel Alizé qui nous permet de déterminer la durée de vie résiduelle et les éventuelles solutions de réparation à apporter. Ae2 Expertise de chaussées Présentation des essais effectué 2007
5 Plateforme Technologique TP 5 C. MESURES IN SITU C.1. CONDITIONS DE L INTERVENTION Dates : 23 novembre 2006 Equipe : Bertrand BREYSSE (Lycée Caraminot) et Benoît PICOUX ( Labo 3MGC). Moyens : FWD et véhicule de traction de la remorque. Conditions atmosphériques : temps nuageux, température de l air : 12 C environ. C.2. METHODOLOGIE C.2.1. Définition de la méthodologie appliquée sur le projet Pour la chaussée auscultée, nous avons fait un point de mesure tous les 10m. Avant chaque série d essais, un essai d étalonnage du FWD est réalisé afin d obtenir les chargements désirés en fonction du type de chaussée étudié. A chaque point de mesure, nous avons effectué 11 chargements : 3 chargements de 30 kn soit une contrainte de 424 kpa sur la chaussée, 3 chargements de 50 kn soit une contrainte de 707 kpa sur la chaussée, 3 chargements de 70 kn soit une contrainte de 990 kpa sur la chaussée. Les dernier des 3 chargements pour chaque palier de chargement a fait l objet d enregistrement des mesures de déflection sur les 9 géophones ainsi que la mesure de force sous la plaque. En parallèle sont enregistrés, le chaînage, l heure, la température de l air et la température de surface de la chaussée. C.2.2. Présentation des résultats d un essai L étude est menée en deux parties : la première pendant laquelle on réalise les mesures in situ grâce au logiciel FWDWIN (cf. figure 4) et la deuxième pendant laquelle on exploite les données avec ELMOD (cf. figure 5). Figure 3 : Enregistrement in situ sous FWDWIN On retrouve ci dessous les déflections directement enregistrées par les 9 géophones du FWD ainsi que la contrainte sous la plaque (logiciel ELMOD). Expertise de chaussées Mesures in situ 2007
6 Plateforme Technologique TP 6 déplacements en microns temps en ms contrainte contrainte en kpa. Géophone 1 Géophone 2 Géophone 3 Géophone 4 Géophone 5 Géophone 6 Géophone 7 Géophone 8 Géophone Contrainte Figure 4 : Exploitation des résultats sous ELMOD Expertise de chaussées Mesures in situ 2007
7 Plateforme Technologique TP 7 D. EXPLOITATION DES RESULTATS D.1. HYPOTHESES Grâce aux données fournies par le CFC, la modélisation de la structure des chaussées suivante a été choisie : e = 30 mm Bicouche E = 3000 Mpa* e = 250 mm GNT PFT *Données fournies par le guide technique «Conception et dimensionnement des structures de chaussée», SETRA, LCPC, décembre Les épaisseurs de couches ont des valeurs fixes et invariantes. Le module de la couche de roulement varie avec la température de chaussée. Les calculs sont effectués par analyse inverse du rayon de courbure sur les lâchés 3, 6 et 9. D.2. DEFLECTIONS On retrouve ci-dessous le graphe de déflections mesurées tout au long du tronçon étudié. Le chaînage est indiqué en abscisses (unité le km), sur l axe des ordonnées de gauche on retrouve les déflections en microns et sur celui de droite la contrainte sous la plaque en kpa. Measured deflections and load D1 Deflection (Microns) Stress (kpa) D2 D3 D4 D5 D6 D7 D8 Stres Figure 5 : Graphe des déflections lâché 6 (50 KN, 707 kpa) Expertise de chaussées Exploitation des résultats 2007
8 Plateforme Technologique TP 8 D.3. CALCUL DES MODULES A partir des déflections précédentes et des caractéristiques des chaussées (épaisseur de couche et module de certaines couches), on obtient le module de chacune des couches. Les modules indiqués ci-dessous sont les modules moyens de l ensemble du tronçon étudié. Figure 6 : Modules d élasticité des différentes couches le long du tronçon On obtient donc les modules moyens suivant sur l ensemble du tronçon : Modules d élasticité en MPa (E, MPa) Lâché 3 Lâché 6 Lâché 9 Bicouche GNT PFT Figure 7: Modules d élasticité des différentes couches le long du tronçon D.3.3. Points particuliers Les modules calculés précédemment sont des modules «moyens» calculés sur l ensemble du tronçon. Néanmoins, à la vue des déflections et des modules des différentes couches le long du tronçon (visibles au D.2. et au D.3.), on peut voir que des points singuliers apparaissent : ils montrent la présence de déflections particulièrement fortes ou particulièrement faibles à certains points de mesures qui engendrent des modules eux aussi très faibles ou très forts. Les modules des deux premières couches sont relativement constants le long du tracé. Par contre celui de la plateforme (sol) présente une zone (chaînage de 0,05 à 0,08 km) où le module est particulièrement faible (inférieur à 50 MPa). Cela pourrait poser des problèmes en cas de réfection de la chaussée. Expertise de chaussées Exploitation des résultats 2007
9 Plateforme Technologique TP 9 D.4. CALCUL DE LA DUREE DE VIE RESIDUELLE En fonction des modules calculés avec Elmod, on utilise Alizé pour définir une durée de vie résiduelle. Tous les calculs ont été faits à partir des mesures réalisées le 23 novembre D.4.1. Calculs préliminaires La première opération consiste à utiliser le logiciel Alizé en y insérant la structure qui a été mise en œuvre ainsi que les modules moyens calculés par ELMOD. Pour plus de précision dans les calculs qui vont suivre, nous allons nous appuyer sur la méthode de conception et de dimensionnement. Nous aboutissons à la structure de calcul suivante : Enduit 0,03 m E= 3000 MPa GNT 0,25 m E=383 MPa PF2 Infini E=60 MPa D.4.2. Calculs de durée de vie résiduelle à l aide d Alizé L étude de la réponse de la chaussé telle que définie ci-dessus avec le logiciel ALIZE donne : ε t = -91 mdef à la base de la couche d enduit responsable de la fissuration ε z = 1334 mdef au niveau supérieur de la plateforme responsable de l orniérage Ces sollicitations combinées aux caractéristiques moyennes retenues pour les matériaux laissent espérer les durées de vie résiduelles suivantes : Orniérage (plateforme) : 20 ans pour une classe de trafic T5 avec une moyenne journalière annuelle de 17 PL. On constate que la limite la plus sévère est imposée par la plateforme. Par ailleurs le profil des déflections et des modules montrent deux zones de faiblesse marquée (cf. D.3.3). C est donc cette couche et ces zones qui seront privilégiées dans la suite de l étude. Les résultats de l analyse Alizé de ces deux zones sont récapitulés ci-dessous : Composition Module Orniérage m déf plate-forme MJA Durée de vie résiduelle Classe Zone 1 Enduit 3287 GNT 212 PFT PL 5 ans T5 Zone 2 Enduit 3287 GNT 428 PFT PL > 20 ans T5 Expertise de chaussées Exploitation des résultats 2007
10 Plateforme Technologique TP 10 Il en ressort que cette chaussée, soumise à un trafic de classe T5 soit une moyenne journalière annuelle de poids lourds n excédant pas 5, est capable de supporter en dehors de la zone 1 le trafic imposé par ses conditions d exploitation. Contrairement à la zone 2, la zone 1 ne peut supportera en l état le trafic imposé que pendant 5 ans. Une solution de renforcement doit être envisagée. D.4.3. Solution de réparation Les résultats précédents montrent que cette chaussée présente une faiblesse marquée en zone 1 (en rouge ci dessous, chaînage 0,05 à 0,08) sur une longueur d environ 30m. Cette faiblesse est essentiellement due au faible module de la plateforme. Une purge suivie d une traitement amenant la portance de la plateforme au niveau pf2 (50 Mpa) s avèrent nécessaires. La durée de vie de l ensemble de la chaussée sera ainsi portée à 20 ans. Figure 8 : Points de mesure et repérage de la zone 1 (en rouge) Expertise de chaussées Exploitation des résultats 2007
11 Plateforme Technologique TP 11 F. SYNTHESE ET CONCLUSION La chaussée du CFC présente des caractéristiques propres à lui assurer une durée de vie résiduelle de 20 ans pour un trafic largement supérieur à celui imposé par ses conditions d exploitation actuelles. Les désordres observés actuellement ne sont donc pas la conséquence de faiblesses structurelles (fatigue de la couche de roulement, orniérage de la GNT, insuffisance de la portance de la PFT, ) mais sont plutôt liés à des anomalies superficielles localisées. Seule la Zone 1 devra être traitée comme indiqué précédemment en vue d amener l ensemble du tronçon à une durée de vie de 20 ans au moins. Expertise de chaussées Synthése et conclusion 2007
12 Plateforme Technologique TP 12 H. TABLE DES ILLUSTRATIONS Figure 1 : Tronçon étudié... 3 Figure 2 : Principe de fonctionnement du FWD... 4 Figure 3 : Enregistrement in situ sous FWDWIN... 5 Figure 4 : Exploitation des résultats sous ELMOD... 6 Figure 5 : Graphe des déflections lâché 6 (50 KN, 707 kpa)... 7 Figure 6 : Modules d élasticité des différentes couches le long du tronçon... 8 Figure 7: Modules d élasticité des différentes couches le long du tronçon... 8 Figure 8 : Points de mesure et repérage de la zone 1 (en rouge) Expertise de chaussées Table des illustrations 2007
Monitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë=
= Note d'information ^ìíéìêë=w=p íê~= o ëé~ì=`bqb= à~åîáéê=ommv= = ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= `Ü~ìëë Éë= a ééåç~ååéë= NNU= Les différents guides techniques et autres
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailDossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012
Dossier de presse SOMMAIRE Présentation...3 Une étude scientifique pour dresser un état des lieux des comportements sur autoroute...4 L occupation des voies : des résultats venant confirmer l importance
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES
ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailTRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO
TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailGoodyear Les pneumatiques longue distance qui font économiser du carburant
Goodyear Les pneumatiques longue distance qui font économiser du carburant Marathon LHS II + Marathon LHD II + Marathon LHT II Goodyear Marathon LHS II + Directeur Le Marathon LHS II + possède un mélange
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailINSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente
INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente 1. RÉSUMÉ DES CONSIGNES DE SÉCURITÉ a. TRANSPORT/ARRIMAGE DE LA CARGAISON Tous les transports de nos produits doivent se faire conformément à la
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailOTIS. Mod. La modernisation réinventée. Plus de sécurité Plus de fiabilité Plus de confort. Et plus d attention à l environnement.
OTIS Mod La modernisation réinventée Plus de sécurité Plus de fiabilité Plus de confort Et plus d attention à l environnement. GeN2 Mod, un concept novateur. ➍ CÂBLE TRADITIONNEL EN ACIER ➌ ➋ ➌ ➌ POULIE
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailD022751/01 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
D022751/01 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 3 octobre 2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 3 octobre
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailVendredi 22 mars 2013. Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège
Vendredi 22 mars 2013 Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège 2 ème phase de concertation publique 25 mars au 12 avril 2013 2 ème phase de concertation publique sur le projet
Plus en détailTable des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.
Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations
Plus en détailNOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP
Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr
LeTélégonflage ZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr LeTélégonflage Qu est est-ce que le TELEGONFLAGE? C est
Plus en détailGlissière linéaire à rouleaux
LRX Guidage linéaire Introduction Rail de guidage Joint Graisseur Corps Rouleaux cylindriques Joint Cage Couvercle d extrémité Les guides linéaires à rouleaux de la série LRX offrent une haute fiabilité
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailUtilisation des tabelles de dimensionnement
ponctuelle Tabelle A - Sans tuyaux de chauffage sol Tabelle B - Avec tuyaux de chauffage sol répartie Tabelle C - Résistance à la compression de l'isolation thermique par m 2 Utilisation des tabelles de
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailPNEUS HIVER EN EUROPE
PNEUS HIVER EN EUROPE En période hivernale, difficile de savoir si l équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays européen(s) que vous allez traverser pendant vos vacances ou
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES TRANSVERSAUX
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENSEIGNEMENTS TECHNOLOGIQUES TRANSVERSAUX Coefficient 8 Durée 4 heures Aucun document autorisé Calculatrice
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailRAPPORT D AUDIT SOLIDITE
RAPPORT D AUDIT SOLIDITE Parking Centre commercial Carrefour Nice Lingostière Réalisé par : Pour le compte de : Date Indice 20/03/2012 A SARL 1GBTP 1796 Rte de Gattières 06510 Carros Tel : 06.62.41.42.62
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailPrise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation.
Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Projet de Fin d Etude Auteur : GODARD Sandy Elève ingénieur en
Plus en détailREPUBLIQUE DU SENEGAL UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR. Ecole Supérieure Polytechnique Centre de THIES DEPARTEMENT GENIE CIVIL
REPUBLIQUE DU SENEGAL UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR Gt.O~1-9 Ecole Supérieure Polytechnique Centre de THIES DEPARTEMENT GENIE CIVIL PROJET DE FIN D'ETUDES EN VUE DE L'OBTENTION DU DIPLOME D'INGENIEUR
Plus en détailLa Certification de la Sécurité des Automatismes de METEOR
1 La Certification de la Sécurité des Automatismes de METEOR 2 un mot sur METEOR 3 Le projet METEOR, c'est... un système automatique complexe fortement intégré matériel roulant, équipements électriques,
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailArt. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3
Règles et situations exceptionnelles Dépasser par la droite? Ravaldo Guerrini (Texte et graphiques) Dépasser par la droite, c est quoi finalement? Quand peut-on ou non devancer ou dépasser par la droite?
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailNOTICE DE MONTAGE ECHELLE
NOTICE DE MONTAGE ECHELLE À CRINOLINE ACIER Me llerie uminium, acier et i x Rue de la coulée verte - P.A de la fringale 2700 VAL DE REUIL Tel. 02 32 09 57 80 - Fax. 02 32 09 57 92 Email : commercial@anoxa.fr
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailTPE : La voiture solaire. Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez.
TPE : La voiture solaire Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez. Sommaire :.1) Le capteur solaire :.2) La voiture solaire :.3) Variation de température et la vitesse : Problématique
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailLa plaque composite nora Lunatec combi
Une association remarquable : La plaque composite nora Lunatec combi pour la fabrication efficace de semelles plantaires et de semelles orthopédiques Présentation du produit Lunatec combi 1 4 nora Lunatec
Plus en détailSources. la Newsletter. Caniveaux HAURATON Découvrez tout un monde de solutions
Sources 5 la Newsletter Activités, services et produits dʼhauraton France Caniveaux HAURATON Découvrez tout un monde de solutions HAURATON \\ Une chaîne de services HAURATON conçoit et produit depuis plus
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE ESCALIER
NOTICE TECHNIQUE ESCALIER BI-POUTRE 1/4 TOURNANT EN BOIS Outils nécessaires : 1) clés plates n 10, n 1 3 et n 17 2) 1 jeu de clés BTR 3) 1 perceuse et forets selon diamètre des fixations au sol et au mur
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailRevêtements composites pour murs et plafonds
pour plus de résistances et d hygiène Revêtements composites pour murs et plafonds F A B R I C A N T Cuisines professionnelles Agroalimentaire Grande distribution Producteurs Métiers de bouche Métiers
Plus en détailREGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes
REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REG 4-21 Vous trouverez l'ensemble des textes et réglementation ici : http://www.sitesecurite.com/portail/
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailInstitut Des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité COMPOMAC R (M2)
Institut Des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité Avis technique N 153 Mars 2010 Validité : 7 ans CHAUSSéES COMPOMAC R (M2) P2 P6 ENROBéS SPéCIAUX Sommaire Présentation du produit par
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détail[Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.
Journal pour la clientèle de F.J. Aschwanden SA Septembre 2010 [Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailLE LIVRE BLANC. Pour véhicules Légers (autos, motos et 4x4) et Utilitaires Légers (camionnettes)
Pour véhicules Légers (autos, motos et 4x4) et Utilitaires Légers (camionnettes) Edition 2012 Règlements HOMOLOGATION PAR TYPE (Critères de sécurité d utilisation du pneu) Directive 92/23/CEE (31/03/92)
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailF.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique
F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailConception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16
Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple
Plus en détailSystème de sécurité de périmètre INTREPID
TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailPoint n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,
Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,
Plus en détailPetit guide pratique de dépannage du système d alerte centralisée (modèles de 1980 à 1988)
Petit guide pratique de dépannage du système d alerte centralisée (modèles de 1980 à 1988) Le système d alerte centralisée de la 928 est destiné a présenter au conducteur toute anomalie de fonctionnement
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailCESAB P200 1,4-2,5 t. Transpalettes accompagnant. Spécifications techniques. another way
CESAB P200 1,4-2,5 t Transpalettes accompagnant Spécifications techniques 1,4-1,6 t CESAB P214- P216 Spécifications techniques IDENTIFICATION 1.1 Constructeur CESAB CESAB 1.2 Modèle P214 P216 1.3 Traction
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détail