PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE MORIBABOUGOU

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1 PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali (PROMISAM) REGION DE KOULIKORO Cercle de Kati Commune rurale de Moribabougou PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE MORIBABOUGOU Elaboré avec l appui technique et financier de l USAID-Mali à travers le projet d appui au CSA, le PROMISAM Mars 2008

2 I. INTRODUCTION 1.1 : Contexte et utilité du diagnostic dans le cadre du Programme National de Sécurité Alimentaire La mise en œuvre du programme national de sécurité alimentaire à travers lequel la République du Mali a opté pour une gestion décentralisée de la sécurité alimentaire faisant de celle-ci un espace ouvert à tous les partenaires. Ce programme et la traduction de la stratégie national de sécurité alimentaire, SNSA, adoptée en 2002 par le gouvernement du Mali, ce qui a conduit à l adoption du cadre institutionnel en 2003, qui est conforme au processus de décentralisation et implique le niveau national, régional, local et communal. Tous les acteurs doivent participer aux instances de concertation et de coordination prévues à ces niveaux. Les défis et les enjeux de la stratégie nationale de sécurité alimentaire sont : Nourrir une population en forte croissance et de plus en plus urbaine ; Asseoir la croissance des revenus ruraux sur une stratégie rapide du secteur agricole ; Affronter la diversité des crises alimentaires ; Intégrer la gestion de la sécurité alimentaire dans le processus de décentralisation et de la reforme de l Etat ; Cette stratégie nationale se fixe les objectifs suivants : Objectifs généraux : - Assurer les conditions d une sécurité alimentaire structurelle durable et intégrée ; - Améliorer la prévention et la gestion des crises alimentaires 1.2 Méthodologie : Pour l élaboration du plan de sécurité alimentaire, PSA, la démarche comprenant quatre étapes a été adoptée : L étape de diagnostic L étape de concertation L étape de planification/programmation L étape de validation/restitution La première phase du diagnostic consiste à l établissement d une situation de référence ; connaître les potentialités et les contraintes de la collectivité, du milieu, des hommes, l évolution de l environnement. Ce diagnostic a été fait suivant les quatre piliers de la sécurité alimentaire, à savoir : La disponibilité des aliments L accès aux aliments L utilisation des aliments La stabilité dans l approvisionnement L analyse de la situation a consisté à l énumération des potentialités, des contraintes et des solutions à envisager pour résoudre les problèmes. L étape suivante était celle de la planification, ce qui a consisté un atelier le 14 octobre, qui a regroupé les services techniques (OHVN, SCN), les partenaires au développement et les élus communaux. Il s agit là de revoir ensemble le diagnostic pour proposer une planification de l ensemble des activités pour une durée de cinq ans. L étape de la concertation communautaire, élus, chefs de villages était celle qui a un caractère de sensibilisation des communautés. Elle a permis aussi de situer les citoyens de la commune en termes d efforts à consentir pour financer ce plan de sécurité.

3 La dernière étape est celle de la restitution et validation par le conseil communal au cours d une session ordinaire Présentation de la commune Historique Le découpage territorial, tel que conçu par l article 41 de la constitution de la première République du Mali du 22 septembre 1960, fut modifié par l ordonnance N 77-44/CMLN du 12 juillet 1977 portant organisation territoriale et administrative de la République du Mali. La troisième République suite aux évènements de mars 1991, a démocratisé le processus de la réforme de 1977, par la mise en œuvre d une nouvelle et audacieuse politique de décentralisation conformément aux textes fondamentaux. La commune de Moribabougou a été crée par la loi N du 04 novembre Situation géographique La commune rurale de Moribabougou est située à 15 km de Bamako la capitale du Mali et s étend sur 200km 2. Elle est limitée à l Est par la commune de N Gabakoro droit, à l Ouest par la commune I du district de Bamako, au Nord par la commune de Safo et au Sud par le Fleuve Niger. Le relief est très accidenté par la présence des collines, des plateaux et de petites vallées qui servent d espace d habitation humaine. Cette présence de colline et plateaux rend très difficile l aménagement de la commune en matière d urbanisation. Ainsi l étroitesse des vallées oblige la population sur les flancs des collines et très souvent sur les plateaux et les monticules. Le climat est de type soudanien, partagé entre deux saisons : la saison sèche et la saison des pluies. La végétation est également dite soudanienne, caractérisée par la savane arborée. Le réseau hydraulique est constitué de petits bassins versants qui se déversent dans le fleuve Niger Population La population de la commune de Moribabougou d après le RACE de 2001 est estimée à habitants dont femmes. Cette population est très jeune, Les moins de 35 ans sont majoritaires. Elle est composée de Bambara (majoritaire), Dogon, Peuhl, Somono, Sonrhaï, Sarakolé, Malinké. La langue de communication est les Bambara, la religion dominante est l Islam, il y a le christianisme et l animisme Accessibilité Les réseaux de liaison de la commune sont assurés par : La RN14 bitumée reliant le district de Bamako à Koulikoro, Les pistes rurales assurant l accès entre les villages La voie ferroviaire Bamako-Koulikoro Le réseau fluvial est constitué essentiellement par le fleuve Niger Les réseaux SOTELMA, Malitel, Ikatel, l ORTM, et les chaînes privées couvrent la commune Ressources naturelles Les ressources naturelles pour la plupart constituées de latérites et de moellon sont occupées par les concessions rurales des lotissements de 1996.Des bosquets villageois le long des marigots, la forêt sacré de Dogobala et des espèces ligneuses ( Karité, Nérée, Caïlcédra ) en voie de disparition sont observés à Dogobala, Fombabougou et sur les collines de Moribabougou Infrastructures et équipements Dans le domaine socio-éducatif et juvénile on note : Un CSCOM (dispensaire, maternité et laboratoire)à Moribabougou ; Deux(2) groupes scolaires public à cycle complet ; Deux(2) écoles communautaires (Souleymanebougou, Dogobala) Deux (2) écoles Franco-Arabe ; Quatre écoles privées Un jardin d enfant ; Un foyer des jeunes ;

4 Un terrain de sport Dans le domaine de la culture nous avons : Six (6) mosquées dans tous les villages Deux (2) églises ; Un cimetière Le centre commercial, deux marchés hebdomadaires, cinq(5) bars restaurants Activités socio- économiques et culturelles Agriculture Les cultures sèches : Elles sont pratiquées par quelques personnes par faute de terre cultivables. Seuls Fombabougou et Dogobala ont quelques parcelles pour l agriculture périe urbaine. Les différentes spéculations sont : le sorgho, le mil, le maïs et le riz. Les cultures maraîchères : Elles s effectuent tout le long du fleuve. Les principales spéculations sont : la tomate, le melon, les concombres. L arboriculture fruitière : ll existe des fermes de façon peu ordonnée. Elles englobent les manguiers, les agrumes, les bananières, les papayers Elevage Au niveau de la commune de Moribabougou, l élevage n est pas beaucoup développé à cause du faible niveau des pâturages et de l agriculture. Cependant on note l élevage des ovins, caprin et bovins. Pêche La pêche est pratiquée par les bozos et les Bamanans. Cette activité connaît des problèmes dus à la mauvaise organisation des pêcheurs, la faiblesse de leurs moyens pour l achat de matériel adéquat. Commerce Les femmes de la commune sont beaucoup expérimentées dans le petit commerce de fruit (mangue, orange, tomates) Structures / services Les services : Le service d appui au monde rural Le service de la conservation de la nature Le service du contrôle et de réglementation Les structures : L ONG REDEVI ; La Mairie La CARDCM ; La CARFECM ; Le CACM ; Les coopératives de consommation

5 1.4 Etat Actuel De Développement De La Commune Potentialités (Atouts) / Ressources Humaines : Population/Démographie Atouts Située à 15 km de Bamako sur l axe routier RN 14 de Koulikoro, la commune de Moribabougou compte une population d environ habitants composée essentiellement de jeunes de : - 0 à 15 ans 35 % - 15 à 45 ans 30 % - 45 à 60 ans 20 % - > à 60 ans 5 % La commune de Moribabougou est peuplée par plusieurs ethnies (bambara 70 %, et les autres couches 30 % malinké, sonrhoi, peulh bozo,bobos, dogon etc ) dont les femmes représentent 52 % et constitue la couche la plus productive en dehors des fonctionnaires et ouvriers faisant de la zone d une cité dortoir dans les villages de Souleymanebougou et Moribabgougou. Les principales activités sont l agriculture, la pêche, l élevage, le petit commerce et l artisanat. - les différentes migrations telles que l exode vers les centres villes et les migrations extérieures sont moins importantes seulement il existe quelques ressortissants en Europe et en Afrique Centrale - la langue dominante est le bambara et les différentes religions sont : l Islam, le Christianisme et l Animisme - il existe une forte cohésion sociale entre les différentes communautés. Les : Il existe différentes contraintes dont : - la mortalité infantile et néonatale dû au Paludisme et manque d IEC pour les maladies infectieuses - le faible revenu des populations surtout les jeunes à cause de manque d emploi - le faible niveau de scolarisation et de formation (absence des enfants en situation difficile, absence de formation des adultes). a) Organisation Sociale : Atouts : Il existe une soixantaine d associations féminines, professionnelles et corporelles organisées en unions et en fédérations telles que la CARDCM (Coordination des Association et Reg. Pour le Développement de la Commune), la CARFECM (Coordination. des Associations. et Regroupements. Féminin), le Collectif des artisans etc, les associations et leurs structures faîtières existent légalement et pratiquent des activités à travers la commune. Ces organisations sont en parfaits collaboration / partenariat avec la Marie et les autorités villageoises. : Les différentes contraintes résultant des aspects socio culturels sont d ordre institutionnel, organisationnel et opérationnel dont la présence d un protocole entre acteurs et le conseil communal non appliqué, la création d autres organisations (coordination des jeunes, de GIE etc ) le manque d appui conseils et financiers pour renforcement des capacités et leurs activités. b) Décentralisation / Gouvernance Locale. Atouts : - nombre de partis implantés = 8 - nombre de partis ayant participé aux élections de 2004

6 6 partis politiques dont : CNID-FYT, US-RDA, ADEMA, MPR, RPM, URD. 2 indépendants dont : Indépendant Moriba DIARRA - taux de changement (élus) = 54,54 % - taux de changement (Maire) = 0 % - résultat des partis politiques = US-RDA = 4, CNID FYT = 2, MPR = 3, Indépendants = Moriba DIARRA = 2 Les contraintes sont à deux niveaux : - avant les élections = manque de formation des candidats (IEC en stratégie d orientation de développement communal) - après les élections = mise à niveau des élus en gouvernance locale et partagée. c) Partenaire et Prestataires. Atouts : - nombre de partenaires = 19 - nombre de prestataires = 7 - domaines d intervention = Education, Santé, Environnement, Hydraulique, Infrastructure collective etc... - types de collaboration/partenariat = prestataires, coopération bilatérales, multilatérales et décentralisées. Les contraintes sont les suivantes : - insuffisance de communication (information, concertation entre les acteurs) - insuffisance de mobilisation des contributions locales (apport de bénéficiaires) - déficit opérationnel (retard de financement, de décaissement etc ). d) Education Atouts : - école publique = 2 groupe scolaire A = nombre de classe 09, bureaux 02, latrines 05 nombre d élèves G.. F nombre enseignants =.. groupe scolaire B = nombre de classe 12, bureaux 02, latrines 05 nombre d élèves G = 197, F = 119, nombre enseignants = 15 clôtures 00 - Ecoles privées = 04 - Ecoles communautaires = 02 - Medersas = 02 - insuffisance de classes (salles) - pléthore dans les salles - insuffisance de rendement - taux de déperdition e) Santé Atouts : nombre de service de santé centre de santé (CSCOM) = 01 case de santé = 00 case d accouchement = 00 dispensaire = 01 - structure de gestion = l ASACO de Moribabougou - maladies courantes = le paludisme, les maladies diarrhéiques et respiratoires - approvisionnement en médicaments = lieu : Pharmacie Populaire du Mali source de financement : autofinancement - le seuil très bas des ratio personnel / population, dépôts de pharmacie/population, des taux de consultations de prévalence contraceptive - contraintes d ordre hygiénique et préventif d équipement et infrastructures sanitaires.

7 f) Art Culture Sport. Atouts - Sport présence d une équipe communale (ASM) de football existence d un terrain de sport non aménagé - Art / Culture présence d artistes organisés en association avec des activités formelles et informelles (troupes théâtrale, comédie etc ) existence de confrérie d us et coutumes (confrérie des chasseurs, de cosmogonies) de festivités culturelles : cérémonies annuelles et religieuses (circoncision, komo, fêtes musulmanes et chrétiennes). - absence de centre de loisirs, de lectures et d écoute - absence d infrastructure et équipements sportifs - insuffisance d appui à l équipe communale qui a chuté de la 1 ère vers le 2 ème division - absence de stratégie de mise en valeur des ressources culturelles et artistiques. g) Economie Rurale Ressources Naturelles Atouts : - superficie de terre agricoles = 400 hectares - superficie de pâturages = hectares (colines) - potentialités en eau de surface : fleuve Niger, 3 marigots (farakoba, marigot de Morbabougou et marigot de Dogoba) souterraine : nappe phréatique abondante mais profonde. - nombre de carrières : indéfinie (gisement des collines) exploitées : 2 (carrières de Fombabougou, carrières de Moribabougou) non exploitées : indéfinie nombre d exploitant : (gisement des collines) - nombre d exploitants : 180 (dont 80 femmes) non structurés - nombre de bois sacré : 1 (bois sacré de Dogoba) - nombre de marché de bois : Dogoba (informel) - volume de bois exploité : massifs de Dogoba et Fombabougou - indicateurs : taux d exploitation 80 % taux déforestation 90 % association 100 % (village = 1 /village, nombre de bosquet = 3, nombre sup = 10 ha). - exploitation abusive et incontrôlée (bois et charbon) entraînant la déforestation et la dégradation des sols - les feux de brousse et les défrichements non contrôlés - la concentration des éleveurs privés (concession rurales) et transhumants entraînant la dégradation des pâturages - le manque d organisation des exploitants surtout les femmes. h) Agriculture Atouts : - superficie exploitée : 400 ha - superficie mise en valeur : 130 ha, taux : 32,5 % - rendement (toute culture confondue) : 620 tonnes/ha - nombre de charrue = 12 - nombre de charrette = nombre de tracteur = 5 - nombre de herses = 2 - nombre appareil de traitement = 2 - nombre de UPA = nombre d animaux de traits = 122

8 - pluviométrie = 300 à 600 mn / an - nombre d organisation = 8 associations paysannes dont 3 associations féminines. - superficie de terres agricoles limitée à cause de l urbanisation (extension) de l habitat - insuffisance d équipement / intrants agricoles - absence de crédit agricole - absence de formation / sensibilisation des organisations paysannes (renforcement des capacités). i) Elevage Atouts : Type d élevage : mode extensive, semi intensive (embouche) - effectif du cheptel : bovins = ovins + caprins = asins = 180 volaille = porcins = 60 équins = 6. - nombre d organisation d éleveurs : 5 associations dont 2 associations féminines - potentialités pâturages : ha points : fleuve Niger, 3 marigots temporaires commercialisation : marché de Bamako, Kati et Koulikoro aliments bétail : 3 unités de production d aliment (moulin) présence d unités de transformation de lait, de ka de (point de vente) ; volaille présence d un dépôt de produits / vétérinaires. - manque de renforcement des capacités des structures existantes (ass. coop. d éleveurs) - absence de valorisation des sous produits (peaux) - absence d infrastructures, équipements (abattoir, marché à bétail, boucherie moderne) unité de transformation. j) Pêche Atouts : Type de pêche : la pêche au filet ; au harpin Potentialité : - fleuve Niger et ses affluents ; les mares - l association des pêcheurs dans un groupement - production poissons frais = 3,4 t/an - production poissons sèches = 0,2 t/an - production poissons fumés = 0,9 t/an - les opérateurs : collecteurs, grossistes, détaillant - les moyens de commercialisation : pirogues, les transports en commun, les moto, les vélos - lieux d écoulement : le marché de Moribabougou et de Bamako Les femmes pour la plupart restent les principales vendeuses de poissons, collectent les appâts, participent à l achat du matériel de pêche. - insuffisance du matériel de pêche et de logistique - rareté du poisson dans le fleuve - manque de renforcement des capacités des pêcheurs - absence des caisses de crédit pour allouer des crédits aux pêcheurs - libéralisation des espaces de pêches à d autres pêcheurs qui ne sont pas de la commune - absence de communication entre les pêcheurs et les services techniques.

9 k) Environnement / Assainissement : Atouts - bosquet (1) ; superficie 1 ha ; nombre de pieds haies vives (10) ; superficie m ; nombre de pieds l organisation des années de l arbre - reboisement des collines et des places publiques (écoles, terrain de sport etc ) - protection des berges du fleuve Niger et des marigots - nombre de dépôts d ordures très importants (20) - nombre de concessions disposant d au moins une toilette (1 000) - une faible fréquence des inondations saisonnières - ramassage des ordures par des charrettes et des tracteurs. - manque de communication entre la population et la mairie - méconnaissance de la gestion des ordures, et des dangers des ordures - insuffisances des lieux de dépôts - absence des moyens de ramassages des ordures par la mairie - confusion entre environnement et assainissement - absence d un plan d assainissement par les acteurs - absence des GIE et associations d assainissement - manque des moyens financiers pour les études environnementales - non résidence du service de la conservation de la nature - les feux de brousse - les parcs des animaux en villes - coupe abusive des arbres. l) Hydraulique : Atouts - les puits à grand diamètre : 2 - les forages à pompe : 11 - les puits à engorgement temporaires Juillet Novembre - les forages sont gérés par des comités de gestion - le fleuve Niger, les marigots dont les eaux ne sont utilisés pour la consommation directe. - une non identification des zones pour les forages - manque de moyens pour les études de faisabilités - sol rocailleux - insuffisance des pluies l) Infrastructure et Bâtiment. Infrastructure et Equipements Socio Economiques Atouts : - nombre de mosquées publiques et privées = 8 - nombre d église = 2 - cimetière = 4 - boutiques = 20 - marchés quotidiens = 4 - le chemin de fer environ = 20 km - SOTELMA - manque d initiative et de moyen financier - absence des services techniques - manque de communication entre les acteurs et la mairie - ignorance de la population - insuffisance des lignes téléphoniques, perturbation des réseaux des cellulaires - absence de radio libre.

10 m) Secteur Secondaire : Atouts - les eaux : fleuve Niger, longueur 10 km ; villages riverain Moribabougou ; Souleymane les principales activités : pêche, le maraîchage les bénéficiaires la population - Energie ; Industrie ; Mines : * environ 320 abonnés à l énergie du Mali électricité * nombre de groupe électrogène : nombreux avec un coût très élevé environ F/CFA jusqu à F/CFA * bois de chauffage : principale ressource d énergie, la source kola (salo) et Dogoba (Moribabougou) et le charbon en plus de kola ; sirakorola (Koulikoro) * les stations korona et sangho Les carrières des moellons et de gravier rouges. - pollution des eaux par les déchets liquides de Bamako - multiplication des ha jacente d eau - insuffisance des abonnements - absence d adduction d eau EDM - coûts élevés du bois et du charbon - cherté du bois et du charbon - Mauvaise exploitation des carrières (moellons et gravillons) n) L Artisanat Atouts - les forgerons (6) - cordonniers (9) ; soudeurs (1O) ; charpentier (15) ; maçon (41) - tailleurs (35) ; bijoutiers (3) - teinturières (6O) ; menuisiers (22) ; mécaniciens (5) ; peintre (1O) ; coffreurs (17) ; photographes (15) - boucher (15) ; blanchisseurs (8) ; réparateurs moto vidéo (3) - carreleurs (2) ; électricien (8) ; fabrique de savon (4). - manque de la matière première - coût élevé du transport de la matière première - lenteur dans l écoulement des produits - accès difficile au marché - manque de renforcement des capacités des acteurs - abonnement difficile avec les grossistes Situation de référence, rapport d analyse 1. Ressources Humaines : 1. 1 Population/Démographie : Afin de consolider les atouts et de relever le défi des contraintes plusieurs alternatives sont à envisager : - renforcer les acquis et les potentialités : la recherche d emploi, la promotion des activités génératrices de revenu informelles, la consolidation de la cohésion sociale à travers les relations entre ethnies (cousinage, mariage etc ). - sensibilisation, former, éduquer les populations, créer des emploi à travers des IEC, des appui-conseils et financiers Organisation Sociale : : Ces structures qui sont de véritables supports de développement pour la commune doivent :

11 - être soutenues techniquement et financièrement - participer à l élaboration, la mise en œuvre et au suivi du PDESC - être en cohésion avec les autorités locales communales et services techniques (mise en valeur du protocole) Décentralisation / Gouvernance Locale. - une bonne sensibilisation / Formation des acteurs permettra de surmonter des difficultés et d atteindre l objectif commun : le développement local durable profitable à toute la population Partenaire et Prestataires. une bonne stratégie de communication, de mobilisation des ressources (humaines, techniques et financières) et d action permettra d atteindre les objectifs définis par chaque acteur pour le bien être de la population Education - une bonne gestion des acquis permettra d améliorer les rendements - l augmentation des infrastructures et équipements, le perfectionnement des enseignants sont des obstacles majeurs à relever Santé des séances de sensibilisation (IEC) doivent être organisées pour renforcer les capacités de prévention des maladies endémiques et augmenter le taux de fréquentation des structures sanitaires Art Culture Sport. La consolidation de ces acquis passe par : - la mise en place d infrastructure et équipement adéquat en sport, art et culture - la valorisation des cultures et arts traditionnels - le renforcement des capacités techniques et financières dans les différents secteurs. 2. Economie Rurale 2.1 Ressources Naturelles Entreprendre des actions de protection et de» gestion rationnelle des ressources naturelles par une implication des populations. 2.2 Agriculture - appui-conseil pour vulgariser les nouvelles techniques et technologies de production et valoriser la production agricole par l implantation des unités de transformation. - Appuis financiers pour faciliter l accès des producteurs aux crédits agricoles (achat matériels et intrants) - Prendre des mesures de protection des zones agricoles pour éviter les gaspillages occasionnés par l urbanisation. 2.3 Elevage L élevage n est pas très développé dans la commune. Les animaux existants appartiennent aux Bamakois. Par conséquent des mesures doivent être prise pour éviter de parquer les animaux a côté des habitations, car inévitablement source de maladies. Un accent peut être mis sur l embouche pour améliorer les revenus des populations. 2.4Pêche Les quelques pêcheurs qui existent dans la commune doivent s organiser pour bien défendre leur intérêt. 2.5 Environnement / Assainissement :

12 La commune de Moribabougou est devenue un dépotoir pour la ville de Bamako qui y déverse chaque année des tonnes des déchets solides et liquides. Les autorités communales des communes riveraines de Bamako doivent se donner la main pour solutionner ce problème qui les concerne tous. Les élus doivent prendre des mesures urgentes pour le creusement des canevaux et fosses sceptiques pour créer des conditions de vie agréable au profit des populations. 2.6 Hydraulique : Le problème d eau se pose avec acuité dans la commune. 5 mois sur 12 les populations souffrent pour avoir accès à de l eau potable. L adduction d eau de la commune doit être une priorité. Des stratégies seront développées pour une bonne gestion de l eau et l entretien des points d eau. 3. Infrastructure et Bâtiment. 3.1 Infrastructure et Equipements Socio Economiques Les infrastructures cités ci-dessus ont leur place (terrain) depuis le lotissement de 1977 mais aucune n est exploité soit par manque de moyen financier, une fuite de responsabilité de ceux la même qui doivent les exploiter il s agit des jeunes ; des services techniques : les cimetières etc Il est a noté que des infrastructures comme : la boucherie, bijouterie, les moulins, les étalagistes ; les pirogues ; les vélos les charrettes existent bien. Certains sont utilisés comme moyens de divertissement, et d autres rudimentaires. Les logements campement, parc de vaccination abattoir, magasins de stockages, marché à bétail demandent beaucoup de frais que la commune ne peut pas prendre en charge ; les mobylettes et les camions bennes ; les véhicules de transport n apportent aucun revenu dans la commune et pourtant pèsent lourdement sur la mairie avec ses nombreux accidents mortels ; le chemin de fer n existe que de nom ; on ne voit le train qu une fois par mois ou 2 fois le trimestre. Le téléphone rurale bien existe est insuffisante presque 20 lignes pour toute la commune ; encourager l Internet comme moyen de communication. Une réflexion doit être menée de concert avec tous ces acteurs pour améliorer cette situation. 3.2 Secteur Secondaire : Le fleuve Niger et les marigots constituent un patrimoine pour la commune de Moribabougou qui est très mal exploitée. Exploitée peut constituer sa riche patrimoine ; au fleuve Niger s ajoutent les carrières qui constituent la seule ressource de la commune ; une mauvaise exploitation de la carrière entraîne l érosion. L électrification et l adduction d eau de l EDM constituent une sortie de lutte contre la pauvreté ; le bois et le charbon de bois est la seule source d énergie que le Moribabourgeois peut avoir. 3.3 L Artisanat Ici dans la commune rurale de Moribabougou, malgré l organisation des artisans en collectif des artisans de la commune de Moribabougou (CACM) ; le collectif connaît d énormes problèmes. Pour la plupart ils ont accès difficile au marché public soit par manque de professionnalisme, soit par la qualité des produits, ils consomment directement les produits qu ils fabriquent avec la population de leur milieu cependant avec le renforcement de leur capacité c est des éléments qui sont très compétitifs (voir les teinturières ; les menuisiers etc ).

13 1.5 Orientations et objectifs du développement de la Commune Les Grandes Orientations de la Commune - L élaboration du schéma d aménagement territorial de la commune ; - La maîtrise et le renforcement des ressources de la commune - L amélioration du cadre de vie des populations de la commune et la gestion de l environnement ; - L approvisionnement en eau potable des populations - Prélèvement du taux de scolarisation et celui des filles - L amélioration de la couverture socio-sanitaire et de la qualité des soins de santé. - L initiation des activités génératrices de revenu de la commune et l amélioration des conditions de travail et de productivités. - Création d infrastructures culturelle et sportive dans la commune Objectifs globaux et spécifiques - L élaboration du schéma d aménagement territorial de la commune - Fixer les orientations fondamentales de l aménagement du territoire communal à moyen et long termes - Déterminer les orientations générales ou vocations des zones d activités, le tracé des grands équipements et d infrastructure, l organisation général des transports, la localisation des services et activités les plus importants, les zones préférentielles d extension et de rénovation, la planification des espaces du domaine public et privé de l Etat et /ou des collectivités territoriales. - Améliorer le taux de mobilisation des ressources de la commune Identification de meilleures conditions de travail et de tous les acteurs opérant dans la commune afin de les gérer de la façon la plus rentable possible pour son développement. - Améliorer le cadre de vie des populations de la commune. Doter de la commune d infrastructures appropriées et des conditions d hygiène et d assainissement acceptables. - Assurer une gestion rationnelle de l environnement - Assurer l approvisionnement en eau potable des populations et du cheptel Rendre accessible à tous et à tout moment, de l eau potable en qualité et en quantité. - Améliorer le taux de scolarisation et celui des filles en particulier Porter le taux de scolarisation de la commune à un niveau acceptable par rapport à celui de la moyenne nationale. - Renforcer la couverture socio-sanitaire et de la qualité des soins de santé dans la commune Accroître le nombre de CSCM en vue de rapprocher aux mieux les populations de la commune des soins de santé essentiels. - Développer les activités génératrices de revenu dans la commune et améliorer des conditions de travail et de productivités Elever le niveau de vie général des populations de la commune en vue de satisfaire leurs besoins primaires en matière de sécurité alimentaire, de santé d éducation et de logement. - Créer des infrastructures culturelle et sportives dans la commune. o Valoriser les ressources et atouts culturels que recèlent les villages (musiques, danses, instruments, masques, costume, et autres..) o Dynamiser les activités culturelles et sportives o Orienter la jeunesse vers des activités saines en vue de sa participation efficace au développement économique social de la commune ; o Développer l esprit de compétition et de challenge chez les jeunes ; o Créer les capacités d accueil pour lecture publique, des manifestations folkloriques des spectacles, d expositions des objets d art et de terrains de jeux Système d acteur : Le Conseil Communal Depuis les élections communales, du 30 Mai 2004, la commune de Moribabougou dispose d un conseil communal de 11 Membres élus pour 05 ans. Il s agit de :

14 1 DIARRA Diarrah Maire 2 MAIGA Kalil 1 er adjoint maire 3 DIABATE Zoumana 2 ème adjoint maire 4 ALASSANE Seydou 3 ème adjoint maire 5 SISSOKO Moussa Conseiller Cercle 6 CISSE Fanta Conseillère Cercle 7 TOURE Bouya Conseiller communal 8 TOURE Moriké Conseiller communal 9 BAH Fatoumata Conseillère communale 10 COULIBALY Etienne Conseiller communal 11 KONATE Adama Conseiller communal : Partenaires intervenant dans la commune SAMRl (Service d Appui au Monde Rural) ; SCN (Le service de la conservation de la nature) ; SCR (service du contrôle et de réglementation) ; L ONG REDEVI ; La CARDCM ; La CARFECM ; Le CACM ; Les coopératives de consommation 1.7 Les Atouts 1.8 Les 1.9 Stratégie de mise en oeuvre

15 II. Diagnostic Atouts/ Piliers Potentialités Disponibilités -Existence de terres cultivables -Existence de marigots -Existence de plaines aménageables -Existence de certains points d eau potable /Problèmes Solutions proposées Activités Localisation - Pauvreté des sols -Baisse de la production -Insuffisance de matériels agricoles -Insuffisance de point de vente de céréale -Insuffisance de retenue d eau -Fertiliser les sols - Augmenter la production -Equiper les producteurs agricoles - créer des points de ventes de céréales dans la commune - Réaliser des retenues d eau -Fertilisation des sols -Formation /information sur les techniques de production de la fumure organique -Equipement agricoles - Création des points d approvisionnement et de vente de céréales Réalisation des retenues d eau Tous les villages - Exploitation des terres cultivables par les femmes - Faible connaissance des femmes de la valeur nutritive des aliments, - Faible équipement des femmes en intrants et petit matériels agricoles -Amélioration le changement alimentaire dans la commune Former, équiper et doter les femmes en terres cultivables - Former les ménagères sur la valeur nutritive des aliments - Réalisation de micro crédits aux femmes

16 Existence de cheptel, de zone de pâturage et de pacage des animaux Existence des services sociaux de base et des structures de développement (caisse de crédit, ONG..) Mauvaise gestion locale de l espace communale Faible organisation des acteurs non étatiques de la commune Mise en place une convention communale de gestion concertée de l environnement Organiser de la société civile Elaboration d un plan d aménagement communal Moribabougou Accès Commerce Mauvaise état des routes et pistes agricoles dans la commune Difficulté d écoulement des produits de commerce Faciliter l accès à la commune Faciliter l écoulement des produits Réalisation des routes et pistes rurales Aménagement des marchés Moribabougou Utilisation Céréales Viande Lait Existence : Champs importation Banques de céréales Coopératives des femmes rurales Parc Pâturage Association bouchés Parcs Association Absence d équipement agricole et intrants Transport Faible approvisionnement Manque d abattoir Manque d équipement et d unité de transformation Dotation en équipements et matériels agricoles (tracteur, charrues) Dotation en matériels roulants (charrettes, semi remorque) Organiser des collectes Installer un abattoir Distribution des équipements, matériels, intrants agricoles, roulants Collecte des animaux Abattage (vente) Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebou gou Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebou gou

17 Poisson Fruits et légumes Fleuve Niger Existence coopératives pêcheurs Vergers / jardins Fleuve Niger Coopératives fruits et légumes Faible équipement de pêche Absence de pisciculture Manque d équipement transformation / conservation Transport Transformation des produits laitiers Dotation en équipement et engins de pêche Dotation en intrant (semences pisciculture) Collectes (vente et transformation) Equiper les pêcheurs Création d étangs piscicoles Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebou gou Moribabougou, Souleymanebou gou Produits forestiers Champs Forêts Coopératives exploitantes forestières Manque d équipement de transformation / conservation Absence de marché de bois / cueillette Dotation en équipement et matériels de transformation roulants Création d unités de transformation Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebou gou Huile et Beurre Proximité de HUICOMA et Bko champ Manque d équipement de conservation beurre de karité /Coût élevé de l huile Doter d unités de transformation et de marché de bois cueillette Création d unité de transformation Moribabougou Stabilité Marché Mauvaise organisation des commerçants Dynamiser l association des commerçants Mise en place d une association des commerçants de la commune Moribabougou

18 III. PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE DE LA COMMUNE DE MORIBABOUGOU Objectif global : Assurer la Sécurité Alimentaire des populations de la commune Sources Périodes Objectif global par pilier Objectifs spécifiques Activités Résultats attendus Indicateurs Localisation Montant (en millions) Commun et bénéficiaires Conseil de cercle Etat Partenaires Augmenter la production et la productivité agricole Assurer la disponibilité durable des céréales pour les populations Approvisionnement des producteurs agricoles en petit matériels et intrants agricoles Réalisation des retenues d eau pour le maraîchage Le rendement agricole a augmenté les produits maraichers sont disponibles Nombre de paysans équipés Nombre de retenues d eau réalisées Tous les villages Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebougou Appui aux femmes rurales (équipement agricoles et micro crédits) Formation des producteurs en compostage et autres techniques de production de fumure organique Approvisionnement en aliment bétail Les femmes sont équipées Les producteurs sont formés en compostage L aliment bétail est disponible Nombre de femmes appuyées Nombre de producteurs formés Nombre de tonnes d aliment bétail fourni Tous les villages Tous les villages Tous les villages

19 Fertilisation des sols Création d étangs piscicoles et équiper les pêcheurs Les terres cultivables sont fertilisées Le revenu pinicole a augmenté Nombre de parcelles fertilisées Nbre de pêcheur bénéficiaire Tous les villages Moribabougou, Souleymanebougou Création de points de vente de céréales Céréales disponibles à moindre coût Au moins 04 points de vente crée Moribabougou, Fombabougou, Dogobala, Souleymanebougou Améliorer la qualité de nos repas Améliore la disponibilité des céréales Construction d une boucherie moderne Création d une unité laitière Les conditions d hygiène sont assurées Une unité laitière est créée Boucherie construit Quantité de lait Moribabougou Moribabougoou Formation des ménagères à l art culinaire Les ménagères sont formées Nombre de ménagères formées Tous les villages Améliorer les revenus Désenclaver la commune Facilité l accès des villages au chef lieu de commune et faciliter l écoulement rapide des produits Octroi de micro crédits aux femmes et aux commerçants Aménagement des routes et pistes agricoles Les femmes et commerçants sont appuyés Routes et pistes aménagés Nombre de femmes et commerçants appuyés Procès verbal de réception Tous les villages Chef lieu de commune aux villages de la commune Pm

20 Assurer l approvisionnement permanent Aménagement du marché Les recettes communales ont augmenté Nombre de marchés aménagés Moribabougou Dogobala, Améliorer l organisation de la société civile (agriculteurs, éleveurs, coopératives, commerçants Renforcer la vie associative dans la commune La société civile est renforcée et est active dans la sécurité alimentaire La citoyenneté est développée dans la commune Tous les villages TOTAL

21

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