COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION DE L HÔPITAL LOCAL DE MARCIGNY
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- Gérard Leblanc
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1 COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION DE L HÔPITAL LOCAL DE MARCIGNY Place Irène-Popard MARCIGNY Mars 2004 Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé
2 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION»...P.3 PARTIE 1 PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ...P.8 PARTIE 2 DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE D ACCRÉDITATION...P.9 PARTIE 3 CONCLUSIONS DU COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION I APPRÉCIATION DU COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION SYNTHÈSE PAR RÉFÉRENTIEL...P.10 II. DÉCISIONS DU COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION II.1 Recommandations formulées par le Collège de l accréditation...p.13 II.2 Modalités de suivi...p.13-2-
3 COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION» Le «compte-rendu d accréditation» dont vous disposez résulte d une procédure d évaluation externe d un établissement de santé (hôpital ou clinique), conduite par l Agence Nationale d Accréditation et d Évaluation en Santé (ANAES). Cette procédure vise à développer les actions relatives à la qualité et à la sécurité des soins au sein de chaque établissement. Ce compte-rendu présente les résultats de la procédure engagée par l établissement. Pour en faciliter la lecture quelques informations vous sont proposées ci-dessous. L ANAES L ANAES est un établissement public administratif de l État créé en Ses missions sont de : - faire le bilan des connaissances sur les techniques diagnostiques et thérapeutiques ; - contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins notamment en mettant en œuvre la «procédure d accréditation» des établissements de santé. I. QU EST-CE QUE L ACCRÉDITATION DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ? L accréditation est un moyen pour inciter l ensemble des professionnels des établissements de santé (soignants, médecins, personnels administratifs, agents d entretien ) à analyser leur organisation et à améliorer la qualité de la prise en charge des patients. La procédure d accréditation est obligatoire et intervient périodiquement. CE QUE N EST PAS L ACCRÉDITATION - Elle n établit pas un palmarès des hôpitaux ou cliniques. - Elle ne note pas les médecins, les soignants ou les services. - Elle ne décide pas de l attribution de moyens supplémentaires. -3-
4 II. QU APPORTE LA PROCÉDURE D ACCRÉDITATION? La procédure d accréditation favorise une meilleure organisation de l établissement au service de la personne soignée. Grâce à l auto-évaluation et à la visite des experts-visiteurs, elle permet aux professionnels de l établissement de santé de : réfléchir ensemble à leur organisation, en fonction des différents besoins des personnes soignées ; reconnaître les points forts et les points à améliorer ; définir des actions prioritaires ; faire évoluer leur façon de travailler. dans le but de : permettre à tous d accéder à des soins de qualité ; contribuer à mieux répondre aux différents besoins de chaque personne soignée ; améliorer la qualité et la sécurité des soins (cf. encadré) et des autres services (accueil, hôtellerie, information ). APPORT POUR LA QUALITÉ DES SOINS - L information de la personne soignée et de sa famille sur les conditions de séjour et sur son état de santé. - L amélioration de la sécurité des soins. - Une meilleure coordination des professionnels intervenant auprès de la personne soignée. - La réalisation de soins respectant les bonnes pratiques recommandées. III. COMMENT EST ÉTABLI LE COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION? La procédure d accréditation d un établissement de santé se déroule en plusieurs temps. Elle débute par une évaluation réalisée par les professionnels de cet établissement (appelée «auto-évaluation») à l aide d un manuel* d accréditation proposé par l ANAES. Ce manuel comporte 300 questions permettant l appréciation de la sécurité et de la qualité regroupées en 10 chapitres appelés référentiels. Ces référentiels sont complémentaires, de façon à traiter l ensemble des activités d un établissement et aboutir à une vision transversale de son fonctionnement. * Le manuel d accréditation est disponible sur le site Internet de l ANAES -4-
5 LES RÉFÉRENTIELS D ACCRÉDITATION 1. Droits et information du patient 2. Dossier du patient 3. Organisation de la prise en charge du patient 4. Management de l établissement et des secteurs d activité 5. Gestion des ressources humaines 6. Gestion des fonctions logistiques 7. Gestion du système d information 8. Qualité et prévention des risques 9. Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle 10. Surveillance, prévention, contrôle du risque infectieux Après l auto-évaluation, l ANAES organise la visite de l établissement (la «visite d accréditation») pour observer son organisation et discuter avec les personnels des résultats de l auto-évaluation. Cette visite est réalisée par une équipe d «experts-visiteurs» (médecins, directeurs, soignants) formés par l ANAES. Pour garantir l indépendance de la procédure d accréditation, les experts-visiteurs sont issus d établissements de santé publics et privés d une région différente de celle de l établissement visité. Les résultats de cette visite et les observations de l établissement sur celle-ci sont analysés par le «Collège de l accréditation». LE COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION Le Collège de l accréditation est un groupe composé de 15 professionnels, issus d établissements de santé (médecins, directeurs, soignants) nommés par le Ministre de la santé. Le Collège de l accréditation établit un «rapport d accréditation» qui est transmis à l établissement de santé et à l autorité dont il dépend dans sa région (Agence Régionale de l Hospitalisation ou ARH ). Le directeur de l ANAES élabore le compte-rendu d accréditation à partir du rapport d accréditation du Collège de l accréditation. -5-
6 DÉROULEMENT D UNE PROCÉDURE D ACCRÉDITATION Entrée de l établissement de santé dans la procédure Réalisation d une auto-évaluation par l établissement de santé Visite de l établissement et rédaction d un rapport par des experts-visiteurs Formulation d observations par l établissement de santé sur le rapport des experts-visiteurs Étude du rapport des experts-visiteurs et des observations de l établissement. Élaboration du rapport d accréditation par le Collège de l accréditation. Élaboration du COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION par le Directeur de l ANAES -6-
7 IV. QUE CONTIENT LE COMPTE-RENDU D ACCRÉDITATION? Le compte-rendu d accréditation contient les informations suivantes : - la présentation de l établissement de santé, - le déroulement de la procédure d accréditation, - les conclusions du Collège de l accréditation sur la situation de l établissement. Ces conclusions mettent en évidence une synthèse selon les 10 référentiels. Dans ses décisions, le Collège de l accréditation peut émettre : - des recommandations : demandes formulées à l établissement pour progresser sur des domaines précisés en perspective de la prochaine procédure ; - des réserves : constat(s) d insuffisances sur des domaines précisés et absence de dynamique de progrès ; - des réserves majeures : constat(s) d insuffisances graves relatives aux exigences de qualité et de sécurité, sans qu il y ait eu de preuves d actions correctrices. Les décisions du Collège de l accréditation peuvent se résumer de la façon suivante : APPRÉCIATIONS Sans recommandation Avec recommandations Avec réserves Avec réserves majeures MODALITÉS DE SUIVI Le Collège de l accréditation encourage l établissement de santé à poursuivre la dynamique engagée. L établissement de santé met en œuvre les mesures préconisées et assure le suivi des recommandations formulées par le Collège de l accréditation en vue de la prochaine procédure. L établissement de santé produit un rapport de suivi ou fait l objet d une «visite ciblée» sur les sujets concernés dans un délai fixé par le Collège de l accréditation. L établissement de santé doit apporter des solutions aux réserves majeures lors d une «visite ciblée» à une date fixée par le Collège de l accréditation. * * * Les comptes rendus d accréditation des établissements de santé ayant conclu leur procédure d accréditation sont disponibles auprès de la direction de chaque établissement concerné et sur le site Internet de l ANAES -7-
8 PARTIE 1 PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ La présente procédure d accréditation concerne : - L hôpital local de Marcigny, sis place Irène Popard Marcigny. L établissement a été construit en 1688 afin d améliorer le sort des habitants de la ville de Marcigny. Les anciens bâtiments ont donc été érigés au XVII e et XVIII e siècles pour abriter la maison de retraite. En 1970 débute la construction d un nouveau bâtiment destiné à ouvrir un service de médecine ; sa capacité est de 25 lits. D autre part, entre 1999 et 2002, la maison de retraite connaît une profonde restructuration par une humanisation des locaux existants et la construction d un nouveau bâtiment. L établissement se situe au sud-ouest de la Saône-et-Loire (région Bourgogne) et appartient au secteur sanitaire n 4. Il se situe à mi-chemin entre les villes de Paray-le-Monial (71) et de Roanne (42). Son bassin de population comprend deux cantons : Marcigny (6 370 habitants) et Semur-en-Brionnais (5 075 habitants). L hôpital local draine quelques communes limitrophes des départements de l Allier (03) et de la Loire (42). Il existe donc une forte attractivité de la Loire et donc d une autre compétence administrative. La capacité actuelle est de 10 lits de médecine et de 10 lits de soins de suite et de réadaptation (SSR). Cette nouvelle répartition date du 1 er mars 2002 par transformation de 10 lits de médecine en SSR et ce afin d adapter les capacités aux besoins de la population. En complément, il existe une maison de retraite de 62 lits d hébergement permanent et 10 lits d hébergement temporaire, mais dont seulement 5 sont installés et situés dans le bâtiment de médecine. Ainsi 21 places d un service de soins à domicile existent au sein de l établissement. L activité est à orientation «prise en charge de la personne âgée» : soit de manière aiguë ; soit en préparant le retour à domicile ou le passage en maison de retraite. Au 1 er janvier 2003, la maison de retraite s est mue en EHPAD (établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes), avec un renforcement significatif des moyens humains. La capacité a été portée à 77 lits d hébergement dont 5 dédiés aux prises en charge temporaires. L établissement a développé une convention de complémentarité avec l hôpital de Paray-le-Monial et de fonctionnement général avec l hôpital de Roanne. Il participe à la communauté des établissements de santé du Charollais, et au réseau gérontologique du pays charollais. -8-
9 PARTIE 2 DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE D ACCRÉDITATION La présente procédure d accréditation concerne : - L hôpital local de Marcigny, sis place Irène Popard Marcigny. Ce rapport fait suite à l engagement de l établissement dans la procédure d accréditation en date du 22 janvier Cette procédure a donné lieu à une autoévaluation réalisée par l établissement, suivie d une visite effectuée du 30 septembre au 03 octobre 2003 par une équipe multiprofessionnelle de 2 experts-visiteurs mandatée par l agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé. A l issue de cette visite un rapport des experts a été communiqué à l établissement qui a formulé ses observations auprès de l ANAES. Le rapport des experts ainsi que les observations de l établissement audit rapport ont été communiqués pour délibération au Collège de l accréditation en mars Après avoir pris connaissance : - du rapport des experts, et plus particulièrement des modalités de réalisation de l autoévaluation et de la visite, de la mise à disposition des documents de synthèse sur la sécurité et du suivi des recommandations faites par les organismes de contrôle, - des observations et informations complémentaires au rapport des experts fournies par l établissement, le Collège de l accréditation décide que l hôpital local de Marcigny, sis place Irène Popard Marcigny a satisfait à la procédure d accréditation. -9-
10 PARTIE 3 CONCLUSIONS DU COLLÈGE DE L ACCRÉDITATION I APPRECIATION DU COLLEGE DE L ACCREDITATION Synthèse par référentiel I.1 Droits et information du patient Le projet d établissement n étant pas encore rédigé, la politique en matière de droits et information du patient n est pas clairement énoncée. Néanmoins, la direction et les professionnels s impliquent de façon constante dans la recherche de la satisfaction des patients. La pérennité de cette démarche semble acquise, même si les stratégies qui seront mises en œuvre demandent à être mieux hiérarchisées et coordonnées. L évaluation des droits du patient sera effectuée prochainement à partir des questionnaires de sortie, et à partir d audits de connaissances et de pratiques. L établissement doit mettre en œuvre le recueil de la personne de confiance et l information du patient quant à son droit d accès à son dossier médical et faire participer la commission des usagers à la gestion des plaintes. Les EV soulignent la qualité de l information du patient sur ses soins et son état de santé. Néanmoins, une réflexion doit être menée pour mettre en œuvre la traçabilité de cette information et du consentement du patient. I.2 Dossier du patient La démarche d amélioration du dossier est ancienne dans l établissement. La tenue du dossier est l affaire de tous. Des améliorations sont à apporter concernant les garanties de confidentialité par la sécurisation de l accès des locaux des unités de soins, et la fiabilité des prescriptions médicales. L informatisation prochaine de certains supports du dossier devra proposer des solutions concrètes pour remédier à ces problèmes. L évaluation de la qualité des dossiers a été initiée par un audit de connaissances, mais doit se compléter par une évaluation de la tenue réelle des différents supports. -10-
11 I.3 Organisation de la prise en charge des patients La politique de prise charge des patients n est pas encore écrite ; les choix de restructuration architecturale du bâtiment de médecine semblent un préalable incontournable à la définition de cette politique. Les objectifs en matière de soins infirmiers et de rééducation ne sont pas clairement exprimés, et devront être développés dans le volet projet de soins du futur projet d établissement, en particulier définir et mettre en œuvre une procédure de prise en charge des urgences vitales comprenant la formation du personnel. Les professionnels s impliquent dans l amélioration de la prise en charge des patients au quotidien. La reflexion bénéfices-risques est présentée oralement au patient ; sa traçabilité dans le dossier devra être développée. La coordination entre médecins, infirmières et pharmacienne doit être redéfinie en ce qui concerne les supports et l organisation du circuit du médicament, de manière à faire disparaître les transcriptions. L évaluation des pratiques professionnelles n est pas initiée et devra faire l objet d une véritable politique. I.4 Management de l établissement et des secteurs d activité Le management de l établissement a été repris depuis deux ans par un nouveau directeur. Les axes de travail (réécriture d un nouveau projet d établissement, nouveau schéma directeur, consultation du CLIN) feront l objet après la visite d accréditation d une priorisation. La direction a axé son travail sur la participation des cadres et les instances au management général de l hôpital local. Le suivi de la politique financière et budgétaire en est un exemple probant. L engagement dans la démarche d amélioration de la qualité a été forte, gage d une dynamique qualité pour ce référentiel. La poursuite et le renforcement de l implication des médecins libéraux dans cette démarche doivent être encouragés. I.5 Gestion des ressources humaines La gestion des ressources humaines est bien assurée dans cet établissement et le directeur est conscient de l intérêt de formaliser sa politique de ressources humaines dans son prochain projet social. L évaluation des professionnels est en cours, la formation qualifiante est mise en place, il existe une véritable dynamique pour ce référentiel. I.6 Gestion des fonctions logistiques Axe prioritaire du développement de la qualité, ce référentiel a fait l objet des soins attentifs de la direction et des acteurs de l hôpital. Il en résulte une très bonne appropriation de la démarche HACCP en cuisine, un nombre important de protocoles pour toutes les fonctions logistiques. Une appropriation de l esprit de la démarche d assurance qualité témoigne d une bonne dynamique qualité que les EV ont noté comme bien présente et transversale. L évaluation de l ensemble des fonctions logistiques et de la satisfaction des professionnels reste un objectif à prendre en compte. -11-
12 I.7 Gestion du système d information Compte tenu de la taille de l établissement et de ses moyens, ce référentiel n a pas été priorisé et l établissement n en est qu au début de la mise en place d une politique de gestion d un système d information et de l analyse des besoins des professionnels utilisateurs. Les premiers pas sont difficiles, mais il existe des moyens informatiques récents pour les grandes fonctions de l hôpital. Le projet de dossier de soins informatisé se met en place et devra s appuyer sur une dynamique qualité qu il reste à définir pour ce référentiel. I.8 Gestion de la qualité et prévention des risques Les EV ont noté pour ce référentiel une véritable émergence d une culture qualité dans cet établissement, depuis 2000 un travail très important impliquant une majorité des acteurs a créé une nouvelle façon de travailler. Cela est particulièrement spectaculaire pour la gestion documentaire et l appropriation des recommandations de l ANAES. La dynamique qualité pour la prévention des risques avec la généralisation des déclarations d événements indésirables est plus timide, mais est inscrite dans des plans d amélioration de la qualité. L évaluation a démarré par quelques audits et l établissement est bien conscient de la nécessité de poursuivre et d étendre cette évaluation. I.9 Vigilances sanitaires et sécurité transfusionnelle L établissement a pris les dispositions nécessaires pour structurer les vigilances, avec la participation des professionnels. Cette organisation récente, mais dynamique, doit être pérennisée et complétée par la mise en place des procédures d évaluation prévues par l établissement. I.10 Surveillance, prévention et contrôle du risque infectieux L établissement a défini un plan d actions concernant le risque infectieux en Les personnels compétents en hygiène ont structuré la démarche d amélioration de la qualité, en élaborant des stratégies coordonnées, et en s assurant de la coopération des professionnels dans les unités. Leur détermination s est concrétisée par la création d un CLIN permettant une implication médicale dans ce domaine, et garantissant le caractère décisionnel de cette instance. Les efforts doivent être poursuivis pour assurer la surveillance régulière du personnel par la médecine du travail. La qualité de l organisation mise en place, ainsi que l implication des professionnels nous ont convaincus de la pérennité de la démarche. Les modes d évaluation sont à développer. -12-
13 II DECISIONS DU COLLEGE DE L ACCREDITATION II.1 Recommandations formulées par le Collège de l accréditation - Sécuriser les modalités de prescription du médicament, et supprimer les retranscriptions. - Assurer la formation des professionnels aux gestes d urgences. II.2 Modalités de suivi Au vu des éléments contenus dans le présent rapport d accréditation issu des résultats de l auto-évaluation, du rapport des experts consécutif à la visite sur site et des observations de l établissement à ce rapport, le Collège de l accréditation décide que l établissement a satisfait à la procédure d accréditation. Considérant la dynamique qualité de l établissement, le Collège de l accréditation décide qu il fait l objet des recommandations mentionnées cidessus. L établissement met en œuvre les actions correctives et en assure le suivi en perspective de la prochaine procédure d accréditation. -13-
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