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1 Vues: définition Table virtuelle de la base de données dont le contenu est défini par un requête La vue n existe pas en tant qu ensemble de données stockées sur le disque seule la requête décrivant la vue est stockée 2 Vues: avantages indépendance logique exemple: infodepartement_vue(iddept, nomdept, Loc, nbemp, SalTot); simplification de requêtes département de plus de 10 employés et dont la masse salariale est inférieure à 20 K? isolation des modifications - - emp sans indiquer le salaire emp_vue(idemp, nom, prénom, job, iddept) sécurité Vues: inconvénients performance la traduction de la requête peut être longue restriction des mises à jour possibilité de mise à jour qu à partir de vues simples intégrité des données 3 4 Vues: syntaxe CREATE [OR REPLACE] VIEW nomvue [col, ] AS SELECT syntaxe select [WITH CHECK OPTION [CONSTRAINT] nom]; DROP VIEW nomvue; Vues: exemple CREATE VIEW emp_recherche AS SELECT * FROM emp, dpt WHERE emp.idemp = dpt.iddept AND nomdept= Recherche ; SELECT * FROM emp_recherche ; RENAME ancien_nom TO nouveau_nom; 5 6 1

2 Vues: mise à jour Conditions construite sur une seule table possible sur vue comportant une jointure si les modificationssuppressionsinsertions ne concernent qu une table de la jointure pas de GROUP BY les colonnes résultats doivent être des colonnes réelles de la table (non calculées) la vue contient toutes les colonnes NOT NULL de la table Vues : contrôle d intégrité CHECK OPTION : cette clause permet d interdire d insérer ou de modifier à travers la vue des n-uplets qui ne satisferaient pas à la définition de la vue. Permet d insérer à travers la vue de nouveaux n-uplets de supprimer des n-uplets de la table à partir de la vue de mettre à jour la table par l intermédiaire de la vue 7 8 Check Option: exemple > CREATE OR REPLACE VIEW empinge AS SELECT * from emp WHERE job= Ingenieur WITH CHECK OPTION CONSTRAINT Check_inge; > UPDATE empinge SET job= manager WHERE idemp= 1123 ; > ORA-01402: view WITH CHECK OPTION clause violation Vue matérialisée Vue physique d'une table (SNAPSHOT) Duplication des données => nécessité de synchroniser les données => à n utiliser que pour des requêtes particulièrement lourdes La fréquence des mises à jour de la vue matérialisée est à préciser 9 10 Vue matérialisée: syntaxe CREATE MATERIALIZED VIEW <nomvue> REFRESH <précisions mise à jour> AS <requête>; Les données de la table sont copiées dans la vue matérialisée à sa création Vue matérialisée: mode de rafraichissement Modes de refresh: sur commit : clause ON COMMIT à la demande (asynchrone, mode par defaut): clause ON DEMAND (utilise des procédures du package standard DBMS_MVIEW). execute DBMS_REFRESH.MAKE('group_vue, vuemat1 ); execute DBMS_REFRESH.REFRESH('group_vue'); périodique : clauses START WITH et NEXT, qui précise une date de début et une période de temps intermédiaire CREATE MATERIALIZED VIEW vuemat1 REFRESH START WITH SYSDATE NEXT SYSDATE + 1 AS SELECT * FROM emp WHERE job = ANALYST ;

3 Embedded Les manques de : structures de programme structures de contrôle structures de données facilités pour les entréessortie problème pour développer des applications Approche «Embedded» Insertion de dans un langage de programmation technique de pré-compilation normalisation (Pascal, C, ) Pro*CC++ pour Oracle 13 Inconvénients deux systèmes de types correspondance ensemblisteunaire deux styles de programmation 14 Exemple: JDBC Exemple de programme JAVA qui utilise le pilote JDBC OCI8 d'oracle pour insérer une ligne dans la table Client Il faut importer le paquetage java.sql pour utiliser JDBC import java.sql.*; class ClientInsertJDBC { public static void main (String args []) throws Exception, ClassNotFoundException, java.io.ioexception { Charger le pilote JDBC d'oracle Class.forName ("oracle.jdbc.driver.oracledriver"); Connexion à une BD Connection uneconnection = DriverManager.getConnection ("jdbc:oracle:oci8:@", "Scott", "Tiger"); Création d'un énoncé associé à la Connection Statement unenoncé = uneconnection.createstatement (); Insertion d'une ligne dans la table Client int n = unenoncé.executeupdate ("INSERT INTO CLIENT " + "VALUES (100, 'Smith', '911')"); System.out.println ("Nombre de lignes inserees:" + n); Exemple: J (préprocesseur ) Définition de la classe IteratorClient avec liaison par nom #sql iterator IteratorClient(int noclient, String nomclient); Création d'un objet itérateur IteratorClient uniteratorclient; Liaison de l'énoncé SELECT de l'itérateur #sql uniteratorclient = { SELECT idclient, nomclient FROM Client WHERE idclient > 40}; Accès au résultat du SELECT par itération sur les lignes while (uniteratorclient.next()){ System.out.println("Numéro du client : " + uniteratorclient.idclient()); System.out.println("Nom du client : " + uniteratorclient.nomclient()); } Fermer l'itérateur uniteratorclient.close(); Fermeture de l'énoncé et de la connexion unenoncé.close(); uneconnection.close(); } } Annexe: intégré dans un langage de programmation => LINQ (.net) var ensemblepays = new Pays[]{ new Pays("France", , ), new Pays("Turquie", , ), new Pays("Chine", , ), new Pays("USA", , ), new Pays("Maroc", , ), new Pays("Suisse", , 40000) }; var grospays = from p in ensemblepays where p.superficie > select p; foreach (var p in grospays) { Console.WriteLine(p); } Extensions procédurales Principe: ajout à de structures de contrôle => + outils procéduraux => notion de «procédures stockées» Standardisation: PSM (Persistent Stored Modules) Exemples: My: PSM Oracle: PL Postgre: PLPSM et PLpg

4 PL Extension de ( PSM ) Langage de programmation procédural Clauses intégrées dans le code procédural PL est donc un langage de programmation propre à Oracle (PLg existe aussi pour postgre) : intégre directement les clauses d interrogation, de manipulation (généralement pas de définition des données) permet l encapsulation des données dans du code gestion des exceptions Environnement PL Application Application IF THEN ELSE END IF ; SGBD Oracle PL Bénéfices de PL PL regroupe les requêtes en un seul bloc qui est envoyé au serveur en un seul appel => amélioration des performances (moins de communications ( réseau surle Permet de créer des bibliothèques de code réutilisable => programmation de fonctions, procédures, packages Bloc PL Caractéristiques de PL Gestion des variables variables locales variables d environnementextérieuresà PL Structures de contrôle traitements conditionnels traitements répétitifs Utilisation des curseurs définition utilisation de curseursexplicites attributsdes curseurs modification des valeurs d un curseur Gestion des erreurs anomalies programme utilisateur erreurs Oracle erreurs prédéfinies Environnement PL Bloc anonyme : bloc PL imbriqué dans une application ou créé interactivement Procédure enregistrée : bloc nommé enregistré dans le serveur Oracle et qui peut être invoqué par son nom Package : module PL qui regroupe un ensemble de procédures Trigger : bloc associé à une table et déclenché automatiquement lors d une requête

5 Bloc PL Tout bloc PL est composé de 3 sections ( optionel ) variables, constantes, curseurs ( obligatoire ) clauses instructions PL ( optionel ) EXCEPTION actions à réaliser quand une exception est levée ( obligatoire ) Un bloc peut contenir un ou plusieurs autres blocs Bloc PL Exemple de bloc PL: salaire_v NUMBER(5); SELECT salaire INTO salaire_v FROM emp ; EXCEPTION WHEN exception_e THEN Exécution Bloc PL Fichier monfichier.sql dbms_output.put_line( Hello World ) ; Pour que le bloc soit exécuté dans Plus > set serveroutput on ; Documents\monfichier.sql > Hello World Bloc anonyme Permet l affichage sur la console (dbms_output) Charge le contenu de monfichier.sql Variables dans PL Utiliser les variables pour : L enregistrement temporaire des donnéees comme dans tout langage de programmation procédural. La manipulation de données enregistrées afin de réaliser des calculs et autres manipulations sans accéder à la base de données La réutilisabilité: une fois déclarée, une variable peut être utilisée plusieurs fois dans une application. La facilité de maintenance: en utilisant %TYPE et %ROWTYPE (présenté plus tard), on déclare des variables ayant le même type que des attributs de tables, si la définition de la table change, le type de la variable change de même. => réduction des coûts de maintenance Types de variables Scalaires valeurs simples, les principaux types sont ceux de Composites les enregistrements permettent de définir des données structurées Déclaration de variables Syntaxe : <nom> [CONSTANT] <type> [NOT NULL] [ := DEFAULT <expression> ] ; Exemple : dateemprunt_v DATE ; nodept _v NUMBER(2) NOT NULL := 10 ; lieu_v VARCHAR2(13) := Paris ; taux_c CONSTANT NUMBER := 20 ; Note : constantes et variables NOT NULL doivent être immédiatement affectées

6 Convention Toute variable doit être déclarée pour pouvoir être utilisée Une variable au maximum déclarée par ligne Les noms de variable doivent commencer par une lettre et ont 30 caractères au maximum Portée de bloc pour les variables, masquage de variables dans les sous-blocs Nom des tables, attributes,, objets de la base ont la priorité sur les noms de variables Par convention, utiliser les suffixes : _c pour les constantes _v pour les variables _g pour les variables globales Affectation de valeurs dans une variable Affectation d'une valeur à une variable : <nom_de_variable> := <expression> Stockage du résulat d'une requête : SELECT INTO <nom_de_variable> FROM WHERE Types scalaires PL CHAR [(<taille_max>)] chaînes de caractères de longueur fixe (max 32767) VARCHAR2 (<taille_max>) ( chaînes de caractères de longueur variable (max NUMBER [(<p>, <s>)] nombres réels, p chiffres en tout, s après la virgule PLS_INTEGER prennent moins de place et sont plus rapides que les valeurs de type number et binary_integer DATE BOOLEAN trois valeurs possibles : TRUE, FALSE et NULL Types définis par l utilisateur Syntaxe : TYPE <nom_type> IS RECORD ( <nomchamps> <type> [ [NOT NULL] [ := <expression> ] ], ) ; Exemple : > TYPE client_t IS RECORD ( numero NUMBER(4), nom CHAR(20), adresse CHAR(20) ) ; client1_v client_t ; client1_v.numero := 2516 ; Type tableau Syntaxe : Exemple : TYPE <nom_type> IS VARRAY (<size>) OF <type> TYPE tab_emp IS VARRAY(10) OF VARCHAR2(64); tab1 tab_emp; tab1 := tab_emp(); tab1.extend(3); tab1(1) := CLARK ; tab1(2) := STONE ; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE( tab1(1) ) ; L attribut %TYPE et %ROWTYPE %TYPE : permet d identifier dynamiquementle type d un variable à partir de : la définitiond un attributde table la définition d une autre variable déclarée précédemment Remarque: les contraintes NOT NULL de la définition des attributs de tables ne sont pas conservéesavec %TYPE Exemple : nomemploye_v employe.nomemp%type ; solde_v NUMBER(7, 2) ; soldeminimal_v solde_v%type := 2000 ; %ROWTYPE: identifiedynamiquementle type (structuré) d un n-upletd une table Exemple : datecommande_v Commande.dateCommande%TYPE ; commande_v Commande%ROWTYPE ;

7 Opérateurs Arithmétique: +, -, *,, ** Concaténation de chaîne: Parenthèse pour contrôler les priorités des opérations Affectation := Comparaison =, <>, <, >, <=, >=, IS NULL, LIKE, BETWEEN, IN Logique: AND, OR, NOT Exemples Incrémenter l index d une boucle compte_v := compte_v + 1; Affectation de la valeur d un drapeau booléen egales_v := (n1_v = n2_v); Rechercher si une variable a une valeur affecte_v := (nemp_v IS NOT NULL) Structures de contrôle Branchements conditionnels IF - THEN - END IF IF - THEN - ELSE - END IF IF - THEN - ELSIF - END IF CASE Boucles - END FOR - END WHILE - END Note : la commande EXIT permet de sortirde tout type de boucle Branchement conditionnel Syntaxe : IF <condition> THEN commandes ; [ELSIF <condition> THEN commandes ; ]* [ELSE commandes ; ] END IF ; Note : vous pouvez utiliser l expression IS NULL dans les conditions Branchement conditionnel Exemple: IF nomemploye_v = Tiger THEN salaire_v := salaire_v * 3 ; ELSIF nomemploye_v = Scott THEN salaire_v := salaire_v * 2.5 ; ELSE salaire_v := salaire_v * 2 ; END IF; CASE Syntaxe: CASE expression WHEN expr1 THEN instruction 1; WHEN expr2 THEN instruction 2; ELSE instructionsn; END CASE;

8 Boucle Syntaxe : commandes ; EXIT [WHEN <condition>] ; END ; Note : Sans commande EXIT, les boucles sont infinies Boucle Exemple : numemp_v NUMBER (3) := 1; INSERT INTO Emp (numemp, nomemp, jobemp, numdpt) VALUES (numemp_v, Analyste to_char(numemp), Analyste, 10) ; numemp_v := numemp_v +1 ; EXIT WHEN numemp >= 10 ; END ; Boucle FOR Syntaxe : FOR <compteur> IN [REVERSE] <limite_inf>.. <limite_sup> commandes ; END Exemple : numemp_v NUMBER (3); FOR numemp_v IN INSERT INTO Employe (numemp, nomemp, jobemp, numdpt) VALUES (numemp_v, Analyste to_char(numemp), Analyste, 10) ; END ; 45 Boucle WHILE Syntaxe : WHILE <condition> commandes ; END ; Exemple : numemp_v NUMBER (3); numemp_v := 1; WHILE noemp_v <= 10 INSERT INTO Employe (numemp, nomemp, jobemp, numdpt) VALUES (numemp_v, Analyste to_char(numemp), Analyste, 10) ; numemp_v := numemp_v +1 ; END ; 46 Inclure une requête SELECT dans PL numdept_v NUMBER(2) ; loc_v VARCHAR2(15) ; SELECT numdept, lieu INTO numdept_v, loc_v FROM Dept WHERE numdept = Rech ; ATTENTION : La requête doit retourner un et un seul n-uplet Si ce n est pas le cas, les exceptions NO_DATA_FOUND ou TOO_MANY_ROWS sont levées Exemple sommesalaires_v Employe.salaire%TYPE ; numdept_v NUMBER NOT NULL := 10 ; SELECT SUM(salaire) INTO sommesalaires_v FROM Employe WHERE numdept = nodept_v ;

9 Contrôler les transactions dans PL La première commande INSERTUPDATEDELETECREATEDROP d un bloc entameune nouvelle transaction La fin du bloc ne termine pas la transaction Pour terminer explicitementune transaction, utiliser les commandes : COMMIT => valide les modifications faites depuis le début de la transaction en cours, et entame une nouvelle transaction ROLLBACK => annule toutes les modifications faites depuis le début de la transaction en cours, et entame une nouvelle transaction Note : Une transaction doit être un ensemble homogène de manipulations de la base de données => il faut réflechirà tous les endroits où il est légitime de mettre un COMMIT 49 Contrôler les transactions dans PL numdpt_v emp.numdept%type := 10 ; majorationsalaire_v emp.salaire%type := 2000 ; COMMIT ; DELETE FROM Emp WHERE numdpt = numdpt_v ; UPDATE Emp SET salaire = salaire + majorationsalaire_v WHERE job = Analyste ; COMMIT ; 50 Requête retournant plus d une ligne résulat Nécessite l utilisation de curseur => les curseurs sont des zones de travail privées, utilisées pour stocker le résultat d une requête et qu il est possible de parcourir Qu est-ce qu un curseur Jusqu à présent, l utilisation de l instruction SELECT est limitée aux requêtes renvoyant une et une seule valeur Toute requête renvoyant un résultat de cardinalité différente de 1 aboutit à un échec Définition : un curseur est un mécanisme permettant d utiliser une instruction SELECT renvoyant un nombre quelconque de n-uplets Note : à toute requête exécutée par le serveur Oracle est associé un curseur Qu est-ce qu un curseur Un curseur peut être considéré comme une fenêtre sur l ensemble des résultats d une requête NumVille Date Température A MAR A MAR A MAR A MAR A MAR A APR Curseur On distingue deux types de curseurs : curseurs implicites : déclarés implicitement par PL lors de tout SELECT curseurs explicites : créés par le programmeur Utilisation du curseur Les curseurs doivent être utilisés lorsque l on désire parcourir la totalité du résultat d une requête SELECT En particulier si cette requête renvoie un résultat de cardinalité > 1 Le curseur pointe toujours sur une valeur du résultat de la requête à laquelle il est associé Un curseur permet : de garder trace d une requête SELECT de parcourir n-uplet par n-uplet le résultat d un SELECT d accéder à la totalité du résultat d un SELECT

10 Comment utiliser un curseur Protocole d utilisation : Déclaration Ouverture Utilisation Fermeture Attributs associés aux curseurs Fonctions associées aux curseurs Parcours de curseurs Déclaration d un curseur Syntaxe : CURSOR <nom de curseur> IS <instruction SELECT> ; Notes : ne pas utiliser de clause INTO dans l instruction SELECT si vous voulez manipuler les n-uplets dans un ordre spécifique, utilisez la clause ORDER BY dans la requête on peut déclarerautant de curseursque l on souhaite le contenu du curseur n est pas calculé au moment de sa déclaration, mais au moment de son ouverture Attributs associés aux curseurs Exemple : DELETE FROM emp WHERE nomemp='tiger' ; IF (%NOTFOUND) THEN dbms_output.put_line('pas d employé de ce nom'); END IF; Attributs des curseurs en utilisant les attributs de curseurs, vous pouvez tester le résultat de vos requêtes %ROWCOUNT ( entier ) nombre de n-uplets affectés par la dernière requête %FOUND booléen, vaut TRUE si la dernière requête a affecté au moins un tuple et faux sinon %NOTFOUND booléen, vaut TRUE si la dernière requête n a affecté aucun tuple et faux sinon %ISOPEN booléen indiquant si le curseur est ouvert ou fermé (par défaut, les curseurs implicites sont toujours fermés à la fin de la requête) Note : à la place de, utilisez le nom de votre curseur pour identifier l état d un curseur explicite 57 Exemple supprimer des n-uplets de la table Employe, imprimer le nombre de n-uplets supprimés nbrenupletssupp_v VARCHAR2(64); numdept_v Employe.noDept%TYPE := 10 ; DELETE FROM emp WHERE numdept = numdept_v ; nbrenupletssupp_v := TO_CHAR(%ROWCOUNT) n-uplets supprimés ; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE(nbreNupletsSupp_v) ; 58 Fonctions associées aux curseurs Exemple : CURSOR departementventes_curs IS SELECT * FROM dept WHERE nomdept = Ventes ; undepartement_row departementventes_curs %ROWTYPE; OPEN departementventes_curs; FETCH departementventes_curs INTO undepartement_row; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE(unDepartement_row.numDept); END CLOSE departementventes_curs; Utiliser les fonctions associées aux curseurs pour accéder au contenu du résultat OPEN <nom de curseur> ouverturedu curseur, exécution la requête associée positionnement du pointeur juste avant le premier n-uplet du résultat si le résultat de la requête est vide, aucune erreur n est levée FETCH déplacement du pointeur vers le prochain n-uplet du curseur affectation du nouveau n-uplet pointé à une variable CLOSE <nom de curseur> fermeturedu curseur désallocation de la mémoire associée perte des données associées au curseur ( utilisation (=> fermer systématiquement les curseurs après 59 Fonctions associées aux curseurs - FETCH Syntaxe : FETCH <nom de curseur> INTO [[<varible1>, <varible2>, ] <nom de record> ] ; Notes : seulement pour les curseurs explicites inclure le même nombre de variables dans la clause INTO qu il y a d attributs dans le SELECT associé au curseur mettre les variables dans le bon ordre Il est aussi possible d utiliser un record (type correspondant à un n-uplet) ayant le type adapté utiliser le test %FOUND ou %NOTFOUND pour voir si la fonction FETCH a permit d atteindre un nouveau n-uplet ou si l on est à la fin du curseur avantle premier appel à la fonction FETCH, l attribut %NOTFOUND du curseur vaut NULL => a prendre en compte pour éviter des boucles infinies 60 10

11 Parcours d un curseur Syntaxe : FOR <nom de record> IN <nom de curseur> <instructions> END ; Notes : Il n est pas nécessaire de déclarer le record, il est implicitement déclaré ne pas ouvrir ni fermer le curseur, les fonctions OPEN, FETCH et CLOSE sont appelés implicitement (au premier passage dans la boucle, à chaque passage, à la sortie de la boucle) il est possible de mettre directement la requête à la place du nom de curseur, dans ce cas, il n est plus utile de déclarer de curseur Parcours d un curseur - Exemple CURSOR departementventes_curs IS SELECT * FROM Departement WHERE nomdept = VENTE ; compteur_v number := 0 ; FOR chaquedepartement_row IN departementventes_curs DBMS_OUTPUT.PUT_LINE(chaqueDepartement_row.numDept); compteur_v := compteur_v +1 ; END ; Parcours d un curseur - Exemple compteur_v number := 0 ; FOR chaquedepartement_v IN ( SELECT * FROM Departement WHERE nomdept = VENTES ) compteur_v := compteur_v +1 ; END ; Curseurs paramétrés Syntaxe : Déclaration CURSOR <nom de curseur> ( [<nom de paramètre> [IN] <type> [:= <valeur>] ]* ) IS <instruction SELECT utilisant les paramètres> ; Ouverture OPEN <nom de curseur> (<valeur1>, <valeur2>, ) Boucle FOR <nom de record> IN <nom de curseur> (<valeur1>, <valeur2>, ) <instructions> END ; Fermeture CLOSE <nom de curseur> Curseurs paramétrés - Exemple CURSOR departement_curs (nomdept_p varchar2) IS SELECT * FROM Departement WHERE nomdept = nomdept_p ; compteur_v number := 0 ; FOR chaquedepartement_row IN departement_curs ( VENTE ) compteur_v := compteur_v +1 ; END ; 65 SELECT FOR UPDATE SELECT classique : non verrouillé Problème: modification des n-uplets possible entre le moment de l interrogation (SELECT) et celui des opérations de modification (UPDATE) Solution : SELECT FOR UPDATE permet de verrouiller tous les n-uplets jusqu au prochain commit (et donc jusqu à leurmodification) permet de garantir qu aucun autre utilisateur modifiera les données entre le SELECT et l UPDATEDELETEINSERT correspondant 66 11

12 Modification à partir d un curseur Exemple : CURSOR departements_curs (nomdept_p varchar2) IS SELECT * FROMDepartement WHERE nomdept = nomdept_p FOR UPDATE departement; FOR chaquedepartement_v IN departements_curs ( VENTE ) UPDATE departement SET nomdept = SALES WHERE CURRENT OF departements_curs ; END ; Notes : ne pas oublier le FOR UPDATE pour verrouiller les données lues utiliser la clause UPDATE WHERE pour effectuer la modification Les différents types de blocs [] Anonyme [EXCEPTION] PROCEDURE <nom> IS Procédure [EXCEPTION] Commentaires : -- commentaires sur une ligne * commentaires sur plusieurs lignes * Fonction FUNCTION <nom> RETURN <type> IS RETURN <valeur> ; [EXCEPTION] Types paramètres Create or replace NomProcedureOufunction [(paramètre1 IN OUT IN OUT type [,paramètre2 IN OUT IN OUT type]*, )] IN (valeur par défaut) indique que le paramètre transmis par le programme appelant n'est pas modifiable par la fonction OUT indique que le paramètre est modifiable par la procédure IN OUT indique que le paramètre est transmis par le programme appelant et renseigné par la fonction APPEL D UNE PROCEDURE OU D UNE FONCTION : EXECUTE Nom_Procédure() ; SELECT, Nom_Fonction(), FROM ; Variable := Nom_Fonction() ; Procédure stockée > CREATE PROCEDURE modifierquantitéobjet 2 ( un_produit Produit.idProduit%TYPE, 3 nouvellequantite Produit.quantite%TYPE ) IS 4 5 UPDATE Produit 6 SET quantité = nouvellequantite 7 WHERE idproduit = un_produit; 8 9 Procedure created. > EXECUTE modifierquantitéobjet(10,20); PL procedure successfully completed. > SELECT * FROM produit WHERE idproduit = 20; IDPRODUIT DESCRIPTION PRIXUNITAIRE QUANTITÉ vis Procédures et fonctions Suppression de procédures ou de fonctions DROP PROCEDURE nom_procedure DROP FUNCTION nom_fonction Déboguage du code PL Par défaut, seul le résultat de la compilation de la procédurefonction est affiché (échec ou réussite) SHOW ERRORS sous *plus permet de demander l affichage des erreurs de compilation Package DBMS_OUTPUT Table USER_PROCEDURES, USER_SOURCE dans le dictionnaire > SELECT text 2 FROM USER_SOURCE 3 WHERE name = 'FQUANTITÉENSTOCK' AND type = 'FUNCTION' 4 ORDER BY line; TEXT FUNCTION fquantitéenstock (unnoarticle Article.noArticle%TYPE) RETURN Article. quantitéenstock%type IS unequantitéenstock Article.quantitéEnStock%TYPE; SELECT quantitéenstock INTO unequantitéenstock FROM Article WHERE noarticle = unnoarticle; RETURN unequantitéenstock; TEXT END fquantitéenstock; rows selected 72 12

13 ( RAISE Traitement d'exceptions (EXCEPTION, Déclarer: nomexception EXCEPTION; Soulever: RAISE nomexception; Capturer (dans le bloc exception): WHEN nomexception THEN Les exceptions et erreurs STORAGE_ERROR Dépassement de capacité mémoire ZERO_DIVIDE Division par zéro NO_DATA_FOUND SELECT INTO ne retourne aucune ligne TOO_MANY_ROWS SELECT INTO ne retourne plusieurs lignes Fonction RAISE_APPLICATION_ERROR Permetde retourner un message d erreur Numéro d erreur entre et ( trigger ) Déclencheur Automatiser des actions lors de certains événements du type : (AFTER BEFORE) (INSERT DELETE UPDATE) Syntaxe : CREATE OR REPLACE TRIGGER nom_trigger Evénement [OF liste colonne] ON nom_table WHEN (condition) [FOR EACH ROW] Instructions PL Accès aux valeurs modifiées Utilisation des variables new et old Si nous ajoutonsmodifions un client nous pouvons accédermodifier le nom de ce client à partir de la variable :new.nom Dans le cas de suppression ou modification, les anciennes valeurs sont dans la variable :old.nom PL Package Un package est constitué d une signaturespécification (partie publique) et d un corps ( package (implémentation du La signature du package contient des éléments (prototypes de fonctions, variables) accessibles à tous les utilisateurs du paquetage. Le corps du package contient l implémentation des fonctions et la partie privée du package (fonctions et variables locales). Droit d exécution d'un package: accès à la spécification mais pas au corps (nécessite droit de modification). La surcharge de fonction est possible (plusieurs procédures ou fonctions de même nom, avec des signatures différentes). Chaque session qui utilise le package possède une instance du package (il n y a donc pas ( variables partage des

14 Signature du package Lasignatured unpackagecontient: Corps du package Le corps d un package contient: Prototypes des procédures et des fonctions du package Constantes et variables Curseurs Définitions d'exceptions Le corps des procédures et fonctions dont le prototype a été défini dans la signature D'autre procédure, fonctions, variables, privés Bloc d'initialisation possible Package PL CREATE PACKAGE nompaquetage AS listedessignaturesdesfonctions&procédures END nompaquetage ; CREATE PACKAGE BODY nompaquetage AS délaration [déclaration] séquenceénoncésinitialisation END nompaquetage; nompaquetage.nomobjet Exemple: Signature Package PL create or replace package Func_Geom is PI number := ; function Perimetre(rayon in number) return number; function Surface(rayon in number) return number; end; * package Func_Geom * Exemple: Corps Package PL create or replace package body Func_Geom is * Implementation du package * val_approx number := 4; * Private variable * function Perimetre(rayon in number) return number is begin return 2*PI*rayon; end; function Surface(rayon in number) return number is begin return PI*rayon*rayon; end; end Func_Geom; Utilisation de fonctions du package Dans une fonction: val = Func_Geom.surface(2); Dans une requête : SELECT Func_Geom.surface(rayon) FROM Information_Place;

15 DBMS_OUTPUT Ecriturede texte dans un tampon. Utilisé pour le debugage, suivi du déroulement d'un programme. Exemples de fonctions: Ecriture sur le tampon DBMS_OUTPUT.PUT(val [NUMBER VARCHAR2 DATE]); DBMS_OUTPUT.NEW_LINE() DBMS_OUTPUT.PUT_LINE(val[NUMBER VARCHAR2 DATE]); Lecture sur le tampon DBMS_OUPUT.GET_LINE(line varchar2, status out integer) UTL_FILE Lecture et écriture dans des fichiers coté serveur (TEXT_IO coté client) Les fichiers ne peuvent être créés que dans les répertoires déclarés dans la base. Pour ajouter un répertoire, le droit create directory est nécessaire) Exemples de fonctions: Manipulation fichier FOPEN(location varchar2, filename varchar2, open_mode varchar2 *rwa*) return UTL_FILE.FILE_TYPE * desc fich *; IS_OPEN (file FILE_TYPE) FCLOSE(file FILE_TYPE) Ecriture UTL_FILE.PUT(file FILE_TYPE, buffer VARCHAR2); Lecture UTL_FILE.GET_LINE(file FILE_TYPE, buffer out VARCHAR2) DBMS_LOB DBMS_LOB permet la manipulation de grands objets, en particulier leur lecture et écriture BLOB: Binary LOB BFILE: Binary file (stocké en dehors de la base, read-only) CLOB: Character LOB NCLOB: CLOB Multibyte character Exemples de fonctions: APPEND (dest BLOB, src BLOB) COPY COMPARE INSTR READ WRITE Autres package Plus de 150 packages: DBMS_FLASHBACK: restauration de la base vers une version précédente DBMS_SCHEDULER: ordonnancement de tache (tache périodique) DBMS_: généré dynamiquement DBMS_STATS: statistiques sur la base UTL_HTTP, UTL_MAIL (définition mail), UTL_SMTP (envoie de mail) dynamique Le dynamique permet de construiredans un programme une requête avant de l exécuter. CREATE OR REPLACE PROCEDURE del(tablename_p varchar2, condition_p varchar2) IS where_clause varchar2(256); IF condition_p IS NOT NULL THEN where_clause= ' where ' condition_p; END IF; execute immediate 'delete from' table_name_p where_clause; END exec del(emp); exec del(dpt, 'iddpt >= 20'); dynamique * Tableaux * * Using pour passer les valeurs d'une chaine dynamique* TYPE NumList IS TABLE OF NUMBER; empids NumList; empids := NumList(101,102,103,104,105); FORALL i IN 1..5 EXECUTE IMMEDIATE 'UPDATE employees SET salary = salary * 1.04 WHERE employee_id = :1' USING empids(i);

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