La culture économique et technique face au développement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La culture économique et technique face au développement"

Transcription

1 La culture économique technique face au développement Salmonas M. Formation Développement Paris CIHEAM Options Méditerranéennes; n pages Artic avaib on line / Artic disponib en ligne l adresse http//om.ciheam.org/artic.php?idpdf=ci To cite this artic / Pour citer c artic Salmonas M. La culture économique technique face au développement. Formation Développement. Paris CIHEAM, p (Options Méditerranéennes; n. 21) http// http//om.ciheam.org/

2 Michè 1 1 I La culture économique technique face au développement 1 La mostie s tion socias, en obtenus en s pits pits moyens conduit, puis quelques un jugement global l'activité tion d'éducation économique, s'inl'efficacité économique développement menées puis vingtans. DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET CULTURE,ÉCONOMIQUE On s difficultés s échecs institutions << aux - d'une agents développement manque compétence l'incapacité B un << ngage adapté - enseignés sont souvent taxés <( lisme )>, accusés << lité a - enfin, aux s politiques s d'institutions un d'agents ;développement posent en une ce que s institutions développement (( en négligeant s faits évints - s détiennent un une économique (au sens un ngage économique ces tiques cte c >> est liée colctive ces logies, B l'histoire mémoire colctive qui vis s << méfiance vìs-- >> adminis- qui <t ont >>, puis s siècs comme ses s dominants. Cesindividus ces sont, en tant qu'agents économiques en tant que citoyens, nou- La méconnaissance ces, en conséquence, d'une analyse s besoins en mation s explique, une l'échecspolitiques économique technique menées passé, l'échec politique développement cte méconnaissance, cte cune n'est-el pas El d' << ce que veunt peuvent ces l'aspect (< politique >> économique dispensée. étus dans s pays en voie développement ont qu'opposaient que aux actions économique technique qui étaient - - s réactions ces groupes vis--vis s politiques menées s institutions - qui sous-tend ces conduites dites - conduite s agents comme s individus s bien s économistes. pas uniquement guidé du maximum sont, dans domaine économique, liées s consi s satisfactions psychologique, social, idéologique, politique. ne sont pas, autant, ces J. dès d'une G dans fonctionnement d'ensemb Options méditerranéennes - N" 21

3 société (1), (( dans l économie psychique du suj (2). La miques s ainsi une nécessité s situations, s besoins s créativité cesagents économiques, s modès, s actions économique technique s actions développement mannt s outils pédagogiques qui augmentent s capacités d analyse, d imagination socio-économique, plutôt que soutils s que ne en eff ni aux tiques, ni aux besoins, ni aux possibilités, ni B ils sont éloignés s au lieu dynamisme aux individus aux développement, s s agents développement bloquent ce dylramisme s capacités ces individus en vount <( )>. suscitent une défense, une c est ce que l on appel pudiquement au changement )). Leséconomistes qui connaissent s (( 1) qu els jouent dans attentes s besoins sont amenés conception l économie. adoptent une attitu doute vis--vis du ainsi que vis-vis d un c gadgs pédagogiques,qui ne font - qui ne sont pas mis en cause, sont consi alnt soi... - ensei- animé, liée au choix métho dite d <( enseiexemp; - dans sens où sont poussés économique tant au que s conceptualisations liés (3). Constituant un fois plus tique plus utopique, plus dynamique que scientifique, s économiques aux question s limites science économique s (< modès B qu el (1) - en Économie, 1966, F. (2) J. -Le réalisme économique. Thèse 3e cyc. Faculté s Sciences humaines, mai Développenzent agrico, rationalité en écononzie éléments d une analyse institutionnel d un Centre Gestion d &conomie rura véhicu. égament aux formateurs aux agents développement question s fonctions politiques renlplies par s actions formation économique, s outils pédagogiques créés véhiculés par eux quels changements posent-ils? où que masquent-ils? quels s contenus blèmes issent-ils côté vie l exploitation? Sont-ils s seuls possibs? A quel fin nous impose-t-on ces modès, cte science économique >) (4)? Cependant, il n est pas faci, compte économique G sauvage il est, en eff, compxe; il col aux aux situations aussi aux bësoins s plus, en même temps, s plus sociaux l individu. compte <( économique spécifique chaque individu, chaque s besoins B chacun agents développement, doivent, en fait, une (( adaptée s individus menées eux s spécialistes (sociologues, hnologues, psychologues) économique ces économiques inconnues du - Comment façon dont s (( l économie non technique spontanée? - dont - attitus s liées pratique tation ont ces phénomènes? - actuac ensemb compxe qui constitue économique d un lui 8. ont été faits spits en où, c (< développement d <( assistance technique )), économique, ont été menées puis vingt ans. Une connaissance précise s implications affectives intelctuels qu entraîne chacune s tâches ( s types réalisées par formé, ulze analyse tecknologique très rge s travaux ]ton industrielserait faire, une anthropologie du travail agrico artisanal est nécessaire. du ou du minent-ils? (4) J. - education déc l idéologie intelctuel, que tous s notabs du institué n est 18 que l illusion du du Options mebiteiraneennes - 21

4 Quels tient-il avec s avec s éléments qui (machines, c.)? intelctuelsnouvels doit-on passe une Enfin, quel type quels outils, quel avec s développer ur potentiel cognitif urs possibilités création socio-économique technique I ont été égament faits point s outils méthos objectifs. Nous allons visant ces ces ux ET ET technique spontanée l'étu technique développement Une a été menée puis 1966 dans çaise culture teclznique économique spontanée (non s agents développement s économistes) El s conduites au dominés. nous est-il ces étus, en spontanée non Quels étaient quels sont s ce choix? Cte spontanée technique tante s activités c. Son étu, dans thos techniques psychologie du plus, el fait s limites s au suj psychologie l'insight, c.), psychologie socia clinique, compxité spécificité s conduites mentas multips qui cte au long s ans El pose donc aux sciences socias s au s outils vie socia. Ainsi, nel, (( situation n'estpas en tant que tel dans sa totalité sa compxité,mais en tant que lieu (5)... (6). dans situation apico il une analyse qui tienne compte d'une systèmes ce type d'activité s économiques socias qui psycho-socias exemp s avec féminins dans dans s contacts). Enfin, s cognitives affectives qui étayentl'activitédu toute attention, si l'on s'est associées manuels dans l'ins sont inexistants. En eff, peu exceptés ceux philosophes comme ou comme sont disposition, en ce qui du non qu'une globalisante )>, type hnologique, l'étu s conduites spontanée du banal s plus spécificité l'obj ergonomique. mêmeque ergonomique est technique spontanée, même s techniques psychologie << non >>, tests, se tiel) s'adaptent mal une d'enquête en milieu inadéquates dans un s socia (7) d'anaau (6) C. - Le diagnostic en ergoxomie ou s rnod2s opérants en situation réel travail, 1972, YÉducation logie du (7) Yves -Le désir désamorcé. Épistémologie sociologique. méthodologiques (liées aux sociaux dans squels squelsces ont été mises au point) d'une psychologie socia fondée l'étu une psychologie vie socia l'étu s me'canismes pensée naturel l'action, s conduites spontanées s vie quotidienne ( non en situation ou une socia. Ces types s mannt une dépassant s outils psychologie socia. Le décodage cte spontanée technique, banal au s éléments << actuels, dans type vécu qu'il l'étu ce banal, technique économique, dans sa dans une société (< s conditions du s société (( l'homme >>, s possibilités s activités dans tion s activités avec s activités ludiques, hédonistes socias. Enfin, connaissance ce, spontané banal, spontané, type initiatique, tel que connaissance rationnel, que développement (8) - La pensée socia psychologie socia, 1973). W. -Langage communication (id.). l Options méditerranéennes - 21

5 ou moins L étu cte spontanée donne s éléments s processus disfusion l innovation l assimition izouvels connaissances. liées aux pratiques aux économiques, squels peuvent développement. La psychologie du Quels sont, ce suj, s auxquels on peut technique spontanée psychologie du co? sont modèsexplicatifsinexistants. Le est peu connu sous son aspect qualitatif on ne sait pas quels types faites s One sait pas non plus comment s effectue rkelnwlt travail datw l exploitation, qui fait fait femme; quel s est souvent liée aptitus; ni comment, quels cessus intelctuels quels négociations, comme s décisions On connaît mal, enfin, s mos d apprentissage du métier d agriculteur qui influencent conduite du ainsi que ses façons un capital. Les travaux concernarzt (9) Le étudié en Si sociologie (10) du s il hnologiques ou tendant s composantes du sanal, il n existe pas psychologie du dans domaine plus, l analyse du quand el existe dans s conduites temps $e VEYA Etus pas s conduites spontanées s agents. étus tant s attitus cialisation dans phase composantes affectives socias du s étus séction amènentégament un ces composantes. (9) Cf. du pit ztreprenemr, Salmona, thèse docto 3e cyc, du Jest C. l homme, J. du Limousin. s logiques psychosociaux), (10) Cf. Symposium l 50 Options méditerranéennes - 21

6 ~~ Ainsi on peut l é- LAYYA bétail, ainsi que l économie dans plus qu en ou en Almagne, d une discussion avec maquignon, discussion Wagennigen Land arbeit und Landwirtschaft) s attache une v. s n a été tentée (14). propres travaux A que nous avions nous-mêmes menées puis 1966, nous évage est lié s connaissances intuitives avons - quels sont s pratiques comptes, spontanées, << gestion >> finalité quel affective montagne on peut une technique mieux codifiée Gap (15) donc plus sib (11). lien ni avec ou en maïs). Nous données modèsexplicatifs dans suite exposé. Les C. (12) complètent analyse afins s pratiques s étus s (13) s conduites intelc s 1 E.N.S.S.A.A. ou dans s conduites mouton faites nous au un conduites cognitives. Les travaux dans s pays étrangers Les aux l intelligence mais une (Nîmes) (16); - quels sont s.représentations vécu certains objs économiques (17) l exploitation, foin, s s machines, maison, quel on agit, - comment ces représentations socias interfèrent sur s pratiques traditionnels travail manuel d enregistrement, sur l organisation conceptuel l univers économique (quels sont contenu s s notions d exploitation); - quel est strmturatìon valorisation affective spontanée du temps travail système valorisation du temps (18) lié temps vif du maxage) - quels sont s conduites affectives cognitives qui sous-tenntl enregistrement spontané certaines données techniques ; quel est finalité psychologique économique aux s agents développement (19); quels sont s connotations psychologiques s valorisations éconorniques attachées spontanément aux différents types production (20) anima végéta, dans s exploitations où s Une étu (21) Cf. du pit entreprenertr, chas retion au produit s comportements économiques. - Étu sur s attitus s agriculteurs l &gara commercialisation urs produits Étus sur l attitu s agriculteurs l égard participation a coopératives Étu quantitative en vue d une recherche crit2res pour séction d exploitants agricos, Étu qrntitative en vue d une recherche pour séction d exploitants agricos, 1964, sp. 35. (12) cités. (13) Cf. Thèse déjg citée. dans s documents 1). psychologie du pit entreperneur, (14) Guy-José - L enseignement agrico dans stratégie du développement. tome X. no 38, f969. (15) Aspects psychologiques l apprentissage comptabilité. gestion Gao Tome 66) L agenda comptabilité enreg wement temps travaux. Nîmes, (17) Les retions l obj économique. Éducation (18) Une communauté d artisans vant mornisation, (19) Évaluation diffusion pqutes s modès d exploitation (1971, a s (20) 300 ssins d adoscents 5 communes s (vegétaux animaux). (21) Options méditerranéennes - No 21 51

7 comment s pratiques travail délicat liées aux tâches fanlilias chez s femmes se transfèrent vail mandé s habitus gestuels méticulosité, au feminin, hommes, En eff, s hommes, vaches moutons, ont une s tâches type mental. Ainsi, chacune obj spontan du sa signification, sa s incinces psychologiques psychosocias en s blocages l assimition l adoption nouvels notions. nos tats en s conduites, nous nous sommes appuyés types dégageaient s hypothèses qui nous ont une Nous compte, stypes s l objechnique, ceux d action que l on cation dans d impli- o En chaque un une retion d échange spécifique que nous dans ses mécanismes composantes. faituneanalyse l homme au donné technique distingue K un exemp. tation que l homme s techniques mineu- ont du donné technique; dans v. connaissance )) l obj un visionstechniques (( son côté quoi il que (( suffit pas, il se peut que toute technique technique (22). cte l établissementd unecommu- o En second lieu, chaque un système d attitus, gestes, d actes, dans ou A. seman s il n existe au sa (( n yadanscecas tiqué. )) C estceque appel l action directe aégative. (( l é- est positive; chaquemoment exigeuncontact conduit avec sa houlte ses chiens, il doit s agneaux nouveau-nés dans s loups. Son action est directe main ou (22) G. - mo d existence s objs teclzrziqtres. Aubier.

8 pntation une )) (23). o En chaque système étudié non seument dans son expansivité mais aussi dans son gré rentissement, au du résonance personnel que en se sa tâche, s dispositions qui ce lyse (24)). en exemp s moutons, nous s ces animaux; mais se un En eff, ((..., s ficiels isolées duites momentanées ne touchant pas aux Nous pouvons nous rô statut, l attitu, quel l homme y 1) notion (29, un modè selon ses bêtes avec attention, v. Si l on change ce l homme jeune s se économique maison au nom mtent une tenant compte spécificité l activité s multips composantes cte activité (affective, cognitive, gestuel, socia) dans domaine du Chacun ces niveaux peut plus systématiquement possib, situation où ils se ce qui concerne s conduites intelctuels, ils visent - un ces conduites l intelligence come cel mais égament un (26); - un une sconduites pensée, pensée logique (( pensée du (27) dans s conduites économiques; - une étu objs économiques techniques s- ce qui concerne s conduites affectives, ils visent - une analyse systématique s au niveau du pit du images - une analyse s rapports aux objs économiques s fonctions socio-aeecune analyse s nomiques) ; - une i qui s sous-tennt l étu qui s y associe logique sémantique qui s en dégage; - une analyse actuels domination, du sentiment chez s << colonisation s son influence vécu décision économique. (26) N. L. W. dkjja citks. Cf. tion cobt dl4 développement, dkc (27) (( fiducation égament comme un concept sociologique (( consensuel. c est une validation se Enfin homme qui a un se composant d attitus, mais aussi dispositions affectives tentes côté d actions manifestes ce rô ne se situe plus au niveau en eff, du point vue social, ce même s bêtes bonne qualité vendabs bien s (( du point vue rô dispositionspersonnels nel profon sa fonction sens que nous utili- retionnel, résonancepersonen se (23) - L homme )L Tome annke 1962, s animaux, culture s pntes traitement d autnti, p retion l obj économique, paragraphe sur statut l obj. déc (24) A. - notion rô en psychologie socia p A. statnts dans l univers économique. 1967, Tome p (25) - psychologie colctive, Coli, Options méditerranéennes - No 21

9 ce qui comeme s conduites gestuels, il n'existe pas tive s gestes s agents économiques au dans on plutôt - une analyse du contexte dans quel s'effectuent ces ;gestes minants intelctuels, affectifs sociaux, dans temps; - une analyse du ils nécessitent un poussé; - une analyse séquences s gestes été.fait s analyses temps, ne au masquent exemp s temps vation (( il ne fait se sent (28). L'étu genèse ces pratiques, commenousl'avons constaté cte cultechnique l'apprentissage cte culture chez s adoscents. gestuels cognitives socias, nous conduit s phénomènes technique G globalisante >> hnologique. Cependant, logie,nousutilisonssconcepts s outils d'analyse &e, psychologie clinique psychologie socia non métho n'est pas une uxtaposition disciplines &e-, faisant appel toutes s techniques s disciplines psychologiques. (28) s - Oppression libération dans l'imaginaire. 54 ET LA ET Une (Association LE étu technique économique spontanée mouton (29). Nous nous dues selon squels un niveau technique, un capital d'exploitation quel quel avecsuccès végéta ou anima. Egament génétique, tennt spécificite du l'é- Nous faisions, au l'hypothèse que s affectives, intelctuels soit type d'évage (extensif ou intensif, tditionnel) s conduites économiques, toutes choses égas Un tain d'attitus cte optique ou d'une, donc, d'une ou moins faci du con- - du femme dans l'évage; - s images s animaux, s ductions, du ou ovin; - individuels ou colctives du dans ainsi que s d'adultesqui aint - simages du s nes, liées tives - - (29) - vulgarisation du Centre d'anthropologie écono-?nique socia; application recherches psycho-&ononlie sur travail personalite' Options méditerranéennes - N" 21 Un intelctuels - capacité blèmes compxes (où mise en - capacité une suite localisation champ conscience); - capacité nence s spatiaux multips. - ' voix, du geste, manipution s objs s dans s phénomènes qui ou Nous faisons l'hypothèse que s tâches modènt l'ex sont disponibs chez bon Nous intelctuels s s mouton. - Dans domaine s conduites mentas, nous avons isolé situations intelctuels dans conduite mécanismes intelctuels mis en conduite (en dans diagnostic s madies s animaux médicaments, mo mouton est-il obligé en ses lots bêtes ses cies, compxe, combinaisons 1'1 est obligé son attention une multiplicité d'objs (diffésents l'âge, sexe, stination économique,c.) son necessite une déceutration l'atteation, une attention dispersée. Les ne pouvant cte d'attention, ayant un champ conscience mal (( dépensent une bien ce qui fatigue se plus actuelment dam une situation où aucune s d'intensification, cultuou d'évage, ne peut appliquée tel s expirinzentatiorz nouvel dans un système l'exploitation. est qu'il sache lui-même une qu'en font chez s é- ces aux qui exigent une conduite ces ne peuvent ce type conduite s situations qui man conduite, ils

10 sont attachés au contenu l'expé non sa signification. Le manuel est un travail très abstrait qui systématiquement s en ces conduite consti shypothèses. nécessite semb-t-il). Nous l'avons vu, sont s qui cte dimension du essentiel dans d'une complète étu du qui tienne compte ces non codées, (( >>, ensuite, avec plus ou moins mal, nouvels mises l'éco ou fessionnel. Quels sont s opérations mentas que man ce type s où s ont aidé au suj s tâches décision 'gestion s mouton (égament s tâches bâtiment) (30). Quels sont s mécanismes mentaux, dans d'un changement dans l'état santé d'une bête, l'inadéquation d'un élément du bâtiment? Quels conduites intelctuels mtent en jeu La un type pas multiplicité s questions posées l'analyse s conduites cognitives spontanées,misesenjeu dans vie vie quotidienne. Uneartthropologie conduites cognitives reste ù faire. en liaison avec s difficultés affectives, avec l'agressivité mal contrôlée acceptée l'attitu vis--vis son propre corps il a du mal bête en cas d'agnege ou ces difficultés affecun << mauvais >> un famil, possédant ces dispositionsaffectives,exi- (30) Étu d'un outil d'auto-diagnostic pour s Datrons du bâtiment. gées s tâches, se lui en où il estdéficient. Nous avons égament analysé s motifs intelctuel ou affectif qui (( du mouton satisfaction qu'ils y femme (31). - Dans domaine conduite l'imaginaire éconamique, nous avons constaté dans squels il a vécu cels que s (( sont attachés un espace qu'ils connaissent, nant ou font une confiance aveug un modè d'espace s spécialistes dont ils ne logique qui pites ou mal adaptées bilités. y a une économique, dans domaine conception d'un espace vaux faits s bâtiments d'évage débouchent s mêmes (32). Applications pédagogiques du du s multips applications smécanismescomposantes technique non avait uxobjectifs Objectif pédagogique cte quand -Dans domaine s conduites affecti- il a sdécisions ves, noùs avons pu que l'obj (délicat un (< long situation dans faits quel il est nécessite plus que tout en utilisabs médiation d'un - tolérance fyustra fion bâties en tenant compte l'homme - stabilité èmotiunnel. pas Quand ces conditions affectives ne sont spécificité du l'évage son une dans sconduitestechniques ou gestuels se égalitéavecs affomentsanimauxliés << s spécialistes. >> s animaux facilitant Objectif reclzerche lié ù l'objectifpéda gogique Un blocages s'agissait égament ces outils, d'une étu motivations, du mo vie, du milieu s vie quotidienne, non pas sous aspect quantitatif (statistiques temps qualitatif. (31) en du mouton. (32) - Travail sur s bâtiments d'évage fait montagne Nous constations que, dans domaine pédagogie s adultes en sont faits en développement s agents s est capab ses plus, ces outils en compte attitus, s motivations, s s limites affectives jntelctuels s tant d'une ses décisions économiques. ne tiennent jamais compte non plus spécificité situation du dans l'analyse s décisions. Enfin, ces outils sont en faits modès économiques non l'économie vécue. L'économiesexploitationsn'est pas faite une efficace l'étu s tements économiques s agents pas seument non s modès théosspécialistes. Si l'on bs, il un connaissances, s s outils tout autant que l'économie Les l'activité économique celui-ci, sont toute dans l'activité économique est sous-tendue son en question chaque tante dans domaine économique technique. L'économie affective qui soustend en compte l'analyse économique s modès développement on calcu s économiques techniques, on c oublie >> du l'économie est-il - spontanée technique, économique socia qu'ils - avec s s outils pédagogiques qui non pas tion socio-économique, non pas a <( accé- mo tion capitaliste )) (33), mais se (34); - où il vit ces l'économie l'économie psychique. déj cité. (34) - Langages, formation cofits mentaux du 'veloppement. education 55

11 ~~ LA A. - Les ont du mal intelctuelment blèmes qui se posent eux; ils intelctuel qui n est pas comblée l ai s Ces outils ne visent pas plus que l outil d autoré exion transmtre un contertu, ils visent - développer mtre en pce s mécanismes intelctuels, développer l imaginaire économique, - localiser s blocages s dificultés affectives, - conceptualiser préciser s aspirations, désirs, frustrations. domaine cognitif, ils visent transférer, non s rectes, s contenus, mais s conduites intelctuels utilisabs dans s situations équivantes, s nécessitant exemp, s conduites d expés s Comme beaucoup ont du mal + tous s compxes squels ils décisions en ce ce qui conduite l exploitation. C outil est utilisé en l 1.N.F.A. Nancy, auquel on a donné un contenu lié l évage du s dans s stages conçus c eff. ce d une Els pour c s + ils ne peuvent transférer s En eff, ils n ont pas été s agents n ont pas été conduite aux attachées un contenu, une.. C outil vise ( non )) vise que l on associe cte conduite plus dans s situations qui posent même séances audiovisuel conçues ceff.c complété d un B. - l animal Aspects psychologiques s l animal L animal est un vivant, qui nécessite un + ni soup. nécessite égament une agnege, qui chez ou, au du aux groupes proches lointains soi-même 0 Aspects psychosociauxpsychologiques - s femme, au soi- + - s Aspects psychosociopolitiquess C. - Quand font nouveaux ils sont + l espace l espace dans quel ils ont vécu avec bêtes s modès que s ou s s agit, domaine affecty, il mis en pce vis--vis s I AU C outil, composé photos difficultés du l animal l animal. TEST TAT du FACE A FACE (Conseilr-agriculteur.) tirées Juli Omenas montages ssins Barbe. domination.) tirées Juli Omenas montages ssins Barbe. colonisation.) domaine il s mécanismes ou limités. 1 I ensuite. tique s éléments il d une étu faite systéma- pnches, photos bâtiments (*) peu communes sont ce qu il s modès connus, où il a vécu, ou qu on lui a (*) Ces faits Options méditerranéennes - 21

12 1 La a que s éléments affectifs,intelctuels, qui sous-tennt s s difficultés dans conduite son ne sont jamais pris en compte dans réfxion économique. fait s calculs techniques, avec loppement son s bins, ainsi que s spécialiste s pns déve- ne fait jamais bin lui-même, ses difficultés, ses satisfactions, s conceptions qu il a son celui sa famil (qui doit Comment doit-on s bêtes? c.). ne jamais ce qu il aime ce qu il fait avec dégoût, ce qui l épuise, ce ne fait jamais un pn formation hi-mêine, il ne fait jamais ce bin. ce bin ce pn en localisant ce qui ne va pas, ce que l on peut ce que peut dans système satisfaction L outilpeut d une décision (bâtiment, G.A.E.C., achat conduite du donc économique que NE ET ÉCONO dans économique l autonomise aux bâti a objectifs il l homme dans économique, il conceptualise une phénomènes psychosociaux, dimension psychologique psychosociologique son ses ses satisfactions limites, il donne un vis--vis du vécustâches, difficulté s tâches, conception s tâches, - s techniques vie du vécu s masculins féminins, conception s masculins /féminins, conception s du du - conception pce s enfants dans l exploitation, conception s gestion comptabilité, vécu s gestion comptabilité, au - vis--vis du ET vécu s au vilgeois, vis--vis ces - vécu du aux - vécu aux dominants - ses choix vie idéologies, - vécu s dans en - vis--vis du en C outil n a pas (c bon modè 1) ce La a A. - Les affective, capacité synthèse, d analyse, - champ conscience/possibilité son attention objs fois. B. - Les du (famil) du du femme techniques femme (doublée d une sabilité économique), voisinage qui ne sont pas tendus. C. - Les s sentiments vis--vis société globa, s s qui dominent mon s I TESTS I A. - Une tests ces données a été mise au point. B. - A LA Une pnches s famil, au femme, s anciens, voisins. C. - AUX dominants, Une pnches cte dimension sociologique qui dans s motivations s décisions dimension dominant /dominé. La a sur pn intelctuel affectif, s implications, s investissements que sans difficultés qui son équiou celui son L étu culture spontanée technique économique s est toute étu (( scientifique s besoins en s besoins l étu seu s opinions sont s d analyses besoins. Cte tests peut s aux aspects psychologiques du 20 en situation d orientation, s candidats dans 30 s jeunes se faisant en une réfxion sur ur orientation établissement. Cornpléter, dans s pns développement, ou d une décision établi, définition s difficultés dans structurer construction d un pn formation. Options méditerranéennes - 21

La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen

La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen La conception d'une architecture d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen Milieu vie, mo vie Paris : CIHEAM Options Méditerranéennes; n. 13 1972 pages 94-102 Artic avaib on line / Artic disponib

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Systèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables

Systèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL. durable.

BULLETIN OFFICIEL. durable. N 6240 l8 joumada l 14135 (2ï)-3 20i4} 2496 Dahir n 1-14-09 du 4 joumada l 1435 (6 mars 2014) portant promulgation loi cadre n 99-12 portant charte nationale l environnement du développement renforcer

Plus en détail

CIES : Coaching des Individus, des Équipes et des Structures

CIES : Coaching des Individus, des Équipes et des Structures CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante) CIES : Coaching s Individus, s Équipes et s Structures Cies Praticien 1 ère Le Le Lead Lead Coach Coach Institut est l espace formation Convergence

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante)

CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante) CYCLE DE FORMATION EN COACHING (formation certifiante) CIES : Coaching s Individus, s Équipes et s Structures Cies Professionnel 2 ème année 201, Boulevard Zerktouni Casablanca - Tél. : 05 22 94 19 00/02

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

Executive MBA PRESS REVIEW. Bien plus que des savoirs

Executive MBA PRESS REVIEW. Bien plus que des savoirs MBA PRESS REVIEW B E YO N D K N O W LE D G E Bien plus que s savoirs THE EXECUTIVE MBA 1365%) Montpellier (335%) Nice (24%) ou Rennes (21%) se distinguent ega ment EXECUTIVE MBA Former s ars positifs main

Plus en détail

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie Pratiques psychologiques Le psychologue du travail Licence 1. Psychologie Nadra Achour-2014 ISSHT-Université Tunis-El Manar Introduction Qu est ce qu un psychologue du travail? Ses champs d intervention?

Plus en détail

TABLE DES MATIERES 521

TABLE DES MATIERES 521 TABLE DES MATIERES 521 Claude GAUTIER Sandra LAUGIER... Présentation...5 I - LES LIEUX DU SENS COMMUN...25 Vincent DESCOMBES... Réflexions sur la pluralité des sens communs...27 Comment définir le sens

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)

Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007) Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Le développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget

Le développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant

Plus en détail

MENTION PSYCHOLOGIE OBJECTIF DE LA FORMATION. Les spécialités :

MENTION PSYCHOLOGIE OBJECTIF DE LA FORMATION. Les spécialités : MENTION LOGIE Les spécialités : Psychologie clinique et pathologique () Cliniques criminologiques et victimologiques () Psychologie du travail et ingénierie psychologique () Psychologie Sociale et communautaire

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

ARCHIVISTIQUE ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE

ARCHIVISTIQUE ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE M a s t e r p r o f e s s i o n n e l Patrimoine collectivités territoriales décentralisée En Archivistique Banque, Finance, Assurance ARCHIVISTIQUE ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE Information Scientifique

Plus en détail

LA LICENCE D ENSEIGNEMENT (LE)

LA LICENCE D ENSEIGNEMENT (LE) La licence d enseignement (LE) Licence d enseignement dans les matières reconnues par l Etat libanais comme disciplines d enseignement. Nombre de crédits : 40 crédits, capitalisables dans le CAPES, à effectuer

Plus en détail

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet

Plus en détail

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine

Plus en détail

ENQUETE AUPRES DE TOUS LES ENSEIGNANTS STAGIAIRES DE L IUFM DE LORRAINE

ENQUETE AUPRES DE TOUS LES ENSEIGNANTS STAGIAIRES DE L IUFM DE LORRAINE ENQUETE AUPRES DE TOUS LES ENSEIGNANTS STAGIAIRES DE L IUFM DE LORRAINE Année 2006-2007 Premier Degré et Second Degré Réalisée par l Observatoire des publics et des formations de l IUFM de Lorraine Les

Plus en détail

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1 hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

L achat de médicaments sur Internet

L achat de médicaments sur Internet L achat médicaments sur Intern Adéï ZULFIKARPASIC Directrice Détement Opinion Institutionnel 01 55 33 21 41 06 17 45 78 98 ai.zulfikaric@lh2.fr Vanessa GALISSI Directrice d étus Détement Opinion Institutionnel

Plus en détail

Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t

Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

FORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon

FORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT

REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT 1. PARTICIPATION (au Fonctionnement de l'entreprise) DOMAINES de COMPETENCE OBJECTIFS GENERAUX OBJECTIFS OPERATIONNELS Appréciation d'un sportif et socioculturel Droit

Plus en détail

Sous réserve de validation par les instances de l Université. Information, Communication, Culture Euromédias

Sous réserve de validation par les instances de l Université. Information, Communication, Culture Euromédias Sous réserve de validation par les instances de l Université Niveau : MASTER 2 Domaine : Mention : Spécialité : ARTS, LETTRES, LANGUES Information, Communication, Culture Euromédias M2 120 ES Formation

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé

Plus en détail

MASTER PRO IMAGE&MULTIMEDIA : CONCEPT, PRODUCT, MULTIMEDIA

MASTER PRO IMAGE&MULTIMEDIA : CONCEPT, PRODUCT, MULTIMEDIA MASTER PRO IMAGE&MULTIMEDIA : CONCEPT, PRODUCT, MULTIMEDIA Mention : Information et communication Spécialité : Images et multimédia : Conception, production écriture audiovisuelle et multimedia Contacts

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

www.iwbank.fr Tél. : 00800.99.11.8888

www.iwbank.fr Tél. : 00800.99.11.8888 COPIE POUR LA BANQUE p. 1/3 Je demande/nous demandons par la présente l'ouverture d'un -titres avec adjonction d'un courant. J'établis/nous établissons de ce fait une relation commercia avec IW Bank S.p.A.,

Plus en détail

MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES

MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

STAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE

STAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE

Plus en détail

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data!

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Pierre Jouniaux http://www.safety line.fr CV : Pierre Jouniaux, ingénieur aéronautique, pilote

Plus en détail

1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management

1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management p.1 1 INFORMATION - INFORMATIQUE 10 Sciences cognitives aspects fondamentaux 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management 110 Intelligence économique veille économique, stratégique,

Plus en détail

ACTION COLLECTIVE. Formation de tuteurs FORMATION. «Devenir tuteur d entreprise, les clefs de la réussite» Référence de l action : 44375 ORGANISME

ACTION COLLECTIVE. Formation de tuteurs FORMATION. «Devenir tuteur d entreprise, les clefs de la réussite» Référence de l action : 44375 ORGANISME ACTION COLLECTIVE Formation de tuteurs FORMATION «Devenir tuteur d entreprise, les clefs de la réussite» Référence de l action : 44375 ORGANISME FORSANE Contact : Anne Gomond contact-niort@forsane.com

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes

Plus en détail

B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00]

B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00] B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00] Références du document 5J-1-00 Date du document 07/03/00 SECTION 2 : TABLEAU V - NOMBRE D'ADHERENTS ET DE COMPTABILITES PAR REGIME D'IMPOSITION S'agissant du nombre

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

Épreuve E7 Session Institutionnelle de Lancement de la rénovation du BTSA Aquaculture

Épreuve E7 Session Institutionnelle de Lancement de la rénovation du BTSA Aquaculture Épreuve E7 Session Institutionnelle de Lancement de la rénovation du BTSA Aquaculture Marie Angélina MAGNE Paris, Le 16 et 17 septembre 2013 Description de l E7 Epreuve intégrative à caractère technique,

Plus en détail

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES

Plus en détail

I - Synthèse des travaux des 2 groupes

I - Synthèse des travaux des 2 groupes 1 Rencontre des délégués du territoire de Menton Vallée de la Roya -Nice La ligue de l enseignement - 11 décembre 2012 I - Synthèse des travaux des 2 groupes 1. Eléments de contenu pour la fiche de présentation

Plus en détail

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue

L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION

Plus en détail

LE DIPLOME D ETAT (D.E.)

LE DIPLOME D ETAT (D.E.) LE DIPLOME D ETAT (D.E.) Art. 1er. Il est créé une mention «pétanque» du diplôme d Etat de la jeunesse, de l éducation populaire et du sport spécialité «perfectionnement sportif». Art. 2. La possession

Plus en détail

L ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.

L ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog. L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique

LA PNL. Programmation Neuro Linguistique LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement

Plus en détail

MASTER TRADUCTION ET INTERPRETATION PARCOURS TRADUCTION ECONOMIQUE ET JURIDIQUE

MASTER TRADUCTION ET INTERPRETATION PARCOURS TRADUCTION ECONOMIQUE ET JURIDIQUE MASTER TRADUCTION ET INTERPRETATION PARCOURS TRADUCTION ECONOMIQUE ET JURIDIQUE Domaine ministériel : Arts, Ltres, Langues Présentation Nature la formation : Diplôme national l'enseignement supérieur Durée

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

Master Ressources Humaines

Master Ressources Humaines 1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources

Plus en détail

vos Vous demandez-vous Votre convention entre actionnaires 2. L assemblée Fermer la porte aux imprévus Le rôle du conseil d administration

vos Vous demandez-vous Votre convention entre actionnaires 2. L assemblée Fermer la porte aux imprévus Le rôle du conseil d administration numéro 3 6 Vous êtes actionnaire à 50 % la société par actions Image rêves inc. avec Georges. C est sous le choc que vous avez appris, hier, son décès. Vous vous questionnez maintenant sur ce qu il adviendra

Plus en détail

UCL. Université catholique de Louvain. Métro Web : logiciel de support à l'évaluation de la qualité ergonomique des sites web.

UCL. Université catholique de Louvain. Métro Web : logiciel de support à l'évaluation de la qualité ergonomique des sites web. UCL Université catholique de Louvain Métro Web : logiciel de support à l'évaluation de la qualité ergonomique des sites web Céline Mariage Thèse présentée en vue de l'obtention du grade de Docteure en

Plus en détail

MIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT

MIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT MIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT Chaque handicap est différent. Si la classification des handicaps en grandes familles peut, au premier abord, paraître réductrice, elle a cependant

Plus en détail

Les corrigés des examens DPECF - DECF

Les corrigés des examens DPECF - DECF 48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés

Plus en détail

www.key-partners.biz DU CHANGEMENT MA

www.key-partners.biz DU CHANGEMENT MA MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMEN MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEME MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT

Plus en détail

Sophie Calli es François Laurent

Sophie Calli es François Laurent Sophie Calli es François Laurent Dunod, Paris, 2013 ISBN 978-2-10-060007-6 Pré face Le mar ke ting digi tal et le CRM, une vraie oppor tunité pour les TPE/PME Pour une petite ou moyenne entre prise, il

Plus en détail

COMPOSANT JOOMA_TIPI Une extension Joomla pour le paiement en ligne des factures de services publics locaux. Page n 1/24

COMPOSANT JOOMA_TIPI Une extension Joomla pour le paiement en ligne des factures de services publics locaux. Page n 1/24 COMPOSANT JOOMA_TIPI Une extension Joom factures de services publics locaux à Joom_Tipi Page n 1/24 30/03/2010 Page n 1/7 A PROPOS DE TIPI Qu'est-ce-que TIPI? TIPI est un service proposé par DGFIP (Direction

Plus en détail

Le géomarketing - Page 1 sur 7

Le géomarketing - Page 1 sur 7 Le géomarketing - Page 1 sur 7 LES DOSSIERS MADWATCH.net méthodes Le Géomarketing Novembre 2003 Nb de pages : 7 Le géomarketing - Page 2 sur 7 Créé dans les années 80, la plupart des applications du géomarketing

Plus en détail

Master of Advanced Studies HUMAN CAPITAL MANAGEMENT. www.mas-hcm.ch

Master of Advanced Studies HUMAN CAPITAL MANAGEMENT. www.mas-hcm.ch Master of Advanced Studies HUMAN CAPITAL MANAGEMENT Master of Advanced Studies HUMAN CAPITAL MANAGEMENT MAS HCM: la formation intégrée des DRH et futur-e-s DRH Singularités du MAS en Human Capital Management

Plus en détail

OBJECTIFS SPÉCIFICITÉS DE LA CONTENU

OBJECTIFS SPÉCIFICITÉS DE LA CONTENU Master Communication et mutation des organisations Spécialité Communication et ressources humaines formation continue OBJECTIFS Le Master de formation continue (proposé aussi en formation initiale et en

Plus en détail

Cor rigé. 1) Réalisez un diagnostic interne de l entre prise. La Grande Récré Cas 6. Matrice SWOT

Cor rigé. 1) Réalisez un diagnostic interne de l entre prise. La Grande Récré Cas 6. Matrice SWOT La Grande Récré Cas 6 Cor rigé 1) Réalisez un diagnostic interne de l entre prise. Forces Matrice SWOT Fai blesses Posi tion ne ment : La Grande Récré a mis en place un réseau de conseillers dans les maga

Plus en détail

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition

Plus en détail

Présentation générale (nouveau programme à compter de septembre 2014)

Présentation générale (nouveau programme à compter de septembre 2014) (nouveau programme à compter de septembre 2014) Domaine Sociologie, politiques sociales et travail social. Université de Fribourg Document mis à jour le 26 août 2014 (sous réserve de modifications) 2 Les

Plus en détail

«Je vais chez le dentiste»

«Je vais chez le dentiste» Rapport d étude du livret : «Je vais chez le dentiste» Service Marketing Communication SOMMAIRE I - Objectifs et méthodologie de l étude II - Résultats détaillés de l étude III - Synthèse Service Marketing

Plus en détail

Deux possibilités vous sont proposées pour le renseigner :

Deux possibilités vous sont proposées pour le renseigner : Merci d'avoir téléchargé dossier d'inscription pour votre prochain stage PSC 1 en partenariat avec Lycée Frison Roche. Deux possibilités vous sont proposées pour renseigner : Imprimez dossier et remplissez

Plus en détail

Plan de rédaction d un projet de programme d études UQAM

Plan de rédaction d un projet de programme d études UQAM Plan de rédaction d un projet de programme d études UQAM Ce document est une version modifiée du Guide d'élaboration d'un projet de nouveau programme de 2e ou de 3e cycle de l Université du Québec, disponible

Plus en détail

Directives pour le travail de fin d études août 2009. b) DIRECTIVES POUR LE TRAVAIL DE FIN D ETUDES. (Mémoire)

Directives pour le travail de fin d études août 2009. b) DIRECTIVES POUR LE TRAVAIL DE FIN D ETUDES. (Mémoire) b) DIRECTIVES POUR LE TRAVAIL DE FIN D ETUDES (Mémoire) 17 I Définition L art 8.1 du Règlement d études (ci-après RE) précise que le travail de fin d études est composé du mémoire et de sa soutenance.

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE GENEVE. langue et littérature italiennes italien 3 langue et littérature latines philosophie philosophie 3

UNIVERSITÉ DE GENEVE. langue et littérature italiennes italien 3 langue et littérature latines philosophie philosophie 3 Enseignement secondaire II postobligatoire REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Enseignement obligatoire CO et enseignement secondaire II Services

Plus en détail

MASTER PRO IMAGES & MULTIMEDIA : CREATION. CINEMA INTERACTIF

MASTER PRO IMAGES & MULTIMEDIA : CREATION. CINEMA INTERACTIF MASTER PRO IMAGES & MULTIMEDIA : CREATION. CINEMA INTERACTIF Mention : Information et communication Spécialité : Images et multimédia : Conception, production écriture audiovisuelle et multimedia Contacts

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

ARTS, LETTRES & LANGUES LICENCE INFORMATION ET COMMUNICATION. Culture et Médias. www.univ-littoral.fr

ARTS, LETTRES & LANGUES LICENCE INFORMATION ET COMMUNICATION. Culture et Médias. www.univ-littoral.fr ARTS, LETTRES & LANGUES LICENCE INFORMATION ET COMMUNICATION Culture et Médias www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION La licence IC-Culture et Médias vise à former les futurs acteurs de la société

Plus en détail

Section 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels

Section 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels section temps de travail LES AUTORISATIONS D ABSENCE LIEES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE TITRE I : LES TITULAIRES TROISIEME PARTIE : LES AUTORISATIONS D ABSENCE DEUXIEME CHAPITRE : LA FORMATION PROFESSIONNELLE

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

SANDRINE. La prévention des problèmes de santé liés à la pollution intérieure des habitations. Projet européen

SANDRINE. La prévention des problèmes de santé liés à la pollution intérieure des habitations. Projet européen SANDRINE La prévention des problèmes de santé liés à la pollution intérieure des habitations Projet européen SANDRINE Projet à l initiative de : Inter-Environnement Wallonie & Société Scientifique de Médecine

Plus en détail

STAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR

STAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE

Plus en détail

Activités d'enseignement Années d'études 1 2 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3

Activités d'enseignement Années d'études 1 2 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3 Sciences humaines 5 Entreprise et gouvernance des hommes 2 Gestion des ressources humaines 3 Langues 6 Anglais des affaires 4 Néerlandais (ou allemand ou espagnol) 2 Droit 2 Environnement juridique européen

Plus en détail

RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS

RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS Adopté par le conseil d'administration lors de sa 224 e assemblée, le 11 décembre 2001 (résolution n o 1857)

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005 Institut économique de Montréal Rapport d un sondage omnibus Juin 2005 Opinion des Québécois à l égard du jugement de la Cour suprême du Canada relatif à l interdiction aux citoyens de payer pour des soins

Plus en détail

La psychothérapie. Se poser les bonnes questions

La psychothérapie. Se poser les bonnes questions La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,

Plus en détail

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE Table Ronde : L'ACTIVITÉ DE PUBLICATION DU JEUNE CHERCHEUR La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne 13 décembre 2013 Bibliothèque de Paris MINES ParisTech Aboubekeur ZINEDDINE

Plus en détail