Voyage au Liban parmi les réfugiés syriens,

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1 Voyage au Liban parmi les réfugiés syriens, Délégation PDC/PEV du Conseil National en mission d investigation de la politique des réfugiés au Liban: Elisabeth Schneider- Schneiter, Marianne Streiff, Sibyl Eigenmann (collaboratrice scientifique du PDC et responsable de l organisation) et Maja Ingold (auteure du rapport) Priorités du programme: - Visite de Shatila (camp palestinien à Beyrouth), rencontre avec l UNRWA (United Nations Relief and Work Agency), son mandat et ses activités, rencontre avec l EPER (projet «cashsupport») et la DDC (initiative Eau) - Rencontre avec des représentants des ONG suisses au Liban (CRS, Solidar Swiss, fondation Drosos, Appel de Genève, EPER, Terre des Hommes, Médecins sans Frontières Liban, Medair, DDC) - Rencontre avec le HCR et visite d un quartier informel, d un camp de réfugiés syriens à Bar Elias dans la vallée de la Bekaa. - Rencontre avec Mgr Zeidan, évêque de l Église maronite (la plus importante église chrétienne au L.) Questions relatives à la politique des réfugiés, spécialement les réfugiés chrétiens - Où sont-ils au Liban? Pourquoi ne sont-ils pas dans des camps? - Pourquoi sont-ils rarement accueillis par le HCR dans un contingent vers l Europe? - Où le HCR enregistre-t-il pour des contingents? Les réfugiés chrétiens ont-ils les mêmes chances d être enregistrés que ceux d autres religions? Y a-t-il différents enregistrements (général, pour des besoins médicaux, pour l accueil dans des contingents)? Ont-ils globalement un moins bon accès à l aide? - Y a-t-il plusieurs «bureaux d enregistrement», l accès est-il protégé, les membres de différentes religions ont-ils un accès divergent? - Les réfugiés sont-ils correctement répartis, les «vrais» dans des camps, ailleurs, dans des contingents? - Y a-t-il des désavantages en fonction de la langue, de la formation, de l âge, de la couche sociale? - Quel travail la DDC fait-elle pour les réfugiés? Quelles autres ONG sont actives? - Aux yeux des spécialistes présents quotidiennement sur place et qui connaissent le contexte, que pouvonsnous faire en Suisse? Voyage au Liban, /8

2 Lors de notre «Fact finding mission» au Liban, j ai discuté avec plusieurs ONG, l UNRWA, le HCR et avec des réfugiées syriennes dans des camps; j en ai tiré les observations suivantes: L enregistrement HCR des réfugiés - L accès à l enregistrement dans l un des nombreux centres du HCR est assuré pour tous. Au Liban, plus d une douzaine de centres sont accessibles à tous, indépendamment de la couche sociale, de la religion, de la formation, de l âge. S enregistrer donne accès à des prestations de service très variées: santé, services juridique et social, couverture des besoins vitaux, hébergement. - L autorisation de séjourner en Europe est toujours prise par le pays hôte et non par le HCR. La documentation d information pour s inscrire comprend aussi des questions et réponses; la religion ne joue aucun rôle dans la brochure volumineuse. - Tous les réfugiés ne s annoncent de loin pas, et les chrétiens encore moins parce que s enregistrer signifie aussi être identifié en tant qu ennemi du régime; la position occupée et l appartenance à un parti avant la crise syrienne peuvent représenter un handicap. - Les réfugiés décident eux-mêmes et cherchent un hébergement le cas échéant dans un camp officiel ou inofficiel. L expérience montre que les réfugiés chrétiens n y vont que rarement (nous n en avons rencontré aucun ou ne le savions pas), parce que la religion n entre pas en jeu. De plus, selon des estimations concordantes de connaisseurs du terrain, ils disposent de plus de ressources propres que les occupants des camps (épargne personnelle, meilleur réseau social, soutien des églises et des organisations ecclésiales). Pour toutes ces raisons, il n y a pratiquement pas de chrétiens dans les camps de réfugiés, ils trouvent apparemment un meilleur hébergement. - Les assistants sociaux du HCR évaluent des milliers de familles selon des critères établis se référant uniquement à leur vulnérabilité. L appartenance religieuse peut jouer un rôle si elle provoque une persécution. La vulnérabilité s accroit d année en année, parce que beaucoup de familles ont dépensé toutes leurs économies après presque 4 ans de guerre et qu elles ne peuvent plus financer la vie dans le camp, où il faut payer par ex. 100 dollars de loyer. Voyage au Liban, /8

3 Rencontres avec l UNRWA, le HCR, les ONG suisses au Liban: Caritas, EPER, Terre des Hommes, Solidar Suisse, Medair, Médecins sans frontières, Croix Rouge. Les activités sont coordonnées par une plateforme «le lif» qui vise à réduire les chevauchements et assure l information mutuelle. Lors des rencontres, deux questions étaient prioritaires: Donner la priorité aux chrétiens pour l accueil en Suisse? - Le désir de donner la priorité aux chrétiens est à première vue une bonne nouvelle et un signe positif de solidarité. - Mais dès qu on se fixe pour but un traitement de faveur, la pression s accroit contre eux et surtout contre leurs frères et sœurs dans le foi en Syrie. - Face à «l ennemi commun» de l EI, tous sont également menacés, chrétiens et musulmans, car c est la guerre. Face à la menace de sa vie, la différence entre chrétiens et musulmans s effondre. Tous ont peur, même les musulmans. Selon qu ils sont sunnites ou chiites, ils vivent tout aussi dangereusement que les chrétiens. La vulnérabilité doit donc constituer le critère. - Si l on favorisait les chrétiens dans un contingent, cela signifierait qu une autre famille, peut-être plus menacée, reste sur place. Cet «arbitraire» n est pas compatible avec notre constitution fédérale. - Toutes les organisations interrogées (toutes les ONG sans exception ayant participé à la rencontre et l ONU) sont d accord que la recommandation pour les contingents vers l Europe doit dépendre uniquement de la preuve d un besoin et d une fragilité élevée. Aucun autre critère ne serait justifiable compte tenu de la détresse. - Favoriser les chrétiens en tant que groupe reviendrait à en faire une cible parce que d autres groupes seraient ainsi discriminés. Cela ne rend pas service aux chrétiens. - Privilégier les chrétiens créerait une raison supplémentaire d inimitié et de haine entre les religions. Les membres de la parenté restés sur place (dont le pays aura encore besoin, car les chrétiens font partie des personnes instruites) pourraient en souffrir et auraient encore plus de difficulté à tenir bon en Syrie. Voyage au Liban, /8

4 - La situation se dégrade encore pour tous, les perspectives sont épuisées, mais les moyens financiers de l ONU n augmentent pas selon les besoins. Il s agit donc de prévenir des catastrophes humanitaires; la religion ne joue plus aucun rôle. - Les chrétiens de Syrie étant considérés comme favorables au régime et du fait qu ils faisaient partie de la classe moyenne (ils s en sortaient toujours assez bien sous Assad, c est bien étayé), la solidarité envers eux n est pas facile à accepter pour les réfugiés musulmans. On peut supposer que les reportages alarmants de chrétiens concernant leur discrimination, certes basés sur des faits, sont aussi déformés par cette situation, ce qui ne les excuse en aucun cas mais peut éventuellement les expliquer. - Nous sommes un pays pluraliste et on ne peut pas changer cela en choisissant des chrétiens comme réfugiés reconnus. Cela ne correspond pas non plus à la loi fédérale sur l asile et sur les étrangers. - De grands pays l ont fait et le font encore (USA, Canada, autrefois l Allemagne), mais il y a une meilleure alternative: aider les chrétiens à rester sur place, car ils sont importants pour les pays. Ne pas mettre en branle une fuite des cerveaux. - C est à dire qu en plus d accueillir des contingents de réfugiés, il faut offrir une aide humanitaire sur place et des programmes de développement qui dureront jusqu après la guerre (formation, places de travail). - Car la question globale du statut des réfugiés et de l enregistrement auprès du HCR est aussi politique. Pourquoi les chrétiens s enregistrent-ils moins auprès de l ONU? Celui qui s enregistre comme réfugié est par définition contre le régime, sinon il ne devrait pas devoir s enfuir. Celui donc qui espère encore pouvoir rentrer (peut-être en Syrie gouvernée par Assad) ne veut si possible encourir aucun désavantage en s enregistrant. Question aux ONG et à la DDC: qu attendez-vous de notre part? - Les lacunes financières sont énormes. Les personnes engagées luttent contre des détresses humanitaires, par ex. Voyage au Liban, /8

5 dans le domaine de la santé, et les moyens à cet effet n arrivent pas en suffisance. Les réfugiés dépendent totalement de l aide financière de la communauté internationale. - A la question d augmenter le taux d aide au développement de 0,5% à 0,7%, nous répondons par un plaidoyer en faveur de 0,7%, car pour assister de manière durable après l aide humanitaire, il faut une aide au développement, c est à dire des fonds pour le développement. - Nous proposons une augmentation temporaire du budget, par ex. jusqu en 2017, pour ne pas se limiter à l aide d urgence mais fournir un soutien au développement après elle. - Les informations des personnes engagées par la DDC par ex. ne parviennent que chichement aux parlementaires. Celui qui ne vient pas sur les lieux des événements et ne se documente pas au moins directement n est informé que de manière très sélective. Il faut faire preuve d une certaine confiance envers les équipes engagées par la DDC et croire qu elles travaillent de manière ciblée et efficace, car elles la méritent. - Elles souffrent du débat permanent en Suisse pour savoir où va exactement l argent. C est un fait que tous les efforts pour réduire les dommages ne sont pas couronnés de succès. L extension de la guerre réduit beaucoup de choses à néant. C est pourquoi l appel constant à faire mieux et moins cher est désinvolte et blessant. - Il y a au Liban près d un million et demi de réfugiés, soit un tiers de la population, et même près de 50% dans la vallée de la Bekaa. Les réfugiés n ayant pas le droit de travailler (pas même les Palestiniens présents de longue date, certains de la troisième génération) sauf pour des emplois agricoles saisonniers, beaucoup de familles ne peuvent pas financer leur subsistance la plus élémentaire. Ils dépendent de l assistance d œuvres d entraide, telle l EPER, pour leurs besoins financiers mensuels. - Le nombre astronomique de réfugiés dans le pays représente de nouvelles possibilités de gain pour les autochtones (les paysans de la vallée de la Bekaa gagnent beaucoup plus en louant leur terrain pour les camps de réfugiés que par la production agricole) et l apport d importants fonds d assistance de la communauté internationale, mais les réfugiés sont aussi une charge énorme. L interdiction de travailler (pour presque toutes les activités) faite aux personnes ayant le statut de réfugiés protège la population autochtone du Liban, qui présente un taux de chômage considérable. Conséquence logique, le travail au noir (probablement une bénédiction pour les réfugiés) est florissant. Le Liban, les réfugiés et l interdiction de travailler Voyage au Liban, /8

6 Que fait la Suisse? Stratégie suisse en matière de politique des réfugiés - (Données sur la crise syrienne d avril 2015): Personnes en situation de détresse humanitaire: 12 millions en Syrie, dont 7 millions de déplacés internes, 3,9 millions dans les pays voisins et en Afrique du Nord. Engagement financier de la Suisse depuis 2011 CHF 178 millions, 55% des projets réalisés en Syrie, 45% au Liban, en Jordanie, Irak et Turquie. Lignes directrices de la DDC: Aide humanitaire par des organisations partenaires, actions directes, engagement d experts techniques pour les agences de l ONU (surtout dans le domaine des installations sanitaires dans les bâtiments et de la gestion de l eau, assistance en espèces), assistance internationale de la coordination et diplomatie humanitaire. Voir n/en/home/internationalcooperation/strategy.html - Exemple de programme en Syrie: suite à l effondrement total de l économie, 80 % de la population syrienne vit dans la pauvreté et dépend de l aide humanitaire. La Suisse organise avec ses partenaires humanitaires (ONU, CICR, ONG et organismes locaux d entraide) des programmes d aide, et cela aussi bien dans les régions contrôlées par le gouvernement que par l opposition. - Qu est-ce qui qualifie ou distingue la politique des réfugiés de la Suisse? Si elle veut vivre une «neutralité active», elle a beaucoup de potentiel. La Suisse est petite, n a pas de visées géopolitiques, dispose d une vaste expertise, d un grand réseau et jouit de la confiance de tous en raison de l histoire. Le critère essentiel est toujours «la valeur ajoutée». La Suisse se concentre sur la plus grande durabilité possible. Par ex. ne pas seulement distribuer des colis d aide alimentaire, car les personnes ont besoin d autre chose pour rester et tenir sur place. - La stratégie de la Suisse en matière de politique des réfugiés consiste à accueillir des réfugiés d une part, d autre part à assister les personnes là où elles vivent pour lutter contre les risques majeurs, diminuer les conflits et mettre fin à la guerre. Voyage au Liban, /8

7 Rencontre avec l évêque Zeidan, qui nous donne un aperçu de l histoire des chrétiens au Proche Orient. L influence chrétienne diminue inexorablement, même si l Eglise maronite est plus dynamique que jamais à Beyrouth, les écoles chrétiennes fonctionnent à la perfection et la relève cléricale ne manque pas. La guerre en Syrie et en Irak a commencé en fait en 660 après JC. Le schisme dans l islam s est produit peu après la disparition de Mohammed. Les sunnites et les chiites se sont fait la guerre depuis lors, pas toujours aussi activement qu aujourd hui, et sont la principale cause des conflits. La vision de l évêque pour le Liban, c est un pays neutre comme la Suisse, un pont entre l Orient et l Occident, la chance des petits pays d être neutres parce qu on est moins intéressé et donc moins «acheté et accaparé». Conclusion: - Il n y a pas d indices de discrimination des réfugiés syriens chrétiens dans les camps dirigés par le HCR au Liban. - Une autogestion importante s exerce à l intérieur des camps (comités de 6 personnes élues) pour organiser et structurer la vie commune. Il n est donc pas exclu que les chrétiens ne soient pas particulièrement bienvenus parmi la grande majorité de familles de réfugiés musulmans, car ils faisaient partie des personnes fidèles au gouvernement syrien avant la guerre et n appartenaient pas au même camp. - L explication dominante de l absence des familles de réfugiés chrétiennes dans les camps, c est qu elles disposent généralement de meilleures possibilités d hébergement et de soutien et qu elles leur donnent la préférence. - L explication dominante de la raison pour laquelle beaucoup de chrétiens ne s enregistrent pas, c est le risque d être défavorisés en tant qu ennemis du régime en retournant au pays après la crise syrienne. - Compte tenu de la détresse existentielle d une guerre de quatre ans, du nombre énorme de grandes familles à entretenir et des besoins les plus basiques de protection, d abri, de nourriture et de soins de santé, la religion ne joue aucun rôle. - Le HCR et les principales œuvres d entraide déterminent l attribution d aide et l éventuel choix pour un programme de réinstallation en Europe strictement selon la vulnérabilité des familles enregistrées et évaluées. Compte tenu des centaines de milliers de personnes affectées ( dans la seule vallée de la Bekaa) majoritairement musulmanes et disposant donc en général de moins de ressources propres, les chrétiens qui font partie des contingents à cause de leur vulnérabilité sont très peu nombreux. Voyage au Liban, /8

8 - Toutes les évaluations de la situation des réfugiés faites en Suisse sont influencées par des rapports déformés de médias isolés, en partie privés de leur contexte et par l absence de représentation du nombre de personnes impliquées, de la situation politique et de l histoire. - Affirmer que le comportement le plus généreux consiste à s engager pour l accueil d un maximum de réfugiés syriens, pourrait avoir pour effet négatif de provoquer une fuite des cerveaux hors du pays d origine. Ceux et celles qui réussissent à arriver en Suisse risquent d être ceux dont le pays a besoin. - Chaque pays décide pour lui-même: 500, 3000, Il faut donc soigneusement répartir l assistance en Syrie ou l aide au retour au pays d origine d une part, et l asile en Suisse d autre part, et viser la durabilité. - Je me rends compte que ces informations, reproduites comme je les ai perçues, ne couvrent qu une petite partie du tableau global. Mais par principe, je ne pourrais pas demander au Conseil fédéral deux politiques, l une pour les chrétiens et l autre pour tout le reste, et endosser la responsabilité d approfondir le fossé entre les religions et de miner ainsi encore plus la liberté religieuse. - Au contraire, les ONG partenaires ont besoin de plus de moyens pour l aide humanitaire là où les familles de réfugiés se trouvent et persévèrent, par ex. du cash-support (projet EPER) et beaucoup d autres choses. - Ce qui est nécessaire, c est un mélange réfléchi entre l aide sur place (aide d urgence et aide au développement) et l accueil humanitaire de personnes particulièrement vulnérables qui n ont pas assez de ressources pour survivre de manière humainement acceptable. - La question reste ouverte de savoir comment trouver entre autres la manière d accueillir en Suisse des chrétiens menacés à cause de leur religion et qui n ont plus aucune perspective dans leurs pays. Voyage au Liban, /8

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