des organismes vivants

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "des organismes vivants"

Transcription

1 Université Paris-Diderot UFR des Sciences du vivant UE 30AU02SV Diversité et évolution des organismes vivants Cours 2/8

2 Culture Biologique Numérique P.Kerner et P.Laurenti UE Optionnelle (L1S2/L2S4) 3ECTS Vous aimez la biologie? Vous aimez communiquer? Cette UE est pour vous! Un blog de vulgarisation scientifique pour apprendre différemment Une présentation publique de votre travail (conférence orale) Pas d examen classique! Youtube Facebook Twitter

3 Cours 1/8 Où en étions nous? EVOLUTION ET DIVERSITÉ DES ORGANISMES VIVANTS A. PREMIÈRE PARTIE : LA CLASSIFICATION PHYLOGÉNÉTIQUE I. QUE SONT «LES ORGANISMES VIVANTS»? I.1. La cellule, unité de base du vivant I.2 Un codage génétique commun I3L origine I.3.L complexe du génome des cellules II. DU FIXISMEÀLAPREMIÈRETHÉORIE«SYNTHÉTIQUE» DE L ÉVOLUTION I.1 La théorie transformiste de Jean-Baptiste Lamarck II. 2 Charles Darwin et la théorie de l évolution II.3. La génétique, base de l hérédité Darwin ignorait tout du mécanisme de transmission de l hérédité III. LES RÉVISIONS MAJEURES DE LA THÉORIE «DE DARWIN & WALLACE» III.1 L histoire évolutive n est pas un long fleuve tranquille III.1.a) Cinq extinctions massives ont décimé le vivant III.1.b) Des variants spectaculaires peuvent apparaître brutalement III.2 La théorie neutraliste de l évolution III.2.a) Notion de dérive génétique III.2.b) La plupart des mutations sont neutres III.3. Ce que l on pense aujourd hui de l évolution III.3.1 Apparition continuelle de variants «au hasard». III.3.2 Tri des variants à posteriori III.3.3 La balance sélection / dérive

4 IV. Classer les êtres vivants en fonction de leur évolution IV.1 Représenter la parenté :les arbres phylogénétiques Idéalement il faudrait pouvoir retracer la généalogie des individus composent les espèces. La nature n offrant pas de «registre d état-civil», Il est impossible de connaître précisément l enchaînement d ancêtres conduisant à une espèce. La relation de descendance qui relie les espèces actuelles aux espèces ancestrales est représentée, de façon simplifiée, par un graphe appelé «arbre phylogénétique».

5 IV.1.a) Description Feuilles A B C Nœuds (hypothétiques) A B C Branches Racine

6 Phylogrammes A A Dans un cladogramme, la B C C sans dimension. Dans un B longueur des branches est phylogrammes la longueur des branches entre les feuilles ou les nœuds est proportionnelle au nombre d évènements évolutifs Ici contrairement au cladogrammes précédents d(c, A) > d (C, B)

7 Trifurcation, phylogénie non résolue Figure 8 p10 La trifurcation après le dernier ancêtre commun entre A, B et C signifie que l on n est pas en mesure de déterminer si A est plus proche de B ou de C ou s il est aussi éloigné de l un que de l autre.

8 IV.1.b) Comment lire un arbre phylogénétique? Seul compte qui est plus proche de qui : les nœuds sont des points de rotation libre ((A,B), C) A B C B A C C B A C A B

9 IV.2. Regrouper les êtres vivants en fonction de leur parenté biologique a) Ne pas confondre ranger, trier et classer Ranger: Organiser, sérier selon un critère continu (ex: du plus petit au plus grand) Trier : Discriminer selon des critères successifs (ex: présence ou absence de poils, puis de sabots) Classer : Grouper afin de refléter une cause sous jacente (ex: qui est plus proche de qui? -> parenté biologique)

10 IV.2.b) L espèce constitue l unité de base de la nomenclature Définition biologique Une espèce correspond au plus grand groupe d individus potentiellement interfécond dont la descendance est viable et fertile. Ce groupe est donc constitué d individus di id entre lesquels l un flux génétique est possible et est isolé des autres espèces au plan reproductif.

11 Deux mâles, ou deux femelles? Suis-je de la même espèce que César ou Cléopâtre? Comment l appliquer aux fossiles?

12 Définition typologique Dans la pratique -> «type» Individu, ou collection d individus déposés dans un centre spécialisé où il est consultable En France: Muséum National d Histoire Naturelle

13 L espèce chez les archées et les eubactéries Définition biologique de l espèce inapplicable aux organismes dépourvus de reproduction sexuée. Chez archées et eubactéries ressemblances morphologiques variables, plus liées aux conditions de vie qu à leur proximité biologique.

14 L espèce chez les archées et les eubactéries Eubactéries ou archées, définition moléculaire de l espèce : Groupe de souches avec : -plus de 97% de similitude ARN 16S et -au moins 70% d hybridation ADN génomique. Définition de l'espèce beaucoup plus large que chez eucaryotes. Avec ces critères, Primates = espèce unique (hybridation Hommes Lémuriens : 78 %). Le nombre d espèces d archées et d eubactéries apparait donc comme largement sous-évalué!

15 IV.2.c) Le Genre est une catégorie héritée de la nomenclature binominale Au-delà de l espèce les regroupements se font en niveaux arbitraires Genre Nécessité de la nomenclature binominale de Carl Von Linné ( ). Nom scientifique = Genre espèce. Homo sapiens Mus musculus Drosophila melanogaster Locusta migratoria

16 IV.3 Les niveaux supérieurs au Genre sont à utiliser avec précaution IV.3.a) le phylocode Phylocode : code international de nomenclature phylogénétique, un ensemble de règles édictées par la Société internationale pour la nomenclature phylogénétique Ne reconnait aucun des rangs prédéfinis de la classification classique. Les mammifères, par exemple, ne forment plus une Classe, c est-à- cestà dire un groupe du troisième rang de la classification. Mammifères, 2 définitions équivalentes : - ensemble des organismes possédants des glandes lactéales, ou - ensemble des descendants du dernier ancêtre commun aux humains et aux ornithorynques.

17 IV.3.b) La survivance des niveaux arbitraires Regroupements en niveaux arbitraires emboîtés Espèce < Genre < Familles < Ordres < Classes < Phylum (Embranchement) Figure 10 p12

18 IV.3.c) Les notions de Phylum et de plan d organisation Phylum : taxon au sein duquel on peut identifier un «plan d organisation» du corps, commun et exclusif. Porif fera Cnid daria Ehin noderma ata Chor rdata Nem matoda Arth ropoda Platy yhelmin nthes Anne elida Moll usca Deuterostomia Ecdysozoa Lophotrochozoa Métazoa Bilateria Eumetazoa Protostomia

19 IV.4 Classer oui mais en fonction de quoi? Une homologie n est jamais directement t observée, mais déduite d une étude phylogénétique

20 IV.4..a) Détecter une g putative p homologie - Critère embryologique - Critère de connexion

21 Les critères de connexion et embryologique ne permettent que de «soupçonner» une homologie. Il reste à tester par une étude é ude p phylogénétique y ogé é que ce cette e hypothèse d homologie (ou homologie primaire Si hypothèse confirmée, sera considérée comme une homologie vraie (ou homologie secondaire) Si rejetée, sera appelée homoplasie.

22 IV.4.b) Willi Hennig ( ) et les deux états des caractères Il faut classer les espèces actuelles en fonction de la question «Qui est plus proche de qui?» et non pas «Qui descend de qui?» Willi Hennig ( ) Seules sont valides les classifications en groupes monophylétiques ou clades, c est-à-dire des groupes qui contiennent un ancêtre et l ensemble de tous ses descendants, autrement dit on ne doit créer que des taxa dans lesquels les espèces sont plus proches entre elles que de toute autre espèce.

23 On ne doit regrouper les espèces que si elles partagent des innovations évolutives exclusives. La classification des espèces doit se faire sur la base de leur parenté biologique pour reflèter leur évolution. Exemple du caractère «présence de vertèbres» constaté invertébrés Lézard Humain Insecte Méduse Eponge vertébrés+ é - - Inféré -

24 Un groupe monophylétique (ou clade) est un groupe qui comprend un nœud et l ensemble des nœuds et feuilles qui en sont issues Regroupement sur la base d homologies à l état ancestral, ou synplésiomorphies > groupes paraphylétiques. Regroupement sur la base d homologies à l état dérivé, ou synapomorphies > groupes monophylétiques.

25 IV.5. Attention aux groupes para- et polyphylétiques Figure 13 p. 13 Groupes monophylétique (triangle rouge), paraphylétique (encadré bleu) et polyphylétique léti (cercles verts). Groupes Groupes Groupe polyphylétique monophylétiques paraphylétiques = = = Groupe créé sur la base Groupes créés sur la Groupes créés sur la de critères base de base de physiologiques, synapomorphies synplésiomorphies écologiques, comportementaux, économiques

26 IV.5.a) Les groupes paraphylétiques ou grades Un groupe paraphylétique = est un groupe monophylétique dont on retranche un groupe monophylétiqe interne Groupes créés sur la base de synplésiomorphies

27 Attention aux grades hérités des anciennes classifications vertébrés «invertébrés» «poissons» tétrapodes Classification phylogénétique : Classification classique Regrouper les espèces pour ce qu elles ont mais aussi regrouper les espèces pour ce dont elles sont dépourvues Grouper les espèces pour ce qu elles ont mais pas pour ce qu elles n ont pas!

28 IV. Comment regrouper les espèces? vertébrés tétrapodes -vertèbre -membre chiridien

29 cordés protostomiens vertébrés gnathostomes ostéichthyens tétrapodes invertébrés poissons -vertèbre -membre chiridien -os enchondral -mâchoire -corde -blastopore du coté de la bouche

30 cordés protostomiens vertébrés gnathostomes ostéichthyens tétrapodes Groupes emboités et arbres phylogénétiques

31 cordés protostomiens vertébrés gnathostomes ostéichthyens tétrapodes = ancêtre commun inféré

32 invertébrés poissons vertébrés protostomiens tétrapodes Il faut regrouper les espèces sur la base de ce qu elles ont de façon exclusive Mais pas sur la base de ce qu elles n ont pas!

33 Exemple : comment regrouper Humains et Singes? Lémurien Orang-Outan Outan Gorille Homme Chimpanzé

34 L Homme ne descend pas du Singe L Homme ne descend pas du Singe, les humains SONT des singes!

35 IV.5.b) Les groupes polyphylétiques négligent les relations évolutives entre espèces Un groupe polyphylétique est un regroupement de plusieurs clades disparates ou un groupe formé d un grand clade duquel sont retranchés plusieurs groupes monophylétiques internes. Groupe créé sur la base de critères physiologiques, écologiques, comportementaux, économiques

36 V. MÉTHODES DE CLASSIFICATION V.1. Exemple d application de la méthode hennigienne (ou cladistique) V.1.a) Principe: -1 Choix explicite d un échantillon (ingroup) -2 Choix explicite d un groupe extérieur (outgroup) -3 Observation des caractères morphologiques (homologie primaire) -4 Codage de la matrice des caractères et polarisation -5 Choisir, à l aide des caractères informatifs l arbre le plus parcimonieux -6 Réexaminer les caractères à l aide de l arbre choisi et répondre à la question initiale

37 Hypothèse d homologie primaire confirmée : synapomorphie (homologie secondaire ou homologie vraie). Sinon : homoplasie Homoplasies = plésiomorphies, ou convergences, ou réversions, ou simples analogies

38 V.1.b) Application : les «reptiles» forment-ils un groupe monophylétique?»-1 Choix explicite d un échantillon (ingroup)

39 les «reptiles» forment-ils un groupe monophylétique?»-2 Choix explicite d un groupe extérieur (outgroup)

40 »-3 Observation des caractères morphologiques (homologie primaire) caractères

41 »-4 Codage de la matrice des caractères et polarisation 0 = même état extra-groupe 1 = état différent 1 = état différent d extra-groupe

42 »-5 Choisir, à l aide des caractères informatifs l arbre le plus parcimonieux Présent sous deux états, chacun représentés au moins deux fois

43 Fin amphi lundi

44 les «reptiles» forment-ils un groupe monophylétique?? 3 arbres possibles Gre Cis Cro Pig A Gre Pig Cis Cro Gre Cro Pig Cis B C

45 les «reptiles» forment-ils un groupe monophylétique? Gre Cis 4 Cro Pig 0->1»-5 Choisir, à l aide des caractères informatifs l arbre le plus A 2, 3 parcimonieux 0->1 4 0->1 Gre Pig Cis Cro Gre Cro Pig Cis B 2, 3 1->0 2, 3, 4 0->1 4 1->0 C 2, 3 0->1 4 0->1 2, 3 1->0

46 les «reptiles» forment-ils un groupe monophylétique?»-6 Réexaminer les caractères à l aide de l arbre choisi Bec corné ee1 Gésier + mandibule fenestrée Bec corné ee2

47 V.2 Les méthodes actuelles Etudes moléculaires, génomiques, transcriptomiques Méthodes statistiques qui intègrent les probabilités des diverses substitutions -> quelles transitions sont les plus probables. Les caractères sont polarisés a posteriori. «Accidents» chromosomiques (inversions, délétions, insertions, duplications totales et locales, transposons ) Evolution-Développement (Evo-Devo pour les anglosaxons). Phylogénies «d évidence totale», consensus de diverses méthodes morphologiques, embryologiques et moléculaires.

La Classification des espèces

La Classification des espèces La Classification des espèces Professeur Patrice Francour francour@unice.fr http://www.unice.fr/leml/francour_internet/ EA 3156 «Gestion de la Biodiversité». Université de Nice-Sophia Antipolis. Parc Valrose.

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

Classer le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles

Classer le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles Classer le vivant Module de formation pour les professeurs des écoles L'objectif de cette formation est de permettre aux stagiaires de construire les connaissances et les méthodes permettant de classer

Plus en détail

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master

Plus en détail

La place de l'homme parmi les vertébrés.

La place de l'homme parmi les vertébrés. La place de l'homme parmi les vertébrés. Les caractères dérivés dans l'arbre des vertébrés. En parcourant l'arbre, à chaque nœud, on voit apparaître un caractère nouveau, plus évolué, (on l'appelle caractère

Plus en détail

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants?

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants? avec la collaboration du Centre de vulgarisation de la connaissance, université Paris-XI QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME Vingt questions pour tester vos connaissances Le niveau 1 comporte

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution

Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution Introduction 1- La diversité des milieux et des écosystèmes 2- La diversité des espèces 3- La diversité des gènes 4- L évolution de la biodiversité

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique

Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique Planning du Module : Date Heure Salle 12/12 9h-12h TD info TA1Z bat 25 13h-17h TD info TA1Z bat 25 13/12 9h-12h TD info TA1Z

Plus en détail

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense»

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Jade Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Réalisé par Djénéba Djikiné, Alexandre Bernard et Julien Lafont EPSI CSII2-2011 TABLE DES MATIÈRES 1. Analyse du besoin a. Cahier des charges

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665, Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile

Plus en détail

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans

Plus en détail

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu

Master 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Master 2 Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Université Claude Bernard Lyon I Établissements cohabilités (spécialités 1,2,4) : INSA VetAgro

Plus en détail

Jeudi 13 novembre 2008 Cité des sciences et de l industrie Vendredi 14 novembre 2008 Collège de France

Jeudi 13 novembre 2008 Cité des sciences et de l industrie Vendredi 14 novembre 2008 Collège de France Enseigner l évolution Jeudi 13 novembre 2008 Cité des sciences et de l industrie Vendredi 14 novembre 2008 Collège de France ENSEIGNER L ÉVOLUTION Jeudi 13 et vendredi 14 novembre 2008, Paris Enseigner

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

TESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ². http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme

TESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ². http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme TESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ² http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme Logo du Second International Congress of Eugenics 1921. «Comme un arbre, l eugénisme tire ses constituants de nombreuses sources

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Gènes Diffusion - EPIC 2010

Gènes Diffusion - EPIC 2010 Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses

Plus en détail

Techniques de stockage. Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43

Techniques de stockage. Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43 Techniques de stockage Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43 Techniques de stockage Contenu de ce cours : 1. Stockage de données. Supports, fonctionnement d un disque, technologie RAID 2. Organisation

Plus en détail

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

Luca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier

Luca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines

Plus en détail

A 'ORIGINE T Eric H. Davidson, Kevin J. Peterson

A 'ORIGINE T Eric H. Davidson, Kevin J. Peterson A 'ORIGINE T Eric H. Davidson, Kevin J. Peterson ~ R. Andrew Cameron DES GRANDS ANIMAUX UN PETIT VER TOUT Nu Ce que nous disent les genes de l'embryon sur l'origine des formes animales ERIC H. DAVIDSON

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER

Plus en détail

Master Développement et Immunologie

Master Développement et Immunologie Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation

Plus en détail

Présentation Générale

Présentation Générale Mars 2009 Présentation Générale 1- Le Master Recherche en Sciences de la Vie et de la Santé à Nice Objectifs, environnement scientifique, organisation Enseignements, les spécialités, les cours et les stages

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies. Cadre général

Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies. Cadre général Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies Cadre général Analyse des difficultés : Ces phonèmes présentent une double difficulté : - au niveau de leur discrimination

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE

ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE ALGORITHME GENETIQUE ET MODELE DE SIMULATION POUR L'ORDONNANCEMENT D'UN ATELIER DISCONTINU DE CHIMIE P. Baudet, C. Azzaro-Pantel, S. Domenech et L. Pibouleau Laboratoire de Génie Chimique - URA 192 du

Plus en détail

Possibilités offertes après la L2?

Possibilités offertes après la L2? Possibilités offertes après la L2? Licence Pro Licence Générale Formation professionnel Diplôme Bac +3 Diplôme Bac +3 Master Vie Active : Technicien Assistant Ingénieur Laboratoire Public et Privé Master

Plus en détail

Modélisation multi-agents - Agents réactifs

Modélisation multi-agents - Agents réactifs Modélisation multi-agents - Agents réactifs Syma cursus CSI / SCIA Julien Saunier - julien.saunier@ifsttar.fr Sources www-lih.univlehavre.fr/~olivier/enseignement/masterrecherche/cours/ support/algofourmis.pdf

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Ecotoxicologie des sols : apports du ver de terre

Ecotoxicologie des sols : apports du ver de terre Ecotoxicologie des sols : apports du ver de terre Yvan Capowiez Laboratoire de Toxicologie Environnementale UMR Ecologie des Invertébr brés INRA/UAPV Avignon Plan 1. GénéralitG ralités 2. Une étude de

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Sept singes aveugles trouvent un dinosaure dans la forêt. Mardi, le deuxième singe touche la queue du dinosaure.

Sept singes aveugles trouvent un dinosaure dans la forêt. Mardi, le deuxième singe touche la queue du dinosaure. 7 singes dans le noir Sept singes aveugles trouvent un dinosaure dans la forêt. Lundi, le premier singe touche les dents du dinosaure. Il dit : " C'est une étoile" Mardi, le deuxième singe touche la queue

Plus en détail

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte

Plus en détail

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec

Plus en détail

Monte charge de cuisine PRESENTATION DU MONTE CHARGE

Monte charge de cuisine PRESENTATION DU MONTE CHARGE Nom.. Prénom.. Monte charge de cuisine Réalisation /0 Mise en service /0 Dépannage /0 PRESENTATION DU MONTE CHARGE M ~ S0 (Atu) S (appel pour monter) S (descente) H (descendez les déchets S.V.P.!) Sh Salle

Plus en détail

LA DIVERSITE DES SUPPORTS ANDROID

LA DIVERSITE DES SUPPORTS ANDROID LA DIVERSITE DES SUPPORTS ANDROID Note : Cet article est la version SITE de la diversité des supports d Android. Les utilisateurs se rendant sur ce site ont donc une légère expérience d Android. Pour les

Plus en détail

Capes 2002 - Première épreuve

Capes 2002 - Première épreuve Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost

Plus en détail

un très vieux parent!

un très vieux parent! Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,

Plus en détail

Procédure de Migration de G.U.N.T.3 KoXo Administrator

Procédure de Migration de G.U.N.T.3 KoXo Administrator Procédure de Migration de G.U.N.T.3 KoXo Administrator 1 - Introduction L application G.U.N.T.3 (CRDP de Bretagne) utilise une structuration dans Active Directory qui est similaire à celle de KoXo Administrator.

Plus en détail

Introduction à la Génomique Fonctionnelle

Introduction à la Génomique Fonctionnelle Introduction à la Génomique Fonctionnelle Cours aux étudiants de BSc Biologie 3ème année Philippe Reymond, MER PLAN DU COURS - Séquençage des génomes - Fabrication de DNA microarrays - Autres méthodes

Plus en détail

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL REUNION DU 21 DECEMBRE 2012 DELIBERATION N CR-12/06.822 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT DES FORMATIONS PROFESSIONNELLES Stratégie régionale de formation des jeunes et

Plus en détail

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente

Plus en détail

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence

Plus en détail

fiche m mo technique

fiche m mo technique fiche m mo technique les lois de la colorimétrie Les lois DE LA COLORIMétrie... Les lois de la colorimétrie s appliquent pour tous les supports du papier, à la toile aux cheveux en passant par l objet

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

La classification automatique de données quantitatives

La classification automatique de données quantitatives La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations

Plus en détail

CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST

CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST 660 Référence : 9690 Ce système utilise la technique du transpondeur, c est à dire que les échanges de données entre le badge et le lecteur

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau

Plus en détail

Languedoc - Roussillon

Languedoc - Roussillon Master Métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation 1 er degré MEEF Concours préparés : Concours de recrutement des professeurs des écoles (CRPE) Lieu : Carcassonne - Mende - Montpellier

Plus en détail

Rapport d évaluation de l école doctorale

Rapport d évaluation de l école doctorale Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de l école doctorale Bio Sorbonne Paris Cité PRES Sorbonne Paris Cité Université Paris Descartes Vague D - 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013

Plus en détail

http://web.cskamloup.qc.ca/hudhellouis/rubrique.php3?id_rubrique=9

http://web.cskamloup.qc.ca/hudhellouis/rubrique.php3?id_rubrique=9 Page 1 sur 5 Modifier cette rubrique (9) Recalculer cette page Rechercher TERRITOIRE AIDE AUX DEVOIRS : "ALLÔ PROF! " Ce service d aide aux devoirs s adresse aux élèves du primaire et du secondaire. L

Plus en détail

Pour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast

Pour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast Pour un principe matérialiste fort Jean-Paul Baquiast Plan détaillé :. Pour un matérialisme fort Le retour en force du dogmatisme religieux Nécessité d un renouvellement du matérialisme Que sont les nouvelles

Plus en détail

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.

Plus en détail

Interaction entre réseaux sociaux et sites web

Interaction entre réseaux sociaux et sites web Formation des Tisserands 22-23 janvier 2011 Interaction entre réseaux sociaux et sites web Intégrer les réseaux sociaux sur son site Internet Partager des informations sur les deux supports François NAUTRÉ

Plus en détail

Série T modèle TES et TER

Série T modèle TES et TER 6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

La carte de mon réseau social

La carte de mon réseau social La carte de mon réseau social Avant de commencer Un réseau social, c est quoi? Dans ta vie, tu es entouré de plusieurs personnes. Certaines personnes sont très proches de toi, d autres le sont moins. Toutes

Plus en détail

Qu est-ce que la PACES?

Qu est-ce que la PACES? Qu est-ce que la PACES? Depuis la rentrée 2010, et selon l arrêté du 28 octobre 2009 publié au journal offi ciel du 17 novembre 2009, les premières années de médecine et de pharmacie, ainsi que celles

Plus en détail

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française

Plus en détail

LES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE

LES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE 0-0 LES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE Admission Pour être admis en première année de masso-kinésithérapie, les étudiants doivent remplir les quatre conditions suivantes: - être titulaire du baccalauréat

Plus en détail

1. Racines antiques du transformisme

1. Racines antiques du transformisme 1. Racines antiques du transformisme Le courant scientifique dominant avant Darwin fut le fixisme dont, en France, Cuvier était le parangon. Mais l évolutionnisme, disons plutôt le transformisme, trouvait

Plus en détail

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Fabien Roy 1 Dans l Union européenne, les dispositifs médicaux sont gouvernés par trois directives qui sont destinées à

Plus en détail

Gestion de Projet. Génie Logiciel. Renaud Marlet. LaBRI / INRIA. http://www.labri.fr/~marlet. (d'après A.-M. Hugues) màj 19/04/2007

Gestion de Projet. Génie Logiciel. Renaud Marlet. LaBRI / INRIA. http://www.labri.fr/~marlet. (d'après A.-M. Hugues) màj 19/04/2007 1 Génie Logiciel (d'après A.-M. Hugues) Gestion de Projet Renaud Marlet LaBRI / INRIA http://www.labri.fr/~marlet màj 19/0/007 Est-ce bien nécessaire? Principes de gestion = beaucoup d'évidences Pourtant

Plus en détail

Faculté des Sciences. Biologie. 2014 y 2015

Faculté des Sciences. Biologie. 2014 y 2015 Faculté des Sciences Biologie 2014 y 2015 P1 Sommaire P3 P5 P7 P8 P9 Présentation Parcours universitaire Bachelier en Sciences biologiques Master en biochimie, biologie moléculaire et cellulaire (Finalité

Plus en détail

Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots

Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

34018 MONITEUR BELGE 27.05.2013 BELGISCH STAATSBLAD

34018 MONITEUR BELGE 27.05.2013 BELGISCH STAATSBLAD 34018 MONITEUR BELGE 27.05.2013 BELGISCH STAATSBLAD COMMUNAUTE FRANÇAISE FRANSE GEMEENSCHAP MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANÇAISE [2013/29334] 2 MAI 2013. Arrêté du Gouvernement de la Communauté française

Plus en détail

Les innovations technopédagogiques à venir en formation des adultes dans le contexte des technologies émergentes:

Les innovations technopédagogiques à venir en formation des adultes dans le contexte des technologies émergentes: Les innovations technopédagogiques à venir en formation des adultes dans le contexte des technologies émergentes: la pédagogie au service de la technologie ou bien la technologie au service de la pédagogie?

Plus en détail

Tests du χ 2. on accepte H 0 bonne décision erreur de seconde espèce on rejette H 0 erreur de première espèce bonne décision

Tests du χ 2. on accepte H 0 bonne décision erreur de seconde espèce on rejette H 0 erreur de première espèce bonne décision Page n 1. Tests du χ 2 une des fonctions des statistiques est de proposer, à partir d observations d un phénomène aléatoire (ou modélisé comme tel) une estimation de la loi de ce phénomène. C est que nous

Plus en détail

IV. La ressemblance entre apparentés

IV. La ressemblance entre apparentés IV. La ressemblance entre apparentés La ressemblance entre apparentés est un phénomène de constatation courante chez l homme. Cependant, les proverbes «tel père, tel fils» et «à père avare, fils prodigue»

Plus en détail

CONDITIONS DE L OFFRE DE TRADING 10% - 2015 Mises à jour le 22/04/2015

CONDITIONS DE L OFFRE DE TRADING 10% - 2015 Mises à jour le 22/04/2015 CONDITIONS DE L OFFRE DE TRADING 10% - 2015 Mises à jour le 22/04/2015 1. Stipulations générales a) Compte doit être entendu comme un compte de transaction ou tous autres comptes et/ou registres tenus

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

III- Raisonnement par récurrence

III- Raisonnement par récurrence III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,

Plus en détail

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le

Plus en détail

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE

EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE EMBALLAGES CONSIGNES EN CAFES HOTELS ET RESTAURANTS Synthèse Juin 2010

Plus en détail

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,

Plus en détail

Les systèmes de gestion de version

Les systèmes de gestion de version Les systèmes de gestion de version Matthieu Herrb Envol 2010 http://homepages.laas.fr/matthieu/talks/envol10-sgv.pdf Systèmes de gestion de version - kesako? Logiciel permettant de gérer l historique des

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

Enquête sur le don de moelle osseuse

Enquête sur le don de moelle osseuse Enquête sur le don de moelle osseuse Réalisée auprès des étudiants de première année à l Université de Poitiers en septembre 2012 En France, pour que leur vie continue, 2 400 malades ont besoin d un don

Plus en détail

Gestion d un VIDÉOPROJECTEUR. ou d un ÉCRAN SECONDAIRE

Gestion d un VIDÉOPROJECTEUR. ou d un ÉCRAN SECONDAIRE Gestion d un VIDÉOPROJECTEUR ou d un ÉCRAN SECONDAIRE Version 3 -- 15 juin 2011 Préparé par Gilles Jacques Table des matières Sélection de l écran secondaire sur Windows XP. 3 Sélection de l écran secondaire

Plus en détail