Généralités sur les capteurs

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Généralités sur les capteurs"

Transcription

1 Généraltés sur les capteurs Phlppe Meyne 8/9

2 Table des matères I Qu est ce qu un capteur? Défntons Modèle d un capteur... 4 II Domane d emplo Commande de processus Mesurage... 5 III Chaîne de mesure... 5 III - Caractérstques des capteurs Sensblté Bande passante Temps de réponse... 9 III - Erreurs de mesure Erreurs systématques Erreurs accdentelles Tratement statstques des mesures Fdélté, justesse et précson Incerttudes VI Etalonnage du capteur... 19

3 I Qu est ce qu un capteur? Défntons Dans un grand nombre de domane, l est nécessare d avor accès à une grandeur physque. Cette connassance permet de connaître l état physque d un système et de pouvor prendre des décsons quand à la condute de celu-c. Les décsons peuvent être automatque c est à dre prse par un calculateur ou prse par un opérateur human va une nterface homme machne. Dans les deux cas, l état physque du système dot être connu sous la forme d une grandeur électrque : tenson ou courant car les systèmes de tratement n utlse que ces grandeurs. L opératon qu permet de transformer une grandeur physque en une grandeur électrque est réalsée par un capteur : La grandeur physque à mesurer est désgnée comme le mesurande. La grandeur électrque est sot un courant ou une tenson sot la varaton d une résstance ou d une mpédance : nductance ou capacté d un condensateur. Le capteur peut être vu comme une boîte nore ayant comme entrée un mesurande et comme sorte une tenson ou un courant électrque. Néanmons, la sorte d un capteur ne dépend pas unquement que du mesurande, elle est auss foncton de grandeur d nfluence. Il s agt de grandeurs physques qu vennent modfer les caractérstques du capteur. Ans, on peut écrre : g = f(m,θ) où g représente la grandeur de sorte, m le mesurande et θ les grandeurs d nfluence. Cette relaton est rarement connu et le plus souvent non lnéare. Ans, par exemple, un capteur d humdté vot la capacté d un condensateur varée en foncton du taux d humdté. La relaton qu le cette capacté au taux d humdté est représenté pas la courbe : Elle montre que la foncton qu le la sorte : la varaton de capacté au mesurande n est pas lnéare. 3

4 1. Modèle d un capteur Du pont de vue électrque, deux types de capteur exstent. Le premer type est dt capteur passf. Il s agt de capteur dont la grandeur de sorte est une varaton résstance ou une mpédance. Il consttue des éléments passfs d un crcut électrque. Ce crcut a pour rôle de leur apporter une énerge pour convertr la varaton d mpédance en une varaton de tenson ou de courant. Le modèle électrque équvalent est celu d un dpôle dont l mpédance équvalente vare en foncton du mesurande. Le crcut porte le nom de condtonneur. A l nverse les capteurs actfs fournssent en sorte une tenson ou un courant. Il prélève une parte de l énerge utlsée par la grandeur physque à mesurer pour la transformée en énerge électrque. Le modèle électrque de ce type de capteur que l on nomme auss transducteur est un générateur équvalent sot de Thévenn pour les tensons, sot de Norton pour les courants. II Domane d emplo Les capteurs sont destnés à réalser une mesure. Dans le domane ndustrel cette opératon est mportante et ntervent dans deux grand domanes : le domane du mesurage et celu du contrôle de processus..1 Commande de processus La commande de processus a pour objectf de mettre en œuvre une commande à partr de l état présent et passé d un système. Le processus de commande est automatque dans la mesure aucun opérateur human n ntervent dans la chaîne de décson. Deux opératons dstnctes sont mses en œuvre dans ce type de technques. La premère consste à mesurer l état du système. La seconde calcule la commande en foncton de l état de ce système et d une consgne. Le domane de la commande de processus se dvse en deux technques : l automatsme et l automatque. L automatque ntervent au nveau des actonneurs. Elle permet l asservssement ou la régulaton d une grandeur ssue d un dspostf technque réalsant une fonctonnalté ndustrelle : moteur, processus chmque, thermque et autres. Cette technque s appue sur une structure de contre réacton : Le calcul de la commande s effectue à partr de l écart entre une consgne (régulaton) ou la varaton de celle-c (asservssemen et une grandeur de retour ssue d un capteur. Cet écart consttue une erreur que le calcul de commande cherche à mnmser pour que la grandeur de sorte sot égale à la consgne. La problématque de la mesure ntervent dans la chaîne de retour. Dans la mesure du possble, la mesure dot être lnéare et le dspostf ne dot pas modfer la grandeur de sorte. Une autre caractérstque mportante est la réponse dynamque du capteur. Du capteur dépend en parte la robustesse et la qualté de la commande. En automatsme, la problématque est dfférente. Les dspostfs à commander sont déjà asservs ou régulés. Il consttue des actonneurs. Il s agt de les mettre en œuvre pour réalser une séquence c'est-à-dre la mse en marche et l arrêt des dspostfs à commander dans un 4

5 ordre défn par avance. Cette séquence permet de mettre en œuvre, par exemple, un processus de fabrcaton. La commande est réalsée par un automate programmable ndustrelle (API). Il s agt d un calculateur numérque qu plote des entrées sortes. Elles sont sot de type TOR (Tout Ou Ren) sot de type analogque ssue de convertsseur numérque analogque. La problématque de la mesure est c mons contrante que dans le cas de l automatque. Elle consste à connaître d état des actonneurs afn de permettre à l API de prendre des décsons. Le processus de commande est numérque et dscontnu. La mesure n a pas beson d être lnéare. Dans le cas de commande temps réel contrant, la réponse dynamque du capteur peut être un paramètre mportant.. Mesurage A l nverse de la commande de processus où l objectf de la mesure est un dspostf technque, la mesure dans le domane du mesurage est un opérateur human. Il accède à la grandeur physque va une nterface homme machne construt autour d un système numérque. Le mesurage est un ensemble de technques permettant de réalser une mesure. Les domanes où un mesurage est nécessare sont vastes. Il s agt en effet de tous les domanes dans lequel le plotage d un processus s effectue par un human. Ces domanes vont du plote d avon à l usnage. Dans tous ces domanes l assurance qualté occupe une place à part. Il s agt c non plus d effectuer une mesure pour prendre une décson mas de reler un nstrument de mesure à son étalon. En effet, le prncpe même d une mesure consste à comparer une grandeur physque à un étalon afn de l évaluer. La qualté de la mesure dépend donc de l étalon utlsé. Dans le domane de l assurance qualté, la problématque est mons la mesure en elle-même que les méthodes pour y parvenr et le raccordement à un étalon prmare. III Chaîne de mesure Quelque sot le domane d emplo, un capteur n est pas utlsé seul, l ntervent dans une chaîne dte chaîne de mesure. Cette chaîne de mesure est consttuée : du capteur assocé dans le cas d un capteur passf à un condtonneur, d un dspostf d amplfcaton et de fltrage et d un organe de tratement. Le condtonneur a pour rôle d apporter l énerge nécessare pour transformer la varaton 5

6 d mpédance en une grandeur électrque. Il s agt pour les capteurs résstfs sot d un montage dvseur de tenson ou potensométrque sot d un pont de Weasthone. Dans le cas des capteurs nductfs ou capactfs, l est possble d employer des oscllateurs. S l s agt de capteur actf, l n est pas nécessare d utlser un condtonneur, le sgnal ssue est dentque à celu ssue d un générateur. Dans le cas des capteurs passfs et actfs, les sgnaux obtenus ont la partcularté d être d ampltude fable, l est donc nécessare d amplfer le sgnal afn que les nveaux sot compatble avec l organe de tratement. L amplfcaton dot posséder des caractérstques propres au domane capteur en termes d mpédance et de réjecton de mode commun. Le fltrage est nécessare pour élmner une parte du brut et dans le cas où l organe de tratement est un organe numérque pour lmter la bande passante. Le cas de l organe numérque est le cas le plus courant. Cet organe numérque peut être consttué d un ordnateur, c'est-à-dre une machne de tratement équpée d un système d explotaton sur lequel fonctonne un logcel de tratement comme Labvew par exemple. Le tratement consste à effectuer une acquston de données pus un tratement : mse à l échelle, tratement statstque ou autres. Ce type de structure se trouvera dans le domane du mesurage ou de la qualté. Dans le domane du contrôle de processus, l organe de tratement sera le plus souvent consttué d un API ou d un mcrocontrôleur. Le rôle de ces organes sera alors de réalser l acquston des données et de calculer la commande à applquer. III - Caractérstques des capteurs Il est fondamental de connaître avec précson les caractérstques d un capteur afn de pouvor détermner les lmtes de fonctonnement de celu-c. En effet, les lmtes de fonctonnement d un capteur condtonnent les lmtes de fonctonnement du système dont l fat parte Sensblté La sensblté d un capteur est une grandeur qu donne la valeur de la grandeur de sorte en foncton du mesurande. g S = m où g est la grandeur de sorte et m le mesurande. S la caractérstque du capteur est lnéare, la sensblté est une constante. Cependant, dans le cas général, la caractérstque qu donne la sorte en foncton du mesurande n est pas lnéare, la sensblté d un capteur n est pas une constante. Elle n est valable alors qu autour d un pont de repos. Elle est alors égale à la pente au vosnage du pont de repos de la foncton : g = f ( m, θ ) S = df dm m = m La réponse d un capteur ne dépend pas unquement du mesurande. Elle dépend auss de grandeurs d nfluence. 6

7 Ans la courbe précédente montre la varaton de la sensblté d un accéléromètre en foncton de la température. Une autre caractérstque mportante de la sensblté est la fréquence du merurande. S le mesurande est constant ou que sa varaton au cours du temps est très lente, le capteur fonctonne dans un domane statque. En revanche, s la fréquence du mesurande augmente alors la sensblté peut varer. Le capteur est alors dans un régme dynamque Bande passante La varaton de sensblté est caractérsée par la noton de bande passante. Elle est défne comme l ntervalle de fréquence dans lequel la sensblté ne vare pas au delà d une lmte en générale fxé à -3db. La caractérsaton de la bande passante d un système se dédut de l étude du comportement dynamque de ce système. La théore des systèmes lnéares montre que leur comportement sont décrts par une équaton dfférentelle à coeffcent constant. Le premer cas possble est une équaton dfférentelle du premer ordre du type : dg( τ + g( = S dt. m( ) t Dans cette équaton, τ quantfe l nerte du capteur et S la sensblté statque du capteur. Dans le cas snusoïdal, c'est-à-dre le cas où : m ( = M.sn( ω. t + ϕ) En utlsant les formules d Euler et les proprétés des systèmes lnéares, l étude du comportement dynamque se ramène à : m( = M e jωt La soluton générale de cette équaton s écrt alors : SM g( = e 1+ jτω 7 jωt

8 L ampltude et la phase de la sorte vare en foncton de la fréquence de l exctaton snusoïdale du mesurande. L étude de cette varaton s effectue en étudant le rapport entre l ampltude du mesurande en entrée et celle de la sorte. Il s agt de la sensblté dynamque du capteur : S S( jω) = 1+ jτω Le tracé du module de S(jω) en décbel normalsé par rapport à S et en utlsant une échelle logarthmque pour ω normalsé par rapport à 1/τ, donne : Tant que la fréquence est nféreure à 1/τ, la sensblté dynamque reste dans la lmte de - 3db. Au delà de 1/τ, la sensblté dynamque décrot en foncton de la fréquence. Tant que la sensblté dynamque reste nféreure -3 db, l atténuaton sube par la grandeur de sorte est de l ordre de 77% du mesurande, le capteur fonctonne alors dans un ntervalle de fréquence désgnée comme étant la bande passante à -3dB. Ce résultat peut être généralsé : un système lnéare est décrt par l équaton dfférentelle suvante : n k m d g( d m( ak. = b k. dt dt La sensblté dynamque du capteur est alors donnée par : S( jω ) m b.( jω) = n k a.( jω) Le tracé du module de S(jω) en décbel en échelle logarthmque pour ω a l allure suvante : k 8

9 La bande passante est donc l ntervalle de fréquence dans lequel la sensblté ne vare pas audelà d une lmte en générale fxé à -3db. Les caractérstques constructeurs du capteur 793 de vbratons sont les suvantes : La sensblté statque de ce capteur est de 1mV/g dans l ntervalle de fréquence,5hz 15Hz Temps de réponse L nerte propre à tous les systèmes fat que la réponse du capteur n est pas nstantanée. Ce temps de réponse est défn comme l ntervalle de temps entre le moment ou le capteur est excté par un mesurande de type échelon et le moment où la grandeur de sorte attent ε% de la valeur fnale. Ans pour un ε% égale à 9%, on a : 9

10 Il peut se décomposer en un temps de retard à la montée t d et un temps de montée t m, ans le temps de réponse d un capteur est le temps : t r = t d + t m Ce temps mpose une lmte de fonctonnement sur la fréquence du mesurande. En effet s fréquence du mesurande est supéreure à 1/t r alors le capteur n a pas le temps d attendre la valeur fnale. S on consdère un capteur dont le comportement est décrt par : dg( τ + g( = S dt La réponse du capteur à un échelon est du type :. m( ) t t τ g( = S.(( m m1 ) e + m1 ) où m est la valeur ntale du mesurande et m 1 la valeur fnale. L allure de la réponse est : Le temps t r pour attendre ε% de la valeur fnale est donné par l équaton suvante : Sot t r ε τ m m1 ) e + m1 ) =. S. S.(( m1 1 t r m1 m = τ.ln( ) ε m1.(1 ) 1 1

11 Dans le cas où la valeur ntale est nulle le temps t r pour un ε% de 9% est de : t r =,3.τ Ce type de réponse peut être observé sur le capteur d accélératon : ADXL13 de Analog Devce. Dans le cas d un capteur qu se comporte comme un système du deuxème ordre, l équaton dfférentelle qu décrt le fonctonnement du système est : 1 d g(. m dg( g( = S ω dt ω dt. m( En foncton de la valeur du coeffcent m, dt coeffcent d amortssement, la soluton de l équaton caractérstque admet sot une soluton réel le sot une soluton magnare. Dans le cas de la soluton magnare obtenue pour m nféreur à 1, la réponse à un échelon présente des oscllatons de pulsaton proportonnelle à m et à ω. m. ω. t e g( = S. m (1.sn( 1 m. ω. t + ϕ)) 1 m avec ϕ = arcsn(1 m ) En normalsant par rapport à S.m, pour un m de.4 et une pulsaton de 1,57rd/s, la réponse est alors du type : 11

12 Ce tracé montre un retard à la montée pusque la tangente à l orgne est horzontale. De plus, la présence d oscllaton qu mplque un dépassement au dessus de la valeur fnale dont l ampltude est proportonnelle à m. La défnton précédente du temps de montée dot être précsée pusque le passage à ε% de la valeur fnale peut se présenter pluseurs fos à cause des oscllatons. Le temps de réponse est alors le temps nécessare pour que l oscllaton reste dans un ntervalle de 1-ε%. Il est donné par : t r = m. ω ε.ln( m ) Dans le cas où m est supéreure ou égale à 1, la réponse est amorte. Il n y a pas d oscllaton. La réponse est donnée par : g( = S. m.( m (( m 1 m 1). e ( m m 1). ω. t ( m + m 1). e ( m+ m 1). ω. t ) Sot pour un m de 1, et une pseudo pulsaton de 1,57rd/s, le tracé de g( normalsé à S.m est donné page suvante. Ce tracé montre toujours un retard à la monté du sgnal. En revanche, l n y a plus d oscllaton. La réponse du capteur ne présente plus de dépassement mas la réponse du capteur est plus lente que dans le cas précédent. III - Erreurs de mesure La réalsaton d un mesurage consste à comparer la grandeur à mesurer avec une grandeur de référence. Dans le cas des capteurs, cette comparason est effectuée par le capteur et éventuellement le condtonneur qu permet de le mettre en œuvre. Cette comparason comporte des ncerttudes dues aux grandeurs d nfluence, à un mauvas étalonnage de la référence, en somme un ensemble de dégradaton de l nformaton par le capteur et la chaîne de mesure. Il n est donc pas possble d accéder à la valeur vrae d un mesurande à part ceux des étalons pusqu ls sont consdérés comme parfatement connus par conventon. La dfférence entre la vrae valeur et la valeur délvrée par la chaîne de mesure consttue une erreur. Par nature cette erreur est une nconnue, sa grandeur ne peut être estmée. Ans un mesurande n est connu que dans un ntervalle d ncerttude. 1

13 S la valeur de l erreur ne peut être qu estmée un analyse fne de celle-c permet de rédure l nfluence de l erreur et donc l ntervalle d ncerttude. Deux classes d erreurs peuvent être dstnguées : les erreurs systématques et les erreurs accdentelles 4.1 Erreurs systématques Une erreur systématque est une erreur qu se produt à chaque mesure et qu produt le même écart. Cette erreur peut être détectée en effectuant deux séres de mesurage avec deux nstruments dfférents. S l exste entre les deux mesurages un écart constant, alors l y a une erreur systématque. La premère source d erreur systématque est l erreur de zéro ou offset. Elle se manfeste par un décalage constant entre la grandeur vrae et le mesurande. Comme la grandeur vrae n est pas connue, l erreur commse n est pas connue. Néanmons cette erreur d offset peut être mnmsée par un étalonnage précs. Le second type d erreur systématque est l erreur d échelle ou erreur de gan. Il exste dans ce cas un coeffcent entre la grandeur vrae et le mesurande : Le trosème type d erreur systématque est l erreur de lnéarté. Le capteur est polarsé autour d un pont de repos et la mesure s effectue dans le domane des petts sgnaux en assmlant sa caractérstque à la tangente en ce pont. 13

14 Plus la grandeur à mesurer est grande, plus l écart entre la caractérstque du capteur et la tangente est grand. Enfn une dernère source d erreur systématque découle de la dsperson des caractérstques des capteurs. Les caractérstques d un capteur sont détermnées sur un lot. Les caractérstques sont données en valeur typque. Il est donc possble qu un capteur peut avor une de ses caractérstques dfférentes de la valeur typque ntrodusant ans un bas dans la mesure. 4. Erreurs accdentelles Les erreurs accdentelles sont des erreurs qu peuvent se produre. A la dfférence des erreurs systématques qu affectent en permanence le mesurage, l est mpossble de prévor quand elles vont ntervenr. Un cas où ce type d erreur peut ce produre est le cas ou la réponse du capteur dépend des condtons de fonctonnement antéreur dont un cas est une caractérstque possédant une hystéréss. Ce type de comportement est caractérstque de capteur magnétque par exemple. Un autre cas de d erreur accdentelle est l erreur dte de moblté. Elle se rencontre quand la réponse du capteur n est pas contnue. Ce type de caractérstque peut être une caractérstque propre au capteur dans le cas d un capteur de poston réalsé par un potentomètre bobné sot une caractérstque d un composant de la chaîne de mesure lorsque celle-c comporte un convertsseur analogque numérque. Enfn le derner cas est celu du brut. Sous l nfluence prncpalement de la température mas auss de rayonnement électromagnétque, les composants électronques génèrent un sgnal aléatore qu s ajoute à la grandeur tratée. Ce sgnal est sot d orgne ntrnsèque, sot extrnsèque. 14

15 Dans le cas où l orgne du brut est ntrnsèque, le brut est dt brut de fond. Il exste même lorsque que le système électronque est solée d nfluence extéreure et en l absence de tout sgnal d exctaton. Il est prncpalement du à la température qu provoque une agtaton aléatore des électrons. Il peut occuper toute la bande de fréquence, l s agt alors d un brut dt «Blanc». Il est dffcle de trater ce type de brut. Deux solutons permettent de la mnmser : travaller dans une bande passante étrote et maîtrser la température de fonctonnement. Un autre type de brut exste. Il s agt du brut dt «Rose», l énerge de ce brut exste qu en basse fréquence, l est proportonnel en 1/f. Pour rédure l nfluence du brut rose, l est possble de déplacer le mesurande dans le domane des fréquences à l ade d une opératon de modulaton. Cette opératon de modulaton permet de déplacer le spectre c'est-à-dre l occupaton spectrale du mesurande dans une bande de fréquence où ce brut n ntervent plus. Dans le cas où l orgne du brut est extrnsèque, l provent prncpalement de rayonnement électromagnétque. Toutes les lasons ans que les composants fonctonnent comme des antennes qu captent l énerge émse par rayonnement électromagnétque. Il est possble de se prémunr de ce type de brut en sognant partculèrement le câblage du crcut, ajoutant des plans de masse et en utlsant des cage de Faraday. 4.3 Tratement statstques des mesures Les erreurs de mesure entranent une dsperson des résultats obtenus. La probablté d obtenr comme résultat d une mesure, une valeur comprse entre m 1 et m est donnée par : P ( m1, m ) = m m1 p( m). dm où p(m) est la densté de probablté pour la valeur m du mesurande. Les erreurs accdentelles ont une dstrbuton normale. Cette hypothèse est valable pour la majeure parte des cas. Elle provent du fat que ce type d erreur est le frut de nombreuses sources ndépendantes. Or le théorème Central Lmte nous dt qu une combnason lnéare d un nombre suffsamment grand de varables de dstrbuton quelconque tend vers une dstrbuton normale : p ( m m) 1. σ ( m) =. e σ.. π 15

16 où m est la valeur moyenne estmée par : et σ est l écart type estmé par : m = 1 n n 1 m = 1 n n 1 1 = n σ. ( m m) m m n 1 1 n 1 1 n 1 La valeur moyenne m et l écart typeσ tendent vers les valeurs quand le nombre de mesure tend vers l nfn. Le tracé de la densté de probablté d un trage aléatore comprs entre et 1 avec un écart type de 1 et une valeur moyenne de 5 est donné par : La valeur la plus probable est la valeur moyenne. L écart type quantfe lu la dsperson des résultats autour de la valeur moyenne. Le tableau suvant donne la probablté d apparton d un résultat en foncton de l écart type : Intervalle Probablté m σ m m + σ 68,7% m. σ m m +.σ 95,45% m 3. σ m m + 3.σ 99,73% Dans de nombreux cas, les constructeurs de capteurs donne les caractérstques dans un ntervalle donné dans précser la lo de dstrbuton. Il faut alors se placer dans le cas d une dstrbuton unforme. Il s agt du cas le plus défavorable pusque l y a autant de chance d obtenr un mesurande proche de la valeur moyenne qu élogné dans l ntervalle précsé. L are du rectangle, donc la probablté d obtenr une valeur m dans l ntervalle E est de 1. 16

17 4.4 Fdélté, justesse et précson Les notons de fdélté justesse et précson se déduse de l étude statstque des mesures fournes par un capteur. Un capteur sera défn comme fdèle s l écart type est fable. Les erreurs accdentelles sont fables. Ans les dfférents résultats de mesures sont proches de la valeur moyenne. Dans le cas d une répartton gaussenne, un capteur fdèle aurat une répartton dont l allure serat : Un capteur fdèle peut présenter des erreurs systématques. Dans ce cas, la dsperson est fable mas l exste un bas entre la valeur moyenne et la valeur vrae. Ce capteur est alors fdèle mas pas juste. Un capteur juste est un capteur dont la valeur moyenne coïncde avec la valeur vrae. L allure de la densté de probablté est alors : La valeur la plus probable est la valeur vrae, l n y a pas d erreur systématque. Néanmons, l peut y avor des erreurs accdentelles qu provoquent une dsperson des résultats. Un capteur qu est à la fos fdèle et juste, donc un capteur qu n est pas affecté d erreur systématque et dont l nfluence des erreurs accdentelles est fable est un capteur précs. 17

18 La précson est une caractérstque qu sera toujours recherchée en chosssant des capteurs de qualté, en mettant en œuvre une chaîne de mesure avec les technques approprées et en sognant sa mse en œuvre. 4.5 Incerttudes La précson d un capteur est une grandeur qu ne sgnfe ren s elle n est pas quantfée. Elle le sera par deux valeurs : la valeur typque ou la valeur nomnale et un ntervalle de confance désgné comme une ncerttude. Ces valeurs sont détermnées sur les lots d échantllon. L ncerttude consttue donc d un paramètre assocé au résultat d un mesurage qu caractérse la dsperson des valeurs. Elle est donc lée à l écart type et défne par : g = t.σ L ncerttude est dte absolue, elle est de même unté que le mesurande. Par exemple, la documentaton constructeur donnée page 8 du capteur d accélératon ndque que la sensblté typque du capteur est 1mV/g ±5%. Elle est donc comprse entre 97,5 mv/g et 1,5 mv/g. L ncerttude absolue de ce capteur est de 5mV/g. Il est possble de détermner cette ncerttude de manère relatve. Il s agt est une quantté sans unté exprmé en % défne comme le rapport de l ncerttude absolue à la valeur nomnal. Ans le capteur d accélératon a une ncerttude relatve de 5%. Les composants utlsés dans une chaîne de mesure ne sont détermnés qu à une précson donnée. L ncerttude fnale est la conséquence de celle du capteur et celle des composants permettant de la mettre en œuvre. Deux méthodes sont possble pour détermner cette ncerttude : la méthode dte de type A et celle dte de type B. La méthode de type A utlse une analyse statstque d une sére de n mesure. La valeur typque sera la valeur moyenne et l ncerttude sera calculée à l ade de l écart type : σ σ = x n où σ est l ncerttude attachée à la valeur moyenne et σ x est l ncerttude attaché la mesure. A partr de l écart type, l ncerttude est détermnée comme : g = t.σ avec t détermné avec les coeffcents de Student dont des exemples sont donné dans le tableau : n t 95% 1,7 4,3,78,6,,3,9,4,1 1,98 t 99% 63,7 9,93 4,6 3,5 3,11,95,86,76,68,63 Ans pour mesures, 95% des mesures sont dans l ntervalle [. σ, x +.σ ] dans l ntervalle [ x 3. σ, x + 3.σ ]. x et 99,7% L autre méthode dte de type B s appue sur les ncerttudes ndquées dans les caractérstques des constructeurs en utlsant les los de propagatons des écarts-type. S la mesure fnale est foncton de varables x auxquelles sont attachés un écart type σ, alors l écart type de la mesure est : 18

19 σ n n 1 n f f = x + 1 x σ = 1 j= + 1 x f. x j. Cov( x, x j ) Comme les varables x et x j sont ndépendantes, le covarances sont nulles et donc l écart type global est : σ n f = σ 1 x A partr de ce résultat, l est possble de détermner l ncerttude globale comme : x n f g = 1 x. x VI Etalonnage du capteur Etalonner un capteur consste à détermner la relaton entre les valeurs du mesurande et la grandeur électrque de sorte en foncton des paramètres addtonnels. Les paramètres addtonnels permettent la mse en œuvre du mesurage, l s agt des grandeurs d nfluence et des composants de la chaîne de mesure. Cet étalonnage est sot graphque ou algébrque. Dans le cas graphque, l condut à l obtenton d une courbe d étalonnage. Dans de nombreux cas, l n est pas possble de détermner l nfluence des paramètres addtonnels. Le capteur est consdéré comme nsensble aux grandeurs d nfluence. Ce type d étalonnage est désgné comme étalonnage smple. Un étalonnage smple drect ou absolu consste à soumettre le capteur à une grandeur parfatement détermnée nommée étalon. Cet étalon peut être :. prmare lorsqu l est désgné ou largement reconnu comme présentant les plus hautes qualtés métrologques et dont la valeur est étable sans se référer à d'autres étalons de la même grandeur.. de référence s l est dsponble en un leu donné ou dans une organsaton donnée, dont dérvent les mesurages qu y sont fats.. de transfert s l est utlsé comme ntermédare pour comparer entre eux des étalons.. de traval s l est utlsé couramment pour étalonner ou contrôler des apparels de mesure Le cas le plus courant est le cas où l étalon est un étalon de traval, sa précson est détermnée pour être de l ordre de 1 fos celle cherchée pour le capteur. Il est auss possble d effectuer un étalonnage de manère ndrect c'est-à-dre par comparason. Dans ce cas, deux capteurs sont placés dans les mêmes condtons, un des capteurs est chos comme capteur de référence. Ans dans l exemple suvant, un même générateur de vbraton excte deux capteurs : un capteur de référence et le capteur à étalonner. Le capteur de référence dot avor été au préalable étalonné de manère drect. 19

20 Dans le cas où le mesurande ne permet pas à lu seul de défnr la réponse du capteur, l faut utlser une méthode d étalonnage multple. Ce cas se présente par exemple dans lorsque la caractérstque du capteur présente une hystéréss. La procédure consste à régler le zéro du capteur à son pont de fonctonnement et d effectuer le relever des la grandeur de sorte en fasant varer le mesurande de manère crossante et décrossante. L étalonnage condut à détermné la relaton entre le mesurande et la grandeur de sorte d où découlera la sensblté du capteur et l ncerttude. Dans le cas graphque, la courbe obtenue est un nuage de ponts défns par le couple : m, g qu même dans le cas d un capteur lnéare ne se répartssent pas sur une drote à cause des erreurs de mesure. S la drote recherchée est : g = a. m + b Les coeffcents a et b peuvent être détermnés à partr des relevés expérmentaux et calculés de manère à ce que cette drote sot la melleur possble. Cette drote est telle que la somme des carrés des écarts des ponts expérmentaux à cette drote sot mnmale. Les coeffcents a et b se dédusent des formules : a = N. g.. m ( m ) N g. m m b = g. m g. m. N. m ( m ) m

21 L étalonnage rgoureux des capteurs permettent l nterchangeablté des capteurs. Le résultat d une chaîne de mesure dot être dentque quelque sot le capteur utlsé aux ncerttudes prés. 1

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS ONSEVAOIE NAIONAL DES AS E MEIES ELEONIQUE ANALOGIQUE PH / ELE 4 / DU GEII ere année ------------------------- ------------------------- Dder LE UYE / Perre POVEN Janer ABLE DES MAIEES APPELS D ELEOINEIQUE...5.

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance Calculs des conertsseurs en l'electronque de Pussance Projet : PROGRAMMAON ate : 14 arl Auteur : herry EQUEU. EQUEU 1, rue Jules Massenet 37 OURS el 47 5 93 64 herry EQUEU Jun [V37] Fcher : ESGN.OC Calculs

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction Comparatve performance for solate ponts etecton operators: applcaton on surface efects extracton R. Seuln, G. Delcrox, F. Merenne Laboratore Le2-12, Rue e la Fonere - 71200 Le Creusot - FRANCE e-mal: ralph.seuln@utlecreusot.u-bourgogne.fr

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Projet de fin d études

Projet de fin d études Unversté Franços Rabelas Tours Ecole Polytechnque Unverstare de Tours Département Informatque Projet de fn d études Ordonnancement Juste à Temps avec geston des stocks Chopn Antone Mrault Arnaud 3ème année

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

II - Notions de probabilité. 19/10/2007 PHYS-F-301 G. Wilquet 1

II - Notions de probabilité. 19/10/2007 PHYS-F-301 G. Wilquet 1 II - Notos de probablté 9/0/007 PHYS-F-30 G. Wlquet Ue varable aléatore est ue varable dot la valeur e peut être prédte avec certtude mas dot la probablté d occurrece d ue valeur (varable dscrète) ou d

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Manuel d'installation du système

Manuel d'installation du système Manuel d'nstallaton du système Système -énerge pour le chauffage et l'eau chaude GENIA HYBRID INTRODUCTION Tale des matères Gude d nstructons Documentaton produt Documents assocés Explcaton des symoles

Plus en détail

Qualité de service 7. Ordonnanceurs de paquets. Contexte. Intégration de services. Plan. Multiplexage. FIFO/DropTail. Priorités

Qualité de service 7. Ordonnanceurs de paquets. Contexte. Intégration de services. Plan. Multiplexage. FIFO/DropTail. Priorités NE52 éseaux avancés Qualté de servce hrstophe Deleuze ESISA/INPG LIS 7 déc 24/3 jan 25 ontexte commutaton de crcuts partage statque solaton complète ex : vox gaspllage de la bande passante commutaton de

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

G estionnaire d espaces

G estionnaire d espaces MANUTENTION MISE À HAUTEUR & POSITIONNEMENT ACCÈS SÉCURISÉ SERVICES G estonnare d espaces Produt Franças PRODUIT EXCLU SMAI MOTORISATION ÉLECTRIQUE ÉCO RESPONSABLE ÉCO SOLUTIONS www.sma.fr - contact@sma.fr

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Précision de rigueur

Précision de rigueur 08_ AJUSTEUR Matheu Mossec, en tran de monter une structure chez ASTF à Mérgnac Esprt carré J a découvert le méter et trouvé ma vocaton. À 36 ans, Matheu a eu un premer méter mécancen mas avec une partcularté

Plus en détail

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl.

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl. CIGI 2011 Processus d accélératon de proets sous contrantes de ressources avec odes de chevaucheent LUCAS GREZE 1, ROBERT PELLERIN 1, PATRICE LECLAIRE 2 1 CHAIRE DE RECHERCHE JARISLOWSKY/SNC-LAVALIN EN

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Bibliothèque thermodynamique des logiciels ProSim

Bibliothèque thermodynamique des logiciels ProSim Bblthèque thermdynamque des lgcels PrSm La mdélsatn d un système physque repse sur la cnnassance d'un certan nmbre de prprétés de crps purs et de bnares. Ces prprétés servent de base à la détermnatn des

Plus en détail