RÉPONSE DU MAPAQ AUX QUESTIONS DE LA CAAAQ DU 7 MARS 2007

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1 RÉPONSE DU MAPAQ AUX QUESTIONS DE LA CAAAQ DU 7 MARS 2007 B-1. D où proviennent les principaux intrants (agrofournitures) utilisés sur les fermes? Quel est le pourcentage de ces intrants fabriqués au Québec? Selon Statistique Canada, les dépenses brutes d exploitation agricole du Québec s élevaient à environ 5,1 milliards de dollars en Les principales agrofournitures 1 sont : carburants, combustibles de chauffage, semences commerciales, engrais, chaux, pesticides, aliments commerciaux, achats de bétail et de volailles, ficelles, fils et contenants. Ces intrants représentaient 41 % du total des dépenses brutes d exploitation, soit 2 milliards de dollars environ. Au Québec, les dépenses brutes d exploitation agricole ont connu une hausse annuelle moyenne de 3 % entre 2000 et Les coûts des combustibles de chauffage et des carburants ont connu les plus fortes augmentations au cours de cette période (8 % et 7 %). En comparaison, les semences commerciales et les achats de bétail et volailles ont connu une hausse annuelle moyenne de 6 % (Voir tableau Annexe 1). Les consultations effectuées, auprès des industriels et autres intervenants du secteur, ont permis de constater qu une bonne partie des intrants utilisés sur les fermes au Québec provient de l extérieur. En général, ils sont achetés des autres provinces canadiennes ou des États-Unis. Le tableau cidessous dresse le portrait de la provenance des principales agrofournitures. Intrants Combustibles de chauffage o Mazout o Propane o Gaz naturel o Bois Carburants o Essence o Diesel o Pétrole Semences Grandes cultures o Maïs-grain o Soya o Avoine o Blé o Orge Plantes fourragères o Légumes frais et légumes de transformation Fruits o Fraises o Framboises o Bleuets Provenance Il est obtenu à partir du pétrole brut qui provient à 100 % de l extérieur du Québec (Voir carburants). Toutefois, le raffinage se fait au Québec. Une bonne partie du mazout lourd produit au Québec est exportée vers l Ontario. Il provient à 100 % de l Ouest Canadien. 100 % de l extérieur du Québec (Ouest Canadien, Alberta, Saskatchewan, Colombie-Britannique). Il provient presque à 100 % du Québec. Les carburants utilisés sur les fermes sont obtenus à partir du raffinage du pétrole brut qui provient à 100 % de l extérieur. Les principaux fournisseurs du Québec sont : la Norvège - 30 %; l Algérie - 28 %; le Royaume-Uni 14 %; le reste du Canada 13 %. L essentiel du raffinage se fait au Québec. 98 % des semences de maïs utilisées au Québec sont importées des États-Unis. Le reste vient de l Ontario. En 2005, le Québec a produit 96 % de ses besoins en semences généalogiques pour ces 4 céréales. Les taux d autosuffisance du Québec en semences sont : 88 % pour l avoine, 99 % pour le blé, 83 % pour l orge et 109 % pour le soya. 100 % de l Ouest Canadien. Le Québec ne produit pas de semences de légumes à l échelle commerciale. Les semences proviennent essentiellement des États-Unis (Californie et Oregon), du Mexique, du Chili, du Danemark et de l Australie. Le Québec produit 80 % de ses besoins en semences de fraise conventionnelle. La balance est achetée de l Ontario (10 %), des États-Unis (5 %) et de la Nouvelle-Écosse (5 %). 20 % des semences de fraise à jour neutre (fraise annuelle) sont produites au Québec. Les 80 % restantes viennent de la Californie. Le Québec produit 90 % de ses besoins en plants de framboise. Les semences de bleuet sont produites à 100 % au Québec. 1 Le terme agrofourniture désigne, d une manière générique, l ensemble des produits consommables utilisés en production agricole.

2 o Canneberges o Pommes Achats de bétail et de volaille o Porcelets o Bouvillons o Veaux laitiers o Oeufs d incubation de type chair o Oeufs d incubation de type ponte o Oeufs d incubation de type dindon Contenants o Plastique o Carton o Fils et ficelles Engrais et pesticides Chaux Aliments commerciaux o Maïs-grain o Avoine o Orge o Blé o Fève de soya entière traitée à la chaleur et tourteau de soya gras o Tourteau de soya o Tourteau de canola La majorité des boutures de canneberge proviennent du Québec (variétés Stevens et Ben Lear) et dans une moindre mesure, les boutures proviennent des États-Unis (variété Pilgrim) et de la Colombie-Britannique (variété Bergman). Les pommiers de remplacement sont produits au Québec en grande majorité. Toutefois, les porte-greffes et les écussonnages sont importés de la Hollande et de la Colombie-Britannique presqu à 100 %. Le Québec est autosuffisant. Seuls les achats de génétiques se font à l extérieur. De 25 % à 30 % des bouvillons élevés au Québec ont été achetés à l extérieur (majoritairement de l Ouest Canadien). Ils viennent en majorité du Québec. Environ le tiers est acheté à l extérieur (Ontario, Les Maritimes, États-Unis). Environ 79 % des œufs d incubation et des poussins de type chair proviennent du Québec. Les achats extérieurs sont de l ordre de 21 %. Près de 92 % des œufs d incubation de type ponte proviennent du Québec. Le Québec produit environ 95 % de ses besoins en œufs d incubation de type dindon. Les composantes de la fabrication du plastique se divisent en deux grandes familles : le polyéthylène et le polypropylène; 50 % du polyéthylène vient du Québec. Le reste est acheté de l Ontario. Quant au polypropylène, il est importé à 100 % des États-Unis. Produit en grande majorité au Québec. La matière première utilisée dans la confection des ficelles et fils est importée des États-Unis ou d Asie. La matière première, qui entre dans la composition des produits, provient exclusivement de l extérieur, soit de l Ouest Canadien, des États-Unis, de l Europe ou de l Égypte. Toutefois, certains mélanges se font au Québec. Elle provient à 100 % des carrières situées au Québec. Il provient presque exclusivement du Québec. Les volumes achetés de l extérieur sont très faibles et varient selon les années. Le Québec est autosuffisant en avoine. Environ le tiers est importé, le reste provenant du Québec. Près de 50 % des achats viennent du Québec. L essentiel du volume acheté est produit au Québec. Il provient majoritairement de l Ontario et très peu des États-Unis. Il provient surtout de l Ouest Canadien et, en faible proportion, de l Ontario. Cette information peut-elle être rendue publique? Oui Par : Claude Chartrand, Diane Fontaine, Djiby Sall Date : Le 20 avril 2007 Direction générale : Politiques agroalimentaires

3 Annexe 1 Tableau 1 Variation annuelle moyenne du coût des intrants au Québec entre 2000 et 2005 Intrants % de variation Combustible de chauffage 8 Carburants 7 Semences commerciales 6 Achats de bétail et de volailles 6 Ficelles, fils et contenants 5 Engrais et chaux 4 Pesticides 3 Aliments commerciaux 2 Source: Statistique Canada, Statistiques économiques agricoles, catalogue n o

4 B-2. RÉPONSE DU MAPAQ AUX QUESTIONS DE LA CAAAQ DU 7 MARS 2007 Quelles tendances observe-t-on dans le développement général des productions biologiques au Québec? Y a-t-il un différentiel des coûts de production par rapport à l approche traditionnelle? De quel ordre est-il? Quel est le coût de la conversion à l agriculture biologique pour une entreprise agricole? Le secteur de l agriculture biologique représente environ 2 % du marché global de l alimentation au Québec (grande distribution et autres réseaux). Sa progression moyenne est de l ordre de 15 % par année. Le marché de l exportation absorbe une grande partie des produits biologiques québécois, alors que, paradoxalement, la majorité des produits vendus au détail au Québec sont importés. Le secteur de la production accuse un retard important tant face à la demande des consommateurs qu aux exigences des transformateurs. Un potentiel de développement important s offre à ce secteur agroalimentaire. Depuis la réservation de l appellation biologique en février 2000, le nombre global d entreprises certifiées (production, transformation, distribution et vente au détail) a plus que triplé, passant de 325 en 2000 à en Les entreprises agricoles, au nombre de 790 en 2006, représentaient les trois quarts de l ensemble des entreprises certifiées. Selon les données du Conseil des appellations agroalimentaires du Québec, au 31 décembre dernier, 127 entreprises étaient en dernière année de transition (précertification). Actuellement, les entreprises agricoles certifiées et celles en transition ne suffisent pas à la demande. Il est nécessaire d augmenter l offre de produits biologiques québécois tant sur notre marché que sur celui de l exportation. Toutefois, depuis près d un an, le secteur de la production semble s essouffler avec un nombre d entreprises en stagnation. Certaines problématiques générales applicables à tout le secteur des aliments biologiques ainsi que d autres plus spécifiques à chaque secteur de production expliqueraient cet essoufflement. Le Plan stratégique de la Filière biologique du Québec présente les principales problématiques qui ont été identifiées par les intervenants du secteur. Il existe une différence des coûts de production entre le mode biologique et le mode non biologique. Cette différence est variable d un secteur de production à l autre. Elle est toutefois plus marquée en production animale puisque le prix des grains pour l alimentation est deux à trois fois plus élevé qu en production conventionnelle. À titre d exemple, l enquête sur les coûts de production de l agneau lourd et du bœuf biologiques, réalisée pour le Syndicat des producteurs de viandes biologiques du Québec, indique que les charges totales par agneau sont près de 75 % plus élevées en production biologique par rapport au mode de production conventionnel, et ce, pour un revenu en produits de viande représentant à peine 25 % de plus. En production bovine, les renseignements consultés démontrent que les dépenses moyennes par vache sont deux fois plus élevées en production biologique par rapport au mode conventionnel. En production laitière biologique, les charges totales représentent entre 15 % et 20 % de plus qu en production non biologique. Ces dernières sont toutefois compensées par une prime significative par hectolitre négociée à l intérieur du plan conjoint de mise en marché. En production céréalière biologique, les coûts de production, dépendamment des cultures, sont 50 % à 100 % plus élevés qu en production conventionnelle. En horticulture maraîchère biologique, les coûts de production sont également plus élevés, notamment en raison de la main-d œuvre qui représente un poste budgétaire important. Le coût de transition d une entreprise agricole conventionnelle vers la production biologique est très difficile à estimer, voire impossible. Il existe un trop grand nombre de facteurs qui entrent en ligne de compte pour pouvoir donner une estimation représentative de la réalité. Certaines entreprises agricoles mettent déjà en pratique des méthodes et techniques de production qui se rapprochent ou même qui sont autorisées en agriculture biologique alors que d autres ont une approche qui s éloigne de la production biologique. Dans le premier cas, le coût de la transition sera modeste puisque les principales problématiques qui auraient pu être rencontrées sont déjà solutionnées en tout ou en partie. Dans le deuxième cas, la transition est souvent et simplement non envisageable. Les producteurs agricoles qui réussissent à réaliser efficacement et de façon durable une transition vers l agriculture biologique sont des producteurs qui ont, au préalable, fait un cheminement quant à l approche à préconiser sur l ensemble de leur ferme. Les problématiques doivent être abordées sous une optique nouvelle et les façons de les solutionner également. La mise en application de techniques agronomiques de base (rotation, engrais vert, dépistage, variétés adaptées, etc.) s avère fondamentale dans un agrosystème où la prévention est l élément clé et où le producteur désire être le plus autonome possible. Cette information peut-elle être rendue publique? Oui Par : Nicolas Turgeon Date : 11 mai 2007 Direction générale : Innovation et formation

5 RÉPONSE DU MAPAQ AUX QUESTIONS DE LA CAAAQ DU 19 JUIN ) À votre connaissance, existe-t-il une ou des études sur le coût de transition à l agriculture biologique pour une ferme laitière par exemple? 2) Est-ce qu au cours des années de transition, le bénéfice d exploitation d une entreprise diminue et de combien, dû aux changements introduits dans la régie de production? 1) Il n existe pas, à ma connaissance, d étude ou de document qui établit le coût de transition d une entreprise agricole non biologique vers le mode biologique de production, et ce, peu importe le secteur d activité. Les nombreux paramètres à considérer pour déterminer le coût de transition de même que le caractère unique de chaque entreprise agricole rendent presque impossible cet exercice. Même une estimation serait hasardeuse puisqu un trop grand nombre de facteurs entrent en ligne de compte. La transition d une entreprise agricole doit être considérée dans une approche globale qui s échelonne parfois au-delà des 36 mois habituellement requis (incluant la période de précertification de 12 mois). En production laitière par exemple, l entreprise devra effectuer la transition de ses champs tout comme celle de son troupeau. Rares sont les entreprises qui font une transition simultanée des unités de production végétale et animale. D ailleurs, il n est pas recommandé d effectuer une telle transition puisque les risques sont trop importants. Habituellement, la transition est d abord réalisée dans les champs et, par la suite, chez le troupeau. L inverse est difficilement possible, voire impossible, puisque les animaux doivent obligatoirement aller au pâturage et être nourris de fourrage et céréales biologiques. 2) La variation du bénéfice d exploitation est différente d une entreprise à l autre et dépend des méthodes et techniques qui étaient mises en application sur l entreprise avant même la transition. Il est donc difficile de quantifier la variation du bénéfice d exploitation d une entreprise et même d en faire une estimation. Il est toutefois reconnu qu habituellement les entreprises agricoles subissent une baisse de leur bénéfice d exploitation au cours de la période de transition, principalement due à une diminution des rendements. Cette diminution peut être compensée, en partie, par des coûts d exploitation plus bas en raison de la réduction de l usage d intrants. Au terme de la transition, une fois que la production est certifiée, l entreprise pourra utiliser l appellation biologique sur ses produits et ainsi bénéficier des avantages économiques liés à son utilisation. Spécifiquement pour la production céréalière, un mode de production transitoire peut être emprunté par le producteur pendant la période de transition vers la production biologique. Il s agit de la production «sans intrant» certifiée sous la marque de certification «Agrinature» (anciennement nommée «Grain Santé»). Cette certification offre aux producteurs un débouché spécifique pour la mise en marché de leurs grains assortis d une bonification monétaire. Le Japon est un marché important pour le soya québécois certifié Agrinature tout comme le blé panifiable avec la venue de l entreprise Les Moulins des Soulanges. Pour les autres secteurs de production, aucun marché spécifique n existe pour les produits en transition. Les producteurs agricoles qui réalisent une transition viable et durable vers l agriculture biologique sont des producteurs qui préconisent une approche renouvelée et une nouvelle façon de faire sur l ensemble de leur ferme. La prévention plutôt que la réaction ainsi que la mise en application de techniques agronomiques de base (rotation, engrais vert, dépistage, variétés adaptées, etc.) s avèrent fondamentales dans un agrosystème où le producteur ne possède pas tout l arsenal chimique de la production non biologique. Cette information peut-elle être rendue publique? Oui Par : Nicolas Turgeon Date : 28 juin 2007 Direction générale : Innovation et formation N.B. : Si possible, répondre sur une page et joindre en annexe toute autre information jugée utile et pertinente.

6 RÉPONSE DU MAPAQ AUX QUESTIONS DE LA CAAAQ DU 7 MARS 2007 B-3 D où proviennent les produits biologiques qu on retrouve sur les tablettes des épiceries (filière québécoise et extérieure au Québec)? Au Québec, selon les données d ACNielsen, les ventes de produits biologiques effectuées chez les grands distributeurs alimentaires (Loblaws, Sobey s et Métro) se sont élevées à 75,6 millions $ en 2006 (52 semaines se terminant le 5 août 2006), soit moins de 1 % des ventes alimentaires totales (évaluées à 10,7 milliards $ en 2005, année civile). Les produits préemballés représentaient 75,4 % des ventes biologiques tandis que les produits frais 24,6 %. Produits préemballés (nombre de produits) Selon une analyse préliminaire, les grandes chaînes alimentaires ont vendu, en 2006, produits biologiques préemballés provenant d entreprises diverses. De ce nombre, 644 produits étaient d origine canadienne (48,9 %), 667 provenaient de l extérieur du pays (50,6 %) et 7 étaient d origine inconnue (0,5 %). Parmi les produits biologiques canadiens, 119 étaient des marques de distributeur (marques privées : 9,0%), 262 provenaient d entreprises québécoises (19,9 %) et 263 étaient issus d entreprises canadiennes hors Québec (20,0%). Origine des produits biologiques préemballés vendus dans les grandes chaînes alimentaires, en % du nombre de produits, Québec, 2006 Inconnue 1% Marques de distributeurs 9% International 51% Canada 49% Québec 20% Canada hors Québec 20% Source : ACNielsen Canada et MAPAQ Produits frais Pour les produits frais, c est-à-dire les fruits, les légumes, la viande, le fromage et les mets préparés, nous ne disposons que des ventes par catégorie de produits. Par conséquent, nous pouvons affirmer que les bananes représentaient 40 % des ventes de fruits biologiques dans les grandes chaînes alimentaires, les carottes 58 % des ventes de légumes biologiques et la volaille 99 % des ventes de viande biologique. Complément d information Au Canada, comme la demande pour les produits biologiques excède l offre intérieure, le déficit est comblé par des importations (en provenance surtout des États-Unis) dans une proportion de 80 à 85 % des ventes au détail. Cette situation n est pas unique au Canada, bien que ce pourcentage soit plus élevé que celui qu on observe dans plusieurs pays. Les importations canadiennes en provenance des États-Unis sont constituées principalement de produits transformés et préemballés dans une proportion de 80 %, alors que le reste comprend les fruits et les légumes frais. Le Canada est presque autosuffisant quant à la demande de produits laitiers avec un taux de 90 %, comparativement à 22 % pour les produits frais et 10 % pour les produits d épicerie. Source : Les produits biologiques, Bioclips+, janvier 2005, Cette information peut-elle être rendue publique? Oui Par : Guillaume Couture, Direction des études économiques Date : 23 avril 2007 Direction générale : Politiques agroalimentaires

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