Suivi de l animation

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1 III/ Du rift continental à la mise en place d un océan. Suivi de l animation 1. La fracturation de la croûte continentale : Parties 1 et 2 de l animation : mouvement d ascension de matière mantélique chaude (moins dense) à gonflement lithosphère, extension à fracturation à failles normales Modélisation : Ø Vidéo : Ø Doc 3 page 165 Partie 3 l isotherme 1300 C remonte, la lithosphère s amincie et s étire les failles normales soumises à l extension à basculement des blocs Partie 4 : le centre du fossé s effondre à diminution de l altitude, le centre est envahi par l eau Un jeune océan entrain de naître sous nos yeux : Ø Le rift est africain : Déplacement des plaques Début d émission de laves basaltiques Les lacs correspondent à des zones d altitude < au niveau de la mer. Ø et la mer rouge : exercice 7 page La mise en place d une croûte océanique (chapitre précédent à révisions) Partie 5 : les sédiments se déposent sur les blocs qui basculent progressivement à les sédiments se déposent «en éventail»(roses) L isotherme 1300 C atteint la base de la croûte à fusion partielle des péridotites par décompression. Les premiers basaltes se mettent en place au niveau de l axe du rift = dorsale. Ø Animation :

2 Ø Exercice 8 page 181 Partie 6 : la croûte océanique (basaltes, gabbros) se met en place, et les sédiments continuent de se déposer sur les blocs qui basculent (bleu ciel) Partie 7 : l océan entre en extension les sédiments continuent à se déposer (vert) 3. Les marges passives : témoins de l ancienne fracturation continentale Partie 8 : les 2 bordures du rift d origine sont désormais trop loin de la zone d extension pour continuer à basculer. Les sédiments se déposent de façon horizontale Partie 9 puis 1O les bordures du rift sont devenues les marges passives de l océan = transition entre la croûte continentale et océanique. Ø Docs pages 192/193/194/195 Ø Observation d une marge passive actuelle : la marge bretonne. Interprétation

3 IV/ La disparition de la lithosphère océanique dans les zones de subduction. Nous avons pu constater par contre que certaines marges océaniques sont dites «actives» = volcanisme, séismes, chaîne de montagnes et fosse océaniques Ø Animation : activité 2 ou Ø Ø Doc page 149 et 1 pages 162/163 : zone de subduction = zone de convergence de plaques. 1. séismicité des zones de subduction.

4 Ø Docs 2 page 138 et 1b page 141 é page 170 : tomographie sismique On note la présence d une zone anormalement froide d est en ouest sous l arc insulaire des Tonga-Kermadec (bleue), le japon ou l Indonésie. Elle indique l enfoncement d un matériel froid en profondeur dans des zones de convergence des plaques lithosphériques. Ø Doc 3 page 171 : Répartition des isothermes. La répartition des isothermes montre bien une anomalie thermique au niveau des zones de subduction (enfoncement des isothermes = il fait moins chaud que la moyenne à une profondeur donnée) Ø Docs 1 page 138/139, 1b page 141 : répartition des séismes en profondeur On observe que - les séismes se répartissent le long d un plan virtuel (plan de Wadatti-Bénioff) qui plonge sous la chaîne volcanique. - Ces séismes sont ANORMALEMENT profonds, au delà de 100Km on se trouve dans l asthénosphère, ductile donc non cassante : pas de ruptureà pas de séisme!!!! L anomalie thermique et le plan de Bénioff matérialise le plongement d un matériel froid et cassant dans l asthénosphère = lithosphère océanique. Dans les zones de subduction, une lithosphère océanique, à la faveur de mouvements convergents, plonge dans l asthénosphère, sous une autre lithosphère - Continentale : exemple côte ouest Amérique du sud (Andes) ou du nord (Rocheuses) - Océanique : exemple Japon, Indonésie. Ø Exercice 6 page L âge de la lithosphère : un moteur de la subduction et la vérification du modèle.

5 Ø Docs pages 160/161 Ø Exercice : Plus on s éloigne de la dorsale, plus les sédiments au contact de la croûte sont anciens. Cela témoigne du fonctionnement du «tapis roulant» océanique» Au maximum la lithosphère océanique est âgée de 200MA, au delà la lithosphère entre en subduction. Plus la lithosphère s éloigne de la dorsale plus elle se refroidie, son manteau s épaissie sa densité augmente jusqu à ce que cette densité devienne supérieure à la densité de l asthénosphère. Alors, à la faveur de mouvements convergents, la lithosphère la plus dense s enfonce sous la lithosphère convergente, moins dense et s enfonce dans le manteau = subduction. BILAN Une lithosphère découpée en plaques Qui se déplacent Ø Doc 1 page 162 Ø La dérive des continents depuis 600 MA : Application la théorie à l épreuve des faits : des alignements d îles volcaniques : les points chauds Ø Docs pages 144/ 145 Ø Exercice 6 page 154 Ø C est pas sorcier : la réunion :