CONSEIL MUNICIPAL D AMIENS

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1 CONSEIL MUNICIPAL D AMIENS Séance du 21 avril 2016 PROCÈS-VERBAL C.M. Séance du 21 avril

2 SOMMAIRE DES INTERVENTIONS Séance du 21 avril DÉLÉGATIONS DE VOTE DÉSIGNATION DES SECRÉTAIRES DE SÉANCE COMMUNICATIONS DU MAIRE PRÉSENTATION PAR L'EPARECA DU PROJET SUR LE COLVERT ILOT DU COLVERT. PROJET DE REQUALIFICATION COMMERCIALE. PARTENARIAT AVEC L'EPARECA. CONVENTION TRIPARTITE RAPPORT DÉFINITIF DE LA CHAMBRE RÉGIONALE DES COMPTES NORD - PAS-DE-CALAIS - PICARDIE, RELATIF AU STATIONNEMENT URBAIN. EXERCICES 2010 ET SUIVANTS PROCÈS-VERBAL DE LA SÉANCE DU 10 MARS APPROBATION DÉCISIONS DU MAIRE. COMPTE-RENDU INDEMNISATION SUITE AU DÉGÂT DES EAUX DU 3 SEPTEMBRE 2011, PLACE LONGUEVILLE À AMIENS AGENCE FRANCE LOCALE. DÉLIBÉRATION ANNUELLE DE GARANTIE ACTIONS DE PRÉVENTION SANITAIRE. SUBVENTIONS. ANNÉE ESPACE SANTÉ MAURICE RAVEL. CONVENTION D'OCCUPATION DU DOMAINE PUBLIC CESSION DE PLACES DE PARKING AU PROFIT DU CNFPT ET D AMIENS MÉTROPOLE DANS LE LOTISSEMENT FRIANT PROJET DE DÉPOT DE BUS. CESSION D'UNE PARCELLE AGRICOLE AU PROFIT D'AMIENS MÉTROPOLE PROJET KFC. CESSION DE BIENS IMMOBILIERS SITUÉS AVENUE DU 14 JUILLET 1789 AU PROFIT DE M. GONGORA RUE HAUTE DES CHAMPS. CESSION DE PARCELLES NON BÂTIES AU PROFIT DE LA SEM AMIENS AMÉNAGEMENT OPH D AMIENS. AMÉNAGEMENT D UN LOGEMENT, PLACE AU FEURRE (1 PLUS). PARTICIPATION FINANCIÈRE. CONVENTION OPH D'AMIENS. CONSTRUCTION D'UN LOGEMENT PLACE AU FEURRE. EMPRUNT AUPRÈS DE LA CAISSE DES DÉPÔTS ET CONSIGNATIONS. GARANTIE DE LA VILLE D'AMIENS. CONVENTION SIP. ZAC GARE / LA VALLÉE. RÉALISATION DE 30 LOGEMENTS COLLECTIFS (22 PLUS ET 8 PLAI). PARTICIPATION FINANCIÈRE. CONVENTION SIP. ZAC PAUL CLAUDEL, ÎLOT D2. RÉALISATION DE 27 LOGEMENTS COLLECTIFS (20 PLUS ET 7 PLAI). TRANCHE 4. PARTICIPATION FINANCIÈRE. CONVENTION SIP. ZAC RENANCOURT. RÉALISATION D UN LOGEMENT INDIVIDUEL (1 PLUS) ET ACQUISITION- AMÉLIORATION DE DEUX LOGEMENTS (2 PLUS). PARTICIPATION FINANCIÈRE. CONVENTION SIP. 9, RUE DE PARIS. RÉALISATION DE 20 LOGEMENTS COLLECTIFS (15 PLUS ET 5 PLAI). PARTICIPATION FINANCIÈRE. CONVENTION ASSOCIATION UFOLEP. SUBVENTION. ANNÉE CONVENTION ASSOCIATIONS PATRIOTIQUES. SUBVENTIONS ÈME RÉPARTITION RUE SAINT-FUSCIEN. SECTION CARREFOUR SAINT-QUENTIN - BAPAUME / GIRATOIRE ROCADE. FONDS DE CONCOURS. CONVENTION CARTE SCOLAIRE C.M. Séance du 21 avril

3 25 - VALIDATION DE LA FUSION DES PÉRIMÈTRES SCOLAIRES MATERNELS ET ÉLÉMENTAIRES "VOLTAIRE" ET "SCHWEITZER" SUBVENTION FORFAITAIRE À L'ASSOCIATION LE JARDIN BLEU. ANNÉE USEP. PROJETS DES ÉCOLES PUBLIQUES. SUBVENTIONS. ANNÉE SCOLAIRE 2015/ CENTRE COMMERCIAL DES HALLES. PARTICIPATION DE LA VILLE D'AMIENS AU COÛT D'ENTRETIEN ANNUEL DES SANITAIRES PUBLICS DU CENTRE COMMERCIAL LES HALLES. CONVENTION AVEC LA SOCIÉTÉ COMMERCES RENDEMENT DÉMOCRATIE LOCALE ET VIE ASSOCIATIVE. SUBVENTIONS. ANNÉE ÈRE RÉPARTITION ASSOCIATION UNION AMIENS SUD-EST FOOTBALL (UASEF). SOUS-LOCATION D'UN LOCAL SIS 10/1 MAIL ROGER SALENGRO. BAIL QUESTION ORALE...94 C.M. Séance du 21 avril

4 La séance est ouverte à 18 h 09. MME FOURÉ : Dans les délégations de vote : 1 - DÉLÉGATIONS DE VOTE. Mme Annie VERRIER, jusqu à son arrivée donne pouvoir à M. Olivier JARDÉ Mme Nedjma BEN MOKHTAR, jusqu à son donne pouvoir à M. Patrick PIGOUT arrivée M. Paul-Éric DÈCLE, jusqu à son arrivée donne pouvoir à Mme Margaux DELÉTRÉ M. Martin DOMISE donne pouvoir à M. Alain GEST M. Karim SÉRY donne pouvoir à M. Yves DUPILLE MME LEPRESLE : Étant donné que les parents de l école maternelle Fafet sont présents dans la salle, serait-il possible d inverser l ordre du jour et de passer le point «carte scolaire» juste après les communications du maire? MME FOURÉ : La réponse est non puisque nous sommes dans un ordre du jour que j ai établi, et nous respecterons l ordre du jour. MME LEPRESLE : On en prend acte. DONT ACTE 2 - DÉSIGNATION DES SECRÉTAIRES DE SÉANCE MME FOURÉ : Je vous propose de désigner en qualité de secrétaire de séance Monsieur MONTIGNY, s il est là. Oui. Monsieur BEAUVARLET? Merci. Donc il en est ainsi décidé. 3 - COMMUNICATIONS DU MAIRE. ADOPTÉ À L UNANIMITÉ MME FOURÉ : Je vous précise tout d abord que notre prochaine séance aura lieu le jeudi 26 mai prochain à 18 heures. Je vous précise ensuite qu une nouvelle version de la délibération relative à la carte scolaire vous a été transmise cet après-midi. C est cette version qui sera finalement soumise ce soir à votre approbation. On y reprend les ouvertures de classes. Ce document est en ligne sur vos ordinateurs et il vous a été adressé. Je pense qu on vous l a envoyé par mail dans le courant de l après-midi. DONT ACTE C.M. Séance du 21 avril

5 3.2 - PRÉSENTATION PAR L'EPARECA DU PROJET SUR LE COLVERT. MME FOURÉ : Nous allons tout de suite passer au point 3.2 de l ordre du jour, dans le cadre des communications du maire toujours : «Présentation par l EPARECA du projet sur le Colvert». Je rappelle simplement que nous avons, dans le cadre de la rénovation urbaine, un gros projet de transformation du centre commercial du Colvert, qui date. On parlait depuis fort longtemps de cette rénovation du Colvert. Là, le projet est en train d avancer extrêmement sérieusement, puisque je vous rappelle ou je vous apprends que lundi dernier, Alain GEST et moi, nous sommes allés à Paris, au siège de l ANRU, l Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine, pour défendre le projet de notre ville et de notre métropole en matière de ce qu on appelle l ANRU II, c est-à-dire le deuxième plan de rénovation urbaine. Nous étions accompagnés par Jean-Christophe LORIC et Hubert DELARUE et Sonia HAMADI. Nous avons pu présenter les projets qui nous sont chers et qui doivent se réaliser dans les années à venir. Sur le secteur nord de la ville, évidemment c est notamment le gros projet de rénovation du Colvert qui a été présenté aux responsables de l ANRU, en présence d ailleurs de l EPARECA qui a défendu le dossier bien sûr. Ce soir, nous accueillons Monsieur Mohamed TOUCHI, directeur des programmes de l EPARECA, et Monsieur Hervé BEUSCART, responsable de programme. Je les remercie très chaleureusement pour leur présence parce que je pense que c est important que nous puissions écouter ce qu ils ont à nous dire et la façon dont ils envisagent la rénovation de ce centre commercial, qui est un projet extrêmement important pour l ensemble des quartiers nord de la ville. Je passe la parole tout de suite à Jean-Christophe LORIC pour qu il dise un mot de présentation. M. LORIC : Merci Madame le Maire. Oui, un mot d introduction avant de laisser la parole aux membres de l EPARECA, qui rentreront dans le détail plus commercial de l opération. C est pour rappeler que l opération du Colvert, ce cœur d îlot, est une opération qui est dans un contexte de rénovation globale très dynamique et très volontariste, puisque dans la partie nord de ce secteur, il y a le projet Frey qui va arriver ; dans la partie sud, je rappelle qu il y a le projet de la Citadelle qui est tout proche. Et puis la troisième chose, c est qu on est dans un quartier qui est aussi très desservi par les lignes de bus et qui est appelé à devenir un croisement important de deux futures lignes de BHNS. C.M. Séance du 21 avril

6 Si on rentre dans le cœur du projet qui vous est proposé, dans ce qui a présidé à ce projet, il y a trois grands axes principaux. On peut peut-être passer à la slide suivante pour que je puisse illustrer les choses. Vous voyez l îlot concerné. La première chose marquante, c est que vous connaissez tous le centre commercial du Colvert, avec des difficultés qu on retrouve dans un certain nombre d endroits sur ce type de centres commerciaux. Mais en particulier au centre commercial du Colvert, on a plusieurs problématiques. Notamment une problématique tout simplement d organisation du centre avec un centre qui est un peu introverti, avec des arrières de boutiques qui sont en fait tout autour, et des difficultés et une sorte de cul-de-sac pour ce centre commercial. À cela s ajoutent aussi un certain nombre de problématiques de sécurité, de trafics. Donc on est là à la croisée d un certain nombre de problèmes. L urgence, la nécessité, ça va être, au niveau du centre commercial, de pouvoir construire un nouveau centre commercial et de démolir ensuite le centre commercial existant du Colvert. On va passer à la slide suivante pour vous expliquer ça précisément. La première partie concerne la réalisation d un nouveau linéaire c est ce que vous voyez en bleu sur la slide qui vous est présentée, un linéaire commercial qui va permettre de reconstituer le nombre de cellules commerciales qui sont prévues à la démolition avec même je pense que les personnes de l EPARECA repréciseront cela deux ou trois cellules supplémentaires en cas de besoin. La reconstitution de ce linéaire sur l avenue de la Paix qui traverse, c est la grande traversante est-ouest, la colonne vertébrale du quartier. Donc une partie des cellules commerciales qui seront à ce niveau-là et une partie qui sera en face d un espace important. J en viens au deuxième axe de cette rénovation : la possibilité de requalifier l espace mis à disposition du marché de plein vent. Le marché de plein vent est un marché considérable qui rythme la vie du quartier, qui est un des plus grands marchés du nord de la France, qui a besoin d avoir un espace public qui soit redimensionné à sa taille, mais qui soit qualifié, qui soit paysager. Vous voyez dans la partie droite de la diapositive à la fois la présence plus importante d arbres, un paysagement, ce qui permet également de faire une transition plus simple et plus abordable avec le square Gauguin qui se situe dans la partie droite qui vous est présentée. Ça, c était le deuxième point, la nécessité de redonner ses lettres de noblesse à ce marché qui est extrêmement important pour le quartier. Et en troisième point de nouvelles capacités d accueil avec un programme complémentaire. C est un de nos axes importants. On parle beaucoup de mixité sociale. Si on veut changer un petit peu la mixité sociale du quartier, ça passe aussi par une politique volontariste sur de nouvelles formes d habitat qui vont être proposées en remplacement des grandes barres qui sont un peu la marque de fabrique du quartier. C.M. Séance du 21 avril

7 Donc un programme que vous voyez ici, qui traduit bien d ailleurs ce qu on essaye de porter, c est-à-dire un programme d une centaine de logements dans ce qu on a présenté, avec une quarantaine de logements qui seraient de l accession sociale. Vous savez que c est un des axes importants et on l a vu de l autre côté du quartier, sur le secteur Delacroix, avec les premières réalisations. Donc là on continue sur de l accession sociale avec une quarantaine de logements concernés et une négociation qui est en cours, mais pour faire en sorte qu on ait aussi du logement social à proposer sur ce secteur-là, avec une forme bien différente évidemment puisque ce serait du logement social, du petit collectif ou de l intermédiaire. Mais on pense que c est indispensable de pouvoir, à côté de l accession sociale, proposer encore une offre sur le locatif social. Alors un point sur la slide suivante que vous allez voir, qui est la perspective en trois dimensions. J en profite pour vous expliquer les échéances dans le temps, ce que ça va représenter. Le début des travaux du centre commercial est prévu, si tout se passe bien, et on le souhaite, mi On met aussi tout en œuvre pour pouvoir lancer une DUP, une déclaration d utilité publique, sur ce projet. L arrêté préfectoral devrait sortir au second semestre Et ça, c est important puisque ça nous donne un outil juridique volontariste qui nous permet de nous assurer que les choses se feront on le souhaite de manière amiable. Mais si ce n est pas de manière amiable, de toute façon elles se feront parce qu on aura une DUP qui nous permettra d avancer. La délivrance d ordonnances d expropriation serait sur janvier Le transfert des commerçants, dans la première phase, serait fait fin La prise de possession du Colvert serait fin La démolition de l ancien centre commercial est prévue pour le premier semestre La réalisation des travaux d aménagement de la place du marché est prévue sur le second semestre Et enfin le retour du marché de plein vent sur le secteur est prévu pour la fin Je vais peut-être dire un petit mot, même si c est écrit et que ça apparaît aussi derrière moi en plus grand, pour vous montrer, sans rentrer dans tout le détail des chiffres, les montants importants qui vont être investis dans ce projet. Quand on le met en relation avec le contexte que je vous avais brossé en début d intervention sur le BHNS, sur la Citadelle, sur l installation de Frey qui a commencé maintenant, on voit que les montants en jeu sont des montants importants. C.M. Séance du 21 avril

8 On voit aussi que c est un projet qui évidemment fait intervenir de nombreux intervenants. On verra ensuite s il y a débat. Mais évidemment Vladimir MENDÈS-BORGÈS est très actif sur le sujet sur le secteur nord, Renaud DESCHAMPS pour la partie commerciale, Hubert DELARUE sur la politique de la ville puisqu il y a une négociation, comme l a dit Madame le Maire, qui est en train de se dérouler avec l ANRU. Donc c est un projet avec beaucoup d acteurs pour le porter. Je propose peut-être de passer la parole à l EPARECA, si vous en êtes d accord, Madame le Maire. MME FOURÉ : Oui. Nous allons donc passer la parole à l EPARECA et ensuite je vous propose que nous abordions immédiatement la délibération qui est intitulée «Ilot du Colvert. Projet de requalification commerciale. Partenariat avec l'epareca. Convention tripartite.» qui sera la conséquence toute naturelle de cette présentation. Pour leur permettre de prendre la parole dans cette enceinte, je suspends la séance et je leur donne la parole. La séance est suspendue à 18 h 21 M. TOUCHI : Merci Madame le Maire. Bonsoir à tous. Monsieur LORIC a fait une présentation très complète de l opération de restructuration commerciale et surtout de l imbrication de cette opération commerciale dans un projet plus vaste, urbain, dans lequel il y a des espaces publics, des problématiques de logement et d équipements publics. Aussi je m attarderai à vous présenter l établissement parce qu on n est pas forcément connu de tout le monde. On est un établissement public national (EPIC). On a été créé dans le cadre du Pacte de relance pour la ville de 1996 sur un constat relativement simple de l époque de l État : pour ce qui est des problématiques commerciales dans les quartiers de la politique de la ville, souvent il y avait une carence des initiatives privées et donc la nécessité de créer un établissement dédié à cet usage, puisqu évidemment il était difficile d envisager une rénovation urbaine complète qui intégrait les problématiques de logement et d espaces publics sans traiter la partie commerciale. Donc on a un rôle de promoteur, d investisseur et de gestionnaire. On gère la totalité de la chaîne qui va de la conception, de la production, de l exploitation à la revente à terme. L État, au travers d établissements publics, n a pas forcément vocation à rester dans la durée, mais il vient régler un problème. Une fois que ce problème est réglé, une fois que la pérennité de l équipement commercial est assurée, on a vocation à revendre pour aller réinvestir sur d autres sites où le problème est posé. Donc on intervient souvent quand il y a des problématiques juridiques c est le cas sur le Colvert, quand la copropriété, par ses seules forces, ne peut pas mettre en œuvre une C.M. Séance du 21 avril

9 opération de restructuration lourde, a fortiori quand il s agit d une démolition ou d une construction complète. On intervient aussi pour des problématiques de calendrier. Un investisseur privé attend une rentabilité à très court terme, ce qui n est évidemment pas le cas dans ce genre d opération. Donc l établissement public est chargé de porter le temps que cette rentabilité soit peu à peu reconstituée et que ça puisse partir de nouveau dans le droit privé du commerce. On intervient uniquement dans le champ des quartiers prioritaires de la politique de la ville. L État nous a vraiment limités dans ce périmètre-là. On n a pas vocation à intervenir en dehors de ce périmètre. Aujourd hui on a environ 150 opérations sur le territoire national, à toutes les phases d avancement (en étude, en mise en œuvre, en exploitation). On a environ m 2 en gestion sur environ 35 centres commerciaux. On a un peu plus de 300 baux en gestion. Ce sont des opérations qui demandent évidemment, comme cela a été dit, un partenariat le plus vaste possible. On intervient toujours à la demande de la collectivité. On accompagne la collectivité dans le cadre de l élaboration de son projet urbain sur la thématique commerciale. On est toujours dans des dispositifs où l opération est pilotée par un comité de pilotage présidé soit par le maire, soit par le président de l EPCI. Évidemment on associe tous les services déconcentrés de l État pour mettre en œuvre ces opérations. Ensuite on écrit dans le marbre, je dirais, les engagements réciproques de la collectivité et de l EPARECA, puisque quelque part c est une espèce de mariage, et on écrit les clauses de ce mariage dans une convention qui va indiquer dans le temps comment vont se gérer les différentes phases de conception et de mise en œuvre de l opération. On a plusieurs phases importantes dans la mise en œuvre des opérations. On a évidemment une saisine initiale, c est-à-dire que la collectivité nous demande d intervenir. On commence par faire une décision de mise à l étude qui permet de lancer l ensemble des études de marché, des études techniques pour pouvoir élaborer l opération en concertation avec la collectivité. On la met en œuvre bien évidemment, sachant qu on a deux modalités d intervention mises en œuvre. Soit c est une opération purement commerciale, ce qu on appelle nous «en solo», donc on est maître d ouvrage de l opération et on la construit. Ça, c est le premier mode de réalisation. Il y a un deuxième mode de réalisation qui est l investissement en rez-de-chaussée d un programme de logements. De par nos statuts, on ne peut pas construire de logements. Donc dans ces cas-là, on accompagne le bailleur ou le promoteur privé dans la conception de cet ensemble de logements et commerces, et on achète le rez-de-chaussée en vente en l état futur d achèvement. Ensuite pour le reste (exploitation, revente), c est exactement le même schéma. En gestion, on considère qu il faut rester environ 8 à 10 ans pour s assurer que le commerce va finalement vivre de ses propres ailes. On n envisage en général pas de revente avant 8 à 10 ans. Donc on est, en phase de gestion, soit seul, soit accompagné, le plus souvent aujourd hui, par la Caisse des Dépôts, puisqu on a créé une foncière commune qui s appelle «Foncièrement quartier» qui a pour vocation à démultiplier nos actions puisqu à deux on monte évidemment plus d opérations que seul. C.M. Séance du 21 avril

10 Merci de votre attention. MME FOURÉ : Merci Monsieur le Responsable de l EPARECA. Qui demande la parole? Oui, Madame WADLOW. MME WADLOW : Oui, c est juste une question. Comme ça vient de nous être rappelé, effectivement l EPARECA n a pas vocation à faire du portage de logements. Donc soit je n ai pas tout bien lu ou pas bien tout entendu, mais aujourd hui a-t-on un porteur pour l opération immobilière? Enfin avez-vous un porteur? MME FOURÉ : En fait ce qui est présenté ce soir, c est la requalification commerciale. Donc sur cette partie-là, commerciale, c est exclusivement l EPARECA qui sera l opérateur. Mais ensuite il y a des constructions de logements qui vont être prévues, certaines portées par la Maison du Cil je parle sous le contrôle de Jean-Christophe LORIC, d autres par d autres porteurs de projet qui ne sont pas encore identifiés à l instant où je vous parle. Là, ce qui vous a été présenté, c est le projet global, si vous voulez, l implantation notamment, parce que c était ça qui était important, comment les commerces allaient être implantés. Je vous rappelle qu il y a eu d ailleurs une réflexion qui a été menée avec les commerçants pour savoir si on réhabilitait le Colvert sur l espace sur lequel il se trouve ou si on le réimplantait ailleurs. Et si on le réimplantait ailleurs, il y avait plusieurs hypothèses de réimplantation. Donc il y a eu des concertations qui ont eu lieu avec les commerçants pour faire le choix qui vous a été présenté tout à l heure par Jean-Christophe LORIC, proposition qui a été faite aussi aux habitants du quartier lors d une réunion de concertation qui a eu lieu il y a 3 mois environ, je crois. Ce devait être, il me semble, en janvier. Voilà ce que je peux dire. Très clairement, le porteur pour le projet commercial, c est l EPARECA. Le porteur pour le projet de logements, c est pour partie la Maison du Cil et pour partie un opérateur ou des opérateurs à définir. Et d ailleurs nous souhaitons qu il y ait des opérateurs qui soient diversifiés parce que, comme vous le savez, l OPAC est le propriétaire quasi exclusif sur le territoire des quartiers nord, comme la SIP l est sur le territoire d Étouvie. Et nous souhaitons évidemment qu il y ait une diversification d occupations avec notamment de l accession sociale à la propriété, mais aussi avec des opérateurs du logement social aidé variés pour qu on ne reste pas sur un système avec un seul office HLM. Allez-y, Madame WADLOW. MME WADLOW : Merci. C.M. Séance du 21 avril

11 Je comprends bien et effectivement ce projet s inscrit tout à fait dans l esprit des premières études qui avaient été faites. La difficulté, c est que du coup, effectivement, le calendrier de réalisation est fortement conditionné par la capacité à trouver les investisseurs pour porter l ensemble du projet immobilier qui permettra ensuite à l EPARECA de racheter en VEFA les cellules, et c est sans doute la difficulté majeure. Autant on voit bien l intérêt en termes de logement et sur le plan urbain de retenir ce schéma, que je trouve en théorie le meilleur, de remettre le commerce en pied d immeuble et d en profiter pour essayer de diversifier le logement. Autant c est ce qui fragilise fortement la condition de faisabilité du projet. C est la difficulté. C est l enjeu. L enjeu, c est d arriver à trouver des investisseurs pour du logement sur la place du Colvert. MME FOURÉ : Je vais dire oui et non parce qu il y a quand même une demande. On sait très bien qu il y a un certain nombre d habitants, un certain nombre d Amiénois qui souhaitent habiter sur les quartiers nord avec un type d habitat un petit peu différent de celui qui existe. Actuellement, en tout cas, on a sur cette partie du quartier nord trois grands bâtiments, Mozart, Couperin et Messager, qui sont des bâtiments dans lesquels il y a 160 logements par bâtiment. Ce sont des bâtiments R+9 ou R+8. Non, il y a neuf niveaux, donc ce doit être R+8. L objectif, c est aussi de transformer le type d habitat. Donc je pense que les opérateurs ne manqueront pas. Jean-Christophe LORIC, peut-être, peut préciser? M. LORIC : Oui, c est aussi la raison pour laquelle, vous vous souvenez, on a voté un dispositif sur l accession sociale qui est extrêmement volontariste et dont on sait qu il a déjà fait ses preuves. Chaque bailleur social a aussi sa coopérative d accession sociale. C est aussi ça qui permet de répondre à la demande, et on est plutôt confiants. Ce que je veux dire, c est que du succès de cette commercialisation ne dépend pas la réalisation de l opération sur le commerce parce que de toute façon il faudra avancer sur la partie commerciale. La partie locative sociale est plus simple. Il y a moins de risques évidemment. L accession sociale, on a fait en sorte de se donner les moyens pour que ça fonctionne. M. HUTIN : Madame le Maire, chers collègues, nous sommes effectivement favorables à ce projet à cette étape, mais bien sûr nous restons vigilants pour le bénéfice des habitants de ce quartier et tous les Amiénois. Vous nous présentez une partie essentielle de ce projet important pour ce quartier et notre ville. Nous aurions aimé quand même, comme nous l avions délibéré le 25 juin 2015, un bilan de la concertation qui a été menée. C est vrai qu on n a pas d éléments là-dessus. C.M. Séance du 21 avril

12 Un point important : pour les commerçants du Colvert, c est vrai qu il restera un impact pour ces commerces, notamment pendant le phasage, puisqu on va diviser quasiment par deux le nombre de commerces dans ce quartier. On voulait savoir comment seront sélectionnés les candidats pour les premières cellules commerciales. Il serait peut-être intéressant de pouvoir aussi largement associer les habitants, avec des niveaux de concertation élevés, puisque c est bien sûr eux qui ont leur mot à dire sur le choix des commerces. On voudrait savoir aussi quelles sont les modalités d accompagnement aux déménagements qui sont mis en place. Pour le marché de plein vent, et vous l avez dit, Monsieur LORIC, c est effectivement un marché très important pour cette ville et le quartier. Pendant les travaux, là on ne voit pas quel sera le changement de localisation, là où il sera implanté pendant la phase de travaux. Et puis une fois que le projet est fini, on remarque quand même qu il n y aura plus de halle couverte, qu il y aura forcément un impact sur le commerce vu les aléas climatiques de notre belle région qui parfois est un peu pluvieuse. Et puis sur un autre aspect, mais qui me semble aussi important, c est vrai qu on va avoir la chance on l a déjà d avoir une place, qui va là en plus être requalifiée, donc il serait intéressant d avoir des animations d ampleur pour ce quartier pour aussi travailler sur l ouverture de cet espace et puis la valorisation du quartier. En attente de ces réponses, je vous remercie pour cette écoute. Mais en tout cas on est favorables à ce projet. MME FOURÉ : Merci. Je passe la parole à Renaud DESCHAMPS pour qu il vous réponde sur la partie commerciale, puis à Vladimir MENDÈS-BORGÈS ensuite. M. DESCHAMPS : Merci Madame le Maire. Juste en préambule, je voudrais quand même préciser que ce projet de requalification d un quartier entier comporte une grosse partie commerciale et ça fait partie clairement d un des quatre gros dossiers du mandat. Les trois autres seront et sont les Coursives (grosse partie commerciale à revoir), le centreville (préservation du commerce en centre-ville) et puis la nouvelle zone d activité en face de Carrefour qu on appelle pour l instant la zone Frey. Donc là on est dans une de ces quatre priorités commerciales. Et puis Madame WADLOW, tout à l heure, disait qu elle avait des inquiétudes. Moi, j ai envie de la rassurer et de lui dire que ça n a jamais aussi bien avancé que ça avance depuis un an. Ça faisait de nombreuses années que les commerçants, que les Amiénois de ce quartier voyaient ça un peu comme une Arlésienne en disant : on nous vend du rêve, on nous dit que ça va se faire, on ne voit rien arriver. Ça, c est clairement ce qu on a comme remontées du C.M. Séance du 21 avril

13 terrain lors des balades urbaines, lors des visites de quartier, lors des différents rendez-vous qu a Vladimir MENDÈS-BORGÈS sur le terrain. Mais il en parlera mieux que moi tout à l heure. Et enfin, là, on commence à sentir une appropriation par les habitants qui touchent du doigt et qui voient que c est du concret. C est du concret parce qu on les associe. Vous nous parliez, Monsieur HUTIN, de concertation. La concertation, je crois qu on n a plus à le démontrer maintenant. On la fait, on la fait beaucoup, on la fait outrageusement, mais il n y a jamais assez de concertation. Cette concertation, on la fait avec les commerçants qu on rencontre à de nombreuses reprises. On la fait aussi avec les habitants du quartier, et les clients du quartier nous disent quels types de commerces ils veulent. Donc l EPARECA est aussi à l écoute de cela et il y a des clients qui nous disent : «Il y a trop de commerces de cette activité et puis ce serait bien qu il y ait d autres activités». Donc on est vraiment à l écoute et l EPARECA travaille par rapport à cette écoute et par rapport à leur connaissance du métier, en sachant qu il faut une diversité commerciale. Ça, c est la première chose. La deuxième chose, c est que vous vous inquiétez, à juste titre, du nombre de commerces qui pourraient rester. C est une question tout à fait légitime. On en a discuté en commission. Aujourd hui, je le dis très publiquement : il y aura exactement le même nombre de commerces dans le futur projet qu il en existe aujourd hui. Et j ai même envie de dire qu il y en aura un peu plus puisque vous n êtes pas sans savoir qu il y a eu un incendie il y a quelque temps et donc il y a des cellules commerciales qui ont fermé. Et il y a d autres commerçants qui avaient l intention de fermer, qui sont en fin d activité, qui auraient fermé leur commerce d ici 6 mois, 1 an ou 2 ans. Et là, on a des nouvelles opportunités de par ce nouveau projet. Donc on va avoir non seulement un chiffre à l équilibre, mais on a en plus trois opportunités d avoir des cellules qui peuvent être des cellules supplémentaires par rapport au chiffre, au nombre existant (puisque quand il y a plus de deux chiffres, c est un nombre). Enfin vous posiez la question au maire, Monsieur HUTIN, sur le marché de plein vent. C est évidemment une question importante dont on reparlera lors d un prochain conseil municipal. Ça fera aussi partie d une délibération. Aujourd hui, on est dans la phase de présentation des différentes options auprès des commerçants non sédentaires. Je vous rappelle que ce marché est un des plus grands de la région. Il y a 175 étals sur ce marché. Donc ça ne se change pas comme ça en un claquement de doigts. Il faudra évidemment que les étals soient repositionnés pendant la période 2017/2019. Il y a un gros travail qui est fait par les services et j en profite vraiment pour saluer leur investissement. Ce n est pas rare qu ils se lèvent le dimanche à 3 heures du matin pour aller voir comment ça fonctionne, le marché, comment ça déballe, quels sont les impératifs, compter les camions, où sont les camions. Il y a un vrai investissement qui est fait par nos services pour provoquer et pour avoir le moins de gêne possible. C.M. Séance du 21 avril

14 Alors à chaque fois qu il y a des travaux, il y a une gêne. On ne peut pas faire autrement. Mais les commerçants sont vraiment impliqués dans le jeu parce qu ils savent qu ils auront un meilleur outil de travail à l issue de ces travaux. Enfin la dernière question que vous avez soulevée, c est la disparition de la halle couverte. La halle couverte, c est un élément architectural qui avait été positionné là lors de la création de cette place. À mon sens, elle n a pas été faite à l époque pour servir au marché. Ça a été plutôt imaginé pour couvrir le terrain de basket ou pour redimensionner architecturalement, pour ne pas avoir un grand espace couvert, pour permettre de casser un petit peu la perspective. Aujourd hui, très clairement, quand on regarde les autres marchés d Amiens et du reste de la France, c est très rare d avoir des halles couvertes. Quand on regarde à Amiens au beffroi, juste à côté d où on se trouve en ce moment, il n y a pas de halle couverte et nos commerçants amiénois savent parfaitement faire fi du vent et de la pluie quand il y en a. Comment? Les clients, moins. Mais ça, c est comme dans toutes les activités commerciales, Monsieur HUTIN : quand il pleut, il y a moins de monde. Et c est pareil pour les animations. On est dans une région où il pleut un tout petit plus qu à Marseille, mais nos commerçants savent faire avec. Donc moi, je crois qu on a ici un très beau projet. Vous l avez d ailleurs dit en introduction de votre propos et ça nous fait plaisir quand vous vous associez aux projets qu on porte parce que là on n est vraiment pas dans le clivage politique. On est vraiment dans la construction et la reconstruction d un quartier. On est vraiment dans la concertation et les commerçants sont vraiment associés et sont ravis que ça se mette en forme. Voilà, Madame le Maire. MME FOURÉ : Merci. La parole est à Vladimir MENDÈS-BORGÈS. M. MENDÈS-BORGÈS : Merci Madame le Maire. Pour répondre à Monsieur HUTIN, qui a posé une question sur la concertation, Monsieur HUTIN, puisque vous posez une question, on vous y répond et on apprécie de répondre à vos questions, surtout sur des sujets comme la concertation où vous, vous participez aux réunions puisque, sauf erreur de ma part, vous avez participé à la réunion publique avec les habitants où on a présenté le projet. Donc vous étiez présent mais je peux vous répondre. En termes de concertation, comme l a dit Madame le Maire, c est que ce projet qui vous est présenté ce soir, avant cela, il y avait plusieurs hypothèses. Et donc si on a retenu cette hypothèse-là, c est qu on a fait une concertation d abord avec les commerçants qui sont concernés directement. Ensuite on a fait cette même concertation avec les commerçants non sédentaires, donc ceux qui sont sur le marché le dimanche. On a fait cette concertation avec les six comités de quartier qui sont sur le secteur nord parce qu ils sont tous plus ou moins touchés par ce projet. On a fait des concertations avec les habitants, là où vous étiez C.M. Séance du 21 avril

15 présent. On a fait des concertations lors des visites de proximité où d ailleurs de nombreux élus étaient présents, notamment Hubert DELARUE, Renaud DESCHAMPS. Et je me souviens que lors d une visite de proximité, on a traversé le Colvert. Ce n était pas le sujet direct de la visite de proximité, mais Le Courrier picard avait fait une annonce pour dire qu on donnerait dans le détail les informations sur le Colvert. Donc, il y avait un monde fou lors de cette visite de proximité. On s était permis de faire un passage à l Atrium pour pouvoir répondre aux personnes et leur présenter le projet, parce qu en termes de concertation toujours, nous avons des panneaux qui sont présents au sein de la mairie de secteur. Ces panneaux sont changeants parce qu au départ il y avait ces panneaux qui étaient présents avec les trois hypothèses. Il y a une adresse mail où les personnes peuvent proposer leur contribution. Et ensuite dans un second temps, il y a eu d autres panneaux avec notamment certaines images qui vous ont été présentées ce soir. Donc la concertation existe. Elle va continuer parce que récemment aussi, pour parler du CMJA, le conseil municipal des jeunes Amiénois, on a fait un sujet sur le Colvert. Ils ont aussi émis la volonté de faire une réunion avec les jeunes pour présenter ce projet. Donc il y a beaucoup de choses qui sont faites. Et s il y a une chose, pour moi, qu on doit retenir, qui est faite, c est ce projet. Parce que comme l a dit Renaud DESCHAMPS, c était une Arlésienne. Je me souviens d un habitant que j avais reçu en début 2014 qui était venu avec Le Courrier picard de On a regardé : on en parlait déjà en 2006 et ça n a jamais été fait. Donc là, on en parle, on vous montre que ça avance. Et avec l EPARECA, avec d autres structures, on avance très bien sur ce projet. MME FOURÉ : Merci. La parole est à Monsieur ANGER. M. ANGER : Merci Madame le Maire. Je voudrais intervenir sur deux points. Le premier porte sur l aspect commercial du projet. De fait le centre commercial ne fonctionne pas très bien actuellement, au-delà des incendies. Le fait que des commerçants n aient pas l intention de continuer ou de vendre leur loge, ça montre une difficulté. Donc est-ce qu on a travaillé sur la zone de chalandise souhaitable? Parce que certes, et c est indispensable, ce centre commercial doit être un centre commercial de quartier qui répond aux attentes de la population, celle qui s exprime dans les lieux de concertation. Mais ça doit être aussi, si on veut développer la mixité telle qu affichée notamment en matière de logement, susceptible d attirer d autres clientèles de manière à conforter le chiffre d affaires des commerces. Donc là-dessus, est-ce que l EPARECA a une expérience en matière de redéveloppement de centres commerciaux? Laquelle? Moi, j aimerais bien qu on parle un peu de Parce qu entre l intention et puis faire vivre un centre commercial de quartier, c est compliqué. Vous C.M. Séance du 21 avril

16 avez bien vu : en général les seuls trucs qui marchent, c est quand on a une moyenne surface qui draine. Donc ce n est pas simple. Mon propos n est pas du tout critique. Il est simplement de dire qu il faut vraiment faire attention à ça parce que sinon ça ne marchera pas. Le deuxième élément, c est que je n ai pas bien compris qui porte l opération. J ai bien compris que l EPARECA acquiert en VEFA les loges commerciales. Je ne sais pas qui porte l opération. Donc je suis complètement d accord avec vous, Madame le Maire, pour dire que l OPAC n a pas vocation à être l opérateur unique du quartier. Mais à un moment donné, si on veut avancer, il faut bien qu on ait un porteur de projet. Et est-ce qu on ne doit pas imaginer appliquer la même méthode de la VEFA pour les logements, de manière à pouvoir avancer? Sinon on va se retrouver avec une difficulté. On a quand même besoin d un assembleur. Qui va être l assembleur? Est-ce que c est la SEM? Ça peut être l OPAC. L OPAC peut faire l aménagement. Ou ça peut être un investisseur privé. Moi, je n ai pas de religion là-dessus. Mais ce n est pas sûr qu on arrive à la fois à monter l opération d accession, l opération de logement social. On a un certain nombre de trucs un peu compliqués à monter. C est bien de le faire. Mais je pense qu on aura des difficultés si on n a pas un opérateur unique, qui n aurait pas vocation à rester sur le site mais qui au moins permettrait de faire venir d autres investisseurs. MME FOURÉ : Merci pour ces questions. Je voudrais tout de suite dire qu il y a actuellement une moyenne surface qui fonctionne c est une marque Coccinelle, sauf erreur de ma part qui a vocation à rester sur le quartier, qui souhaite rester sur le quartier. Je rappelle aussi qu en fait, quand on regarde les commerces qui existent sur ce quartier, il y a deux centres commerciaux, Guynemer et le Colvert, et il y a une complémentarité entre les deux centres commerciaux. Il va falloir qu on veille à ce que cette complémentarité soit renforcée. Donc l objectif, c est de faire en sorte que les commerces sur le Colvert soient plus diversifiés. Mais je vous rappelle qu autour de Guynemer, la locomotive, c est La Poste, évidemment, qui est à ma connaissance le deuxième bureau de poste du département, après la rue du Marché Lanselles, en termes de flux. Et on a des commerces qui sont assez variés. Ce n est pas pour faire de la pub, mais je citerai un opticien qui s est installé là depuis d assez nombreuses années et qui fonctionne bien. Donc c est la preuve qu il peut y avoir une diversité de commerces. Ce qui compte, c est qu en effet on ait des commerces qui correspondent aux besoins des habitants du quartier, donc des commerces d une relative proximité, je vais dire. Je vais peut-être passer la parole à l EPARECA puis ensuite à Madame LION-LEC, à moins que vous ne préfériez prendre la parole tout de suite? Madame LION-LEC. C.M. Séance du 21 avril

17 MME LION-LEC : Merci Madame le Maire. Moi, je voulais parler des logements parce que les logements, ça m inquiète un peu. Je crois que dans le projet global, il y a la Tour Mozart qui va aussi être démontée. Donc on va se retrouver avec une population qui a la caractéristique qui était précisée dans le document, ligne C, à savoir des ménages qui ont des faibles revenus, qui sont ancrés dans le quartier depuis une vingtaine d années et qui, pour certains, n ont pas du tout envie de partir. L inquiétude que j ai, c est que ces logements vont avoir des loyers plus élevés. Donc comment on va faire pour satisfaire ces familles et faire en sorte que finalement cette politique mise en place ne soit pas défavorable à ces familles-là et qu il n y ait pas une inégalité qui s instaure? MME FOURÉ : Alors, je réponds en partie, si vous le permettez. Je vais vous dire que la direction politique retenue par l ANRU, l Agence Nationale de Rénovation Urbaine, c est de faire en sorte que lorsqu il y a une démolition de bâtiment dans un quartier, la totalité des logements détruits soient reconstruits en dehors de ce quartier. Nous, ça ne nous semble pas pertinent parce que nous pensons qu il y a, comme vous le dites très justement, un certain nombre d habitants qui se trouvent dans des logements qui souhaitent une modification de logement et qui en particulier souhaitent, comme beaucoup d Amiénois, une maison avec un petit coin de jardin ou en tout cas habiter dans une villa, dans un petit plot de logements comme il a été fait d ailleurs sur la partie ouest du quartier, donc ce qu on appelle le quartier Flesselles, avec le succès que l on sait, puisque l on voit bien que les habitants y vivent et que ça se passe correctement. Donc nous, nous avons défendu d ailleurs, lundi dernier, à l ANRU l idée qu il fallait pouvoir reconstruire en effet pas la totalité des logements, mais une partie des logements en logement social sur place, dans le quartier, pour faire face aux besoins. Donc je vous invite à appuyer notre démarche auprès de l ANRU. Ce serait très important qu en effet on se montre tous dans la même démarche pour faire en sorte que l ANRU accepte qu une partie des logements qui seront démolis puissent être reconstruits sur place, ne serait-ce que pour répondre aux besoins des habitants. Je passe la parole à l EPARECA pour répondre sur la partie qui les concerne. M. TOUCHI : Merci Madame le Maire. Sur les deux questions qui ont été posées, sur la question du potentiel, nous, on est extrêmement vigilants sur le dimensionnement des équipements commerciaux partout où on intervient parce que, contrairement à un promoteur privé qui le cas échéant construirait et ensuite vendrait ou céderait sans forcément se soucier, je dirais, sur le long terme du devenir de l immobilier, nous, on a une vocation à rester un certain nombre d années, à exploiter, à assurer la pérennisation du commerce avant de partir. Et quand on part, on s assure que cette pérennité est assurée. C.M. Séance du 21 avril

18 Donc ne serait-ce qu à ce titre-là, on est vraiment très, très vigilants sur le dimensionnement. On a l habitude de dire que ce n est pas forcément plus de mètres carrés, mais c est plutôt mieux de mètres carrés. Un immobilier reconfiguré qualitatif pour le bien des commerçants, pour le bien des habitants, c est ce qui va permettre aussi de capter la clientèle extérieure au quartier. À partir du moment où on a des espaces publics de qualité, des commerces de qualité, on peut aller chercher la clientèle ailleurs que dans le quartier. C est ainsi qu on arrive à créer de la mixité là où éventuellement elle est défaillante. Ensuite sur le mode opératoire, il y a deux phases. La première tranche est une opération autonome sans logement à l étage, donc nous en assurerons la maîtrise d ouvrage. Le foncier, je dirais, est maîtrisable à court terme. Donc il n y a pas de problème pour démarrer rapidement. Ensuite la deuxième tranche, qui s insérerait en rez-de-chaussée d un programme de logements, viendrait dans une deuxième étape. Donc on a largement le temps de s organiser pour travailler sur cette deuxième tranche. Et sur le mode opératoire, on a très, très souvent l habitude de travailler avec des opérateurs du logement. En Île-de-France, la plupart de nos opérations sont en rez-de-chaussée d un programme de logements parce que le foncier est rare et cher. Donc très souvent on est en rez-de-chaussée d un programme de logements. Une fois que l opérateur est connu, on travaille ensemble, on définit le cahier des charges et on accompagne cet opérateur au fur et à mesure de la conception de la construction. L opérateur du logement, c est un spécialiste du logement mais ce n est pas un spécialiste du commerce. Et nous, on est là pour l accompagner, pour s assurer que ce qui sera construit à terme convienne à nos commerçants et convienne à l EPARECA pour l exploitation. Merci. M. ANGER : Tout à l heure, on a parlé de VEFA. La VEFA, ça veut dire qu un tiers fait l opération. Là, vous nous dites autre chose. Vous nous dites que vous êtes investisseurs sur la première partie. Dont acte, c est très bien. Donc il n y a pas de VEFA. MME FOURÉ : Non. Il y a deux phases, comme vient de le dire le représentant M. ANGER : La VEFA sera sur la deuxième partie. D accord. MME FOURÉ : C est sur la deuxième phase. M. ANGER : Alors deuxième point : sur la zone de chalandise MME FOURÉ : On va peut-être vous remontrer les phases. M. ANGER : Non. Mais je vois bien ce que c est derrière le C.M. Séance du 21 avril

19 MME FOURÉ : C est la partie sur la rue Léo Lagrange. M. ANGER : Oui. MME FOURÉ : Sur le Mail Léo Lagrange, c est cette deuxième partie. M. ANGER : Non. Mais j ai la réponse. Sur la zone de chalandise, ça n a pas échappé à la grande sagacité de nos intervenants qu on a, pas très loin de la place du Colvert, un événement nouveau qui est l arrivée massive d étudiants. Est-ce qu on a intégré cette clientèle potentielle dans le schéma commercial? MME FOURÉ : Monsieur, vous avez la parole. M. TOUCHI : On a intégré l ensemble des données dont on disposait, et donc évidemment celle-ci en faisait partie. MME FOURÉ : Alors moi, je voudrais compléter simplement en disant qu il y a un certain nombre de commerçants qui sont sur place actuellement et qui souhaitent rester. Évidemment ils ont vocation à pouvoir continuer leur activité. Mais nous voulons en profiter pour diversifier aussi l offre évidemment. Moi, je crois beaucoup que c est aussi en avançant sur le projet que ça va susciter un intérêt de la part de commerçants existants ou de commerçants à venir pour s installer sur ce secteur géographique qui est en effet en pleine rénovation. Donc c est un pari qu on fait, évidemment, comme toujours quand on fait une rénovation aussi conséquente. Mais nous, nous pensons que le quartier va réagir dans le sens que nous souhaitons et qu en effet ce projet va trouver son rythme de croisière et qu il va répondre surtout aux besoins des habitants plus que le Colvert actuel, qui en effet, pour des raisons diverses et variées, mais aussi pour des raisons de situation géographique C est soi-disant la forme d un colvert. J ai un petit peu de mal à retrouver quand même les choses. Mais enfin peu importe. Mais en tout cas, je vous rappelle que nous avons fermé l un des passages ; que les riverains nous demandent et qu un certain nombre de commerçants souhaitent la fermeture du deuxième passage pour des raisons de tranquillité que vous imaginez volontiers. Donc l objectif, c est de faire en sorte qu on crée un nouveau centre commercial, un centre commercial du troisième millénaire, après un centre commercial qui a eu son intérêt, évidemment, mais à une certaine époque. Quelqu un redemande la parole? Monsieur DUPILLE. M. DUPILLE : Oui, Madame le Maire, je voudrais faire d abord une observation : vraiment ce Colvert était effectivement en bout de course et il fallait vraiment changer tout ça. Et donc j approuve parfaitement ce nouveau projet. C.M. Séance du 21 avril

20 J espère d ailleurs qu il est avant-coureur de tout ce qui va se passer dans le Pigeonnier parce qu effectivement vous avez parlé de la rénovation des bâtiments, etc. Il faut vraiment que ça arrive aussi parce que depuis le temps qu on connaît ça, - et moi, j ai connu ça étant enfant, donc je commence à vieillir il est temps qu effectivement tout ça change. On a besoin de rénovation. Ces grandes barres, etc., ont fait leur temps et il est grand temps de changer tout ça. Commencer par le Colvert, c est une bonne idée. Mais il faudra continuer et assez rapidement. Donc j approuve totalement ce projet. J avais deux questions à vous poser. D abord, y aura-t-il un poste de police intégré à ce nouveau Colvert? Puisqu on en a connu un pendant des années. Va-t-il rester? Et puis deuxièmement, Monsieur DESCHAMPS a parlé du marché, comme quoi c était un peu trop tôt, etc. Moi, je voulais savoir où en étaient les réflexions sur l emplacement du marché définitif. C est peut-être un peu trop tôt, mais bon, voilà. MME FOURÉ : Sur le marché définitif, on peut vous répondre. C est sur la partie durant les travaux que c est un peu plus compliqué parce que pendant les travaux, l espace qui est aujourd hui dévolu au marché de plein vent va être occupé par les nouvelles constructions, et le Colvert existant sera toujours en fonction. Donc il s agit de trouver la place. C est pour ça que ça mérite une concertation qui n est pas encore tout à fait aboutie avec les commerçants de plein vent, et on y reviendra évidemment le moment venu. En revanche, sur la partie définitive, on peut vous y répondre. Je dirai un mot en ce qui concerne les bâtiments. En effet, l idée est de faire en sorte que progressivement les bâtiments qui sont actuellement Mozart, Couperin, Messager soient à leur tour transformés, tout comme sur la partie Flesselles, les bâtiments Chardin et Delacroix ont été désaffectés, démolis, remplacés par un autre type d habitat. Donc c est ça qui est envisagé dans la durée. Naturellement ça ne va pas se faire en jour. Et donc c est cela aussi qui va répondre davantage aux besoins des habitants qui, comme je le disais tout à l heure, souhaitent un autre type d habitat que cet habitat qui avait ses avantages, qui avait ses intérêts dans les années soixante quand ces bâtiments sont sortis de terre. Ils constituaient incontestablement une qualité qu on n avait pas toujours dans les maisons amiénoises. Je pense en particulier aux sanitaires, je pense à l eau chaude, je pense à des choses qui nous paraissent tellement évidentes aujourd hui. Chaque temps a ses priorités et ses objectifs. Aujourd hui les habitants souhaitent avoir un autre type d habitat et c est notre devoir d élus que de préparer l avenir en anticipant. Renaud DESCHAMPS peut-il répondre sur la partie des commerces de plein vent? M. DESCHAMPS : Ce que je vous propose, c est de mettre le plan de masse qui était affiché il y a quelques instants, sur lequel on voyait C.M. Séance du 21 avril

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