CAT devant une éruption bulleuse ou comportant une nécrose épidermique: Lyell et dermatoses bulleuses aigues
|
|
- Adèle Briand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CAT devant une éruption bulleuse ou comportant une nécrose épidermique: Lyell et dermatoses bulleuses aigues Pascal JOLY Clinique Dermatologique CHU de Rouen CHU_ Hôpitaux de Rouen - page 1
2 Orientation diagnostique devant une dermatose bulleuse aux urgences Penser aux maladies bulleuses : bien sûr, à la portée de tous! Éliminer les formes bulleuses de dermatoses non bulleuses (+++) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 2
3 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 3
4 Physiopathologie Localisations : - Bulles sous-épidermiques - Bulles intra-épidermiques Mécanismes : - Bulles par nécrose épidermique (brûlures, caustiques, toxidermies) - Maladies bulleuses auto-immunes - Maladies bulleuses congénitales - Bulles photo-induites - Bulles mécaniques CHU_Hôpitaux de Rouen - page 4
5 Eruption bulleuse Démarche diagnostique Sémiologie bulle tendue de grande taille : B sous épidermique (B mécanique, PB, EBA, PCT ) bulle flasque : intra épidermique : (pemphigus, SSSS) S de Nikolsky : nécrose épidermique/acantholyse (pemphigus, SSSS, TEN, Stevens-Johnson, PEAG «Lyellisées») lésions associées : - urticaire (PB) - cocarde : (EP/Stevens-Johnson) - pustules (PEAG) lésions muqueuses (PC, EBA, PV, TEN, Stevens- Johnson) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 5
6 Lésions bulleuses de topographie - localisée - régionale CHU_Hôpitaux de Rouen - page 6
7 DERMATOSES BULLEUSES PAR AGENTS EXTERNES CHU_Hôpitaux de Rouen - page 7
8 Bulles par nécrose épidermique : Brûlures CHU_Hôpitaux de Rouen - page 8
9 BULLES PAR NECROSE CHIMIQUE : DERMITE CAUSTIQUE CHU_Hôpitaux de Rouen - page 9
10 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 10
11 Topographie : visage mains- OG externes : vulve +++ Parfaite limitation des lésions (+++) Aspect parfois géographique Accidentel ou factice Guérison spontanée en quelques jours CHU_Hôpitaux de Rouen - page 11
12 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 12
13 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 13
14 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 14
15 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 15
16 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 16
17 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 17
18 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 18
19 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 19
20 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 20
21 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 21
22 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 22
23 Dermite des près Topographie : évocatrice (face ant avant bras, jambes ) Chronologie évocatrice : dimanche soir, lundi matin Prurit intense, brûlures Circonstances : jardinage (+++) (débroussaillage, taille de haie, rotofil ) Sémiologie : lésions figurées (goutte, virgule, linéaires ) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 23
24 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 24
25 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 25
26 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 26
27 Eruptions photo-induites Assez fréquentes Définition : - touchent territoires photo exposés - touchent exclusivement (phototoxicité) ou prédominante photoallergie) - déclenchées par exposition lumineuse minime : photoallergie importante : phototoxicité - peuvent survenir plusieurs mois après le début de la prise CHU_Hôpitaux de Rouen - page 27
28 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 28
29 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 29
30 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 30
31 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 31
32 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 32
33 Physiopathologie 2 mécanismes théoriques phototoxicité photoallergie - fréquente - rare - strictement limité aux - déborde zones non zones photo exposées photo exposées - exposition assez intense - exposition parfois minime - clinique : coup de soleil - clinique : eczéma - histo : nécrose - histo : spongiose kératinocytaire - délai : qq heures - délai : qq jours En fait : souvent 2 mécanismes intriqués CHU_Hôpitaux de Rouen - page 33
34 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 34
35 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 35
36 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 36
37 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 37
38 PRINCIPAUX MEDICAMENTS CARDIOLOGIQUES A L ORIGINE DE PHOTOSENSIBILISATION Diurétiques : Lasilix, Burinex, Thiazidiques photosensibilisation) Amiodarone (phototoxicité) + pigmentation IEC et sartans I calciques +/- Dérivés nitrés +/- Anti arythmiques +/- = presque TOUS Hypocholestérolémiants fibrates statines CHU_Hôpitaux de Rouen - page 38
39 Autres médicaments photosensibilisants Antibiotiques (tétracyclines, quinolones ) Roaccutane Psychotropes Chimiothérapies CHU_Hôpitaux de Rouen - page 39
40 Chronologie Exposition UV exposition solaire (temps gris, plage, neige ) Phototoxicité : déclenchement et résolution rapide (coup de soleil) Photosensibilisation : plusieurs semaines et longue rémanence difficulté diagnostique pour juger l imputabilité possibilité de photosensibilité rémanente CHU_Hôpitaux de Rouen - page 40
41 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 41
42 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 42
43 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 43
44 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 44
45 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 45
46 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 46
47 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 47
48 Enfant (+++) Impétigo bulleux Diagnostic piégeant au début (bulle de liquide clair) Principal diagnostic différentiel : dermatose IgA linéaire (enfant) Bulle fragile (+++) vite rompue : - croûtes mélicériques - collerette épidermique CHU_Hôpitaux de Rouen - page 48
49 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 49
50 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 50
51 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 51
52 Erysipèle bulleux Impressionnant mais pas nécessairement grave Considéré comme facteur de prolongation hospitalisation dans quelques études Cède rapidement antibiothérapie + repos allongé Antibiot: Amoxycilline IV, Peni G IV aminosides à priori pas nécessaires CHU_Hôpitaux de Rouen - page 52
53 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 53
54 Zona Diagnostic parfois difficile quand - phase érythémato-oedémateuse (érysipèle, eczéma ) - stade bulleux (visage, paupières) Importance de - caractère unilatéral - phénomènes douloureux +++ CHU_Hôpitaux de Rouen - page 54
55 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 55
56 Disydrose CHU_Hôpitaux de Rouen - page 56
57 Dishydrose bulleuse Forme le plus souvent idiopathique d eczéma des mains et pieds (atopie, E contact rares) D bulleuse : correspond aux formes aiguës/suraiguës Évolution par poussées Arrêt de travail Corticothérapie générale/locale/ +/- Méthotrexate (formes chroniques) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 57
58 Eruption bulleuse généralisée survenant en contexte aigu Éruption pouvant comporter une nécrose épidermique - Stevens-Johnson TEN +/- E polymorphe - GVH nécrosante - Kaposi Juliusberg Eruption comportant un S de Nikolsky (ou une desquamation superficielle) - TEN (Lyell toxique) - Ritter Lyell - PEAG «Lyellisée» CHU_Hôpitaux de Rouen - page 58
59 L éruption comporte des cocardes Évidentes, acrales, bulles tendues, +/- récidive : érythème polymorphe À 2 cercles, tronculaires, plates : Stevens-Johnson CHU_Hôpitaux de Rouen - page 59
60 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 60
61 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 61
62 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 62
63 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 63
64 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 64
65 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 65
66 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 66
67 Erythème polymorphe Souvent post herpétique (surtout si récidive) (+++) Autres virus (Orf) Infections bactériennes Lupus L existence d une atteinte muqueuse n est pas discriminante avec un S de Stevens-Johnson (+++) Il existe des EP purement muqueux (buccal) récidivants) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 67
68 Erythème polymorphe : traitement Symptomatique : réhydratation sonde nasogastrique, Habituellement : abstention Pour certains : corticothérapie générale précoce (cocardes très oedémateuses) Le traitement d une récurrence herpétique ne sert à rien Traitement préventif des EP récidivants : - Zélitrex Thalidomide Traitement curatif des EP subintrants : - corticothérapie générale, - Thalidomide CHU_Hôpitaux de Rouen - page 68
69 Syndrome de Stevens-Johnson Signes généraux : AEG, fièvre, Atteintes viscérales possibles, Atteinte muqueuse constante et inaugurale Cocardes plates à 2 cercles, de topographie tronculaire Typiquement médicamenteux : - TEN focal risque d évolution vers TEN vrai Parfois infection pulmonaire mycoplasme : - sujet jeune - sémiologie intermédiaire : «cocardes vraies» - atteinte muqueuse (+++) (ectodermose pluriorificielle) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 69
70 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 70
71 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 71
72 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 72
73 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 73
74 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 74
75 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 75
76 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 76
77 Syndrome de SJ TEN Principaux médicaments responsables 1- AINS (Feldène, PB2 ) 2- anti rétroviraux (Abacavir) 3- Allopurinol 4- Sulfamides antibactériens (Bactrim, Sulfasalazine ) 5- anticonvulsants CHU_Hôpitaux de Rouen - page 77
78 Stevens-Johnson/TEN CAT Hospitalisation (+++), biopsie +++ Arrêt précoce du médicament responsable - valeur pronostique - intérêt médico légal Recherche et traitement pneumopathie/bronchite mycoplasme Recherche atteinte viscérale (médullaire, pulmonaire, hépatique, digestive, rénale ) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 78
79 Stevens-Johnson/TEN CAT NFS, créat, iono, Ca, phosphorémie, BH, radio thorax, Coombs, Aggl froides, sérologie mycoplasme, albuminémie, Gaz du sang, glycémie Pose sonde gastrique si dysphagie importante Rehydratation Antiseptie Prévention I rénale, décompensation diabète, I cardiaque, I respiratoire, embolie pulmonaire Surveillance : poids (+++), diurèse (+++), pouls, TA, NFS, créat, albumine, phosphorémie,gds évolution éventuelle vers TEN CHU_Hôpitaux de Rouen - page 79
80 TEN/Syndrome de Lyell Confluence des cocardes comportant une nécrose épidermique (rouge sombre, marron) Évolution vers décollement épidermique ( %) Atteinte muqueuse constante et initiale (dysphagie) Fièvre, AEG Atteintes viscérales CHU_Hôpitaux de Rouen - page 80
81 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 81
82 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 82
83 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 83
84 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 84
85 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 85
86 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 86
87 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 87
88 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 88
89 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 89
90 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 90
91 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 91
92 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 92
93 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 93
94 TEN/CAT Hospitalisation Service spécialisé / Sce brûlés Rechercher atteinte vicérale: moelle foie, poumon, pancreas pancréatite, diabète tube digestif: œsophage, grèle, colon CHU_Hôpitaux de Rouen - page 94
95 TEN/CAT Réhydratation (1.5-2l G5) + albumine 4%: 1ml/Kg x %surface décollée ( 1 er jour), ½ dose le lendemain ou si >70 ans Voie veineuse en zone non décollée,, changée / 48h Cathé central dangereux+++ (uniqt si malade impicable) Suralimentation entérale 1000 cal initialt puis 3000 à 4000 cal idéalement Phosphate bipotassique HBPM Insulinothérapie : souvent nécessaire CHU_Hôpitaux de Rouen - page 95
96 TEN/CAT Polyvitamine, Acide folique Antalgiques (Temgesic si GDS Nx) Dépistage et traitement du sepsis carte bactérienne PAS d antibiothérapie initiale +++ (fièvre= nécrose épidermique) Antiseptie cutanée (bains) Avis ophtalmo +++ Soins de bouche Lit fluidisé Surveillance: freq respi, poul, PA, diurese, temperature étendue du décollement, dextro Parametres biologiques CHU_Hôpitaux de Rouen - page 96
97 TEN/CAT Pour certains : - corticothérapie générale: à priori: NON - IG IV résultats contradictoires. (3g/Kg) - cyclosporine? CHU_Hôpitaux de Rouen - page 97
98 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 98
99 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 99
100 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 100
101 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 101
102 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 102
103 PEAG Lyellisée S de Nikolsky Délai souvent court 24-48h Ne pas confondre avec TEN - résulte de la confluence en nappe de pustules - élimination du toit (sous corné) de celles-ci PEAG : maladie bénigne transfert USI : inutile Etiologies: Virus enterovirus echo, cocksachi, bactéries: strepto Médicaments : antibiotiques, Pyostacine ++, amoxycilline, quinolones,sulfamides anti infectieux, CHU_Hôpitaux de Rouen - page 103 terbinafine, diltiazem hudroxychloroquine
104 Syndrome de Kaposi-Juliusberg Diagnostic souvent évident : - NRS - atopie connue - AEG, fièvre - éruption vésiculo bullo nécrotique Diagnostic parfois difficile - adulte - atopique dont «l eczéma s aggrave» majoration des dermocorticoïdes - pemphigus ne cicatrisant pas ou s aggravant majoration des dermocorticoïdes Penser à la recherche de virus herpétique (+++) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 104
105 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 105
106 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 106
107 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 107
108 Syndrome de Ritter Lyell Clivage intra épidermique résultant de l exfoliatine spécificité pour Dsg 1 (+++) Souvent caractéristique : NRS fièvre AEG décollement évident, omphalite, otite externe Parfois trompeur : - grand enfant AEG décollement discret : Nikolsky - douleur cutanée (+++) - enfant grognon CHU_Hôpitaux de Rouen - page 108
109 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 109
110 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 110
111 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 111
112 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 112
113 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 113
114 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 114
115 Porphyrie cutanée tardive Homme Bulles zones photoexposées : visage dos des mains Indolore pas de prurit Éthylisme hémochromatose VHC Hypertrichose malaire CHU_Hôpitaux de Rouen - page 115
116 Suspicion maladie bulleuse auto-immune de l adulte Seule maladie fréquente: pemphigoide Bulleuse (PB) Patients agés: 83 ans Incidence 300 cas/m/an au-delà de 80 ans + 300% en 15 ans ( // à augmentation Alzheimer et médicaments psychotropes) Patients souvent en très mauvais état général Forte relation avec Alzheimer, AVC Parkinson, médicaments: psychotropes, diurétiques 1/3 patients grabataires CHU_Hôpitaux de Rouen - page 116
117 Bullous pemphigoid - Key points 1. Most frequent autoimmune subepidermal bullous disease; wide spectrum of clinical features 2. Subepidermal blistering with a dermal inflammatory infiltrate (neutrophils and eosinophils) 3. Autoantibodies and autoreactive T cell response to BP180 and BP230, components of hemidesmosomes DIF CHU_Hôpitaux de Rouen - page 117
118 Prognostic factors of BP Prediction of survival of patients with BP JOLY P et al Arch Dermatol 2005;141: Deleterious prognostic factors - older age * - cardiac insufficiency - dementia - past history of stroke - poor general condition * NOT extent of BP (+++), -number of daily new bullae * Multivariate analysis CHU_Hôpitaux de Rouen - page 118
119 Proportion surviving Proportion surviving Age <= 83years, Karnofsky score >40 Age <= 83years, Karnofsky score >40 Age >83 years, Karnofsky score >40 Age >83 years, Karnofsky score >40 Age Age <= <= years, years, Karnofsky Karnofsky score score <= 40 <= 40 Age Age > 83 > 83 years, years, Karnofsky Karnofsky score score <= 40 <= Days Days CHU_Hôpitaux de Rouen - page 119
120 PEMPHIGOIDE BULLEUSE CHU_Hôpitaux de Rouen - page 120
121 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 121
122 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 122
123 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 123
124 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 124
125 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 125
126 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 126
127 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 127
128 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 128
129 Diagnostic Biopsie : - bulle récente de petite taille - bordure d une érosion IFD : - superficielle peau ou muqueuse périlésionnelle - pas sur une érosion (+++) - PC = IFD muqueuse plus sensible que IF cutanée IFD-NaCl : - intérêt si pas d AC circulant (PC, EBA) - séparation à travers la LL CHU_Hôpitaux de Rouen - page 129
130 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 130
131 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 131
132 Pemphigoide Bulleuse: CAT - Hospit Dermato - PAS de perf systématique+++ - Prise en compte de la comorbidité cardiovasc et neurologique Corticothérapie locale forte: Dermoval: 2 à 4 tubes/jour (Joly P et al. N EngJ Med 2002, J Invest Dermatol 2007) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 132
133 A comparison of oral and topical corticosterods in patients with bullous pemphigoid (Joly P et al N Engl J Med 2002) % Survival of treated patients Survie Cum Clobetasol propionate cream D e rm o va l C o rta ncyl Prednisone 1mg /Kg/day P = % Time Te m p s (days) (jo urs) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 133
134 Quelles sont les autres maladies bulleuses auto immunes? CHU_ Hôpitaux de Rouen - page 134
135 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 135
136 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 136
137 Dermatose IgA linéaire - Enfant : - bulles tendues tropisme pour les régions génitales - Dgc différentiel : impétigo Dgc : Histo IFD - traitement : Disulone dermocorticoïdes exceptionnellement : corticothérapie générale CHU_Hôpitaux de Rouen - page 137
138 MBAI comportant une atteinte muqueuse CHU_ Hôpitaux de Rouen - page 138
139 MBAI comportant une atteinte muqueuse Pemphigus Pemphigoide cicatricielle Epîdermolyse Bulleuse acquise 20% des PB Maladies tres rares, potentiellement graves Avis spécialisé Expérience des malades: Tres long délai diagnostic: «aptes», «c est rien» CHU_Hôpitaux de Rouen - page 139
140 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 140
141 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 141
142 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 142
143 PEMPHIGOIDE CICATRICIELLE CHU_Hôpitaux de Rouen - page 143
144 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 144
145 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 145
146 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 146
147 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 147
148 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 148
149 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 149
150 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 150
151 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 151
152 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 152
153 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 153
154 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 154
155 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 155
156 CHU_Hôpitaux de Rouen - page 156
157 Conclusion Attention aux formes bulleuses de dermatoses non bulleuses (fréquentes +++) - Attention: maladies bulleuses: potentiellement graves, voire mortelles, - Dgc et prise en charge le plus souvent urgents - Toxidermies bulleuses, - Erythème polymorphe, - Stevens Johnson, TEN Attention: beaucoup de ces maladies débutent par une ateinte buccale érosive (dysphagie) de diagnostic difficile ( angine, aphtes ) CHU_Hôpitaux de Rouen - page 157
Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailLes eczémas: l approche au cabinet
Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1
Plus en détailLe psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003
Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailDIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr
DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailModule transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires
Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailAvis 17 octobre 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)
Plus en détail