Traçabilité des expositions aux phytosanitaires dans les collectivités Combinaison d outils méthodologiques
|
|
- Théodore Clermont
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traçabilité des expositions aux phytosanitaires dans les collectivités Combinaison d outils méthodologiques Guy Auburtin Médecin du travail et Responsable du service de Prévention des risques professionnels, Ville de Bondy Delphine Teigné Cnam IHIE-SSET Ouest, Angers
2 Objectifs Développer une méthode intégrée pour l estimation des expositions aux produits phytosanitaires de professionnels non agriculteurs pour Suivre et assurer la traçabilité sur le long terme des expositions aux pesticides Proposer des éléments clés pour la mise en œuvre d une stratégie de surveillance Documenter les expositions Peu de données disponibles Pratiques spécifiques
3 Spécificités des pratiques/agriculture SA, produits commerciaux, formulations, matériels d application différents! Zones et Surfaces traitées différentes!
4 Spécificités des pratiques et des activités
5 Population d étude Ensemble des personnels territoriaux de la Ville d Angers et de la Communauté d agglomération d Angers (Angers Loire Métropole) utilisateurs professionnels potentiels de produits phytosanitaires entretien des espaces verts, cimetières, stades ; serres ; propreté publique, nombre initial d agents potentiellement exposés : 203 dont 107 dans la Direction Parcs et Jardins (PJ) de la Ville En réalité : 44 à PJ + autres services
6 Méthodes Terrain : observation et analyse des pratiques des travail Questionnaire et calendrier de suivi, description de chaque traitement Métrologie des expositions Prélèvements individuels (actifs et passifs) de l exposition par voie respiratoire Exposition cutanée : 8 à 12 patches Imprégnation : marqueurs urinaires
7 Parcs et Jardins 2009 (1) 44 agents participants (39,3% des agents), 289 traitements ; 424 hommes.traitements ; 152 traitements d une durée >4 heures Au total 2900 heures de traitement En moyenne = 3,5% du temps total de travail passé à des traitements phyto (médiane = 2,1%; max=16,9%) Essentiellement dans les 6 premiers mois
8 Principaux résultats Exemple de campagne de traitement 9/03 au 20/03 30 et 31/03 9/04 14/04 23/06 au 26/06 Pistol EV 2 et 3/04 6 et 7/05 Canyon 5 jours travaillés 3 jours travaillés 15 jours travaillés 31 jours travaillés Représentation schématique calendaire des traitements antigerminatifs associés aux traitements de désherbage pour la direction PJ du 1er janvier 2009 au 31 juin 2009
9 Parcs et Jardins 2009 (2) 23 produits commerciaux, 24 substances actives 375 L et 169 kg of de produit non-dilué herbicides: 43% ; antigerminatifs : 35%; insecticides : 7,6% ; fongicides : 3,5% 4 actives substances utilisés chacun dans > 10% of traitements : glyphosate = 11,1%; 2,4D 2,4-MCPA et clorpyralid = 5,9%
10 Exposition par voie respiratoire Quelles que soient les types et procédures de prélèvement : niveaux d exposition très bas, souvent inférieurs aux limites de quantification Exemple : Applicateurs : 0,92 µg/m3 Aides-applicateurs : 1,25 µg/m3 Cohérent avec les données de la littérature
11 Exposition cutanée réelle 57,6 ± 5,8 149 ± 15 (dos) 875 ± ± 296 Non Quantifiable 12,4 ± 1,3 Non Quantifiable 432 ± ± ,4 ± 5,3 53,8 ± 2,7 57,3 ± 2,9 2,98 ± 0, ± 24 58,5 ± 5,9 3,50 ± 0,35 Non Quantifiable droit gauche droit gauche Applicateur, pulv à dos, glyphosate, sans combinaison aide-applicateur, pulv motorisé, glyphosate, sans combinaison
12 Exposition cutanée Actuellement, seule une partie des données est disponible Quels que soient l activité, les équipements de travail, les EPI, les concentrations sont quantifiables Etendue : 0,7 à 2958 ng.cm -2 pour les applicateurs et 1 à 222 ng.cm -2 pour les aides-applicateurs (hors mains) Les mains apparaissent comme la partie du corps la plus exposée (quelle que soit l activité)
13 Mesures d imprégnation Evolution de la concentration de glyphosate dans les urines 200 Concentration du glyphosate en µg/g de créat temps en heure depuis le début du traitement Jour n 1, pulv à dos, aide-appli Traitement140508aApulvdos Traitement140508Apulvdos Traitement200309Apulvdos Traitement050509Amotor Jour n 2, pulv à dos, Appli Jour n 1, pulv à dos, Appli Jour n 3, motorisé, Appli
14 Imprégnation Produits commerciaux 17 Xénobiotiques mesurés (substances actives et/ou métabolites) HPLC/MS (analysis) 596 GC/MS 343 Men-treatments 65 n 21
15 Effet de la durée du traitement (comme substitut de la dose expterne) Exemple : Glyphosate Amplitude = - 0, ,618 durée (h) n = 17 Explique 41,2% de la variabilité p = Amplitude Scatterplot of Amplitude vs Durée (h) Durée (h) 5 6 7
16 Effet des déterminants du process Emploi n GM Explique P value Applicateur 27 19,3 22% 0,003 Aide-applicateur 11 3,7
17 Effet des déterminants du process Type de pulvérisateur GM Explique P value Pulvérisateur à dos 13 39,4 17% 0,006 Mécanisé tracté 31 8,2
18 Autres déterminants Température extérieure : Explique 12% de la variabilité, p=0,04 Mais existence d une colinéarité EPI (combinaison) : sera analysé avec les données complètes d exposition cutanée (à venir)
19 Combinaison d outils méthodologiques (1) Intéressants résultats de relations possibles entre les indicateurs et les déterminants de l exposition En attente : relation entre déterminants de l exposition et exposition cutanée ; relation exposition cutanée et imprégnation A préciser : conditions d utilisation des mesures cutanées et d imprégnation dans les programmes de surveillance
20 Combinaison d outils méthodologiques (2) Importance d une meilleure connaissance et des pratiques professionnelles et des activités (au sens de l analyse ergonomique du travail) associées Importance de documenter et d assurer la traçabilité dans un contexte de changement A travailler (2010/2011) : proposer aux collectivités territoriales (et professions assimilées) un «carnet de suivi» validé et utilisable
21 Combinaison d outils méthodologiques (3) Que noter dans nos DUER? et dans les fiches individuelles d exposition? Inclure la connaissance des dangers pour approcher le risque de façon évolutive, selon les connaissances «actuelles» volontairement, ceci n a jamais été abordé dans cette étude à caractère de recherche portant sur l exposition
Bilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailConseils pratiques sur l utilisation des produits chimiques agricoles
FONGICIDES HERBICIDES INSECTICIDES PPNU SAMU 114 Police 112 ou 999 Mauritius Fire 115 ou 995 and Rescue Service FAREI (Ex AREU) Nord: 266 2087 Mapou Model Farm Sud: 637 8112 Plaisance Demonstration Centre
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détail2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7
Comité VIVEA sollicité : D042 Réf. interne : D042/2010/1012 - Attention dossier non encore envoyé à Vivea 1. Titre de l'action de formation : certiphyto 2. Identification de l'organisme de formation :
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailAu Québec, les superficies en culture
QUALITÉ DE L EAU EN MILIEU AGRICOLE L utilisation des pesticides dans le maïs et le soya Au Québec, les superficies en culture de maïs ont augmenté d environ 29% entre 1996 et 2001. En 2001, elles atteignaient
Plus en détailRISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE
RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution
Plus en détailPRODUITS PHYTOSANITAIRES
Un produit phytosanitaire est une préparation chimique constituée d'une ou de plusieurs matières actives qui détruisent ou empêchent l'ennemi de la culture de s'installer. De par leur nature et leur composition,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailGuide de bonnes pratiques phytosanitaires. moins, c'est mieux. Entretien des Espaces Verts & Voiries. Réduire et améliorer l'utilisation des phytos :
Réduire et améliorer l'utilisation des phytos : moins, c'est mieux Guide de bonnes pratiques phytosanitaires Entretien des Espaces Verts & Voiries Action 2.3 du plan régional écophyto 2018 - Région Centre
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailTECHNIQUE DE L HELIOGRAVURE
FICHE METIERS DE L IMPRESSION TECHNIQUE DE L HELIOGRAVURE HELIOGRAVURE Version Juin 2007 1 SOMMAIRE 1. DESCRIPTION DE LA TECHNIQUE ET APPLICATIONS...1 1.1 LA TECHNIQUE...1 1.2 APPLICATIONS...1 1.3 PREPARATION
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailSYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -
SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des
Plus en détailPesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation
Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire
Plus en détailSECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
Date de révision: 02/27/2015 Date d'impression: 02/27/2015 SECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom du produit CHIPCO TRITON FUNGICIDE Numéro de la FDS 102000021171 Code
Plus en détailMunicipalité de la paroisse de Saint-Lazare
Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailUtilisation des NTIC*.pour optimiser les pratiques de pulvérisation et limiter la contamination de l environnement
Utilisation des NTIC*.pour optimiser les pratiques de pulvérisation et limiter la contamination de l environnement Exemple du projet AWARE Vincent de RUDNICKI *, Bernadette RUELLE *, Michael DOUCHIN *,
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailInfo.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE
Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment
Plus en détailMesure des produits phytosanitaires dans l air en Champagne-Ardenne
iver 2002-2003 Mesure des produits phytosanitaires dans l air en Champagne-Ardenne ATMO Champagne Ardenne - 2, esplanade Roland Garros BP 236-51686 REIMS cedex 2 Remerciements Nous remercions vivement
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailLes entreprises pouvant être concernées : - Jardineries, - Magasins de bricolage, - GMS, - Libre service agricole,
Guide de lecture du référentiel de certification pour l activité de «distribution de produits phytopharmaceutiques à des utilisateurs non professionnels» mentionné à l article 7 de l arrêté du 25 novembre
Plus en détailSOLS POLLUÉS : EVALUATION DES RISQUES CHIMIQUES ET SURVEILLANCE DES PERSONNELS. Catherine Nisse
SOLS POLLUÉS : EVALUATION DES RISQUES CHIMIQUES ET SURVEILLANCE DES PERSONNELS. Catherine Nisse Introduction La prise de conscience concernant la problématique de gestion des sols pollués est relativement
Plus en détailDEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!
DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.
Plus en détailGuide technique sur les bonnes pratiques phytosanitaires
direction de l infrastructure et de l environnement outils Guide technique sur les bonnes pratiques phytosanitaires Guide réalisé par : la Fédération Régionale de Défense contre les Ennemis des Cultures
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailune matière" active de la pulvérisation
Le bas volume, une matière" active de la pulvérisation Intro En préambule... Ce fascicule est le premier d une série de trois. Ils constituent une synthèse des acquis récents de la recherche et du développement
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailLes adjuvants. 1-Définition. 2-Le rôle des adjuvants. 3-Le rôle des adjuvants
Les adjuvants 1-Définition Les adjuvants ne sont pas des produits phytopharmaceutiques, ils n'ont pas d'action protectrice contre les bio-agresseurs comme les produits phytopharmaceutiques mais ils facilitent
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailLa réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011
La réglementation r Mardi de la DGPR 05/04/2011 sur les produits biocides Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances et de la qualité de l environnement Département
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailAgathe Rumeau Faculté de pharmacie Université d Auvergne Place Henri Dunant 63000 CLERMONT-FERRAND
Faculté de pharmacie Université d Auvergne Place Henri Dunant 63000 CLERMONT-FERRAND Atmo Auvergne La Pardieu 21, allée Evariste Galois 63170 AUBIERE EVALUATION DES RISQUES SANITAIRES DES PESTICIDES DETECTES
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailhttp://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailEau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0
Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailInventaire des pratiques de désherbage en zones non agricoles - Enquête nationale 2010 -
COMPAMED ZNA Inventaire des pratiques de désherbage en zones non agricoles - - Retour aux enquêtés Auteurs : Pauline Laïlle, Damien Provendier, Caroline Gutleben PRÉAMBULE Ce rapport présente de manière
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailNuméro de la FDS: 102000021171 CHIPCO TRITON FUNGICIDE FDS Version 1.0 SECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
Date de révision: 03/04/2009 SECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom du produit CHIPCO TRITON FUNGICIDE Numéro de la FDS 102000021171 No. d'enregistrement 29109 PCP
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTraçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM
Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM Congrès SATW, Yverdon 29-30 août 2008 G. Planche Directeur Déploiement HydroGen4, Berlin 1 Agenda La
Plus en détailDonnées de base et données en fonction du type d affectation
Données de base et données en fonction du type d affectation 1. Données de base pour la déduction de normes Dans les tableaux ci-dessous, il est chaque fois indiqué de quel type de paramètres il s agit:
Plus en détailISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée
En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION
Plus en détailCe document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailEFFETS CHRONIQUES DES PESTICIDES SUR LA SANTE : ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES
EFFETS CHRONIQUES DES PESTICIDES SUR LA SANTE : ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES Etude commanditée et financée par : la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Bretagne, la Direction Régionale
Plus en détailGuide pratique. ville d. amiens.fr
Guide pratique Amiens ville d amiens.fr Ma ville est belle, je la garde propre 02 sommaire 04 06 08 10 12 14 16 18 22 23 Le plan propreté : Notre projet pour les Amiénois(es) Ils travaillent pour vous!
Plus en détailMigraines, céphalées et statut hormonal
Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailStratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques. Jean Duval, agronome
Stratégies gagnantes dans la lutte contre certains insectes ravageurs des cultures maraichères biologiques Jean Duval, agronome Éléments de stratégies gagnantes Identification et dépistage Lutte culturale
Plus en détailNettoyeur haute pression Grand Public C 110.4
Grâce à leurs nombreux équipements, ces NHP permettent d effectuer des nettoyages occasionnels domestiques. pompe métal et pistons inox Quick Coupling (raccord rapide et tournant du flexible) Click & Clean
Plus en détailINPCA. Institution Nationale de Prévoyance du Commerce et de l Artisanat 2 / 0 / 1 / 4
INPCA Institution Nationale de Prévoyance du Commerce et de l Artisanat 2 / 0 / 1 / 4 Complémentaire retraite, prévoyance et santé des professionnels de la coiffure L INPCA VOTRE PARTENAIRE PRÉVOYANCE
Plus en détailMise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1
Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailAGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES
AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES Missions du poste : Maintenir en état de fonctionnement et de propreté les surfaces et abords de la collectivité. Entretenir les espaces verts de la collectivité.
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailOUTILS EN INFORMATIQUE
OUTILS EN INFORMATIQUE Brice Mayag brice.mayag@dauphine.fr LAMSADE, Université Paris-Dauphine R.O. Excel brice.mayag@dauphine.fr (LAMSADE) OUTILS EN INFORMATIQUE R.O. Excel 1 / 35 Plan Présentation générale
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailCanada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson
Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.
Plus en détailRAID - Aérosol Fourmis, Araignées et Cafards
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/ DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ L'ENTREPRISE Informations sur le produit Identificateur de produit : Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et
Plus en détailMinistère de l agriculture, de l agroalimentaire et de la forêt
Ministère de l agriculture, de l agroalimentaire et de la forêt Secrétariat général Comité d hygiène, de sécurité et des conditions de travail ministériel (CHSCTM) Service des ressources humaines Sous
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailQuestions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage
Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage Le contrat d exploitation de chauffage en copropriété La lecture d un contrat d exploitation de chauffage reste un exercice
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailFormation aux écrits professionnels
Quelles pratiques pour développer la de base dans les services publiques, les entreprises et faciliter l accès à la validation des acquis de l expérience? Résumé : Formation aux écrits professionnels Groupe
Plus en détailmiante INTERVENTION SUR DES MATÉRIAUX CONTENANT DE L AMIANTE (MCA) Sous-section 3 du Décret n 2006-761 du 30 juin 2006
miante INTERVENTION SUR DES MATÉRIAUX CONTENANT DE L AMIANTE (MCA) Sous-section 3 du Décret n 2006-761 du 30 juin 2006 Guide pratique Octobre 2009 Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation
Plus en détail