Prise en charge initiale des états septiques graves de l adulte aux urgences: Enquête nationale d opinion, de connaissances et de pratiques

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1 Prise en charge initiale des états septiques graves de l adulte aux urgences: Enquête nationale d opinion, de connaissances et de pratiques

2 Historique Dès 1953 : concept de la médecine «du pied de l arbre au lit de réanimation» - SMUR 1 er SAMU en France : 1968 à Toulouse Les années 80 : création des services d accueil et d urgences, les «SAU» En 2007 SAMU: 15 millions d appels SMUR : > d interventions SAU : > 16 millions de patients

3 Médecine d urgence Discipline transversale : aspect somatique, psychique et social du patient Coordination des différents intervenants et spécialités Le diagnostic et la prise de décision présentent des enjeux vitaux patients avec état hémodynamique instable à l admission 53% Compétences variées, haut niveau technique et décisionnel

4 Introduction Prévalence croissante des pathologies lourdes aux urgences : infections, néoplasies, polypathologies Actualisation constante des connaissances et acquisition des compétences nouvelles Etude des connaissances théoriques et pratiques d un échantillon d urgentistes syndrome septique grave

5 Définition et critères diagnostiques SRIS : au moins 2 des signes suivants T < 36 C ou > 38,3 C ; Fc > 90/min ; Fr > 20/min ; Leucocytes > 12000/mm³ ou < 4000/mm³ Sepsis : SRIS et infection documentée cliniquement ou microbiologiquement Sepsis sévère : Sepsis et dysfonction au moins d un organe (Pas < 90 mm Hg ; lactatémie > 2 mmol/l ; oligurie)

6 Définition et critères diagnostiques Choc septique : sepsis sévère et hypotension persistante malgré un remplissage vasculaire adéquat et/ou nécessité de drogues inotropes ou vasoactives

7 Epidémiologie des syndromes septiques graves Augmentation progressive et annuelle de l incidence de 9% par an fléau de santépublique 1 patient sur 10, hospitalisé pour infection sepsis sévère 3% des sepsis sévères choc septique 2004 : cas hospitalisés en réanimation dont la moitié passe par les urgences

8 Epidémiologie des syndromes septiques graves Taux de mortalité à 28 jours : sepsis : 10-15% ; sepsis sévère : 20-30% ; choc septique : 30-40% Origine des infections : respiratoire (50%) ; intraabdominale (25%) ; urinaire (5%) ; autres origines Micro-organismes mis en cause : bactéries (90%); virus (1-3%) ; parasites (1-3%) ; champignons (1-3%)

9 Etude personnelle : Matériel et Méthode Etude réalisée de mai 2007 à janvier 2008 Questionnaire téléphonique d opinion et de pratique sur la prise en charge du sepsis grave aux urgences 100 services d urgence de France métropolitaine sélectionnés par randomisation informatique Un seul médecin urgentiste interrogé par service

10 Matériel et Méthode Questionnaire (basé sur les recommandations officielles du groupe transversal sepsis) 1 ère partie : questions sur le profil du médecin urgentiste interrogé et de son service 2 ème partie : connaissances théoriques et pratiques dans la prise en charge initiale des états septiques graves de l adulte aux urgences

11 Résultats de l étude descriptive 7 refus de répondre au questionnaire 24% des médecins urgentistes de notre échantillon sont de sexe féminin 80% des services accueillent entre et patients par an La majorité des services prennent en charge 10 à 20 cas de sepsis sévère par an

12 Résultats 97% des médecins urgentistes prétendent connaître les recommandations officielles 100% des médecins urgentistes savent citer au moins 2 critères diagnostiques du sepsis grave 61% des médecins urgentistes connaissent la définition exacte du choc septique

13 Résultats Seulement 20,43% des médecins urgentistes connaissent la prise en charge du sepsis grave selon 5 points principaux 63,44% des services préfèrent l utilisation des colloïdes pour le remplissage vasculaire La plupart des médecins urgentistes réalisent les hémocultures et l antibiothérapie dans les délais recommandés 29,03% des médecins disent gérer un sepsis grave sans problèmes

14 Résultats de l étude transversale Nombre d admissions vs Connaissances des 5 points principaux de la prise en charge du syndrome septique grave p=0,01375 Nombre d admissions vs Nombre de sepsis sévères par an p=0,003 Connaissances des recommandations vs Durée de séjour du patient aux urgences p=0,0477

15 Discussion: Critique de la méthode Randomisation des 100 services d urgences Le médecin urgentiste interrogé représente les connaissances et les pratiques de son service Questionnaire d opinion les praticiens risquent de surestimer leurs connaissances Sondage d opinion réponses recueillies, subjectives biais d interprétation

16 Revue de la littérature

17 Propositions pratiques Promouvoir les recommandations officielles du groupe transversal sepsis Formation continue et sensibilisation des médecins Création d équipes multidisciplinaires Collaboration entre les services d hospitalisation et les laboratoires des différents hôpitaux Création d un protocole diagnostique et thérapeutique standardisé au sein des services d urgence et de réanimation

18 Procédure opérationnelle standardisée

19 Conclusion Diminution du taux de mortalité de ces patients grâce à une amélioration de la prise en charge 20,43% des médecins urgentistes savent prendre correctement en charge un SSG Connaître et suivre les recommandations officielles

20 Merci pour votre attention

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