N 04. Edito. Actualités. Irrigation. L expérimentation à l APREL Un point sur la tomate Agenda Annonces P 2. par Gérard Roche P 3 > 4
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- Raoul Marcil
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1 Lettre d information aux maraîchers des Bouches-du-Rhône N 04 O c t o b r e 2015 P 2 P 3 > 4 Edito par Gérard Roche Actualités Les variateurs électroniques de vitesse // Actualités phytosanitaires P 5 La page du CETA : Irrigation P 6 > 9 P 10 P 11 L expérimentation à l APREL Un point sur la tomate Agenda Annonces Fédération départementale des CETA maraîchers des Bouches du Rhône FDCETAM 13 LA CHAMBRE D AGRICULTURE PARTENAIRE DE VOS PROJETS
2 2 Créée il y a plus de 30 ans par la profession maraîchère, avec l aide des Chambres d Agriculture et du Ctifl, pour coordonner l expérimentation en cultures légumières en région Provence-Alpes-Côte d Azur, l APREL a pour objet la mise en œuvre de programmes expérimentaux en réponse aux besoins de la filière maraîchère régionale. L innovation variétale, la diversification, la qualité à la récolte et après récolte, la fertilisation et l irrigation raisonnées, la protection biologique intégrée, les méthodes alternatives de protection des cultures, le bio-contrôle, autant de thèmes d expérimentation indispensables pour aider les agriculteurs à relever les défis actuels de la filière en matière de réduction des intrants phytosanitaires et d agro-écologie, tout en restant compétitifs sur le plan économique. Coordonnés par les 4 ingénieurs de l APREL dont 1 mis à disposition par le Ctifl -, les essais sont mis en place grâce au réseau technique des Chambres d Agriculture et des CETA maraîchers, réseau qui assure également une diffusion rapide des résultats. Les études de systèmes de culture innovants ou de protection biologique intégrée sont souvent réalisées en partenariat avec l INRA ou le Ctifl. Enfin, chaque année, des fiches techniques de préconisations variétales ou de protection phytosanitaire sont rédigées dans le cadre du réseau pour une large diffusion auprès des producteurs et de l ensemble de la filière. Gérard Roche Président de l APREL
3 Irrigation Les variateurs électroniques de vitesse Le pompage de l eau d irrigation est généralement assuré par un moteur électrique et d une pompe centrifuge. L efficacité reconnue de cette association est cependant pénalisée par une forte demande énergétique et une usure prématurée des matériels. Les variateurs électroniques de vitesse se placent en amont de la pompe. Leur fonction est de réduire la déperdition énergétique, de limiter l usure de l installation et d adapter le débit à la pression. Dans de nombreux cas, ils favorisent également une économie d eau. Les points-clés n Les variateurs électroniques de vitesse assurent des démarrages et des arrêts progressifs. Cette fonction de régulation permet, selon une étude EDF, des économies d énergie de 20 à 25 %. n Ils évitent les coups de bélier responsables d une usure prématurée de l installation ainsi que les ruptures de canalisations. n A partir d une pression constante, les variateurs électroniques agissent sur la vitesse de rotation de la pompe. Ils régulent ainsi le débit d eau nécessaire à l irrigation sans intervenir sur la pression. En cultures maraichères où les rotations s enchainent avec des besoins en eau variables, les variateurs adaptent ainsi la vitesse de rotation de la pompe à chaque débit. n Dans le cas de pompes trop puissantes par rapport au débit demandé, ils évitent la perte d eau par retour au canal (20 à 25 % d économie d eau constatés chez un arboriculteur) n Les variateurs ont une fonction sécuritaire pour prémunir des risques de surchauffe, de courts-circuits, de débits trop faibles ou trop forts. n Le variateur électronique de vitesse est sensible à la foudre. Les aides financières n 20 % par le PCAE L investissement dans les variateurs électroniques de vitesse est éligible au programme de développement rural FEADER Les dossiers sont à envoyer à la DDTM 13 pour évaluation. Si accord, l investissement peut bénéficier d une aide de 20 % de son coût. n L Ecoprime CEE Les variateurs électroniques de vitesse sont éligibles aux CEE. Si vous souhaitez bénéficier de l Ecoprime CEE, contacter le conseiller énergie de la Chambre d agriculture 13. Jean-Michel Montagnon Chambre d agriculture 13 variateur électronique de vitesse 3
4 Actualités phytosanitaires Cet article vous informe sur des actualités non exhaustives concernant les produits phytosanitaires. Le réseau des conseillers maraîchers de Provence réalise des fiches phytosanitaires par culture téléchargeables ainsi que leurs additifs sur Avant toute utilisation, lire attentivement les étiquettes et respecter les usages, doses, conditions et précautions d emploi mis à jour. PRODUITS n SIGNUM (Boscalid + Pyrastroclobine) : Autorisation d utilisation Provisoire de 120 jours utilisable jusqu au 18/12/ 2015 pour l usage suivant : Bulbe d ail : champignon autres que pythiacées (dans le cadre de l usage règlementaire Oignon*traitement semences*champignons autres que pythiacées). Traitement avant plantation des caïeux à sec. dose : 0,3kg/100kg de caïeux ; Nombre d application autorisé : 1 ; Délai Avant Récolte (DAR)=130 jours ; DRE = 8h FICHES PHYTOSANITAIRES 7 nouvelles fiches phytosanitaires viennent d être publiées par le réseau des conseillers maraîchage de Provence pour vous accompagner dans la protection de vos cultures : MACHE, NAVET, RADIS, BLETTE, FENOUIL, EPINARD, CELERI. Pour rappel, sont disponibles les fiches phytosanitaires : n Protection de la LAITUE Serre et Plein Champ n Protection de la CHICOREE n DESHERBAGE de la laitue Ces fiches ne sont pas destinées aux productions en agriculture biologique. Demandez-les nous au ou c.borel@bouches-du-rhone.chambagri.fr ou procurez-les vous auprès de votre conseiller, ou encore en les téléchargeant directement sur rubrique Laitue ou Chicorée. Pour tout renseignement complémentaire, contactez votre conseiller. La Chambre d agriculture des Bouches-du-Rhône est agréée par le Ministère en charge de l agriculture pour son activité de conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques sous le numéro IF01762, dans le cadre de l agrément multi-sites portés par l APCA. 4
5 La page du CETA La conduite de l irrigation en salade sous abri La conduite de l irrigation pour une culture de salade est essentielle à sa réussite. Les besoins en eau de la salade sont fonction de plusieurs critères: du climat, de la nature du sol, du cycle des salades. Les besoins en eau d une salade sont estimés de l ordre de 110 à 180 mm. Ils sont faibles en début de culture et augmentent à l approche de la récolte. Un bon système d irrigation en bon état et bien conçu est la clé de la réussite. Dans notre région, les micro-asperseurs pendulaires qui ont une pluviométrie d environ 8-10 mm par heure sont les équipements les plus performants. Le contrôle régulier de l humidité du sol peut se faire à l aide d une tarière ou de tensiomètres. La conduite de l irrigation est fonction de 3 phases primordiales dans la croissance d une salade. n La phase de reprise : c est une période essentielle. Il est important de faire le plein en eau du sol sur les quelques jours où la salade s enracine. Ce plein en eau doit se faire en fractionnant les arrosages sur plusieurs jours après la plantation. On doit être aussi vigilant de ne pas laisser la motte de salade se dessécher pendant cette phase de reprise. n La 2 e phase : le stade après la reprise et avant que les salades ne couvrent le sol. On va donc bien espacer les fréquences des irrigations pour laisser le sol se ressuyer pour favoriser l enracinement des salades en profondeur. n La 3 e phase : avant que les salades ne recouvrent le paillage. Il est important de refaire un plein en eau du sol avant que les salades ne recouvrent le paillage car il sera plus difficile et plus risqué après (fort risque de maladies). C est la phase où les salades ont les besoins en eau les plus importants. Les bassinages ou des irrigations de courte durée (5 à 10 mn) peuvent être pratiqués pour réhydrater les tissus des salades. Ces bassinages permettent de limiter les bordages (ou tip burn) surtout à l approche de la récolte et par temps sec. Jean-Luc Delmas - Ceta Durance Alpilles eau 5
6 APREL 6 L expérimentation à l APREL Un point sur la tomate La tomate, produit phare de la région PACA, est au cœur du programme d expérimentation de l APREL. Celui-ci comporte à la fois un travail en réseau souhaitant répondre aux besoins spécifiques de notre terroir (innovation variétale, mise au point de stratégies de protection sous abris ), et la participation à des projets de plus grande ampleur mis en œuvre dans le cadre du Casdar ou du plan Ecophyto avec de nombreux partenaires de recherche et d expérimentation au niveau national. n L innovation variétale En culture de tomate, le choix variétal évolue en permanence avec les besoins actuels de résistances aux bioagresseurs et de production qualitative. Chaque année, 6 à 7 essais variétaux sont conduits chez les producteurs en sol et hors-sol, pour évaluer les nouvelles variétés et proposer les solutions les plus adaptées dans les différents créneaux et marchés de la région. Les essais intègrent une évaluation agronomique des variétés, mais aussi des tests de tenue après récolte et des analyses gustatives. Toutes ces observations aboutissent à la rédaction de préconisations variétales, réactualisées chaque année, pour les producteurs de la région et pour l ensemble de la filière. Financé par la région PACA et piloté par l APREL, partenaires : CETAs de Berre, d Eyguières, de St Martin de Crau, de Châteaurenard, d Eyragues, Chambre d Agriculture 06, Rougeline, coordination nationale : Ctifl. Visite d un essai variétal tomate sous abri plastique n Des études de stratégies de protection biologique intégrée (PBI) contre les ravageurs de la tomate et un réseau de veille technique sur la problématique aleurodes-virus En Provence, la culture de tomate est soumise à de nombreux bioagresseurs. Pour maintenir une PBI efficace face à de nouveaux ravageurs ou face à une pression forte d aleurodes notamment, les stratégies doivent être adaptées. Un réseau technique de veille et d échanges est mis en place ainsi que des essais chez les producteurs pour assurer une évolution performante de la protection des cultures. L APREL est également responsable de la rédaction du Bulletin de Santé du Végétal pour la tomate en région PACA. Ce bulletin permet de faire le point tous les 15 jours sur l état sanitaire des cultures de tomate grâce à un réseau d observateurs.
7 Financé par France Agri Mer et piloté par l APREL, partenaires : CETAs de St Martin de Crau, de Berre, d Eyguières, de Châteaurenard, Rougeline, coordination nationale : Ctifl qui souhaitent s équiper. Parallèlement, un travail a été mis en place sur l optimisation de la fertilisation en prenant en compte le recyclage des solutions nutritives dans le schéma d exploitation. Pour les cultures en sol, l APREL et ses partenaires régionaux travaillent également sur l optimisation de la ferti-irrigation pour accompagner les producteurs dans une meilleure gestion des ressources en eau et en fertilisants. Les références obtenues sont particulièrement utiles pour appréhender les changements de pratiques dans les zones vulnérables définies dans la Directive Nitrates. Financé par la région PACA, l Agence de l Eau Rhône-Méditerranée-Corse et le Conseil Général des Bouches-du-Rhône, et piloté par l APREL, partenaires : Chambres d Agriculture 13 et 84, CETAs de Berre, d Eyguières, de St Martin de Crau, de Châteaurenard. Mise en œuvre de stratégies de protection biologique intégrée sur tomate n Des suivis de sites pilotes pour la gestion des effluents des cultures hors sol et pour l optimisation de la fertilisation En culture de tomate hors sol, le recyclage des solutions drainées implique une désinfection préalable pour maintenir une qualité sanitaire optimale des eaux utilisées pour l irrigation. Depuis plus de 10 ans, l APREL travaille à l acquisition de références techniques et économiques sur les systèmes de désinfection et plusieurs procédés ont ainsi pu être expérimentés in situ sur des sites de production : électrolyse, ultrafiltration, rayonnement ultraviolet (U.V.). Ce travail permet d appuyer dans leur choix les producteurs Module de désinfection par ultraviolet n Le projet TutaPI : Des avancées dans la protection contre Tuta absoluta Le projet TutaPI a été développé avec comme objectif l optimisation technico-économique des stratégies de protection contre Tuta absoluta centrées sur l utilisation d insectes auxiliaires. Pour atteindre cet objectif, les travaux ont consisté d une part 7
8 L expérimentation à l APREL Un point sur la tomate à améliorer les stratégies en utilisant les outils existants et d autre part à rechercher et tester de nouveaux auxiliaires. Ces études ont été menées conjointement par des partenaires issus de la recherche, de l expérimentation, de l agrofourniture et du développement. Ils se sont déroulés en laboratoire, en serres expérimentales et sur des sites de production. L ensemble des résultats obtenus dans TutaPI ont permis d élaborer une boite à outils de protection contre Tuta absoluta et de proposer des règles de décision pour la mise en œuvre d une stratégie. Les différentes stratégies, et les outils qu elles mobilisent, ont fait l objet d une évaluation économique. Tous ces éléments sont réunis dans un document pratique destiné aux professionnels : Stratégies de protection des cultures de tomate sous abri contre Tuta absoluta , consultable sur les sites Internet des différents partenaires. Les stratégies proposées présentent l intérêt d être en grande partie communes à d autres ravageurs de la tomate sous abri, notamment les aleurodes. Financé par le Ministère de l Agriculture (Casdar) et piloté par l ITAB et l INRA, le projet TutaPI ( ) est labellisé par le GIS PIClég, par Terralia et par le RMT DévAB, et regroupe les partenaires : ITAB, INRA, GRAB, Ctifl, APREL, Chambre d Agriculture 13, In Vivo AgroSolutions. n Le projet MacroPlus : Quelles techniques pour renforcer l installation de Macrolophus pygmaeus? Macrolophus pygmaeus est un auxiliaire très utilisé en Protection Biologique Intégrée sur tomate. Cette punaise très polyphage est particulièrement intéressante pour réguler les populations d aleurodes et de Tuta absoluta. Elle est également prédatrice de pucerons, d acariens et de noctuelles. L efficacité de Macrolophus a déjà été démontrée, mais des améliorations dans les méthodes d introduction pourraient permettre de rendre les lâchers plus efficaces. Le projet MacroPlus a donc pour objectif de développer des techniques permettant d obtenir Macrolophus en nombre important, à coût réduit et de façon précoce dans les cultures. Pistes de travail : n Plantes hôtes en tant que zones de refuge hivernal, de mini-élevage ou de plantes relais (soucis, géranium ). n Nourrissage en culture en l absence de proies. n Lâchers en zones confinées. 8
9 Les expérimentations sont réalisées en stations expérimentales et sur des sites de production en agriculture biologique et conventionnelle. Le projet a également l ambition de constituer un groupe de producteurs motivés et curieux avec lesquels seront co-construits les dispositifs expérimentaux. Initiées en cultures en sol, les techniques seront à terme développées pour la culture hors-sol. Financé par Ecophyto et piloté par le GRAB, le projet MacroPlus ( ) est labellisé par le GIS PIClég, par Terralia et par le RMT Biodiversité fonctionnelle, et regroupe les partenaires : GRAB, INRA, APREL, SERAIL, Chambre d Agriculture 13. niveaux de performances économiques, agronomiques, qualitatives et environnementales. Le projet s articule sur des essais en station et des suivis en serres de production. stratégies principales pour la tomate : n Essais de spécialités alternatives antioïdium et anti-botrytis. n Utilisation de moyens de piégeages physiques (pièges chromatiques, aspiration ) pour lutter contre les aleurodes. n Suivi régulier des populations de ravageurs et adaptation des stratégies en fonction des résultats. n Optimisation de la lutte biologique (nourrissage des auxiliaires, limitation de l effeuillage, gestion climatique...). n Regroupement de ces démarches afin de vérifier leur synergie dans la conduite d une culture dans une serre système. Financé par Ecophyto, le projet DEPHY SERRE ( ) est piloté par l AOPn Tomateconcombre et regroupe les partenaires : APREL, ARELPAL, CATE, CVETMO, SAVEOL. Semis de soucis dans un tunnel n Le projet DEPHY SERRE : Système de production sous serres de tomates et de concombres, tendre vers le zéro intrant phytosanitaire Objectifs : Améliorer les systèmes de productions dans une optique de réduction de l usage des intrants phytosanitaires, en préservant les Les comptes rendus de toutes ces études sont diffusés sur le site internet de l APREL ( et à l occasion de journées techniques sur les thèmes spécifiques. 9
10 Agenda 10 JournéeS Techniques et SalonS professionnels : n Rencontres techniques légumes bio le 13 novembre 2015 à Bellegarde (30). Programme disponible sur n Journée Biocontrôle au Ctifl de Bellegarde (30) organisé avec le GISPicLèg et le GIS Fruits, le 10 décembre Programme disponible sur Formation : Retrouvez toutes les formations sur le Catalogue de Formation de la Chambre d Agriculture 13 téléchargeable sur n Optimiser mon suivi administratif - Arrêter la paperasse à l arrache (page 29 du Catalogue de Formation). 2 jours les 24 novembre et 01 décembre 2015 à la MFR Les Alpilles à Saint-Martin de Crau. Contact : Laura Brondino au n L ordinateur dans l entreprise - Maîtriser l interface Window (page 6 du Catalogue de Formation). 3 demi-journée les 7, 11 et 14 Janvier 2016 à la MFR Garachon à Lambesc. Contact : Christèle Colliot au n Internet au quotidien - S informer et communiquer via le web, Intégrer les réseaux sociaux, travailler en réseau (page7 du Catalogue de Formation). 6 demi-journées les 23, 26 et 30 Novembre 2016, et les 3, 7 et 10 dévembre 2015 à la MFR Garachon à Lambesc. Contact : Christèle Colliot au n Mon site Internet - Pourquoi et comment communiquer grâce à mon site internet (page8 du Catalogue de Formation). 2 jours le 20 Novembre et 14 Décembre 2015 à la MFR Garachon à Lambesc. Contact : Christèle Colliot au n Ma boutique en ligne - Créer et gérer aisément sa boutique en ligne (page 9 du Catalogue de Formation). 2 jours les 16 novembre et 7 décembre 2015 à Gardanne. Contact : Olivier d Ortoli au n Gestion des Ressources Humaines - Recruter, encadrer, motiver, communiquer (page 11 du Catalogue de Formation). 4 jours les 19, 21, 26 et 28 Janvier 2016 à la MFR Garachon à Lambesc. Contact : Hélène Chéret au n Eco-conduite - Adapter sa conduite pour réduire sa consommation de carburant et réaliser des économies sur son exploitation (page 23 du Catalogue de Formation). Dates et lieu sur demande. Contact : Claude Baury au n Techniques de Vente - Comportement client, communication pour vendre (page 33 du Catalogue de Formation). 2 jours les 19 janvier et 02 février 2016 à la MFR Les Alpilles à Saint-Martin de Crau. Contact : Chantal Roblès au n Droit du travail - Connaître vos obligations, déclaration sociales et prévention (page 39 du Catalogue de Formation). 4 jours d initiation les 24 et 26 novembre et les 01 et 03 décembre 2015 à la MFR Garachon à Lambesc. Contact : Hélène Chéret au
11 OCTOBRE EMPLOIS Faites nous parvenir vos offres et demandes d emplois agricoles! MATERIELS Offres n VENDS : cercleuse avec pose de cornières + palettiseur robotisé Caustier + groupe électrogène Caterpillar 150 KVA & ou n VENDS : Tracteur SAME Frutteto 75 II 4RM ; chariot électrique Fenwick ; ensemble rouleau marque pour buttes ; Rotovator 1.80 m avec rouleau et 3 chauffages Giordano gasoil & LOCATION n LOUE : exploitation maraîchère de 2,5 ha d abris ( chapelle plastique, bi-tunnels, tunnels) avec 1,5 ha de plein champ + hangar sur la commune de Noves & Pour déposer vos annonces, contactez le : c.borel@bouchesdu-rhone. chambagri.fr Chambre d agriculture 13 Maison des Agriculteurs & c.borel@bouches-du-rhone.chambagri.fr 22, Av. Henri Pontier Aix-en-Provence APREL Route de Mollégès RD 31 & aprel@aprel.fr Saint-Rémy-de-Provence FDCETAM 13 22, Av. Henri Pontier & /37 a.terrentroy@bouches-du-rhone.chambagri.fr Aix-en-Provence Directeur de publication : Claude ROSSIGNOL. Structures : Chambre d agriculture des Bouches-du-Rhône. Structures partenaires : APREL, FDCETAM // Rédacteurs : Anne TERRENTROY, Isabelle HALLOUIN, Laurent CAMOIN, Sébastien ATTIAS, l équipe de l APREL, les conseillers de CETA // Photos : Chambre d agriculture des Bouches-du-Rhône, APREL, CETA, Fotolia // Conception graphique et impression : Studio B Tirage : 600 ex. 11
12 Agriculture Biologique : Se convertir à l agriculture biologique Connaître les règles de la production en mode biologique et les impacts de la conversion sur son exploitation le 05 Novembre Contact : François Martin au n Certiphyto : Certificat individuel professionnel phytosanitaire : Décideurs et Opérateurs en exploitation agricoles travaux et services Décideurs : septembre ; 5-6 octobre et octobre 2015 Opérateurs : septembre ; octobre ; 2-3 novembre et 9-10 novembre Contact : Emmanèle Davin-Geil au n DUER : Rédiger son Document Unique d Evaluation des Risques. Les 13 et 27 novembre 2015 à la MFR de Garachon. Contact : Hélène Cheret au n Journée Techniques et Salon professionnel : n Journée technique du comité français des plastiques en agriculture à Ste Livrade sur Lot (47) les 29 et 30 septembre 2015 ( COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE, JE FAIS QUOI POUR MES SALARIÉS? Chambre d agriculture 13 Maison des Agriculteurs 22, Av. Henri Pontier Aix-en-Provence & n n n Journée Nationale SALADE au Ctifl de Bellegarde (30), le 8 octobre 2015 de 8h30 à 17h15. Inscription obligatoire : 45 ( SITEVI, salon international du 24 au 26 Novembre 2015 à Montpellier au Parc des Expositions : équipements et savoir-faire en vin-vigne, olive, fruits-légumes ( Journée Biocontrôle au Ctifl de Bellegarde (30) organisé avec le GISPicLèg et le GIS Fruits, le 10 décembre Programme disponible sur c.borel@bouches-du-rhone.chambagri.fr #APREL SANTÉ COLLECTIVE POUR TOUS Route de Mollégès RD 31 & banque des agriculteurs aprel@aprel.fr *, Le Crédit Agricole, 1ère Saint-Rémy-de-Provence vous accompagne dans la mise en place FDCETAM 13 de la complémentaire santé de vos salariés. 22, Av. Henri Pontier & /37 a.terrentroy@bouches-du-rhone.chambagri.fr Source : Banque de France Part de marché Les contrats d assurance santé et prévoyance des entreprises de la production agricole sont assurés par AGRI PRÉVOYANCE - Institution de prévoyance régie par le Code rural et de la pêche maritime Membre du GIE AGRICA GESTION - RCS Paris n Siège social : 21, rue de la Bienfaisance Paris - Les risques garantis et les conditions d assurance figurent aux contrats. Ces contrats sont distribués par votre Caisse régionale de Crédit Agricole, immatriculée à l ORIAS en qualité de courtier. Les mentions de votre Caisse sont disponibles sur ou dans votre agence Crédit Agricole. Document non contractuel à caractère Sous réserveclaude de disponibilité de l offre dans votre Caisse régionale. Chambre d agriculture des Bouches-du-Rhône. Directeur de commercial. publication : ROSSIGNOL. Structures : * Aix-en-Provence Structures partenaires : APREL, FDCETAM // Rédacteurs : Anne àterrentroy, Isabelle HALLOUIN,de crédit Laurent CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL ALPES-PROVENCE, société coopérative capital variable, agréée en tant qu établissement - Siège CAMOIN, Sébastien ATTIAS, sociall équipe : 25, Chemin des Cyprès, CS70392, Aix-en-Provence Cedex 2// - RCS Aix-en-Provence. Société de courtage des d assurance immatriculée au detrois l APREL, les conseillers de CETA Photos : Chambre d agriculture Bouches-du-Rhône, APREL, CETA, Fotolia Registre des Intermédiaires en Assurance sous le numéro // Conception graphique et impression : Studio B Tirage : 600 ex. Rendez-vous sur ca-alpesprovence.fr 10/2015 C41701 Édité par Crédit Agricole, SA agréée en tant qu établissement de crédit Siège social : 12, place des États-Unis, Montrouge Cedex Capital social : RCS Nanterre. Crédit photo : Getty Images. Agenda Formation : Retrouvez toutes les formations sur le catalogue de formation de la Chambre d agriculture 13 téléchargeable sur
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