NOTE TECHNIQUE. CEA Saclay DETECS-LNHB Gif-sur-Yvette Cedex, France

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "NOTE TECHNIQUE. CEA Saclay DETECS-LNHB Gif-sur-Yvette Cedex, France"

Transcription

1 NOTE TECHNIQUE CE Saclay DETECS-LNHB Gif-sur-Yvette Cedex, France

2 date : 1/11/06 Table des matières : 1 Introduction...3 Données Nucléaires du Ga Détecteurs utilisés Caractéristiques des détecteurs Etalonnage en rendement des détecteurs Etalonnage du détecteur planaire Etalonnage du détecteur coaxial Sources utilisées pour la mesure du Ga ctivité massique de la solution mère Caractéristiques des sources Géométrie Masse Homogénéité en spectrométrie gamma Résultats obtenus & dépouillements Relation pour le calcul des intensités d'émission photonique Méthode de mesure et de dépouillement Mesures des intensités d émission photonique Détermination du schéma de désintégration du Ga Calcul des probabilités de transition Calcul des probabilités de désintégration par capture électronique ε Conclusion...16 /17

3 1 date : 1/11/06 Introduction Le Ga est un radionucléide intéressant dans le domaine de la médecine nucléaire. Il est classiquement utilisé pour la localisation de certaines tumeurs. C'est un radionucléide de période courte (13 jours Nucléide -) se désintégrant par capture électronique vers des niveaux excités du Zn. Ses émissions X et gamma sont comprises entre 8 kev et 887 kev avec une raie prépondérante à 93,3 kev (figure 1). Les incertitudes associées à chaque émission gamma sont relativement mal connues. Le domaine de précision s'étend de,4 % pour la mieux connue (93,3 kev) 1 à 5,4 % (703,11 kev). Simpson et Ntsoane ont mis en évidence d importantes variations concernant les différentes évaluations du schéma de désintégration. Notamment, l existence d une désintégration par capture électronique vers le niveau fondamental du Zn n est pas acquise avec des valeurs de probabilités de désintégration se répartissant de 0 à 8,46 % et des incertitudes sur ces valeurs dépassant parfois 50 %. Lors de l exercice d inter comparaison sur la mesure d une solution de Ga en 005, la méthode de mesure par coïncidences 4 a fourni des résultats différents de ceux obtenus à partir des méthodes de mesures par cristal puits 4 d une part et par chambre d'ionisation d autre part. Les biais observés sont de l'ordre de 1,5 % et pourraient avoir pour origine le schéma de désintégration du Ga. L existence ou l absence d une désintégration par capture électronique vers le niveau fondamental pourrait justifier l existence de ce biais. La mesure du Ga par spectrométrie gamma permet la détermination des intensités d émission photonique de l ensemble des raies gamma émises. En utilisant les différents coefficients de conversion interne αt associés à chacune des émissions gamma, le calcul des probabilités de transition gamma dans un premier temps, puis des probabilités de captures électroniques alimentant chaque niveau dans un deuxième temps est réalisable. Il devient alors possible de mettre en évidence l existence ou l absence d une désintégration du Ga vers le niveau fondamental. Données Nucléaires du Ga Les données nucléaires de ce radioélément sont fournies par la base de données NUCLEIDE. Les valeurs recommandées sont énoncées dans les tableaux 1 et. Elles présentent des incertitudes très importantes avec en particulier une probabilité de capture électronique vers le niveau fondamental mal connue. Elle est fournie avec une précision d environ 50 %. Niveaux Initial/Final /1 1/0 /0 3/ 3/ 1 3/0 4/3 4/ 4/1 4/0 Énergies kev 91,7 93,31 184,58 08,95 300, 393,53 494,17 703,11 794,39 887,69 Intensités d émission 3,07 37,8 0,9,37 16,8 4,66 0,0685 0,0111 0,050 0,147 Probabilités de transition 3,3 7 1,3,39 16,9 4, 0,0686 0,0111 0,05 0,147 Inc. %,4 3,9 5,4 4,6 Inc. %,4 3,3 3,9 5,4 4,6 αt Inc. % 0,083 0,859 0,018 0,009 0,004 0,00 0,001,06 0,0 3,93 1,98 4,5,05 4 0,0005 0,0004 1,88 11,11 Tableau 1 : Données nucléaires des intensités d émission et probabilités de transition du Ga Niveaux Initial/Final 0/4 0/3 0/ 0/1 0/0 Énergies kev 11, ,9 907,6 100 ε Probabilités % ε1 ε ε3 ε4 ε5 0,79 3,8, 50,1 Inc. %,,5 3, 55,6 Tableau : Probabilités de désintégration par capture électronique du Ga 1 Simpson, B.R.S., Ntsoane, T.P., 000. Decay scheme of Ga. ppl. Radiat. Isot. 5, /17

4 date : 1/11/06 Figure 1 : Spectre de Ga mesuré sur le détecteur coaxial L objectif de ce travail est donc d améliorer la connaissance et la précision des intensités d émission photonique de ce radionucléide à l aide de deux chaînes de spec trométrie gamma parfaitement étalonnées dans la gamme des énergies émises suite à la désintégration du Ga. L'une des difficultés principales dans la réalisation d'une telle étude est liée à la période radioactive très courte du Ga. vec 13 jours de demi-vie, la décroissance radioactive durant la mesure est à prendre en compte et un calcul de correction de ce phénomène est à réaliser avec rigueur sur chacun des spectres enregistrés. L'expression utilisée pour corriger l'évolution du comptage durant la mesure correspond à l'équation (1). t f t 0 t0 f avec f T 1 e ln t f t0 ( ln ) T (1) t0 correspond à l'activité instantanée présente à la date t0, tf-to correspond à la durée de l'acquisition en temps réel (il est égal au temps actif auquel on ajoute le temps mort de l'installation), T est la période radioactive du Ga et Ācorrespond au comptage moyen sous le pic considéré. Grâce à cette expression, tous les résultats obtenus sur les différents spectres enregistrés sont exprimés aux dates correspondant au début de la mesure de chaque spectre. 3 Détecteurs utilisés 3.1 Caractéristiques des détecteurs Les caractéristiques principales des deux détecteurs sont énumérées dans le tableau 3. Pour le détecteur de type planaire, l angle solide de détection est défini à l'aide d un collimateur de tungstène de diamètre 10 mm et d épaisseur, mm. Sa base est positionnée à 70,75 mm de la source et le détecteur étant situé à 14,5 mm du collimateur, la distance d'étalonnage obtenue est de 85,5 mm. Elle s'applique uniquement à la mesure de sources ponctuelles (diamètre maximum de 4/17

5 date : 1/11/06 6 mm). Pour des géométries de mesures différentes, il est nécessaire de réaliser un nouvel étalonnage ou d'utiliser un logiciel de calcul du rendement associé à la géométrie de mesure en partant de la géométrie d étalonnage. Pour le détecteur de type coaxial, la distance d étalonnage est fixée à 15 cm. Comme dans le cas précédent, elle s applique uniquement à la mesure de sources ponctuelles. Type Germanium planaire type N Référence LNHB Fenêtre / épaisseur Germanium coaxial type N G G1 Béryllium / 100 µm Béryllium / 500 µm Diamètre du cristal (mm) 19,5 48 Epaisseur du cristal (mm) 10 5,7 FWHM à 5,9keV (ev) FWHM à 1keV (ev) Tableau 3 : caractéristiques principales des détecteurs utilisés Les énergies gamma émises par le Ga sont comprises entre 91 kev et 888 kev. La gamme kev est très délicate pour la caractérisation du rendement de détection des spectromètres gamma. Elle correspond à une zone d inflexion des courbes de rendement souvent mal définies. fin de minimiser l influence de ce phénomène, deux types de détecteurs ont été utilisés. Le premier, doté d un cristal de type planaire, favorise l étude des énergies comprises entre 5 kev et 1 kev avec une largeur à mi-hauteur des pics (résolution - FWHM) optimisée. Le second, de géométrie coaxiale, permet l étude des énergies comprises entre 13 kev et MeV. Du fait de son volume de détection plus important, il présente une inflexion de sa courbe de rendement à 100 kev moins importante que le premier détecteur. Par contre la séparation des deux pics à 91 et 93 kev est rendue plus délicate du fait de sa plus "mauvaise" résolution (voir tableau 3). La comparaison croisée des résultats obtenus avec les deux appareils permet d'augmenter la justesse des valeurs obtenues autour de 90 kev. De plus, elle offre une détermination plus précise des intensités d émission gamma dans cette région. 3. Etalonnage en rendement des détecteurs 3..1 Etalonnage du détecteur planaire Pour déterminer les intensités d'émission gamma d'un radionucléide, un paramètre important à connaître est le rendement de détection du système de mesure aux énergies considérées. Le détecteur planaire a été étalonné avec un ensemble de 8 sources ponctuelles couvrant le domaine d'énergie de 11 kev à 1 kev. Les détails des radionucléides utilisés et les valeurs de rendements obtenus expérimentalement figurent sur le tableau 4. Ces 8 radionucléides permettent d'obtenir 5 points de rendement répartis sur toute la gamme d'énergie. La courbe finale est obtenue à partir de l'ajustement d'un polynôme de degré 5 en représentation log-log suivant la fonction POLOG détaillée dans l'équation (). n ln R (E ) ai (ln E ) i () i 0 Le processus d'ajustement, basé sur l'utilisation de la méthode des moindres carrés, prend en compte l'incertitude de chaque point. L'ajustement obtenu est correct avec un résultat au test Chi égal à 0,77. Cela indique qu'il existe une bonne concordance entre les points expérimentaux et les valeurs ajustées à partir de la fonction polynomiale. La courbe de rendement obtenue pour cette gamme d'énergie est représentée sur la figure. 5/17

6 date : 1/11/06 E (kev) Rdt détaillé urdt urdt abs Nucléides 11,87 8,856E-04 1,44 1,8E-05 13,9 8,90E ,3E-05 13,93 9,680E-04 0,85 8,8E-06 14,14 9,830E-04 1,00 9,86E-06 14,41 9,61E-04 1,90 1,83E-05 15,9 1,000E-03 1,45 1,45E m 140 Ba 41 m 88 Y 57 Co 88 Y 17,51 1,06E-03 0,9 9,49E m 1,01 1,07E-03 0,84 8,98E m,103 1,13E ,10E Cd 5,07 1,146E-03 4,1 4,8E Cd 6,34 1,17E-03 0,85 9,59E m 9,96 1,179E-03,1,61E Ba 30,85 1,16E-03 0,78 9,10E-06 3,06 1,164E-03 1,50 1,75E-05 35,6 1,178E-03 0,79 9,7E-06 36,63 1,173E-03 1,88,1E-05 39,91 1,178E-03 0,75 8,84E-06 45,73 1,185E-03 0,76 9,01E-06 53,16 1,19E-03 0,8 9,83E-06 59,54 1,01E-03 0,75 8,98E-06 79,61 1,174E-03 1,96,30E-05 Ba 137 Ba 137 Ba 41 m Ba Ba 80,9 1,17E-03 0,61 7,19E ,149E-03 1,90,19E Cd 11,8 8,80E-04 0,41 E-06 1,06 8,766E-04,80E-06 Tableau 4 : Rendement du détecteur planaire pour une distance sourcedétecteur de 8,5 cm 57 Co 1.3E-03 1.E-03 Rdt 1.1E E E E-04 41m 140Ba 88Y 57Co 109Cd Ba 137 Lissage 11-1 kev 7.0E Energies kev Figure : Courbe de rendement du détecteur planaire pour une distance (source-détecteur) de 8,5mm et doté d un collimateur en W de diamètre 10 mm 6/17

7 date : 1/11/06 La figure 3 montre les résidus de l'ajustement de cette fonction polynomiale par rapport aux points expérimentaux. La fonction ainsi trouvée permet d'interpoler les valeurs de rendements inconnus. Résidu d'ajustement % Energies kev Figure 3 : Résidu de l'ajustement de la fonction polynomiale sur les points expérimentaux (11-1keV) Les valeurs calculées à partir de ce polynôme pour les énergies à 91,3 kev et 93,3 kev sont : Energies kev Rendements G drdt % 91,7 1, ,7 93,31 1, ,7 Tableau 5 : Rendements du détecteur planaire pour les raies à 91 et 93 kev 3.. Etalonnage du détecteur coaxial La détermination de la réponse en rendement du détecteur coaxial a été réalisée aux basses énergies avec un ensemble de 6 sources ponctuelles couvrant le domaine d'énergies de 11 kev à 1 kev ainsi qu aux hautes énergies avec un ensemble de 15 sources ponctuelles couvrant la gamme de 1 kev à 1836 kev. fin que l ensemble des rendements obtenus sur ces deux gammes d'énergies ne soit pas ajusté avec un polynôme de degré trop élevé, deux lissages ont été effectués séparément : le premier entre 11 et 1 kev et le second de 1 à 1836 kev. La zone de recouvrement a été fixée dans la région autour de 10 kev. Les détails des radionucléides utilisés et des valeurs de rendements obtenus figurent sur les tableaux 6 et 7. La courbe de rendement établie suite aux deux lissages est représentée sur la figure 4. Ces 15 radionucléides permettent d'obtenir 79 points d'étalonnage répartis sur toute la gamme d'énergie. La courbe finale est obtenue en basses énergies (inférieures à 11 kev) à partir de l'ajustement d'un polynôme de degré 5 toujours en représentation log-log du type POLOG et prenant en compte l'incertitude de chaque point. Pour les hautes énergies (supérieures à 11 kev), l ajustement s effectue à l aide d un polynôme de degré 4. Les résultats des ajustements en basses et hautes énergies sont correctes avec un résultat au test Chi respectivement égal à 0,86 et 0,94. 7/17

8 E (kev) 13,93 14,41 17,51 1,01,10 5,10 6,34 30,80 33,30 35,10 38,00 53,16 59,54 80,90 88,03 11,80 1,06 Lissage 13-1keV Rdt urdt % urdt abs détaillé 7,640E-03 0,86 6,570E-05 8,010E-03 0,95 7,610E-05 8,459E-03 0,85 7,190E-05 8,733E-03 1,01 8,80E-05 8,851E-03 1,5 1,345E-04 9,183E-03 1, 1,534E-04 8,876E-03 1,01 8,965E-05 9,01E-03 0,8 7,10E-05 9,179E-03,4,03E-04 9,171E-03 0,8 7,337E-05 9,663E-03 3,8 3,E-04 9,75E-03 0,9 8,777E-05 9,7E-03 0,75 7,9E-05 9,584E-03 0,6 5,750E-05 9,533E-03 1,9 1,811E-04 8,76E-03 0,63 5,50E-05 8,775E-03,633E-05 date : 1/11/06 Nucléides 41 m Co 41 m 41 m 109 Cd 109 Cd 41 m Ba 139 Ce Ba 139 Ce Ba 41 m Ba 109 Cd 57 Co 57 Tableau 6 : Rendements basses énergies du détecteur G1 pour une distance source-détecteur de 15cm Lissage keV E (kev) 11,78 1,06 136,47 165,86 171,8 05,79 44,70 45,35 76,40 95,96 30,85 308,46 316,51 344,8 356,01 383,85 411,35 443,97 446,81 468,07 475,34 484,58 563,3 569,3 588,58 604,41 604,69 61, ,76 661,66 Rdt détaillé 8,76E-03 8,775E-03 8,98E-03 7,495E-03 7,18E-03 6,06E-03 5,81E-03 5,70E-03 4,686E-03 4,336E-03 4,47E-03 4,168E-03 4,038E-03 3,7E-03 3,578E-03 3,98E-03 3,050E-03,814E-03,815E-03,656E-03,599E-03,563E-03,195E-03,184E-03,096E-03,045E-03,053E-03,0E-03,005E-03 1,90E-03 1,890E-03 urdt % 0,63 1,4 5 0,49 1,31 0, ,61 0,6 0,6 0,6 0,4 1 0,6 0,86 0,66 1,1 0,61 1,51 0,9 0,47 0,4 0,68 0,64 0,6 1,57 1,1 1 0,4 urdt abs 5,50E-05,633E-05 1,16E-04,63E-05 3,097E-05 8,130E-05 3,37E-05 1,94E-05,858E-05,60E-05,548E-05,584E-05 1,696E-05 1,875E-05 1,789E-05 1,979E-05,63E-05 1,857E-05 3,097E-05 1,60E-05 3,94E-05,307E-05 1,03E-05 9,173E-06 1,45E-05 1,309E-05 5,338E-06 3,175E-05,46E-05 5,896E-06 7,938E-06 Nucléides Co 57 Co 139 Ce 111 In In Ba 19 Ba Ba Ba E (kev) 7,6 687,01 688,6 706,68 744,8 763,94 778,90 795,84 801,93 818,03 834,84 8,38 884,68 898,04 937,49 964, , ,41 111, ,55 11, ,95, , , , , ,04 156,9 1836,05 Rdt détaillé 1,869E-03 1,855E-03 1,817E-03 1,75E-03 1,710E-03 1,646E-03 1,605E-03 1,580E-03 1,571E-03 1,547E-03 1,513E-03 1,457E-03 1,44E-03 1,41E-03 1,368E-03 1,33E-03 1,41E-03 1,190E-03 1,166E-03 1,165E-03 1,11E-03 1,10E-03 1,08E-03 1,001E-03 9,7E-04 9,747E-04 9,396E-04 9,15E-04 8,997E-04 8,68E-04 7,314E-04 urdt % urdt abs 1,06 0,77, 0,75 1,43 0,47 9 0,6 6 0,7 0,43 0,73 0,46 0,46 0, ,48 0,77 1, ,9 8 1,3 0,4 1,981E-05 1,48E-05 3,997E-05 1,314E-05,445E-05 7,736E-06 6,60E-06 4,108E-06 5,656E-06 1,114E-05 6,506E-06 1,064E-05 7,10E-06 7,105E-06 6,93E-06 6,086E-06 8,935E-06 6,307E-06 6,96E-06 5,59E-06 8,63E-06 3,360E-06 1,104E-05 3,03E-06 5,709E-06 4,971E-06 4,980E-06 8,395E-06 5,18E-06 1,19E-05 3,07E-06 Nucléides 54 Mn 88 Y 65 Zn 60 Co 60 Co 88 Y Tableau 7 : Rendements hautes énergies du détecteur G1 pour une distance source-détecteur de 15cm 8/17

9 date : 1/11/06 1.E-0 41m 57Co 109Cd Rdt Ba 139Ce 111In 19 1.E Mn 88Y 65Zn 60Co Lissage 13-1 kev 1.E Energies kev 1000 Lissage kev Figure 4 : Courbe de rendement du détecteur G1 pour une distance (source-détecteur) de 15cm 4.0 Résidus d'ajustement % Energies kev Figure 5 : Résidu de l'ajustement des fonctions polynomiales sur les points expérimentaux : 11-1keV et keV La figure 4 montre les résidus de l'ajustement de ces fonctions polynomiales sur les points expérimentaux. Les fonctions ainsi trouvées permettent d'interpoler les valeurs de rendements inconnus. Les rendements utiles pour l'étude du Ga et calculés à partir des deux fonctions polynomiales ajustées sont donnés dans le tableau 8. Energies kev Rendements G1-3 drdt % 91,7 9, ,8 93,31 9, , ,6 6, ,9 6, , 4, ,5 3, ,, ,1 1, ,4 1, ,7 1, Tableau 8 : Rendements du détecteur coaxial pour les raies 91 kev à 888 kev 9/17

10 4 date : 1/11/06 Sources utilisées pour la mesure du Ga 4.1 ctivité massique de la solution mère L'objet de cette étude étant la mesure des intensités d'émission des raies gamma du Ga ainsi que la détermination de son schéma de désintégration, l activité massique de la solution mère utilisée pour calculer l'activité de chaque source est celle obtenue à partir des mesures réalisées par coïncidences 4. Il est important de noter que cette méthode de mesure est totalement indépendante du schéma de désintégration. L activité massique est de 919 kbq/g à 0,6 % près. La date de référence choisie est le : 18/10/005 à 1h TU. 4. Caractéristiques des sources fin de répondre au mieux aux besoins de la spectrométrie gamma, une série de 6 sources a été fabriquée. Les caractéristiques principales de ces sources sont décrites ci-dessous Géométrie Le protocole de fabrication des sources est très classique. Chaque source est constituée d'un dépôt d'une goutte de solution radioactive sur un film de mylar très fin. L'épaisseur du film utilisé dans le cadre de cet exercice, est égale à 6 µm et permet de négliger l atténuation du support par rapport aux énergies étudiées. près séchage de la goutte à l'air ambiant, le dépôt obtenu est "sandwiché" entre le mylar précédemment utilisé et un film plastique autocollant translucide. Cela permet de sceller la source pour qu'elle soit facilement manipulable sans risque de contamination. Lors de la mesure, c'est la face présentant le film mylar qui est orient ée vers le détecteur. L'autre face comportant le film plastique autocollant présente une absorption du rayonnement trop importante pour être utilisée. L'ensemble (mylar + dépôt radioactif + film plastique autocollant) est ensuite découpé puis placé dans des bagues support-de-source en plastique d'un diamètre de 38 mm. fin de respecter les géométries d'étalonnage des détecteurs, chaque bague porte-source doit placer le dépôt radioactif à une hauteur de 1,85 mm par rapport à sa base. Pour vérifier cette cote, chaque ensemble (bague source + films sandwich + dépôt) est mesuré avec un microscope permettant de connaître précisément cette distance. Le schéma de la figure 6 représente un schéma en coupe d'un ensemble (bague source + films sandwich+dépôt). Le tableau 9 fournit les valeurs du décalage vertical de chaque source par rapport à la position de référence correspondant à 1,85 mm. Bague supérieure Film plastique autocollant Dépôt radioactif Film mylar 1µm Bague inférieure 1.85 mm Base du support Vers détecteur Figure 6 : Vue en coupe d'une source classiquement utilisée en spectrométrie gamma 10/17

11 date : 1/11/06 Référence source Décalage vertical (mm) -0,8-0, ,7 Tableau 9 : Valeurs des décalages verticaux des supports de chaque source Pour certaines chaînes de mesure non dotées d un système précis de positionnement (G, G6, GeHP4 et tous les détecteurs X), ce décalage vertical doit être pris en compte lors du dépouillement des mesures. Dans le cadre de cet exercice, le détecteur de type coaxial est muni d un banc optique permettant de placer le dépôt radioactif à la position exacte d'étalonnage. Le détecteur de type planaire ne dispose pas d un tel système, ce qui rend nécessaire la prise en compte du décalage vertical pour chacune des sources afin de déterminer un coefficient de correction géométrique. 4.. Masse fin d obtenir une activité suffisante sur chaque source et pour s affranchir d une quelconque dépendance des résultats en fonction de la masse, 6 sources sont fabriquées avec des masses se répartissant de 11,6 mg à 41,5 mg. Les activités ainsi obtenues s étendent de 11 kbq à 38 kbq. Le détail de chaque masse est fourni dans le tableau 10. Il est à noter que l'incertitude sur chaque masse est de l'ordre de 0,1 %. Référence source Masse (mg) 3, , , , ,5959 Tableau 10 : Masses des sources mesurées par spectrométrie gamma 4..3 Homogénéité en spectrométrie gamma L homogénéité des sources doit être observée afin de vérifier qu'aucun problème n'est apparu lors de leur fabrication. La figure montre l'homogénéité des comptages exprimés en coups/sec/gramme en fonction de chaque source et observée sur le pic à 08,9 kev. Surfaces cps/s/g Homogénéité des sources (E=08,9keV) N sources Figure 7 : Homogénéité des sources de Ga mesurée sur la raie à 08,95 kev On constate que pour la source n de 19,1516 mg, la mesure obtenue n est pas compatible avec les autres valeurs. La raison de ce biais n est pas expliquée. Les mesures effectuées pour cette source n ont donc pas été prises en compte pour les déterminations des intensités d émission du Ga. 11/17

12 date : 1/11/06 Pour les cinq autres sources, la dispersion observée est inférieure à 1, % et reste compatible avec les incertitudes statistiques obtenues sur ce pic (0,9 %). 5 Résultats obtenus & dépouillements 5.1 Relation pour le calcul des intensités d'émission photonique L expression générale pour calculer les intensités d émission correspond à l équation (3) : SE I ( E) Corrections T Rdt E m m 3 vec S E : Surface du pic à l'énergie E T : Temps d acquisition (sec) Rdt E : Rendement lissé du détecteur à l'énergie E m : ctivité massique de la solution mère (Bq/g) m : masse de la source (g) Corrections) : Ensemble des corrections à prendre en compte comprenant d'une manière générale : le défaut de positionnement, les coïncidences X-X X- et -, la décroissance radioactive, les pertes de comptage dues aux empilements électroniques, l'absorption dans les supports et l'auto-absorption due à la source elle-même. Dans le cas présent, les corrections d'absorption et d auto-absorption sont négligeables. Les sources sont constituées d un dépôt de solution radioactive sur un film mylar fin n'ayant pas d influence sur l absorption du rayonnement. La goutte après séchage crée un dépôt extrêmement fin qui n'offre pas de phénomène d'auto-absorption aux énergies qui nous intéressent. Comme cité précédemment, les activités utilisées sont de quelques kilos becquerel. Elles créent un taux de comptage de quelques centaines de coups par seconde ce qui permet de rendre négligeable les phénomènes liés aux empilements électroniques. Les corrections de coïncidences gamma-gamma ont été estimées pour les deux détecteurs à l'aide du logiciel ETN. Pour le détecteur planaire, il est à noter que compte tenu du faible angle solide de - détection (1,6.10 sr) les corrections appliquées sont très faibles (à peine quelques pour mille pour les plus intenses!). Pour le détecteur coaxial, les corrections calculées avoisinent quelques pour cent. L'expression (3) devient pour le cas présent l'expression simplifiée (4) : SE I ( E) C pos. Ccoïn. C déc. T Rdt E m m 4 vec : Cpos. : correction due aux défauts de positionnement Ccoïn. : correction de coïncidence - Cdéc. : correction de décroissance L incertitude type composée di(e) sur l intensité d émission est obtenue en utilisant la loi de propagation des incertitudes suivant la méthode proposée dans le GUM. Les valeurs prises en compte correspondent aux incertitudes de type liées aux termes rentrant dans l équation (4) et à l'incertitude systématique de type B liée au mode de surfaçage (0,1%). L'expression de calcul correspond à l'équation (5). us E ui ( E ) S I (E ) E urdte RdtE um m um uc pos. uccoïn. ucdéc. 0,1% (5) m C C C pos. coïn. déc. 1/17

13 date : 1/11/06 Le tableau 11 dresse un bilan des incertitudes types rencontrées pour les mesures des intensités d'émission gamma du Ga. Origine Incertitude relative (k=1) use/s E (statistique) 0, % à 5 % suivant les pics urdt/rdt 0,8 % à % suivant le détecteur et l'énergie considérée um/ m 0,6 % um/m 0,1 % ucpos. /Cpos. 0,1 % uccoïn./ccoïn. 0,1 % max. ucdéc. /Cdéc. négligeable Modèle de surfaçage 0,1 % Tableau 11 : Bilan du calcul d'incertitude pour les intensités d'émission photonique 5. Méthode de mesure et de dépouillement En raison de la période courte du Ga, seules sources (références : et 40049) ont pu être mesurées sur le détecteur de type planaire. Elles ont été placées sur le support de source situé à 8,5 mm de la fenêtre de béryllium et du fait de l'absence d'un système optique de positionnement, l excentricité verticale de ces deux sources a donc été prise en compte dans la suite du traitement. La précision absolue sur la distance de mesure utilisée est meilleure que 0,05 mm, ce qui représente une incertitude relative sur le positionnement inférieure à 0,1 %. Pour le détecteur coaxial, les cinq sources homogènes ont été mesurées en prenant soin de bien les positionner avec le banc optique. La précision absolue obtenue sur la distance de mesure est meilleure que 0,05 mm, ce qui représente une incertitude relative sur le positionnement inférieure à 0,1 %. Détecteur coaxial - spectre région 90 kev - Détecteur planaire - spectre région 90 kev - Coup s par canal Coups par canal Energies (kev) Energies (kev) Résidus absolus d'ajustement Résidus absolus d'ajustement 5 Coups par cana l Coups par cana l Energies (kev) Energies (kev) Figure 8 : Exemple de déconvolution du doublet kev avec COLEGRM 13/

14 date : 1/11/06 Chaque spectre alors obtenu sur les deux types de détecteurs a été traité à l'aide du logiciel de déconvolution COLEGRM. La fonction mathématique d ajustement utilisée pour modéliser chaque pic correspond à une gaussienne pure. Elle offre une déconvolution fine des pics permettant de s assurer qu'aucun phénomène parasite, caché dans les pieds du pic, ne perturbe les résultats. De plus, la séparation correcte des pics d un doublet tel que celui du 91 et 93 kev est rendue possible. Un exemple de traitement de cette région est représenté sur la figure Mesures des intensités d émission photonique Les intensités d émission obtenues à partir des mesures réalisées sur les deux détecteurs sont représentées sur les tableaux 11&1. Elles sont comparées aux données fournies par Nucléide. Energies Intensité mesurée di mesurée Intensité Nucléide di nucleide Ecart (kev) 91,7 3,156 0,9 3,07,8 93,31 38,647 0,8 37,8,4, Tableau 1 : Intensités d émission du Ga aux énergies 91 et 93 kev mesurées avec le détecteur planaire Energies Intensité mesurée ui mesurée Intensité Nucléide ui nucleide Ecart (kev) 91,7 3,111 0,9 3,07 1,4 93,31 38,614 0,9 37,8,4, 184,58 1,13 0,9 1,1 08,95,396,37 1,1 300, 16,74 16,8-0,4 393,53 4,64 4,66-0,4 494,17 0,0657 5,1 0,0685 3,9-4,1 703,11 non mesurée - 0,0111 5,4-794,38 0,0565 4,3 0,05 4,6 8,6 887,69 0,,3 0,147 3,5 Tableau 13 : Intensités d émission du Ga aux énergies 91 à 888 kev mesurées avec le détecteur coaxial Les résultats obtenus avec le détecteur planaire sont compatibles avec les données fournies par Nucléide. De plus les incertitudes sont améliorées en moyenne d un facteur 3 à 4. Les résultats obtenus avec le détecteur coaxial sont compatibles avec les données fournies par Nucléide et diminuent fortement les incertitudes jusqu à 393 kev. u-dessus de cette énergie, les intensités d émission sont assez faibles et un défaut de statistiques sur les spectres étudiés ne permet pas d abaisser les incertitudes déjà fournies par Nucléide. Les résultats aux énergies à 91 et 93 kev sont également très compatibles avec ceux du détecteur planaire. Des écarts respectifs de 1,4 % et 0,1 % sont observés. Une moyenne pondérée de ces résultats a été utilisée pour établir les valeurs définitives à ces deux énergies. L intensité d émission à 703 kev n a pas pu être mesurée en raison d'un défaut de statistique sur les spectres mesurés. Cette valeur n est cependant pas indispensable étant donné la faible intensité d émission annoncée par Nucléide, elle n aura donc quasiment pas d influence sur l équilibre du schéma de désintégration. L incertitude prépondérante dans la détermination de l incertitude type composée sur l intensité d émission à 91 kev et 93 kev et pour les deux détecteurs, correspond au rendement (0,7 % à 0,8 %). De 185 kev à 394 kev, les deux termes prépondérants sont liés aux incertitudes relatives sur le rendement (%) du détecteur planaire et sur la surface des pics (0,%). u-dessus de 394 kev, les intensités d émission sont assez faibles. Cela se traduit par un manque de statistique sur les différents pics à étudier. L incertitude relative sur la surface atteint % à 5 % et devient le terme prépondérant dans le calcul de l incertitude type composée. 14/17

15 5.4 date : 1/11/06 Détermination du schéma de désintégration du Ga Calcul des probabilités de transition La détermination des probabilités de transition est obtenue en réalisant pour chaque énergie considérée le produit des intensités d émission mesurées précédemment avec le facteur (1+αt). Les coefficients t correspondent aux coefficients de conversion interne des différentes transitions gamma. Les valeurs utilisées correspondent aux valeurs recommandées dans Nucléide. Les résultats sont représentés sur le tableau 13 et sont comparés à titre indicatif aux données fournies par NUCLEIDE. Intensités d émission mesurées uim αt uαt Probabilités de transition calculées upm Probabilités de transition Nucléide upnu cl Ecart Initial/Final Énergie (kev) /1 91,7 3, 0,7 0,083,06 3,393 0,7 3,3 1/0 93,31 38,63 0,6 0,859 0,0 71,8 0,4 7,4 /0 184,58 1,13 0,018 3,93 1,50 1,3 3,3 1 3/ 08,95,396 0,009 1,98,418,39 1 3/1 300, 16,74 0,004 4,5 16,81 16,9-0,6 3/0 393,53 4,64 0,00,05 4,65 4, -0,4 4/3 494,17 0,0657 5,1 0, ,0658 5,1-4 4/ 703,11 4/1 794,39 0,0565 4,3 0,0005 1,88 0,0565 4/0 887,69 0,,3 0, ,11 0, Niveaux 0,069 3,9 0,0111 5,4 4,3 0,05 4,6 9 4,3 0,147 4 Tableau 14 : Données nucléaires mesurées et calculées des intensités d émission et probabilités de transition du Ga Les probabilités de transition mesurées sont compatibles avec celles présentées par Nucléide avec des incertitudes améliorées d un facteur 6 pour les plus intenses Calcul des probabilités de désintégration par capture électronique ε Les valeurs des probabilités de désintégration par capture électronique résultent de l équilibre s établissant entre toutes les probabilités (transition gamma et capture électronique) qui arrivent sur un niveau d'énergie et toutes les probabilités (transition gamma) qui en partent. Prenons l'exemple du calcul nécessaire pour déterminer 4. En observant le schéma représenté sur la figure 9, l'équilibre de la branche conduit à écrire l'équation (6) : 4 93,3 794,4 300, 91, 3 (6) Il en va de même pour toutes les autres branches et toutes les probabilités de désintégration par capture électronique peuvent être calculées successivement. La valeur ε5 est obtenue en considérant que la somme des différents est égale à 100 %. Les résultats obtenus sont représentés sur le tableau 15. Ils sont comparés à titre indicatif aux données fournies par NUCLEIDE. Niveaux Initial/Final Énergies (kev) ε 0/4 0/3 0/ 0/1 0/0 11, ,9 907,6 100 ε1 ε ε3 ε4 ε5 Probabilités calculées 0,745 3,81,48 51,56 1,88 upc Probabilités nucl. upnucl Ecart,0 0,4 0,6 16,3 0,79 3,8, 50,1,,5 3, 55,6-1,4 0,04 1, Tableau 15 : Valeurs calculées des probabilités de désintégration par capture électronique du Ga 15/17

16 date : 1/11/06 Figure 9 : Schéma de désintégration du Ga Ces résultats calculés sont compatibles avec les données fournies par Nucléide. Ils montrent l existence d une désintégration par capture électronique vers le niveau fondamental (ε5). La valeur obtenue est deux fois plus faible que celle annoncée par Nucléide mais les deux valeurs restent toute fois compatibles. Il convient d ajouter que la précision sur cette donnée est améliorée d un facteur 3. 6 Conclusion Le premier résultat de cette étude est la confirmation du schéma de désintégration du Ga du fait de la compatibilité des données mesurées par spectrométrie gamma avec celles fournies par Nucléide. Les valeurs calculées qui en découlent (probabilités de transition gamma et de captures électroniques) et définissant le schéma de désintégration du Ga confirment la présence d une désintégration par capture électronique vers le niveau fondamental ( 5 ). Ce travail aura également conduit à une importante amélioration des incertitudes (facteur 3 à 6) des données nucléaires et donc à une meilleure précision quant à l utilisation ultérieure de ces données. Les conséquences générées par ce nouveau jeu de données sur la mesure d activité du Ga par chambre d ionisation et par cristal puits ont été étudiées. Pour le cas de la mesure par chambre d ionisation, la réponse expérimentale de la chambre est comparée à la réponse obtenue par simulation. Cette simulation étant calculée à l aide du code de Monté Carlo Pénélope appliqué au schéma de désintégration du radionucléide, l emploi des intensités d émission mesurées au cours de cette étude a permis d améliorer d une part l incertitude de manière conséquente sur le rapport des réponses simulées et expérimentales (l incertitude initiale de 1,6 % a été réduite à 0,4 %) et d autre part de réduire l écart entre la réponse expérimentale et la réponse de la chambre obtenue par simulation (amélioration plus modeste mais significative de 0, %). Concernant la mesure par cristal puits 4, la détermination du rendement de détection est dépendante du schéma de désintégration du radionucléide mesuré. Le calcul du rendement de détection, à partir des données nucléaires précédemment déterminées, conduit à une valeur d activité diminuant de 1, % de celle initialement obtenue à partir des données fournies par Nucléide. Ces données permettent également d améliorer l incertitude sur l activité d un facteur 4. insi, les deux valeurs d activité de la solution de Ga mesurées par les méthodes du cristal puits 4 et des coïncidences 4, qui initialement différaient de 1,7 %, sont désormais compatibles. Ces derniers résultats feront l objet d une prochaine publication dans laquelle figureront de manière plus précise toutes les améliorations apportées par ce jeu de données sur ces deux méthodes. 16/17

17 date : 1/11/06 Références : [1]. Simpson, B.R.S., Ntsoane, T.P., 000. Decay scheme of Ga. ppl. Radiat. Isot. 5, []. Table de radionucléides ISBN (Vol.1) 0/005, ( Evaluation faite par V.P. Chechev et N.K. Kuzmenko, K.R.I., 03/004. [3]. Ruellan, Lépy, Etcheverry, Plagnard, Morel, new spectra processing code applied to the analysis of 35 U and 38 U in the kev energy range. Nucl. Instrum. Methods Phys. Res. 369, /17

NOTE TECHNIQUE. CEA Saclay DETECS-LNHB 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France

NOTE TECHNIQUE. CEA Saclay DETECS-LNHB 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France NOTE TECHNIQUE CEA Saclay DETECS-LNHB 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France Détermination des activités des éléments des chaînes naturelles dans un échantillon de phosphogypse dans le cadre d une comparaison

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Plus en détail

Mesures et incertitudes

Mesures et incertitudes En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

P17- REACTIONS NUCLEAIRES PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

La solution à vos mesures de pression

La solution à vos mesures de pression Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure

Plus en détail

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure

CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure Introduction CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - La mesure d une résistance s effectue à l aide d un multimètre. Utilisé en mode ohmmètre, il permet une mesure directe de résistances hors

Plus en détail

En recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles

En recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles Intérêt de la simulation En recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles En développement : Aide à la prise de décision Comparer des solutions Optimiser

Plus en détail

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie.

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie. Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par

Plus en détail

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226. CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation URSI-France Journées scientifiques 26/27 mars 2013 Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation All Dielectric Superstrate to Control the Half-Power-BeamWidth

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une

Plus en détail

Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale

Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Mention : Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Nature de la formation :

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures?

Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures? Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures? T. Lahaye 1, A. Ferragut 2, Q. Chau 1,JY. Gillot 2 1- Institut de Radioprotection et de Sûreté

Plus en détail

Solutions globales de monitoring sans fil

Solutions globales de monitoring sans fil Solutions globales de monitoring sans fil Les Points forts Détails produit Packet Power fournit le moyen le plus simple et le meilleur rapport efficacité/performance pour la collecte détaillée des puissances

Plus en détail

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!

Plus en détail

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES

SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.

Plus en détail

Insert System. BRANDplates. Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails

Insert System. BRANDplates. Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails BRANDplates Insert System H I G H - T E C H D I S P O S A B L E S Plaques de culture cellulaire et inserts innovants de BRAND pour la

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond. PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de

Plus en détail

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Unités, mesures et précision

Unités, mesures et précision Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet

Plus en détail

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner

2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner 224 file:///fichiers/enseignement/site%20web/impression/rmi/fiches/rmi224... 2.2.4. La courbe en J et la condition de Marshall-Lerner Introduction Paragraphe au format pdf L'exemple de l'italie comme les

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection

Plus en détail

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE?

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE? INVESTIGATION De nombreux appareils domestiques, convecteurs, chauffe-biberon, cafetière convertissent l énergie électrique en chaleur. Comment interviennent les grandeurs électriques, tension, intensité,

Plus en détail

Exposition. VLR plongée e commission photo

Exposition. VLR plongée e commission photo Exposition VLR plongée e commission photo Agenda Définitions Exposition / analogie du verre d eau (de vin?) Ouverture Vitesse Sensibilité La notion d EV Pourquoi cela ne suffit pas? Dynamique des capteurs

Plus en détail

modélisation solide et dessin technique

modélisation solide et dessin technique CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir

Plus en détail

Optimisation mécanique et optique des filtres Ha Partie 1 : Filtres mica-spaced Daystar ou SolarSpectrum 1 Filtre "étalon de Fabry-Perrot" --fenêtre fenêtreoptique, optique, --BF : BF :55àà10 10AA --polarisant

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

NOTICE D' UTILISATION CAMWORKS FRAISAGE. Luc Vallée Lycée Blaise Pascal Segré

NOTICE D' UTILISATION CAMWORKS FRAISAGE. Luc Vallée Lycée Blaise Pascal Segré NOTICE D' UTILISATION Luc Vallée Lycée Blaise Pascal Segré FRAISAGE SOMMAIRE allée Sciences et techniques Fiche n 1 - Généralités principe....page 3 Fiche n 2 - Lancer une application fraisage...page 7

Plus en détail

AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE

AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE A. Dumont, F. Jallon et JB. Monnerie ESIC SN Z.A. du buisson de la couldre 1 Allée des Châtaigniers - F78190 TRAPPES S. Naudet, P. Sayd et M. Viala * LETI (CEA

Plus en détail

Centre de tournage. et de fraisage CNC TNX65/42

Centre de tournage. et de fraisage CNC TNX65/42 Centre de tournage et de fraisage CNC TNX65/42 Le tour TRAUB TNX65/42 pose de nouveaux jalons dans l'usinage à haute performance. Le concept de machine futuriste avec l'incomparable nouvelle unité de fraisage

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

Chapitre 7: Énergie et puissance électrique. Lequel de vous deux est le plus puissant? L'énergie dépensée par les deux est-elle différente?

Chapitre 7: Énergie et puissance électrique. Lequel de vous deux est le plus puissant? L'énergie dépensée par les deux est-elle différente? CHAPITRE 7 ÉNERGIE ET PUISSANCE ÉLECTRIQUE 2.4.0 Découvrir les grandeurs physiques qui influencent l'énergie et la puissance en électricité. Vous faites le grand ménage dans le sous-sol de la maison. Ton

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

TP 3 diffusion à travers une membrane

TP 3 diffusion à travers une membrane TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail