LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL"

Transcription

1 Sous la direction de Claude Michel Claude Jean-Pierre LÉVY-LEBOYER HUTEAU LOUCHE ROLLAND LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL Deuxième édition, 2001, 2003 ISBN :

2 Introduction Introduction générale De la théorie à la pratique et de la pratique à la théorie Claude LÉVY-LEBOYER, Michel HUTEAU, Claude LOUCHE, Jean-Pierre ROLLAND La mondialisation de l économie ainsi que la rapidité des progrès techniques ont donné une importance accrue aux ressources humaines. Leur gestion efficace, ainsi que le développement et la mobilisation des compétences dont disposent les individus faisant partie d une entreprise sont devenus un des éléments clés de la compétitivité. Ce qui a eu une série de conséquences qui mérite l attention. Tout d abord, ces nouvelles attentes ont suscité une forte demande de la part des responsables de ce domaine dans les entreprises, demande très diversifiée, puisqu elle concerne aussi bien l évaluation des potentiels individuels que la solution de problèmes plus spécifiques comme la gestion de la motivation, les interventions relatives au stress, la composition des équipes de projet, le développement des carrières, l établissement de plans de formation, la gestion prévisionnelle des emplois, les effets de l image de l entreprise sur les candidatures, le développement de la «qualité des services», le suivi du moral des expatriés, la gestion des différences de styles résultant de l internationalisation des équipes... pour ne citer que quelques exemples. La réponse à ces besoins ne s est pas fait attendre et on a assisté à une multiplication des offres faites sur le marché par les créateurs de méthodes, de programmes, d interventions, de coaching... offres parfois bien fondées, mais trop souvent soutenues par un marketing efficace, par un recours séduisant aux nouvelles technologies, 17

3 LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL sans données scientifiques vérifiées, et sans preuves objectives de leur efficacité et de leur validité. Il faut rappeler que les périodes caractérisées par des problèmes cruciaux et urgents de recrutement, d orientation et de formation ont toujours fait progresser la psychologie du travail. La Guerre de a vu se développer les méthodes de sélection, la dépression des années 30, les activités de conseil et d orientation professionnelle, la Seconde Guerre mondiale, des avances importantes concernant les méthodes d évaluation indépendantes de la culture, et l appréciation des qualités de leader. A l heure actuelle, la globalisation de l économie et l importance de la compétition en même temps que l apparition de nouvelles formes de travail ont mis l accent sur la formation, l employabilité des non-qualifiés, l évaluation et le développement des compétences, la gestion des problèmes sociaux posés par les retraites anticipées, les conséquences des fusions et des changements structurels qui les accompagnent sur la communication et sur la coopération de salariés issus de cultures très diverses, les effets des restructurations sur le moral et l implication dans l entreprise... De nombreuses recherches ont été conduites dans ces divers domaines et beaucoup d entre elles ont apporté des résultats notables. Citons, par exemple, la démonstration de la validité de certains types d entretien, la structure des habiletés motrices, l identification des dimensions fondamentales de la personnalité et la mise en évidence, très longtemps controversée, de leur validité, les preuves de la validité générale des tests d intelligence, l identification des facteurs de la motivation au travail. En outre, dans le domaine de la formation, il a été clairement montré qu il était possible de procéder à une évaluation expérimentale des effets recherchés et que cette évaluation permettait non seulement le choix de méthodes pertinentes, mais aussi qu elle fournissait des indications pour infléchir dans un sens favorable les pratiques courantes. C est ainsi que les travaux portant sur l évaluation des méthodes destinées à développer des compétences cognitives générales (méthodes de remédiation cognitive comme le PEI ou les Ateliers de raisonnement logique) ont montré qu il était préférable de faire procéder à des apprentissages sur des contenus significatifs plutôt que sur des contenus quelconques et pauvres. Autre conséquence : les Universités, conscientes des possibilités d emploi offertes dans les entreprises aux étudiants formés dans ce domaine, ont créé de nouveaux cursus destinés à faciliter aux jeunes diplômés l entrée dans les services de ressources humaines et dans les organismes de formation et de conseil en ressources humaines. A l heure actuelle, dans les Uni- 18

4 Introduction générale versités Françaises, 30 DESS (formation professionnelle post-maîtrise) concernent le domaine des ressources humaines, avec une orientation vers la psychologie du travail, et regroupent environ 700 étudiants chaque année. Ce qui a forcément entraîné d abord l ouverture de postes d enseignants-chercheurs capables de répondre à ces nouveaux besoins de formation, puis le développement de thèses et d activités de recherche qui étaient rares en France voici une dizaine d années, ainsi que des progrès notables dans la connaissance des travaux internationaux par ces nouveaux spécialistes. On aurait pu espérer que ces progrès soient pris en compte par les gestionnaires des ressources humaines, précisément en raison de l accroissement de la demande. Et que les psychologues du travail jouent un rôle efficace dans les entreprises, comme l avaient fait, au début du siècle dernier les précurseurs qu ont été J.M. Lahy et S. Pacaud, à la SNCF et à la RATP, R. Bonnardel chez Peugeot et Michelin... Ce n est malheureusement pas toujours le cas. Le développement des recherches fondamentales, appuyé par la maîtrise des avancées théoriques dans ce domaine, ne s est pas traduit par une égale avancée des pratiques de terrain. Force est de constater qu il reste difficile pour un gestionnaire de ressources humaines, confronté à un problème pratique et à la nécessité de mettre rapidement en œuvre une solution réaliste, de faire la différence entre un consultant compétent et un amateur éloquent, entre une bonne méthode et un produit non fondé mais bien promu. D autant plus que la presse spécialisée est à la recherche de nouveaux concepts pour les mettre en vedette, ce qui a trop souvent pour effet de transformer des approches parfaitement justifiées en gadgets, plus souvent utilisés parce que c est la mode que pour répondre à un besoin précis. Un exemple récent concerne les démarches dites à «360» parce qu elles consistent à faire décrire les compétences d un cadre par lui-même et par ceux qui travaillent avec lui, supérieur, mais aussi collègues et collaborateurs,- ceci pour définir et mettre en œuvre un plan de développement des compétences. Faire noter un cadre par ses subordonnés a d abord paru inconciliable avec la culture des entreprises françaises. Puis les premiers essais ayant montré que ces nouvelles informations étaient à la fois bien reçues par les cadres concernés et utiles à l organisation, on assiste actuellement à deux dérives. D une part, certaines entreprises veulent essayer ce nouveau «gadget» seulement parce que d autres organisations l utilisent, donc sans avoir un objectif précis, et sans créer les conditions du succès d une activité de développement des compétences. D autre part, les questionnaires à 360 se multiplient sans le souci nécessaire de vérifier leurs qualités métriques. Ceux qui font l essai 19

5 LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL de questionnaires mal construits et qui, en outre, le font sans bien savoir à quoi cette démarche peut servir, n en retirent pas les bénéfices attendus et, selon l expression consacrée, «jettent le bébé avec l eau du bain», condamnant la méthode parce qu ils n ont pas su la mettre en œuvre. En d autres termes, il existe un problème de communication entre praticiens et chercheurs. Quelles en sont les causes? Quels remèdes y apporter? Trois causes fondamentales expliquent cette situation. La première est un véritable problème d identité. La psychologie est un vaste domaine avec des corpus de connaissances couvrant des champs bien différents les uns des autres, qui vont du pathologique au normal, du diagnostic à l intervention, au développement et à l évaluation, et, également, qui se développent aussi bien dans le cadre d un laboratoire de recherche fondamentale que sur des terrains variés. On admet facilement qu un spécialiste de chimie organique ne soit ni concerné, ni compétent, en chimie des colorants, par exemple, donc qu il existe des spécialités très hétérogènes au sein du vaste champ de connaissances et d applications que regroupe le terme de «chimie». Mais la représentation de la psychologie est très souvent dominée par ses applications cliniques, alors que les connaissances scientifiquement établies en psychologie s appliquent également à des cas qui ne ressortent pas d une approche diagnostique ou thérapeutique, et ceci dans des domaines très différents,- l école, le travail, la vie sociale, notamment. L image de la psychologie et des psychologues du travail est encore fortement dominée par ses applications cliniques et correspond trop souvent à une représentation simpliste du psychologue- psychanalyste, sondant... les «replis cachés de la personnalité». Cette représentation fait peur, à tel point que les psychologues qualifiés hésitent parfois à afficher leur titre lorsqu ils travaillent dans une entreprise, que les spécialistes qui utilisent, dans une organisation, les connaissances faisant partie de la psychologie n utilisent que rarement le mot de «psychologue» dans l intitulé de leurs fonctions, et que les éditeurs spécialistes du monde du travail reculent devant les titres d ouvrage comportant le mot de «psychologie». Mieux identifier le domaine, les méthodes de la psychologie du travail, les compétences des professionnels qualifiés, donc les services que peut et doit rendre la psychologie du travail à la gestion des ressources humaines, les différencier clairement des autres champs qui font partie de cette discipline, contribuerait certainement à construire 20

6 Introduction générale une idée plus claire du rôle de la psychologie du travail sur le terrain et à une plus large diffusion des résultats des recherches faites dans ce domaine. La seconde cause est, en quelque sorte, le symétrique de la première. Chercheurs et enseignants en psychologie du travail appartiennent à des organisations universitaires ou à des services de recherche publique qui les incitent peu à se préoccuper de la dissémination de leurs idées, de leurs concepts et de leurs résultats dans le monde du travail. Ils publient dans des revues spécialisées, destinées à d autres chercheurs, et sans toujours se soucier de préciser les conséquences pratiques des avancées de connaissance qu ils exposent. En outre, il s est développé au fil des années un vocabulaire technique qui semble souvent hermétique au praticien de terrain. De fait, la carrière de ces enseignants chercheurs dépend précisément du nombre de publications faites dans des revues spécialisées, destinées à des spécialistes, et très peu de leur impact dans le monde du travail. Rien d étonnant donc si abondent les exemples de recherches n ayant pas de retombées pratiques alors que celles-ci paraissent pourtant assez évidentes. Il est vrai, et la psychologie sociale l a montré dans de nombreux cas, comme le port de ceintures de sécurité, l alcool au volant, l utilité des vaccinations, et, plus récemment, le réchauffement de la planète, que les données scientifiques n entraînent pas automatiquement un changement de comportement. L habitude, la conviction intime que les procédures et les comportements actuels sont efficaces fait obstacle aux changements les mieux fondés. Dans le domaine des applications de la psychologie du travail, il y a nombre d exemples où des conclusions sont bien démontrées mais peu appliquées. C est ainsi que les recherches concernant les entretiens comme source d informations en vue d une décision de recrutement, tels qu ils sont couramment pratiqués, ont montré clairement que la validité prédictive de cette approche est très faible, et que les opinions, forcément subjectives, qu on élabore au cours d un entretien sont fortement dominées par la première impression. Le recruteur d une grande entreprise nationale disait récemment à l un d entre nous qu il était souvent gêné parce qu il avait le sentiment que la décision aurait été différente si son voisin de bureau avait mené l entretien... Mais cela n empêche pas la majorité des recruteurs de tenir le plus grand compte, dans leur décision, de l évaluation qu ils élaborent au tout début de l entretien d embauche. Il est vrai que l entretien a d autres fonctions, d information notamment, et qu il plaît 21

7 LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL aux candidats qui ont le sentiment de pouvoir s exprimer librement. Plus frappant encore les recherches sur l entretien d embauche ont progressé et ont permis de préciser le style et le contenu que doivent avoir des entretiens pour être fiables et conduire à des décisions dont la validité prédictive est meilleure, sans, ici encore, que la majorité des praticiens ne tiennent compte de ces avancées méthodologiques. Non seulement les conclusions pratiques des progrès de la recherche ne sont rendues ni suffisamment visibles ni réellement convaincantes pour les gestionnaires de ressources humaines, mais elles sont souvent présentées d une manière trop complexe, qui décourage ceux qui voudraient en tirer des leçons pratiques. Il est vrai qu il s agit presque toujours de résultats qui ne peuvent être encapsulés dans une formule simple. D où le succès - regrettable- de modèles faciles à retenir, qui peuvent être résumés en deux ou trois phrases, ou, encore mieux, sous la forme d un schéma. C est probablement ce qui explique la vogue durable de la «pyramide» de Maslow, alors qu on a maintes fois démontré que son principe de base est inexact, c est-à-dire qu il n y a pas de corrélation négative entre la satisfaction d un besoin et son pouvoir motivant. Et le fait que certains formateurs continuent à utiliser la «grille de Blake et Mouton» qui a l avantage de proposer une «bonne» manière d exercer son autorité dans l entreprise, mais qui correspond à un modèle normatif simpliste et contredit par toutes les recherches qui ont montré que l efficacité d un style de leadership dépend du contexte dans lequel il doit s exercer. C est encore plus vrai de l accueil favorable fait au modèle «bi-factoriel» de Herzberg qui oppose des besoins «motivateurs» à des besoins «d hygiène», sans que cette distinction n ait pu être validée par les nombreuses enquêtes et études sur les sources de la motivation. Ce qui n empêche pas des consultants peu scrupuleux ou ignorants de le présenter encore comme une «nouveauté», alors que la communauté scientifique a décidé, depuis vingt ans, et d un commun accord, de cesser toute recherche sur ce sujet, après que son caractère erroné ait été abondamment prouvé. Il importe donc que les chercheurs fassent, plus et mieux qu avant, l effort de communiquer leurs résultats aussi bien dans des revues spécialisées destinées à leurs collègues que, de façon aussi opérationnelle que possible, dans des documents destinés aux praticiens. L existence de revues voire de magazines spécialisés publiés en langue française faciliterait probablement aussi la dissémination des résultats de recherche. Et il serait utile que les chercheurs se préoccu- 22

8 Introduction générale pent de promouvoir les changements nécessaires, en les décrivant de manière aussi réaliste que possible, et en utilisant des exemples concrets pour en montrer les avantages. Ajoutons qu il est aussi souhaitable que les commissions qui décident des conditions à satisfaire pour faire évoluer une carrière de chercheur ou d enseignant valorisent le rôle essentiel que ceux-ci sont capables de jouer en-dehors des murs aseptisés de l Université. Ce n est pas tout. La troisième cause concerne le dialogue entre chercheurs et praticiens. Il nous faut écouter, et répondre le mieux possible à tous les aspects pratiques des problèmes rencontrés par les gestionnaires de ressources humaines à l heure actuelle. Prenons l exemple du recrutement. La psychologie du travail s est principalement préoccupée d élaborer et de décrire des prédicteurs valides du succès professionnel, de manière à fournir des instruments et des procédures à ceux qui sont chargés de prendre des décisions de recrutement, et, également de construire des normes qui permettent d interpréter les résultats de façon adaptée. Dans la réalité le recrutement soulève bien d autres problèmes : comment recruter dans un marché du travail étroit? Comment relier le recrutement à la stratégie de l entreprise et à sa vision? Comment choisir les méthodes les plus rentables? Comment utiliser les nouvelles technologies de l information pour recruter? Comment éviter d utiliser des méthodes et procédures conformes à la législation et s assurer que les procédures retenues ne sont pas discriminatoires? Comment retenir dans une perspective porteuse du marché de l emploi les personnels performants? Plusieurs bonnes raisons expliquent aussi que les chercheurs répondent parfois à côté de la demande qui leur est faite. D abord parce que l expérience montre qu une demande explicitée dissimule parfois un problème différent et qu il faut prendre en considération. Également parce que nous n avons pas la bonne réponse et que le projet de recherche ou le programme d enquête proposée ne correspond pas à la nécessité de prendre rapidement une décision. Les contraintes de l application ne doivent pas non plus faire négliger les exigences déontologiques. Même si Kurt Lewin a affirmé qu il n y a rien de plus pratique qu une bonne théorie, il faut bien reconnaître que toute théorie qui vise la parcimonie dans le choix des variables à prendre en compte a nécessairement un caractère général et abstrait. Certes, avant toute application, un modèle théorique doit être correctement démontré. Mais, ensuite, son application doit répondre aux caractères spécifiques de chaque situation. Par exemple, on peut 23

9 LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL décrire avec précision, et en s appuyant sur des preuves rigoureuses, les conditions pour qu un groupe soit efficace : un objectif clair et compris par tous, qui constitue un défi, qui soit important pour tous les membres du groupe, et aussi une équipe composée de manière équilibrée, avec un ensemble de compétences adéquates et bien diversifiées, le fait que les membres acceptent des normes communes, et enfin un contexte organisationnel qui soutient l équipe et lui apporte les ressources d expertise nécessaires. On peut enseigner ces principes dans des sessions de formation bien agencées. Mais c est de retour sur le terrain que les difficultés vont peut-être commencer : comment faire accepter un objectif clair et commun à des cadres qui ont une expérience et des priorités différentes? Comment trouver les réserves de compétences nécessaires dans l organisation? Quelles sources de motivation mettre en place pour stimuler le groupe? La réponse du théoricien à ces contraintes de terrain consiste trop souvent à développer un schéma de contingences qui respecte la vérité, mais qui rend la situation encore plus confuse et les règles énoncées encore plus difficiles à appliquer. La troisième cause est liée au décalage entre les demandes du terrain et les objectifs des chercheurs. La logique de la recherche, c est d avoir un schéma théorique cohérent qui constitue une hypothèse de travail, puis de mettre en œuvre une procédure de vérification afin d accroître nos connaissances en confirmant l hypothèse, ou, plus souvent en la modifiant pour ouvrir la voie à d autres recherches. Alors que, sur le terrain, les gestionnaires de ressources humaines sont confrontés à des problèmes qui exigent des solutions rapides, faciles à faire accepter, et ne supposant ni recherche à long terme, ni... «réponse de normand». En outre, la solution proposée doit être adaptée au contexte de l entreprise. Or toute nouvelle méthode, qu il s agisse d organisation du travail, de notation, de gestion de carrière, de développement des compétences, de motivation, de formation, d évaluation et de prise en compte du moral... constitue un changement perçu comme une prise de risque, donc pas facile à faire accepter. Et sur tous ces points, les gestionnaires de ressources humaines souhaitent non seulement des réponses toutes prêtes, mais également des solutions non inédites, qui ont prouvé ailleurs non seulement leur efficacité mais aussi leur compatibilité avec la culture d entreprise. Alors que le chercheur sollicité a besoin de temps pour mener une étude précise. Sur ce point, il faut également noter la frustration des chercheurs qui souhaitent que la méthode ou l intervention qu ils ont 24

10 Introduction générale contribué à introduire soit validée grâce à un suivi précis et objectif de ses effets. Ce suivi qui passe nécessairement par des études longitudinales ou prospectives est rare, et il faut bien dire que, sur le terrain, on se soucie peu de regarder en arrière pour faire le point des succès et chercher la cause des erreurs, parce que le quotidien polarise tous les efforts. Bref, si la pratique a tout intérêt à s appuyer sur des théories, la complexité des situations concrètes et les contraintes de tout changement font qu elle ne se réduit jamais à leur simple application. On peut donc faire un double constat concernant la psychologie appliquée à la gestion des ressources humaines. A côté du développement actuel des recherches et de leurs résultats, aussi bien au plan international qu à l intérieur de notre pays, la dissémination de ces résultats reste insuffisante. Elle est pourtant souhaitable à une époque où la bonne solution des problèmes posés aux gestionnaires de ressources humaines contribue de plus en plus au succès et à la compétitivité des entreprises. En fait le tableau n est pas aussi sombre que l analyse précédente pourrait le faire croire. De plus en plus souvent, les difficultés qui viennent d être décrites sont surmontées, soit parce que les connaissances acquises par la psychologie du travail sont effectivement appliquées sur le terrain, soit parce que les résultats des recherches et les schémas théoriques font l objet d indications précises, illustrées d exemples concrets sur les méthodes et les interventions. Mais ces exemples, qui sont susceptibles d entraîner une meilleure utilisation de la psychologie du travail et de ses résultats, restent trop souvent confidentiels et peu accessibles aux gestionnaires de ressources humaines. D où le souhait, concrétisé par la démarche adoptée pour construire cet ouvrage, de montrer que, sur le terrain, et confrontés à des problèmes spécifiques, les psychologues sont actuellement capables d apporter aussi bien des solutions valides que des indications théoriques applicables. Ce livre n est donc pas un «traité de psychologie du travail», qui aurait été construit sur un plan défini à l avance et qui aborderait tous les thèmes selon un plan logiquement élaboré. La méthode qui a permis de rassembler les textes qui composent cet ouvrage est bien différente. Pour tenter d aborder les problèmes rencontrés aujourd hui dans la réalité des entreprises et du monde du travail, et les solutions qui leur sont apportées sur le terrain, les quatre éditeurs de cet ouvrage collectif ont contacté plus de deux cents psychologues du travail, universitaires, chercheurs, consultants. La lettre qui leur a été adressée précisait les intentions de l ouvrage et leur 25

11 LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL demandait s ils pouvaient soumettre des projets de chapitre consacré à un problème rencontré sur le terrain et ayant fait l objet d une réponse réaliste et justifiée par des connaissances théoriques précises. Il était également indiqué notre souhait de concrétiser cette orientation par des titres de chapitres sous la forme d interrogation. Les propositions ont été étudiées par les quatre responsables de l ouvrage et trente projets de chapitre ont été retenus. Chaque chapitre a été relu par deux d entre nous, et des modifications ont été demandées aux auteurs, pratiquement dans tous les cas. L ensemble des trente chapitres a été regroupé en quatre parties, consacrées au recrutement, à la gestion des carrières, au management des hommes, et aux problèmes posés par les nouvelles technologies. Chaque partie est précédée d une introduction qui en décrit le contenu. Le lecteur ne doit pas s attendre à trouver dans chacune de ces parties une présentation complète et articulée des différents aspects liés à l intitulé de la partie. D abord parce que tous les problèmes qui peuvent se poser n ont pas été traités; ensuite parce que notre souci n était pas de développer un schéma théorique exhaustif concernant les thèmes qui servent d étiquette à chaque partie de l ouvrage, mais plutôt de rassembler des exemples de ce qui peut être fait ou dit sur des problèmes concrets. En outre, certains problèmes font l objet de développements plus théoriques parce que justifier la pratique suppose une bonne maîtrise des fondements théoriques. C est le cas, par exemple, des différents chapitres concernant le choix des méthodes d évaluation des aptitudes et de la personnalité. D autres ont une orientation beaucoup plus pratique parce que la nouveauté du sujet traité impose de partir des premières observations faites sur le terrain. Dans tous les cas, nous avons voulu rassembler des exemples qui montrent le bénéfice qu on peut tirer de l application des données acquises par la psychologie du travail pour la solution de problèmes concrets, et rappeler, chaque fois que cela s avérait possible, les règles déontologiques et scientifiques qui doivent accompagner et justifier toute intervention concernant les «ressources humaines». Un dernier mot, en guise de conclusion. Cet ouvrage n est pas complet. Pour ne citer, ici encore, que quelques exemples, il n y a rien l évaluation et le rôle de la satisfaction, sur les relations inter-groupes, ni sur les problèmes actuels que sont le harcèlement ou encore l application du dispositif légal sur les 35 heures. Au lecteur de nous signaler les thèmes qu il aurait voulu voir traiter, ou, mieux encore, de nous proposer, pour une prochaine réédition, de rédiger un chapitre supplémentaire sur un problème qu il connaît pour l avoir traité et l avoir fait en tenant compte des connaissances théoriques disponibles. 26

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe. Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Une stratégie d enseignement de la pensée critique

Une stratégie d enseignement de la pensée critique Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Formation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé)

Formation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé) MASTER PROFESSIONNEL Sciences de l éducation master (bac+5). (ex DESS) Consultant chargé de missions d évaluation Pour devenir intervenant chargé de missions d évaluation : Expert, consultant ou coach

Plus en détail

Rapport candidat. John Sample. 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL

Rapport candidat. John Sample. 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL Introduction 6 juillet 2012 Introduction Toutes les informations contenues dans ce rapport sont confidentielles et uniquement destinées à la personne ayant rempli le questionnaire.

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit?

Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? Retour au sommaire Le scoring est-il la nouvelle révolution du microcrédit? BIM n 32-01 octobre 2002 Frédéric DE SOUSA-SANTOS Le BIM de cette semaine se propose de vous présenter un ouvrage de Mark Schreiner

Plus en détail

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie Pratiques psychologiques Le psychologue du travail Licence 1. Psychologie Nadra Achour-2014 ISSHT-Université Tunis-El Manar Introduction Qu est ce qu un psychologue du travail? Ses champs d intervention?

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé

Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé Grenoble INP ENSE Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE

Plus en détail

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent

Plus en détail

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com 37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com Programme de formation Marketing direct Contexte de formation.. 2 Objectifs de formation 2 Programme

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

Retenir les meilleurs talents

Retenir les meilleurs talents Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne

Plus en détail

Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets

Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Outplacement Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets L outplacement Nous abordons la transition de carrière comme une

Plus en détail

gestion du stress coaching d équipe coaching d entreprise

gestion du stress coaching d équipe coaching d entreprise évolitude, est un cabinet de coaching et de en management et développement personnel, situé sur Paris et exerçant sur toute la France. Constitué de coachs certifiés et consultants partenaires, évolitude

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Les Assessment Centers.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Les Assessment Centers. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Les Assessment Centers. Apparus dans les armées allemande et britannique durant la seconde guerre mondiale, puis développés aux USA et dans le Royaume- Uni

Plus en détail

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Bourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures

Bourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures Bourse de recherche Jeff Thompson Politique et procédures Table des matières Objet et contexte... 2 Financement... 2 Candidats admissibles... 3 Processus de sélection et d attribution de la bourse... 4

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

Rendez vous sur notre site. www.cv-star.com

Rendez vous sur notre site. www.cv-star.com Rendez vous sur notre site www.cv-star.com Index L emploi en France : Constat et conséquences Le marché de l emploi en France Répondre aux besoins des entreprises De nouvelles méthodes de recrutement La

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues?

Étude 2013 sur la. reconnaissance des bénévoles. Contenu. Comment les bénévoles canadiens souhaitent-ils que leurs contributions soient reconnues? Étude 2013 sur la reconnaissance des bénévoles Contenu Objectifs et méthodologie de la 2 recherche 3 Principaux résultats 4 Engagement bénévole Reconnaissance des bénévoles 6 Comment les bénévoles canadiens

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 JEAN-LUC VIRUÉGA Traçabilité Outils, méthodes et pratiques, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 2 à l assurance qualité Après la définition de la traçabilité dans la métrologie, on peut remarquer que le domaine

Plus en détail

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments :

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments : S A N T É P U B L I Q U E RAPPORT SYNTHÈSE Évaluation des effets du programme Les médicaments : Oui Non Mais! En santé après 50 ans Depuis janvier 1997, la Direction de santé publique s est associée à

Plus en détail

REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE FRANCOPHONE

REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE FRANCOPHONE Comptes rendus du congrès SELF-ACE 200 Les transformations du travail, enjeux pour l ergonomie Proceedings of the SELF-ACE 200 Conference Ergonomics for changing work REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s)

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s) L'application de cette politique est sous la responsabilité et la coordination de la Direction générale en collaboration avec la Direction des études et la Direction de la formation continue (langue d

Plus en détail

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION»

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» «PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» PROMO 7 La formation au coaching QUI SOMMES-NOUS? Nous sommes des coachs professionnels, hommes et femmes, témoins et acteurs de l évolution des

Plus en détail

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel

Plus en détail

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Doctorate of Business Administration Programme francophone

Doctorate of Business Administration Programme francophone Mis à jour le 11-10-13 Doctorate of Business Administration Programme francophone 1. Présentation du programme DBA(F) Le programme Doctorate of Business Administration (DBA) assuré à distance par l American

Plus en détail

Le M.B.A. professionnel

Le M.B.A. professionnel Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est

Plus en détail

Catalogue de formations. Leadership & développement durable

Catalogue de formations. Leadership & développement durable Catalogue de formations Leadership & développement durable Table des matières La formatrice 3 L Art de prendre de bonnes décisions 4 Mieux communiquer pour mieux collaborer 5 Développer sa capacité d influence

Plus en détail

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

RESPONSABLE DU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL ET MARKETING

RESPONSABLE DU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL ET MARKETING RESPONSABLE DU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL ET MARKETING Formation intensive à temps plein - Titre certifié par l État de niveau II Arrêté du 19/11/2013 publié au JO du 29/11/2013 BIENVENUE DANS LE MONDE DES

Plus en détail

POUVOIR ET LEADERSHIP

POUVOIR ET LEADERSHIP POUVOIR ET LEADERSHIP 1- Introduction sur les notions de pouvoir et de leadership Le pouvoir et le leadership sont deux concepts extrêmement liés. Nous traiterons ici essentiellement du second, le premier

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne

Plus en détail

DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE

DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE Révision des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de fortune La nouvelle version des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

Tamarha Pierce, professeure agrégée Faculté des sciences sociales, École de psychologie. Prix Distinction en enseignement pour les professeurs

Tamarha Pierce, professeure agrégée Faculté des sciences sociales, École de psychologie. Prix Distinction en enseignement pour les professeurs Concours des prix d excellence en enseignement 2012-2013 Lauréates et lauréats Volet Pratiques pédagogiques Yvan Bédard, professeur titulaire Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Département

Plus en détail

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction

Plus en détail

Le Québec, terre de traduction

Le Québec, terre de traduction Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

!! CENTRAL TEST": e-evaluation RH. Leader des tests de personnalité, d'orientation et de compétences. Dossier de presse - 2010

!! CENTRAL TEST: e-evaluation RH. Leader des tests de personnalité, d'orientation et de compétences. Dossier de presse - 2010 !! CENTRAL TEST": e-evaluation RH Leader des tests de personnalité, d'orientation et de compétences CONTACT PRESSE : INCOGNITO CORP/ACCOM S Agnès SUILS - Nicolas MILCENT Tél. : 01 70 74 11 11 E-mail :

Plus en détail

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation

Plus en détail

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Infectiologie : microbiologie, virologie, immunologie de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation

Plus en détail

Plan de cours. Comportement organisationnel

Plan de cours. Comportement organisationnel ÉCOLE NATIONALE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Plan de cours ENP 7106 Comportement organisationnel Hanoi Avril 2011 Joanne Greene, M. Ps. joanne.greene@enap.ca Ce cours permet à l étudiant d approfondir sa

Plus en détail

Master Ressources Humaines

Master Ressources Humaines 1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources

Plus en détail

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

Offre de bourses doctorales Programme interuniversitaire de formation en recherche en santé mondiale (Santé Cap)

Offre de bourses doctorales Programme interuniversitaire de formation en recherche en santé mondiale (Santé Cap) Offre de bourses doctorales Programme interuniversitaire de formation en recherche en santé mondiale (Santé Cap) Qu est ce que le Programme Santé Cap? Le Programme interuniversitaire de formation en recherche

Plus en détail

S T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local

S T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local DELTA-C Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local FORMATION UNIVERSITAIRE ETABLI EN 2009 PROGRAMMES DE LMD (LICENCES-MASTERS-DOCTORATS) Fiche Scientifique et Pédagogique DOMAINE

Plus en détail

Les nouveaux tableaux de bord des managers

Les nouveaux tableaux de bord des managers Alain Fernandez Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet Business Intelligence clés en main Sixième édition Tableaux bord NE.indd 3 26/03/13 15:22 Introduction Piloter la performance, un travail

Plus en détail

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Types de questions d examen Un examen en droit peut comporter plusieurs types de questions : à réponse courte, à développement,

Plus en détail