Détection exhaustive des gènes orthologues entre deux génomes complets
|
|
- Claudine Brunet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Détection exhaustive des gènes orthologues entre deux génomes complets GTGC - 12 octobre 2006 Claire Guillet, Laurent Guéguen et Laurent Duret Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive - Lyon 1
2 Problématique Recherche des gènes apparus ou disparus spécifiquement dans une (plusieurs) lignée(s) de mammifères => Première étape : détection des gènes orthologues (= qui dérivent d un ancêtre commun par spéciation) par: - similarité des séquences - phylogénie GTGC
3 1) Meilleure similarité réciproque (ou RBH) G1 Ga G1 Ga G2 Gb G2 Gb G3 G4 G5 Gc Gd G3 G4 G5 Gc Gd I- génome A contre génome B II- génome B contre génome A GTGC
4 1) Meilleure similarité réciproque (ou RBH) G1 G2 G3 G4 G5 Ga Gb Gc Gd Meilleures similarités réciproques => gènes orthologues Avantages : Assez sensible Inconvénients : Suppose que les gènes ont une relation d orthologie 1:1 GTGC
5 2) Utilisation de la phylogénie : Réconciliation d arbres 1- Construire l arbre phylogénétique des gènes ; éventuellement réconciliation avec arbre des espèces Homme Souris Rat Souris Homme Rat Arbre phylogénétique des espèces Arbre pour une famille de gènes GTGC
6 2) Utilisation de la phylogénie : Réconciliation d arbres 1- Construire l arbre phylogénétique des gènes ; éventuellement réconciliation avec arbre des espèces Gène 1 Gène 2 Duplication Homme1 Souris1 Rat1 Homme2 Souris2 Rat2 Arbre des gènes réconcilié avec l arbre des espèces GTGC
7 2) Utilisation de la phylogénie : Recherche de motifs d arbre 1- Construction de l arbre réconcilié 2- Rechercher un motif d arbre (par exemple, tous les gènes orthologues entre l homme et la souris mais pas de duplication) Avantages : P spécifique + Détection des familles d orthologues n:m Inconvénients : manque de sensibilité (à cause critères construction arbres phylogénétiques) GTGC
8 3) Utilisation de la conservation de la synténie Au total, ~ 60-70% de gènes orthologues entre les génomes humain et murin -> on attend 96 %!! Utilisation de la conservation de l ordre des gènes : Si on a deux paires d orthologues sûrs, deux gènes moyennement similaires mais situés entre les deux peuvent aussi être orthologues A A C C B B GTGC
9 Procédure - Résultats 1) Sélection d un jeu d orthologues sûrs ; qui vont délimiter des intervalles sur chaque génome et des intervalles orthologues entre deux génomes 2) Utilisation de ces intervalles pour placer les gènes restants: recherche de similarités de séquence au sein des intervalles orthologues, au niveau protéique et nucléique GTGC
10 I- Jeu d orthologues sûrs 1) Construction des intervalles à partir des orthologues non ambigus = orthologues 1:1 prédits par RBH et par phylogénie A B ancres intervalles A B GTGC
11 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie 1) Placer les autres gènes prédits orthologues (par RBH ou par phylogénie uniquement) dans les intervalles ordre: orthologues 1:1 puis orthologues n:m 2) Confirmer ou invalider ces relations GTGC
12 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
13 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
14 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
15 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
16 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
17 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
18 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
19 1) Construction des intervalles : autres prédictions d orthologie GTGC
20 Génome humain gènes 1) Construction des intervalles : résultats 46% Orthologues non ambigus gènes RBH + synténie gènes Phylogénie + synténie gènes 13% 10% 31% Orphelins + rejetés gènes GTGC
21 I- Jeu d orthologues sûrs 2) Caractéristiques des ancres: co-orientation Orientation (= sens de transcription sur le génome) Co-orientation (=même sens de transcription sur les deux génomes) - On attend : Dans intervalles orthologues : tous les gènes co-orientés En dehors : moitié de co-orientation - Majorité des gènes ajoutés sont co-orientés (89 à 96 %) gènes prédits orthologues mais invalidés : 50 % GTGC
22 2) Caractéristiques des ancres: gènes sans introns Mécanismes de duplication de gènes : - duplication segmentaire, souvent en tandem (donc conservation de la synténie) - rétrotranscription : perte des introns Proportion du nombre de gènes sans introns dans les différents jeux de gènes: => Les ancres ont moins de gènes sans introns (donc moins de rétrotranscription) souvent perte de la synténie Au total, 18% de gènes sans introns 6 % pour les orthologues non ambigus ; 8 à 15 % pour les gènes prédits et validés comme ancres 30 à 40 % pour les autres GTGC
23 I- Jeu d orthologues sûrs Jeu d ancres «sûres»: Conclusions gènes pour l homme (68 % du génome), dont orthologues 1:1, orthologues n:m gènes chez la souris (62 % du génome), dont orthologues 1:1 et 2400 orthologues n:m Vérification par: co-orientation, mesure du nombre de gènes sans introns GTGC
24 II- Etude des gènes non retenus comme ancres Environ gènes chez l homme et chez la souris qui n ont pas de prédiction d orthologie - Recherche de similarités de séquences, protéiques et nucléiques, au sein des intervalles orthologues - Alignement génomique (en cours) GTGC
25 II- Gènes non retenus comme ancres 1) Recherche de similarités de séquences protéiques - Recherche de similarités de séquence par BLASTp, très peu strict (E-value < 20), entre les deux protéomes => pour chaque gène, liste des hits et E-value associée E-value : indice de confiance sur le hit ( = nombre de séquences attendues par hasard dans la banque avec une telle similarité) - Modification de la E-value pour tenir compte du fait que le hit soit trouvé dans un intervalle orthologue ou non => peu concluant GTGC
26 1) Recherche de similarités de séquence 1) Un ou plusieurs hits dans un intervalle orthologue, avec E-value suffisamment faible --> orthologues 2) Le meilleur hit est en dehors de l intervalle, E- value suffisamment faible 3) Pas de hits --> orphelins GTGC
27 1) Recherche de similarités de séquence au niveau protéique : résultats Homme Souris Nombre de gènes ayant au moins un hit 630 (11%) (16%) Homme Souris Co-orientation 46 % 54 % Gènes sans introns 25 % 35 % GTGC
28 1) Recherche de similarités de séquence au niveau protéique : résultats Homme Souris Nombre de gènes ayant au moins un hit 630 (11%) (16%) Homme Souris Similarités hors intervalles orphelins GTGC
29 2) Recherche de similarités de séquences au niveau nucléique Pour essayer de détecter des gènes non annotés =>recherche de similarité par tblastn (Comparaison de toutes les protéines d un génome, contre les deux brins de l autre génome traduits dans les 6 phases) -> Pour chaque gène: liste de ses hits avec leur position sur le génome ->Regarde si hit appartient à un intervalle orthologue GTGC
30 2) Recherche de similarités de séquences au niveau nucléique : premiers résultats Homme Souris Nombre de gènes ayant au moins un hit 320 (14% gènes traités) 331 (11%) Nombre de hits hors d un CDS GTGC
31 3) Alignement génomique 2 objectifs: - Vérification des prédictions d orthologie (vérifier pour chaque famille que les coordonnées du gène humain correspondent à une séquence alignée sur le génome murin) - Pour les orphelins: essayer de détecter une région orthologue Exon Exon dégénéré GTGC
32 Conclusions - Perspectives Gènes orthologues: En partant des orthologues non-ambigus, on arrive en utilisant la synténie à ~ 70 % d orthologues sûrs (homme), et ~ 60% (souris). Détection de similarité au sein des intervalles orthologues (3%) -> mais orthologie à vérifier Validation de la méthode en l'appliquant à d autres génomes GTGC
33 Conclusions - Perspectives Gènes qui ont séquences similaires mais pas conservation de la synténie -> Faux positifs (méthodologie, similarité de domaines) -> Gènes transloqués ou rétrotranscrits Gènes orphelins : 10 %! -> erreurs d annotations -> Gènes perdus dans un des deux génomes: comparaison avec le chien ou d autres espèces ->Gènes spécifiques d une lignée. Fonctions particulières? GTGC
34 Merci pour votre attention! GTGC
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche
Plus en détailIntroduc)on à Ensembl/ Biomart : Par)e pra)que
Introduc)on à Ensembl/ Biomart : Par)e pra)que Stéphanie Le Gras Jean Muller NAVIGUER DANS ENSEMBL : PARTIE PRATIQUE 2 Naviga)on dans Ensembl : Pra)que Exercice 1 1.a. Quelle est la version de l assemblage
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailMaster de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant
Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailBig data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit
Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit C. Gaspin, C. Hoede, C. Klopp, D. Laborie, J. Mariette, C. Noirot, MS. Trotard bioinfo@genopole.toulouse.inra.fr INRA - MIAT - Plate-forme
Plus en détailIdentification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines
Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes
Plus en détailGénomique Comparative et intégrative
Génomique Comparative et intégrative Introduction : Le big data : on peut traiter des données massives à présent, l'objectif à présent est d'éviter les transferts de données trop longs. On a tout à portée
Plus en détailPerl Orienté Objet BioPerl There is more than one way to do it
Perl Orienté Objet BioPerl There is more than one way to do it Bérénice Batut, berenice.batut@udamail.fr DUT Génie Biologique Option Bioinformatique Année 2014-2015 Perl Orienté Objet - BioPerl Rappels
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLes bases de données transcriptionnelles en ligne
Les bases de données transcriptionnelles en ligne Différents concepts en régulation transcriptionnelle sites de fixation - in vitro/vivo? - quelle technique? - degré de confiance? facteur de transcription
Plus en détailModule Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique
Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique Planning du Module : Date Heure Salle 12/12 9h-12h TD info TA1Z bat 25 13h-17h TD info TA1Z bat 25 13/12 9h-12h TD info TA1Z
Plus en détailUTILISATION DE LA PLATEFORME WEB D ANALYSE DE DONNÉES GALAXY
UTILISATION DE LA PLATEFORME WEB D ANALYSE DE DONNÉES GALAXY Yvan Le Bras yvan.le_bras@irisa.fr Cyril Monjeaud, Mathieu Bahin, Claudia Hériveau, Olivier Quenez, Olivier Sallou, Aurélien Roult, Olivier
Plus en détailBase de données bibliographiques Pubmed-Medline
Chapitre 1 ; Domaine 1 ; Documentation ; Champs référentiels 1.1.1, 1.1.2 et 1.1.3 Base de données bibliographiques Pubmed-Medline D r Patrick Deschamps,, 30 mai 2007 PLAN C2i métiers de la santé Introduction
Plus en détailMASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE
MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité
Plus en détailTESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple
TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses
Plus en détailENSEIGNEMENTS ET SÉMINAIRES
CHAIRE ESSEC-AVENTIS ÉTHIQUE & BIOTECHNOLOGIES Dans un marché comme celui du médicament où les clients sont d abord des patients, les biotechnologies sont appelées à répondre à un double défi, à la fois
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailCATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA
1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...
Plus en détailDétection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailCompte-rendu de fin de projet
Compte-rendu de fin de projet Projet ANR-07-GPLA-004 GNPAnnot / Community system for structural, functional and comparative annotation dedicated to green genomes Programme GPLA 2008 A IDENTIFICATION...2
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailMise en place de serveurs Galaxy dans le cadre du réseau CATI BBRIC
Mise en place de serveurs Galaxy dans le cadre du réseau CATI BBRIC {Sebastien.Carrere, Ludovic.Legrand,Jerome.Gouzy}@toulouse.inra.fr {Fabrice.Legeai,Anthony.Bretaudeau}@rennes.inra.fr CATI BBRIC 35 bioinformaticiens
Plus en détail5 ème Chapitre 4 Triangles
5 ème Chapitre 4 Triangles 1) Médiatrices Définition : la médiatrice d'un segment est l'ensemble des points équidistants des extrémités du segment (cours de 6 ème ). Si M appartient à la médiatrice du
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailE-Biothon : Une plate-forme pour accélérer les recherches en biologie, santé et environnement.
E-Biothon : Une plate-forme pour accélérer les recherches en biologie, santé et environnement. N.Bard, S.Boin, F.Bothorel, P.Collinet, M.Daydé, B. Depardon, F. Desprez, M.Flé, A.Franc, J.-F. Gibrat, D.
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailContraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel
Contraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel Jean-Michel Hotton Directeur des relations institutionnelles Laboratoire Pfizer 10 ème Journées Nationales
Plus en détailGénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010
GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 Analyse de la diversité moléculaire des régions génomiques de 30 gènes du développement méristématique dans une core collection
Plus en détailQue faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps?
Chapitre 3 Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps? On va la plupart du temps se limiter à l étude de couple de variables aléatoires, on peut bien sûr étendre les notions introduites
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailLaboratoire de Photophysique et de Photochimie Supra- et Macromoléculaires (UMR 8531)
Unité Mixte du CNRS (UMR8531) Institut de Chimie Directeur : Keitaro NAKATANI (PU ENS Cachan) Courrier électronique : nakatani@ppsm.ens-cachan.fr http://www.ppsm.ens-cachan.fr Problématique générale :
Plus en détailMise en œuvre de la virtualisation à l IGBMC. Guillaume Seith Remy Fritz
Mise en œuvre de la virtualisation à l IGBMC. Guillaume Seith Remy Fritz Introduction Contexte Objectifs Mise en œuvre Présentation Exploitation Conclusion IGBMC: Institut de génétique et de Biologie Moléculaire
Plus en détailChaînes de Markov au lycée
Journées APMEP Metz Atelier P1-32 du dimanche 28 octobre 2012 Louis-Marie BONNEVAL Chaînes de Markov au lycée Andreï Markov (1856-1922) , série S Problème 1 Bonus et malus en assurance automobile Un contrat
Plus en détailLignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA
Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Les présentes lignes directrices formalisent les principes généraux de bonne gestion et de bonne administration
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailPort de Saint Laurent du Var - Barème des redevances Année 2013 1/10
Port de Saint Laurent du Var - Barème des redevances Année 2013 1/10 ANNEXE AU CAHIER DES CHARGES DE LA CONCESSION OCTROYEE AU YACHT CLUB INTERNATIONAL DE SAINT LAURENT DU VAR POUR L ETABLISSEMENT ET L
Plus en détailProcessus et stratégie d investissement
FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie
Plus en détailClasser le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles
Classer le vivant Module de formation pour les professeurs des écoles L'objectif de cette formation est de permettre aux stagiaires de construire les connaissances et les méthodes permettant de classer
Plus en détailPrincipes de bonne pratique :
Principes de bonne pratique : Recommandations en vue de la création de bases de données génétiques nationales Le présent document a été élaboré par le Groupe d experts d INTERPOL sur le suivi des techniques
Plus en détailTout savoir sur. la fibre optique. Livret didactique
Tout savoir sur Livret didactique la fibre optique EXPERIDE 10 place Charles Béraudier, Lyon Part-Dieu, 69428 LYON CEDEX 3, France Tel. +33 (0)4 26 68 70 24 Fax. +33(0)4 26 68 70 99 contact@experide-consulting.com
Plus en détailPersonnels ITRF de catégorie C (A.D.T.R.F. - A.G.T.R.F. - A.S.T.R.F.) Postes offerts à la mutation au 01/09/2007
AIX MARSEILLE Université de la méditerranée Aix- Marseille II ADT WB0338 I I5X01 aide en gestion scientifique et technique Marseille 5ème V 01/09/2007 ADT O7926R A A5B01 Préparateur en biologie Marseille
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailN 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3
Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLe cycle de développement des produits à la Société GRICS : une nouvelle approche
Le cycle de développement des produits à la Société GRICS : une nouvelle approche Par : Denis Bessette Développement des systèmes Société GRICS Plan de la présentation 1. Agile et la planification stratégique
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailBig Data et Graphes : Quelques pistes de recherche
Big Data et Graphes : Quelques pistes de recherche Hamamache Kheddouci Laboratoire d'informatique en Image et Systèmes d'information LIRIS UMR 5205 CNRS/INSA de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1/Université
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
[TRADUCTION] Citation : A. D. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 5 ENTRE : A. D. N o d appel : GE-13-1152 Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION
Plus en détail«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE)
«LA PROTECTION DU SECRET DES SOURCES DES JOURNALISTES» U.I.A. - CONGRÈS DE FLORENCE (COMMISSION DU DROIT DE LA PRESSE) SOMMAIRE Introduction PREMIERE PARTIE: LES RÈGLES RÉGISSANT LA PROTECTION DES SOURCES
Plus en détailLe signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz
Le signal GPS Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Deux signaux en sont dérivés: L1 (fo x 154) = 1.57542 GHz, longueur d onde = 19.0 cm
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailComment reproduire les résultats de l article : POP-Java : Parallélisme et distribution orienté objet
Comment reproduire les résultats de l article : POP-Java : Parallélisme et distribution orienté objet Beat Wolf 1, Pierre Kuonen 1, Thomas Dandekar 2 1 icosys, Haute École Spécialisée de Suisse occidentale,
Plus en détailPREMIERE DEMANDE D UNE CARTE NATIONALE D IDENTITE
PREMIERE DEMANDE 1 ER CAS : VOUS ETES DANS L INCAPACITE DE PRESENTER UN AUTRE TITRE (SECURISE OU NON) 2 E CAS : VOUS ETES EN MESURE DE PRESENTER UN PASSEPORT ELECTRONIQUE OU BIOMETRIQUE La photocopie du
Plus en détailSud Expert Plantes Développement Durable. Thème COSMETOPEE ---------- 12 participants 8 pays. SEP 2D -Cosmétopée -Restitution session du 11 juin 2012
Sud Expert Plantes Développement Durable ---------- 12 participants 8 pays PREMIERE REFLEXION: Colloque Cosmétopée Février 2012 à Chartres OBJECTIFS DU COLLOQUE PermettreauxacteursdelaCosmeticValleyetduprogrammeSudExpertPlantes(SEP)de
Plus en détailModule 1 : Les fondamentaux de l'assurance / Durée : 1,5 jour
Sommaire ASSURANCE... 1 Module 1 : Les fondamentaux de l'assurance / Durée : 1,5 jour... 1 Module 2 : L épargne / Durée : 1,5 jour... 2 Module 3 : La retraite / Durée : 1,5 jours... 5 Module 4 : Les contrats
Plus en détailFiche pédagogique : ma famille et moi
Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailBus hybrides Scania : un concept novateur qui améliore le rendement de 25 %
PRESS info P09601FR / Per-Erik Nordström Mai 2009 Bus hybrides Scania : un concept novateur qui améliore le rendement de 25 % Scania lance un vaste programme d essais en service réel d une chaîne cinématique
Plus en détailO SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. Depuis 2008, l enseigne développe son réseau de franchises
Présentation enseigne O SUSHI 2015 STORY O SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. 1998 : Création du réseau Depuis 2008, l enseigne développe son réseau
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Version 0.4. Cahier des charges Openvet 0.4 Page 1
LOGICIEL DE GESTION VETERINAIRE OPENVET CAHIER DES CHARGES Version 0.4 Cahier des charges Openvet 0.4 Page 1 Table des matières 1 Caractéristiques générales...4 2 Etude des différentes fonctions attendues...4
Plus en détailDÉCISION INTERLOCUTOIRE DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
Citation : D. L et als c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 14 N o d appel : GE-13-635 ENTRE : D. L. et als Appelants et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée et Les
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailLE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL
LE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL Menu 1. Définitions 2 La mesure du réseau social a) la «cartographie» du réseau social b) les indices 3. L approche
Plus en détailDANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?
DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours
Plus en détailTéléinformatique. Chapitre V : La couche liaison de données dans Internet. ESEN Université De La Manouba
Téléinformatique Chapitre V : La couche liaison de données dans Internet ESEN Université De La Manouba Les techniques DSL La bande passante du service voix est limitée à 4 khz, cependant la bande passante
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailAssurance Vie en Ligne
Synthèse - Mars 2014 Benchmark concurrentiel de l expérience client en ligne e Assurance Vie en Ligne 6 sites d acteurs de référence de l Assurance Vie en Ligne plus de 7.000 internautes mobilisés www.observatoire-eperformance.com
Plus en détailUtiliser le site learningapps.org pour créer des activités interactives
Utiliser le site learningapps.org pour créer des activités interactives I. Créer un compte - Pour pouvoir utiliser le site learningapps.org à des fins de création, il faut commencer par créer un compte
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailEvolutions du Relevé de Compte 120 caractères pour les opérations de virements et de prélèvements SEPA
Evolutions du Relevé de Compte 120 caractères pour les opérations de virements et de prélèvements SEPA MARS 2010 Version Validée : 2.0 Objet : l objet de ce document est de présenter les évolutions nécessaires
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailRETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006
RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006 A. Fouillet 1, G. Rey 1,2, P. Bessemoulin 3, P. Frayssinet 3, E. Jougla 2, D. Hémon 1 (1) Inserm U4 IFR6 Epidémiologie environnementale des cancers,
Plus en détailPrévoyance et complémentaire santé : les modifications de la loi relative à la sécurisation de l emploi
Prévoyance et complémentaire santé : les modifications de la loi relative à la sécurisation de l emploi SYNTHESE D EXPERTS Juillet 2013 SOMMAIRE 1 Généralisation de la couverture complémentaire santé...
Plus en détailPrésentation BAI -CITC
Présentation BAI -CITC Expertise reconnue dans des niches technologiques Technologies embarquées Technologies sans contact Technologies d identification et d authentification Sécurité des objets connectés
Plus en détailLyon, 12 13 mai 2011 Auditorium
Conseil de Direction GC/53/11 Cinquante-troisième Session 28/04/2011 Lyon, 12 13 mai 2011 Auditorium Préambule PLAN DES FUTURS PROJETS D INFRASTRUCTURE, Y COMPRIS LES OPTIONS DE FINANCEMENT 1. Depuis 1972,
Plus en détailPLAN PHARE 6 e JOURNÉE RÉGIONALE Lyon, 11 décembre 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DES 7 ÉTABLISSEMENTS
PLAN PHARE 6 e JOURNÉE RÉGIONALE Lyon, 11 décembre 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DES 7 ÉTABLISSEMENTS ACCOMPAGNÉS EN 2013 PLAN PHARE 6 e JOURNÉE RÉGIONALE Lyon, 11 décembre 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DES 7 ÉTABLISSEMENTS
Plus en détailPROJET BIGDATART DOSSIER DE PRESENTATION
PROJET BIGDATART DOSSIER DE PRESENTATION Le projet BigDatArt est une installation scientifico-artistique centrée autour des notions d images et de BigData. Ce que je propose dans mon projet et d'inverser
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailMise en place d'un gestionnaire de données léger, pluridisciplinaire et national pour les données scientifiques
Mise en place d'un gestionnaire de données léger, pluridisciplinaire et national pour les données scientifiques Catherine Biscarat pour le groupe irods de France Grilles D. Benaben,, Y. Cardenas, P. Gay,
Plus en détailIntroduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R
Introduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R Christophe Lalanne Christophe Pallier 1 Introduction 2 Comparaisons de deux moyennes 2.1 Objet de l étude On a mesuré le temps de sommeil
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailCrédit Agricole CIB. Année 2014. Le présent rapport est établi conformément à l'article 450 du règlement (UE) N 575/2013 du 26 juin 2013.
Crédit Agricole CIB Rapport annuel relatif à la politique et aux pratiques rémunération s personnes définies à l article L. 511-71 du co monétaire et financier et en application du règlement délégué (UE)
Plus en détailA. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg
Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détail