Méthodologie de la recherche. Université Lille 2
|
|
- Juliette Olivier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Méthodologie de la recherche Université Lille 2
2 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 2. Comparaison de deux échantillons 3. Comparaison de trois échantillons ou plus 4. Corrélation et régression
3 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
4 Quelques références
5 Et sites Internet
6 Quelques logiciels Statistica ( SPSS ( Sigmastat ( etc
7 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
8 Deux objectifs Obtenir une information descriptive sur la population à partir de laquelle l échantillon a été constitué Tester des hypothèses
9 Distribution de la taille des martiens Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, 1996.
10 Distribution de la taille des martiens 68% Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Effectif de la population = 200 sujets Moyenne de la taille de la population = 40 cm Écart type de la taille de la population = 5 cm
11 Distribution de la taille des martiens 68% 95% Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Effectif de la population = 200 sujets Moyenne de la taille de la population = 40 cm Écart type de la taille de la population = 5 cm
12 Cote Z (ou Score Z) Z = x " µ Z = x! x! sd Pour une Population Pour un Échantillon
13 Cote Z (ou Score Z) Z = x " µ Z = 46! 40! 5 µ = 40 cm Soit Z = 1.2 σ = 5 cm
14 Emprunté à Vincent WJ. Statistics in kinesiology. Human Kinetics, Champaign, Illinois, 1999.
15 Emprunté à Vincent WJ. Statistics in kinesiology. Human Kinetics, Champaign, Illinois, 1999.
16 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
17 Population : Groupe de personnes (ou autre) qui ont au moins une caractéristique en commun. Définie par deux paramètres : µ et σ Exemple : hommes âgés de 31 à 40 ans qui ne pratiquent aucune activité physique. Varier genre, âge ou niveau d activité physique Échantillon : Groupe de personnes (ou autre) tirées de la population. Définie par deux statistiques : ξ et SD Exemple : réentraînement post-chirurgical du membre inférieur
18 Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Population n = 200 µ = 40 cm σ = 5 cm Échantillon 1 n = 10 ξ = 41.5 cm SD = 5 cm
19 Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Population n = 200 µ = 40 cm σ = 5 cm Échantillon 2 n = 10 ξ = 36 cm SD = 5 cm
20 Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Population n = 200 µ = 40 cm σ = 5 cm Échantillon 3 n = 10 ξ = 39.5 cm SD = 5 cm
21 Emprunté à Glantz SA. Introduction aux biostatistiques. McGraw Hill, New York, Population n = 200 µ = 40 cm σ = 5 cm possibilités n = 10 ξ = 40 cm Suit loi normale
22 Théorie de la limite centrale La distribution des moyennes d éd échantillons est approximativement normale, quelle que soit la population à partir de laquelle les échantillons sont constitués. La moyenne de l ensemble l de toutes les moyennes d échantillons possibles est égale à la moyenne de la population.
23 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
24 Hypothèse nulle (notée H 0 ) Il n existe aucune relation ou aucune différence entre les groupes. Exemple : il n existe pas de différence de force maximale des membres inférieurs entre les garçons et les filles de 10 ans. Hypothèse alternative (notée H 1 ) Il existe une relation ou une différence entre les groupes. Exemple : il existe une différence de force maximale des membres inférieurs entre les garçons et les filles de 10 ans.
25 Sous H 0 : Garçons et filles appartiennent à la même population. Les différences observées sont dues à l erreur l d éd échantillonnage Sous H 1 : Garçons et filles appartiennent à deux populations distinctes Les différences observées sont dues à l erreur l d éd échantillonnage et à la différence imputable au genre QUELLE LIMITE?
26 EXEMPLE : Consommation annuelle d anti-inflammatoires d dans deux populations différentes (Rugbymen vs Footballeurs) Deux échantillons R1 et F1 : Différence D1. Deux échantillons R2 et F2 : Différence D2. Et ainsi de suite
27 Rugby vs Footballeurs: même population?? Rugbymen Dosage (mg) Footballeurs Dosage (mg) R-F Dosage (mg) R1 F1 D1 R2 F2 D2 R3 F3 D3 R4 F4 D4 R5 F5 D5 R6 F6 D6 R. F. D. R100 F100 D100
28 Théorie de la limite centrale La distribution des différences (D1, D2,, Dn) suit une loi normale La moyenne de toutes les différences est égale à la différence moyenne entre les deux populations.
29 Si Si la la population population est est la differente même F R E Q U E N C E S Proche 0 VALEURS DES DIFFERENCES 0
30 Emprunté à Vincent WJ. Statistics in kinesiology. Human Kinetics, Champaign, Illinois, La différence entre les deux populations est nulle Erreur d éd échantillonnage : même s il s n y n y pas de différence entre les deux populations, la probabilité de trouver Z = 0 est très faible
31 H 1 H 0 H 1 Existence d un % d erreur
32 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
33 Deux types d erreur d statistique Erreur de type I (ou de première espèce, ou faux positif) L expérimentateur conclue à une différence entre les groupes alors qu en réalité il n y n y en a pas. Risque α (5%, ou 0.05) Erreur de type II (ou de seconde espèce, ou faux négatif) L expérimentateur conclue à l absence l de différence entre les groupes alors qu en réalité il y en a une. Risque β (20%, ou 0.20)
34 Réalité H 0 est vraie H 0 est fausse H 0 est acceptée H 0 est rejetée Conclusion correcte Erreur de type I Erreur de type II Conclusion correcte
35 α et β sont déterminés en fonction du risque d erreur qui est le moins coûteux. Qu est ce qui est le plus grave : accepter l hypothèse nulle alors qu elle est fausse, ou la rejeter alors qu elle est vraie?
36 Sources d erreurd Type I Erreur de mesure Échantillon non aléatoire α trop grand (0.10) Biais induit par le chercheur Utilisation incorrecte d und test unilatéral Type II Erreur de mesure β trop petit (pas assez sujets) α trop petit (0.01) Traitement mal appliqué
37 Sources d erreurd Type I Erreur de mesure Échantillon non aléatoire α trop grand (0.10) Biais induit par le chercheur Utilisation incorrecte d und test unilatéral Type II Erreur de mesure β trop petit (pas assez sujets) α trop petit (0.01) Traitement mal appliqué
38 Sources d erreurd Type I Erreur de mesure Échantillon non aléatoire α trop grand (0.10) Biais induit par le chercheur Type II Erreur de mesure β trop petit (pas assez sujets) α trop petit (0.01) Traitement mal appliqué
39 Sources d erreurd Type I Erreur de mesure Échantillon non aléatoire α trop grand (0.10) Biais induit par le chercheur Type II Erreur de mesure β trop petit (pas assez sujets) α trop petit (0.01) Traitement mal appliqué
40 Plan du cours 1. La loi normale et l erreur l d éd échantillonnage 1. La loi normale 2. Théorème de la limite centrale 3. Tests d hypothèses d et inférence statistique 4. Interprétation 1. Deux types d erreurd 2. La puissance d un d test
41 La puissance d un d test statistique Capacité de rejeter l hypothèse l nulle lorsqu elle est fausse (évite de commettre une erreur de type 2) Puissance = 1 - β (soit 0.80, ou 80%) Paramètres de la puissance : la taille de l él échantillon l effet minimum recherché la variabilité du paramètre mesuré le risque α retenu (5%, 0.05)
42 Intérêt de la puissance statistique Contrôler le risque de commettre une erreur de type II Estimer le nombre de sujets nécessaires pour garantir une puissance supérieure ou égale à 80% (comité d éd éthique, organismes subventionnaires)
Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailStatistiques Décisionnelles L3 Sciences Economiques & Gestion Faculté d économie, gestion & AES Université Montesquieu - Bordeaux 4 2013-2014
Tests du χ 2 Statistiques Décisionnelles L3 Sciences Economiques & Gestion Faculté d économie, gestion & AES Université Montesquieu - Bordeaux 4 2013-2014 A. Lourme http://alexandrelourme.free.fr Outline
Plus en détailProbabilités III Introduction à l évaluation d options
Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un
Plus en détailRestaurer la confiance? Etudes Empiriques Conclusion et ouverture
Restaurer la confiance des investisseurs : une exploration expérimentale systématique de l effet des politiques d investissement socialement responsable. Marco Heimann Sous la direction de Jean-François
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailTESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple
TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailWeb Science. Master 1 IFI. Andrea G. B. Tettamanzi. Université de Nice Sophia Antipolis Département Informatique andrea.tettamanzi@unice.
Web Science Master 1 IFI Andrea G. B. Tettamanzi Université de Nice Sophia Antipolis Département Informatique andrea.tettamanzi@unice.fr 1 Annonce : recherche apprenti Projet Géo-Incertitude Objectifs
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Introduction aux Sciences de l Information et de la Communication Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Consolidation de fondamentaux Démarche en sciences humaines
Plus en détailAnnexe. Système de primes pour les animateurs d AGPA. Adding a bonus for savings performance
Annexe Système de primes pour les animateurs d AGPA Comme la plupart des gens, les animateurs d AGPA aiment être récompensés de leurs efforts. Si des récompenses non financières peuvent suffire, des gratifications
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailDisparités entre les cantons dans tous les domaines examinés
Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG
Plus en détailPrésentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue
Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes
Plus en détailLes mathématiques de la finance Université d été de Sourdun Olivier Bardou olivier.bardou@gdfsuez.com 28 août 2012 De quoi allons nous parler? des principales hypothèses de modélisation des marchés, des
Plus en détailCours (7) de statistiques à distance, élaboré par Zarrouk Fayçal, ISSEP Ksar-Said, 2011-2012 LES STATISTIQUES INFERENTIELLES
LES STATISTIQUES INFERENTIELLES (test de Student) L inférence statistique est la partie des statistiques qui, contrairement à la statistique descriptive, ne se contente pas de décrire des observations,
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailLa nouvelle planification de l échantillonnage
La nouvelle planification de l échantillonnage Pierre-Arnaud Pendoli Division Sondages Plan de la présentation Rappel sur le Recensement de la population (RP) en continu Description de la base de sondage
Plus en détailCoûts, avantages et inconvénients des différents moyens de paiement
Coûts, avantages et inconvénients des différents moyens de paiement Présentation de l'étude de la Banque nationale de Belgique à la conférence de l'esta (Valence, le 15 mai 2006) Historique de l'étude
Plus en détailBiostatistiques : Petits effectifs
Biostatistiques : Petits effectifs Master Recherche Biologie et Santé P. Devos DRCI CHRU de Lille EA2694 patrick.devos@univ-lille2.fr Plan Données Générales : Définition des statistiques Principe de l
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailTESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ². http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme
TESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ² http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme Logo du Second International Congress of Eugenics 1921. «Comme un arbre, l eugénisme tire ses constituants de nombreuses sources
Plus en détailLe Data Mining au service du Scoring ou notation statistique des emprunteurs!
France Le Data Mining au service du Scoring ou notation statistique des emprunteurs! Comme le rappelle la CNIL dans sa délibération n 88-083 du 5 Juillet 1988 portant adoption d une recommandation relative
Plus en détailLa problématique des tests. Cours V. 7 mars 2008. Comment quantifier la performance d un test? Hypothèses simples et composites
La problématique des tests Cours V 7 mars 8 Test d hypothèses [Section 6.1] Soit un modèle statistique P θ ; θ Θ} et des hypothèses H : θ Θ H 1 : θ Θ 1 = Θ \ Θ Un test (pur) est une statistique à valeur
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailIntroduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R
Introduction aux Statistiques et à l utilisation du logiciel R Christophe Lalanne Christophe Pallier 1 Introduction 2 Comparaisons de deux moyennes 2.1 Objet de l étude On a mesuré le temps de sommeil
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailDP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur
DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée
Plus en détailEVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés)
EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés) Journées d études de l Institut des Actuaires et du SACEI Deauville 20 septembre 2012 par Anne DECREUSEFOND
Plus en détailLe chi carré. Le sommaire. Approche quantitative
Approche quantitative Le chi carré Les objectifs pédagogiques Définir le test du chi carré Déterminer la nature des données propres au chi carré Savoir calculer le chi carré Savoir déterminer les fréquences
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailMauriac, samedi 30 mai 2015. 4, rue Galilée 75116 PARIS Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr Mail : cmk@cabinetmichelklopfer.
Impact de la baisse des concours d Etat sur la situation financière des collectivités locales et données financières des communes et communautés du Cantal Mauriac, samedi 30 mai 2015 4, rue Galilée 75116
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailTechniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA
Techniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA Zingg Luca, luca.zingg@unifr.ch 13 février 2007 Résumé Le but de cet article est d avoir une vision globale des techniques
Plus en détailCENTRE DE POLITIQUE ET D ADMINISTRATION FISCALES
ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES CORRECTIFS OU AJUSTEMENTS DE COMPARABILITÉ JUILLET 2010 Avertissement: Ce document, préparé par le Secrétariat de l OCDE, n a pas de valeur juridique
Plus en détailAttitude des ménages face au risque. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014
Attitude des ménages face au risque - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014 Plan du cours 1. Introduction : demande de couverture et comportements induits pa 2. Représentations
Plus en détailORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A
ANNEXE A ORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A HYPOTHÈSES RELATIVES AUX EXEMPLES N o 1 À N o 4 : Le prix à la date de l opération est de 10 $ la part pour le Fonds d actions et de 11 $ la part pour
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailModélisation géostatistique des débits le long des cours d eau.
Modélisation géostatistique des débits le long des cours d eau. C. Bernard-Michel (actuellement à ) & C. de Fouquet MISTIS, INRIA Rhône-Alpes. 655 avenue de l Europe, 38334 SAINT ISMIER Cedex. Ecole des
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailArticle 173 de la Loi ALUR du 24 mars 2014 sur la réforme des sites et sols pollués
Article 173 de la Loi ALUR du 24 mars 2014 sur la réforme des sites et sols pollués Le socle attendu d un droit des sites et sols pollués cohérent et autonome tourné vers le redéveloppement des friches
Plus en détailIntroduction à la statistique non paramétrique
Introduction à la statistique non paramétrique Catherine MATIAS CNRS, Laboratoire Statistique & Génome, Évry http://stat.genopole.cnrs.fr/ cmatias Atelier SFDS 27/28 septembre 2012 Partie 2 : Tests non
Plus en détailUFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES
Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,
Plus en détailRapport de Post- Campagne 1
Rapport de Post- Campagne 1 Résumé - La campagne Adwords que nous avons mené pour Galerie Photo-Originale a duré 21 jours (5.05-26.05) et nous a coûté $250,18. L objectif principal est en premier de stimuler
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailCOMITE DEPARTEMENTAL DU TOURISME DES PYRENEES ORIENTALES
COMITE DEPARTEMENTAL DU TOURISME DES PYRENEES ORIENTALES Marché relatif à une prestation de référencement naturel du site «www.les5stationsbienetre.fr» PROCEDURE ADAPTEE CAHIER DES CHARGES Date limite
Plus en détailECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE COGNITIQUE. Paul Bui- Quang & Joachim Yerusalmi 03/01/2011
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE COGNITIQUE Projet ARLIU Paul Bui- Quang & Joachim Yerusalmi 03/01/2011 urs. Ce rapport contient ainsi la menées sur des utilisateurs afin de corréler les indicateurs que propose
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailTests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles
Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA
Plus en détailLA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING»
LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» Gilbert Saporta Professeur de Statistique Appliquée Conservatoire National des Arts et Métiers Dans leur quasi totalité, les banques et organismes financiers
Plus en détailProjet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring
Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring Année académique 2006-2007 Professeurs : Marco Saerens Adresse : Université catholique de Louvain Information Systems
Plus en détailClasse de première L
Classe de première L Orientations générales Pour bon nombre d élèves qui s orientent en série L, la classe de première sera une fin d étude en mathématiques au lycée. On a donc voulu ici assurer à tous
Plus en détailBologne à l EPFL. Réforme de Bologne Implications pour l EPFL. Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master
Bologne à l EPFL Réforme de Bologne Implications pour l EPFL Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master EPFL Quelques chiffres 6 600 Etudiants, 23% femmes, 38% étrangers, 109 nationalités 1 400 Doctorants
Plus en détailFIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :
FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement
Plus en détailBTS OPTICIEN LUNETIER Economie et Gestion de l Entreprise SESSION 2012
BTS OPTICIEN LUNETIER Economie et Gestion de l Entreprise SESSION 2012 Note : ce corrigé n a pas de valeur officielle et n est donné qu à titre informatif sous la responsabilité de son auteur par Acuité.
Plus en détailCours de Tests paramétriques
Cours de Tests paramétriques F. Muri-Majoube et P. Cénac 2006-2007 Licence Ce document est sous licence ALC TYPE 2. Le texte de cette licence est également consultable en ligne à l adresse http://www.librecours.org/cgi-bin/main?callback=licencetype2.
Plus en détailMr le Depanneur. Le depanneur est un membre de la disposisition de secours financier Mr le Depanneur ayant un compte depanneur actif ou approuvé.
Mr le Depanneur Mission statement Notre objectif premier est d éviter les personnes à être en retard aux factures, causes de grands dommages aux rapports de credit et de payer des frais de retard très
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailProbabilité et Statistique pour le DEA de Biosciences. Avner Bar-Hen
Probabilité et Statistique pour le DEA de Biosciences Avner Bar-Hen Université Aix-Marseille III 2000 2001 Table des matières 1 Introduction 3 2 Introduction à l analyse statistique 5 1 Introduction.................................
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS. LA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l arrêt suivant :
Le : 18/01/2011 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du 6 janvier 2011 N de pourvoi: 09-70651 Publié au bulletin Cassation partielle M. Charruault (président), président SCP Vincent et
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailClément Prudhomme, Emilie Lenel
Clément Prudhomme, Emilie Lenel Cycle ingénieur EIT Année 1 (bac+3) Année 2 (bac+4) Année 3 (bac+5) Module 1 Module 1 Module 1 Séance 1 Séance 2 Séance 3 Module 2 Module 3 Module 2 Module 3 Module 2 Module
Plus en détailUNE ÉVALUATION SOUS FORME NUMÉRIQUE EST-ELLE COMPARABLE À UNE ÉVALUATION DE TYPE «PAPIER-CRAYON»?
UNE ÉVALUATION SOUS FORME NUMÉRIQUE EST-ELLE COMPARABLE À UNE ÉVALUATION DE TYPE «PAPIER-CRAYON»? Pascal Bessonneau MENESR-DEPP, bureau de l évaluation des actions éducatives et des expérimentations Philippe
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailPROBABILITES ET STATISTIQUE I&II
PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits
Plus en détailD r o i t s D r o i t s Q u i z z : i n t e r n e t t e x t e
Faire un script permettant de mettre l'adresse IP "globale" dans la variable d'environnement PUBLIC_IP (cette adresse peut être trouvée sur http://index.erasme.org/utils/ip.php) Faire un script permettant
Plus en détailLignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA
Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Les présentes lignes directrices formalisent les principes généraux de bonne gestion et de bonne administration
Plus en détailSalon Progiciels 2007 Conférence «La description visuelle des flux d information» Avec le témoignage de la société
Salon Progiciels 2007 Conférence «La description visuelle des flux d information» Avec le témoignage de la société Contexte et historique du projet S. Chambost Demain Planning Conférence - Bélier Associés
Plus en détailDIRECTIVES PEDAGOGIQUES CHEF(FE) DE PROJET E-BUSINESS RNCP AU NIVEAU II*
DIRECTIVES PEDAGOGIQUES CHEF(FE) DE PROJET E-BUSINESS RNCP AU NIVEAU II* Mise à jour 2015 *Sous l autorité de l EIMP ADMTC Programme de formation - Titre «Chef(fe) de projet e-business» 1 CHEF(FE) DE PROJET
Plus en détailACCOUNTING CONSULTING MANAGEMENT Cabinet d Expertise Comptable et Fiscale Audit Conseils en Management et Finance Formations Recrutements
SESSION SPECIALE DE FORMATION SUR LES NOUVELLES REFORMES DU SYSTEME COMPTABLE OUEST AFRICAIN (SYSCOA) Le cabinet d expertise comptable ACM en collaboration avec le Cabinet d Intérim de Formation Recrutement
Plus en détailProcessus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF
ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!
Plus en détailLa conciliation bancaire
Introduction Auteure : Nicole Racette (Équipe de production) La conciliation bancaire Objectifs : Comprendre les étapes nécessaires pour établir le solde de son compte bancaire; Connaître en tout temps
Plus en détailAnnée propédeutique santé Présentation générale du programme
Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette
Plus en détail1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?
1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?... 1 2. LES TABLEAUX DE BORD, OUTILS DE PILOTAGE... 2 3. LES TABLEAUX DE BORD : OUTILS DE DIALOGUE A L'INTERIEUR DE L'ORGANISATION... 3 4. LA PRESENTATION
Plus en détailINDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE
INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE
Plus en détailCours de méthodes de scoring
UNIVERSITE DE CARTHAGE ECOLE SUPERIEURE DE STATISTIQUE ET D ANALYSE DE L INFORMATION Cours de méthodes de scoring Préparé par Hassen MATHLOUTHI Année universitaire 2013-2014 Cours de méthodes de scoring-
Plus en détailGaranties dans le secteur principal de la construction
Garanties dans le secteur principal de la construction Société Suisse des Entrepreneurs 1 Principes de la Société Suisse des Entrepreneurs Garanties dans le secteur principal de la construction Impressum
Plus en détailROLAND-GARROS DU 24 MAI AU 7 JUIN 2015 SPORTS HOSPITALITY & TRAVEL
ROLAND-GARROS DU 24 MAI AU 7 JUIN 2015 SPORTS HOSPITALITY & TRAVEL EVENTEAM, agence de communication événementielle, accompagne ses clients au cœur des événements sportifs en proposant des prestations
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailRévision des équations hédoniques relatives aux prix des ordinateurs
Révision des équations hédoniques relatives aux prix des ordinateurs Fred Barzyk Division des prix Statistique Canada Immeuble Jean-Talon, 13-C2, Ottawa K1A 0T6 Télécopieur : (613) 951-2848 Téléphone :
Plus en détailVI. Tests non paramétriques sur un échantillon
VI. Tests non paramétriques sur un échantillon Le modèle n est pas un modèle paramétrique «TESTS du CHI-DEUX» : VI.1. Test d ajustement à une loi donnée VI.. Test d indépendance de deux facteurs 96 Différentes
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailA o û t 2 0 0 5. Article Vedette: Marche à suivre pour réussir le développement d un produit. www.ingredientslaitiers.ca
A o û t 2 0 0 5 Article Vedette: Marche à suivre pour réussir le développement d un produit www.ingredientslaitiers.ca 2. Évaluation technique préliminaire L'évaluation technique fait suite à l étude de
Plus en détail