AME 91 Compte rendu de la conférence du 4/3/15 de Laurence Richez sur «le raisonnement logico mathématique»
|
|
- Corentin Godin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 AME 91 Compte rendu de la conférence du 4/3/15 de Laurence Richez sur Présentation de Laurence Richez : Elle est orthophoniste actuellement en libéral, chercheuse (Master Recherche en Psychologie Cognitive) et formatrice au GEPALM (Groupe d'etudes de la Psychopathologie des Activités Logico-Mathématiques) depuis Elle a exercé en SESSAD, ITEP, CMPP de 1997 à Présentation du GEPALM : Association créée en 1973 par Francine Jaulin Mannoni qui organise des formations sur la rééducation des structures logiques, mathématiques et cognitives destinées à former des praticiens compétents dans la prise en charge des enfants présentant des troubles de la compréhension, du raisonnement et du calcul (dyscalculie). Cet organisme de formation est agréé. Présentation du cadre de la «méthode» GEPALM : Les techniques rééducatives enseignées reposent sur une analyse clinique qui permet de savoir comment orienter l approche thérapeutique ; Cette analyse clinique se réfère à la théorie Piagétienne. Les réponses du sujet donnent au praticien des indications sur «là où il en est» de sa structuration logico-mathématique. Il n y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, le sujet donne «sa réponse» et, à partir de celle-ci, le praticien le place devant une réalité qui l invite à exercer sa pensée et à la revisiter. Aussi, le praticien «n explique pas» (sauf par exemple en numération puisque les règles du système ne sont pas «inventables»). Un exemple : Le praticien pose sur un support une quantité de jetons (entre 5 et 8), puis il place en dessous en correspondance terme à terme une même quantité. Ensuite il les écarte. Si l enfant dit que maintenant il y en a plus parce qu il voit que la deuxième quantité prend davantage de place, l adulte ne dément pas. Il sait que cet enfant n a pas encore acquis cette notion de conservation indispensable à toute compréhension du Nombre. Il va donc lui proposer des situations variées de façon à l aider à y parvenir. La théorie Piagétienne : Piaget divise le développement psychologique de l'enfant en plusieurs périodes appelées stades (reflets de la façon dont l enfant se comporte par rapport à son environnement) : La période de l'intelligence sensorimotrice (de la naissance à 2 ans) :
2 2 Au début l'intelligence est essentiellement pratique. Elle se construit en fonction des sens et de la motricité de l'enfant. Elle lui permet d'organiser le réel selon un ensemble de structures spatio-temporelles et causales. À cette période, l'enfant ne possédant ni langage ni fonction symbolique, ces constructions s'effectuent en s'appuyant exclusivement sur des perceptions et des mouvements, autrement dit, par une coordination sensorimotrice des actions sans intervention de la représentation ou de la pensée. La période de l'intelligence préopératoire (de 2 à 6 ans) : Cette période commence avec la fonction symbolique (mot, traces ). L enfant devient capable d évoquer les choses en leur absence, il devient capable de faire semblant. Il y poursuit sa construction du temps et de l espace mais reste dans l ici et le maintenant concrets. Il a besoin d objets concrets pour commencer à raisonner. La période de l intelligence opératoire (de 7 à 11 ans) : Pendant cette période, cette intelligence, dite opératoire, reste dépendante de la présence dans le champ de la perception des éléments sur lesquels porte la réflexion. Par exemple si l enfant parle de «8» ce sera de «8 quelque chose» Cette période est marquée par l'acquisition de certaines opérations mentales comme : La classification qui repose sur la capacité à faire des classes. Pour cela, il faut être capable de voir les points communs et d inhiber les différences. Exemple : 3 éléphants, 3 souris, «voir» le trois nécessite de prendre en compte la quantité et d inhiber la nature des objets. La Sériation qui repose sur la comparaison (la manipulation du temps repose beaucoup sur cette opération). L inclusion est une opération mentale à deux niveaux l inclusion simple structure normalement acquise en début de stade opératoire et l inclusion hiérarchique qui commence plutôt à la fin de ce stade. Intervention du public au sujet du langage et des interactions : - Pour Piaget, le langage vient après, il ne prenait pas en compte les interactions avec les autres. Pour Bruner, les interactions langagières sont importantes car la pensée s appuie sur les échanges. - Pour Piaget, la négation ne peut être parfaitement comprise qu à la fin du stade opératoire. Les informations énoncées à la forme négative sont plus difficiles à traiter. Elles nécessitent d avoir une «charge cognitive suffisante» : exemple : «marche!» suscite une réaction plus rapide que «ne court pas!» exemple : S il y a plus de fruits que de pommes (compréhension aisée), il y a plus de non pommes que de non fruits. La période des opérations formelles (de 11 ans à 16 ans) :
3 3 Alors que l enfant, jusqu alors, ne pouvait raisonner que sur du concret, l'adolescent peut maintenant établir des hypothèses détachées du monde sensible. Il commence à pouvoir imaginer, à établir des hypothèses, à travailler avec des formules, à faire des hypothèses, à élaborer des constructions mentales même si elles ne sont pas validées par la réalité. Une mise en situation du public façon GEPALM : Les représentations du «nombre» chez le public : Le nombre : Les quantités Relation d ordre Nombre et nombre-de opérations La numération système codage désignation des quantités symbole techniques opératoires Discussion à partir du tableau et apports de L.Richez : Elle distingue nombre et numération : la numération étant le système numérique ex : le codage des quantités (désignation orale avec les mots-nombres et désignation écrite par l utilisation de symboles, les chiffres) Le nombre dans la théorie piagétienne est caractérisé au stade formel par : Un aspect ordinal : sa position dans la série des autres nombres. Un aspect cardinal : il représente une certaine quantité. Le nombre est une série d inclusions b = a + 1 Stades de développement et pratiques pédagogiques Comme il a été dit plus haut, les enfants qui sont au stade préopératoire ou opératoire sont dépendants de leurs perceptions. Ils ne pensent pas comme nous, adultes. Incidence de ceci sur les pratiques pédagogiques : Que donne-t-on à regarder? Si on lève un doigt en disant «un», puis on lève le doigt suivant en disant «deux» et ainsi de suite (on fait souvent la même chose avec des objets ou avec la bande numérique lorsque l on pointe une case après l autre), l enfant peut associer le mot nombre au dernier doigt, ou objet ou case sur lequel se pose son regard. Dans ce cas c est l aspect ordinal du mot nombre qui est sollicité. En revanche, l enfant n associera peut-être pas le mot nombre «deux» à la quantité «deux» si son regard se porte sur le dernier objet pointé. Aussi, si l objectif est de travailler sur l aspect cardinal c est-à-dire la quantité, on peut en favoriser une perception plus juste en montrant un doigt et disant «un», puis refermer le doigt, et ensuite sortir deux doigts en disant «deux»,
4 4 les refermer et ainsi de suite. Ainsi l enfant regardera la quantité associée au mot nombre correspondant. Si on utilise des jetons colorés (ex : 3 bleus et 2 rouges) et que l on constate que l enfant parle des couleurs alors on sait qu il n est pas dans la perception des quantités. Si l enfant voit 3 doigts ainsi : pouce, index et majeur et sur l autre main majeur, annulaire et auriculaire, s il s en tient à sa perception, il ne voit pas la même disposition et peut penser qu il n y a pas la même quantité de doigts. Pour Piaget, «la conservation des quantités ce sont des évidences que l on acquière» Elle fait référence à Olivier Houdé, néo-piagétien qui travaille sur l inhibition cognitive et son importance dans les apprentissages. Au stade opératoire (élèves du primaire) les situations multiplicatives concrètes ne donnent pas à voir la commutativité de cette opération : en effet lorsqu on regarde 4 paquets de 6 jetons et 6 paquets de 4 jetons, il n est pas visible que les 2 dispositions soient de 24 jetons chacune. Qu est-il pertinent pour l enfant de regarder? ou pour l enseignant : comment faire apparaître, révéler ce qui peut ne pas être perçu de prime abord par l enfant parce qu il regarde autre chose : Le «zéro» n existe pas, il ne peut être révélé que lorsqu on enlève. Dans les situations multiplicatives concrètes, on place par exemple 2 rangées de 4 objets les uns sous les autres, le 4 est perçu, ce sont les 4 jetons que l on voit bien. Par contre le 2 qui représente le nombre de rangées peut ne pas être perçu, on peut alors le faire apparaître en plaçant des pots sur chaque rangée de jetons. Quand on compare des quantités, par exemple on a 3 jetons rouges les uns sous les autres et en regard, 2 jetons bleus, le jeton rouge qui «dépasse» permet de savoir qu il y a plus de rouges que de bleus. Pour le faire apparaître indépendamment des autres l on peut par exemple masquer ceux-ci. Au sujet de la connaissances des quantités : Pour les enfants qui en sont au stade pré opératoire ne pas dépasser 7 ( 1 à 3 en PS et en GS jusqu à 7) en associant les mots nombres. Elle pense que la comptine numérique est enseignée trop tôt et ne permet pas de construire les quantités( cf écrits de Rémi Brissiaud). En stade préopératoire, l enfant ne peut évoquer «8» en tant que tel. Il a besoin de voir les 8 voitures. Au stade opératoire, une voiture suffit pour qu il puisse se représenter la quantité de 8 voitures.
5 Au stade préformel, l adolescent a la capacité de voir la quantité 8 indépendamment de la forme des objets vus : 8 voitures, 8 camions Au stade formel, 8 est imaginable sans support, l unité n est plus indispensable. Les opérations (changement ou non d un état initial après une action): Cela dépend du stade où en est l enfant : Au stade pré opératoire, l addition en tant qu action de rassembler est possible. La soustraction ( enlever et comparer) sont à travailler en différentiant les aspects. Au sujet de la multiplication : Dans les écoles il serait souhaitable que les enseignants se mettent d accord sur la manière de transcrire «3 fois 6» : 3X6 ou 6X3?. Si cela ne peut être fait, une mise au point avec les élèves est souhaitable en début d année, si la manière de coder est différente de celle de l an passé. Au sujet de la division : Il est souhaitable de travailler séparément les 2 sens de la division, d une part les situations de partage et d autre part les situations de quotité (j en ai 13, combien de paquets de 4 puis-je constituer?) 5 Questions diverses : Remise en cause de la chronologie trop rigide des stades de Piaget. Que pensez-vous de l utilisation de code couleur en numération? Pourquoi pas à condition que l enfant comprenne que ce n est pas une fin en soi et qu il est important de l aider à ne plus en avoir besoin pour qu il soit capable ensuite de transférer. Les difficultés en mathématiques viendraient-elles d une relation difficile au père? Laurence Richez ne le pense pas, elle pense que pour certains enfants ce peut être un refus de se plier aux règles. Par contre, elle a rencontré des enfants qui avaient développé des phobies du nombre. Selon elle, les activités logico-mathématiques demandent un bon ancrage dans le domaine psycho affectif. Elle souligne également qu en mathématiques il y a des empilements de connaissances. Conclusion et perspectives: Cette intervention a été riche et dense. Certains points évoqués trop rapidement du fait du temps imparti nécessiteraient un approfondissement. Aussi nous aimerions poursuivre la réflexion dans le cadre de notre association ou dans le cadre de la formation continue.
La construction du nombre en petite section
La construction du nombre en petite section Éléments d analyse d Pistes pédagogiquesp 1 La résolution de problèmes, premier domaine de difficultés des élèves. Le calcul mental, deuxième domaine des difficultés
Plus en détailLe développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget
Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant
Plus en détailIndications pour une progression au CM1 et au CM2
Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir
Plus en détail2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre
2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE NOMBRE, OUI MAIS COMMENT? la dialectique enseigner / apprendre 1 un modèle d'apprentissage : Piaget psychologie du développement sujet milieu (d'apprentissage) équilibre élément
Plus en détailUtilisation des nombres pour résoudre des problèmes Aspect cardinal Maternelle MS-GS. Francette Martin
Utilisation des nombres pour résoudre des problèmes Aspect cardinal Maternelle MS-GS Francette Martin Voici une situation fondamentale faisant intervenir le nombre cardinal : l enfant doit aller chercher
Plus en détailJeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)
Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation
Plus en détailLes 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion
Les 6 sous-stades La période sensori-motrice La construction de l intelligence à partir des sens, de l action et des déplacements I. Stade réflexe du premier mois II. Stade des réactions circulaires primaires
Plus en détailQuelques matériels numériques
File Numérique Général Topologie Topographie Repérage Nomination Ordinal Comptage Cardinal Quelques matériels numériques Topologie linéaire espalier < Retour entête. Topologie : Linéaire Catalogue CELDA
Plus en détailDemande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire
Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue
Plus en détailLES REPRESENTATIONS DES NOMBRES
LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,
Plus en détailTemps forts départementaux. Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction
Temps forts départementaux Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction Calcul au cycle 2 La soustraction fait partie du champ opératoire additif D un point de vue strictement mathématique,
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailAcadémie de Créteil. Projet présenté autour de l album «Trois souris peintres» d Ellen Stoll Walsh
Projet académique 2013-2014 «Des boîtes à histoires» Comment créer un outil au service de la mise en mémoire et de la compréhension des textes littéraires Académie de Créteil Projet présenté autour de
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailRelation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire
CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence
Plus en détailL ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE
N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailTâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs)
(d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) Table des matières Fiche professeur... 2 Fiche élève... 5 1 Fiche professeur Niveaux et objectifs pédagogiques 5 e : introduction ou utilisation
Plus en détailPlus petit, plus grand, ranger et comparer
Unité 11 Plus petit, plus grand, ranger et comparer Combien y a-t-il de boules sur la tige A? Sur la tige B? A B Le nombre de boules sur la tige A est plus grand que sur la tige B. On écrit : > 2 On lit
Plus en détailApprendre à résoudre des problèmes numériques. Utiliser le nombre pour résoudre des problèmes
Apprendre à résoudre des problèmes numériques Utiliser le nombre pour résoudre des problèmes Ce guide se propose de faire le point sur les différentes pistes pédagogiques, qui visent à construire le nombre,
Plus en détailPsychologie du développement cognitif
Psychologie du développement cognitif Automne 2013! Cours 10! F. Francis STRAYER! strayer@u-bordeaux2.fr! Novembre 2013! Co-texte Effet du partenaire! Vygotski! Cognitive Affective Sociale Contexte! Effet
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailOrganiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.
Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un
Plus en détailVers la course d orientation à l école : quelques aspects théoriques, institutionnels et pédagogiques
- 1 - Vers la course d orientation à l école : quelques aspects théoriques, institutionnels et pédagogiques - 2-1 Quelques éléments généraux sur la course d orientation La course d orientation, c est :
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détail5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99
5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99 Niveau CP pistes pour le CE1 Modèle proposé : modèles de séance Hypothèse de la difficulté : pour les élèves
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailS entraîner au calcul mental
E F C I - R E H S E S O S A PHOTOCOPIER S R U C Une collection dirigée par Jean-Luc Caron S entraîner au calcul mental CM Jean-François Quilfen Illustrations : Julie Olivier Sommaire Introduction au calcul
Plus en détailUne brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage
Une brique dans le cartable Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du plan à l ouvrage Visites et rencontres possibles - Rencontre avec un architecte o Voir la création des plans (orientation
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détaill Objectif général : Analyser les principales stratégies marketing utilisées par les cigarettiers.
Fiche pédagogique Thème : Tabac Niveau : CM2, collège, lycée Durée : 30 Tabac et manipulation : quand les industries mettent le paquet Personnes ressources : Enseignants, Infirmier scolaire, CESC l Référence
Plus en détailLes nombres entiers. Durée suggérée: 3 semaines
Les nombres entiers Durée suggérée: 3 semaines Aperçu du module Orientation et contexte Pourquoi est-ce important? Dans le présent module, les élèves multiplieront et diviseront des nombres entiers concrètement,
Plus en détailATTENTION AU DÉPART! GUIDE DE QUESTIONS DU MENEUR DE JEU. www.grand-cerf.com
VOCABULAIRE Les questions visent à travailler le vocabulaire matliématique, le repérage... Quelques exemples, à compléter par le meneur de jeu : - Chaque joueur te donne un passager. - Prends 1 passager
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailUne situation d'apprentissage du lexique en MS Les activités gymniques
Cette séquence permet l acquisition des compétences nécessaires à la construction des connaissances : - Connaître et enrichir le lexique de base de l action «se déplacer» : marcher, ramper, courir, grimper-escalader,
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détail3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)
3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la
Plus en détailPetit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007
Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailLe développement cognitif
Le développement cognitif Les transformations que l on observe à l adolescence sur la dimension physique ne s opèrent pas en un jour; elles prennent un certain temps, de sorte que l adolescent vit pendant
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailDéfinition de la dyspraxie
E.BINTZ Définition de la dyspraxie Dys : manque en grec Praxie : action, mouvement, adaptation du mouvement au but recherché C est un trouble de la planification et de la coordination des mouvements qui
Plus en détailAPPROCHER LES QUANTITES ET LES NOMBRES en Moyenne Section
APPROCHER LES QUANTITES ET LES NOMBRES en Moyenne Section Module Dénombrer une quantité ( 8) Mémoriser la suite des nombres( 15) Décomposer les nombres( 3,4 et 5 ) Au travers de l exploitation d albums
Plus en détailSituations pédagogiques Outils pour les différents profils
La numération au C1, C2, C3 Cycle 2 Cycle 3 La perception du nombre, de la pluralité Situations pédagogiques Outils pour les différents profils Les «flash cards» avec les différentes représentations d
Plus en détailLA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?
LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,
Plus en détailLA COMPÉTENCE COMME DISPOSITIF D IMPUTATION
COMMENT PEUT ON ÊTRE COMPÉTENT? BERNARD REY 1 LA COMPÉTENCE COMME DISPOSITIF D IMPUTATION Pour approcher la notion de compétence, nous partirons de l examen des objets qu on lui fait ordinairement subsumer.
Plus en détailINFORMATION VOYAGEURS
PRINCIPAUX TARIFS EN ÎLE-DE-FRANCE AU DÉPART DE PARIS Prix 1 à 2 298,50 1 à 3 417,30 1 à 4 536,10 1 à 5 655,50 2 à 3 298,50 2 à 4 396,90 2 à 5 516,90 3 à 4 298,50 3 à 5 377,40 4 à 5 298,50 Paris Visite*
Plus en détailPartie 1 : la construction du nombre chez l'enfant. Page 2. Partie 2 : Des jeux et des nombres Page 8
Partie 1 : la construction du nombre chez l'enfant. Page 2 Partie 2 : Des jeux et des nombres Page 8 1 La construction du nombre Le nombre est invariant : Le nombre ne change pas quelles que soient les
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailL industrie financière sait elle décrire les produits qu elle traite?
L industrie financière sait elle décrire les produits qu elle traite? De la nécessité d une représentation formelle des contrats financiers pour améliorer la gestion et la régulation des opérations de
Plus en détailJeu pour l oral «Les vies antérieures» Devinez les vies antérieures de vos amis!
www.ciel.fr Jeu pour l oral «Les vies antérieures» Devinez les vies antérieures de vos amis! Jeu réalisé par Maïwenn Morvan avec le soutien de Bruno Jactat www.ateliers-alea.com Objectif pédagogique :
Plus en détailModes Opératoires WinTrans Mai 13 ~ 1 ~
Modes Opératoires WinTrans Mai 13 ~ 1 ~ Table des matières Facturation... 2 Tri Filtre... 2 Procédures facturation... 3 Transfert Compta... 8 Création d un profil utilisateur... Erreur! Signet non défini.
Plus en détailDéfinitions. Numéro à préciser. (Durée : )
Numéro à préciser (Durée : ) On étudie dans ce problème l ordre lexicographique pour les mots sur un alphabet fini et plusieurs constructions des cycles de De Bruijn. Les trois parties sont largement indépendantes.
Plus en détailMATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN
MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 Direction
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailTD : Codage des images
TD : Codage des images Les navigateurs Web (Netscape, IE, Mozilla ) prennent en charge les contenus textuels (au format HTML) ainsi que les images fixes (GIF, JPG, PNG) ou animée (GIF animée). Comment
Plus en détailLE DEVENIR DES DIPLOMÉS
LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés du master «Marketing, publicité et communication»,
Plus en détailCONSTRUCTION DU NOMBRE EN MATERNELLE
CONSTRUCTION DU NOMBRE EN MATERNELLE 1. CREER LE BESOIN DU NOMBRE Le nombre a deux fonctions essentielles : Il permet de mémoriser des quantités (dénombrement et mesure) ou des positions (classement) afin
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailBONUS MALUS. Voici, la façon de calculer la prime : Le montant de la prime à acquitter est égale à : P = PB. C où : P
BONUS MALUS Le propriétaire d un véhicule automobile est tenu d assurer sa voiture auprès d une compagnie d assurances. Pour un véhicule donné, le propriétaire versera annuellement une «prime» à sa compagnie.
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailTraitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009
Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailActivité 1. Compter les points Écriture binaire des nombres. Résumé. Liens pédagogiques. Compétences. Âge. Matériel
Activité 1 Compter les points Écriture binaire des nombres Résumé Les données de l ordinateur sont stockées et transmises sous la forme d une série de 0 et de 1. Comment peut-on représenter des mots et
Plus en détailBibliothèque des Compétences clés
Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailRapport de recherche intermédiaire
Rapport de recherche intermédiaire Alex Esbelin Equipe de Clermont-Ferrand, IUFM d Auvergne Le projet initial prévoyait successivement les points suivants : 1. étude des modalités de mise en œuvre de moyens
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détaild évaluation Objectifs Processus d élaboration
Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailMéthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.
Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel
Plus en détailLES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES
LES CONGES DU PRATICIEN HOSPITALIER FICHES PRATIQUES 1 SOMMAIRE RTT / CET p. 4 et 5 LES CONGES FORMATION p. 6 LES CONGES MATERNITE ET PATERNITE p. 7 et 8 LE CONGE PARENTAL p. 9 et 10 LES AUTORISATIONS
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailclef primaire ; clef étrangère ; projection ; restriction ; jointure ; SQL ; SELECT ; FROM ; WHERE
Cas Neptune hôtel Base de données et langage SQL Propriété Intitulé long Formation concernée Matière Notions Transversalité Présentation Description Neptune Hôtel. L interrogation d une base de données
Plus en détailLe développement de l'être dans sa globalité
Le développement de l'être dans sa globalité «Devenez la plus belle version de vous-même» Dalai Lama La PNL vous offre la possibilité de maximiser l utilisation de vos ressources, d améliorer votre capacité
Plus en détailAttestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année
Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailComparer des surfaces suivant leur aire en utilisant leurs propriétés géométriques Découverte et manipulation
Socle commun - palier 2 : Compétence 3 : les principaux éléments de mathématiques Grandeurs et mesures Compétences : Comparer des surfaces selon leurs aires (par pavage) Mesurer l aire d une surface par
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détailP R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»
P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailPRATICIEN CERTIFIÉ EN PNL
(Programmation Neuro Linguistique) Nos formations PNL lient la tête et le cœur. Vous apprendrez et expérimenterez la PNL à travers un vécu inoubliable. Cette formation suit les normes de : ABH (American
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailCompte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?
92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire
Plus en détail