Dossier V (partie 1) 06/01/2017. Grilles de lecture : Schématisation des principaux courants
|
|
- Jeannine Lavigne
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Grilles de lecture : Schématisation des principaux courants Dossier I Physiocrates-Mercantilistes Dossier II Classiques Dossier III Néoclassiques Hétérodoxie Dossier IV Marxisme Keynésianisme Dossier V Synthèse néoclassique - Nouvelles économies classique et keynésienne Dossier V : Synthèse néoclassique et keynésienne - Nouvelles économies classique et keynésienne A- Principaux auteurs : I. Présentation du courant de la Synthèse (½ XXe s): 1) Auteur: Robert Merton SOLOW (1924-) 2) Contribution majeure à la théorie économique des années (trente glorieuses): Théorie de la croissance exogène. High Tech, Cycle Management, 2 ème année 1
2 3) Définition du Courant de la Synthèse néoclassique et keynésienne : Les auteurs connus par les «économistes de la synthèse néoclassique» sont appelés par plusieurs appellations alternatives que sont: -«keynésiens de la synthèse» ; -«néo-keynésiens» ; -«classico-keynésiens» ; -«keynéso-classiques». Comme alternative au socialisme montant, il s agit d appellations faisant référence à une synthèse conjointe des deux dernières théories capitalistes (néoclassique et keynésienne), prônant respectivement le libéralisme et l interventionnisme. 4) Analyse keynéso-classique de la croissance de la production : Association des théories de Keynes en macroéconomie & des enseignements néoclassiques en microéconomie. Circulation monétaire(production stimulée par la demande globale comprenant la consommation et l investissement) & Libéralisme néoclassique (Production comme combinaison de services rendus par les facteurs Capital & Travail) Analyse de la offre globale (keynésiens) Macroéconomie Analyse de la source de la valeur (néoclassiques) Microéconomie Croissance avec Progrès Technique (keynéso-classiques) Figure 1 : Représentation de la croissance, le courant de la synthèse High Tech, Cycle Management, 2 ème année 2
3 5)Progrès Technique, nouveau mécanisme de production de la richesse Depuis les néoclassiques jusqu aux keynésiens, l évolution de production de la richesse s explique par une combinaison des facteurs de production Capital & Travail. Toute croissance dépend, ainsi, de la productivité globale des facteurs. Toutefois, la croissance soutenue durant les trente glorieuses n apparait pas dans les statistiques de cette productivité globale. You see the computer age everywhere but in the productivity statistics (Solow R., 1987, New York Book Review). computer age : un exemple de Progrès Technique Ainsi, le Progrès Technique est le paramètre qui devrait expliquer le surplus de la productivité globale. Mais, il reste inexpliqué, exogène. Le Progrès Technique est le nouveau mécanisme de production de la richesse analysant la croissance. 6) Théorie de la croissance exogène : Les années 1960 constituent la grande époque des modèles de croissance (théories traditionnelles). En référence à la fonction de production macroéconomique de Cobb- Douglass qui explique la répartition du revenu national entre capital et travail, nous avons ce qui suit: Q= Y = A f(k,l) Q(production); Y(revenu national); K(capital); L(travail) A(progrès technique) : variable exogène (indépendante; autonome) dans la fonction de production, dépendant du temps pour s approprier ces techniques. A partir des années 1970, les nouvelles théories de la croissance vont rendre cette variable de Progrès Technique endogène. High Tech, Cycle Management, 2 ème année 3
4 II. Présentation des Nouvelles économies classique et keynésienne (½ XXe- XXIe s) : 1) Auteurs: Robert Emerson LUCAS Junior (1937-) Nouvelle économie classique (années 1970) Paul ROMER (1958-) Nouvelle économie keynésienne (années 1980) 2) Contribution majeure à la théorie économique des années 1970 à nos jours: Théorie de la croissance endogène. 3) Définition et rôle des nouvelles théories dans l explication de la croissance : C est à ROMER qu on doit l expression «Théories de la croissance endogène». Leur rôle est de rechercher les sources de la croissance économique pour mieux les influencer. Les sociétés actuelles attendent beaucoup de la croissance économique qui mène à : -Un gain de rémunération pour tous ; -Un reflux du chômage ; -Une réduction du déficit de l Etat. Ainsi pour ces théories, le Progrès Technique n est plus une variable économique inexpliquée (exogène), mais endogène. High Tech, Cycle Management, 2 ème année 4
5 4) Théorie de la croissance endogène : En expliquant les connaissances des sociétés actuelles, le Progrès Technique devient endogène dans la fonction de production. En nous appuyons sur la fonction de production macroéconomique, nous avons ce qui suit: Q= Y = f(k,l,a) Q(production); Y(revenu national); K(capital); L(travail) A(progrès technique) : variable endogène (incluse) dans la fonction de production, dépendant du stock de connaissances. Au même titre que le facteur K, le Progrès Technique A fait l objet d un processus d accumulation, d un stockage. Au même titre que le facteur K (capital physique), on considère le Progrès Technique A comme un capital, un capital de connaissances. 5) Caractère cumulatif de la croissance : Deux moteurs de croissance existent pour expliquer l accumulation du Capital de connaissances, menant à l endogénéisation du Progrès Technique. Capital Humain Progrès Technique Capital accumulation accumulation de connaissances Capital Technique Figure 2: Caractère cumulatif de la croissance, les Nouvelles économies Nous avons les moteurs de croissance suivants : -Accumulation du Capital Humain (LUCAS, Nouvelle éco. classique); -Accumulation du Capital Technique (ROMER, Nouvelle éco. keynésienne). High Tech, Cycle Management, 2 ème année 5
6 III. Dialectique du capitalisme dans la dimension internationale : Le Progrès Technique renvoie à la fois à des comportements des individus (microéconomie) et à des grandeurs macroéconomiques (macroéconomie). En devenant endogène, à côté du Capital et du Travail, le Progrès Technique expliquant la croissance va montrer que la politique économique peut influencer la croissance à long terme, jusque là inexpliquée. L influence ou l intervention de l Etat est d autant plus importante que les écarts de niveau de vie se creusent entre groupes sociaux et nations, si les taux de croissance différent de quelques points. Rôle de l Interventionnisme dans la dimension internationale : Inefficacité du développement spontané d une économie de marché, avec écarts de niveau de vie ; Une accumulation du Capital de connaissances qui échappe aux décisions conscientes des agents ; Intervention de l Etat pour corriger le système d incitations auquel ces agents sont soumis. Economie de marché Ecarts de niveau de vie entre nations Inefficacités du développement spontané Accumulation du Capital de connaissances Décisions inconscientes des agents économiques Intervention de l Etat Rappel de principes de fonctionnement du système économique : Progrès technique High Tech, Cycle Management, 2 ème année 6
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailMonnaie, chômage et capitalisme
Franck Van de Velde Monnaie, chômage et capitalisme Presses Universitaires du Septentrion internet : www.septentrion.com Sommaire Introduction Générale 7 1. Monnaie 7 2. Monnaie et capitalisme 10 3. Monnaie,
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailEpargner en période de crise : le dilemme
Epargner en période de crise : le dilemme L épargne tient souvent l actualité en ce début d été 2013. Plusieurs chiffres laissent interrogateurs en cette période de très faible croissance (rappel : - 0.2%
Plus en détailAlternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015
Pages 38 à 41. Pourquoi on a fait l'euro. Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 - situe en 1970 le projet de créer une monnaie unique au sein de la Communauté économique européenne
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailQUESTIONS SUR L'ÉPARGNE
QUESTIONS SUR L'ÉPARGNE Christian BIALÈS Professeur de Chaire Supérieure en Économie et Gestion www.christian-biales.net Ce site se veut évolutif. Pour cela il fait l objet d un enrichissement documentaire
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailRésumé du cours en graphiques En vue des prochains cours En vue de l examen final. Macroéconomie 1. Conclusion générale. Olivier Loisel.
Macroéconomie 1 Conclusion générale Olivier Loisel ensae Automne 2014 Olivier Loisel, Ensae Macroéconomie 1 : conclusion générale Automne 2014 1 / 14 Plan de la conclusion générale 1 Résumé du cours en
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailCHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»
CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détail«L étude des cycles de KONDRATIEFF. nous permet-elle d en savoir plus sur la. nature sociale de la monnaie?» Philippe JOURDON.
«L étude des cycles de KONDRATIEFF nous permet-elle d en savoir plus sur la nature sociale de la monnaie?» Philippe JOURDON DR n 2007-10 L étude des cycles de KONDRATIEFF nous permet-elle d en savoir plus
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailPlan de cours - Plein temps Bachelor Business Law. Semestre 1 Semestre 2
Plan de cours - Plein temps Plein temps Semestre 1 Semestre 2 Management 1 Système d'entreprise 2 Marketing 2 Organisation 2 Supply Chain 2 Finances 1 Comptabilité générale Comptabilité des sociétés politique
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailLES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX
LES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX XXe COLLOQUE DE L ADDES PARIS LE 7 MARS 2006 PAR JOSÉ LOUIS MONZON PRESIDENT DU CIRIEC-ESPAGNE PROFESSEUR D ÉCONOMIE À L UNIVERSITÉ DE VALENCE (ESPAGNE)
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailMacroéconomie chapitre IV : L'économie ouverte, le marché des changes Le modèle Mundell-Fleming, Changes Flexibles
Université Paris IX Dauphine UFR Mathématiques de la Décision 2ème année de DEUG MASS Macroéconomie, Cours de C. Hurlin Année 2001/2002 Macroéconomie chapitre IV : L'économie ouverte, le marché des changes
Plus en détailECO 8021: Notes de cours Chapitre 1 Introduction au cours
ECO 8021: otes de cours Chapitre 1 Introduction au cours Steve Ambler Département des sciences économiques École des sciences de la gestion Université du Québec à Montréal Automne 2001 1 Objectifs, prérequis
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailHISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007
Sciences sociales et humaines- MESOJ- ISSN 2109-9618- (2010) Volume 1 No 3 HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007 Sciences sociales et humaines : Livre : HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A
Plus en détailRésumés des cours dispensés. en Licence Economie
Résumés des cours dispensés en Licence Economie Année universitaire 2011-2012 Sommaire L1 - Semestre 1 Macroéconomie... page 4 Grands courants de la pensée économique... page 4 Mathématiques... page 4
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique 2007-2008
DU Paris II Modèle de l économie numérique 2007-2008 ECONOMIE NUMERIQUE ET STRATEGIES E-BUSINESS INTRODUCTION AU COURS D ECONOMIE NUMERIQUE DU DU Dorat Rémi rdorat@yahoo.fr Plan introduction 1. Un peu
Plus en détailLe Cloud au LIG? Pierre Neyron PimLIG - 2013-04-14
Le Cloud au LIG? Pierre Neyron PimLIG - 2013-04-14 Cloud = buzz word Employé à toutes les sauces... http://www.youtube.com/watch?v=rdkbo2qmyjq (pub SFR) tout le monde fait du cloud? Qui fait du cloud au
Plus en détailI. Le partage du revenu entre l épargne et la consommation
LA CONSOMMATION ET L EPARGNE (10) 1 La consommation et l épargne sont les deux opérations économiques consistant à utiliser le revenu disponible. Les agents économiques affectent leur revenu à la consommation
Plus en détailNOTE D INTERVENTION DE L
NOTE D INTERVENTION DE L Numéro 13 /Février 2012 Dans cette note d intervention de l IRÉC, l auteur analyse les coûts et les retombées économiques de trois mesures fiscales, dont celle pour les fonds de
Plus en détailPhilippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)
20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus
Plus en détailL effet de levier de l endettement et la question de la structure optimale de financement. Pour ou contre Modigliani-Miller?
Cours de base : L effet de levier de l endettement et la question de la structure optimale de financement. Pour ou contre Modigliani-Miller? Donnons tout de go nos conclusions : il n existe pas de structure
Plus en détailConvention sur la réduction des cas d apatridie
Convention sur la réduction des cas d apatridie 1961 Faite à New York le 30 août 1961. Entrée en vigueur le 13 décembre 1975. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 989, p. 175. Copyright Nations Unies
Plus en détailUne décomposition du non-emploi en France
MARCHÉ DU TRAVAIL Une décomposition du non-emploi en France Guy Laroque et Bernard Salanié* «Grande est notre faute, si la misère de nos pauvres découle non pas de lois naturelles, mais de nos institutions».
Plus en détail0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques
Texte original 0.443.917.2 Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques (Accord de coproduction entre la Suisse et la Belgique) Conclu le 9 janvier
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailNUMÉRO (GR) TITRE DU COURS CYCLE
PLAN DE COURS Professeur : Frédéric Laurin AUTOMNE 2012 TRIMESTRE ET ANNÉE MBA-6001-01et 02 LES ENVIRONNEMENTS DE L ENTREPRISE 2 e NUMÉRO (GR) TITRE DU COURS CYCLE 1. DESCRIPTION DU COURS L'objectif du
Plus en détailGenèse de la dette publique et taux d épargne Michel Husson, 1998
Genèse de la dette publique et taux d épargne Michel Husson, 1998 Selon une vision largement répandue, la progression de la dette publique résulterait d une croissance excessive des dépenses. Cette intuition
Plus en détailRésultats session de rattrapage Cursus L3
Résultats session de rattrapage Cursus L3 Matricule Matière Résultat Jury 101955 Analyse financière 1 admis 101955 Macroéconomie 1 admis 101955 Mathématique 3 admis 101955 Mathématique 4 admis 101955 Microéconomie
Plus en détailMODÉLISATIONS SCHÉMATIQUES DE L ÉQUILIBRE MACROÉCONOMIQUE
MODÉLISATIONS SCHÉMATIQUES DE L ÉQUILIBRE MACROÉCONOMIQUE Christian BIALÈS Professeur de Chaire Supérieure en Économie et Gestion www.christian-biales.net Ce site se veut évolutif. Pour cela il fait l
Plus en détailDissertation 13. L intégration économique puis monétaire des pays européens a-t-elle favorisé la croissance des pays membres de
145 Dissertation 13 L intégration économique puis monétaire des pays européens a-t-elle favorisé la croissance des pays membres de l Union? I Analyse du sujet 1 Les mots clés Le sujet se présente sous
Plus en détailModèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime
Modèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime (Version préliminaire) Kinshasa, Juillet 2012 Contenu du cours Chapitre 1. Croissance et développement 1. Qu est-ce que la croissance et pourquoi
Plus en détailMIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE
Lancement de la publication Paris, 30 janvier 2014 VIEILLISSEMENT ET POLITIQUES DE L EMPLOI MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE RAPPORT DE L OCDE SUR LA FRANCE Stefano Scarpetta, Directeur Anne Sonnet, Responsable
Plus en détailDEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE 2015-2016
Contacts Frédéric HAMBERGER 05 63 48 19 62 frederic.hamberger@univ-jfc.fr CUFR Jean François Champollion Campus d Albi Place de Verdun 81012 ALBI Cédex 9 DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE
Plus en détailÉpargne, systèmes de financement et développement économique en Afrique : une alternative post-keynésienne
Épargne, systèmes de financement et développement économique en Afrique : une alternative post-keynésienne Par Koffi SODOKIN Laboratoire d économie et de gestion Université de Bourgogne (France) Koffi.Sodokin@u-bourgogne.fr
Plus en détailIODE Consulting I Intelligence on Demand Slide 1
IODE Consulting I Intelligence on Demand Slide 1 Présentation Tableau de bord prospectif Définition Fonctions Perspectives Indicateurs Carte stratégique Vision globale IODE Consulting I Intelligence on
Plus en détailLICENCE ECONOMIE-GESTION Année universitaire 2014-2015
LICENCE ECONOMIE-GESTION Année universitaire 2014-2015 Le projet pédagogique de la La mention Economie et gestion est destinée aux étudiants qui veulent se préparer aux métiers de l économie et de la gestion.
Plus en détailla quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii
Finances publiques et croissance : la quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii Piège de croissance et impuissance de la politique économique 2 Pourquoi la crise est-elle plus grave
Plus en détailOutil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation ENTRETIEN ANNUEL
Outil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation NOM : Prénom : Né (e) le : Fonction : Occupée depuis le : Date du précédent entretien : Date de l entretien : Entretien mené par :... ENTRETIEN
Plus en détailCHAPITRE II : LES GRANDS COURANTS DE L ANALYSE ECONOMIQUE
2009-2010 CHAPITRE II : LES GRANDS COURANTS DE L ANALYSE ECONOMIQUE Christelle ZENG ANALYSE ECONOMIQUE ET HISTORIQUE DES SOCIETES CONTEMPORAINES C P G E E C E INTRODUCTION GENERALE 1) La pensée économique
Plus en détailBACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT
BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT ECTS CM TD Volume horaire Semester 1 30 161 109 288 UE1 Economics 9 48 32 80 Microeconomics 1: Central/Essential/Major Principles 24 16 40 Macroeconomics 1:
Plus en détailIntroduction aux théories et aux concepts de l économie
Chapitre 1 : Introduction aux théories et aux concepts de l économie Professeur Georges WEIL UE7 - Santé Société Humanité Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe.
ATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe. L économie de la connaissance et l industrie : au cœur de la stratégie de développement économique de MPM
Plus en détailMonnaie, Banque et Marchés Financiers
Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C
Plus en détailDocument 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailÂge, revenu et comportements d épargne des ménages Une analyse théorique et empirique sur la période 1978-2006
École d Économie de Paris École des Hautes Etudes en Sciences Sociales Master Analyse et politique économiques Âge, revenu et comportements d épargne des ménages Une analyse théorique et empirique sur
Plus en détailL arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève
L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailL emploi permet-il toujours de s intégrer à la société française?
1) Analyse du sujet : T.E.S. Fustel de Coulanges 2013/2014 GALY marjorie.galy@wanadoo.fr http://www.toileses.org Eléments de correction du BAC BLANC de SES N 4 TESL L emploi permet-il toujours de s intégrer
Plus en détailLicence : Licence Fondamentale en Gestion Etape : Semestre : 1. Première Année Licence Fondamentale en Gestion ( Tronc commun )
Semestre : Première Année Licence Fondamentale en Gestion ( Tronc commun ) ( semaines) Fondamentale.00 Fondamentale Principes de Gestion : Environnement et fonctionnement de l'entreprise.00.00 Obligatoire
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailCMI INGENIERIE FINANCIERE - SPECIALITE FINANCE MATHEMATIQUE ET MARCHES DE CAPITAUX
Université de CERGY 1/3 CMI INGENIERIE FINANCIERE - SPECIALITE FINANCE MATHEMATIQUE ET MARCHES DE CAPITAUX L1 S1 Mathématiques (pratique des fonctions numériques) 4 L1 S1 Outils informatiques et bureautique
Plus en détailMEMOIRE de Théorie de Croissance Economique : Epargne et Investissement, quelle causalité?
RÉPUBLIQUE DE LA COTE D IVOIRE Union Discipline Travail ***************************** Ministère de l Enseignement Supérieur *************************** École Nationale Supérieure de Statistique et d Économie
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailLes stratégies de protection des marques sur Internet au travers des noms de domaine
Présentation SafeBrands Salon Legal IT 30 mars 2015 Les stratégies de protection des marques sur Internet au travers des noms de domaine Présentation de SafeBrands Création en 1997 -> SafeBrands est toujours
Plus en détailEstimation de votre impôt sur les revenus 2007
Estimation de votre impôt sur les revenus 27 21/12/27 Synthèse des données et résultats Données de votre simulation Nombre de parts 1 Revenus net catégoriels Traitements et salaires, pensions et rentes
Plus en détailDate limite de retour des dossiers : Vendredi 9 mai à minuit
Présentation des 3 parcours........ page 02 Règlement.................. page 04 Inscription.................. page 07 Programmes, bibliographies, sujets types page 12 Date limite de retour des dossiers
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailpays tributaires des exportations de minéraux
La viabilité de la politique budgétaire dans les pays tributaires des exportations de minéraux Kirk Hamilton Groupe de recherche sur l économie du développement Banque mondiale Séminaire de haut niveau
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailOPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS
OPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS La Ville de Castelnaudary, soutenue par l Anah, la Région Languedoc-Roussillon, le Département de l Aude, lance une Opération Programmée
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Terminale ES Enseignement de spécialité Economie approfondie Thème n 1 : Economie et démographie Fiche 1.2 :
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailMICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique
Session 2013 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : Management et gestion d activités commerciales VERSION 23 MAI 2013 MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau
Plus en détailFiche 8 : Libre-échange et protectionnisme
Fiche 8 : Libre-échange et protectionnisme Plan de la fiche 1. Notions de base 2. Problèmes économiques et sociaux 3. Théories et auteurs 4. Repères historiques La croissance économique dans le monde est-elle
Plus en détailLa convergence énergie et numérique : vers la Ville et les Territoires connectés, intelligents et durables
La convergence énergie et numérique : vers la Ville et les Territoires connectés, intelligents et durables Antoine-Tristan MOCILNIKAR Ingénieur général des Mines Auprès du Délégué interministériel à la
Plus en détailMastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»
Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé
Plus en détailL impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.
L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif
Plus en détailAux chapitres 14 et 15, nous avons vu
Chapitre 16 La monnaie et les marchés des biens et des services Sommaire Xxxxxxxx Les effets des variations monétaires sur le revenu national........ 519 Les effets sur la monnaie des variations sur le
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détailDirection des Études et Synthèses Économiques G 2005 / 08
Direction des Études et Synthèses Économiques G 2005 / 08 Éducation et croissance en France et dans un panel de 21 pays de l OCDE Clotilde L ANGEVIN et Nadine LAÏB Document de travail Institut National
Plus en détail