CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES RAPPORT SUR L EXERCICE 2012/13

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1 CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES RAPPORT SUR L EXERCICE 2012/13

2 Publié par le CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES 1 CANADA SQUARE CANARY WHARF LONDON E14 5AE ANGLETERRE Téléphone : 44 (0) Fax : 44 (0) Courriel : igc@igc.int Janvier 2014

3 AVANT-PROPOS Le Conseil international des céréales (CIC) est une organisation intergouvernementale spécialisée dans les échanges de céréales et d oléagineux. Il administre la Convention sur le commerce des céréales de Ce rapport couvre les travaux du Conseil et de ses comités durant l exercice clos en juin Le Conseil a approuvé le texte du rapport à des fins de publication lors de sa 38 e session en décembre Pour de plus amples informations sur le CIC, veuillez consulter

4 TABLE DES MATIERES page POINTS SAILLANTS DES TRAVAUX DU CIC EN 2012/ CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES... 7 Réunions et conférences... 7 Examen de l évolution du marché des céréales et programme de travail... 8 Situation du marché en 2012/ Perspectives pour 2013/ Travaux analytiques et études spéciales Programme de travail économique ordinaire Système d information sur les marchés agricoles (AMIS) Programme de travail pour 2013/ Questions administratives et autres Composition Efforts en vue d élargir la participation à la CCC Comptes certifiés Examen de la situation financière en 2012/13 et budget pour l exercice 2013/ Paiement des contributions Elections pour 2013/ ANNEXES 1. Composition du CIC et de ses comités pour l exercice 2012/ Voix des membres du CIC en 2012/ Participation du Secrétariat du CIC à des réunions et visites Résumé des services d information du CIC en 2012/ Comptes certifiés pour 2012/13 Résumé Notes Tous les chiffres en tonnes font référence à des tonnes métriques. «m.» veut dire «million».

5 6 Rapport sur l exercice 2012/13 POINTS SAILLANTS DES TRAVAUX DU CIC EN 2012/13 La couverture du secteur des oléagineux a été élargie, y compris un plus large éventail de cotations de prix et une analyse de l offre et la demande pour le soja et le colza/canola. Le CIC a rejoint le Secrétariat de l AMIS en qualité de dixième membre à compter du 1 er octobre Le Comité administratif nouvellement créé a tenu sa première réunion en octobre La table ronde de décembre 2012 a porté sur la «réglementation des OGM et son impact sur les échanges mondiaux». La Conférence 2013 sur les céréales du CIC s est déroulée à Londres le 11 juin 2013 sur le thème «Evaluer les perspectives, relever les défis». Elle a aussi accueilli deux ateliers, l un sur les échanges internationaux de céréales et l autre sur la qualité et l état des marchandises. La Convention sur le commerce des céréales de 1995 a été prorogée pour une durée de deux années supplémentaires, jusqu au 30 juin Le Secrétariat a continué de se concentrer sur ses activités économiques et statistiques phares. Parmi les principales évolutions du marché, on peut citer : -- Des conditions de sécheresse dans l hémisphère Nord ont dominé l évolution du marché, la production mondiale de céréales reculant de 3 % d une année sur l autre, y compris un repli de 13 % de la récolte américaine de maïs malgré la superficie la plus élevée depuis Du fait de la précarité de l offre, la consommation mondiale de céréales a reculé pour la première fois en 13 ans, et les échanges ont perdu 4 millions par rapport au record de l année précédente. -- Les stocks mondiaux de fin de campagne ont baissé de 24 millions de tonnes et le ratio stock/utilisation de 19 % affichait son plus bas niveau depuis 2007/ La production de soja a grimpé à un nouveau pic, mais les échanges n ont progressé que d un modeste 3 millions de tonnes car les importations de la Chine ont été bridées par la grippe aviaire, des retards logistiques et des disponibilités américaines tendues. -- Les prix à l exportation du blé, du maïs et du soja ont d abord fortement augmenté, l Indice des céréales et des oléagineux du CIC (GOI) atteignant un record absolu début septembre, avant de se replier par la suite du fait des espoirs de meilleures récoltes en 2013/ Les prix à l exportation du riz ont été plus stables, ceux de la Thaïlande conservant une prime notable par rapport à d autres origines. - - Les projections à moyen terme pour le blé et les céréales secondaires ont suggéré un accroissement de la production mais peu de potentiel de reconstitution des stocks compte tenu de la demande croissante ; les perspectives sont plus confortables pour le riz et les oléagineux.

6 Rapport sur l exercice 2012/13 7 Réunions et conférences CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES Le Conseil international des céréales (CIC) a tenu deux sessions à Londres en 2012/13, le 6 décembre 2012 et le 10 juin M. Seung-cheol Lim (Corée du Sud), Président du CIC en 2012/13, a présidé les deux sessions. La composition du Conseil est reprise à l Annexe 1. Le Conseil a considéré la situation et les perspectives des marchés des céréales, du riz et des oléagineux sur la base des présentations détaillées du Secrétariat et des informations des membres, qui ont aussi fait référence aux tout derniers développements concernant leurs politiques céréalières. Il a passé en revue les progrès accomplis avec le programme de travail 2012/13 du Secrétariat et il a examiné et approuvé le programme pour 2013/14. Parmi diverses questions administratives et financières, il a adopté son budget au titre de l exercice 2013/14. Lors de la session de juin 2013, le Conseil a décidé de prolonger la durée de vie de la Convention sur le commerce des céréales de 1995 (CCC) à raison de deux années supplémentaires, jusqu au 30 juin Une Table ronde sur «La réglementation des OGM et son impact sur le commerce mondial» s est tenue à l issue de la 36 e session du Conseil en décembre Elle a été dirigée par le Président du CIC et a fait intervenir des représentants de l industrie et des pouvoirs publics. La discussion a souligné les défis auxquels sont confrontés les producteurs, les opérateurs et les régulateurs, compte tenu de la disponibilité accrue de céréales transgéniques face à différents degrés d acceptation de la part du public. La Conférence 2013 sur les céréales du CIC s est tenue à Londres le 11 juin 2013 ; elle avait pour thème «Evaluer les perspectives, relever les défis». La Conférence a réuni des intervenants issus des Etats-Unis, du Brésil, du Canada, d Australie, de Chine, d Indonésie, du Japon, de France et du Royaume-Uni, et a couvert un large éventail de sujets. En particulier, M. Thomé Guth, Directeur de la Compagnie nationale des approvisionnements alimentaires (CONAB) du Brésil et M. Wang Xiaohui, Directeur divisionnaire du Centre national chinois d information sur les céréales et les oléagineux, ont évoqué la situation et les perspectives pour le maïs et le soja dans leur pays respectif. La Conférence a également accueilli deux ateliers, l un organisé par l Association nord-américaine des exportations de céréales (NAEGA), qui a exploré les perspectives et les principaux défis pour les marchés et les échanges internationaux de céréales. L autre était organisé par l Association du commerce des céréales et des aliments pour animaux (GAFTA) sur les risques et responsabilités des parties concernant la qualité et l état des marchandises. Le Comité administratif (dont la composition est reprise à l Annexe 1) s est réuni à Londres le 9 octobre 2012 et le 8 mai Les réunions ont été présidées par M. Lim. Le Comité a approuvé l ordre du jour des sessions du Conseil et a examiné les propositions budgétaires pour 2013/14 ainsi que d autres questions administratives et financières. Il a passé en revue les progrès du Secrétariat concernant le programme de travail pour 2012/13 et il a débattu des propositions pour 2013/14. A chaque réunion, le Directeur exécutif a informé le Comité de ses contacts avec de nouveaux pays membres potentiels. Le Comité du budget (composé de l Argentine, de l Australie, du Canada, de la Corée (Rép. de), de Cuba, de l Egypte, des Etats-Unis, de la Fédération de Russie, du Japon et de l Union européenne) s est réuni le 16 avril 2013 sous la présidence de M. Lim. Le Comité a débattu des propositions budgétaires du Directeur exécutif pour 2013/14 avant leur examen par le Comité administratif et leur adoption par le Conseil.

7 8 Rapport sur l exercice 2012/13 Présidé par le Directeur exécutif et ouvert à tous les membres du Conseil, le Comité de la situation du marché (CSM) s est réuni deux fois en 2012/13 : le 14 septembre 2012 et le 5 mars Le CSM a été informé des progrès accomplis avec les différents éléments du programme de travail du Secrétariat pour 2012/13, y compris la fourniture d une analyse complète de l offre et la demande concernant le soja et le colza/canola ; la préparation des projections de l offre et la demande à moyen terme jusqu en 2017/18 pour les céréales, le riz et, pour la première fois, les oléagineux ; des statistiques actualisées sur les usages industriels de céréales, l utilisation dans l alimentation animale de céréales et autre ingrédients clés ainsi que les superficies plantées sous céréales et oléagineux transgéniques. Le Secrétariat a également rendu compte des progrès accomplis dans l amélioration de la fourniture d informations aux membres et aux abonnés par le biais du site web du Conseil, y compris une couverture plus large des prix journaliers des oléagineux et du riz, ainsi que des efforts déployés pour remanier le site web et accroître la visibilité des travaux du Conseil auprès du public. Chaque réunion du CSM comprend au moins une présentation d expert, alors que les gouvernements membres sont tour à tour priés de faire le point de la situation et des politiques de leur pays respectif en matière de céréales. En septembre 2012, M. Beibitkhan Kabdrakhmanov, Président du Conseil de la Food Contract Corporation, a fait une présentation sur la situation et les perspectives pour les céréales au Kazakhstan. Lors de la même réunion, M. Guth, Directeur de l analyse de marché pour les oléagineux, le maïs et les produits de la viande à Conab, a fait un exposé sur la production de céréales et d oléagineux au Brésil. En mars 2013, M. Jonathan Calland, Chef des Relations extérieures chez Tilda Ltd, a fait une présentation sur les défis auxquels est confronté le marché mondial du riz. Un groupe des experts du fret a tenu des réunions périodiques, auxquelles tous les membres du Conseil pouvaient participer, afin de passer en revue l évolution des taux de fret maritime. Les délibérations du groupe d experts ont été rapportées à chaque réunion du CSM et à la session du Conseil en 2012/13. Les observateurs de sept pays et territoires non membres (Bolivie, Brésil, Chine, Guatemala, Territoire douanier séparé du Taipei (chinois), Tanzanie et Viet Nam) ont assisté aux sessions du Conseil en 2012/13. Des observateurs de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO), l Organisation de la coopération et du développement économiques (OCDE) et l Organisation mondiale du commerce (OMC) ont prononcé des déclarations au Conseil concernant leurs travaux récents. L Annexe 3 dresse la liste des rencontres internationales et des manifestations liées aux céréales auxquelles ont participé le Directeur exécutif ou des membres du Secrétariat en 2012/13. Examen de l évolution du marché des céréales et programme de travail Situation du marché en 2012/13 Ce qui suit résume l évolution mondiale des marchés des céréales, du riz et des oléagineux qui a servi de toile de fond aux discussions des membres sur la situation du marché et ses perspectives en 2012/13. Si le commentaire s arrête à la fin de l exercice, les statistiques ont bien été actualisées pour tenir compte des dernières données disponibles.

8 Rapport sur l exercice 2012/13 9 L évolution du marché des céréales, du riz et des oléagineux en 2012/13 a été dominée par l impact des conditions de sécheresse dans l hémisphère Nord, notamment aux Etats-Unis et par la contraction ultérieure de l offre mondiale. La croissance économique étant résolument en berne, les préoccupations, liées à la zone euro notamment, ayant tendance à se dissiper, et le dollar des Etats-Unis évoluant dans une fourchette relativement étroite, les mouvements de prix ont été essentiellement influencés par les fondamentaux du marché. A millions de tonnes, la production mondiale de céréales en 2012/13 était en repli de 3 % par rapport à l année précédente du fait des moissons sensiblement réduites suite aux conditions de sécheresse dans certains des marchés des principaux producteurs de l hémisphère Nord, y compris les Etats-Unis, la CEI et l UE. La production a reculé pour toutes les céréales, à l exception du seigle. La production mondiale de blé est estimée à 655 millions de tonnes en 2012/13, en baisse de 6 % par rapport au niveau record de l année précédente. En particulier, la production a chuté de 38 millions de tonnes (33 %) dans la CEI, car un temps sec et très chaud a réduit les rendements des trois principaux pays producteurs la Russie, l Ukraine et le Kazakhstan. La moisson de l UE à 27 a aussi affiché une baisse de 4 % sur l an dernier, en raison d une réduction des rendements moyens et de la superficie moissonnée, avec des résultats particulièrement décevants au Royaume-Uni (-13 % d une année sur l autre), en Espagne (-25 %) et en Roumanie (-22 %). En revanche, la récolte américaine s est améliorée de 13 % comparée à son faible niveau de l an dernier, car les récoltes d hiver et de printemps ont été rentrées suffisamment tôt pour échapper aux effets néfastes de la sécheresse. La récolte de maïs américain a eu moins de chance et a reculé de 13 % sur l an dernier, à 274 millions de tonnes, son niveau le plus bas depuis 2006, car une grave sécheresse en juillet et août a sapé les rendements de 16 %. Les agriculteurs avaient pourtant ensemencé la plus vaste superficie depuis 1937, car les prix et les conditions favorables au début de la campagne avaient encouragé des semis précoces et ambitieux. La production a également baissé de 8 % d une année sur l autre en Ukraine et de 15 % dans l UE, avec des replis notables en Hongrie et en Roumanie où les rendements ont souffert de conditions sèches et très chaudes. Si la production a atteint de nouveaux pics au Brésil, en Argentine et en Chine, globalement, la moisson mondiale de maïs en 2012/13 a reculé de 2 % par rapport à l an dernier, tombant à 863 millions de tonnes. La production mondiale d orge a également été touchée par les conditions de sécheresse dans la CEI, où la récolte cumulée a plongé de 6 millions de tonnes (18 %) d une année sur l autre, ainsi qu en Australie. La récolte mondiale a chuté de 4 % par rapport à l an dernier à 129 millions de tonnes, malgré de bons résultats dans l UE (+5 %) et en Argentine, où la production a grimpé de 26 % à 5,2 millions de tonnes, suite à un essor significatif des superficies car les producteurs ont donné la préférence à l orge plutôt qu au blé dans leurs semis. La production de sorgho est restée quasiment inchangée d une année sur l autre à 56 millions de tonnes, car de meilleures récoltes aux Etats-Unis et au Brésil ont été absorbées par une production beaucoup plus faible en Australie, où des conditions météorologiques défavorables ont retardé les semis, et au Mexique suite aux dégâts causés par la sécheresse en fin de campagne agricole. La production en Afrique subsaharienne, qui représente 42 % du total mondial, est restée quasiment inchangée d une année sur l autre. La moisson d avoine a chuté de 8 % par rapport à l année

9 10 Rapport sur l exercice 2012/13 précédente, à 21 millions de tonnes, du fait de résultats nettement inférieurs en Russie (en repli de 25 % sur l an dernier) et au Canada (en baisse de 11 %), pays qui, à eux deux, comptent pour environ le tiers de la production mondiale. En revanche, la production mondiale de seigle est estimée faire 9 % de plus que l an dernier, à 15 millions de tonnes, en raison d un bond marqué de 25 % de la production dans l UE, à 9 millions de tonnes, en partie absorbé par une piètre récolte en Russie. Du fait de la précarité de l offre, la consommation mondiale de céréales a reculé de 2 % à millions de tonnes en 2012/13, le premier repli en 13 ans. L utilisation dans l alimentation humaine a continué d augmenter à un taux stable de 1 %, conforme à la tendance à long terme, mais l utilisation dans l alimentation animale et les usages industriels ont reculé de 4 % dans le premier cas et de 2 % dans le second. Les usages industriels aux Etats-Unis se sont contractés de 10 millions de tonnes, presque entièrement du fait d un repli de l utilisation de maïs pour la production d éthanol, laquelle, à 122 millions de tonnes, représente 41 % de l utilisation industrielle mondiale, toutes céréales confondues. Le coût plus élevé des intrants suite à la moisson réduite de 2012 a eu des répercussions adverses sur les bénéfices, exacerbées par le ralentissement de la demande en carburant dans un contexte économique difficile et du fait d une meilleure efficience énergétique des véhicules plus récents. L utilisation industrielle en Chine a continué d augmenter, de 5 % d une année sur l autre pour se hisser à 62 millions de tonnes, avec une demande croissante en produits à base d amidon. L utilisation mondiale dans l alimentation animale a reculé de 29 millions de tonnes pour tomber à 771 millions, y compris une baisse de 20 millions dans le cas du blé par rapport au niveau record de l an dernier, du fait des disponibilités intérieures réduites chez quelques gros consommateurs, y compris l UE et la CEI. Les disponibilités moindres ont aussi eu un impact sur la demande de maïs pour l affouragement, le total mondial reculant de 8 millions à 486 millions de tonnes, y compris un repli de 5 millions aux Etats-Unis. La demande d orge a chuté de 2 % par rapport à l an dernier, à 133 millions de tonnes, son niveau le plus bas en 13 ans, du fait d une contraction des disponibilités mondiales, notamment dans les principales régions consommatrices d orge fourragère. La consommation dépassant la production, les stocks mondiaux de fin de campagne sont estimés avoir reculé de 24 millions de tonnes en 2012/13 (cumul des campagnes locales respectives de commercialisation), y compris un repli de 18 millions dans le cas du blé et une contraction de 1 million pour le maïs. A 19 %, le ratio stocks/utilisation était le plus bas depuis 2007/08, et inférieur à la moyenne décennale de 20 %. En particulier, les inventaires de maïs des principaux exportateurs sont tombés à leur plus bas niveau en 16 ans. Les stocks d orge, de sorgho et d avoine ont tous reculé par rapport à l an dernier, alors que les stocks de report de seigle sont restés stationnaires, mais à un faible niveau. Les échanges mondiaux de céréales sont estimés à 266 millions de tonnes en 2012/13 (juillet-juin), en repli de 4 millions sur le niveau record de l année précédente. Les expéditions de blé ont reculé de 4 millions de tonnes par rapport à leur record absolu de 2011/12 pour tomber à 141 millions, bridées par un repli des importations de blé fourrager du fait de la contraction des disponibilités mondiales. Les achats de l Egypte, l Arabie saoudite et la Turquie ont été sensiblement moins élevés que l an dernier. Les importations de la Chine ont encore augmenté, pour s établir à 3,3 millions de tonnes, malgré sa moisson record, encouragées par des prix intérieurs relativement élevés. Les achats de l Iran ont plus que doublé, à 5,5 millions de tonnes. Comme les expéditions de la Russie et du Kazakhstan ont reculé respectivement de 10 millions et 4 millions de tonnes, suite à des moissons décevantes, les disponibilités dans la région Mer Noire

10 Rapport sur l exercice 2012/13 11 ont été particulièrement tendues, ce qui a dopé la demande en faveur d exportations par l UE, lesquelles ont augmenté de 39 % à 22 millions de tonnes. Les échanges de maïs ont reculé de 1 million de tonnes d une année sur l autre à 96 millions de tonnes, car des achats supérieurs par l UE et les Etats-Unis ont été plus qu absorbés par des expéditions plus faibles au Mexique et en Afrique. Suite à une moisson en forte baisse, les exportations américaines ont chuté de 53 %, à 20 millions de tonnes, leur plus bas niveau en 48 ans. Toutefois, cela a été compensé par une forte hausse des ventes du Brésil, qui ont grimpé à 26 millions, contre 9 millions l année précédente, dépassant ainsi les Etats-Unis pour la première fois. A 19 millions de tonnes, les échanges d orge se sont repliés de 4 % par rapport au niveau particulièrement élevé de l an dernier, qui avait été impulsé par une désaffection du maïs à prix élevé et par une recrudescence des achats par l Arabie saoudite. Les expéditions à l Arabie saoudite ont régressé mais elles sont restées étonnamment fermes compte tenu du niveau élevé de stocks et le repli a été compensé par une augmentation des expéditions à l Iran. Après l embellie de la demande d orge brassicole enregistrée l année précédente, les expéditions à l UE ont baissé, à mesure que les disponibilités intérieures s amélioraient. Les échanges de sorgho ont sensiblement augmenté, de 51 % d une année sur l autre, à 7 millions de tonnes, en raison des achats accrus par la Chine, le Mexique et l UE. Les importations de la Chine estimées à tonnes ont été nettement supérieures à la moyenne quinquennale précédente de tonnes, résultat d une moisson intérieure réduite et d un remplacement du maïs, car les importations de sorgho ne font pas l objet d un contingent tarifaire. Les échanges d avoine et de seigle ont reculé d une année sur l autre, en raison des disponibilités précaires chez les principaux exportateurs. La production mondiale de riz a augmenté de 1 % en 2012/13, pour atteindre un record de 469 millions de tonnes, alors que la consommation a augmenté de 2 % à 467 millions. Les stocks de fin de campagne ont affiché une hausse de 2 millions de tonnes à 109 millions, car les replis dans certains pays, notamment en Inde, ont été compensés par des augmentations ailleurs, y compris en Chine et en Thaïlande. Les stocks cumulés en Thaïlande ont étayé une hausse de 8 % des stocks des principaux exportateurs à un record de 40 millions de tonnes, dépassant les échanges mondiaux annuels, lesquels sont estimés à 37 millions pour l année civile Ce chiffre représenterait un repli de 3 % d une année sur l autre, en grande partie du fait d une baisse des expéditions à l Afrique, compte tenu de l accroissement des droits d importation au Nigéria, le plus gros importateur au monde. Si la récolte américaine de soja a été décevante pour la deuxième année de suite, un redressement des rendements brésiliens et argentins par rapport aux faibles niveaux de l année précédente liés aux intempéries a relevé la production mondiale de 13 % pour la hisser à un nouveau pic de 271 millions de tonnes en 2012/13. En comptant des producteurs plus petits comme la Bolivie, le Paraguay et l Uruguay, la production sud-américaine a grimpé de 26 % d une année sur l autre et comptait pour 48 % du total mondial. Aux Etats-Unis, des rendements moyens faibles ont compensé l impact d une hausse de 3 % de la superficie moissonnée et la production a légèrement reculé à 82 millions de tonnes, contre 84 millions l année précédente. La consommation a augmenté d un taux estimatif de 6 %, impulsée par une croissance particulièrement forte de la demande émanant des secteurs de l alimentation humaine et animale en Chine. Les stocks de fin de campagne (cumul des campagnes locales respectives de commercialisation) sont estimés à 26 millions de tonnes, en hausse de 12 % par rapport au faible niveau de l an dernier. Les inventaires des trois principaux exportateurs ont grimpé de 42 % à 9 millions de tonnes, car un repli aux Etats-Unis a été

11 12 Rapport sur l exercice 2012/13 plus qu absorbé par une forte reprise à la fois en Argentine et au Brésil. Les échanges (oct./ sept.) ont grimpé de 3 millions de tonnes à 97 millions un taux de croissance plus modeste que ces dernières années, car les achats de la Chine ont été bridés par une épizootie de grippe aviaire, des retards initiaux à l arrivée des exportations sud-américaines en raison de problèmes logistiques et la précarité de l offre aux Etats-Unis. Le marché du colza/canola a été plus stable en 2012/13. La production a grimpé de 4 % d une année sur l autre à 63 millions de tonnes, dépassant légèrement la consommation. Suite à deux replis successifs d une année sur l autre, les stocks de fin de campagne (cumul des campagnes locales respectives de commercialisation) sont estimés être restés plus ou moins stables à 4,6 millions de tonnes. La production du Canada, premier exportateur au monde, a reculé de 5 %, ce qui limite les disponibilités exportables et les échanges mondiaux qui ont reculé de 2 % d une année sur l autre à 12,9 millions en 2012/13 (octobre-septembre). Les prix à l exportation pour le blé, le maïs et le soja ont fortement augmenté au début de l exercice juillet-juin, car un état de sécheresse a été déclaré dans les principales régions productrices de l hémisphère Nord, y compris le grenier à maïs des Etats-Unis et la région Mer Noire, ainsi qu une partie de l UE. L Indice des prix des céréales et des oléagineux du CIC (GOI) a atteint un record absolu de 336 points le 4 septembre 2012, en hausse de 16 % par rapport au début de juillet. Les prix du soja ont affiché une hausse particulièrement marquée à compter de la mi-août avec une forte demande émanant de la Chine, mais à l instar du maïs, ils ont entamé un repli à compter du début septembre du fait des pressions saisonnières de la moisson. Les prix du blé sont restés fermes jusqu en novembre du fait des préoccupations persistantes concernant la disponibilité d exportations venant de la région Mer Noire, avant d afficher des replis marqués à partir de début décembre du fait de la lenteur de la demande américaine à l exportation. Les prix du maïs se sont redressés en octobre et novembre du fait d un regain d espoirs d exportations, conjugués à une contraction de l offre ancienne récolte et à des conditions météorologiques adverses en Amérique du Sud, et ils sont restés élevés jusqu à ce que le rapport sur les stocks des Etats-Unis, publié en mars, confirme des inventaires supérieurs aux attentes, ce qui a donné lieu à une correction sensible à la baisse. Malgré les perspectives d une amélioration sensible de la production durant la saison prochaine, la raréfaction de l offre ancienne récolte de maïs et de soja a donné lieu à une orientation à la hausse jusqu en juillet, lorsque la transition des contrats de l ancienne à la nouvelle récolte a provoqué une forte correction à la baisse. Les prix à l exportation du riz en Thaïlande ont maintenu une prime notable par rapport à d autres origines tout au long de 2012/13, même s ils ont affiché une certaine baisse en mai et juin du fait d un ralentissement de la demande à l exportation et de la rumeur que les pouvoirs publics avaient l intention de réduire le prix de soutien pour le riz paddy ordinaire. Les prix au Viet Nam ont progressé du fait de la fermeté de la demande à l exportation durant les premiers mois de 2012/13, mais par la suite la tendance s est inversée du fait d une activité léthargique et les prix ont progressivement reculé à compter de la mi-novembre. Globalement, le GOI a clôturé 2012/13 en baisse de 2 % d une année sur l autre, car une hausse globale de 9 % du sous-indice maïs a été plus que compensée par un recul de 6 % dans le cas du blé, une chute de 7 % dans le cas du riz et un repli de 3 % dans le cas du soja. Les taux de fret maritime dans le secteur du transport des céréales (Panamax, Supramax et Handysize) ont continué de fluctuer à de faibles niveaux, comprimés par les modestes volumes d échanges et par un excédent de tonnage. Les taux ont régressé de juillet à septembre puis sont restés faibles avec des embellies passagères jusqu à la fin de février 2013, lorsqu une hausse de la demande en produits de base et un encombrement aux ports du Brésil ont entraîné un mouvement haussier plus soutenu, notamment dans le secteur

12 Rapport sur l exercice 2012/13 13 Panamax. Après avril, toutefois, les taux se sont de nouveau repliés. A la fin de juin 2013, la moyenne des indices de la Baltique pour les trois secteurs de transport des céréales avait perdu 14 % sur l an dernier. Perspectives pour 2013/14 Lors de sa session de juin 2013, le Conseil a passé en revue les perspectives des marchés mondiaux des céréales et des oléagineux en 2013/14. Les toutes dernières prévisions du Conseil 1 suggéraient une situation moins tendue avec une hausse de 7 % du total mondial de la production de céréales à 1,9 milliard de tonnes et un redressement de 33 millions des stocks de fin de campagne pour se hisser juste au-dessus des niveaux de 2011/12. Toutefois, à court terme, l offre restait restreinte, ce qui se ressentait dans les prix toujours élevés. On s attendait à ce qu une hausse de 4 % de la production mondiale de blé d une année sur l autre soit en grande partie absorbée par la demande avec des stocks de fin de campagne (cumul des campagnes locales respectives de commercialisation) estimés en hausse de 2 millions de tonnes seulement sur l an dernier. La production de maïs était jugée grimper de 10 % d une année sur l autre, sous l effet d un redressement de 30 % aux Etats-Unis et, malgré la forte croissance de la demande, on misait sur une hausse sensible des stocks de maïs à raison d un taux estimatif de 25 %, à leur plus haut niveau en 13 ans. Le total des échanges de céréales en 2013/14 était estimé en légère hausse par rapport à l an dernier, à 263 millions de tonnes. On s attendait à ce que les échanges de blé fourrager soient bridés par de meilleures disponibilités de maïs dans certains pays et par une reconstitution des stocks dans la région Mer Noire. En ce qui concerne le maïs, de grosses moissons dans certains pays allaient probablement brider les gains, mais la Chine était bien placée pour devenir un acheteur beaucoup plus important. Une récolte record de soja en 2013/14 était officiellement formulée pour les Etats-Unis, en supposant un redressement des rendements par rapport aux résultats de l an dernier sapés par la sécheresse. Travaux analytiques et études spéciales Comme convenu par le Conseil, le Secrétariat a continué de concentrer ses ressources limitées en personnel principalement sur ses activités économiques et statistiques phares durant 2012/13. Tenant compte des préparatifs des réunions du Conseil et des Comités, la Conférence et la Table ronde annuelles, les présentations faites à diverses rencontres internationales et la couverture récemment élargie des oléagineux, le Conseil est convenu que les autres travaux analytiques et les études spéciales ne pouvaient être entrepris que lorsque le temps le permettait. Le site web du Conseil a continué d être étoffé en guise de point focal de l information de marché, en s appuyant sur sa réputation de source neutre et indépendante. Le Secrétariat a augmenté sa couverture du secteur des oléagineux, y compris par la collecte d une large gamme de cotations et des travaux pour mener à bien une base de données détaillée sur l offre et la demande de soja et de colza/canola. Les estimations d usages industriels de céréales et d oléagineux, y compris pour la fabrication de biocarburants, ont été actualisées, tout comme les chiffres concernant les tendances relatives à l utilisation dans l alimentation animale et les semis de cultures transgéniques. Avec l aide d un panel d experts sur les taux de fret, le Secrétariat a continué de rendre compte périodiquement des tendances des taux de fret maritime. 1 Telles qu énoncées dans le Rapport sur le marché des céréales, GMR 433, du 31 mai 2013.

13 14 Rapport sur l exercice 2012/13 Programme de travail économique ordinaire Les activités ordinaires d information de marché du Conseil impliquent la préparation de rapports journaliers, hebdomadaires et mensuels à l intention des membres ainsi que la maintenance de bases de données exhaustives sur les céréales et les oléagineux. L analyse de l offre et la demande pour le soja et le colza/canola a été pleinement intégrée dans les notifications périodiques du Secrétariat en 2012/13. Lors de la session de décembre du Conseil, le Secrétariat a présenté des projections à moyen terme révisées sur cinq ans pour les céréales, le riz et, pour la première fois, pour les principaux oléagineux. Globalement, à l exception du riz, des moissons décevantes ont abaissé le point de départ des projections par rapport à l an dernier, mais on estimait que des prix relativement élevés allaient encourager les semis pour la période de projections allant jusqu en 2017/18. En ce qui concerne le blé et les céréales secondaires, les projections faisaient ressortir un accroissement de la production sur la période à l étude, mais peu de potentiel pour une reconstitution des stocks car on s attendait à ce que l amélioration des disponibilités soit absorbée par la demande, notamment pour le maïs et pour l alimentation animale. Les perspectives sont plus stables pour le riz, bien que les hypothèses en matière de politiques publiques aient eu un impact significatif sur les projections. En ce qui concerne les oléagineux, les disponibilités semblaient plus confortables pour la période considérée, en supposant un redressement de la production aux Etats-Unis, en Argentine et au Brésil. Il est noté toutefois que toutes les projections supposent implicitement des conditions favorables pour le développement des cultures, de sorte que des conditions météorologiques adverses pourraient sensiblement modifier les perspectives, notamment compte tenu de la situation précaire de l offre globale. Les projections faisaient ressortir une hausse marquée des volumes d échanges tout au long de la période quinquennale car on s attendait à ce que l accroissement de la demande soit couvert par l essor de la production chez les principaux exportateurs, tout particulièrement en Amérique du Sud et dans la région Mer Noire. Système d information sur les marchés agricoles (AMIS) Le CIC a rejoint le Secrétariat de l AMIS en qualité de dixième membre à compter du 1 er octobre 2012 conformément à la décision du Conseil lors de sa session de juin Le but était de trouver un équilibre entre les activités économiques et statistiques premières pour les membres du CIC et la fourniture au public d informations sur le marché des céréales par le biais de l initiative AMIS. Le Secrétariat a communiqué l Indice journalier des céréales et des oléagineux du CIC (GOI) et des statistiques mensuelles triées sur le volet pour les pays et les produits de base concernés par l AMIS qui seront inclus sur le site web de l AMIS aux côtés des données fournies par l USDA et la FAO/AMIS. Il a également contribué au commentaire sur les prix figurant dans l observateur mensuel de l AMIS et il a participé au développement d indicateurs clés destinés au site web de l AMIS. Programme de travail pour 2013/14 Le Conseil a adopté le programme de travail pour 2013/14 lors de sa session de juin Les estimations et les prévisions de l offre, de la demande et des échanges de céréales et d oléagineux continueront d être l axe principal des travaux, de même que les comptes rendus journaliers, hebdomadaires et mensuels sur l évolution du marché mondial. Les projections quinquennales de référence seront actualisées, pour couvrir la période allant jusqu à 2018/19.

14 Rapport sur l exercice 2012/13 15 Le Conseil continuera de suivre les changements au niveau des politiques nationales qui pourraient affecter les échanges et d optimiser la coopération avec d autres organisations internationales, particulièrement au travers de l initiative AMIS. Le Secrétariat accélérera ses efforts en vue d accroître sa visibilité et d inviter de nouveaux membres à rallier les rangs du CIC. Plus précisément, un nouveau sous-indice orge du GOI (Indice des céréales et des oléagineux) sera introduit et, pour les abonnés, les indicateurs hebdomadaires du marché des céréales (GMI) seront mis à disposition en tant qu élément séparé à compter de juillet Une nouvelle formule d abonnement axée sur le riz sera aussi mise en vente. Questions administratives et autres Composition La composition du Conseil est restée inchangée en 2012/13. Les vingt-six membres (l UE comptant pour un) à la fin de l exercice clos le 30 juin 2013 sont repris à l Annexe 1 et leurs voix sont énumérées à l Annexe 2. Efforts en vue d élargir la participation à la CCC A chaque réunion administrative, le Directeur exécutif a rendu compte de ses contacts avec de nouveaux pays membres potentiels. Des représentants du Brésil ont assisté à des réunions du CSM et du Conseil en qualité d observateurs durant 2012/13 et le processus d adhésion au Conseil est toujours en cours. Parmi les autres gouvernements non membres avec lesquels des contacts ont été maintenus en 2012/13 en vue de leur adhésion figuraient la Bolivie, la Chine, le Guatemala, le territoire douanier séparé du Taipei (chinois), la Tanzanie et le Viet Nam. Comptes certifiés Les comptes certifiés du Conseil pour l exercice 2011/12 ont été examinés par le Comité administratif lors de sa réunion d octobre 2012 et leur publication a été approuvée à la session du Conseil de décembre Un résumé des comptes a été annexé au Rapport sur l exercice 2011/12, publié en mars Examen de la situation financière en 2012/13 et budget pour l exercice 2013/14 Lors de sa session de juin 2013, le Conseil a passé en revue sa situation financière en 2012/13 2. Le total des dépenses en 2012/13 est estimé à 1,66 million, ce qui représente une baisse de 0,8 % sur le total certifié pour l exercice précédent et 3,1 % de moins que le budget. Les dépenses sous tous les postes secondaires ont été inférieures aux niveaux budgétés, hormis pour les frais immobiliers et les services professionnels. Les frais salariaux faisaient 3,5 % de moins que le budget mais les frais locatifs étaient en légère augmentation, pour traduire la hausse progressive des charges locatives et des impôts fonciers commerciaux. Des économies ont été réalisées sur les frais de déplacement et de réunions. Le total du revenu du Conseil, y compris les contributions des membres, les recettes générées par les publications, la conférence et les intérêts sur comptes de dépôt, était estimé à 1,73 million, soit légèrement au-dessus du budget. Le revenu a dépassé le total des dépenses, ce qui a donné un excédent annuel estimé à quelque et les réserves étaient estimées à 1,5 million, au-dessus du niveau de 1,4 million convenu en Les comptes certifiés définitifs pour l exercice sont annexés au présent rapport.

15 16 Rapport sur l exercice 2012/13 Le Conseil a approuvé son budget pour l exercice 2013/14. Le total des dépenses était projeté à 1,71 million, ce qui représentait une croissance nominale nulle pour la deuxième année consécutive. On ne misait que sur une augmentation marginale (0,7 %) des frais salariaux (76 % du total). On s attendait aussi à ce que les frais locatifs (16 % du total des dépenses) augmentent légèrement (de 1,2 %) pour traduire la hausse progressive des charges locatives. Les frais de bureau seraient rognés de 7 %, car le matériel et les logiciels informatiques ont été mis à niveau au cours des deux années précédentes. On s attendait aussi à ce que les dépenses du Conseil et de ses comités au cours du prochain exercice reculent de 10 %, principalement du fait de la réduction des frais de déplacement. Du côté des recettes, le revenu externe (13 % du total) devrait rester inchangé avec un revenu moindre de l intérêt sur les comptes de dépôt compensé par un accroissement des revenus générés par les services d information, avec des révisions à la hausse des tarifs d abonnement pour la première fois depuis août Sur la base du niveau proposé de dépenses et du revenu attendu du Conseil, les contributions nettes des membres en 2013/14 se monteront à 1,482 million, inchangées par rapport à l année précédente. Le Conseil a décidé que les contributions nettes des membres en 2013/14 resteraient aussi inchangées, à 741 par voix. Paiement des contributions Les contributions financières annuelles des membres du Conseil, qui sont proportionnelles au nombre de voix qu ils détiennent, sont exigibles dès leur évaluation, au début de chaque exercice juillet-juin. Le retard que certains membres apportent au paiement de leurs contributions est un sujet de préoccupation de longue date pour le Conseil, d autant plus que cela risque de se traduire par une hausse des frais pour les membres qui s acquittent ponctuellement de leurs contributions. A la fin de l exercice, quatre pays présentaient des arriérés de paiement, l Iran, le Kazakhstan, le Pakistan et l Ukraine. En mars 2013, la Côte d Ivoire a soldé ses arriérés de longue date pour la période de 2001/02 à 2011/12, après son paiement partiel de novembre 2011.

16 Rapport sur l exercice 2012/13 17 Elections pour 2013/14 Les élections et nominations suivantes pour l exercice 2013/14 ont eu lieu lors de la session de juin 2013 du Conseil. Président du Conseil, du Comité administratif et du Comité exécutif M. Eugene Philhower (Conseiller agricole, Ambassade des Etats-Unis) Vice-Président du Conseil, du Comité administratif et du Comité exécutif S.E. M. Waleed El Khereiji (Directeur général de l Organisation des Moulins et des Silos à Grains, Arabie saoudite) Membres du Comité administratif Afrique du Sud, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Canada, Corée (Rép. de), Cuba, Egypte (Rép. arabe d ), Etats-Unis d Amérique, Fédération de Russie, Inde, Japon, Kenya, Suisse, Ukraine et Union européenne. Membres du Comité exécutif Afrique du Sud, Argentine, Australie, Canada, Corée (Rép. de), Cuba, Egypte (Rép. arabe d ), Etats-Unis d Amérique, Fédération de Russie, Japon, Kenya, Maroc, Suisse et Union européenne.

17 18 Rapport sur l exercice 2012/13 ANNEXE 1 Composition du CIC et de ses Comités pour l exercice 2012/13 (1 er juillet juin 2013) Président M. Seung-cheol Lim (Rép. de Corée) Vice-Président M. Deepak Kumar (Inde) Council membership Administrative Committee a) Executive Committee b) Market Conditions Committee d) Exporting Members Argentina Australia Canada European Union India c) Kazakhstan Russian Federation Turkey Ukraine United States of America Importing Members Algeria Côte d Ivoire Cuba Egypt (Arab Rep. of) Iran (Islamic Rep. of) Japan Kenya Korea (Rep.of) Morocco Norway Pakistan Saudi Arabia South Africa Switzerland Tunisia Vatican City a) Lors de sa 35 e session le 8 juin 2012, le Conseil a décidé qu à compter du 1 er juillet 2012, il transférerait au Comité administratif nouvellement créé tous les pouvoirs et fonctions qu il avait confiés au Comité exécutif aux termes du paragraphe 4 de l article 10, si ce n est les fonctions expressément assignées au Comité exécutif en vertu de l article 4 et du paragraphe 5 de l article 7 de la Convention sur le commerce des céréales de Le Comité administratif se compose de 16 membres. Les membres ayant 50 voix ou plus sont automatiquement éligibles. b) Le Comité exécutif est constitué d au plus huit membres importateurs et six membres exportateurs. c) Membre ex-officio (Vice-Président). Aux termes de l alinéa (g) de la règle 8, le Président et le Vice-Président du Conseil peuvent assister à toute réunion de l un quelconque des comités du Conseil et prendre part aux débats sans droit de vote. d) Conformément à l article 16 de la Convention sur le commerce des céréales de 1995, le Comité de la situation du marché est un comité plénier et tous les membres du Conseil sont libres d assister à ses réunions. Il est présidé par le Directeur exécutif.

18 Rapport sur l exercice 2012/13 19 ANNEXE 2 Voix des membres du CIC en 2012/13 Note explicative AUX TERMES DE L ARTICLE 11a) a) (Voix pour l entrée en vigueur et le budget) Voix Algérie 27 Argentine 117 Australie 133 Canada 227 Côte d Ivoire 6 Cuba 6 Egypte (Rép. arabe d ) 69 Union européenne 373 Inde 40 Iran (Rép. islamique) 18 Japon 185 Kazakhstan 29 Kenya 7 Corée, (Rép. de) 47 Maroc 17 Norvège 10 Pakistan 20 Fédération de Russie 70 Arabie saoudite 48 Afrique du Sud 16 Suisse 12 Tunisie 9 Turquie 15 Ukraine 44 Etats-Unis d Amérique 450 Vatican, Cité du 5 TOTAL 2,000 AUX TERMES DE L ARTICLE 12a) (Voix utilisées en cas de scrutin) Membres exportateurs Voix Argentine 78 Australie 89 Canada 152 Union européenne 249 Inde 27 Kazakhstan 19 Fédération de Russie 47 Turquie 10 Ukraine 29 Etats-Unis d Amérique 300 TOTAL 1,000 Membres importateurs Voix Algérie 57 Côte d Ivoire 13 Cuba 13 Egypte (Rép. arabe d ) 145 Iran (Rép. islamique) 38 Japon 333 Kenya 15 Corée (Rép. de) 99 Maroc 36 Norvège 21 Pakistan 42 Arabie saoudite 101 Afrique du Sud 34 Suisse 25 Tunisie 19 Vatican, Cité du 9 TOTAL 1,000 a) Voir la note explicative à la page suivante

19 20 Rapport sur l exercice 2012/13 ANNEXE 2 suite Voix des membres du CIC en 2012/13 Note explicative Les voix aux termes de l article 11 de la Convention sur le commerce des céréales de 1995 (CCC) sont destinées à déterminer la contribution financière annuelle des membres du Conseil. La liste ordinaire des voix est reprise dans l Annexe à la CCC. La section A de cette Annexe dresse la liste des pays qui étaient membres de l ancienne Convention sur le commerce du blé (CCB) au 30 juin 1995, date à laquelle elle a été remplacée par la CCC. Leurs voix, telles qu elles figurent à la Section A, sont basées sur une formule qui tient compte de leur quote-part respective dans les échanges internationaux de céréales sur une longue période de temps et du nombre de voix qu ils détenaient aux termes de la CCB. La section B de l Annexe dresse la liste des pays et territoires considérés comme membres potentiels ; les voix qui devraient leur être attribuées en cas d adhésion au Conseil sont basées sur la relation entre leurs volumes d échanges de céréales et le total des échanges de tous les membres. Ceci vaut également pour tout pays ou territoire ne figurant pas dans l Annexe et que le Conseil accepte en qualité de membre. Le total des voix des membres aux termes de l article 11 doit être égal à Le nombre minimum de voix par membre individuel est de 5 voix et le nombre maximum est de 475 voix. Il n est pas admis de fraction de voix. Bien que le Conseil prenne normalement ses décisions par consensus, la CCC prévoit des procédures de scrutin. En cas de scrutin, les voix exercées par les membres sont telles que déterminées aux termes de l article 12. Les membres de la CCC sont divisés en un groupe d exportateurs et un groupe d importateurs sur la base de la structure de leurs échanges et de leur souhait respectif. Aux termes de l article 12, le total des voix de chaque groupe doit toujours être de Pour les membres individuels, le nombre maximum de voix est de 333 et le nombre minimum est de 1. Les voix aux termes de l article 12 sont dérivées de celles actuellement détenues aux termes de l article 11. La CCC et son Règlement intérieur détaillent comment les voix aux termes des articles 11 et 12 doivent être ajustées à chaque fois que la composition du Conseil change. Ils prévoient également des examens et des ajustements périodiques des voix, de manière à ce que, progressivement, elles reflètent plus fidèlement la structure actuelle des échanges de céréales. Ces examens et ajustements ont lieu à chaque fois que la durée de la CCC est prorogée par le Conseil. La CCC avait été conclue pour une durée initiale de trois ans, jusqu au 30 juin Elle a été prorogée d un an en 1998, et de deux ans en 1999, 2001, 2003, 2005, 2007, 2009, 2011 et 2013.

20 Rapport sur l exercice 2012/13 21 ANNEXE 3 Participation du Secrétariat du CIC à des réunions et visites Date Organization Venue Subject 2012 August September FAO IGC Meeting to discuss IGC s participation in AMIS Embassy of Guatemala London Explain the role of IGC October The Rice Trader Bali, Indonesia Presentation at the World Rice Conference AMIS Rome AMIS Secretariat Steering Committee meeting, AMIS Round Table and Information Group meeting 52nd European Commodity Exchange Edinburgh Participation and publicity for IGC Grains Conference FAO Rome Committee on World Food Security -39th Session Tanzanian Minister of Agriculture, Food Rome Explain the role of IGC Security and Cooperatives Bangladeshi Minister of Food Rome Explain the role of IGC Sri Lankan Minister of Agriculture Rome Explain the role of IGC November December Joint Research Centre (JRC) and Institute of Prospective Technological Studies (IPTS) and DG AGRI Brussels Presentation at workshop on Commodity Market Development in Europe Outlook NABIM London Presentation at Rice Conference Kazakhstan British Chamber of Commerce & government of Kazakhstan London Panellist at Kazakhstan Business Forum Permanent Representative of Brazil to International Organisations London Membership of the IGC Embassy of Bolivia London Membership of the IGC US Wheat Associates London Crop quality seminar Embassy of Guatemala London Membership of the IGC IPTS and JRC of European Commission Seville Presentation at workshop Wheat productivity in the EU Russian Federation, the International Industrial Academy and the Russian Grain Union* Moscow Statement provided for Grains Industry in the XXI Century International Cooperation Platform Istanbul Presentation at the Third Bosphorous Regional Cooperation Summit Growing demand: challenges to grains production * Le CIC a fourni une déclaration mais n a pas assisté à la rencontre.

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