Le commerce extérieur de l Iran sur l année budgétaire 2015/2016

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1 Le commerce extérieur de l Iran sur l année budgétaire 2015/2016 Après un exercice 2014/ déjà marqué par le recul de ses exportations et la dégradation de son solde commercial, l Iran a vu son excédent commercial se contracter de nouveau (-43%) sur l année fiscale 2015/2016 pour s établir à 12 Mds USD, soit l équivalent de 3,1% du PIB. Ces résultats s expliquent par une baisse de 25 % des exportations iraniennes, qui s établissent à 65 Mds USD. Cette baisse provient des ventes d hydrocarbures qui se sont tassées de 39% à 34 Mds USD sous l effet de la chute des cours du brut, alors que les hydrocarbures (pétrole brut, gaz naturel, condensats et autres produits pétroliers et gaziers) représentent environ la moitié des ventes iraniennes. L autre moitié est composée de produits pétrochimiques et non pétroliers dont les ventes ont stagné à hauteur de 31 Mds USD, le net raffermissement des ventes de produits pétrochimiques (+6% à 15 Mds USD) compensant la baisse marquée des ventes des autres produits hors hydrocarbures (-6% à 16 Mds USD). Les importations reculent quant à elles de 19%, à 52 Mds USD, dans un contexte de croissance atone (0% en 2015/2016). La Chine, en dépit de la forte baisse de ses achats depuis l Iran enregistrée en 2015/2016, demeure le premier client de la République islamique, loin devant les autres pays vers lesquels Téhéran a pu continuer de vendre son brut dans le cadre des sanctions (Inde, Turquie, Japon et Corée du Sud). Avec une part de marché de 22% (en retrait de 6 points), la Chine se maintient par ailleurs comme second fournisseur de l Iran, derrière les Emirats-Arabes-Unis (40% de part de marché, + 6 points), mais loin devant les principaux autres fournisseurs de l Iran (Turquie, Corée du Sud et Inde). En raison de l embargo pétrolier en place jusqu au 16 janvier 2016, l UE 28 affichait au terme de l exercice 2015/2016 un confortable excédent commercial vis-à-vis de l Iran (+ 7 Mds USD) et y disposait d une part de marché de 9% environ. Les ventes européennes se seraient toutefois contractées de 13% en 2015/2016 pour s établir à 8 Mds USD. Avec une part de marché en hausse de 0,2 points à 0,8%, la France était en 2015/2016 le 3 ième fournisseur européen de l Iran (et le 13 ième à l échelle mondiale), derrière l Allemagne et l Italie qui affichent des parts de marché de 3% et 1,7%. Cependant, nos exportations vers l Iran sont probablement sous-estimées par les statistiques officielles dans la mesure où, depuis la mise en place de sanctions renforcées, nos ventes transitent sans doute pour une part non négligeable par des pays tiers. Des exportations en recul de 25% dans le sillage de la baisse des cours du pétrole ; Chine, Inde et Turquie demeurent les premiers débouchés de l Iran Composées pour plus de moitié d hydrocarbures, les exportations iraniennes se tassent nettement sous l effet de la chute des prix du pétrole brut D un montant de 34 Mds USD, les exportations iraniennes d hydrocarbures (brut + condensats de gaz + gaz) ont accusé une baisse de 39% au terme de l exercice 2015/2016. Cette contraction, qui a affecté aussi bien les ventes de pétrole brut (-41 % à 18 Mds USD) que celles de condensats et de gaz (-37% à 15 Mds USD), est essentiellement le fait de la chute des cours du brut. Le prix moyen du baril exporté a en effet été ramené de 82 USD sur l exercice 2014/2015 à 44 USD en 2015/2016, alors que, dans le même temps, les volumes exportés ne se redressaient que très légèrement (+5% à 1,28 M de b/j par jour condensats inclus d après l Agence Internationale de l Energie). 1 L année budgétaire iranienne court de 21 mars de l année N au 21 mars de l année N+1. 1

2 Si la levée des sanctions internationales renforcées, intervenue le 16 janvier 2016, a permis le déplafonnement des exportations de pétrole brut iranien auparavant limitées à environ 1 M de b/j, ses effets n ont pas réellement eu le temps de se matérialiser sur l année fiscale 2015/2016 qui s est achevée en mars dernier. En revanche, sur le premier semestre 2016 (calendrier grégorien), les exportations de brut iranien sont reparties à la hausse à un rythme sensiblement supérieur à celui escompté par les observateurs (+49% à 1,72 M de b/j en glissement annuel, ce qui correspond à un supplément exporté de près de b/j en moyenne sur la période considérée, soit autant que ce prévoyait le FMI sur l ensemble de l année 2016). Elles ont atteint 2,1 Md de b/j en juin 2016, soit des volumes proches du niveau de ventes d avant les sanctions. Les exportations hors-hydrocarbures ont vu leur montant stagner à 31 Mds USD. Cette stagnation masque toutefois des évolutions relativement contrastées entre les ventes de produits pétrochimiques qui s affichent en nette hausse (+6% à 15 Mds USD) d une part, et les ventes de produits hors-hydrocarbures et pétrochimie qui enregistrent une baisse sensible (-6% à 16 Mds USD) d autre part. La structure sectorielle des ventes iraniennes s est très sensiblement modifiée au terme de l exercice 2015/2016 à la faveur du recul de 12 pts à 52% de la part des hydrocarbures dans le total exporté (en valeur). Pour autant, la progression du poids relatif des exportations non pétrolières et non gazières résulte essentiellement de la hausse marquée de la part des produits pétrochimiques (+7 pts à 23%). Hors produits pétrochimiques, la part des exportations non pétrolières dans le total exporté progresse plus modérément (+5 pts) et demeure légèrement inférieure à 25% 2.. La Chine reste le premier client de l Iran, loin devant l Inde, la Turquie, le Japon et la Corée du Sud Même si ses importations en provenance d Iran se sont fortement contractées sur l exercice 2015/2016 (-39% à 13 Mds USD), la Chine demeure de loin le premier client de la République Islamique, absorbant 21% de ses ventes à l étranger. Elle est suivie par l Inde, la Turquie, le Japon et la Corée du Sud, qui ont concentré respectivement 9,7%, 7,6%, 4,1% et 3,4% des exportations iraniennes. Tout comme la Chine, ces pays ont vu leurs achats en provenance d Iran refluer très nettement en raison de la chute des cours du pétrole, avec des baisses de 24% à 6 Mds USD (Inde), 42% à 5 Mds USD (Turquie), 45% à 2,6 Mds USD (Japon), et 38% à 2,2 Mds USD (Corée du Sud). L Union européenne, qui a capté un peu moins de 2% des exportations iraniennes en 2015/2016, était son 9 ième client sur la période concernée. Ses achats en provenance d Iran, qui ont reflué de 15% à 1,2 Md USD en glissement annuel 3, demeurent très en deçà du niveau qui était encore le leur en 2011/2012 (22 Mds USD), avant que les sanctions européennes n imposent un embargo sur les achats de brut iranien. Absorbant respectivement 36%, 24% et 13% des ventes de l Iran à destination de l Union européenne, l Italie, l Allemagne et l Espagne étaient ses trois premiers clients européens en 2015/2016. Si l Italie et l Allemagne ont enregistré un net recul de leurs achats en provenance d Iran sur la période considérée (-26% à 431 MUSD et -14% à 292 MUSD respectivement), l Espagne a vu les siens progresser sensiblement (+24% à 162 MUSD). La France, en revanche, avec des achats depuis l Iran en recul de 29% à 28 MUSD 4, n était que son 8 ième client au sein de l Union européenne et son 37 ième client à l échelle mondiale. 2 En réalité, la part des exportations non pétrolières hors-pétrochimie dans le total exporté par l Iran croît à la faveur d un recul des ventes de ces produits moins prononcé que celui enregistré par l ensemble des exportations de la République Islamique (-6% contre -25% pour l ensemble des exportations). 3 Les données fournies par la Commission européenne (source Eurostat), qui ne portent pas exactement sur le même horizon temporel, décrivent toutefois une tendance différente. D après ces dernières, les importations de l UE depuis l Iran seraient passées de 1,158 Md EUR en 2014 à 1,233Md EUR en 2015, enregistrant ainsi une progression de 6,5%. 4 Il s agit des données fournies par le FMI qui portent sur l année fiscale iranienne (21 mars 2015/20 mars 2016), et qui diffèrent sensiblement des chiffres fournis par les douanes françaises sur le commerce bilatéral franco-iranien. Selon ces derniers, nos importations en provenance d Iran ont crû de 8% à 66 MEUR en 2015 (1 er janvier/31décembre 2015) et de 546% à 247 MEUR en glissement annuel au premier semestre 2016 en raison de la reprise de nos enlèvements de brut. 2

3 Des importations en recul de 19%, signe du ralentissement de la croissance ; Emirats et Chine demeurent les premiers fournisseurs de l Iran Des importations en reflux, dont la composition sectorielle demeure très éclatée Les importations iraniennes ont chuté de 19% en 2015, pour s établir à 52 Mds USD. Cette tendance témoigne du ralentissement de l économie iranienne, alors que l exercice 2015/2016 s est achevé sur une croissance nulle d après le FMI (après +4,3% en 2014/2015). La structure sectorielle des achats iraniens, qui n est pas connue avec précision à ce stade, demeure, selon toute vraisemblance, dominée par les produits agricoles et denrées alimentaires. Les Emirats consolident devant la Chine leur position de premier fournisseur de l Iran Les Emirats Arabes Unis et la Chine sont les deux premiers fournisseurs de l Iran, avec des parts de marché respectives de 40% et 22 %. Ils sont suivis par la Turquie, la Corée du Sud et l Inde, qui affichent des parts de marché respectives de 4,8%, 4,2% et 4%. En dynamique, les évolutions les plus notables sont : 1/ le renforcement de la position des EAU, qui profitent à plein de leur statut de plateforme de réexportation (+6 pts de part de marché), et dont les ventes vers l Iran progressent de 1,4% à 33 Mds USD ; 2/ le recul de la part de marché de la Chine (-6 pts) et, dans des proportions moindres, de l Inde (-0,8 pt), et de la Corée du Sud (-1pt) dont les ventes vers l Iran se contractent respectivement de 33% à 18 Mds USD, 30% à 3,5 Mds USD et 29% à 3,3 Mds USD ; 3/ la très légère progression de la part de marché de la Turquie (+0,2 pt) «grâce» à un recul de ses ventes à l Iran (-10% à 4 Mds USD) moins prononcé que celui enregistré par le total des importations de la République islamique. L Union européenne, dont les exportations vers l Iran ont reculé de 13% pour s établir à 8 Mds USD 5 (contre 15 Mds USD à l issue de l exercice 2011/2012 avant le durcissement des sanctions), est le 3 ième partenaire de la République Islamique avec une part de marché de 9 %. L Allemagne et l Italie, qui ont maintenu une présence commerciale et institutionnelle relativement forte pendant la période des sanctions, restent les deux premiers fournisseurs européens de l Iran avec des parts de marché de 3% (-0,3 pt) et 1,7% (stable), en dépit d exportations en baisse respectivement de 21% à 2,5 Mds USD et de 12 % à 1,5 Md USD. Troisième fournisseur européen de l Iran (mais 13 ième à l échelle mondiale), la France affiche une part de marché de 0,8% (+ 0,2 pt vs l exercice précédent) et des ventes en hausse de 6% à 696 MUSD. 6 Un excédent commercial en recul de 43% à 12 Mds USD Sous l effet du reflux très prononcé de ses ventes, l Iran a vu son excédent commercial se contracter de 43% pour s établir à 12 Mds USD en 2015/2016, soit l équivalent de 3,1% du PIB. Le déficit commercial hors-hydrocarbures se résorbe de 34% à 19 Mds USD, à la faveur de la forte progression des ventes de produits pétrochimiques. Au plan bilatéral, les excédents chroniques que l Iran détient sur l Inde, la Turquie et le Japon ont été rognés sur l exercice 2015/2016, avec des baisses respectives de 19% à 2,9 Mds, 80% à 782 MUSD et 49% à 2,2 Mds USD. 5 Les données fournies par la Commission européenne (source Eurostat), qui ne portent pas exactement sur le même horizon temporel, décrivent toutefois une tendance différente. D après ces dernières, les exportations de l UE vers l Iran auraient crû de 1% à 6,486 Md EUR entre 2014 et Selon les chiffres fournis par les douanes françaises, nos exportations vers l Iran s affichaient en hausse de 24% à 562 MEUR sur l année 2015 (1 er janvier/31 décembre 2015) et de 9% à 289 MEUR en glissement annuel au premier semestre

4 A contrario, ses déficits bilatéraux vis-à-vis de la Chine et de la Corée du Sud ont reculé respectivement de 9% à 4,7 Mds USD et de 11% à 1,3 Md USD. Le solde bilatéral vis-à-vis de l ensemble du bloc constitué de ses principaux acheteurs de pétrole (Chine, Inde, Turquie, Corée du Sud, Japon) est passé de +5,2 Mds USD à -72 MUSD sur la période considérée. Depuis l application de l embargo européen sur ses ventes de pétrole, l Iran accuse logiquement un déficit commercial bilatéral structurel vis-à-vis de l Union européenne. Celui-ci s est toutefois résorbé de 13% à 6,7 Mds USD en 2015/2016. L Allemagne, l Italie et la France affichaient des excédents respectifs vis-à-vis de l Iran de 2,2 Mds USD (-22% par rapport à l exercice précédent), 1,1 Md USD (-5%) et 668 MUSD (+8%) 7. ANNEXES Annexe 1 Le commerce extérieur de l Iran sur les exercices 2014/2015 et 2015/2016 en MUSD (sources : Banque centrale d Iran, AIE, OPEP) / / Exportations Exportations d'hydrocarbures Importations Solde commercial Solde commercial hors-hydrocarbures 7 Selon les chiffres des douanes françaises, notre excédent bilatéral vis-à-vis de l Iran s est consolidé à hauteur de 26% à 496 MEUR en 2015 (1 er janvier/31 décembre 2015). 4

5 Annexe 2 Composition sectorielle des exportations iraniennes sur l exercice 2015/2016 (sources : Banque centrale d Iran, douanes iraniennes, AIE, OPEP) Autres: 24,7% Pétrochimie: 23,4% Hydrocarbures: 52,0% Pétrole brut: 28,1% Condensats et et gaz: 23,9% Pétrochimie Autres Pétrole brut Condensats et gaz Annexe 3 Evolution de la répartition sectorielle des exportations iraniennes (sources : Banque Centrale d Iran, douanes iraniennes, AIE, OPEP) 100% 90% 80% 70% 20% 18% 30% 31% 36% 48% 60% 50% 40% 30% 20% 80% 82% 70% 69% 64% 52% 10% 0% 2010/ / / / / /2016 Hydrocarbures Hors-hydrocarbures 5

6 Annexe 4 Les 10 premiers clients de l Iran en 2015/2016 et ses principaux clients au sein de l UE (source FMI) Montant des exportations (en MUSD) Evolution vs 2014/2015 Part dans le total Chine (hors Hong-Kong et Macao) ,1% 21,0% Inde ,5% 9,7% Turquie ,2% 7,6% Japon ,2% 4,1% Corée du Sud ,8% 3,4% Pakistan ,2% 2,8% Syrie ,1% 2,7% EAU ,4% 2,0% Arabie-Saoudite ,9% 1,7% Italie ,3% 0,7% Montant des exportations (en MUSD) Evolution vs 2014/2015 Part dans le total (au sein de l'ue) Italie ,3% 35,73% Allemagne ,1% 24,23% Espagne ,5% 13,43% Belgique 72-31,3% 5,94% Pays-Bas 41-9,1% 3,43% Portugal 34 57,2% 2,81% Royaume-Uni 30-30,9% 2,47% France 28-28,7% 2,34% Bulgarie 17-54,3% 1,45% Grèce ,4% 1,39% 6

7 Annexe 5 Les 10 premiers fournisseurs de l Iran en 2015/2016 et ses principaux fournisseurs au sein de l UE (source FMI) Montant des importations (en MUSD) Evolution vs 2014/2015 (%) Part de marché EAU ,6% 39,8% Chine (hors Hong-Kong et Macao) ,7% 21,6% Turquie ,7% 4,8% Corée du Sud ,2% 4,2% Inde ,2% 3,9% Allemagne ,3% 3,0% Brésil ,3% 2,3% Italie ,4% 1,8% Suisse ,6% 1,3% Russie ,0% 1,3% Montant des importations (en MUSD) Evolution vs 2014/2015 (%) Part de marché (au sein de l'ue) Allemagne ,4% 32,3% Italie ,2% 18,9% France 696 5,6% 8,8% Pays-Bas 603 9,6% 7,6% Belgique ,3% 5,7% Suède ,0% 3,8% Autriche ,0% 3,8% Espagne ,4% 3,6% Roumanie ,8% 3,2% Danemark ,8% 3,0% 7

8 Annexe 6 Soldes bilatéraux de l Iran avec ses principaux partenaires commerciaux dans le monde et au sein de l UE en MUSD en 2015/2016 (source FMI) Solde 2014/2015 Solde 2015/ Solde 2014/2015 Solde 2015/2016 Clause de non-responsabilité - Le service économique s efforce de diffuser des informations exactes et à jour, et corrigera, dans la mesure du possible, les erreurs qui lui seront signalées. Toutefois, il ne peut en aucun cas être tenu responsable de l utilisation et de l interprétation de l information contenue dans cette publication. 8

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