Révision de l ombudsman de l émission La facture sur une fraude immobilière, diffusée le 28 avril 2009.
|
|
- Brigitte Crevier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Révision de l ombudsman de l émission La facture sur une fraude immobilière, diffusée le 28 avril SOMMAIRE Le notaire André Hébert de Laval a porté plainte car l émission La facture a oublié de préciser que le notaire André Hébert, mis en cause dans l'émission, pratiquait à Montréal. Le plaignant estime que cette imprécision a ébranlé le lien de confiance entre ses clients et lui car l'émission portait sur une fraude immobilière. Il demande que les faits soient rectifiés à l'antenne. Radio-Canada a fait une erreur par omission. Cette erreur serait passée inaperçue s il n y avait pas eu deux notaires portant le même nom dans la même région. La direction a rapidement modifié la version originale du reportage avant la rediffusion. Les précisions nécessaires ont été faites sur Radio-Canada.ca. Toutefois, il m apparaît que des précisions ajoutées sur Radio-Canada.ca ne sont pas l équivalent de corrections à la télévision. L émission originale a été vue par personnes. Même si La facture n est plus en ondes, je recommande que la direction de l Information trouve le moyen de faire rapidement la correction qui s impose à la Chaîne principale, à un auditoire le plus large possible. Bien qu imparfait, c est le seul moyen de tenter de rejoindre des téléspectateurs qui ne fréquentent pas l Internet. LA PLAINTE Le 30 avril 2009, le notaire André Hébert, de Laval, me fait parvenir cette plainte : «La présente demande fait suite à l'émission "LA FACTURE" du 28 avril Lors de cette émission il était question d'une fraude impliquant deux notaires, l'un était Me Serge Robinette de Laval et l'autre Me André Hébert de Montréal. Lors de l'émission du 28 avril 2009, et concernant Me Serge Robinette la journaliste a mentionné en onde le lieu de pratique du notaire en question, soit Laval. Dans le cas du notaire André Hébert, jamais il n'y a eu mention du lieu de pratique de ce notaire, soit Montréal, hors je suis moi même notaire, mon nom est André Hébert et je pratique à Laval. Madame je n'ai pas de besoin de vous dire que j'ai passé la journée d'hier sur le téléphone a rassurer mes clients, amis et banquier qu'il y avait erreur sur la personne. Cette information quant au lieu de pratique d'un notaire est du domaine public, il y aurait été tellement facile pour la journaliste de vérifier si deux notaires André Hébert existent. Ce métier de notaire est basé presque uniquement sur un lien de confiance. Je trouve pour le moins douteux qu'une émission dénonçant le manque de rigueur professionnel et le manque d'éthique ait agit de la sorte. ( )»
2 2 La rédactrice en chef de l émission La facture, M me Martine Lanctôt, avait déjà répondu au plaignant que c était une «malheureuse coïncidence que deux notaires portent le même nom.» Elle s était dite désolée des inconvénients. M me Lanctôt lui a fait parvenir une lettre confirmant qu André Hébert de Laval n était pas le notaire cité dans le reportage. Après le dépôt de la plainte au bureau de l ombudsman, la rédactrice en chef a corrigé la version Web du reportage et la version rediffusée au Réseau de l information en précisant que le notaire en cause, André Hébert, pratiquait rue Saint-Jacques, à Montréal. Elle a ajouté que la saison de La facture était terminée. Toute possibilité de faire un rectificatif dans la même émission ne pouvait être envisagée. La version corrigée de ce reportage de la journaliste peut être consultée à l adresse Internet suivante : p:// Le plaignant n a pas jugé cette offre sérieuse. Il a répliqué : «Pensez-vous, Madame, que les gens qui ont écouté l émission du mardi le 28, écouteront une rediffusion de cette émission ( )» J ai donc entamé une révision de la plainte le 4 mai. LA RÉVISION 1 Les faits La facture figure parmi les émissions d information à Radio-Canada les plus regardées. Le 28 avril 2009, la cote d écoute a atteint personnes. Voici le résumé de l émission tel qu il apparaissait sur la page d accueil de l émission La facture, le 4 mai : «Ils sont jeunes, étudiants, serveurs, barmans, et ont besoin d'argent. Un homme d'affaires leur propose quelques milliers de dollars afin qu'ils prêtent leur nom pour des transactions immobilières. Convaincus que tout est légal, les jeunes acceptent et plongent au cœur d'une vaste fraude immobilière. En prêtant leur nom, ils sont réellement devenus propriétaires de bâtisses surévaluées. L'homme d'affaires a disparu, les laissant en plan avec des dettes hypothécaires allant jusqu'à $. Acculés à la faillite, les jeunes reconnaissent leur naïveté, mais dénoncent l'incurie des notaires et des institutions financières qui ont laissé passer la fraude. La facture lève le voile sur cette vaste fraude immobilière et sur le stratagème utilisé par l'homme d'affaires pour s'enrichir aux dépens des jeunes.» 1 Annexe I : le mandat de l ombudsman
3 3 Dans la présentation du reportage, l animateur de La facture explique le sérieux du dossier, en parlant de «gigantesque fraude», de notaires et de banquiers qui «n ont rien fait» pour l éviter. Voix de l animateur : «C est une très dure histoire que nous vous racontons aujourd hui. Celle de quatre jeunes convaincus qu ils allaient faire de l argent facile et qui se retrouvent maintenant broyés dans une gigantesque fraude. Ils n ont commis aucun geste illégal. Tout ce qu on peut leur reprocher, c est d avoir été crédules et naïfs. Par contre, la fraude immobilière, dont ils sont victimes, aurait sans doute pu être évitée par les professionnels que sont les banquiers et les notaires. Mais ils n ont rien fait, c est ça qui est incroyable.» Voici le passage du reportage de 16 minutes qui est au cœur de la plainte : Voix de la journaliste : «Robert Moniz les amène chez un autre notaire, André Hébert, pour la signature de l acte de vente.» Alors qu ils entendent cette phrase, les téléspectateurs voient à l écran pendant huit secondes l acte de vente avec un pan down [panoramique descendant] de caméra. Durant les deux dernières secondes, on peut lire le nom du notaire André Hébert apposé au bas du document. En dessous de ce nom, en tout petits caractères, une partie de l adresse «rue Saint-Jacques» et le numéro de téléphone débutant par «514» sont inscrits sur le document. Ces deux informations sont en trop petits caractères et apparaissent trop brièvement à l écran pour que les téléspectateurs puissent saisir que le notaire dont on parle pratique rue Saint-Jacques, à Montréal. D où la confusion, car, le malheur, c est qu il y a deux notaires qui portent exactement le même nom; l un pratique à Laval, l autre à Montréal. Celui dont il est question dans le reportage pratique rue Saint-Jacques, celui qui se plaint pratique à Laval et il n est aucunement impliqué dans cette «gigantesque fraude». J ai trouvé les noms et les adresses des deux André Hébert sur le site Internet de la Chambre des notaires du Québec et en tapant «André Hébert notaire» dans Google. Le notaire André Hébert de Laval me dit que, dès le lendemain de la diffusion, il a appris à son bureau que des clients voulaient savoir s il était bien celui dont il était question à La facture. «De plus, la désinformation à mon sujet court toujours. Coiffeur, courtier, famille», m écrit le notaire Hébert de Laval. Malheureuse coïncidence ou erreur journalistique? L équipe de reportage ne pouvait pas deviner que deux notaires, travaillant dans la même région, portaient le même nom. Personne dans l équipe n a pensé à cette possibilité. Mais, oublions cette coïncidence un instant. Quand un journaliste décide de publier le nom d un professionnel qui fait l objet d une enquête déontologique quand la réputation de quelqu un est en jeu est-il tenu de donner un minimum de précision sur cette personne, d être le plus spécifique possible? Après tout, l affaire est sérieuse :
4 4 la conduite du notaire André Hébert de Montréal est scrutée par sa corporation professionnelle dans la foulée d une fraude immobilière. La règle des 5 W les cinq questions de base que se pose l auditeur est enseignée à tous les aspirants journalistes : Who? What? When? Where? Why? Un de ces W est le lieu. En général, dans un reportage à la télévision, des précisions sont apportées instinctivement dans le choix des images ou du texte qui accompagnent la présentation d un individu mis en cause dans une enquête journalistique. C est d ailleurs ce qui a été fait dans le reportage de La facture du 28 avril pour les trois institutions financières et l autre notaire sur la sellette : Dans le cas du premier notaire cité, Serge Robinette, le reportage précise qu il pratique à Laval. De plus, on voit pendant neuf secondes différents plans de la façade de son bureau et de son nom inscrit sur une vitre. Dans le cas de la succursale de la Banque de Montréal en cause dans le reportage, on montre un plan de sa façade et un autre plan bref des plaques de nom des rues Querbes-Jean-Talon. Dans le cas de la Caisse populaire en cause, la journaliste dit «Caisse populaire de Montréal-Nord» et un plan de six secondes de l affiche est diffusé. Par contre, aucune précision n est donnée sur le lieu de pratique du notaire André Hébert. On aurait pu aisément montrer un gros plan fixe de son adresse ou dire, comme on l a fait dans la correction, qu il pratiquait rue Saint-Jacques, à Montréal. La journaliste Esther Normand et la réalisatrice Kathleen Royer sont conscientes qu elles ont fait un oubli et elles disent qu elles en sont désolées pour le notaire Hébert de Laval. Esther Normand ajoute toutefois qu elle a mené une très grosse enquête en six semaines, qu il y avait des tonnes de documents à éplucher et beaucoup d éléments à vérifier. Celui-là lui a échappé. En dehors de cet oubli, l'enquête est en effet d'un grand intérêt. Elle met au jour un stratagème complexe et nous fait réfléchir sur les devoirs et les responsabilités des banques et des notaires. Elle a le mérite aussi de mettre en garde les consommateurs contre la possibilité de faire de l'argent facilement. Le manque de précision serait passé complètement inaperçu s il n y avait pas eu deux notaires portant le même nom. Mais, dans ce cas-ci, cette imprécision a des conséquences potentielles sur un professionnel qui n a absolument rien à voir avec la fraude. Je ne suis pas en mesure d évaluer si conséquence il y a, mais, depuis quelques jours, le notaire Hébert consacre beaucoup de temps, me dit-il, à expliquer à ses clients qu il y a erreur sur la personne. «( ) Le métier que j exerce est basé sur un extrême lien de confiance avec ses clients et que ce lien a été ébranlé par la diffusion de l émission», m écrit le notaire de Laval. De plus, le nom du notaire Hébert a été prononcé à deux autres reprises dans le même reportage. Voici la transcription du contexte dans lequel on a parlé de lui :
5 5 Entrevue avec Jean-Claude Hébert, criminaliste : «Si un notaire ne fait que recevoir des signatures et expédier la transaction, en partant, il ne remplit pas correctement son devoir de notaire que la loi lui impose. Maintenant, est-ce que c est une faute civile, est-ce que c est une faute criminelle, je n irais pas jusque-là, mais certainement que ça peut être une faute déontologique. Voix de la journaliste : «Nous avons rejoint les notaires Robinette et Hébert impliqués dans les transactions. Ils ont refusé notre demande d entrevue. Jeffrey Valente estime qu il aurait dû être mis en garde contre cette fraude.» Entrevue avec Jeffrey Valente (prête-nom) : «Le notaire est là pour te protéger, puis lui, il a pas fait son job et la banque aussi a pas fait son job, parce qu il y avait des documents faux. ( )» Voix de l animateur : «( ) La Chambre des notaires a elle aussi refusé de nous rencontrer en nous disant qu elle enquête sur les gestes posés par les deux notaires. Les jeunes ont en effet porté plainte à la Chambre, contre les notaires Serge Robinette et André Hébert, et le syndic de la Chambre a déclenché son enquête. ( )» Dans les Normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada, qui encadrent la pratique du métier, il n y a pas de règles écrites sur les précisions qu il faut ou non donner sur quelqu un qu on met en cause, afin justement d éviter toute erreur sur la personne. C est une question de jugement. Toutefois, certains principes généraux s appliquent quand Radio-Canada fait du journalisme d enquête, ce qui est le cas ici : «( ) C est un genre très particulier de journalisme, dont l influence peut être énorme sur l esprit du public et donc sur la vie et le bien-être des citoyens, sur la vitalité des institutions et des entreprises privées. Par conséquent, il commande des talents supérieurs et le respect d une stricte exactitude. ( ) Il est donc essentiel que pour se conformer aux principes d exactitude, d honnêteté, d équité et d intégrité, l émission repose sur une recherche des plus scrupuleuses et assidues. ( )» (NPJ, IV. Normes de production A,11) L exactitude est ainsi définie dans ces normes : «L information est fidèle à la réalité, en aucune façon fausse ou trompeuse.( )» (NPJ, III. Principes, 2) L équipe qui a préparé ce reportage n a rien dit de faux, mais l absence totale de précision sur le notaire mis en cause constitue, dans les circonstances, une erreur par omission. Cette imprécision est due à un oubli. Elle n est le résultat d aucune mauvaise foi ou d un quelconque parti pris. Le journaliste Craig Silverman écrit dans son livre intitulé Regret the Error 2 : 2 Regret the Error How Media Mistakes Pollute the Press and Imperil Free Speech, de Craig Silverman, Sterling Publishing Co, Inc., 2007
6 6 «( ) On ne trouvera jamais une exactitude à 100 pour cent dans les médias. Cela est admis par tous les journalistes, et c est la réalité. ( ) Les journalistes ne sont pas des robots. Ils ont des faiblesses, comme tous les êtres humains. ( ) (page 11) L auteur ajoute toutefois : «( ) Ce sont les erreurs qui contribuent principalement à l érosion du niveau de confiance dans la presse. ( ) L exactitude aide à établir cette confiance qui fait en sorte que le public soutienne la liberté de la presse. Les erreurs, en particulier si elles ne sont pas corrigées, ont des conséquences, non seulement pour les gens qui sont touchés, mais aussi pour la société dans son ensemble. ( ) (page 9) Étant donné les conséquences potentielles de ce manque de précision sur le notaire André Hébert de Laval, Radio-Canada a déjà en partie corrigé le tir : 1. La direction a fait une correction dans la version du reportage rediffusée au Réseau de l information. C est d ailleurs cette version corrigée que les internautes peuvent visionner sur le site Web de l émission La facture. 2. La direction de l Information a également modifié, le 5 mai 2009, le résumé du reportage qui apparaît sur la page d accueil de son site Web en y ajoutant ce qui suit, en caractères gras : «Précision : le notaire André Hébert qui exerce boulevard Cartier, à Laval, n'est pas celui dont il est question dans ce reportage.» La rédactrice en chef de La facture a ainsi expliqué cette initiative au plaignant : «( ) Étant donné que notre site Web est un des plus fréquentés à Radio-Canada et qu'il s'adresse directement au public de La facture qui y revient constamment pour consulter des reportages déjà diffusés, nous pensons qu'il vaut la peine d'ajouter cette précision. En étant sur la page Web, la précision est plus visible que la correction qui a été faite à l'intérieur du reportage, celle-ci n'étant accessible qu'à ceux qui visionnent le reportage. Il s'agit du moyen le plus efficace que nous ayons trouvé pour tenter de joindre les téléspectateurs de La facture dans les circonstances. ( )» Conclusion L absence de précision sur un notaire mis en cause par La facture constitue une erreur par omission. La direction a montré sa bonne foi en modifiant la version originale du reportage avant toute rediffusion, et en faisant les précisions nécessaires sur le site Web de l émission. Toutefois, il m apparaît que des précisions ajoutées sur Radio-Canada.ca ne sont pas l équivalent de corrections à la télévision. L émission originale a été vue par personnes. Même si La facture n est plus en ondes, je recommande que la direction de l Information trouve le moyen de faire rapidement la correction qui s impose
7 7 à la Chaîne principale à un auditoire le plus large possible. Bien qu imparfait, c est le seul moyen de tenter de rejoindre les téléspectateurs qui ne fréquentent pas l Internet afin de corriger le malentendu. Julie Miville-Dechêne Ombudsman, Services français Société Radio-Canada
8 ANNEXE 1 : Le mandat de l ombudsman Le mandat de l ombudsman consiste à : juger si la démarche journalistique ou l information diffusée qui fait l objet de la plainte enfreint les dispositions de la politique journalistique de Radio-Canada aussi appelée Normes et pratiques journalistiques (NPJ, accessible à l adresse Web suivante : Cette politique s appuie sur trois principes fondamentaux : l exactitude, l intégrité et l équité. L exactitude : L information est fidèle à la réalité, en aucune façon fausse ou trompeuse. Cela exige non seulement une recherche attentive et complète, mais une langue châtiée et des techniques de présentation sûres, y compris pour les éléments visuels. L intégrité : L information est véridique, sans déformation visant à justifier une conclusion particulière. Les professionnels de l information ne tirent pas profit de leur situation avantageuse pour faire valoir des idées personnelles. L équité : L information rapporte les faits pertinents, reflète impartialement les points de vue significatifs et traite avec justice et dignité les personnes, les institutions, les problèmes et les événements. (NPJ, III,2) La politique journalistique est un ensemble de règles que la Société Radio- Canada s est données au fil des ans. Ces règles, qui visent à développer un journalisme d excellence, vont bien au-delà des prescriptions de la Loi; elles proposent un idéal difficile à atteindre, mais vers lequel tous les artisans doivent tendre. Une description détaillée du mandat de l ombudsman se trouve à la même adresse Web.
Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009.
Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. SOMMAIRE Un plaignant estime que le Téléjournal du 30 novembre a commis
Plus en détailInformation et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires
Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)
Plus en détail01 02 59 X. Entreprise
01 02 59 X Demanderesse c. VISA DESJARDINS Entreprise LA DEMANDE DE RECTIFICATION La demanderesse demande à Visa Desjardins de faire corriger sa côte de crédit R-9 qui résulte, prétend-t-elle, d une mauvaise
Plus en détailRE/MAX Du Cartier A.S. - Division Commerciale
RE/MAX Du Cartier A.S. - Division Commerciale Un chef de file dans les immeubles à revenus au Québec! RE/MAX Du Cartier A.S. Division Commerciale 1290 Avenue Bernard Montréal (QC) H2V 1V9 Albert Sayegh
Plus en détailDéjouer ensemble le marketing de masse frauduleux
Déjouer ensemble le marketing de masse frauduleux Créé par Action Prévention Verdun ORGANISME DÉDIDÉ À LA SÉCURITÉ URBAINE ET AU BIEN-ÊTRE MANDATAIRE DU PROGRAMME MONTRÉALAIS Déjouer ensemble le marketing
Plus en détailQUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER?
QUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER? Par : Paul Mayer du cabinet d avocats Fasken Martineau La Loi sur le courtage immobilier (la «Loi») confère aux courtiers
Plus en détailLes 3 erreurs fréquentes qui font qu'un site e-commerce ne marche pas. Livret offert par Kiro créateur de la formation Astuce E-commerce
Les 3 erreurs fréquentes qui font qu'un site e-commerce ne marche pas Livret offert par Kiro créateur de la formation Astuce E-commerce 1 Ce livret vous est offert gratuitement. Vous pouvez l'imprimer
Plus en détailNobody s Unpredictable
Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable
Plus en détailMontréal, le 1 er août 2014. M e François Giroux McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L 1000, rue de la Gauchetière Ouest Bureau 2500 Montréal (Québec) H3B 0A2
Montréal, le 1 er août 2014 M. M e François Giroux McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L 1000, rue de la Gauchetière Ouest Bureau 2500 Montréal (Québec) H3B 0A2 Objet : Plainte de M. à l endroit de la CIBC N/Réf.
Plus en détailDW Radio Learning by Ear Ordinateurs et Internet Programme 5 Richard Lough. LBE Computers and the Internet - Programme 5
LBE Computers and the Internet - Programme 5 Auteur: Rédaction: Maja Dreyer Traduction : Yann Durand Personnages: John (jeune Garçon) Expert (Voix Off masculine) Béatrice (jeune fille) Aïda (Femme - 30
Plus en détailCrédit : Comment vous êtes coté
Crédit : Comment vous êtes coté Comprendre et gérer votre situation à l égard du crédit à titre de consommateur et d entreprise D-IN0440F-0201 Introduction Nous vivons dans un monde en évolution constante
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailLumière sur le dossier de crédit
752371475796195784410514425034919229125966691403 731357165987887390517388525458146660281582692990 476305115530580849601916633892027886521971369998 056438566201480982709642757557742937993251169491 138256991401648917557143532396695127816459553153
Plus en détailComment générer des revenus en Affiliation
Comment générer des revenus en Affiliation Apprenez comment vous créer un système pour faire de l argent sur Internet Version 6 Programme Affiliation Entreprise Nexika Inc www.marketing-affiliation.com
Plus en détailLa responsabilité civile et l'entreprise
La responsabilité civile et l'entreprise Dans la présente rubrique, nous poursuivons notre étude de la responsabilité civile, cette fois-ci du point de vue d'un commerce ou d'une entreprise. Les questions
Plus en détailListe des documents à joindre à l avis. Liste des documents à conserver en tout temps. Renseignements généraux
Avis de tenue d un concours publicitaire Avis important Liste des documents à joindre à l avis Liste des documents à conserver en tout temps Renseignements généraux Formulaire Avis de tenue d un concours
Plus en détailNouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D.
Nouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D. Réservé à l usage del organisme de réglementation Approuvé N o du permis Date de délivrance Date d expiration 1. Renseignements personnels
Plus en détailL expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public
L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public 5R000-040048/001/CY Présenté à : L Agence de la consommation en matière financière du Canada 24 mars 2005 Table
Plus en détailDISPOSITIONS GÉNÉRALES
DISPOSITIONS GÉNÉRALES Le présent contrat est régi par le Code civil du Québec Les références aux articles du Code civil du Québec accompagnant certaines dispositions ne sont données qu à titre indicatif
Plus en détailAoût 2015. Bonjour. Bienvenue à l'édition du mois d'août de mon bulletin mensuel!
Août 2015 Nicole Drummond Mortgage Broker/Courtier Hypothécaire Dominion Lending Centres The Mortgage Source License # M08000524 FSCO # 10145 Independently Owned & Operated. Téléphone: 613-232-0023 x 225
Plus en détailGénérique [maintenir Durant 10 secondes puis baisser sous l annonce]
LBE Informatique et Internet - Episode 4 Auteur: Rédaction: Maja Dreyer Traduction : Sandrine Blanchard Personnages: Beatrice (adolescente), John (adolescent), ordinateur (voix d ordinateur), expert (voix
Plus en détailAttention aux prêts prédateurs!
1020 SW Taylor Street, Suite 700 Portland, Oregon 97205-2512 Téléphone : 503-223-8197 ou 1-800-424-3247 (TTY) Fax : 503-223-3396 Rendez-nous visite à www.fhco.org E-mail: information@fhco.org Attention
Plus en détailRenouveler et renégocier votre prêt hypothécaire
Série L ABC des prêts hypothécaires Renouveler et renégocier votre prêt hypothécaire Comment prendre de bonnes décisions en matière d hypothèques Table des matières Aperçu 1 Le processus de renouvellement
Plus en détailDans tous les secteurs de notre service, partout au Canada, voire à l échelle mondiale, les volumes de plaintes sont en hausse. En très forte hausse.
Nouvelles et information de l OSBI, le service indépendant de résolution de différends Numéro 7, Avril 2009 Dans tous les secteurs de notre service, partout au Canada, voire à l échelle mondiale, les volumes
Plus en détailLes médias en quelques statistiques
Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus
Plus en détailMANITOWOC. Bulletin d'orientation de l'entreprise. Circulaire originale En remplacement de la circulaire 103 datée du 22 septembre 1999
Page 1 MANITOWOC Bulletin d'orientation de l'entreprise Objet : Éthique Circulaire originale En remplacement de la circulaire 103 datée du 22 septembre 1999 CIRCULAIRE 103 2 décembre 2002 EXPIRATION :
Plus en détailRÈGLEMENT relatif au programme Remise en argent
RÈGLEMENT relatif au programme Remise en argent Règlement Le programme Remise en argent Banque Laurentienne est assujetti au règlement suivant, sous réserve de modifications sans préavis. Si vous décidez
Plus en détailRENOUVELER ET RENÉGOCIER VOTRE PRÊT HYPOTHÉCAIRE
SÉRIE L ABC DES PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RENOUVELER ET RENÉGOCIER VOTRE PRÊT HYPOTHÉCAIRE Comment prendre de bonnes décisions en matière d hypothèques TABLE DES MATIÈRES Aperçu 1 Le processus de renouvellement
Plus en détailDix questions difficiles posées en entrevue et dix excellentes réponses
Cet outil a pour but de présenter dix questions d entrevue typiques et le type de réponse qui constitue une réponse concise et réfléchie. Ces questions sont parmi les plus difficiles posées en entrevue.
Plus en détailÀ propos de Co operators
Co-operators est heureuse de présenter un mémoire en réponse au document de réflexion du Groupe de travail sur les pointages de crédit du CCRRA sur l utilisation des pointages de crédit par les assureurs,
Plus en détailAvis public : Rapport spécial sur les CHÈQUES ET MANDATS-POSTE FALSIFIÉS
Avis public : Rapport spécial sur les CHÈQUES ET MANDATS-POSTE FALSIFIÉS Sommaire Au cours des dernières années, les organismes de réglementation et d application de la loi du Canada et des États-Unis
Plus en détailRECOMMANDATIONS ET MISES EN GARDE DE McAFEE EN MATIÈRE d achats en ligne
RECOMMANDATIONS ET MISES EN GARDE DE McAFEE EN MATIÈRE d achats en ligne Sommaire Avant-propos de Parry Aftab 3 Expert de la sécurité en ligne Achats en ligne : la vérité 4 Recommandations et mises en
Plus en détailCOMITÉ DE DISCIPLINE CHAMBRE DE L ASSURANCE DE DOMMAGES
CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COMITÉ DE DISCIPLINE CHAMBRE DE L ASSURANCE DE DOMMAGES N : 2013-03-01(C) DATE : 17 février 2014 LE COMITÉ : M e Daniel M. Fabien M. Marc-Henri Germain, C.d A.A., A.V.A., courtier
Plus en détailLES CRITÈRES D'ATTRIBUTION ET RÈGLES D APPLICATION DE RÉMUNÉRATIONS ADDITIONNELLES POUR LES EMPLOYÉS COUVERTS PAR L UNITÉ SCRC
LES CRITÈRES D'ATTRIBUTION ET RÈGLES D APPLICATION DE RÉMUNÉRATIONS ADDITIONNELLES POUR LES EMPLOYÉS COUVERTS PAR L UNITÉ SCRC PRÉPARÉ PAR LE COMITÉ PATRONAL SUR L'ÉGALITÉ SALARIALE LE 30 JANVIER 2006
Plus en détailDemande de permis Candidats du cheminement CPA, CA
5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 www.cpaquebec.ca Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA N.B. Il est inutile de présenter une demande
Plus en détailMinistère des Affaires étrangères et européennes
Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la coopération culturelle et du français Regards VI, DVD 1 Culture Réalisation Isabelle Barrière, Thomas Sorin (CAVILAM) Rédaction Thomas Sorin
Plus en détailChez les réparateurs de zém
Chez les réparateurs de zém Thèmes Questions de société, vie quotidienne Concept Le webdocumentaire Indépendances africaines, documentaire conçu spécifiquement pour le web, offre un voyage dans 16 pays
Plus en détailUne école au Togo, épisode 1/4
Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur
Plus en détailDU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES
ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES AFFAIRE INTÉRESSANT : LES RÈGLES POUR LES COURTIERS MEMBRES DE L ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES
Plus en détailwww.cyberactionjeunesse.ca
www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation
Plus en détailUn autre regard sur. Michel R. WALTHER. Directeur général de la Clinique de La Source 52 INSIDE
52 INSIDE Un autre regard sur Michel R. WALTHER Directeur général de la Clinique de La Source Directeur général de la Clinique de La Source, Michel R. Walther est né en 1949 au Maroc de parents suisses.
Plus en détailImmatriculation, nom de compagnie, noms d emprunt et marque de commerce : comment s y retrouver? avez-vous une stratégie de protection???
Immatriculation, nom de compagnie, noms d emprunt et marque de commerce : comment s y retrouver? avez-vous une stratégie de protection??? Lorsque arrive le temps de s incorporer, le futur entrepreneur
Plus en détailÉpreuve de Compréhension orale
60 questions (4 sections) 40 minutes L épreuve de compréhension orale rassemble 4 sections comprenant 60 questions (questions 51 à 110). SECTION A SECTION B 8 questions Associer des illustrations à des
Plus en détailPROGRAMME D'ASSURANCE COMPLET
PROGRAMME D'ASSURANCE COMPLET Un programme d'assurance collective réalisé exclusivement à l'intention des membres canadiens de l'iabc* Souscrit par : AXA Compagnie d'assurance du Canada Ligne téléphonique
Plus en détailRappelons d abord l événement dans ses grandes lignes.
Étude de cas : Hydro-Québec et la tempête de verglas par Steve Flanagan Présenté au colloque «Les communications en temps de crise» Organisé par l Université du Québec à Montréal janvier 1999 L analyse
Plus en détailFiche Info : Compétences essentielles
Fiche Info : Compétences essentielles Une compétence est une connaissance approfondie dans un domaine donné. En d autres termes, une compétence est une expertise quelconque. Être compétent signifie être
Plus en détailCharte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale
Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision
Plus en détailInfoMaison No. 45 LES 12 SITUATIONS VULNÉRABLES DE TOUS LES VENDEURS
InfoMaison No. 45 Est un dossier préparé pour Info-Immobilier-Rive-Nord (IIRN) à l intention de toutes les personnes intéressées par l immobilier et l immobilier résidentiel de la Rive-Nord du Grand Montréal
Plus en détailPourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux
Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir
Plus en détailServices bancaires. Introduction. Objectifs d apprentissage
Services bancaires Introduction Les institutions financières, notamment les banques, les sociétés de fiducie, les coopératives de crédit et les caisses populaires, sont des entités essentielles à la gestion
Plus en détailUNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer
MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social
Plus en détailProjet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux
Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations
Plus en détailDéclaration d opérations douteuses
Centre d analyse des opérations Financial Transactions and et déclarations financières du Canada Reports Analysis Centre of Canada Déclaration d opérations douteuses Si vous avez les moyens techniques
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailL INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION
POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS
Plus en détailUNE DÉLIVRABILITÉ ÉCLATANTE EN 90 JOURS!
UNE DÉLIVRABILITÉ ÉCLATANTE EN 90 JOURS! Introduction Bienvenue sur Cybermailing! Votre compte Cybermailing avec adresse IP dédiée vous permet un contrôle total sur la délivrabilité de vos emails, c est-à-dire
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détailCe que vous devez savoir sur la vente liée avec coercition
Ce que vous devez savoir sur la vente liée avec coercition Pourquoi publions-nous cette brochure? En vertu de la Loi sur les banques, les banques sont tenues d aviser leurs clients, en langage clair et
Plus en détailM. A M. B DÉCISION LA DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D'ACCÈS
Commission d accès à l information du Québec Dossier : 03 08 25 Date : 20040220 Commissaire : M e Christiane Constant M. A et M. B c. Demandeurs Courtage à escompte Banque Nationale inc. Entreprise DÉCISION
Plus en détailB. Le rapprochement bancaire
D autres signataires peuvent éventuellement être désignés mais il n est pas prudent de multiplier inconsidérément le nombre de personnes habilitées à effectuer des règlements sur le compte du comité d
Plus en détailRECOMMANDATIONS PROPOSÉES
SYNDICAT CANADIEN DE LA FONCTION PUBLIQUE RECOMMANDATIONS PROPOSÉES (Ce guide doit être utilisé avec le Programme de vérification des syndics) **Ce n est pas nécessaire de le retourner au Bureau national**
Plus en détailLe meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada
Le meilleur programme de financement par cartes-cadeaux au Canada Aperçu du programme Juin 2015 À propos du programme FundScrip FundScrip est un programme de levée de fonds pancanadien qui fait en sorte
Plus en détailQuestionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique
Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs
Plus en détailMÉMOIRE DE FRAIS. À jour le 26 mars 2014 I FORME :
À jour le 26 mars 2014 MÉMOIRE DE FRAIS I FORME : Documents à joindre et nombre de copies : Les documents suivants doivent être produits à la Cour, en deux exemplaires, soit un original et une copie :
Plus en détailISBN 979-10-91524-03-2
ISBN 979-10-91524-03-2 Quelques mots de l'auteur Gourmand le petit ours est une petite pièce de théâtre pour enfants. *** Gourmand le petit ours ne veut pas aller à l'école. Mais lorsque Poilmou veut le
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailLes systèmes CPC (Coût Par Clic) sont des moyens rapides d'obtenir de la visibilité à grande échelle et rapidement.
L'affiliation www.faireducashfacile.com www.revenus-automatiques.com (si vous n êtes pas encore inscrit sur revenusautomatiques, sachez que vous recevrez 70-90$ par vente) L'affiliation consiste à envoyer
Plus en détailCommissions Interbancaires de Paiement 2011
www.sdi-pme.fr SYNDICAT DES INDÉPENDANTS Organisation interprofessionnelle patronale regroupant 25.000 artisans, commerçants, TPE et professionnels libéraux PANORAMA DES TPE Contact : Jean-Guilhem DARRÉ
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA
ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement
Plus en détailChapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages
Chapitre 5 Déontologie des représentants en assurance de dommages 5.1 Le maintien de la discipline C est la Chambre d assurance de dommages (Chad) qui est chargée de faire respecter la discipline. Une
Plus en détailProposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire. Résumé des faits
Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire / Avril 2014 1 Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire Résumé des faits Le Conseil d administration a décidé d imposer
Plus en détailArticle 1 : Société organisatrice Article 2 : Acceptation Article 3 : Nature de l opération Article 4 : Modalités de participation
Règlement du Jeu «Gagner 2 places de cinéma tous les jours au jeu concours Grand Concours Cinema» Article 1 : Société organisatrice L association des Commerçants de L esplanade établie Place de L accueil,
Plus en détailLe Web, les réseaux sociaux et votre entreprise. Applaudissons les Visionnaires 2009 de Québec. La génération C et le marché du travail
VOLUME 12 NO 3 FÉVRIER/MARS 2010 LE MAGAZINE DE LA CHAMBRE DE COMMERCE DE QUÉBEC Le Web, les réseaux sociaux et votre entreprise 13 chemin du Pied-de Roi, Lac-Beauport (Québec) G3B 1N6 ENVOI DE PUBLICATION
Plus en détailPour connaître mes collègues journalistes. Références
Bonjour! Je m appelle Jasmine Journeault. Je suis reporter pigiste. Le journalisme, c est mon gagne-pain. Je reçois des informations et je les fais circuler en les faisant parvenir au(x) média(s) de mon
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailCONSEIL DE LA MAGISTRATURE LE MINISTRE DE LA JUSTICE DU QUÉBEC. - et - - et - - et - - et - RAPPORT DU COMITÉ D'ENQUÊTE
CANADA PROVINCE DE QUÉBEC CM-8-89-35 CONSEIL DE LA MAGISTRATURE LE MINISTRE DE LA JUSTICE DU QUÉBEC MADAME DIANE LEMIEUX, MADAME LE JUGE ANDRÉE BERGERON, LE BARREAU DE LONGUEUIL, Plaignants MONSIEUR LE
Plus en détailGRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie
GRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSITÔT HOMOPHONES AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie aussitôt aussi tôt aussitôt : Il signifie au
Plus en détailAVERTISSEMENT CONCERNANT LA NORME 20 EN MATIÈRE D ÉVALUATION MUNICIPALE
AVERTISSEMENT CONCERNANT LA NORME 20 EN MATIÈRE D ÉVALUATION MUNICIPALE Le 31 janvier 2013, le conseil d administration de l Ordre a adopté la norme 20.1 afin de refléter les travaux du ministère des Affaires
Plus en détailRèglement du jeu concours: «Jeu : Fête de la Bretagne 2015»
Règlement du jeu concours: «Jeu : Fête de la Bretagne 2015» Article 1 - Présentation Ce jeu est organisé par la Région Bretagne, 283 avenue du Général Patton, CS 21101, 35711 Rennes Cedex 7. Les dates
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailPrésenté par l Organisme d autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ)
Mémoire présenté au ministère des Finances et de l Économie dans le cadre de la consultation faisant suite au dépôt du Rapport sur l application de la Loi sur les assurances et de la Loi sur les sociétés
Plus en détailQue faire en cas de vol d identité ou de perte ou de vol de vos cartes de crédit ou de débit?
Que faire en cas de vol d identité ou de perte ou de vol de vos cartes de crédit ou de débit? Le vol d identité est considéré comme le crime de l ère de l information; il s agit de la forme de fraude contre
Plus en détailORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION
ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES AFFAIRE INTÉRESSANT : LES RÈGLES DE L ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES LES STATUTS DE L ASSOCIATION
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailComment envoyer un e-mail en gardant les adresses de ses correspondants confidentielles!!!
Comment envoyer un e-mail en gardant les adresses de ses correspondants confidentielles!!! Si vous devez envoyer un message à plusieurs personnes simultanément, ne divulguez pas à tous vents leurs adresses.
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailmon compte- LE 1 ER COMPTE sans banque utile économique fiable
mon compte- LE 1 ER COMPTE sans banque utile économique fiable 01 SOMMAIRE 100% UTILE p 4 Le 1 er compte sans banque 0% TOXIQUE p 6 Ce que Compte-Nickel vous épargne MAÎTRISEZ À 100% p 8 Les tarifs des
Plus en détailLa diffamation. Quand l honneur, la dignité et la réputation sont en jeu!
La diffamation Quand l honneur, la dignité et la réputation sont en jeu! Vincent Gingras Avocat Congrès Fédération québécoise des municipalités 25, 26 et 27 septembre 2014 Québec Trois-Rivières Montréal
Plus en détailObjet : Commentaires de la FCEI sur le projet de Règlement d application de la Loi sur les entreprises de services monétaires et
630, boul. René-Lévesque O., bureau 2880 Montréal (Québec) H3B 1S6 Le 29 juin 2011 Me Anne-Marie Beaudoin Secrétaire de l Autorité Autorité des marchés financiers 800, square Victoria, 22 e étage C.P.
Plus en détailConsommateurs et cartes de débit
Consommateurs et cartes de débit Code de pratique Canadien des services de cartes de débit Préparé par le Groupe de travail sur le transfert électronique de fonds RÉVISION 2004 Table des matières 1. À
Plus en détailMODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE
MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE TABLE DES MATIÈRES Votre procuration est un document important Mise en garde 4 Pour bien comprendre la procuration Note explicative 6 1. Qu est-ce qu une procuration?...
Plus en détailÉtude flash. Analyse de la perception du Compte-Nickel sur le web social dictanova.com
Étude flash Analyse de la perception du Compte-Nickel sur le web social dictanova.com COMPTE-NICKEL: LE COMPTE SANS BANQUE Pas de chéquier Pas de découvert MAIS OÙ LES OPÉRATIONS LES PLUS COURANTES SONT
Plus en détailLes pratiques des 9-16 ans sur Internet
Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Regards croisés entre parents et enfants! - Principaux résultats -! Décembre 2012! Arnaud ZEGIERMAN Directeur associé az@institut-viavoice.com Aurélien PREUD HOMME
Plus en détailGuide. Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations. Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations
Guide Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations Ce guide remplace celui intitulé Les Règles pour les
Plus en détailrégime d assurance collective
régime d assurance collective L heure d adhérer Ma ligne de vie Ma ligne de santé Ma ligne de protection de revenu 2 Bonjour, je suis Fiche Adhésion, la toute dernière de la série des fiches. Ma mission
Plus en détailS endetter pour redevenir solvable, c est ce que FCI offre à ses clients. Un grand nombre d entre eux risquent d y perdre leur chemise.
www.option-consommateurs.org Une offre à décliner Par Claire Harvey S endetter pour redevenir solvable, c est ce que FCI offre à ses clients. Un grand nombre d entre eux risquent d y perdre leur chemise.
Plus en détail