AMBASSADE DE FRANCE EN ALLEMAGNE SERVICE ÉCONOMIQUE REGIONAL
|
|
- Mauricette Beaupré
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AMBASSADE DE FRANCE EN ALLEMAGNE SERVICE ÉCONOMIQUE REGIONAL La Ministre Conseillère pour les Affaires Economiques Berlin, le 13 juin 2017 Dossier suivi par Lucie Petit Relu par Catherine Rozan NOTE Objet : Le commerce extérieur de l Allemagne en 2016 Résumé : En 2016, l Allemagne est le troisième exportateur et importateur mondial. L excédent du compte des transactions courantes diminue de 8,6% à 8,3% du PIB, sans recul pour autant de l excédent commercial. Les exportations (1 207 Md ), les importations (955 Md ) et l excédent commercial (252 Md ) atteignent un nouveau record. La hausse du solde commercial repose principalement sur la chute du prix de l énergie. La Chine devient le premier partenaire commercial de l Allemagne devant la France. Pour mémoire : cette note se base essentiellement sur les données de l institut fédéral de la statistique, Destatis. Elles incluent le matériel militaire et comptabilisent les échanges au passage de la frontière (exportations FAB, importations CAF 1 ). 1. L Allemagne reste, en 2016, le troisième exportateur et importateur mondial (OMC) et enregistre un excédent du compte des transactions courantes de 8,3% du PIB. Selon l OMC, l Allemagne conserve en 2016 le troisième rang d exportateur (derrière la Chine et les Etats-Unis) et d importateur (derrière les Etats-Unis et la Chine) mondial. L Allemagne a cédé sa place de premier exportateur mondial à la Chine en 2009, puis sa deuxième place aux Etats-Unis en Depuis 2009, elle n est plus que le troisième importateur mondial, la Chine s étant hissée au deuxième rang derrière les Etats-Unis. En dépit de la montée en puissance de la Chine, l Allemagne maintient depuis 2010 sa part dans les exportations mondiales à environ 8% et celle dans les importations mondiales au-dessus de 6% (cf. graphiques 1 et 2). Pour mémoire, la France a été classée par l OMC septième exportateur et sixième importateur mondial en L excédent du compte des transactions courantes allemand s est stabilisé mais continue de représenter une part significative du PIB. Après deux années de forte croissance, il n a progressé que de 0,5% en Il s élève à 261 Md en Exprimé en pourcentage du PIB, il diminue, passant de 8,6% à 8,3%. Si l excédent de la balance des biens 2 a continué d augmenter, celui de la balance des revenus primaires 3 a reculé tandis que le déficit de la balance des revenus secondaires 4 est resté stable et que celui de la balance des services s est dégradé (cf. graphiques 3 et 4). Le déficit de la balance des services s est creusé en raison d une hausse 1 Valeur FAB : Les exportations sont recensées d après leur valeur en douane sur la base des factures FAB (Franco A Bord), c'est-àdire y compris les frais de transport jusqu au passage en douane, à l exclusion de ceux qui sont encourus hors du territoire pour acheminer la marchandise jusqu au destinataire. Valeur CAF : Les importations sont recensées d après leur valeur en douane sur la base des factures CAF (Coût, Assurance, Fret) : au prix du produit lui-même sont ajoutés les frais de transport et d assurance nécessaires à son acheminement sur le territoire. 2 Le solde de la balance des biens du compte des transactions courantes (publié par la Bundesbank en Allemagne) diffère de celui des statistiques douanières (publié par Destatis, l office fédéral des statistiques). Dans le premier cas, les opérations enregistrées prennent en compte le principe de changement de propriété économique tandis qu elles reposent, dans le second cas, sur celui du passage physique de la frontière. Par conséquent, l ensemble des transactions qui résultent en un passage de frontière sans changement de propriété du bien entre résidents et non-résidents, ou en un changement de propriété sans passage de frontière, se traduisent par des écarts entre statistiques de balance des paiements et statistiques douanières. 3 Les revenus primaires correspondent à la rémunération des moyens de production : le travail (salaires) et le capital (revenus d investissements). 4 Les revenus secondaires correspondent aux opérations de répartition non liées aux moyens de production (impôts non liés à la production, prestations sociales, etc.). 1
2 des dépenses (+12 Md ), liée principalement aux dépenses de voyage à l étranger, plus importante que celle des recettes (+8 Md ). La Commission européenne ainsi que le FMI 5 estiment que l excédent de la balance courante allemande est dû à des investissements domestiques privés et publics insuffisants au regard de l excédent d épargne et qu une relance dynamique de la consommation intérieure bénéficierait aux pays de l UE en difficulté En dix ans, les échanges commerciaux allemands, qui ont de nouveau battu un record en 2016, se sont réorientés géographiquement en faveur de la Chine, premier partenaire commercial de l Allemagne en 2016, et des pays du groupe de Visegrád au détriment de la, en particulier de la France et du Royaume-Uni. Selon les données Destatis, les exportations, les importations et l excédent commercial allemands atteignent en 2016, pour la troisième année consécutive, un niveau inégalé. Les exportations s élèvent à Md (soit +13 Md ou +1,1% par rapport à 2015), les importations à 955 Md (soit +6 Md ou +0,6%) et l excédent commercial à 252 Md (soit +8 Md ou +3,2%) (cf. graphique 5). Avec plus de 126%, le taux de couverture (exportations sur importations) est le plus élevé de ces dix dernières années. Le ratio exportations sur PIB de presque 39% s inscrit dans la tranche haute de ces dernières années (cf. graphique 6). La Chine est devenue, en 2016, le premier partenaire commercial de l Allemagne. Elle détient une part des échanges avec l Allemagne de 7,9% devant la France (7,7%) et les Etats-Unis (7,6%). La France a occupé sans interruption jusqu en 2014 la place de premier partenaire commercial de l Allemagne avant de la céder en 2015 aux Etats-Unis et maintenant à la Chine. Comme en 2015, les Etats-Unis, la France et le Royaume- Uni constituent les trois premiers clients de l Allemagne et la Chine, les Pays-Bas et la France ses trois premiers fournisseurs (cf. graphiques 13 et 14). La part des échanges avec la France et le Royaume-Uni s est quelque peu contractée en glissement annuel. En comparaison annuelle, la part des échanges avec l Europe progresse très légèrement passant de 68% à 68,4% portée par une faible hausse des échanges avec les pays de l UE. Deux importants partenaires commerciaux de l UE ne contribuent cependant pas à cette remontée : la part de la France se réduit de 7,9% à 7,7% (de 8,6% à 8,4% en ce qui concerne les exportations allemandes vers la France et de 7,0% à 6,9% en ce qui concerne les importations allemandes depuis la France) et celle du Royaume-Uni de 5,9% à 5,6% (de 7,5% à 7,1% en ce qui concerne les exportations allemandes vers le Royaume-Uni et de 4,0% à 3,7% en ce qui concerne les importations allemandes depuis le Royaume-Uni). La perte de vitesse du Royaume-Uni résulte de la chute du cours de la livre sterling suite au Brexit. Celui-ci fait peser un risque sur les performances commerciales allemandes, le Royaume-Uni étant le pays avec lequel l Allemagne réalise son plus important excédent commercial (50,5 Md contre 49 Md avec les Etats-Unis et 35,7 Md avec la France) et le deuxième client de son industrie automobile derrière les Etats-Unis et devant la Chine. La part des échanges avec les pays du groupe de Visegrád (Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie) s est régulièrement accrue au cours des quatre dernières années. Avec 11,9% en 2016, elle dépasse de 51% celle réalisée avec la Chine. Le stock d investissements directs allemands ainsi que le nombre d entreprises et d emplois concernés par ces investissements est également plus important dans l ensemble de ces quatre pays qu en Chine. Les quatre voisins de l Allemagne accueillent en particulier des investissements allemands dans les secteurs automobiles (au travers notamment des filiales Audi et Skoda de Volkswagen), aéronautique, chimique, de la construction mécanique et du matériel médical. La Pologne, la République tchèque et la Hongrie font partie, avec la Chine, des quinze premiers clients et fournisseurs de l Allemagne dont la part dans les exportations et importations allemandes a progressé en 2016 en comparaison avec 2006 et 2015 (cf. graphiques 13 et 14) du fait de la place grandissante qu ils prennent dans la chaîne de valeur ajoutée allemande. En glissement annuel, la part des échanges avec l Asie s est légèrement amplifiée alors que celle avec l a marqué le pas. La part des échanges allemands avec l Asie progresse quelque peu, de 18,0% en 2015 à 18,2% en 2016, soutenue par la Chine (de 7,6% à 7,9%) et le Japon (de 1,7% à 1,9%). En revanche, la part de l, dominée par les Etats-Unis, recule de 11,3% à 10,7%. Le repli des échanges avec les 5 et Germany-Staff-Concluding-Statement-of-the-2017-Article-IV-Mission 2
3 Etats-Unis (de 8,1% à 7,6%) n est pas lié à un effet de change, le cours annuel moyen du dollar ayant été stable en 2015 et 2016, mais à une réduction des quantités échangées avec cet Etat. On assiste sur le long terme à un déplacement des échanges commerciaux. Ainsi, si la part de l Afrique, de la zone australe et polaire, de l et des pays d Union européenne reste stable depuis 2006 (cf. graphiques 7 à 12), celle de la a progressivement décru de 42% à 37% entre 2006 et 2016 (celle de la France est notamment passée de 9,0% à 7,7%), tandis que celle des pays de l a augmenté de 19% à 21% et celle de l Asie de 14% à 18%. Ces glissements sont à la fois le reflet de la croissance économique de certains pays (Chine notamment), d une collaboration industrielle particulièrement active de l Allemagne avec certaines régions et de la crise de la. 3. L Allemagne affiche un excédent commercial en hausse, porté par les secteurs industriels clefs, dans un contexte de chute des prix de l énergie. Les produits manufacturés sont prépondérants dans les échanges commerciaux allemands : automobiles et composants automobiles (15% en 2016), machines (11%), produits informatiques, électroniques et optiques (9%), produits divers 7 (8%), produits chimiques (8%), équipements électriques (6%), produits pharmaceutiques (6%), métaux (5%), autres matériels de transport (4% dont presque 80% dans l aérospatial), produits agroalimentaires (4%), produits en caoutchouc et en plastique (3%), produits métalliques (3%) et pétrole et gaz (3%). En comparaison avec , les parts sectorielles de produits finis sont relativement stables 9 ; la part de l industrie automobile progresse néanmoins tandis que celle de la construction mécanique recule (cf. graphiques 16 et 17). Hormis en ce qui concerne le pétrole et le gaz, l Allemagne est excédentaire ou extrêmement proche de l équilibre commercial dans ses secteurs industriels clefs (cf. graphiques 15 et 18). Elle exporte 2,2 fois plus d automobiles/pièces automobiles et de machines et 1,7 fois plus d autres matériels de transport qu elle n en importe. Le rapport entre les exportations et les importations se situe autour de 1,4/1,5 en ce qui concerne les produits chimiques, les équipements électriques et les produits pharmaceutiques et baisse à 1,2 s agissant des produits agroalimentaires. La croissance annuelle des exportations plus prononcée que celle des importations (pour rappel : +13 Md contre +6 Md ) est essentiellement due à la chute de la facture énergétique et des biens intermédiaires. Ainsi, en glissement annuel le prix de l énergie (principalement pétrole et gaz) a plongé de près de 17% tandis que celui des métaux a diminué d environ 5%. Cela s est traduit concrètement par une réduction d environ 19 Md des importations énergétiques et d environ 4 Md des métaux et minerais. Par rapport à 2015, l excédent du secteur automobile s est contracté à hauteur d environ 6 Md pénalisé, en grande partie, par la baisse des exportations en direction des Etats-Unis. Les importations automobiles ont augmenté bien plus significativement que les exportations automobiles. Si ces dernières ont rebondi de plus de 2 Md en direction de la Chine permettant de réduire le premier déficit de l Allemagne, elles ont marqué le pas au Royaume-Uni (cf. supra) et surtout aux Etats-Unis (environ -5 Md ) où la baisse pourrait être la conséquence de l affaire des moteurs diesels truqués dans laquelle est impliqué Volkswagen. Commentaires : Le BGA, la fédération du commerce extérieur, table sur une hausse des exportations pouvant atteindre 2,5% en Il redoute néanmoins les risques que le Brexit et le tournant protectionniste pris par les Etats-Unis font peser sur l industrie exportatrice allemande. Anne-Laure de Coincy 7 La part des produits divers diminuera à moyen terme de quelques points de pourcentage suite à des reclassements dans d autres catégories de produits. 8 La comparaison de la ventilation sectorielle des échanges de biens n est possible qu à partir de 2008, date à laquelle débute la série statistique de destatis, à la différence de la ventilation géographique dont la comparaison peut s effectuer sur les dix dernières années. 9 La volatilité des prix affecte davantage la part sectorielle des matières premières et produits intermédiaires. 3
4 Annexes Graphique 1 : part des exportations allemandes dans le commerce mondial de 2006 à 2016 (en %) (source : OMC) 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% Chine France Allemagne Japon Etats-Unis OMC) Graphique 2 : part des importations allemandes dans le commerce mondial de 2006 à 2016 (en %) (source : OMC) 16% 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% Chine France Allemagne Japon Etats-Unis Graphique 3 : évolution des soldes du compte des transactions courantes de 2006 à 2016 (en Md ) (source : Bundesbank) solde balance des biens solde balance des revenus primaires solde balance des services solde balance des revenus secondaires 4
5 Graphique 4 : évolution de la balance des services entre 2006 et 2016 (en Md, en valeur) (source : Bundesbank) recettes dépenses solde Graphique 5 : évolution des échanges de biens entre 2006 et 2016 (en Md, en valeur) (source : Destatis) Graphique 6 : indicateurs du commerce extérieur : taux de couverture et ratio exportations sur PIB (en %) de 2006 à 2016 (source : Destatis) 5
6 Graphiques 7 et 8 : comparaison de la part des échanges par grandes géographiques en 2006 et 2016 (en %) (source : Destatis) ECHANGES 2006 polaires 1% ECHANGES 2016 polaires 1% Asie 14% 11% 42% 11% Asie 18% 37% UE 11% 19% UE 10% 21% Graphiques 9 et 10 : comparaison de la part des exportations par grandes en 2006 et 2016 (en %) 12% EXPORTATIONS 2006 Asie 12% polaires 1% 44% 12% EXPORTATIONS 2016 Asie 17% polaires 1% 37% UE 10% 20% UE 9% 22% Graphiques 11 et 12 : comparaison de la part des importations par grandes en 2006 et 2016 (en %) IMPORTATIONS 2006 Asie 18% 10% UE 12% polaires 0% 18% 40% 9% IMPORTATIONS 2016 Asie 20% UE 11% polaires 0% 20% 38% 6
7 Graphique 13 : les quinze premiers clients de l Allemagne en 2006, 2015 et 2016 (en % de l ensemble des clients) (source : Destatis) 10,0% 9,0% 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0% Graphique 14 : les quinze premiers fournisseurs de l Allemagne en 2006, 2015 et 2016 (en % de l ensemble des fournisseurs) (source : Destatis) 10,0% 9,0% 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0%
8 Graphique 15 : exportations et importations par secteurs en 2016 (source : Destatis) 8
9 Graphique 16 : part des exportations par secteurs en 2008, 2015 et 2016 (en %) (source : Destatis) 9
10 Graphique 17 : part des importations par secteurs en 2008, 2015 et 2016 (en %) (source : Destatis) 10
11 Graphique 18 : comparaison entre les soldes 2015 et 2016 (en Md ) (source : Destatis) 11
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailL élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des
L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des sous-directions Diagnostic et prévisions, Financement international
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailFAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE
FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailECONOTE N 18. Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS
N 18 JUIN 213 ECONOTE Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS COURANTS SE DÉGRADE-T-IL DEPUIS PLUS DE 1 ANS? Le solde extérieur courant de la France
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailRoyaume du Maroc المرجع :
المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailOrdonnance sur la statistique du commerce extérieur
Ordonnance sur la statistique du commerce extérieur 632.14 du 12 octobre 2011 (Etat le 1 er janvier 2012) Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 15, al. 1, de la loi du 9 octobre 1986 sur le tarif des douanes
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailLE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE >>>
>>> LE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE SERVICE COMMUN UNIVERSITAIRE D INSERTION ET D ORIENTATION Campus centre-ville Site Ste Marthe 74 rue Louis Pasteur 84029 AVIGNON CEDEX 1 Tél. + 33 (0)4
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE s 2015 mar Réalisation :
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT Une grande économie au cœur de l Europe, une porte d accès vers la Méditerranée et l Afrique : 5 e économie
Plus en détailI. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT
I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailInvestissement en capital dans la transformation alimentaire canadienne
PROGRAMME DE RECHERCHE SUR LE SECTEUR DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE PROGRAMME DE RECHERCHE DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE / PROJET 6A PROJET 6a : CONNAISSANCES EN MATIÈRE D INNOVATION Investissement
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailLa situation économique des PME depuis 1997 en Allemagne
La situation économique des PME depuis 1997 en Allemagne Deutsche Bundesbank Les petites et moyennes entreprises (PME) continuent de jouer un rôle essentiel au sein de l économie allemande. Cet article,
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailCommerce. Marchandises. et de services : Tendances statistiques et problèmes de mesure. Croissance des services
CAHIERS STATISTIQUES «Aucune nation n a jamais été ruinée par le commerce» Commerce de marchandises et de services : Tendances statistiques et problèmes de mesure Par Andreas Lindner, Bill Cave, Lydia
Plus en détailSUBVENTIONS. Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE
ACCORD GENERAL SUR LES TARIFS DOUANIERS ET LE COMMERCE RESTRICTED L/7162/Add.l8 6 mai 1994 Distribution limitée (94-0829) Original: anglais SUBVENTIONS Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailREPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015
REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 2000 2005 2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040 2045 2050 2055 2060 en % du PIB UN FINANCEMENT DES RETRAITES TOUJOURS PAS ASSURÉ Solde financier
Plus en détailRésultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration
Paris, le 20 février 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration Un renforcement substantiel des gains de productivité et une nette progression des résultats en 2014 par rapport
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailéconomi ue Les annonces de suppressions et de créations/maintiens de postes entre janvier et décembre 2013 indreet-loire
tableau de bord économi ue n#40# FÉVRIER 2014 Période de référence : Septembre - Décembre 2013 DE LA RÉGION CENTRE Cinq années après le début de la crise, l économie européenne semble reprendre des couleurs.
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailÉléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011
1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailLes mesures en faveur de
Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises
Plus en détail52 53 L état de l Enseignement supérieur et de la Recherche n 4 [édition 2010]
21 Le financement de la recherche nationale par des crédits budgétaires absorbe en 0,75 % des moyens budgétaires de l État à travers les établissements publics de R&D et les mesures d aide et d incitation
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailLe Marché du à la consommation en Europe à fin 2007
Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit
Plus en détailRapport sur le commerce et le développement, 2011
Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement Genève Rapport sur le commerce et le développement, 2011 Rapport du secrétariat de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le
Plus en détailMéfiez-vous du modèle d austérité canadien
Méfiez-vous du modèle d austérité canadien Andrew Jackson Le présent essai a été rédigé à la suite d articles des médias selon lesquels l ex-ministre des Finances et ex-premier ministre canadien Paul Martin
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailLa compétitivité de l industrie française est un enjeu majeur pour la politique européenne.
007-011 Avant propos_avant-propos 25/07/13 17:20 Page7 Avant-propos Gerhard CROMME* L Europe et l Allemagne ont besoin d une France compétitive Cet article reprend les thèmes du discours prononcé par Gerhard
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailTABLEAUX STATISTIQUES
Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe
Plus en détail