n 3 La Recherche en Odontologie Basée sur la Pratique De nos jours, les études de recherche clinique en odontologie sont majoritairement
|
|
- Rodolphe Damours
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 éditorial n 3 La Recherche en Odontologie Basée sur la Pratique De nos jours, les études de recherche clinique en odontologie sont majoritairement conduites dans les institutions hospitalo-universitaires, qui bénéficient de moyens humains et financiers pour satisfaire leur mission de recherche. L odontologie est aujourd hui considérée comme une discipline médicale à part entière. Ainsi, les budgets alloués à la recherche clinique en odontologie sont préférentiellement accordés aux projets répondant à des priorités évidentes de santé publique, telles que la prévention et le traitement de la carie ou de la parodontite. L essai clinique randomisé DIAPERIO [1] actuellement en cours aux CHU de Toulouse et Bordeaux, et visant à étudier l effet du traitement parodontal sur l équilibre glycémique de sujets diabétiques, est un exemple concret de recherche clinique guidée par une préoccupation de santé publique. Bien entendu, ce type de recherche est absolument nécessaire. Mais si la recherche clinique en odontologie n est guidée que par des enjeux importants de santé publique, comment répondre scientifiquement aux multiples questions que le praticien se pose quotidiennement, et qui n ont pas d implication immédiate et directe avec des problèmes de santé publique majeurs (quel matériau choisir, quel produit cosmétique prescrire, quelle technique adopter etc.?). Depuis quelques années sont apparus au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni des réseaux de praticiens libéraux participant, dans leur cabinet, à des protocoles de recherche clinique. Des structures privées et/ou publiques gèrent tout l aspect logistique, méthodologique, légal et éthique de ces recherches, appelées «Practice-Based Dental Research (PBDR)» [2] ou «Recherche Odontologique Basée sur la Pratique (ROBP)». Les avantages liés à cette organisation de la recherche clinique sont multiples, et nous y reviendrons en détail dans un prochain article de la rubrique Evidence-Based Dentistry. Pour l heure, nous vous présentons les résultats d une étude que nous avons menée dans une approche de ROBP. Le thème concerne, comme il se doit, un problème quotidien : dans le cadre de la restauration des lésions cervicales avec un couple adhésif/composite, faut-il mordancer les marges amélaires lorsqu on utilise un système automordançant? Jean-Noël Vergnes AHU UFR de Toulouse, membre du Pan European Region Practice Based Research Network Jean-Pierre Attal MCU-PH UFR de Montrouge, Paris Descartes, responsable d un réseau de ROPB 1. Vergnes JN, Arrivé E, Gourdy P, Hanaire H, Rigalleau V, Gin H, Sédarat C, Dorignac G, Bou C, Sixou M, Nabet C. Periodontal treatment to improve glycaemic control in diabetic patients : study protocol of the randomized, controlled DIAPERIO trial. Trials Aug 2 ;10 : 65. Accessible via 2. Mjör I. Controlled clinical trials and practice-based research in dentistry. J Dent Res 2008 ; 87 :
2 étude randomisée Influence du mordançage amélaire sur l efficacité d un système automordançant Étude contrôlée randomisée en ROBP* JN Vergnes, C Moussally, S Cazier, JB Chieze, G Savard, AL Simon, G Tirlet, JP Attal L objectif de cette étude en ROBP est d évaluer l efficacité clinique d un nouveau système adhésif automordançant en un temps (Bond Force/Tokuyama) pour la restauration de lésions cervicales non carieuses, avec ou sans mordançage préalable de l émail à l acide phosphorique. L hypothèse nulle est qu il n y a pas de différence significative d adaptation marginale entre les deux procédures au terme d un suivi de 12 mois. *Recherche Odontologique Basée sur la Pratique Toutes les études montrent une tendance à l augmentation de la prévalence des lésions cervicales non carieuses avec l âge [11]. Le vieillissement de la population [7], et les progrès de la parodontie, nous confrontent davantage à ce type lésion. La restauration de ces pertes de substance présente les difficultés suivantes [10] : 1. la géométrie cavitaire ne présente généralement pas de rétention 2. la majorité de la surface dentaire est constituée par de la dentine sclérotique 3. la limite périphérique concerne l émail au niveau coronaire et la dentine, voire le cément, au niveau cervical 4. elles ont un mauvais pronostic sur le long terme. Toutes ces raisons font que ces lésions sont considérées comme des cavités idéales pour évaluer l efficacité clinique des adhésifs. On distingue 13
3 MATÉRIEL ET MÉTHODES aujourd hui les adhésifs MR (Mordançage- Rinçage) et les SAM (Systèmes automordançants) [1]. Ces derniers dont le principe d action est de déminéraliser en même temps que de pénétrer les tissus dentaires présentent une plus faible capacité de mordançage au niveau amélaire que les MR. Cependant quelques études in vitro ont montré que les SAM pouvaient être aussi performants que les MR [4], d autres ont mis en évidence que les résultats sur l émail dépendaient des SAM [6]. Le nombre de nouveaux systèmes adhésifs mis sur le marché chaque année étant très important, des tests in vitro évaluant leur performance sont indispensables. Cependant, il est admis aujourd hui que, malgré la qualité de ces tests in vitro qui commencent pourtant à être bien codifiés [9], seules les études cliniques contrôlées et randomisées peuvent prétendre démontrer une efficacité clinique : il s agit en effet des études les plus hautement situées dans la gradation des niveaux de preuves de l Evidence Based Dentistry [2]. Ce type d étude est le plus souvent mis en œuvre dans les institutions comme les Centres Hospitalo-Universitaires (CHU), étant donné que les budgets nécessaires sont très importants. Cependant, le plateau technique des CHU et le temps de réalisation des actes sont le plus souvent éloignés de la réalité de la pratique courante et en exercice libéral des soins. Par ailleurs, les praticiens réalisant les actes sont souvent des experts du domaine. Tous ces éléments accordent finalement à ces études, une faible possibilité d extrapolation pour le praticien [8]. C est pourquoi, depuis quelques années, des réseaux se sont créés, rassemblant des praticiens formés à la recherche clinique. Ces praticiens, dans leur cabinet, participent à un protocole rigoureux de recherche, sur une thématique de «la vie de tous les jours» et avec leur propre plateau technique. C est la définition du Practice-Based Research in Dentistry (PBRD) ou de la Recherche Odontologique Basée sur la Pratique (ROBP). 1. Matériaux testés. L efficacité clinique du système automordançant est évaluée en comparant le protocole exact du fabricant (qui ne suggère pas de mordançage de l émail) à un protocole identique, mais avec mordançage préalable des bords amélaires de la lésion avec de l acide phosphorique à 40 %. Pour répondre à cet objectif, nous avons établi un protocole d étude en ROBP de type essai clinique multi-centrique en simple aveugle. Le design de l étude prévoit un recrutement en «paired-tooth», c est-à-dire que chaque sujet inclus dans l essai clinique reçoit les deux traitements sur deux dents différentes, ce qui permet la prise en compte non biaisée des caractéristiques individuelles. Sur un plan éthique, tout patient inclus se voit garantir le libre choix de participer ou non, l explication en termes simples des deux procédures randomisées, la liberté d interrompre le suivi à tout moment et la garantie d un suivi sur vingt-quatre mois des restaurations, sans frais supplémentaires. L inclusion des sujets se fait de façon consécutive. Le suivi total est de vingt-quatre mois, et ne sont présentés dans cet article que les résultats à six mois et à un an. Critères d inclusion, de non-inclusion et d exclusion Les critères d inclusion sont les suivants : sujet affilié à un régime de sécurité sociale, âgé de plus de 18 ans, ayant donné son consentement éclairé, présentant au moins deux lésions cervicales sur deux dents différentes, et avec un niveau d hygiène bucco-dentaire compatible avec la mise en place de restaurations en résine composite. Les lésions doivent être non carieuses, d au moins un millimètre de profondeur, et atteindre à la fois l émail et la dentine d incisives, de canines ou de prémolaires vitales et non mobiles. Les critères de non-inclusion sont : état de santé général non compatible avec la participation à l étude, maladie parodontale avancée, bruxisme sévère et lésions carieuses. Enfin, les critères d exclusion sont : la modification d une des restaurations par un autre chirurgien-dentiste durant le suivi de l étude, la perte de vue du sujet participant à l étude, et la perte ou la fracture de la dent supportant la restauration pour des raisons indépendantes à l étude. 14
4 étude randomisée 2. Lésion cervicale non carieuse sur Préparation de surface et mise en place d un fil dans le sulcus. 4. Mordançage des marges amélaires. 5. Vue après rinçage et séchage. 6. Mise en place du SAM en frottant l ensemble des surfaces pendant 20 secondes. 7. Après utilisation du spray à air, photopolymérisation pendant 10 secondes. Procédures cliniques Les procédures cliniques ont été effectuées par cinq praticiens libéraux. Une fois les deux lésions cervicales identifiées, l attribution du protocole «mordançage + SAM» ou «SAM seul» est réalisée de façon aléatoire, à l aide d une table d attribution aléatoire fournie au praticien. Une seule paire est évaluée par patient, et les protocoles sont mutuellement comparés par paire. Si nécessaire, une anesthésie locale est effectuée. L isolation de la dent est réalisée au moyen de rouleaux de coton et d une aspiration continue avec l aide d une assistante. Dans certain cas un fil est mis en place dans le sulcus pour optimiser le champ opératoire. Un nettoyage préliminaire de la lésion (brossette + ponce) permet l élimination du film salivaire ainsi que de la plaque dentaire. Ensuite la dentine sclérotique et le tissu dentinaire coloré sont éliminés à la fraise diamantée bague rouge, et un fin biseau (1-2 mm) est préparé sur la partie amélaire. Les cavités sont restaurées en respectant les instructions du fabricant, excepté pour les dents recevant un mordançage préalable d acide phosphorique à 40 %. Après rinçage et séchage modéré, l adhésif automordançant est appliqué pendant 20 secondes en le frottant sur la surface dentaire. Puis le spray à air est utilisé à distance pendant 5 secondes puis de manière rapprochée pendant 5 8. Mise en place de composite fluide (Estelite flow) puis de composite (Estelite Sigma), chaque incrément étant photopolymérisé pendant 20 secondes. 9. Vue après finition. 15
5 RÉSULTATS secondes. La polymérisation est ensuite réalisée pendant 10 secondes au moyen d une lampe fournissant une énergie lumineuse minimale de 550 mw/cm 2. Une première couche de composite fluide est d abord appliquée (Estelite Flow Quick-Tokuyama) et polymérisée 20 secondes, suivie d une seconde couche de composite (Estelite Sigma- Tokuyama). Après une polymérisation de 20 secondes, les restaurations sont sculptées et polies avec des instruments polissoirs rotatifs. L ensemble de la procédure est illustré par les figures 1 à 9. Critères de jugement Les restaurations sont évaluées par le praticien les ayant réalisées à six mois et à un an. Les critères de jugement utilisés, évalués à partir de l échelle de Hickel et al. [3] simplifiée, sont : - l adaptation marginale (0 : absence de défaut cliniquement détectable, ou léger défaut pouvant être éliminé par simple polissage ; 1 : défaut plus ou moins étendu entraînant l exposition de la dentine et/ou nécessitant une réparation ou un retraitement) ; - la rétention de la restauration (présence de la restauration à six mois et un an : oui/non) ; - la sensibilité postopératoire (oui/non) ; - la coloration marginale au niveau amélaire (oui/non) ; - la coloration de la restauration (oui/non) ; - présence de défauts mineurs (oui/non). Ces défauts mineurs qui concernent uniquement la périphérie de la restauration correspondent aux remarques négatives rapportées par les praticiens, tandis qu ils n ont pas jugé bon de cocher un réel défaut. Par exemple : «La sonde accroche légèrement à un endroit de la périphérie de la restauration». Chaque praticien participant à l étude a reçu un cahier standardisé pour le recueil des données et renvoie à l attaché de recherche clinique de l étude la feuille d évaluation après chaque observation. À six mois et à un an, le praticien n a donc plus connaissance de l appartenance des restaurations qu il évalue au groupe avec ou sans mordançage. Analyse statistique L analyse statistique prévoit la comparaison appariée des proportions de bonne adaptation marginale, de rétention, de sensibilité postopératoire, de colorations et de défauts mineurs, au moyen d un test du Chi-deux de McNemar, à un degré de significativité de 5 %. Les analyses statistiques sont conduites avec le logiciel Stata (version 9.1). À l inclusion Les cinq praticiens ont inclus 28 sujets (11 hommes et 17 femmes), d âge moyen 53,2 ans (± 13,7), présentant un nombre moyen de dents de 27,8 (±2,9). Pour chaque sujet inclus, les deux dents ont reçu de façon aléatoire l un des deux protocoles (avec ou sans mordançage préalable). Le tableau 1 montre la distribution des dents en fonction du protocole reçu. À six mois Le taux de suivi des sujets au second rendez-vous est de 86 % (24/28). Le délai moyen entre le rendez-vous initial et le second rendez-vous de contrôle est de 197,4 jours (±23). Le tableau 2 montre les résultats de l évaluation des différents paramètres cliniques à six mois, en pourcentages. Une restauration a été perdue dans le groupe «SAM seul». De plus, la présence de défauts mineurs est apparue comme statistiquement supérieure dans ce même groupe (p = 0,004). À un an À un an, le taux de suivi est de 78 % (22/28), soit 44 restaurations à évaluer, avec une moyenne de 185,4 jours (± 31) depuis la visite à six mois. Le tableau 3 montre les résultats de l évaluation des différents paramètres cliniques à douze mois, en pourcentages. La présence de défauts mineurs est toujours statistiquement supérieure dans le groupe «automordançant seul» (p = 0,048). De plus, apparaissent des différences entre les deux groupes en terme d adaptation marginale, de coloration marginale et de coloration de la restauration. Ces différences sont toujours en faveur du groupe «mordançage préalable», mais ne sont pas significatives à ce stade du suivi. DISCUSSION L objectif de cette étude était d évaluer l influence du mordançage des marges amélaires avant la réalisation d une restauration d une lésion cervicale non carieuse avec un SAM. Cet objectif répond à une problématique clinique importante et quotidienne pour le praticien et s intègre bien dans les thématiques de ROBP. Cliniquement, la dextérité, le temps de mise en œuvre, le plateau technique et l expérience de l opérateur sont une source de variabilité des résultats. Dans cette étude, 16
6 les procédures ont été réalisées par cinq praticiens dans leur propre cabinet dentaire. Le champ opératoire a consisté en l utilisation combinée d une aspiration et de coton salivaire dans le cadre d un travail à quatre mains. L isolation n a donc pas été réalisée à l aide d une digue, généralement jamais utilisée dans cette indication par l omnipraticien. Le taux de rappel à six mois de 86 % et de 78 % à douze mois est relativement faible mais assez comparable à d autres études du même type [9]. Les raisons de cette faible valeur ne sont certainement pas liées à une appréciation négative du patient pour le travail effectué mais plutôt au fait que cette étude implique cinq praticiens dans leur cabinet dentaire. Malgré ces éléments, cette étude randomisée montre un très bon comportement à douze mois des restaurations réalisées. L analyse des différents paramètres d évaluation qui déterminent le succès clinique ne met pas en évidence de différences significatives entre les deux groupes testés. Une seule restauration a été perdue (dans le groupe sans acide phosphorique) pendant la première période de six mois, et aucune pendant la deuxième période (entre six mois et un an). Cela donne un taux cumulé de rétention de 96 % dans le groupe sans acide phosphorique et de 100 % dans le groupe avec acide phosphorique. Ce taux de rétention est comparable à celui obtenu dans d autres études récentes [8]. À douze mois, le seul paramètre qui apparaît significativement différent entre les deux groupes est la forte prévalence de défauts mineurs dans le groupe où l adhésif est appliqué sans acide phosphorique (p < 0,05). Mais il faut noter que ces défauts sont bien mineurs et qu ils ne nécessitent ni remplacement ni même réparation. Ils peuvent donc être considérés comme négligeable sur le plan clinique à douze mois. Ces résultats confirment d ailleurs ceux de Van Meerbek et coll. [9]. Toutefois les défauts mineurs détectés à six mois peuvent devenir des défauts majeurs à douze mois. C est le cas pour trois défauts sur les sept constatés. Par ailleurs de nouveaux défauts mineurs continuent d apparaître à douze mois dans le groupe sans acide phosphorique. Notons le très bon score obtenu sur le critère relatif à la sensibilité opératoire. En effet les patients n ont rapporté aucune sensibilité opératoire. Ce résultat, assez classique avec les SAM, Tableau 1 - Distribution des dents en fonction du protocole reçu (avec ou sans mordançage préalable). préalable préalable Incisives (n) 2 2 Canines (n) 3 4 Prémolaires (n) Tableau 2 - Résultats de l évaluation clinique à six mois. préalable (n=24) préalable (n=24) p-value Présence de la NS restauration (%) Parmi les 47 restaurations restantes : Adaptation marginale (%) Absence de sensibilité postopératoire (%) marginale (émail) (%) (composite) (%) Absence de défauts mineurs (%) NS : Non significatif préalable (n=24) préalable (n=23) p-value ,004 Tableau 3 - Résultats de l évaluation clinique à un an. Parmi les 44 restaurations restantes : Présence de la restauration (%) Adaptation marginale (%) Absence de sensibilité postopératoire (%) marginale (émail)(%) (composite)(%) Absence de défauts mineurs (%) NS : Non significatif préalable (n=22) préalable (n=22) p-value NS NS NS ,048 18
7 étude randomisée montre que les tubulis dentinaires sont scellés efficacement avec cet adhésif. Ceci explique par ailleurs le très bon comportement des restaurations au niveau de la coloration marginale. Enfin, l absence de coloration de la restauration indique une bonne efficacité du composite Estelite Sigma vis-à-vis de l absorption éventuelle de colorants extrinsèques. En conclusion, l hypothèse nulle ne peut pas être rejetée car il n est pas possible à douze mois de distinguer le groupe avec et sans acide phosphorique. Toutefois, nous avons noté l apparition de défauts mineurs et la tendance à la transformation de certains défauts mineurs en défauts majeurs dans le groupe sans acide phosphorique. Il est donc important de continuer à suivre ces restaurations pour vérifier si une différence significative entre les deux groupes peut apparaître au cours du temps. En attendant, et à la vue de ces résultats préliminaires, il semble prudent de conseiller aux praticiens utilisant le Bond Force, de prétraiter les marges amélaires avec l acide phosphorique avant application de l adhésif. Remerciements Cette étude a été financée par Tokuyama (Japon). Quoi de neuf dans la Cochrane Library? Ce trimestre, deux nouvelles revues systématiques ont été publiées par le groupe Cochrane pour la santé bucco-dentaire : Agents antibactériens dans les restaurations composites pour la prévention de la carie dentaire Microscopes et instruments grossissants pour la thérapie endodontique Les résumés de ces revues systématiques sont disponibles sur et prochainement traduits en français sur Bibliographie 1. Degrange M. Systèmes adhésifs automordançants. Une mode ou la voie du futur? Inf Dent : Forrest JL. Introduction to the basics of evidence-based dentistry : concepts and skills. J Evid Base Dent Pract 2009, 9 : Hickel R, Roulet JF, Bayne S, Heintze SD, Mjor IA, Peters M, Rousson V, Randall R, Schmalz G, Tyas M, Vanherle G. Recommendations for conducting controlled clinical studies of dental restorative materials. Clin Oral Invest 2007, 11: Ibarra G, Vargas MA, Armstrong SR, Cobb DS. Microtensile bond strength of self-etching adhesives to ground and unground enamel. J Adhes Dent 2002, 4 : Mjör I. Controlled clinical trials and practice-based research in dentistry. J Dent Res 2008, 87 : Pashley DH, Tay FR. Agressiveness of contemporary selfetching adhésives. Part II : etching effects on unground enamel. Dent Mater 2001, 17 : Robert Bobée I. Projections de population pour la France métropolitaine à l horizon Insee Première n 1089, Van Dijken JW, Pallesen U. Long-term dentin retention of etch-and-rinse and self-etch adhesives and a resin-modified glass ionomer cement in non carious cervical lésions. Dent Mater 2008, 24 : Van Meerbeek B, Kanumilli P, De Munck J, Van Landuyt K, Lambrecht P, Peumans M. A randomized controlled study evaluating the effectiveness of a two-step self etching adhesive with and without selective phosphoric-acid etching of enamel. Dent Mater 2005, 21 : Van Meerbeek B, Peumans M., Poitevin A, Mine A, Van Ende A, De Munck J. Relationship between bond-strength tests and clinical outcomes. Dent Mater 2010, Epub ahead of print. 11. Wood I, Jawad Z, Paisley C, Brunton P. Non-carious cervical tooth surface loss : a littérature review. J Dent 2008, 36 : Auteurs JN Vergnes*, C Moussally**, S Cazier**, JB Chieze**, G Savard**, AL Simon**, G Tirlet***, JP Attal*** *AHU, Département d Épidémiologie, UFR Odontologie de Toulouse, membre du Pan European Region Practice Based Research Network ** Docteur en Chirurgie Dentaire *** MCU-PH, UFR Odontologie de Montrouge, Paris Descartes, Responsable d un réseau ROBP. 19
FAQ CLEARFIL SE BOND. Pagina 1 van 5
FAQ CLEARFIL SE BOND 1. Quels sont les avantages des systèmes automordançants? 2. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus utilisé? 3. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus étudié?
Plus en détailFluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation
Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation Auteurs_ Pr. Irina K. Lutskaya, Dr Natalia V. Novak & Valery P. Kavetsky, République de Biélorussie Fig. 1 Fig. 2 Fig. 1_Revêtements
Plus en détailStraumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD
Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD PRÉSERVATION DES DENTS AVEC STRAUMANN EMDOGAIN Entre 5 et 15 % de la population souffre de parodontite sévère pouvant induire la perte de dents 1,2 Les
Plus en détailApprendre en pratique - dès le début.
Apprendre en pratique - dès le début. Les unités de simulation de la gamme KaVo permettent une formation optimale grâce à un agencement flexible des composants de l équipement, une ergonomie excellente
Plus en détailUn seul incrément, simple et efficace
Matériau de restauration postérieure à mise en masse Un seul incrément, simple et efficace Prenez de la hauteur pour vos restaurations postérieures Des restaurations postérieures facilitées! Une véritable
Plus en détailDécrite dès les années 1970, à ce jour, Les hypominéralisations molaires-incisives. Diagnostic et prise en charge adaptée. Odontologie pédiatrique
Odontologie pédiatrique hypominéralisations formation Les hypominéralisations molaires-incisives Diagnostic et prise en charge adaptée Patrick Rouas, MCU/PH en Odontologie pédiatrique, Université de Bordeaux,
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailUne avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards
Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailRetrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel.
Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel. La Valeur d un Sourire 2 Qu est ce qu un implant dentaire? 3 Comparaison entre implant et dent naturelle
Plus en détail«La dentisterie esthétique au 21 ème siècle : une approche simple et efficace»
Chers Médecins Dentistes, «La dentisterie esthétique au 21 ème siècle : une approche simple et efficace» Nous avons le plaisir de vous proposer le programme du cours portant sur «la dentisterie esthétique
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailwww.dentaladvisor.com Editors Choice + + + + +
Grandio SO Heavy www.dentaladvisor.com Editors Choice + + + + + Grandio SO Heavy Agréé sans restrictions pour cavités soumises aux contraintes MÉcaniques Déjà présent sur le marché avec un composite d
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détail2. Rechercher les études
Tutoriel «Introduction à l Evidence-based nursing» 1 2. Rechercher les études Objectifs du module Vous devez savoir élaborer une stratégie de recherche bibliographique efficace, en suivant les étapes suivantes
Plus en détailPLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013
PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailStructur 3. Brillant sans polissage. Structur 3. Composite pour la fabrication de couronnes
Composite pour la fabrication de couronnes et bridges provisoires Brillant sans polissage Les 3 pour des couronnes et bridges brillants est un composite autopolymérisant pour la fabrication de couronnes
Plus en détailPour arrêter le débit de pâte de lʼembout, tirer le piston après application.
Vertise Flow Mode dʼemploi Le composite Vertise Flow est un composite de restauration auto-adhésif, photopolymérisable indiqué pour les restaurations directes. En intégrant la technologie adhésive OptiBond
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailScanner intra-oral Lava C.O.S. numérique. au cabinet dentaire
Scanner intra-oral Lava C.O.S. L empreinte numérique au cabinet dentaire Bienvenue dans le futur 3M ESPE : l expertise de l empreinte Si 3M ESPE est l un des fournisseurs favoris des chirurgiens dentistes
Plus en détailPrévention de la carie dentaire chez les enfants avant 3 ans Mai 2006
Prévention de la carie dentaire chez les enfants avant 3 ans Mai 2006 Dossier petit enfant - Direction Générale de la Santé - Marysette Folliguet - version 24 Mai 1 Remerciements Sont remerciés pour la
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailFRANÇAIS. Les monde des units dentaires de référence
FRANÇAIS Les monde des units dentaires de référence Table des matières Planmeca Sovereign 4 Planmeca Compact i 10 DECOUVREZ LE MONDE FASCINANT DES UNITS DENTAIRES DE PLANMECA Planmeca Romexis 18 Planmeca
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailRÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC
RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC TABLE DES MATIÈRES ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE
Plus en détailLes cas implantaires que nous
Cabinet Laboratoire Dents artificielles et prothèses implantaires en 24-48 heures C. SIREIX, V. SIREIX Prothésistes dentaires C. RISPAL Chirurgien-dentiste Quelles dents artificielles utiliser? Comment
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailLa technologie oscillo-rotative et pulsative les preuves scientifiques
La technologie oscillo-rotative et pulsative les preuves scientifiques BROSSES ÉLECTRIQUES À la fin des années 1980, lorsqu un ingénieur allemand inventa la première brosse à dents électrique à tête ronde
Plus en détailL hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée
L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,31 = = 37
Plus en détailOptez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive.
Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive. La préparation d un canal est souvent une opération complexe pour le dentiste. Le mouvement technologique Adaptive relève cependant
Plus en détailPEPS PRO L OFFRE SANTÉ DES PROFESSIONNELS INDÉPENDANTS
PEPS PRO L OFFRE SANTÉ DES PROFESSIONNELS INDÉPENDANTS UNE COUVERTURE SANTE ADAPTÉE LES GARANTIES PEPS PRO DES SERVICES PERFORMANTS UNE COUVERTURE SANTÉ ADAPTÉE AUX PROFESSIONNELS INDEPENDANTS Malakoff
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 3 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,60 = = 37
Plus en détailProfil professionnel
Profil professionnel Contenu 1. Introduction 5 2. La profession en bref 7 3. Cahier des charges et compétences 8 d une hygiéniste dentaire dipl. ES 4. Exigences posées à l hygiéniste dentaire dipl. ES
Plus en détailÀ L A D I S P O S I T I O N D E S M E M B R E S D E S Y N D I C A T S A F F I L I É S À L A C E N T R A L E D E S S Y N D I C A T S D U Q U É B E C
R É G I M E C O M P L É M E N T A I R E 1 D E S O I N S D E N T A I R E S J À L A D I S P O S I T I O N D E S M E M B R E S D E S Y N D I C A T S A F F I L I É S À L A C E N T R A L E D E S S Y N D I C
Plus en détailImplants dentaires. Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES
Implants dentaires Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES Introduction La réussite d une thérapeutique implantaire
Plus en détailPar Christophe Sireix / Prothésiste Dentaire
ADJOINTE CAD/CAM Par Christophe Sireix / Prothésiste Dentaire 16 Tech. Dent. N 342-06/15 L ASIGA pro075 Une mini imprimante très précise L imprimante ASIGA pro075 utilisée dans notre centre est une machine
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détailPrésentation de la consolidation
Chapitre I Présentation de la consolidation Établir les comptes consolidés d un groupe consiste à présenter son patrimoine, sa situation financière et les résultats de l ensemble des entités qui le constituent
Plus en détailLa science derrière Sonicare AirFloss
La science derrière Sonicare AirFloss Table des matières Enlèvement de la plaque 1 Réduction de la gingivite et élimination de la plaque 2-4 Maintien de saines habitudes de brossage 5 Sécurité 6 Préférence
Plus en détailMéthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain
Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Journée de la préventions 2014 Atelier : «Repérer des actions de prévention : l exemple du tabac» Céline DEROCHE, Sandra KERZANET -
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailles garanties santé formules
les garanties santé formules RENFORCÉES une solution globale pour vos salariés LES GARANTIES peps Eco active DES SERVICES PERFORMANTS Une solution globale pour la santé de vos salariés Malakoff Médéric
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailRetrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients
Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailDoméjean Sophie, Bourgeois Denis, Tubert-Jeannin Stéphanie UFR d Odontologie, Clermont-Ferrand, France sophie.domejean@udamail.fr
Traduction française du document Rationale and Evidence for the International Caries Detection and Assessment System (ICDAS II) réalisée par Sophie Doméjean*, Denis Bourgeois** et Stéphanie Tubert-Jeannin*
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailTraumatologie en odontostomatologie du sport
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.
Plus en détailLE TIERS-PAYANT. Parcours de soins et règles de facturation
LE TIERS-PAYANT Parcours de soins et règles de facturation LE TIERS-PAYANT EN PRATIQUE L assuré peut être dispensé de régler au professionnel de santé : le montant de la part obligatoire seule = TP partiel
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailModule 3: Enseignement et évaluation clinique
Module 3: Enseignement et évaluation clinique Bienvenue au module 3 du cours EBM formation des formateurs. Dans ce module, vous apprendrez comment utiliser l évaluation et le feedback dans l enseignement
Plus en détailSommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...
d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLa CCAM pour l activité bucco-dentaire. Cahier d exercices. au quotidien, quelques exemples
La CCAM pour l activité bucco-dentaire Cahier d exercices au quotidien, quelques exemples Obturation 3 faces sur 46 NGAP Cavité composée, traitement global intéressant trois faces et plus SC 17 CCAM HBMD038
Plus en détailRapport. Examen des méthodes de paiement et des tendances des paiements au Canada Octobre 2012
Rapport Examen des méthodes de paiement et des tendances des paiements au Canada Octobre 2012 Remerciements Plusieurs organismes ont fourni des données et de l information à l ACP, l ont aidée à formuler
Plus en détailCombien coûtent vos soins dentaires?
Combien coûtent vos soins dentaires? Enquête nationale MC sur les soins dentaires Alliance nationale des Mutualités chrétiennes 03-04-2014 Research & Development Bram Peters et Pauline van Cutsem Table
Plus en détailEdition 2013. GUIDE PRATIQUE du Protocole d accord MFP-CNSD
Edition 2013 GUIDE PRATIQUE du Protocole d accord MFP-CNSD Docteur, Vous êtes adhérent au protocole d accord MFP-CNSD et nous vous remercions de votre confiance. Ce protocole, auquel adhèrent plus de 25
Plus en détailLes avancées scientifiques notables. Apport des instruments soniques et ultrasoniques. dans les préparations à visée esthétique. Esthétique.
Apport des instruments soniques et ultrasoniques dans les préparations à visée esthétique Stéphanie Ortet, Edwige Toca, Hervé Tassery Quel que soit le type de préparation envisagé, la réalisation d un
Plus en détailInserts DiaStemm compatibles Swiss Made La Haute Technologie à un prix inégalé
Inserts DiaStemm compatibles Swiss Made La Haute Technologie à un prix inégalé La précision de l horlogerie suisse au service du dentaire Certification ISO 9001 / ISO 13485 CE 1253 EMS KAVO SONOSOFT 1A
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailGuide Pratique du Protocole d accord MFP-CNSD
Confédération Nationale des Syndicats Dentaires Guide Pratique du Protocole d accord MFP-CNSD Docteur, Vous êtes adhérent au protocole d accord MFP-CNSD et nous vous remercions de votre confiance. Pour
Plus en détailRÉGIME D ASSURANCE SANTÉ FSSS-FP (CSN)
Cette version électronique de l assurance soins dentaires est tirée du Régime d assurance collective à l intention des personnes salariées du secteur de la Santé et des Services sociaux FSSS-FP (CSN).
Plus en détailDentiste Numérique Zfx. Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx
Dentiste Numérique Zfx Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx Dentiste Numérique Zfx Des technologies novatrices parfaitement adaptées Zfx offre aux dentistes des technologies
Plus en détailEt si on vous offrait un Autoclave? *
Spécial ADF 2014 Edition septembre 2014 Et si on vs offrait un Autoclave? * *Offre en page 10 www.idisystem.fr Tél : +33 (0)1 48 70 70 48 #IDI_vs_gâte! Depuis 1987, Implants Diffusion International, société
Plus en détailProjections des coûts des médicaments pour les régimes privés d assurance-médicaments de IMS Brogan Rapport commandité par Rx&D
Plus de 20 millions de Canadiens comptent sur les nouveaux médicaments et vaccins pour les aider à rester en bonne santé et productifs, tant au travail qu à la maison. Les employeurs profitent aussi de
Plus en détailDESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES
Frais admissibles DESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES Les frais admissibles sont les frais raisonnablement engagés, recommandés par une ou un dentiste et justifiés par la pratique courante
Plus en détailELIMINATING WATER? CHILD S PLAY!
hydrorise ELIMINATING WATER? CHILD S PLAY! Clinical Addition Silicones Hydrorise, l innovation qui n existait pas. ZHERMACK présente HYDRORISE, le Silicone A qui s adapte à tout type d empreinte dans toutes
Plus en détailService de Médecine Dentaire Spécialisée
Clinique Saint-Jean ASBL Service de Médecine Dentaire Spécialisée a santé au cœur de Bruxelles Clinique Saint-Jean Bienvenue Le service de médecine dentaire spécialisée de la clinique Saint-Jean vous souhaite
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailles garanties santé une solution globale pour vos salariés
les garanties santé formules MAÎTRISÉES une solution globale pour vos salariés LES GARANTIES peps eco active DES SERVICES PERFORMANTS Une solution globale pour la santé de vos salariés Malakoff Médéric
Plus en détailSyndicat National des Internes en Odontologie
Syndicat National des Internes en Odontologie Président en charge du Présents : Compte-rendu de la réunon du 19 mars 2014 avec les coordonnateurs des DES Mr le Professeur Robert GARCIA (Président de la
Plus en détailBrochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.
Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailGC GRADIA DIRECT GUIDE CLINIQUE. Simplicité de la teinte et invisibilité esthétique. Composite photopolymérisable de restauration
GUIDE CLINIQUE Tous les cas cliniques sont réalisés par le Dr. Nassib Farès de Beyrouth, Liban. GC GRADIA DIRECT Composite photopolymérisable de restauration Simplicité de la teinte et invisibilité esthétique
Plus en détailMalgré les évolutions technologiques. Prothèse implantaire fixe scellée et vissée à l heure du numérique. Spécial IMPLANTOLOGIE. prothèse implantaire
prothèse implantaire Dans le cadre d une réhabilitation orale implantaire, la finalité de notre traitement est la prothèse qui est placée sur les implants. Pour que cette prothèse soit fonctionnelle et
Plus en détailZENOTEC Instructions de préparation
ZENOTEC Instructions de préparation Matériau et indication Esthétique exceptionnelle grâce à l oxyde de zirconium de WIELAND L oxyde de zirconium a fait ses preuves depuis plus de dix ans comme matériau
Plus en détailLA FACTURATION DES ACTES DENTAIRES POUR LES BÉNÉFICIAIRES DE LA CMU.C. DRSM PACA-Corse - Formation Année 2014 La CMU.
LA FACTURATION DES ACTES DENTAIRES POUR LES BÉNÉFICIAIRES DE LA CMU.C 1 Dans tous les cas : Le patient doit toujours fournir un justificatif à jour (attestation papier ou Carte Vitale) Le chirurgien-dentiste
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailPROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE
En ce qui concerne le calcul, les mâts bois sont comparables à tous les autres mâts acier ou aluminium. Conformément à la directive européenne de 1985 ils sont calculés et dimensionnés avec le même référentiel
Plus en détailPOINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique
POINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique GAYE F., MBAYE M., KANE A. W., DIAGNE A., DIOP-THIAW F., SARR M. 1 - INTRODUCTION La restauration
Plus en détailCAS CLINIQUES. Technologie
CAS CLINIQUES Technologie 1 APPLICATIONS CLINIQUES DE LA TECHNOLOGIE B.LED F.L.A.G. TM for B.LED est un liquide fluorescent révélateur de plaque dentaire. Utilisé en avec la lumière bleue de la pièce à
Plus en détailSe sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie.
Se sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie. Évitez-vous de sourire parce qu'il vous manque une ou plusieurs dents? À quand remonte la dernière fois où vous avez croqué
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détail