Etude portant sur «la pratique féminine en Aviron»

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1 Etude portant sur «la pratique féminine en Aviron» Diagnostic et analyse Fédération Française des Sociétés d Aviron Mai 2010 FFSA Référentiel d analyse et indicateurs page 1/133

2 Sommaire 1. Les objectifs et la méthodologie Objectifs Méthodologie Organisation des résultats Diagnostic par type de pratique de l aviron La pratique féminine en loisir Les caractéristiques des pratiquantes en loisir Les caractéristiques de la pratique en loisir Eléments d appréciation de la pratique en loisir La pratique féminine en compétition Les caractéristiques des compétitrices Les caractéristiques de la pratique en compétition Les éléments d appréciation de la compétition La pratique féminine en compétition de haut niveau Les caractéristiques des compétitrices de haut niveau Les caractéristiques de la compétition en haut niveau Les éléments d appréciation dans la pratique du haut niveau Approche comparative des pratiquantes Les profils des pratiquantes La famille : à la fois «exemple», «prescripteur» et «soutien» dans la pratique de la compétition L aviron : une pratique familiale La famille : premier prescripteur dans la découverte de l aviron La famille : premier soutien dans la pratique compétitive La problématique de l école Le sport par l école Le sport en compétition avec les études? La compétition : de la recherche de la performance individuelle à la dynamique de groupe Les motivations personnelles La dynamique de groupe comme nouveau réseau amical Les préférences en matière d embarcation ou l esprit d équipe La place des féminines dans l aviron Les conditions d accueil dans les clubs ou l «esprit de famille» Un manque de communication externe et interne Quelle place pour les féminines dans le haut niveau? Annexe : Synthèse des éléments recueillis auprès des jeunes femmes Annexe : Questionnaire Mouvens Mai 2010 page 2/133

3 1. Les objectifs et la méthodologie 1.1 Objectifs L objectif principal de cette étude est de cerner auprès des licenciées féminines de la FFSA l image, les motivations, les attentes, les freins, à la pratique compétitive et de l accès au haut niveau. La mission de cette étude est de constituer pour la FFSA un outil d aide à la décision dans le cadre de sa politique de développement de l aviron féminin. En s appuyant sur les données recueillies auprès des licenciées et sur les propositions formulées par les entraineurs et encadrants, l étude consiste en la réalisation de trois diagnostics en fonction du type de pratique des féminines : Les pratiquantes étant dans une logique loisir. Les pratiquantes déjà inscrites dans une logique compétitive. Les pratiquantes engagées dans la pratique de haut niveau. L étude présente plusieurs objectifs, traités de manière différenciés : Analyser les déterminants de la pratique chez les femmes. Repérer les freins à la pratique compétitive. Identifier les leviers d actions potentiels sur les licenciées. Identifier les pistes d adaptation de l offre de services des clubs au regard des attentes et des besoins des pratiquantes féminines. 1.2 Méthodologie Une enquête quantitative Trois diagnostics sont réalisés à partir des résultats issus d une enquête menée par questionnaire auprès des licenciées féminines. Les effectifs sondés concernent l ensemble des licences A minime, cadette, juniore et senior avec une limite d âge plafonnée à 35 ans, ainsi que les licences universitaires et découvertes. Au total 6436 licenciées féminines de moins de 35 ans ont été sollicitées par courrier pour répondre de manière anonyme au questionnaire, mis en ligne sur une plateforme Internet. Un délai de trois semaines a été donné pour le remplir. Une relance par mail a été faite par le cabinet Mouvens après 15 jours auprès de celles répertoriées dans la base de donnée fournit par la FFSA et qui n avaient pas répondu au questionnaire. Le questionnaire a été élaboré en relation avec le comité de pilotage de l étude, puis testé auprès de deux jeunes femmes licenciées. Ce test a donné lieu à plusieurs modifications, ajustements et finalisation avant d être définitivement validé. Mouvens Mai 2010 page 3/133

4 Les items traités dans chaque diagnostic sont les mêmes afin de permettre une analyse comparative. Ces items sont liés aux indicateurs utilisés pour la construction du questionnaire. Ils s attachent à : Analyser les déterminants de la pratique compétitive chez les femmes. Repérer les freins à la pratique compétitive. Analyser les déterminants de la pratique compétitive de haut niveau chez les femmes. Repérer les freins à la pratique compétitive de haut niveau. Un référentiel d analyse a été validé avec le comité de pilotage de la FFSA. Il comprend : Les thèmes généraux et les indicateurs pertinents : Caractéristiques sociodémographiques : Age ; statut ; situation familiale. Localisation du lieu de résidence par rapport au lieu de pratique. Pratique de l aviron par l entourage. Eléments factuels liés à la pratique : Type de licence ; année de la 1ère licence FFSA. Nom du club et ancienneté. Type de pratique (et niveau de compétition actuel ou antérieur). Circonstances et raisons de l entrée dans la pratique. Ce qui plaît et déplaît dans la pratique actuelle. Difficultés rencontrées (endogènes et exogènes). Rapport à la compétition : Facteurs déclencheurs de la pratique. Facteurs d adhésion. Point de vue sur les objectifs sportifs ou la politique sportive. Soutien apporté par l entourage familial. Projection dans la compétition ou dans celles de haut niveau. Perception des féminines dans l'aviron. Suggestions pour donner envie aux féminines de pratiquer la compétition. Une enquête qualitative Menée auprès des licenciées compétitrices. Deux groupes de travail ont été organisés en février avec des pratiquantes féminines : Un groupe de 8 compétitrices adolescents (âgées de 14 à 17 ans), qui s est réuni à Soustons lors du stage de l équipe de France junior A (+Jeunes talents). Un groupe de 5 athlètes de haut niveau, qui s est réuni à Temple sur Lot lors du stage de l équipe de France B. Chaque groupe, animé par une consultante, s est réunit pendant environ 3 heures. Les compétitrices ont été invitées à échanger sur plusieurs thèmes : Mouvens Mai 2010 page 4/133

5 La perception de l aviron : Les mots qui caractérisent ou qualifient l aviron. Ce qui distingue l aviron des autres sports. Les valeurs associées. Ce qui plaît (préférences et motivations) dans la pratique de la compétition et liés aux embarcations, entrainements, compétitions, lieu de pratique ou d entrainement, etc. Ce qui déplaît dans la pratique de la compétition et liés aux embarcations, entrainements, compétitions, lieu de pratique ou d entrainement, etc. Les difficultés rencontrées dans la compétition. Le positionnement et le soutien de l entourage (famille, amis, conjoint, etc.). L information sur les objectifs et la politique sportive. Les principaux freins dans l accès au haut niveau. Les suggestions pour donner envie aux filles de pratiquer la compétition et le haut niveau. Les discussions ont été enregistrées avec l accord des participantes. Les synthèses des deux groupes figurent en annexe du présent rapport. Quatre autres groupes de discussion ont été organisés avec les entraineurs et cadres techniques au cours du mois de mars et avril. Un groupe d étudiants en formation DES Aviron à l occasion d un cours magistral à Macon. Un groupe d entraîneurs, étudiants en formation DE Aviron à l occasion d un cours magistral au CREPS de Vichy. Un groupe d entraîneurs à Vichy. Un groupe d entraineurs nationaux et cadres techniques lors de la journée DTN organisée à la Fédération à Boulogne-Billancourt. Les encadrants, auxquels ont été présentés les principaux résultats de l enquête quantitative, ont été invités à répondre à deux questions majeures en y associant une proposition concrète d action : Comment fidéliser les féminines dans leur pratique? Comment favoriser le passage d une pratique à l autre? Les propositions formulées par les entraineurs, et les cadres techniques figurent dans le rapport de synthèse de l enquête qualitative. Mouvens Mai 2010 page 5/133

6 1.3 Organisation des résultats Au total, 784 jeunes filles et femmes ont répondu au questionnaire, soit un taux de réponse de 12,2%. Parmi elles : 357 pratiquent l aviron dans le cadre de leurs loisirs. 368 font de la compétition. 59 sont des compétitrices en haut niveau (inscrites sur une liste, dont 23 inscrites en «Espoir»). Part des répondantes selon leur type de pratique de l'aviron compétition en haut niveau 7,5% compétition 46,9% loisir 45,5% L analyse des données recueillies par questionnaire qui figure ci-après est organisée comme suite : Partie 2 : diagnostic par type de pratique : La pratique féminine en loisir. La pratique féminine en compétition. La pratique féminine en compétition en haut niveau. Partie 3 : analyse comparative par type de pratique : Les profils des pratiquantes. La famille : à la fois «exemple», «prescripteur» et «soutien» dans la pratique de la compétition. La problématique de l école. La compétition : de la recherche de la performance individuelle à la dynamique de groupe. La place des féminines dans l aviron. Mouvens Mai 2010 page 6/133

7 2. Diagnostic par type de pratique de l aviron 2.1 La pratique féminine en loisir Les féminines pratiquant l aviron en loisir et qui ont répondu au questionnaire sont au nombre de 357. Elles représentent 45,5% des répondantes en questionnaire, soit un peu moins de la moitié de l échantillon total obtenu. Cependant, il est à noter que : 61 autres déclarent avoir pratiqué en compétition ou participé au championnat en 2008/2009 mais indiquent par ailleurs n avoir participé à aucune des compétitions proposées. Ces jeunes filles se perçoivent donc comme des «compétitrices», toutefois dans le cadre de cette étude elles sont considérées comme des pratiquantes en loisir. Leurs caractéristiques sociodémographiques sont donc prises en compte dans ce diagnostic. Parmi les répondantes au questionnaire, les féminines qui pratiquent l aviron pendant leurs loisirs sont : Très majoritairement des «seniors», pour plus de 68% d entre elles. Des minimes, pour environ 12%. Des cadettes et juniores, pour moins de 10%. Et des benjamines, pour moins de 4%. Répartition des pratiquantes en loisir par catégorie Juniore 7,6% Cadette 8,4% Benjamine 3,9% Minime 12,0% Senior 68,1% Mouvens Mai 2010 page 7/133

8 2.1.1 Les caractéristiques des pratiquantes en loisir Les féminines en loisir qui ont répondu au questionnaire ont en moyenne 25 ans (fêtés en 2010). La tranche d âge entre 30 et 35 ans regroupe à elle seule plus de 37% de l ensemble des pratiquantes en loisir. Deux répondantes ont plus de 35 ans et la plus jeune, 13 ans. Les deux répondantes de plus de 35 ans ont été prises en compte dans le diagnostic dans la mesure où leurs réponses n avaient pas un poids déterminant dans les tendances observées. 40% Répartition des pratiquantes en loisir par tranche d'âge 37,3% 35% 30% 25% 20% 20,1% 16,7% 15% 10% 12,0% 12,8% 5% 0% 0,6% Plus de 35 ans Entre 35 et 30 ansentre 29 et 25 ans Entre 24 et 20 ans Entre 19 et 15 ans Moins de 15 ans Compte tenu des âges diversifiés, et notamment de leur forte proportion dans la tranche d âge ans, plus de la moitié des jeunes filles interrogées sont actuellement en emploi. Celles qui sont en scolarité représentent toutefois près de 40% des pratiquantes en loisir interrogées (soit 140 jeunes filles). A la recherche d'un emploi 4,2% Statut des pratiquantes en loisir Emploi à temps plein 52,1% En scolarité 39,2% Emploi à temps partiel 3,9% Femme au foyer 0,6% Mouvens Mai 2010 page 8/133

9 Les jeunes filles encore scolarisées le sont principalement au collège et en enseignement supérieur. Les lycéennes sont également bien représentées dans la mesure où elles constituent environ 25% des pratiquantes en loisir scolarisées ayant répondu au questionnaire (soit environ 11% de l échantillon total). Niveau de scolarité des pratiquantes en loisir Enseignement supérieur (dont formation technique et professionnelle) 35,2% Collège (dont formation technique) 39,5% Lycée (dont formation technique) 25,3% Les jeunes filles et jeunes femmes, répondantes au questionnaire, et qui font de l aviron dans le cadre de loisir sont majoritairement célibataires pour environ 67% d entre elles. Les autres sont mariées, pacsées ou vivent en concubinage. Près de 11% d entre elles ont la charge d au moins un enfant. Majoritairement célibataires, elles vivent également le plus souvent en dehors du foyer parental. Lieu de vie des pratiquantes en loisir Vit chez ses parents 35,6% Ne vit pas chez ses parents 64,4% Mouvens Mai 2010 page 9/133

10 Leur lieu d habitation se situe le plus souvent à moins de 10 kilomètres de leur lieu de pratique. Elles sont toutefois environ 15% à faire plus de 20 kilomètres pour se rendre sur un plan d eau, soit quinze seniors, une minime et une cadette. Localisation du lieu de vie par rapport au lieu d'entrainement 70% 64,7% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 19,6% 10,9% 4,8% 0% A moins de 10 kms Entre 10 et 20 kms Entre 20 et 30 kms A plus de 30 kms La pratique de l aviron par au moins une personne de l entourage proche est fréquente. En effet, plus de la moitié des jeunes femmes qui font de l aviron dans le cadre de leurs loisirs déclarent qu au moins une personne de leur entourage fait (ou a fait par le passé) également le même sport qu elles. La proportion est encore plus élevée chez les plus jeunes pratiquantes, atteignant respectivement 63% chez les minimes et 80% chez les cadettes interrogées. Pratique actuelle ou ancienne de l'aviron par au moins une personne de l'entourage proche Non 46,5% Oui 53,5% Mouvens Mai 2010 page 10/133

11 Comme le montre le graphique ci-dessous 1, l entourage proche qui pratique également l aviron est très varié. Il s agit principalement : D un membre de la famille : frère et/ou sœur, cousin(es), grand(s)-parent(s), ou d un des parents (père et/ou mère). D un(e) ami(e). Ou encore du conjoint (mari ou petit ami). Les seniors citent ainsi toutes sortes de proches (famille, ami(es), conjoint). Les plus jeunes (minimes et cadettes) évoquent généralement un de leur parent (père ou mère). Type(s) de personnes qui pratiquent également l'aviron dans l'entourage proche Frère(s), sœur(s), cousin(es), grand(s) -parent(s) 37,5% Un (vos) parent(s) (père et/ou mère) 34,9% Votre (vos) ami(es) 31,3% Votre mari, conjoint ou petit ami 21,9% Votre (vos) enfant(s) 0,5% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% La pratique de la discipline par un membre de l entourage se fait là également le plus souvent dans le cadre des loisirs. Toutefois, plus d un tiers des personnes citées sont également engagées dans une pratique compétitive, voire dans le haut niveau (notamment lorsqu il s agit du conjoint des seniors). 1 Les pourcentages ont été calculés à partir des réponses données par les jeunes filles qui déclarent qu un membre de leur entourage proche pratique également l aviron. La somme des totaux est supérieure à 100% puisque plusieurs personnes ont pu être citées par une même jeune fille. On lira «35% des féminines en loisir qui déclarent qu une personne de leur entourage pratique également l aviron citent leur père et/ou leur mère». Mouvens Mai 2010 page 11/133

12 Type de pratique de l'aviron par une (ou des) personne(s) de l'entourage 100% 90% 9,7% 6,0% 10,0% 9,5% 0,0% 80% 70% 34,7% 29,9% 38,3% 23,8% 60% 50% 40% 30% 20% 55,6% 64,2% 51,7% 66,7% 100,0% En compétition de haut niveau En compétition En loisir 10% 0% Votre (vos) frère(s) ou sœur(s) Un (vos) parent(s) Votre (vos) ami(es) Votre mari, conjoint ou petit ami 0,0% Votre (vos) enfants Mouvens Mai 2010 page 12/133

13 2.1.2 Les caractéristiques de la pratique en loisir Le(s) parcours des pratiquantes en loisir Le passé sportif des pratiquantes en loisir Environ 30% des pratiquantes de l aviron en loisir déclarent avoir été inscrites en section sportive dans le cadre scolaire. Le passage au lycée s est accompagné d un abandon de la pratique sportive au sein des établissements scolaires pour la moitié d entre elles puisqu elles ne sont plus que 34% à déclarer avoir été inscrites en section sportive au lycée alors qu elles étaient 65% à y être inscrites au collège. Type d'inscription en section sportive dans le cadre scolaire 70% 65,1% 60% 50% 40% 30% 20% 34,0% 32,1% 10% 0% Oui, au collège Oui, au lycée Oui, à l'université L ancienneté de la licence Les jeunes filles et jeunes femmes qui font de l aviron pendant leurs loisirs sont principalement des jeunes licenciées. En effet, environ 40% d entre elles ont pris leur première licence au cours de l année 2009/2010, soit 147 jeunes filles. L année moyenne de la première licence d aviron en loisir se situe en Année de la première licence d'aviron 45% 40% 41,2% 35% 30% 25% 20% 20,2% 15% 10% 5% 9,5% 3,9% 6,4% 7,8% 10,9% 0% Avant 1999 [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ 2009 et plus Mouvens Mai 2010 page 13/133

14 Les circonstances de l entrée dans la pratique Comme l indique le graphique ci-dessous l entourage est souvent à l origine de la pratique de l aviron en loisir 2. En effet, environ 28% des féminines interrogées déclarent que c est une personne de leur famille qui leur a donné envie de pratiquer l aviron. L entourage amical est également cité par environ 25% des jeunes filles, et plus encore par les nouvelles licenciées (pour qui le pourcentage atteint près de 31%). L école arrivant en 4ème position des prescripteurs cités par les jeunes filles interrogées. Elles évoquent également dans la catégorie «autre», leur désir personnel de pratiquer la discipline, et en particulier après avoir vu (le terme «voir» et à plusieurs reprises employées) des avirons et rameurs sur l eau. Principaux prescripteurs de la pratique de l'aviron en loisir Une personne de votre famille 28,3% Autre 25,8% Un (ou des) ami(es) 25,2% L'école (primaire, collège, lycée, université, etc.) 15,4% Les médias (journaux, magazines, télévision, etc.) 12,9% Un encadrant sportif (initiateur, éducateur, entraineur) 8,6% Un médecin, kinésithérapeute 4,8% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% La première pratique de l aviron s est souvent faite lors de journées portes ouvertes ou à l occasion d une animation club pour près d un tiers des jeunes filles interrogées (et plus de 38% des nouvelles licenciées). Ce résultat montre donc l importance des journées de découverte proposées par les clubs pour les pratiquantes loisirs. Les jeunes filles citent également la découverte lors d initiations, de différents stages d été, ou d activités organisées par des centres aérés, de centres sociaux ou à l occasion de leur première inscription dans le club. La découverte de l aviron lors d un cours de sport dans le contexte scolaire apparaît plus rare, même si plusieurs jeunes filles évoquent une première pratique dans le cadre d un cours de sport au collège. Ainsi comme le montre le graphique ci-dessous, elles sont 2 Les pourcentages ont été calculés à partir du nombre de répondantes, soit 357, et non à partir du nombre de réponses citées. On lira «28% des jeunes filles qui pratiquent l aviron dans le cadre de leur loisir déclarent que c est une personne de leur famille qui leur a donné envie de pratiquer ce sport». Elles sont donc 101 parmi 357 répondantes. Mouvens Mai 2010 page 14/133

15 seulement 15% à citer le contexte scolaire comme première occasion de pratiquer l aviron, et plus particulièrement lorsqu elles sont les plus jeunes (benjamines et minimes). Occasion de la pratique de l'aviron pour la première fois Lors d'un cours de sport (ou d'une option) au lycée 2,2% Lors de journées portes ouvertes ou d'une animation club 33,6% Lors d'un cours de sport (ou d'une option) à l'université Lors d'un cours de sport en 7,3% primaire 3,9% Lors d'un cours de sport (ou d'une option) au collège 4,5% Un peu par hasard pendant vos loisirs 13,7% Autre 34,7% Les raisons d entrée dans la pratique Les raisons d entrée dans la pratique de l aviron en loisir sont étroitement liées avec les prescripteurs et/ou l occasion de la première fois. En effet, les jeunes filles interrogées évoquent très souvent des raisons liées à : La pratique par un membre de la famille (frères ou sœurs, père ou mère), ou de l entourage proche (ami(es), petit ami, conjoint, etc.). Une «découverte» lors d une initiation, parfois faite un peu par hasard (lors d un cours de sport, d un séjour linguistique en Angleterre, de portes ouvertes dans un club, etc.). Le souhait de changer de sport (pour différentes raisons et notamment par l arrêt forcé d un autre sport). Elles citent également des raisons d entrée dans la pratique liées aux caractéristiques de la discipline, et notamment leur goût pour : Un sport d eau, «nautique» ou «aquatique», pratique sur lac, rivière et/ou en mer (et parfois sans se mouiller), parfois apprécié pour «le silence de l eau». Un sport «de nature», de «plein air», pratiqué à l extérieur, «en contact avec le milieu naturel», et le plus souvent pratiqué dans un cadre agréable, voire «magnifique». Un sport collectif, «d équipe», «où il est possible de rencontrer des personnes», un sport «convivial», d «entraide». L ambiance apparaît alors comme un élément déterminant. Un sport «complet qui modifie la silhouette», bon pour «le dis, la ceinture et les cuises», «d endurance», qui permet d «entretenir son corps», «qui muscle toutes les parties du corps», ou de «remise en forme» et qui n est pas brutal, «non traumatisant», apprécié car il «fait travailler en douceur». Mouvens Mai 2010 page 15/133

16 Un sport qui peut se pratiquer seule, «en solo» mais également «à plusieurs», et notamment avec des ami(es). Certaines d entre elles, évoquent également : Un sport «esthétique visuellement», qui plaît «dans les gestes», et «très élégant». Ces jeunes filles évoquent la «beauté du sport», notamment dans sa gestuelle, et pour «la glisse sur l eau». Un sport qui nécessite «rigueur», «technique», «travail physique», et de «coordination» ou de «symétrie». Les jeunes filles parlent souvent d une véritable «découverte», de séduction, d un sport «passionnant», qui procure rapidement des sensations, et notamment «cette sensation de liberté sur l eau». La pratique antérieure de la compétition Près de 25% des féminines qui pratiquent actuellement l aviron dans le cadre de leurs loisirs déclarent avoir fait de la compétition dans le passé. Il s agit principalement de seniors, qui après avoir fait de la compétition, continuent l aviron dans le cadre de leurs loisirs. Elles sont donc près des trois quart à n avoir jamais pratiqué l aviron en compétition. Pratique antérieure en compétition Oui 24,8% Non 75,2% La pratique antérieure de la compétition s est faite dans le cadre d une participation à divers compétitions et championnats, et plus particulièrement à : Un championnat de France FFSA. Une compétition régionale, inter régionale. Différentes régates. Ou compétitions à l étranger. Mouvens Mai 2010 page 16/133

17 Niveau de compétition le plus haut ayant été atteint Championnat de France FFSA 31,1% Championnat d'académie UNSS, FFSU 2,2% Championnat de France UNSS, FFSU 5,6% Coupe de France des ligues 6,7% Championnat de Zone FFSA qualificatif pour les championnats de France 6,7% Compétition régionale, inter régionale 17,8% Autre compétition 30,0% Les jeunes filles qui ont pratiqué l aviron en compétition mais qui sont maintenant dans une logique de loisir expliquent dans leur très grande majorité que l arrêt de la pratique compétitive est : Principalement dû à leur entrée dans les études, et plus spécialement dans les études supérieures. Une jeune femme explique ainsi qu il lui était difficile «d être fidèle aux exigences de l aviron en compétition» en plus de ses études. De même certaines féminines expliquent que l investissement dans la compétition était «trop important et contraignant» en plus de leur entrée dans la vie active et de leur vie de famille. C est donc la question du temps qui est évoqué par la majorité de ces jeunes femmes : un manque de temps pour les entrainements et pour les compétitions, jugés «trop chronophage» ou «trop prenant» ; un manque de temps qui «démotive» progressivement à poursuivre l aviron en compétition. Plus ponctuellement d autres jeunes femmes citent également : Le manque de coéquipières qui ne permet pas de s entrainer régulièrement. Des problèmes de santé qui ont mis fin à leur pratique de la compétition. L absence d encadrement, dit «adapté», dans les clubs qui ne permettrait pas le suivi et la motivation nécessaires à la pratique compétitive. Mouvens Mai 2010 page 17/133

18 Les pratiques actuelles des féminines en loisir Les féminines inscrites en loisir ont dans leur très grande majorité une licence annuelle club. Très peu d entre elles sont inscrites en découverte, et encore moins dans le contexte université ; il s agit uniquement des aînées, inscrites en senior. Type de licence des pratiquantes loisir Universitaire 1,7% Découverte 3,1% Annuelle club 95,2% L aviron en loisir se pratique très majoritairement en rivière, et plus occasionnellement en mer (soit pour 14,5% des jeunes filles inscrites en loisir et qui ont répondu à la question et en majorité par des seniors). Ponctuellement, certaines d entre elles pratiquent ce sport sur des rivières mais également en mer. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Type(s) de pratique 92,6% 14,5% Mer Rivière La grande majorité des jeunes filles et jeunes femmes qui pratiquent l aviron en loisir précisent par ailleurs en faire en groupe (souvent à quatre mais également à deux et à huit), et le plus souvent en couple. L aviron en loisir se pratique donc principalement à plusieurs. Cependant certaines jeunes filles utilisent (exclusivement ou également) les embarcations individuelles, les préférant parfois largement aux bateaux collectifs. Les embarcations individuelles sont davantage utilisées par les plus jeunes filles interrogées (et notamment les cadettes et minimes), et moins fréquemment par les seniors qui déclarent plus souvent ramer sur le quatre en couple. Mouvens Mai 2010 page 18/133

19 Type(s) d'embarcation utilisé(s) A quatre en couple 61,1% A deux en couple 39,2% Individuel 25,5% A huit en couple 9,8% A quatre en pointe 9,2% A huit en pointe 6,2% A deux en pointe 2,8% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% Ainsi, et presque logiquement, les féminines rament sur leur(s) bateau(x) préféré(s). Il apparaît toutefois que le quatre en pointe est sensiblement préféré aux embarcations individuelles alors que les jeunes filles les utilisent moins souvent (sauf pour les nouvelles licenciées qui sont autant à déclarer l utiliser qu à le préférer : leur pourcentage atteint environ 15%). Type(s) d'embarcation préféré(s) A quatre en couple 36,7% A deux en couple 21,0% A quatre en pointe 11,2% Individuel 10,6% A huit en couple 8,7% A huit en pointe 8,4% A deux en pointe 3,4% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% Les jeunes filles qui déclarent préférer le quatre en couple, citent par ordre de priorité, les éléments qu elles apprécient tout particulièrement. L embarcation est plébiscitée parce qu elle : Favorise l esprit d équipe, la cohésion, l entraide et le lien entre les coéquipières. Nécessite de trouver une complémentarité : allier convivialité et répondre au défi de trouver la bonne coordination et synchronisation Mouvens Mai 2010 page 19/133

20 («s accorder pour trouver un rythme»). L embarcation permet donc de «trouver un bon compromis entre plaisir et technique». Permet par la présence du barreur de se concentrer sur sa rame. Donne la possibilité de «faire un sport qui paraît individuel à plusieurs». Donne le sentiment de rythme, de puissance, de force et de vitesse. Quelques différences apparaissent en fonction de l âge des pratiquantes : Les seniors déclarent leur préférence pour le quatre en couple, et davantage encore que les autres jeunes filles interrogées. Les réponses formulées par les juniores, les minimes et les benjamines sont à l image des tendances ci-dessus décrites (préférence pour le quatre et le deux en couple, puis les embarcations individuelles un peu plus souvent citées que par les seniors). Les cadettes se distinguent en affirmant pour près d un tiers d entre elles préférer les embarcations individuelles Eléments d appréciation de la pratique en loisir Les préférences dans la pratique de l aviron en loisir 3 Les féminines qui pratiquent l aviron dans le cadre de leurs loisirs déclarent dans leur très grande majorité apprécier l aviron pour les caractéristiques qu elles associent à ce sport. Leurs préférences relèvent ainsi de la pratique : D un sport complet, qui associe force, endurance, souplesse et résistance. D un sport de nature, certaines donnant quelques précisions en évoquant «la proximité de l eau», la pratique en «extérieur», la découverte des «côtes ou des rivières ( ) en toute saison», ou en parlant même d un «esprit nature». Elles se positionnent aussi pour plus de la moitié d entre elles favorablement vis-à-vis : Des sensations de glisse. De l ambiance au sein du club. De la dimension collective. Et de la dynamique de groupe, à laquelle une jeune femme associe également le terme d «amitié». Ces préférences sont identiques quelle que soit l ancienneté de la licence, les plus jeunes d entre elles appréciant toutefois sensiblement plus que les autres l ambiance au sein de leur club. 3 Les pourcentages ont été calculés à partir des réponses citées par les jeunes filles, et plus particulièrement quand elles ont indiqué leurs préférences par ordre d importance comme cela leur avait été indiqué. L effectif total des répondantes est donc de 333. Mouvens Mai 2010 page 20/133

21 Les préférences dans la pratique de l'aviron en loisir La pratique d'un sport complet (force, endurance, souplesse, résistance) 93,3% La pratique d'un sport de nature 85,3% Les sensations de glisse 72,7% L'ambiance au sein du club 70,6% La dimension collective 60,7% La dynamique de groupe 58,5% Le goût pour l'effort 51,7% Le dépassement de soi 50,1% La recherche de la performance 39,3% Autre 2,7% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Mouvens Mai 2010 page 21/133

22 Les éléments majeurs de la satisfaction dans les lieux de pratique Les jeunes filles et jeunes femmes qui pratiquent l aviron en loisir se disent satisfaites des conditions de pratique dans leur club, et ce qu il s agisse des conditions matérielles et humaines. La satisfaction est particulièrement importante en ce qui concerne : Les conditions d'accueil Très satisfaite ,6% Assez satisfaite 89 27,2% Pas satisfaite 4 1,2% Total ,0% Leurs relations avec l'équipe d'encadrement Très satisfaite ,0% Assez satisfaite ,6% Pas satisfaite 11 3,4% Total ,0% L'ambiance générale Très satisfaite ,3% Assez satisfaite ,7% Pas satisfaite 13 4,0% Total ,0% Cette satisfaction assez générale sur les conditions d accueil et l ambiance générale dans les lieux de pratique est d autant plus affirmée par les plus jeunes (benjamines, minimes et cadettes) et les nouvelles licenciées. Les juniores, mais plus encore les seniors déclarent quant à elles en être majoritairement «très satisfaites» mais également pour environ 30% d entre elles assez satisfaites, voire tout à fait insatisfaites. En conséquence on peut donc dire que cette satisfaction assez générale est à nuancer en fonction de l âge des répondantes, déclinant de manière significative quant les jeunes femmes avancent en âge. Les répondantes se déclarent également satisfaites de l équipement sportif et de la diffusion des informations, même si elles sont moins nombreuses à se dire «très satisfaites». L'équipement sportif d'aviron (bateaux, avirons, etc.) Très satisfaite ,6% Assez satisfaite ,2% Pas satisfaite 14 4,3% Total ,0% Cette satisfaction est d autant plus importante parmi les nouvelles licenciées (qui se disent très satisfaites pour les trois quart d entre elles) ; toutefois elle décline de manière assez significative avec l âge. C est en effet près des trois Mouvens Mai 2010 page 22/133

23 quart des benjamines et minimes qui se disent «très satisfaites» des équipements ; alors qu elles ne sont que 45% à en dire autant parmi les seniors. La diffusion des informations Très satisfaite ,7% Assez satisfaite ,2% Pas satisfaite 23 7,0% Total ,0% La satisfaction est plus globalement exprimée par les pratiquantes les plus jeunes et par les nouvelles licenciées. A l inverse, plus de la moitié des répondantes (52%) seniors se disent «assez satisfaites», voire insatisfaites pour 8% d entre elles. Les jeunes femmes interrogées se positionnent également favorablement visà-vis de l équipe d encadrement et des autres équipements de la structure, même si certaines d entre elles semblent plus mitigées sur leur satisfaction en ce qui concerne : Le suivi et les encouragements de leur(s) entraineur(s) Très satisfaite ,4% Assez satisfaite ,0% Pas satisfaite 57 17,6% Total ,0% Ce sont les cadettes qui se disent les plus contentes du suivi et des encouragements prodigués par leurs entraineurs : le pourcentage de très grande satisfaction s élevant même à 73% parmi cette catégorie. Il atteint également près de 57% pour les nouvelles licenciées. A l inverse les seniors se positionnent beaucoup plus défavorablement à l égard de ce suivi : elles sont en effet environ de 38% à déclarer en être «très satisfaites», 40% à dire que ce suivi les satisfait assez mais également plus de 20% à s en déclarer insatisfaites. L'équipement de la structure (accès, vestiaires, etc.) Très satisfaite ,4% Assez satisfaite ,8% Pas satisfaite 52 15,9% Total ,0% Cet équipement plaît en particulier aux benjamines et aux nouvelles licenciées. Les autres se révèlent plus nuancées dans leurs réponses, au point que 63% des cadettes et 50% des juniores ne se déclarent que «assez satisfaites». L'équipement sportif de la structure (salle ergo, de musculation, de préparation physique généralisée, tank à ramer, coin vidéo, etc.) Mouvens Mai 2010 page 23/133

24 Très satisfaite ,5% Assez satisfaite ,5% Pas satisfaite 59 18,0% Total ,0% Les équipements sportifs des structures ne suscitent pas vraiment d enthousiasme parmi les répondantes ; à l image des juniores qui se disent à 58% «assez satisfaites», et sans doute plus encore à l image des seniors qui déclarent également à 55% être «assez satisfaites», mais par ailleurs à 21% «insatisfaites» des équipements qui leur sont proposés. Les projets initiés en direction des féminines (en club) Très satisfaite 93 31,1% Assez satisfaite ,2% Pas satisfaite 59 19,7% Total ,0% Là encore les projets initiés en direction des féminines sont d autant plus appréciés par les nouvelles licenciées, ainsi que par les benjamines, minimes, et les cadettes. Les juniores et les seniors expriment quant à elles et plus que les précédentes leur insatisfaction. Les freins à la pratique de l aviron Ce qui déplaît dans la pratique de l aviron en loisir Les jeunes filles ont également pu s exprimer sur ce qu elles apprécient le moins dans la pratique de l aviron. Les réponses sont très diversifiées, se cumulant parfois. Elles citent le plus souvent des éléments relatifs : Aux conditions météorologiques et environnementales (froid, pluie, gel, ou au contraire «coups de soleil», crue des rivières, etc.). A leur manque de technique et de coordination. Aux petites blessures (ampoules, mal de dos pour certaines, etc.). Aux types d entrainement qui entourent celle de l aviron (l ergomètre en particulier). Ces jeunes femmes évoquent également des éléments relatifs aux clubs et aux équipements : Un manque de soutien, de conseils ou de considération des pratiquantes en loisir au sein des clubs (absence de motivation ou au contraire forte pression, négation des pratiquantes en loisir, perception de clubs jugés «élitistes», etc.). Le temps consacré à la préparation et à la manutention du matériel (porter les bateaux, les sortir de l eau, ou encore les laver). Le manque de bateaux disponibles (manque de choix). Ou encore des éléments relatifs aux pratiquantes elles-mêmes: Le faible effectif des rameuses. Mouvens Mai 2010 page 24/133

25 Les relations entre pratiquantes (rivalités, manque d esprit d équipe, esprit de compétition peu apprécié par certaines ou au contraire manque de motivation pour d autres, mauvaises relations entre les compétitrices et les pratiquantes en loisir). Les difficultés rencontrées Les féminines en loisir déclarent très majoritairement rencontrer des difficultés dans la pratique de l aviron. Ces difficultés sont toutefois le plus souvent occasionnelles. Cette graduation quant aux difficultés rencontrées ne se modifie pas en fonction de l âge : elles sont en effet pratiquement tout autant à déclarer rencontrer «souvent» ou «parfois» des difficultés. Les jeunes filles ayant pris leur licence en 2009 ou 2010 sont proportionnellement plus nombreuses à déclarer avoir des difficultés dans leur pratique (moins de 18% affirmant ne jamais en rencontrer). Difficulté(s) dans la pratique de l'aviron en loisir Non, jamais 24,0% Oui, souvent 5,3% Oui, parfois 70,7% Comme le montre le graphique qui suit, les principales difficultés évoquées par les pratiquantes en loisir sont : Un manque de temps lié à la vie personnelle. Un manque de technique. Un manque de motivation liée aux conditions météorologiques. Des limites liées aux capacités physiques. Les nouvelles licenciées, tout comme les pratiquantes les plus âgées, citent plus souvent que les autres et en priorité leur manque de technique. A l inverse les plus jeunes d entre elles évoquent en priorité un manque de temps. Mouvens Mai 2010 page 25/133

26 Les principes difficultés rencontrées dans la pratique de l'aviron en loisir Un manque de temps lié à votre vie personnelle 61,2% Un manque de technique Un manque de motivation lié aux conditions météorologiques 48,9% 52,8% Des limites liées à vos capacités physiques 32,6% Le coût élevé de l'inscription L'éloignement géographique entre votre domicile et votre club 25,7% 25,1% Une faible dynamique de groupe Des difficultés liées à votre club 13,3% 16,0% Autre Vos relations avec les licenciés masculins Un manque de soutien de la part de votre entourage proche 9,1% 8,1% 7,8% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% Mouvens Mai 2010 page 26/133

27 La perception des féminines sur la pratique de l aviron La pratique de l aviron en loisir est bien évidemment largement appréciée par les répondantes (moins nombreuses à se positionner sur les éléments relatifs à la perception de la discipline). Les jugements sur la pratique sont en effet très positifs : Est sympa Tout à fait d'accord ,2% Assez d'accord 91 33,0% Pas d'accord 10 3,6% Ne sait pas 31 11,2% Total ,0% Est trop rigoureux Tout à fait d'accord 23 8,4% Assez d'accord 82 29,9% Pas d'accord ,8% Ne sait pas 49 17,9% Total ,0% Comme l indiquent les pourcentages ci-dessus, le caractère rigoureux de la pratique est peu évoqué, sinon par les plus jeunes pratiquantes. Les positionnements des jeunes filles indiquent également les valeurs qu elles associent le plus à la discipline. Elles affirment ainsi très majoritairement que l aviron : Favorise une dynamique de groupe (au sein de l'équipe ou du club) Tout à fait d'accord ,0% Assez d'accord 98 35,4% Pas d'accord 16 5,8% Ne sait pas 19 6,9% Total ,0% La dynamique de groupe évoquée par les jeunes filles, et de manière très significative par les jeunes minimes et cadettes, renvoie très largement à une des préférences citée dans la pratique de la discipline. Incite à un dépassement de soi Tout à fait d'accord ,7% Assez d'accord ,9% Pas d'accord 18 6,5% Ne sait pas 16 5,% Total ,0% Mouvens Mai 2010 page 27/133

28 Il est intéressant de noter que même si les jeunes filles pratiquent l aviron dans le cadre de leurs loisirs, elles expriment le sentiment que cette pratique sportive : Nécessite d'avoir beaucoup de temps libre Tout à fait d'accord ,1% Assez d'accord ,3% Pas d'accord 36 12,9% Ne sait pas 10 3,6% Total ,0% Est difficilement compatible avec la vie personnelle (familiale, professionnelle, scolarité) Tout à fait d'accord 54 19,4% Assez d'accord ,8% Pas d'accord 91 32,7% Ne sait pas 25 9,0% Total ,0% Une incompatibilité qui apparaît de manière plus importante chez les juniores, qui se disent «tout à fait d accord» avec cette proposition à 29% et «assez d accord» pour plus de la moitié d entre elles. Les nouvelles licenciées sont quant à elles plus réservées sur leur réponse, affirmant plus que les autres ne pas savoir ce qu il en est. Permet de sculpter son corps de façon harmonieuse Tout à fait d'accord 98 35,5% Assez d'accord ,1% Pas d'accord 27 9,8% Ne sait pas 32 11,6% Total ,0% Il semble que ce soit les plus jeunes filles (cadettes, minimes et juniores) qui soient les plus persuadées que la pratique de l aviron permette de sculpter son corps de façon harmonieuse. Est contradictoire avec les standards de la féminité Tout à fait d'accord 10 3,6% Assez d'accord 24 8,6% Pas d'accord ,3% Ne sait pas 32 11,5% Total ,0% Cependant ce sont les seniors qui paraissent les plus convaincues que l aviron n est pas contradictoire avec les standards de la féminité ; les plus jeunes mais également les nouvelles licenciées révélant plus que les autres leur difficulté à se positionner à cet égard. Mouvens Mai 2010 page 28/133

29 De la même manière, et quel que soit leur âge, plusieurs d entre elles ont quelques difficultés à se positionner vis-à-vis d affirmations qui relèvent de la pratique compétitive. Elles sont ainsi plus nuancées quant au fait que la pratique de l aviron : Implique que les féminines soient davantage soutenues par leur club Tout à fait d'accord 57 20,6% Assez d'accord ,1% Pas d'accord 55 19,9% Ne sait pas 65 23,5% Total ,0% Implique que les féminines soient davantage soutenues par la ligue Tout à fait d'accord 56 20,4% Assez d'accord 91 33,1% Pas d'accord 47 17,1% Ne sait pas 81 29,5% Total ,0% Nécessite un matériel mieux adapté Tout à fait d'accord 37 13,4% Assez d'accord 98 35,4% Pas d'accord 85 30,7% Ne sait pas 57 20,6% Total ,0% Permet aux féminines de s'affirmer comme des compétitrices Tout à fait d'accord ,8% Assez d'accord ,3% Pas d'accord 24 8,7% Ne sait pas 39 14,2% Total ,0% Ce sont les plus jeunes filles (minimes et cadettes) qui estiment que la pratique de l aviron permet aux féminines de s affirmer comme des compétitrices. Les juniores mais davantage encore les seniors semblent plus sceptiques à l égard de cette affirmation. Nécessité d'être soutenue par son entourage proche Tout à fait d'accord 69 24,9% Assez d'accord ,9% Pas d'accord 77 27,8% Ne sait pas 26 9,4% Total ,0% Le soutien de l entourage proche apparaît plus important pour les cadettes ; les juniores sont quant à elles assez partagées entre celles qui affirment que Mouvens Mai 2010 page 29/133

30 ce soutien est nécessaire et les autres qui déclarent qu il n est pas nécessaire à la pratique. Le projet de pratiquer l aviron en compétition Les jeunes femmes qui pratiquent l aviron dans le cadre de leurs loisirs se répartissent quasiment pour moitié, entre celles qui envisagent de pratiquer l aviron en compétition, dont près de 19% de façon certaine (et 26% parmi les nouvelles licenciées), et celles qui ne souhaitent pas s engager dans une perspective compétitive. Projet de pratiquer l'aviron en compétition Oui, certainement 18,7% Non 52,9% Oui, peut-être 28,4% Le projet de la compétition apparaît de manière plus marquée parmi les plus jeunes filles interrogées, et notamment les minimes, les cadettes et les juniores. Les seniors, d un âge plus élevé affirment donc à près de 60% ne pas envisager de pratiquer l aviron en compétition. Quel que soit leur âge, les jeunes filles qui déclarent s inscrire dans un projet de compétition, expriment de leur souhait de : Progresser, de se surpasser, de se dépasser. Se confronter aux autres rameuses : «se battre pour gagner» et «se mesurer aux autres». Elles expliquent leur motivation par : L exemple donné par un membre de leur entourage qui pratique déjà la compétition. Les encouragements apportés par les entraineurs. L envie de montrer ses capacités à réussir, d évaluer son niveau de performance. Le plaisir de la dynamique de groupe, l esprit d équipe et de l entreaide. Le plaisir du stress, de l adrénaline que procurent les courses La compétition apparaît à la fois comme une motivation importante pour s entrainer régulièrement et donc progresser techniquement, mais également comme un objectif à atteindre permettant de «dépasser ses limites personnelles» et de mieux s intégrer à un groupe ou au club. Mouvens Mai 2010 page 30/133

31 Les autres pratiquantes qui déclarent ne pas souhaiter s engager dans la compétition citent par ordre de priorité : Un manque de temps. Un manque de coéquipières également engagées dans la compétition. Leur désintérêt pour la compétition, préférant les randonnées. Un physique jugée comme non compatible avec la compétition. Les suggestions pour donner envie aux féminines de pratiquer l aviron en compétition Les jeunes filles qui pratiquent l aviron en loisir ont évoqué plusieurs suggestions pour donner envie aux féminines de participer à la compétition. Trois grandes suggestions ont été citées : Développer le soutien apporté par les équipes d encadrement : avec des conseils apportés par les entraineurs pour améliorer les performances et accroître la motivation. Organiser des «mini compétitions», sur des petites distances, entre pratiquantes en loisir ; «des courses de loisirs sportifs» entre clubs qui ne nécessitent pas trop d entrainement, ou des événements festifs et amicaux pour les filles. Il s agirait finalement de «trouver une pratique intermédiaire entre le loisir et la compétition», avec des horaires adaptés aux contraintes professionnelles et personnelles. Faire connaître la discipline pour inciter les filles à pratiquer l aviron en communiquant (par le web, la télévision, la presse et la publicité) et valorisant : L esprit d équipe et la convivialité. Les «sensations de glisse formidables». Les «moments forts» vécus à titre personnel ou en équipe. L image d un sport complet en harmonie avec la nature, qui permet aux femmes de se sentir bien dans leur corps. Les compétitions internationales. Les résultats féminins. Elles évoquent par ailleurs d autres actions possibles : Donner une image plus féminine de la pratique (notamment en développant une gamme de vêtements plus féminins). Accroitre l esprit de groupe en mettant par exemple à disposition un nombre plus important de bateaux à quatre et huit, et des bateaux «mixtes» pour échanger sur les techniques. Mieux informer les pratiquantes sur les procédures d inscription pour les compétitions (calendrier, lieux et modalités d inscription). Développer les occasions de la première pratique (journées de découverte dans les clubs, initiation dans les écoles, etc.). Mouvens Mai 2010 page 31/133

32 2.2 La pratique féminine en compétition Selon la FFSA, le critère définissant une compétitrice est son inscription aux championnats de zone pour les minimes et les cadettes ou aux critériums et championnats de France pour les juniores et seniors. Le choix a été fait de ne pas préciser a priori cette définition afin que chacune des féminines interrogée puisse se définir pratiquante «compétitrice» ou de «loisir». Les compétitrices qui ont répondu au questionnaire sont au nombre de 368. Elles représentent donc un peu moins de la moitié de l échantillon total obtenu, avec 46,8% des répondantes au questionnaire. Parmi elles, 32 se désignent comme des compétitrices de haut niveau alors qu elles ne sont inscrites sur aucune liste ministérielle. Leurs caractéristiques sociodémographiques sont prises en compte dans le diagnostic suivant. Les compétitrices interrogées sont pour plus d un tiers d entre elles en catégorie «senior». Les cadettes et juniores en compétition sont également nombreuses à avoir répondu au questionnaire, représentant respectivement plus de 20% des compétitrices. La moitié des jeunes filles en minime ont été licenciées en 2009 et Répartition des pratiquantes en compétition par catégorie Benjamine 1,1% Senior 35,8% Minime 14,9% Juniore 21,7% Cadette 26,6% Mouvens Mai 2010 page 32/133

33 2.2.1 Les caractéristiques des compétitrices L âge moyen des compétitrices qui ont répondu au questionnaire est de 19 ans. Plus de la moitié des compétitrices interrogées ont entre 15 et 19 ans. A l inverse les jeunes femmes ayant plus de 30 ans sont seulement au nombre de 17. La jeune femme la plus âgée est née en 1965 et la plus jeune en Les réponses formulées par la jeune femme ayant plus de 35 ans ont été prises en compte dans le cadre de ce diagnostic, ces réponses n influant que très peu sur les résultats obtenus. Répartition des compétitrices par tranche d'âge 60% 50% 52,3% 40% 30% 20% 18,7% 15,2% 10% 0% 9,2% 4,3% 0,3% Plus de 35 ans Entre 35 et 30 ansentre 29 et 25 ans Entre 24 et 20 ans Entre 19 et 15 ans Moins de 15 ans Compte tenu de leur jeune âge, les compétitrices qui ont participé à l enquête sont donc très majoritairement en cours de scolarité. Moins de 16% d entre elles (et exclusivement représentées par les seniors) exercent une profession ou recherche un emploi, et une seule est femme au foyer. Statut des compétitrices Emploi à temps partiel 0,8% Emploi à temps plein 12,8% A la recherche d'un emploi 2,2% Femme au foyer 0,3% En scolarité 83,9% Près des trois quart des compétitrices en cours de scolarisation sont au niveau du collège ou au lycée. Les lycéennes représentent ainsi 44% des compétitrices qui ont répondu au Mouvens Mai 2010 page 33/133

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