Peut-on et doit-on faire une IRM mammaire durant la lactation en cas de suspicion de cancer du
|
|
- Jules Bédard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Peut-on et doit-on faire une IRM mammaire durant la lactation en cas de suspicion de cancer du sein? Gwénaëlle Le Pottier-Boivin, Pr Régis Duvauferrier, Dr Brigitte De Korvin, Dr Julien Marion Rennes
2 Cancer associé à la grossesse ou PABC (pregnancy-associated breast carcinoma) : Survient entre le début de la grossesse et jusqu à un an après l accouchement Représente 0,2 à 3% des cancers du sein (1) En augmentation ces dernières années, en partie liée à l augmentation des grossesses tardives (Age moyen de la première grossesse en France de 29,8 ans en 2007 contre 24 ans en 1970)
3 Tumeurs souvent de mauvais pronostic avec grade et stade élevés En comparaison à une population témoin de même âge 1. Tumeurs de moins de 2 cm: 30% contre 50% 2. Tumeur N+: 61% contre 28% (3) (Vinatier D, Collinet P. Cancer du sein de la femme jeune : Cancer du sein découvert pendant la grossesse) Négativité des récepteurs hormonaux, positivité de HER2/neu et SBR II ou III fréquents (2,3)
4 Allaitement et grossesse = stimulation hormonale à l origine d importantes modifications de la glande mammaire Existence d une traduction radiologique aux modifications histologiques
5 Traduction radiologique des modifications physiologiques Mammographie Augmentation fréquente de la densité mammaire (BIRADS 3 ou 4) Cependant, modifications de densité non systématiques durant cette période (Mammographic appearance of the breasts during pregnancy and lactation: false assumptions.swinford AE,and al, Acad Radiol. 1998) Intérêt de réaliser la mammographie après une tétée
6 Traduction radiologique des modifications physiologiques: Echographie (5) Structures du sein En dehors la lactation Pendant la lactation Tissu adipeux Hypoéchogène, variable Hypoéchogène, variable Canaux galactophoriques Hypo ou iso-échogène Hypoéchogène, mais peut avoir un contenu partiellement échogène (graisse) Inférieur à 2mm (si plus, ectasie) Généralement non compressible 2 mm et jusqu à 10mm Facilement compressible Peau Hyperéchogène Hyperéchogène Parfois épaissie dans la région aréolaire Tissu fibro-glandulaire Hyper/iso échogène Hyperéchogène Vaisseaux Hypoéchogène Hypoéchogène, Durant la lactation, la glande apparaît globalement plus hyperéchogène, avec des canaux galactophoriques proéminents et une augmentation de la vascularisation (1)
7 Diagnostic clinique et radiologique difficile Retard diagnostique fréquent expliquant en partie des cancers évolués Nécessité d explorer toutes masses durant cette période avant de banaliser +++
8 Gold standard actuel: échographie Echographie: performante (5) Sémiologie des tumeurs inchangée durant l allaitement Permet également l étude des régions ganglionnaires
9 Mammographie Augmentation fréquente de la densité mammaire (BIRADS 3 ou 4) A l origine d un perte de sensibilité quant à la détection des masses Mais détection de microcalcifications et de signes indirects qui expliquent une mammographie positive : 1. dans 78% (Liberman L, al. Imaging of pregnancyassociated breast cancer. Radiology 1994) 2. et 90% (Yang WT, et al. Imaging of breast cancer diagnosed and treated with chemotherapy during pregnancy. Radiology 2006) des cas
10 Pourquoi se poser cette question? En dehors de la lactation et de la grossesse, développement de l IRM dans l exploration des tumeurs du seins Mais pendant l allaitement Idée communément admise que les modifications physiologiques rendront l IRM ininterprétable: idée préconçue? Seconde question: gadolinium et allaitement?
11 Gadolinium et allaitement Poursuivre l allaitement? Littérature anglo-saxonne: à priori, pas de risque pour le nourrisson (11,12,13) car 1. Moins de 0,04% de la dose est excrétée dans le lait dans les 24 heures suivant l injection 2. Moins de 1% de la dose ingérée est absorbée par le tube digestif 3. Dose reçue inférieure à 1% par rapport à celle permise en radiopédiatrie
12 Cependant Recommandation française différente (CIRTACI) Persistance de la suspension de l allaitement pendant 24 heures au décours de l injection
13 Performance de l IRM durant l allaitement: la littérature Case report (15) : «The lactating breast: MRI findings and literature review». Talele AC, Slanetz PJ, Edmister WB, Yeh ED, Kopans DB Breast J 2003;9(3): ) Femme de 36 ans, présentant une masse palpable durant l allaitement avec bilan standard négatif IRM mammaire
14 Résultats Pas de lésion visualisée mais Glande dense, avec rehaussement diffus et nombreuses zones avec EF>25 (l extraction flow est un paramètre évaluant perméabilité, flux, vascularisation et dont l élévation oriente vers une lésion maligne) Histologie finalement bénigne Cependant si la lésion s était révélée maligne, aurait-elle été masquée par les modifications physiologiques? C est pour tenter de répondre à cette question qu en 2005
15 The Lactating Breast: Contrast-enhanced MR Imaging of Normal Tissue and Cancer Matériel et méthode Etude rétrospective sur 7 patientes, âge moyen 36 ans (27-42 ans) IRM: 4 unilatéral, 3 bilatéral Allaitement : durée 18 mois (5 jours-22 mois), stoppé au maximum 11 jours avant l IRM ou maintenu IRM 1,5T: protocole standard (T1 SE, Fast-SE T2 avec Fat-sat, séquence dynamique 3D T1 EG avec séquence en haute résolution) Indications de l IRM: 5 cancers histologiquement prouvés; 1 suspicion d angiosarcome mammaire et 1 dépistage (risque familial majeur) 3 lecteurs, évaluation de différents paramètres
16 Modifications physiologiques durant cette période SEQUENCES SE T1 ET T2 Augmentation de la densité mammaire (7/7) Hypersignal T2 diffus et homogène de la glande mammaire (6/7) Dilatation des canaux galactophoriques (hyper T2 = lait)
17 SEQUENCES DYNAMIQUES: courbe de réhaussement Réhaussement glandulaire diffus, hétérogène Courbe : réhaussement initial précoce, puis secondairement progressif (6/7) Réhaussement des canaux rétroaréolaires peu marqué: origine?(5/7) Concordant avec la littérature
18 Détection des cancers? Intérêt de la séquence T2 durant cette période: CCI: masse hyposignal T2 contrastant avec hypersignal de la glande (5/5) CCIS: hyposignal T2 linéaire (2/4)
19 Détection des cancers (2)? Dynamique et réhaussement: CCI: Dynamique de réhaussement typique de malignité, plus intense et précoce que tissu glandulaire adjacent, avec wash-out (4/5) CCIS: Rehaussement segmentaire ou étendu, avec dynamique différente des infiltrants (2/4)
20 Palpable masses in breast during lactation S. Obenauer, S. Dammert, Clinical imaging patientes, masses palpables durant l allaitement Evaluation des différentes modalités d imageries Age cöté US Mam mo AC R BI-RADS MR mammog raphy Procedure Histology 1 33 L(2) I 4; II 4 Surgery Bifocal IDC 2 32 R FNA+Surgery IDC 3 33 L FNA+Surgery IDC (G3) 4 35 L Surgery IDC (G2) 5 33 L Biopsy Papilloma 6 32 L FNA Hyperplasia 7 41 R Biopsy Mastopathia 8 35 R 2 1 Follow-up 9 31 R Biopsy Parenchyma
21 L IRM classe toutes les lésions malignes correctement (BIRADS 4 ou 5), notamment celles mal classées en échographie
22 Palpable masses in breast during lactation S. Obenauer, S. Dammert, Clinical imaging 2007 Age cöté US Mam mo AC R BI-RADS MR mammog raphy Procedure Histology 1 33 L(2) I 4; II 4 Surgery Bifocal IDC 2 32 R FNA+Surgery IDC 3 33 L FNA+Surgery IDC (G3) 4 35 L Surgery IDC (G2) 5 33 L Biopsy Papilloma 6 32 L FNA Hyperplasia 7 41 R Biopsy Mastopathia 8 35 R 2 1 Follow-up 9 31 R Biopsy Parenchyma L IRM permet le reclassement d une lésion bénigne en BIRADS 2
23 AU TOTAL: IRM performant dans 8 cas sur 9, avec bonne corrélation radio-histologique pour les lésions malignes (BIRADS 4 et 5 )
24 Les limites nombreuses!!! IRM versus échographie /mammographie: Faible nombre de patientes Diagnostic connu lors de la réalisation de l IRM ou suspecté+++ Même type histologique de cancer: canalaire infiltrant/ in situ Corrélation histo-radiologique absente ou limitée
25 Perspectives Pauvreté de la littérature Intérêt d études à plus grande échelle Surveillance des femmes à risques génétiques au décours de leur grossesse?
26 Conclusion IRM performante, malgré les modifications physiologiques 1. Visualisation et caractérisation correct des lésions infiltrantes 2. Reclassement de lésions Birads 3. Multifocalité/multicentricité IRM: sémiologie propre durant la lactation En France, allaitement toujours suspendu 24 heures au décours de l IRM
27 QCM
28 Les cancers associés à la grossesse Sont exceptionnels FAUX Ils représentent 0,2 à 3% des cancers du sein soit de 350 à 750 femmes par an en France Sont de bon pronostic FAUX tumeurs ayant souvent un grade et stade élevés Ont très fréquemment une traduction clinique VRAI mais sont souvent diagnostiqués tardivement car la patiente tarde à consulter et le médecin à explorer durant cette période
29 Quelles sont les modifications physiologiques observées en IRM mammaire lors de la lactation? 1. Hyposignal T2 diffus et homogène de la glande mammaire 2. Réhaussement glandulaire diffus, hétérogène 3. Réhaussement initial précoce avec wash-out 4. Dilatation des canaux galactophoriques (hyper T2 = lait)
30 L IRM mammaire Nécessite la suspension de l allaitement pendant 24 heures Oui, la suspension reste la règle en France, malgré les dernières publications anglo-saxonnes montrant la très faible excrétion du gadolinium dans le lait maternel et la très faible absorption digestive par le nourrisson Est réalisée en première intention dans l exploration des tumeurs Non, le couple échographie et mammographie est la référence, l IRM mammaire pendant la lactation n étant pas réalisée en pratique Semble ininterprétable du fait des modifications physiologiques Non, du moins d après les données d une littérature peu abondante
31 SYNTHESE Les cancers associés à la grossesse: tumeurs souvent évoluées, présentant des facteurs de mauvais pronostic Echographie: examen de première intention, performante dans le diagnostic Mammographie réalisée malgré une perte de sa sensibilité dans la détection des masses (détection de signes indirect, microcalcifications ) Littérature anglo-saxonne: en faveur d une innocuité du gadolinium chez le nourrisson allaité. En France: suspension de la lactation les 24 heures qui suivent l injection de gadolinium IRM mammaire durant la lactation: semble intéressante mais littérature limitée Modifications physiologiques : densité mammaire augmentée en T1, hypersignal T2 diffus et homogène de la glande et canaux galactophoriques dilatés. Intérêt de la séquence T2: hyposignal des tumeurs infiltrantes contrastant avec l hypersignal de la glande Séquence après injection de gadolinium : rehaussement souvent typique des tumeurs, visualisé malgré les modifcation physiologique
32 REFERENCES 1. Sabate JM, Clotet M, Torrubia S et al. Radiologic evaluation of breast disorders related to pregnancy and lactation. Radiographics 2007;27 Suppl 1:S101-S Rouzier R, Mir O, Uzan C, Delaloge S, Barranger E, Descamps P, et al. Prise en charge des cancers du sein en cours de grossesse. Recommandations publiées le 16 décembre 2008 [online]. Société française d'oncologie gynécologique, Société française de chirurgie pelvienne, Collège national des gynécologues et obstétriciens français, eds Vinatier D, Collinet P. Cancer du sein de la femme jeune : Cancer du sein découvert pendant la grossesse. In : Bonneterre J, Belkacemi,Y, eds. Cancers du sein localisés : Les nouvelles pratiques. 28es journées de la société française de sénologie et de pathologie mammaire (Lille, 2006). DaTeBe ed. Courbevoie: 2006; Largillier R, Savignoni A, Gligorov J, Chollet P, Guilhaume MN, Spielmann M, Luporsi E, Asselain B, Coudert B, Namer M Prognostic role of pregnancy occurring before or after treatment of early breast cancer patients aged <35 years: a GET(N)A Working Group analysis.; GET(N)A Group. Cancer Nov 15;115(22): Geddes DT. Ultrasound imaging of the lactating breast: methodology and application. Int Breastfeed J 2009;4:4. 6. Ahn BY, Kim HH, Moon WK et al. Pregnancy- and lactation-associated breast cancer: mammographic and sonographic findings. J Ultrasound Med 2003;22:491-7.
33 7. Liberman L, Giess CS, Dershaw DD et al. Imaging of pregnancy-associated breast cancer. Radiology 1994;191: Yang WT, Dryden MJ, Gwyn K et al. Imaging of breast cancer diagnosed and treated with chemotherapy during pregnancy. Radiology 2006;239: CIRTACI. ssesse.pdf 10. Yashwant Kumar, Alka Chahal, Monika Garg, Alka Bhatia, Delayed involution of lactation presenting as a non-resolving breast mass: a case report Med Case Reports. 2008; 2: Chen MM, Coakley FV, Kaimal A et al. Guidelines for computed tomography and magnetic resonance imaging use during pregnancy and lactation. Obstet Gynecol 2008;112: Newman J. Breastfeeding and radiologic procedures. Can Fam Physician 2007;53: Kubik-Huch RA, Gottstein-Aalame NM, Frenzel T et al. Gadopentetate dimeglumine excretion into human breast milk during lactation. Radiology 2000;216: CIRTACI Talele AC, Slanetz PJ, Edmister WB et al. The lactating breast: MRI findings and literature review. Breast J 2003;9:
34 16. Espinosa LA, Daniel BL, Vidarsson L et al. The lactating breast: contrast-enhanced MR imaging of normal tissue and cancer. Radiology 2005;237: Obenauer S, Dammert S. Palpable masses in breast during lactation. Clin Imaging 2007;31: Lopez JK, Bassett LW, Invasive lobular carcinoma of the breast: spectrum of mammographic, US, and MR imaging findings. AJR Am J Roentgenol May;178(5): Qayyum A, Birdwell RL, Daniel BL, Nowels KW, Jeffrey SS, Agoston TA, Herfkens RJ, MR imaging features of infiltrating lobular carcinoma of the breast: histopathologic correlation. AJR Am J Roentgenol May;178(5):
Cancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailDocteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? UN DIAGNOSTIC DE CANCER est posé chez 11 % des
Le sein Docteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? Réjean Duplain, Marie-Michèle Livernoche et Judy Deschesnes 4 M me Massé,45 ans,entre en pleurs dans votre cabinet.elle a trouvé une bosse sur
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailÉtude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT
Étude de la faisabilité de l auto-compression en mammographie A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT INTRODUCTION La compression mammographique est parfois mal vécue par certaines
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailIRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière
IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailInfo Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailPROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris
2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCésarienne pour toutes
Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section
Plus en détailAméliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale. Nathalie Faye, Rokhaya Thiam
Améliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale Nathalie Faye, Rokhaya Thiam TABLE DES MATIERES RESUME... 3 1. INTRODUCTION... 4 1.1 Objectifs
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailGrossesse après cancer du sein
Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne
Plus en détailGE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal
GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détail