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3 IÒãµdG É JÓgDƒÃ É«Yh ÌcCG íñ üj CG á«jôae G Gó Ñ d óh.ájoéÿgh ájöûñdg ÉgOQGƒe ᫪gcéhh FÉ YEG Y Tô dg»fóàyg òæe â UôM òdg LƒàdG ƒg Gògh á«jôae G Gó ÑdG øe É FÉ TCÉH áµ ªŸG ábó d «L Afrique doit compter d abord sur ses multiples atouts, son riche potentiel et ses propres ressources. C est le sens que J ai voulu donner, depuis Mon accession au Trône, à la stratégie africaine du Royaume.» á HGôdG IQhódG G LƒŸG ádó G ÖMÉ U ÜÉ N üf π ùchôh Ió æÿg á«hhq G á«jôa G ᪠d Discours de S.M le Roi adressé aux participants au 4 ème sommet Afrique-Union Européenne à Bruxelles

4 ,ônbód ómgh πc ô æj CG ù«d Ö G{ z. ÉŒ G ùøf Éjƒ S ô æf CG πh «L amour ce n est pas se regarder l un l autre, mais c est regarder ensemble dans la même direction.» ÒHƒ ùµjeg É S O Gƒ fcg Antoine de Saint Exupery

5 SOMMAIRE Discours du Directeur du Festival 4 5 Discours du Président du Festival 6 7 Organigramme 8 Flash back 9 Hommages Tables - rondes Master Class Workshop Jury : long métrage Films Compétition Officielle Long Métrage Jury : Film Documentaire Comité Scientifique Films Compétition Officielle Film Documentaire Panorama 57 Activités Parallèles Programme Les partenaires officiels 64 65

6 Afrique / Méditerranée : Mémoire des horizons partagés La IVe édition du Festival International du Cinéma de la mémoire commune de Nador se tient cette année, dans un contexte régional assez particulier, dont les nouvelles donnes affectent profondément la stabilité de la région. Ce qui met une grande partie du continent africain et de la Méditerranée, au cœur de l actualité du monde : confrontées à des paris et des défis communs en termes d orientations politiques ou encore en matière d émergence, ici et là, de nouvelles valeurs, les deux contrées sont appelées à repenser leurs relations et leurs approches respectives d horizons partagés où l humain doit être placé au centre des préoccupations communes. C est pour cette raison que la IVe édition du Festival International du Cinéma et de la mémoire commune entend relier l Afrique à la Méditerranée, et ce dans le contexte des transformations profondes que connait actuellement le pourtour méditerranéen. En particulier, en ce qui concerne les problématiques de la mémoire commune et ce qu elle recèle en matière de dysfonctionnements politiques, économiques et humains, et dont les répercussions sont palpables aujourd hui encore ; sans oublier la crise des valeurs et tout ce qui est lié aux droits de l Homme, qu il s agisse d immigrants ou de résidents. Toutes ces préoccupations ont présidé tant à la programmation des films documentaires, étroitement liés à cette thématique, qu au choix des tables rondes et des séances de débats que nous voulons des espaces de questionnement et de réflexion commune sur l avenir des relations entre la Méditerranée et l Afrique, en plus des éternels questionnements relatifs à la mémoire partagée et, qui exigent, à chaque fois, une approche particulière et inventive. En ce qui concerne les films de fiction en liece, dans la compétition officielle, ou programmés hors compétition, nous avons veillé, compte tenu du fait que le festival est l unique occasion offerte au public nadori de voir les dernières créations cinématographiques, à lui montrer des chefs-d œuvre, récents, du cinéma méditerranéen et africain. Plusieurs hommages seront rendus, sur scène, à des personnalités du monde de l art et du cinéma, et dans les expositions d arts visuels, à des figures de proue de la lutte pour un monde meilleur. Sans se cantonner entre les murs de la salle officielle, les activités du festival dont le caritatif est l une des préoccupations majeures, incluront les orphelins, les démunis et les détenus. Comme par le passé, les jeunes de la région, auront cette année encore une fois l occasion de tenter l aventure de l écriture et de la création audiovisuelles, au sein d ateliers, encadrés par des spécialistes. 6

7 É d IójóL äé«ã º ùàj õ«ªàe ól»ª«beg É«S QƒXÉædÉH á HGôdG à ÑW ácî ûÿg IôcGòdG ɪæ«ùd hódg ÉLô ŸG,áæ ùdg òg,ó æj»àdg çgómc G IQGó U, SƒàŸG «HC G ôëñdg á æeh á«jôac G IQÉ dg øe GÒÑc GAõL j òdg ôec G.á æÿg QGô à SG Y «ªY ÒKCÉJ º«b RhÈH àj ɪ«a hcg á«sé«ùdg äé LƒàdG å«m øe äéfégôdg ùøf É d ɪc h ácî ûe äéjó É LGƒJ Éà æÿg CG Éà :ÉægGQ É dg É aô j Vh VÎØJ»àdGh ɪ ªŒ»àdG ácî ûÿg ÉaBÓd ɪ àhqé e Ö«dÉ SCG h ɪ JÉbÓY ÒµØàdG IOÉYEG Úà G a, Éæg ɪc Éæg,IójóL É«jôaCG HQ Y ácî ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ù d hódg ÉLô ª d á HGôdG á Ñ dg πª à S æÿg Gòg øe.ácî ûÿg äéeéªàg G õcôe OôØdG ÉjÉ H àj Ée πc üîj»àdg h. SƒàŸG «HC G ôëñdg á æe É«dÉM LGƒJ»àdG á «ª dg ägò àdg É«S dph, SƒàŸG «HC G ôëñdéh áercg øy «géf ; áyé ùdg ó Sƒª e πµ ûh IôKDƒŸGh,ájOÉ üàb Gh ájô ûñdgh á«sé«ùdg ä ÓàN ÉH á ÑJôŸG ácî ûÿg IôcGòdG ä ɵ TEG h.úª«ÿéh ΩCG øjôlé ŸÉH ôec G J AGƒ S, É ùfe G ƒ ëh á U hp ƒg Ée πch º«dG Iôjóà ùÿg ófgƒÿg «VGƒe QÉ«àNG ɪc,äɪ«àdG ò H É «Kh ÉWÉÑJQG á ÑJôŸG,á«FÉKƒdG ΩÓaC G á ôh AGƒ S ⪵»àdg»g ùlgƒ dg J ƒm ɪc,É«jôaCGh SƒàŸG «HC G ôëñdg ÚH äébó dg πñ à ùe ƒm Î ûÿg ÒµØà d äémé ùe ƒµj CG íª f»àdg TÉ ædg äé ù Lh.(QɵàH ÉH º ùàj) IôµàÑeh IójóL áhqé e á fi πc Ö àj»àdgh ácî ûÿg IôcGòdÉH á àÿg ájóhc G ÉjÉ dg IQOÉædG á UôØdG ƒg ÉLô ŸG CG QÉÑàYÉH,Éæ UôM ó a,á HÉ ùÿg êqén á ÈŸG J hcg,᫪ SôdG á HÉ ùÿg á ùaéæàÿg π««îàdg ΩÓaCÉH àj ɪ«ah.GôNDƒe,É«jôaEGh SƒàŸG ôëñdg ɪæ«S àéàfg Ée FGhQ VôY Y,á«Fɪæ«ùdG äéygóhe G çómcg IógÉ ûÿ Qƒ VÉædG Qƒ ªé d áñ ùædéh IRQÉH äé«üî ûh,ájô üñdg ƒæødg VQÉ eqéweg h,éªæ«ùdgh øødg ÉY øe ΩƒéæH,áÑ ûÿg ƒa,aéøàme G ºà«S äéáôµàdg iƒà ùe Y.π acg ÉY πlcg øe É ædg QÉWEG ΩÉàjC G πª ûà S,á«ù«FôdG JÉeɪàgG øe GAõL ájòÿg ɪYC G πµ ûj òdg, ÉLô ŸG á ûfcg,᫪ SôdG áyé dg GQóL πngo Ó fe G ho GóHE Gh ᫵«à ùjqéæ«ùdg áhéàµdg IôeÉ e VƒN á Uôa á æÿg ÜÉÑ ûd ƒµ«s HÉ ùdg ɪch.Qƒ VÉædÉH ÊóŸG øé ùdg A õfh øjrƒ ŸGh. Gó«ŸG ƒ«æ e É «Y ±ô ûj,πªy äé TQh QÉWEG, ô üñdg» ª ùdg ΩÓ ùdgóñy Ö«WƒH º ùdg h á«wgô ÁódG πlcg øe ácî ûÿg IôcGòdG õcôe ù«fq ÉLô ŸG ôjóe Bouteyeb Abdesslam Président du centre de mémoire commune pour la démocratie et la Paix Directeur du festival 7

8 Festival International du Cinéma et de la Mémoire Commune de Nador Le Centre de la Mémoire Commune pour la Démocratie et la Paix organise cette année la IVe édition du Festival de Cinéma et Mémoire Commune, qui se déroulera du 04 au 09 mai 2015 à Nador. Cette nouvelle édition est dédiée à «L Afrique et la Méditerranée : Mémoire des horizons partagés». L objectif est d abord la création d un espace de créativité, d échange, de dialogue et de réflexion autour de la mémoire commune de l Afrique et de la Méditerranée. Né il y a quatre ans, le festival de Cinéma et Mémoire Commune continue son bel envol, s amplifie et a su maintenir une identité qui lui est propre, et ce grâce à la mobilisation d une équipe solide, cohérente et interdisciplinaire. Pour cette année, il propose aux cinéphiles du Maroc et d ailleurs une plateforme culturelle et artistique riche et variée de longs métrages de fiction et de documentaires en entrée libre sur la thématique retenue pour cette année, à savoir l Afrique et la Méditerranée et les voies de transition démocratique. Des débats et des discussions sont également prévus à la fin de chaque projection. Le grand public aura le plaisir, lors de cette IVème édition, d approcher des artistes de renom des différents horizons africains et méditerranéens dans l esprit de susciter le dialogue et de créer un véritable carrefour d échange entre le public et les professionnels du cinéma. Parallèlement à cette programmation, nous développons d autres activités avec l organisation de trois tables rondes qui permettront au public de suivre de près le débat en cours sur les différentes dynamiques africaines et méditerranéennes. Des rencontres qui seront animées par des experts de talent émanant d horizons différents, principalement africains et méditerranéens. L occasion sera également propice au développement d autres actions, notamment l organisation d ateliers d initiation à la réalisation et à l écriture scénaristique animés par des professionnels du cinéma. Des formations dédiées aux «Métiers et pratiques des médias» sont également prévues. Au fil des éditions, le Centre a su affirmer une identité plurielle en initiant toute une panoplie d activités aussi bien au Maroc qu à l étranger, contribuant ainsi à la mise en place d une feuille de route, à même de consacrer la culture de la paix et promouvoir les valeurs de la solidarité et du vivre-ensemble. C est dans cet esprit que la ville méditerranéenne de Nador avait accueilli, il y a trois ans, la première édition du Festival de Cinéma et Mémoire Commune, sous le thème «Mémoire et Histoire dans les relations hispano-marocaines». Au cours de cette manifestation, une série de documentaires et longs métrages de qualité avait été projetée afin de sensibiliser le grand public, à travers l image, aux réalités passées et présentes de la mémoire commune du Maroc et de l Espagne, avec laquelle nous partageons également un avenir commun. L organisation de cet événement est l occasion de rendre hommage à des hommes hors pair, qui tout au long de leurs parcours ont défendu les valeurs de cohabitation, de tolérance et d échange, tels l écrivain espagnol Juan Goytisolo et le défenseur des droits de l Homme Mohammed Neshnash. Le succès de cette première édition a, en effet, encouragé le Centre à inscrire le festival dans la durée. Ainsi fut organisée en avril 2012, la seconde édition qui se voulait plus large dans le sens où elle entendait conquérir d autres horizons méditerranéens, et ce à travers des questions communes comme les migrations, en rapport avec les droits de l Homme et la diversité culturelle. Pour les organisateurs, il s agissait essentiellement de réviser les préjugés véhiculés autour des migrants et d encourager les jeunes cinéastes à faire prévaloir ces thématiques dans leurs oeuvres. En d autres termes, mettre l art au service de l édification du processus démocratique et de la bonne gestion de la mémoire commune des peuples. Quant à la 3ème édition, la thématique choisie était «la Méditerranée en question», dans la prespective d explorer une Méditerranée en perpétuelle mutation et d interroger l ensemble des mouvements contestataires qui façonnent son nouveau visage. 8

9 2015ƒjÉe 09 EG 04 øe É JÉ«dÉ a óàªà S»àdG,ácÎ ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ùdG ÉLô Ÿ á HGôdG IQhódG º ùdgh á«wgô ÁódG πlcg øe ácî ûÿg IôcGòdG õcôe º æj OÉÑàdGh, GóHEÓd ámé ùe N hcg ƒg ±ó dgh. ácî ûÿg ÉaB G IôcGP : SƒàŸG «HC G ôëñdgh É«jôaCG EG Iójó G á Ñ dg òg ü«üîj ºà«Sh.QƒXÉædÉH. SƒàŸG «HC G ôëñdgh É«jôaCG ÚH ácî ûÿg IôcGòdG»Yɪ GÒµØàdGh QGƒ Gh,Úàe jôa áäñ J π ØH dph, àjƒg Y É aéfi ƒªæjh,á «ª G à MQ HÉàj Gõj ácî ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ùdG ÉLô eh, ù«scéj òæe,â N ägƒæ S HQCG ÓN,á jƒ dg ΩÓaC G ƒæàh á«æz á«æa h á«aé K á«vqcg øwƒdg êqén øe ɪæ«ùdG É ûyh Üô ŸG»«Ø«æ«ùd ÉLô ŸGôaƒ«S,áæ ùdg òg.äé ü üîàdg Oó àeh ºé ùæe Y IhÓY.»WGô ÁódG É àf G ägqé ùeh SƒàŸG «HC G ôëñdgh É«jôaCG»gh :IQhódG ò d ÉgQÉ«àNG»àdG ᪫àdéh É c ÑJôJ»àdG h,á«fékƒdg h É æe á«fghôdg. VôY πc ájé f ámƒàøe äé ûbéæeh ägôxéæe º«æJQô ŸG øe, ÉéŸÉH Vhô dg J AÉæHh QGƒ G õjõ J æe øe á«sƒàÿgh á«jôac G ÉaB G àfl øe øjqƒ ûe ÚfÉæØH ɵàMEÓd UôØH,á HGôdG á Ñ dg òg ÓN,Qƒ ª G ë«s h.qƒ ª Gh ɪæ«ùdG Îfi ÚH OÉÑà d» «Mô ùl äé«eéæjódg àfl ƒm ôfgódg TÉ ædg á HÉàeQƒ ªé d í«àj ±ƒ S Iôjóà ùe ófgƒe çók º«æàH iôncg á ûfcg ôjƒ J Y πª f,èeéfèdg Gòg e ägrgƒã h. SƒàŸG «HC G ôëñdgh É«jôaCG øe É Uƒ ünh, ÉaB G àfl øe Úbƒeôe AGÈN ägaé dg òg «ûæàh Ωƒ «S.Üôb øy,á«sƒàÿgh á«jôac G Gòg.ɪæ«ùdG Îfi øe ƒ ü üîàe É ùæj êgône G h ƒjqéæ«ùdg áhéàc äé TQh ÓN øe É Uƒ ün,iôncg á ûfcg ôjƒ àd á Uôa É jcg áñ SÉæŸG òg ƒµà Sh. JÉ«æ J h ΩÓYE G ø Ÿ ü üfl øjƒµj EG IÉ VE ÉH Vh dòhéªgé ùe,êqéÿgh Üô ŸG øe πc á ûfc G øe áyƒª º«æàH IQOÉÑŸG òncg ÓN øe ájoó àdg àjƒg äéñkeg õcôÿg É à SG, ÉLô ŸG ägqho ÈY çók òæe,qƒxéædg, SƒàŸG ôëñdg Y á ŸG áæjóÿg âaé à SG, æÿg Gòg øeh. ûjé àdgh øeé àdg º«b õjõ Jh ΩÓ ùdg áaé K ùjôµj Y IQOÉb jôw áwqén á ù S â VôY,çó G Gòg ÓN. á«hô ŸG á«féñ SE G äébó dg ïjqéàdgh IôcGòdG ᪫j â ácî ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ùdG ÉLô Ÿ hc G á Ñ dg,â N ägƒæ S ÚH ácî ûÿg IôcGòdÉH,ÉægGQ h É«VÉe,á àÿg ÉjÉ déh,iqƒ üdg ÓN øe, jô dg Qƒ ª G ù«ù á«h á àfl SÉæLCG øe á jƒ dg á«fghôdg h á«fékƒdg ΩÓaC G øe. Î ûe πñ à ùe e º SÉ àf òdg ó ÑdG Gòg É«fÉÑ SEGh Üô ŸG GƒN ÊÉÑ SE G ÖJɵdÉc,πYÉØàdGh íeé ùàdgh ûjé àdg º«b øy ºgQÉ ùe GƒW Gƒ ago øjoôøàe ÉLôH IOÉ TEÓd á Uôa É«MC G øe Òãc çó G Gòg º«æJ Éch,⪠f Gòµgh. ÉLô ŸG ájqgôªà SÉH âñ ûà d õcôª d áñ ùædéh É««M GõaÉM Éc hc G á Ñ dg òg ìé. TÉæ ûf óªfi É ùfe G ƒ M øy agóÿgh ƒdƒ ù«àjƒz É àbóy Iôé déh á àÿg ƒ Éc áø àfl ácî ûe ÉjÉ b héæj h,iójól á«sƒàe ÉaBG ΩÉëàbG ÈY πª TCG ƒµj CG äogqcg»àdg á«féãdg á Ñ dg,2012 πjôhcg. É ãdgh ô ûñdg ƒæàdéh AÓjE ÜÉÑ ûdg ÚLôîŸG «é ûàhh øjôlé ŸG Uƒ üîh É f ShCG Y Iô ûàæÿg ΩɵMC G ô ædg IOÉYEÉH É SÉ SCG àj - ÉgôdG-ôeC G Éc,Úª æª d áñ ùædéh á Ñ d áñ ùædéh ÉeCG.ÚÑ û d ácî ûÿg IôcGò d ᪫ùdg IQGOE Gh á«wgô ÁódG IQhÒ ùdg AÉæH áeón øødg Vh,iôNCG IQÉÑ Hh.º déªycg ä骫àdg ò d ájƒdhc G πµ ûj»àdg á«lééàme G äécô G ádaé ùeh Ëóà ùe Ò«J Ö e» Sƒàe ôëh ±É ûµà SE, GDƒ ùdg Vƒe SƒàŸG ôëñdg ƒ Vƒe QÉ«àNG ó a,áãdéãdg.ójó G Lh» jó üdg ΩÓ ùdgóñy ÉLô ŸG ù«fq Abdeslam SEDDIKI Président 9

10 Organigramme Abdesslam SEDDIKI Président Ministre de l emploi et des affaires sociales Vice président de CMCP Abdesslam BOUTEYEB Directeur du Festival Farid REGRAGUI Directeur chargé d exécution. Hafid El AISSAOUI Directeur artistique et de la programmation Omar Abdouh Directeur chargé de la communication et des formations cinématographiques Khalid BENTOUHAMI Directeur chargé des finances et de la logistique Ahmed Said Kadiri Directeur chargé des médias et des relations avec les festivals internationaux Abderrahime Harbal C.chargé de l exécution Azelarabe Qorchi Adjoint du directeur artistique Moukhtar Elmouhal Adjoin du Directeur chargé Raphaël GUERRERO Co-directeur de communication des médias et des relations avec les festivals internationaux. 10

11 Flash Back ɪæ«S ÉLô e øe hc G á Ñ dg 2012 ƒ«fƒj 19 Ωƒj,º ùdgh á«wgô ÁódG πlcg øe ácî ûÿg IôcGòdG õcôe ø TO hc G á Ñ dg òg.ô ûdg ùøf øe 21 EG JÉ«dÉ a äôªà SG»àdGh,QƒXÉæ d É ãdg ªéŸG ácî ûÿg IôcGòdG jô dg ó«ªàd á Uôa áhéãã Éc, á«féñ SE G á«hô ŸG äébó dg ïjqéàdgh IôcGòdG QƒëŸG É Yƒ Vƒe Éc»àdG. àeôh SƒàŸG «HC G ôëñdg»àø V º J»àdG ièµdg ÉjÉ dg ìôw πlcg øe Le Centre de la Mémoire Commune pour la Démocratie et la Paix, a inauguré, le mardi 19 Juin 2012 la première édition du festival du «cinéma de la mémoire commune» au complexe culturel de Nador et qui s est étalée jusqu au 21 du même mois. Cette première édition qui a eu pour thème «La Mémoire et l Histoire dans les relations Maroco-Espagnoles», a été l occasion de baliser la voie au traitement de questions majeures qui intéressent les deux rives de la Méditerranée. 26 h 21 ÚH Ée IÎØdG ó fg òdg,ácî ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ù d hódg ÉLô ª d á«féãdg á Ñ dg á ûfcg äõ«á«hô dgh á«hô ŸG ɪæ«ù d»ªàæj ájõeq á«féªæ«s ƒlh Y IhÓY,áfRGh ᫪ SQ äé«üî T Qƒ ëh,2013 πjôhcg ÌcCG ƒµj CG É jcg øµdh ÉØàM G iƒà ùÿg Y Éeób» ùdg Y ô üà J IQhódG òg äéfégq.á«dhódgh ƒ ëh É JÉbÓY Iôé dg ádcé ùe á É e É JÉY Y â Vh ÉeóæY, SƒàŸG «HC G ôëñdg ho»béh Y ÉMÉàØfG. É ãdg Oó àdgh É ùfe G Les enjeux de la deuxième édition du festival international du cinéma et de la mémoire commune, s est sont déroulée du 21 au 26 avril 2013 et qui a été marquée par une représentation officielle ainsi que par la présence de figures emblématiques du cinéma marocain, arabe et international, n étaient pas simplement d aller de l avant sur le plan festif mais aussi de s ouvrir davantage sur les pays du contour méditerranéen, en traitant la question des migrations en rapport avec les droits de l Homme et la diversité culturelle. kéygóhegh áaé K SƒàŸÉH AÉØàMÓd á Uôa QƒXÉæ d ácî ûÿg IôcGòdGh ɪæ«ù d hódg ÉLô ª d áãdéãdg IQhódG â µ T SƒàŸG á Ä SCG ƒ Vƒe É d ÒàNG ób h.áyqé ùàÿg ägqƒ àdgh ägò àÿg Aƒ V Y Ñ à ùeh ô VÉM ÒµØàdGh»àdG á«déÿg ájqƒjéàµjódgh ájoé üàb G áerc Gh ké Uƒ ün á«hƒæ G áø dg É àaôy»àdg ägõ d ô ædéhh à«æggôd Gô f.á«sé SCG äéjóëàc Ö üàæj»àdg á«aé ãdg ägò àÿg EG áaé VE ÉH, ɪ ûdg ho H é e J La troisième édition du festival international de cinéma et mémoire commune de Nador était l occasion de célébrer la Méditerranée sur le plan de la culture et de la création, et de penser son présent et son avenir à la lumière des mutations et des développements rapides. Le choix du thème La Méditerranée en question a été dicté par les secousses observées dans la rive sud, notamment la crise économique et la dictature des finances qui sont de réelles problématiques pour les pays du nord, en plus des mutations culturelles qui se constituent en défis majeurs. 11

12 Hommages soirée dʼouverture á ù ùdg É æe ôcòf áëléædg ɪYC G øe ÒãµdG Ωób,1954 áæ S AÉ «ÑdG QGódG ó«dgƒe øe»hô e êôflh πã dg ó S õjõy á ãªÿg øe êhõàe, ÉjÎfƒe ÉLô e πã π acg IõFÉL æy Éf òdg Gh È º «ah, º SGƒe çóãd áªwéa ád ájó«eƒµdg. déªycg Ö ZCG cqé ûj»àdg ó SCG áéjón Acteur majeur du paysage audiovisuel marocain, il forme avec Khadija Assad ce que les médias appellent le couple terrible du théâtre. Hyperactif au théâtre, à la télévision comme au cinéma (Les casablancais, Number One), il est installé avec sa femme au Canada depuis Qɪ à S G IÎa É Uƒ ün, îjqéjh»hô ŸG ªàéŸG héæàj á«fékƒdgh á«fghôdg ΩÓaC G øe ójó dg êôncg,»ñjgöûdg ó S äéjóàæe h ägô Dƒe QÉ Th ä É ŸG øe ójó dg Öàc,ôµØeh TÉf.Üô ŸG ICGôŸG Vh h, UÉ UôdG ägƒæ S h. É dg AÉëfCG «ªL,ɪæ«ùdG ƒm Saâd Chraïbi a réalisé de nombreux films et documentaires traitant de la société et de l histoire marocaines, notamment de la période coloniale et des «années de plomb», mais aussi de la condition féminine au Maroc. Militant et intellectuel, il a publié de nombreux articles et a participé à des conférences dans le monde sur le cinéma KGóMCG ô òdg âfƒª«e á«øjôdéh WÉædG»Hô ŸG π ù ùª d»æ àdg h»æødg ÚªbÉ dg OGôaCG πµh IOÉ T G ÉfQôb EG åjó G ÉæîjQÉJ ᪠SÉM IÎa»g h äéæ«ùàdg πfghcgh äéæ«féªãdg ônghcg jôdg É aôy»àdg çgómc G á«ø N Y... á«aé ãdgh ájƒ dg ájoó àdg Ωóîj πªy ùøf Ö«W øy º àcqé ûÿ ÉæfÉæàeG øy ÒÑ àdg πlcg øe dòa Si nous avons décidé de rendre hommage à toute l équipe technique et artistique de la série marocaine rifaine Mimounte -dont la trame nous ramène aux événements qu a vécus le Rif, fin des années quatre-vingts et début des années quatre-vingt-dix, période cruciale de notre histoire- c est pour témoigner à tous ceux qui y ont pris part notre reconnaissance pour leur généreuse participation à cette œuvre au service du pluralisme linguistique et culturel... 12

13 Hommages soirée de clôture É HÉ S QÉ fc G πc ƒ ShOQÉc É«ùjôcƒd âàød,(incaa) ájô üñdg ᫪ ùdg ƒæødgh ɪæ«ù d»æwƒdg ó ŸG á SÉFôd ÉgQÉ«àNG πñb ÖæL EG ÉÑæL.ájô üñdg ᫪ ùdg ƒæødgh ɪæ«ù d»æwƒdg ó ŸG ù«fq áñféæc ºK,2008 ΩÉY òæe GQó«ØdG πª dg èeéfôh Iôjóªc ôjó üàd ƒ S hcg º«æàH h ù«scéàh âeébh ÚàæLQC G Égó ÑH»æWh ÉLô e 90 AÉ ûfeg ºYO øe ƒ ShOQÉc âæµ,é ªY jôa e. É dg ájô üh ᫪ S äéjƒàfi Avant d être désignée à la tête de l Institut National du Cinéma et des Arts Audiovisuels (INCAA), Lucrecia Cardoso s est préalablement distinguée en tant que gérante d Action Fédérale, depuis 2008, puis en tant que vice-présidente de l INCAA. En collaboration avec son équipe de travail, Cardoso a géré l appui à la mise en place de 90 festivals nationaux en Argentine et a organisé le premier Marché d Exportation de Contenus Audiovisuels au Monde, dont elle est l instigatrice. UCG, GƒdG ø ùm óªfi» «G ª SG.ø ùm» Y :ƒg ɪFGO Éc! ù«ªÿg ɪæ«S ºµH ÓgCGh ÒÿG AÉ ùe.ø ùm» Y. béªycg øe ɪæ«ùdG ÖMCG πlq h πã h»øë Uƒg h âdó«e øe Ali Hassan, «Bonne soirée et Bienvenue au cinéma du jeudi!» c était toujours lui ALI HASSAN. Ali Hassan de son vrai nom Mohammed Hassan El Wali, natif de Middelt, est journaliste et comédien ; un homme qui a aimé le cinéma de tout son coeur., hódg ê骫à ù«ød ô T ù«fq, ùª ûdg ìô ùe ábôa ƒ Y, É ãdg «ûæàdg h»egqódg øø d É dg ó ŸG èjôn»hƒ ûdg óªfi ɪæ«ùdG QGhOC G øe ójó dg õ«eg áaé VE ÉH. É ùfe G ƒ Mh ìô ùÿgh ɪæ«ùdG É ä髪 G øe ójó dg «ûf ƒ Yh.á«YɪàL G äéµñ ûdg Y áñbéãdg ájó ædg äéë ªà ùÿg øe ± B G óñeh UÉb dòc ƒ a,π㪪c,agƒ S óm Y á«dhódgh á«æwƒdg Mohamed CHOUBI, diplômé de l ISADAC, membre de la troupe de théâtre Shems, président d honneur de FESTIMAG, membre actif de plusieurs associations dans le domaine du cinéma, du théâtre et des droits de l Homme. En plus de sa distinction dans plusieurs rôles, dans des films tant nationaux qu internationaux, en tant que comédien, il est nouvelliste et en tant que bel-esprit, il est l auteur de milliers de saillies subtiles, sur les réseaux sociaux... 13

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16 Table - ronde La leçon tunisienne NADOR 5 Mai 2015 Les sociétés et les institutions du monde arabe ont traversé une année 2011 mouvementée à cause de ce qui est convenu d appeler, à l époque, «le printemps arabe». S en est suivi l éclatement de certains Etats, marqués par la concentration des pouvoirs entre les mains d une personne omnipotente qui, une fois destituée de ses fonctions, c est l Etat qui s écroule comme un château de carte ainsi que ses institutions. D autres pays ont saisi cette opportunité pour initier des réformes et ainsi améliorer leurs régimes politiques. Une autre catégorie d Etats s est opposée à la volonté du changement par les armes ; cependant son sort reste encore tributaire de l équilibre géopolitique des puissances de la région, et des décisions des pays ayant des lien historique (passé commun, excolonies) et économique très étroits avec ces Etats. Ces secousses ont fini par gommer l image d un «monde arabe» que l on présentait comme étant uniforme de par sa population, ses couleurs, ses sentiments, ses appartenances... Or, depuis 2011, les sociétés du «monde arabe» ont montré leur diversité culturelle, linguistique et ethnique, et ont rendu caduque l image stéréotypée du «monde arabe» d avant 2011, marquée par le déni de cette diversité et sa gestion au sein de l Etat de droit. Et le défi à relever réside dans la formation de nouveaux régimes dans le «monde arabe» qui reconnaissent la diversité et son intégration dans un cadre démocratique. Or, en l absence d une culture politique basée sur le dialogue et l acceptation de l autre, et face à la frilosité des élites et des organisations politiques qui durant des décennies ont embrouillé la «phase transitoire» de ces Etats dont les régimes se sont effondrés comme un château de cartes, cette situation a engendré des conflits fratricides entre les communautés, les ethnies, les régions ; de même que «Dahiss et Ghabrae» sont de retour, et la surenchère du déracinement est devenue monnaie courante. Ceci a généré l assassinat de civils et l anéantissement de populations, et les balles ont surclassé les mots et le dialogue. C est ce que laisse voir le «monde arabe» ces dernières années, excepté la Tunisie qui sort du lot gagnante. Son expérience, bien qu embryonnaire, est devenue une leçon pour les Etats effondrés, après avoir livré des batailles pour se défaire des barbelés sanglants de ce qui est convenu d appeler le «printemps arabe». La Tunisie a compris, après tribulations et événements dramatiques, que la rupture avec le legs du régime déchu et le passage de la légitimité des élections à la légitimité démocratique revient à apporter des «ajustements». Les élites politiques ont vite compris, en effet, que c etait la seule issue pacifique, surtout que les pays voisins ont montré les limites de la transition amorcée par des partis islamiques faibles et incapables de gérer la phase de stabilité. La leçon, ou l exception tunisienne, s est basée, essentiellement, sur la prise de conscience de l élite politique des dangers de la division et de l éclatement. Mais des conditions objectives ont forgé l exception tunisienne, notamment les leçons tirées du «cas égyptien», les enjeux régionaux qui risquent d embraser la société, en plus de l absence de l armée en tant qu acteur politique en Tunisie et sa position impartiale, sans oublier l évolution dynamique des partis politiques et l aspiration du citoyen tunisien à s en sortir dans les meilleurs délais. Par ailleurs, l Union Générale Tunisienne du Travail a joué un rôle majeur dans le maintien de l équilibre entre les partis tunisiens. Elle a utilisé, à volonté, l aura dont jouit Ferhat Hachad et la portée nationaliste et militante de cette organisation pour pousser les différentes parties vers un accord consensuel, seul garant de la «transition démocratique». Ceci s est soldé par la promulgation de textes instituant un nouvel Etat. Une nouvelle constitution et une loi électorale ont été adoptées au même titre que le régime républicain parlementaire. Et c est une première dans l histoire du monde arabe où le modèle républicain répandu était marqué par la culture du quota, du communautarisme, du tribalisme, du dogmatisme et du legs familial. Après l adoption de la constitution et de la loi électorale, les élections législatives se sont déroulées le mois d octobre 2014 et les présidentielles le mois de novembre Ces réalisations ont permis à l expérience tunisienne d achever son parcours transitoire vers un horizon démocratique intégral. 16

17 Avec l élection du président, la Tunisie a terminé le feuilleton des élections pour passer à la phase de la mise en place des institutions législatives et exécutives. Ce qui revient à dire que le processus de démocratisation n est pas encore abouti, mais le processus des élections, en soi, est une preuve que la société tunisienne est capable de gérer ses différends, souvent complexes, à travers le dialogue et au sein des institutions. C est une expérience unique qui est couronnée par un succès dans ce qui est convenu d appeler le «printemps arabe». Elle a dépassé la violence des coups de feu ainsi que le cahot et les assassinats. Et si le succès de cette expérience tunisienne se pérennise, ce sera le premier régime républicain parlementaire dans l histoire des pays arabes ; et c est un défi majeur, en soi, que l élite tunisienne doit relever et, surtout, protéger son modèle et le promouvoir, notamment dans un environnement mouvementé marqué par des régimes politiques fermés et un désordre chaotique. Or, la société tunisienne connait, depuis 2011, une confrontation virulente entre deux groupes : le premier s articule autour de «l appel de la Tunisie» ; le deuxième tourne autour du «mouvement Anahda». Cette même tendance sépare l espace géographique entre les régions du littoral et la Tunisie centrale. Ce qui précède ne signifie pas que l expérience tunisienne est sortie de la période de convalescence. Et si la Tunisie parvient à consolider les acquis de sa transition démocratique, les dangers existent et ils sont nombreux. Ils proviennent de l intérieur comme de l extérieur : 1 les obstacles intérieurs résident dans la capacité de l élite et de la société à gérer la démocratie au quotidien. La démocratie passe par l intégration et la reconnaissance de toutes les composantes de la société, et l adoption du dialogue... 2 la gestion des moyens de développement économique et son impact sur la vie quotidienne des Tunisiens, ou la manière de maintenir l horizon démocratique dégagé et de répondre aux besoins des citoyens. 3 la formation d un premier régime républicain parlementaire dans le monde arabe constitue une expérience originale par rapport aux régimes parlementaires soumis au quota ; il y a une menace des régimes républicains présidentiels basée sur l oligarchie militaire qui viendrait perturber la formation du régime républicain parlementaire en Tunisie. 4 la situation sécuritaire régionale explosive ; au moment où la Tunisie construit son modèle politique intérieur, elle doit affronter les défis sécuritaires de ses voisins oriental et occidental. Nous nous penchons sur l exploration de l expérience Tunisienne, en présence de professeurs et de chercheurs, en vue de contribuer à sa consolidation et de la présenter aux pays limitrophes pris encore, comme d autres, dans la quête des pistes de construction des bases d un Etat démocratique. Et c est pour interagir avec les composantes du cas Tunisien des points de vue : historique, politique, sociologique, économique et académique que nous l avons adopté et jugé digne d être étudié. Président de la table ronde Dr Moussaoui El Ajlaoui, avec la participation d experts de la Tunisie et du monde. Rapporteur général : Dr Mokhtar El Mouhal 17

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20 Table - ronde La sécurité et la démocratie dans le contient africain NADOR 8 Mai 2015 Actuellement, le continent africain est au centre des préoccupations mondiales du point de vue des ressources naturelles et sur les plans économique et sécuritaire. L Afrique est devenue un pôle de croissance mondial et un marché qui sera constitué de 2 milliards d habitants à l horizon En plus, elle est le deuxième exportateur de pétrole et recèle des richesses naturelles telles que les minerais surtout rares utilisés dans les industries électroniques. La stabilité et la sécurité en Afrique L intérêt mondial accordé à l Afrique a contribué à mettre en exergue des problématiques stratégiques comme la sécurité et les mutations démocratiques, à travers lesquelles se sont constituées des politiques internationales et régionales. En Afrique, la sécurité est tributaire du développement et de la paix, par conséquent l instabilité et l insécurité lui coûtent très cher. Durant les dernières années, a été constatée la recrudescence des crises politiques et sécuritaires à cause de l absence de moyens qui permettent la détection des conflits dans leur stade embryonnaire malgré l existence d une instance au sein de l Union Africaine chargée de la paix et de la sécurité. Cependant, cette dernière semble dépassée par les événements dans plusieurs régions. C est pourquoi relier la stabilité et la sécurité au développement social et économique est une condition sine qua non pour passer à une nouvelle phase de construction des sociétés africaines. La configuration des zones de conflits dévoile a priori le rapport entre la situation économique et sociale d un côté et la montée en flèche de la violence d un autre côté, comme c est le cas de la république centrafricaine, l est du Congo et la république du Soudan du sud. Aussi, la problématique de l Etat et ses prérogatives dominent dans certaines parcelles du continent, exemple du Nord du Mali où l absence de l Etat a autorisé la constitution de mouvements djihadistes et de réseaux de crime qui ont franchi les frontières dans le Sahara du centre. A son tour l est de l Afrique n a pas échappé aux problèmes liés à la sécurité. L impossibilité de mettre sur pied un Etat en Somalie et l hégémonie du mouvement des jeunes djihadistes a eu des répercussions négatives sur la sécurité en Somalie, au Kenya et en Tanzanie, sans parler du Soudan du Sud qui peut être considéré comme un mort-né à cause des conflits ethniques et l intervention de plusieurs pays comme l Afrique du Sud et l Etat sioniste. Il est probable aussi que de nouveaux foyers de conflits naissent en Afrique orientale. Les questions de la démocratie dans le continent africain Certains pays africains connaissent une stabilité forte ou relative qui découle d une bonne gouvernance et de l adoption de régimes basés sur les institutions. Il apparaît que les pays du sud de l Afrique ont été les premiers à réussir le passage vers la démocratie. De leur côté, le Ghana, le Sénégal et le Cap Vert connaissent une stabilité politique et sécuritaire dans le cadre d approches économiques participatives. Les régimes à succès en Afrique subsaharienne ont élargi le champ politique aux collectivités, aux ethnies et à la société civile, ce qui a participé à l ancrage de la démocratie. La privation et l exclusion sociales et économiques sont des entraves à la démocratie et créent des conflits alors que la bonne gestion des ressources conduit vers la stabilité. D autres expériences dans le continent ont montré que la stabilité économique des individus et de la société en général, l autosuffisance et la contribution des individus et des groupes est un facteur principal de paix et un moyen pour combattre la pauvreté. Les pays de l Afrique du Nord ont connu également des troubles sociaux après le printemps arabe. Si certains ont pu les dépasser, d autres cherchent encore une issue au milieu d une anarchie complète. A titre d exemple de grandes zones 20

21 au sud de la Lybie abritent différents types de mouvements djihadistes, des réseaux de trafic d armes, de drogue et d émigration clandestine. Cette situation influe négativement sur la sécurité des pays de la Méditerranée, du Sahel et du Sahara Le Maroc a su mettre en œuvre une batterie de réformes politiques et constitutionnelles, créant ainsi un changement qui garantit la stabilité tant au niveau social que sécuritaire. Son histoire atteste de la pérennité des instances gouvernantes qui s adaptent aux tournants décisifs, la création dans les années 90 de l Instance Équité et Réconciliation (IER) en est une illustration. Quant à la Tunisie, elle constitue l exception en réussissant à contourner les écueils du printemps arabe car les élites politiques, syndicales et civiles ont réussi à surmonter le choc pour inaugurer l ère de la construction des institutions politiques constitutionnelles et rédiger des textes-références qui ont fédéré toutes les puissances autour de visions communes. Axes à débattre : Paix et conflits en Afrique : Foyers des tensions et configuration des conflits en Afrique Mouvements djihadistes et crime transcontinental Rôle des organisations régionales, continentales et internationales dans la stabilité du continent Réconciliation et phases transitoires : Démocratie participative, institutions et bonne gouvernance Expériences démocratiques en Afrique Systèmes de bonne gouvernance en Afrique Président de la table ronde Dr Habib Nassar ICTJ, en présence d experts de l Afrique et du monde. Rapporteur général : Dr Azelarab Qorchi 21

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24 Table - ronde Afrique : bilan de la période coloniale et perspectives NADOR 7 Mai 2015 Partant de ses préoccupations et des objectifs qui ont été à l origine de sa création en 2008, le Centre de la Mémoire Commune pour la Démocratie et la Paix adhère pleinement à la thèse et aux idées développées dans la lettre adressée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI à la 69ème session de l Assemblée Générale des Nations-Unies, prononcée par le chef du gouvernement M. Abdelilah Benkirane. Parmi les idées maîtresses de cette lettre royale nous citons : «La question du développement humain durable en Afrique se trouve à l intersection des considérations économiques, sociales, écologiques, sécuritaires et politiques. Elle impose, du fait qu elle constitue un défi humain, de trouver l équilibre nécessaire entre les impératifs du développement économique et social, les exigences de la protection de l environnement et l obligation de préserver les droits des générations futures». A partir de là nous proposons aux participants à la table - ronde les questions suivantes : Quel est le modèle de développement exigé des pays du sud sachant que les dommages collatéraux de la colonisation continuent d exister? Et est-ce qu il y a un seul modèle ou plusieurs modèles qui se réfèrent à la culture, aux principes et aux fondements des pays qui ont subi la colonisation et qui prennent en considération leurs spécificités, leurs processus politiques et leurs parcours de développement? Quels sont ces modèles et comment peut-on les concrétiser? Comment peut-on construire un processus naturel qui mène vers le développement des pays qui ont subi la colonisation? Et comment peut-on revendiquer aujourd hui les «dommages et intérêts» suite aux séquelles causées par les méfaits de la colonisation? Quelles sont les conditions à même de permettre de réaliser la stabilité et le développement dans les pays précédemment colonisés? Et comment peut-on les concevoir sans se plier aux exigences des pays colonisateurs qui ont, de facto, la mainmise sur les grandes institutions financières? Quelle est la relation dialectique entre la stabilité et le développement dans les pays qui ont subi la colonisation et qui en souffrent toujours et comment peut-on réaliser cette relation dialectique alors qu on ne respecte point la souveraineté de ces pays, leur intégrité territoriale ainsi que leurs cultures, leurs coutumes et la dignité de leurs peuples. Pis encore, on les soumet à une notation et une classification qui rappellent aux esprits la période coloniale? Pourquoi les pays colonisateurs et les agences évaluatrices ne prennent en considération que les données liées aux conditions de vie des populations comme la sécurité, la stabilité, les ressources humaines, la compétence des institutions, la qualité de vie et de l environnement, paramètres qui ont une grande influence sur l élaboration des politiques publiques, alors qu ils écartent de leurs démarches tout le capital immatériel? Comment les pays africains peuvent-ils s affranchir de leur passé, de leurs problèmes politiques, économiques et sociaux, et ne compter que sur leurs propres potentialités pour se développer, en oubliant la condamnation du passé colonial? Est-ce qu une démarche fondée sur la justice transitoire conditionnée, proposée auparavant par le Centre de la Mémoire Commune pour la Démocratie et la Paix peut être efficace afin de pallier les stigmates de la colonisation, surtout que c est une démarche qui fait appel à l ancrage et au développement des valeurs de solidarité entre les pays pour maintenir la paix et l entente, et contribuer à la consolidation des liens d amitié entre les nations et les peuples? Elle insiste aussi sur la reconstruction de nouveaux rapports d égal à égal «win/win» entre les pays liés dans le passé par la colonisation, quelle que soit sa forme, et ce pour promouvoir le développement, construire la démocratie dans ces pays et la renforcer aujourd hui et demain et propager la culture de la paix entre les peuples. 24

25 Est-ce que le sous-développement est une fatalité qui frappe les pays colonisés, ou il est tributaire de la dépendance économique, du manque d aide et des sources de financement et de l inexistence d un modèle de développement durable? Comment peut-on s affranchir de cette dépendance? Quelle relation dialectique y a-t-il entre la mise en place de la démocratie et la rupture avec la dépendance des pays colonisateurs sur le plan économique? Comment réaliser la sécurité et la stabilité dans les pays ayant subi la colonisation qui continuent d éprouver un sentiment d injustice et d exclusion historique? Comment mettre fin au crime transcontinental qui se nourrit de la faiblesse du développement humain durable? Nous demandons aux participants à cette table ronde de se pencher sur les quatre axes suivants: Axe I: Les pays colonisés : bilan politique et économique. Axe II: L évolution des situations après les indépendances. Axe III: Les perspectives politiques et économiques dans les pays africains colonisés. Axe IV: Conclusions et recommandations. 25

26 Master Class Cinéma, valeurs et société Mohamed Tozy Le Maroc, comme l atteste l histoire, est une terre de cinéma par excellence, vu qu il a toujours entretenu avec le 7 ème art des rapports très étroits. En plus de toute la panoplie des films coloniaux, des tournages se font à longueur d année dans des studios naturels ou montés de toutes pièces sis principalement dans la région d Ouarzazate surnommée l Hollywood africain. Des cinéastes de renom y tournent des films (parfois à grands budgets), des stars américaines, européennes et arabes jouent sur son sol et sous son soleil; un festival international y est organisé chaque année, des réalisateurs (-trices) marocains (-aines) sont régulièrement primés (-ées) à l échelle internationale et malgré cela le cinéma est un art qui dérange dans notre pays et constitue un objet de discorde perpétuelle. Il provoque des querelles et suscite des débats qui passent parfois de la rue et de la presse au parlement. De ce fait il devient une préoccupation nationale et un objet de revendications populaires. Pratiquement la sortie de chaque film est un prétexte à de vives polémiques surtout depuis les années 2000, avec l entrée en lice d une nouvelle génération de cinéastes, jeunes, affranchis de l autocensure, désireux d installer une ère cinématographique moderne qui accompagne les profondes mutations sociales. Une terminologie étrange est en train de s ancrer dans les différents discours médiatiques qui sert à répertorier les films non pas en fonction du genre ou de la qualité ou des recettes générées, mais en terme de décence et d indécence. Il suffit d un mot ou d une scène qui déborde le cadre préconçu dans l imaginaire collectif pour qu une avalanche de critiques caustiques s abatte sur le réalisateur sous couvert des trois garde-fous, la trilogie sacrée : la religion, le conservatisme et la pudeur. Chez certains le mot critique revêt toujours une connotation négative. Critiquer signifie mettre la casquette du gendarme, guetter les irrégularités et distribuer les contraventions. Tout le travail se résume au répertoriage des lacunes, des omissions et des tentatives de transgression des codes sociaux sans se soucier de la liberté d expression, de l innovation, de l audace et de la lutte contre l immobilisme entre autres revendications de tout vrai créateur dont le talent se refuse aux contraintes et au conformisme. Dicter à un artiste la conduite à suivre c est lui ôter justement sa qualité d artiste. L art ne se plie pas aux attentes, il les crée. Si la monstration des défauts est l un des aspects fondamentaux de la critique, elle ne doit être ni catégorique, ni gratuite ou dénuée de fondements. Et quand bien même un film regorge d imperfections, les relever doit servir à quelque chose de constructif. Les cinéastes subissent des accusations de tous genres. Ils sont incriminés de dilapider les deniers publics dans des productions de bas aloi, de gauchir les goûts, d installer une culture étrangère importée et d enfreindre les règles de bienséance. On colle actuellement l étiquette d art propre aux films qui ne franchissent pas les lignes rouges, qui ne contiennent pas de scènes osées et qui peuvent être regardés par le grand public en toute tranquillité et sans le moindre risque. Quelques affiches précisent même que c est un film pour toute la famille. Pourtant ce faux débat ne doit même pas avoir lieu, ou du moins il n est plus d actualité. C est plutôt un manque de sincérité ou de clairvoyance qu affichent ceux qui veulent jouer aux gardiens des traditions et aux protecteurs des vertus. Ils s entêtent à faire valoir les fondements de la société marocaine qui sont en voie de disparition et à défendre des principes séculaires qui s érodent d eux-mêmes, sous l effet de la modernité. Ce sont ces idées et autres qui sont au centre de nos préoccupations et que nous aimerions approfondir à travers les axes suivants : Peut-on continuer à parler de pudeur et de conservatisme au cinéma alors que ces spécificités des sociétés traditionnelles ont presque disparu au Maroc? Comment peut-on à la fois revendiquer la liberté d expression et imposer la censure aux artistes et aux créateurs? Est-ce que le retour à l ancien code conçu par l Américain William Hays en 1930 qui recommandait aux films américains d éluder tout ce qui peut porter atteinte aux valeurs morales et de recourir à l allusion et à la suggestion notamment en ce qui concerne le crime, la vengeance, l adultère, la perversion sexuelle... est la solution adéquate? Sommes-nous une société hypocrite et schizophrène qui a peur de voir dans ce miroir qui est le grand écran ce qu elle fait et pratique dans la réalité, au quotidien? Pourquoi fait-on toujours valoir l argument religieux pour attaquer le cinéma dans un contexte de plus en plus hostile au cinéma? Le cinéma d un pays doit-il être à l image de ses citoyens et obtempérer à leurs exigences et leurs revendications? Est-ce qu on peut parler réellement d une relation dialectique entre le cinéma national et son environnement? A-t-il un impact sur la société? Contribue-t-il aux profondes mutations actuelles? Est-ce que les vives critiques qui leur sont adressées sont prises en considération par les professionnels du secteur? Azel arab Qorchi 26

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28 Workshop LE CINÉMA ET LA COOPÉRATION SUD-SUD L exemple des expériences marocaine et argentine NADOR 9 Mai De 15h a 18h Objectif À travers cet atelier, le comité d organisation du Festival International de Cinéma et Mémoire Commune s assigne un double objectif : Valoriser et promouvoir la coopération Sud-Sud dans le domaine cinématographique. Encourager les cinéastes à œuvrer dans ce sens en intégrant dans leurs agendas la possibilité de coproduction de films par les pays du sud. Motivations Les pays du Sud ont des histoires, des mémoires, des expériences des processus démocratiques similaires et des perspectives d avenir communes. Par conséquent il est aussi bien nécessaire qu intéressant de partager ces expériences qui constituent une thématique riche et diversifiée parfaitement exploitable dans des films. Le résultat sera sans doute positif au niveau de leur réception par tout récepteur concerné. Axes Échange de points de vue entre les professionnels du secteur sur l importance de promouvoir la coopération Sud-Sud dans le domaine du cinéma, en présence des responsables du champ cinématographique au Maroc et en Argentine, ainsi que des représentants des autres pays participant au festival. Visionnement d extraits de films coproduits par : Argentine-Tunisie, Argentine-Bénin, Argentine-Mali, Argentine-Angola/ Ethiopie. Débat autour des points importants suivants : Les valeurs culturelles. Les recherches ethnographiques. L industrie cinématographique. Les opportunités offertes. Conclusions et recommandations de l atelier Intervenants: Pablo CÉSAR (Argentine) Saâd CHRAÏBI (Maroc) Rapporteur: Dr Omar Abdouh 28

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30 Jury du Long Métrage º Yh»æjódG ɪàLEG º Y ä É KÉëHCÉH É SÉ SCG ±hô e ƒgh.»hô e ÖJÉch» eél PÉà SCG,á«SÉ«ùdG Ωƒ dg åméh.»hô dg É dg á«sé«ùdg ᪠fc G ɪàLEG Président Politologue, professeur d Université et écrivain marocain. Il est surtout connu par ses recherches dans les domaines de la sociologie du religieux et des systèmes politiques du monde arabe. ägƒæ S h Qɪ à S G IÎa É Uƒ ün, îjqéjh»hô ŸG ªàéŸG héæàj á«fékƒdgh á«fghôdg ΩÓaC G øe ójó dg êôncg»ñjgô ûdg ó S,ɪæ«ùdG ƒm äéjóàæe h ägô Dƒe QÉ Th ä É ŸG øe ójó dg Öàc,ôµØeh TÉf.Üô ŸG ICGôŸG Vh h, UÉ UôdG. É dg AÉëfCG «ªL A réalisé de nombreux films et documentaires traitant de la société et de l histoire marocaines, notamment de la période coloniale et des «années de plomb», mais aussi de la condition féminine au Maroc. Militant et intellectuel, il a rédigé de nombreux articles et a participé à des conférences dans le monde sur le cinéma. äéj ƒdg øe πc âãh) ƒjõø à d á«yƒñ SCG á«aé K á, Iƒ b ámgî SG áøddƒeh áéàæe.á«féªæ«s IóbÉfh áéàæeh á«øë U ᫪ á HÉàdG á«féªæ«ùdg äéfélô ŸG áæ Iôjóe,á«fÉÑ SE G,ƒµjOƒjÒÑdG áø«ë U e áfhé àe,(á«æ«jódg ɵjôeCG ho h IóëàŸG é ûj á«yƒ J ᪠æe»gh,ohƒ«dƒg á«ñælc G áaéë üdg ᫪ á«ñælc G ΩÓaC G áæ Iƒ Y,Ohƒ«dƒg á«ñælc G áaéë üdg...ìô ùÿgh ƒjõø àdgh ɪæ«ùdG ÉY ÖgGƒŸG ᫪æjh øødg á SGQóH Ωɪàg G Y Journaliste, productrice et critique cinématographique. Productrice et auteure du Coffee Break, magazine culturel hebdomadaire pour la télévision (diffusion USA et Amérique Latine). Collaboratrice du quotidien, El Periodico (Espagne). Directrice du comité de festivals de cinéma de la Hollywood Foreign Press Association et membre du comité des films étrangers de la Hollywood Foreign Press Association Ée OhóM EG (ATPCC)»Fɪæ«ùdG ó ædéh Vƒ æ d á«ùfƒàdg ᫪ G ù«fq.äé«æ«ñ ùdg òæe» «Øæ«S h hég»féªæ«s.2009 SQÉe òæe,éªæ«ùdg OÉ æd» jôac G OÉ G ù«fq ÖFÉf ƒgh Ancien cinéaste amateur et cinéphile depuis les années 70. Il a été le Président de l Association Tunisienne pour la Promotion de la Critique Cinématographique (ATPCC) jusqu en mai Il est Vice-président de la Fédération Africaine de la Critique Cinématographique depuis mars

31 dòch á«fƒjõø J èegôh áªfgo áø üh hé àe ƒgh.»hô ŸG ÜOC G ü üîàe ô æeh ÖJÉc.áµÑjôîH 1954 ΩÉY ódh.ôjôëàdgh «JÉeƒ ÑjO ófƒeƒd dp Éà á«hô ŸGh á«ùfôødg ë üdg H Né en 1954, à Khouribga, est un écrivain, essayiste et spécialiste de la littérature marocaine. Il est un collaborateur régulier de Programmes télévision ainsi que de certains journaux français et marocains dont Le Monde diplomatique et Libération. á«ùfôødg á dg Òà SÉŸG h á ª ŸG äé SGQódG IOÉ T Y á UÉM,π ùchôh á«mô ùÿg äé SGQódG â HÉJ.á«fÉÑ SG á ã á«féñ SEG øe äé dg à ûh π«ãªàdg Y É JGQób ôjƒ J h É JÈN π üj CG âyé à SG Gó ÑdG àîã É HQÉŒ π ØH.É HGOBGh.ájõ«EG h á«dé jegh á«féÿcgh á«ùfôah Est une actrice espagnole. Études d art dramatique à Bruxelles, maîtrise et D.E.A. en langue et littérature françaises. Son expérience dans divers pays lui a permis de consolider sa carrière et d interpréter des rôles tant en espagnol qu en français, en allemand, en italien ou en anglais.»hô ŸG ƒjõø àdg øe Qhôe ó H.ÚHƒgƒŸG áhqé ŸG ÚLôîŸG øe GóMGh Èà j.ó S 1956 Ȫ ùjo 4 ó«dgƒe øe,»hô e êôfl á «HQ,» Y : d πjƒw»fghq º «a hcg... ɪæ«ùdG ø e «ªL hgr h ÉeÉY 25 IóŸ πªy å«m Üô ŸG EG OÉY,É«dÉ jeéh IÎØd Kƒµeh... ƒh óªmcg á«bgó üe ÉàÑãe,á«ŸÉ dg õfgƒ G øe ójó dg Éf óbh.gõ«ìcc G á«hô ŸG ΩÓaC G áäa Iô TÉÑe πno,... hônb Gh Réalisateur marocain, né le 4 décembre 1956 à Salé, il est considéré comme un des réalisateurs marocains les plus doués. Après un passage à la télévision marocaine et un séjour en Italie, il revint au Maroc où il exerça pendant 25 ans dans tous les métiers du cinéma... Son premier long métrage, Ali, Rabiaa et les autres..., qui remporta plusieurs prix internationaux, lui donna une crédibilité immédiate... GóFGQ Éch.8 ôhƒ S SÉ e øe Ú jƒw Úª «ah GÒ üb ɪ «a øjô ûy ƒ HÉH õ CG óbh.13 ø S ΩÓaC G æ U CGóH,»æ«àæLQCG êôfl øe ófé üb É ØdDƒe º à SG,á«KÓK πµ ûj É LÉàfG QÉ T»àdG ΩÓaC G J.ÚàæLQC G,» UC G ó H Î ûÿg êéàfe G...Ëó dg ƒ üdgô ûdg Est un réalisateur argentin. Il a commencé à faire des films à l âge de 13 ans. Pablo a réalisé vingt courts métrages ainsi que deux longs métrages, en Super 8. Il a été un pionnier dans les coproductions de son pays natal, l Argentine. Pour ces films qui constituent une trilogie, l auteur s est inspiré d anciens poèmes soufis... 31

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