L EAU. Récupération des eaux pluviales. Économies d Eau ECONOMISONS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L EAU. Récupération des eaux pluviales. Économies d Eau ECONOMISONS"

Transcription

1 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Récupération des eaux pluviales et Économies d Eau 1

2 Introduction Priorités de la région Poitou-Charentes Excellence environnementale Reconquête de la ressource de la ressource en eau 2

3 Sommaire du Forum Contexte : Bilan de la situation hydrologique Dispositifs régionaux d aide Trois temps : Les installations chez les particuliers Échanges L usage de l eau sur les espaces publics Échanges L utilisation des eaux récupérées dans les bâtiments collectif Échanges 3

4 Etat de la ressource en eau en Poitou-Charentes La situation au 31 janvier 2006 Impact des pluies du mois de février Perspectives Observatoire Régional de l Environnement Mme Gagneux 4

5 La situation au 31 janvier Rapport à la normale du 1er septembre au 31 janvier 2006 Une pluviométrie déficitaire Une situation d étiage qui se poursuit 5

6 Cumul des précipitations du au Normales de Février Cognac 67 La Rochelle 66 Niort 78 Poitiers 60 6

7 Des écoulements en rivière particulièrement faibles Max Moyen Min

8 Impact des pluies de Février Données DIREN Poitou-Charentes Forte hausse du débit en réponse aux précipitations de la troisième semaine de février, mais diminution rapide à l arrêt des pluies 8

9 Impact des pluies de Février Données DIREN Poitou-Charentes Changement d échelle et observation du comportement des années précédentes : même avec des remontées bien plus importantes qu en février 2006, les débits peuvent chuter et revenir très rapidement au point initial, si les précipitations cessent. 9

10 Les réserves superficielles Une amélioration en février pour les barrages Janvier 2006 Février 2006 Février 2005 Amont Charente entre 20 et 25 % 33 % 33 % Cébron (amont Thouet) 18 % 45 % 43 % Touche Poupard (amont Sèvre Niortaise) 19 % 37 % 31 % Barrages de Charente : niveau équivalent à celui de fin février 2005 Barrages des Deux-Sèvres : remplissage supérieur au maximum de 2005 Le remplissage du Cébron bénéficie d une autorisation de pompage dans le Thouet 10

11 Les réserves souterraines Une situation pluviométrique qui n a pas ou peu contribué à la recharge des nappes Vidange jusqu à fin novembre Recharge à peine amorcée en décembre Niveaux inférieurs à la moyenne, voire aux minima Situation des piézomètres en janvier 2006 par rapport aux années antérieures 4% 26% < au minima 70% < à la moyenne et > minima > à la moyenne Source : Région Poitou-Charentes 11

12 Réserves Situation difficile pour les nappes 7% 33% 60% < aux minima < à la moyenne > à la moyenne 12

13 Nappe libre Données Région Poitou-Charentes Impact visible de la pluviométrie sur les nappes libres qui se rechargent 13

14 Nappe captive Données Région Poitou-Charentes Pluviométrie inefficace sur les nappes captives qui se rechargent très faiblement (même tendance que 2005) 14

15 En conclusion Étiage prolongé tout l hiver Faible recharge Période de recharge possible bientôt terminée Situation difficile à prévoir 15

16 Les dispositifs régionaux Objectif : Éviter le gaspillage de l eau et favoriser la récupération de l eau de pluie dans le cadre de l habitat durable Utilisation sur place Pour des usages adaptés tonneaux-récupérateurs d eaux pluviales 200 kits pour la récupération des eaux pluviales chez les particuliers 16

17 10000 Tonneaux-récupérateurs Comment ça marche? Vous achetez un ou plusieurs tonneaux récupérateurs d eau de pluie d une capacité minimum de 1000 L Résidence principale ou secondaire dans la Région Poitou- Charentes La Région vous aide : 30 % du montant jusqu à 50 maximum par foyer 101 tonneaux aidés lors de la Commission Permanente du 27 février

18 200 Kits Eaux-pluviales Comment ça marche? Vous voulez mettre en place une cuve enterrée de 2500 L à L et une pompe/surpresseur Statut de propriétaire occupant en résidence principale en Poitou-Charentes Limites du revenu imposable Justifier des équipements domestiques économes La Région vous aide : 700 pour une cuve de 2500 L 200 par tranche de 2500 L supplémentaire 4 kits aidés lors de la Commission Permanente du 27 février

19 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 1ère partie : Les installations chez les particuliers 19

20 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU CAPEB Confédération de l'artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment M. EPRINCHARD 20

21 Le contexte Problème du réchauffement climatique et de ses conséquences sur la pluviométrie et les réserves en eau. Évolution de l opinion publique et prise de conscience - que les ressources de la planète ne sont pas inépuisables. - qu il nous faut laisser un environnement viable pour les générations futures. Volonté de la CAPEB de proposer des solutions appropriées - Création d un réseau de professionnels formés et compétents, - Réaliser des installations dans le respect des règles de l art, - Travaux couverts par les garanties et assurances professionnelles obligatoires. 21

22 Kit Eaux Pluviales Un Kit Eaux Pluviales se compose : - Une cuve enterrée pour le stockage de l eau. (Capacité variant de à litres) - Un groupe de pompage auto amorçant. Un kit est connecté : - Au réseau d évacuation des eaux pluviales de l habitation. - Au réseau d alimentation des toilettes de l habitation. 22

23 Kit Eaux Pluviales 23

24 Kit Eaux Pluviales Les eaux pluviales récupérées peuvent servir à : Alimenter les toilettes des habitations Tout usage extérieur non alimentaire (arrosage de jardin, lavage de voiture, nettoyages divers,. Les économies réalisées peuvent couvrir de 30 à 50 % de la consommation moyenne d une famille sachant que les toilettes représentent à elles seules au moins un tiers de la consommation journalière 24

25 La formation aux kits Formation spécifique à l installation de KITS EAUX PLUVIALES Mise en place par la CAPEB Poitou-Charentes et l ARFAB Poitou-Charentes avec le soutien du Conseil Régional Poitou-Charentes - Durée : 1 journée - Public : Professionnels du Bâtiment et des TP - Objectifs : - Maîtriser les conditions techniques et sanitaires de mise en œuvre des systèmes de récupération des eaux pluviales dans les logements individuels. - Mettre en place un réseau de professionnels compétents permettant aux particuliers de bénéficier d installations de qualité (conseils, réalisation des travaux, garanties et assurances) A l issue de la formation : Remise d un guide des bonnes pratiques pour une installation conforme aux règles de l art. 25

26 Réseau de Professionnels et Fiscalité Un réseau de Professionnels formés à l installation de KITS EAUX PLUVIALES se met en place dans la Région - 40 Artisans déjà formés dans Deux Sèvres et Charente. - 4 sessions de formation sont programmées dans les prochaines semaines. Il est prévu que les Professionnels formés interviennent en binôme - Maçon ou Terrassier pour l installation de la cuve. - Plombier ou Electricien pour le groupe de pompage et le raccordement à l habitation. Les Travaux d installation d un KIT EAUX PLUVIALES bénéficient de la TVA à 5,5 % dans la mesure où il permet l alimentation des sanitaires de l habitation 26

27 La communication Document publicitaire remis aux Artisans du Réseau pour informer leur clientèle 27

28 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU SKYWATER Entreprise de kits eaux pluviales pour les particuliers et les industriels M. HERVE 28

29 Principe de fonctionnement Collecte et utilisation multiusages de l eau de pluie 29

30 Points clés du dispositif et particularité du constructeur 30

31 Estimations des besoins Capacité de stockage : Hauteur de précipitations : 889 mm par an par m² Surface de captage : 250 m² Facteur de perte : 0,80 Volume récolté = 0,889 * 0,8 * 250 = 178 m3 Besoins en substitution : 116 m3 31

32 Calcul des volumes utiles 32

33 Matériaux et partenaires à l étrangers Leader en Belgique et en Allemagne Depuis plus de 20 ans une construction neuve sur deux est équipée ( /an) Citerne(s) et systèmes totalement automatisé Normes EU1717 et NF Très peu de consommables 33

34 Références et illustrations 34

35 Situation en Poitou-Charentes 2 sociétés sur la région Poitou-Charentes: SARL CAPE Environnement à Saint-Gelais (79 410) SARL HERVE à Migné-Auxances (86440) Création de la Société HERVE en septembre 2005 après plusieurs mois de recherche pour trouver les meilleurs partenaires produits et conseils techniques 35

36 Skywater Poitou-Charentes 36

37 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 1ère partie : Les questions Les installations chez les particuliers 37

38 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 2ème partie : L usage de l eau sur les espaces publiques 38

39 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Pays Ruffecois Économies d eau dans les jardins du Ruffecois M. HARMAND Syndicat de Pays du Ruffécois 39

40 Syndicat de Pays du Ruffecois L EAU un patrimoine à partager 40

41 Deux publics cibles Accompagner les collectivités : Définir un projet paysager et environnemental cohérent Gérer l eau c est avant tout choisir des essences adaptées au milieu Récupérer et stocker les eaux pluviales Réfléchir aux techniques d arrosage et aux méthodes de gestion 41

42 Deux publics cibles Sensibiliser les particuliers : Mise en place de conférences grand public sur l eau Sensibilisation des jardiniers amateurs sur les économies d eau lors de la dernière exposition florale 42

43 Exposition florale

44 Exposition florale

45 Syndicat de Pays du Ruffecois Des jardins conçus dans le respect de l excellence environnementale 45

46 Localisation des jardins Ouverts au public En projet 46

47 Domaine d'echoisy Commune de Cellettes Élaboration d une charte de qualité environnementale des jardins 47

48 Les Jardins de l'argentor Commune de Nanteuil en vallée Objectif : Développer une gestion raisonnée de ces espaces 48

49 Les Jardins Ephémères Commune de St Fraigne Moyens : Choix des plantes Choix des techniques d arrosage Stockage de l eau Choix des techniques d entretien Lutte intégrée, traitements biologiques 49

50 Rôle du Pays Intervention du Pays via le Contrat Régional de Territoire Aides aux collectivités propriétaires des jardins Jardin Monastique médiéval Commune de Tusson Parc floral Jean-Pierre Lanson Commune de Mansle 50

51 Le Jardin des Sens Réutilisation d une ancienne citerne existante attenante au bâti du XVIème siècle Commune de Montjean 51

52 Le Jardin de la Rose à Ruffec Projet de la Ville de Ruffec Objectif : préservation de la ressource en eau avec implantation d une citerne 52

53 Implantation de plusieurs citernes en série pour une capacité de litres Stockage pour environ m² de toiture 53

54 Utilisation optimisée de l eau : système de programmation de l arrosage mise en place de sondes arrosage au goutte à goutte méthodes de culture adaptées Exemple de cuves en série 54

55 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Isis Control Système de gestion automatique des espaces verts 55

56 ISIS CONTROL Gestion à distance via Internet Transmission des données par GPRS Système adaptable sur le réseau existant Planification cohérente des cycles d arrosage en fonction des données du site 56

57 Capteurs et télégestion Capteurs sur site : pluviomètre, anémomètre, thermomètre, débitmètre, sonde hygrométrique Transmission des données par GPRS Visualisation sur l interface de gestion : données climatiques, données environnementales remontées d alarmes en cas de fuite, coupure d eau, pluie 57

58 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 2ème partie : Les questions L usage de l eau sur les espaces publiques 58

59 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 3ème partie : L utilisation des eaux récupérées dans les bâtiments collectif 59

60 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Direction des Lycées Région Poitou-Charentes M. LEGRAND 60

61 L excellence environnementale des lycées Politique énergétique des lycées Maîtrise des consommations Suivi des consommations, sensibilisation et participation Maîtrise des besoins et des consommations d énergie et d eau Intégration des énergies renouvelables Biomasse chaufferies bois et huile végétale brute Capteurs solaires thermiques Capteurs solaires photovoltaïques Éoliennes

62 Démarche de Qualité Environnementale Intégration systématique dans toutes les opérations immobilières 1ère phase : 10 projets en cours avec programme spécifique A terme : Cahier des charges général des prescriptions environnementales et techniques 62

63 Présentation de la démarche 2 groupes, 4 thèmes, 14 cibles 1 seul projet Maîtrise des impacts sur l'environnement extérieur 1er Groupe ÉCOCONSTRUCTION Thème 1 ÉCOGESTION Thème 2 Énergie, Déchets, Entretien, Eau (cible 5) 3 cibles 4 cibles Création d'un environnement intérieur satisfaisant 2ème Groupe CONFORT Thème 3 4 cibles 3 cibles SANTÉ Thème 4 Gestion de l eau potable Recours à des eaux non potables Assurance de l assainissement des eaux usées Aide à la gestion des eaux pluviales 63

64 Cible 5 : Gestion de l eau ILLUSTRATIONS Stock en sous sol REX HQE Meillonas Toiture végétalisée Revêtement perméable Chasse d eau double commande Toiture de collecte Canalette de récupération des eaux 64

65 Premiers résultats en France Les premiers bâtiments HQE, en phase d exploitation ont permis de constater les économies suivantes : Eau potable : 40 à 60% Chauffage et émissions de CO2 : 30 à 50% Lumière : 25% Déchets de chantier : 20% Réduction du coût global 65

66 Programme d actions en Poitou-Charentes Objectif : réduire la consommation annuelle de 12 m3 par élève à 10 m3, voire 9m3 d ici la fin 2007 Gestion des consommations d eau : Récupération d eau pluviale pour une utilisation intérieure (WC) ou pour l arrosage (et/ou recycler l eau d arrosage) Recours à des végétaux (et matériaux) ne nécessitant pas ou peu d eau Recours à des appareils économes en eau (limiteurs de débit, réducteurs de pression, temporisateurs, ) Développement de la télégestion et un programme de «chasse aux fuites» Gestion des eaux pluviales (toitures végétalisées, séparateurs à hydrocarbures, ) 66

67 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Atlantic Aménagement SA HLM Lotissement économe M. PIERRET Société Anonyme Atlantic Aménagement 67

68 Implantation de la société Activité de la société Atlantic Aménagement est présente dans : 65 communes du département de la Charente-Maritime 2 Communes de la Vendée 1 Commune des Deux Sèvres 70 % de son patrimoine est situé dans l agglomération rochelaise 68

69 La stratégie de construction AXE DE DEVELOPPEMENT : La société s inscrit dans une démarche volontariste d économie et de bon usage des ressources naturelles dans le cadre et les principes du Développement durable Les objectifs de cette stratégie sont : A-Environnemental: en Préservant et pérennisant les ressources naturelles B-Economique: en essayant de stabiliser la progression des charges pour les locataires et les accédants dans le respect de l environnement 69

70 Un exemple en cours d étude En projet : Constructions individuelles hors zone urbaine dense Aménagement d un lotissement à la Jarne, commune périphérique de la Rochelle intégrée à la communauté d agglomération pour réaliser à terme : 30 Logements en accession groupée 15 Logements locatifs Sociaux intermédiaires Une EPHAD de 80 lits, 3 lots de construction en diffus 1 «halte garderie» pour un regroupement de communes Cette opération intègre à ce jour un objectif thématique de développement durable relatif à l eau 70

71 Organisation du lotissement Gestion optimale des eaux de ruissellement Réalisation de fossés pour favoriser l infiltration des eaux 71

72 Mise en place de cuves à la parcelle Récupération des eaux Augmentation des surfaces de toitures pluviales 72

73 73

74 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Les économies d eau : une priorité pour l Agence de l Eau Loire-Bretagne M. RIOU 74

75 Priorité : Les économies d eau Pour préciser notre politique, après plus de 10 ans d expériences Une étude confiée à l OIE (Office Internationale de l Eau) 75

76 Une étude en 3 étapes État des lieux : exploitation de nombreux rapports et enquêtes Estimations des potentiels d économies d eau suivant les secteurs d activités, Propositions d outils pour aider les acteurs de l économie d eau 76

77 État des lieux L état des lieux souligne qu il est indispensable : D améliorer la connaissance des consommations, poser des compteurs effectuer des relevés réguliers exploiter les résultats. De favoriser la circulation de l information, faire partager les expériences. 77

78 Expérience de l agence L expérience des dossiers soutenus par l agence montre : Le facteur humain est déterminant, volonté et détermination des élus, de leurs techniciens, mobilisation de tous dans la durée, Les facteurs financier et technique arrivent dans un second temps 78

79 Expérience de l agence Les potentiels sont très significatifs : 20 à 30 % d économies possibles/opération, Des gisements variables suivants les secteurs d activités : Espaces verts, Campings et hôtels en secteurs touristiques, Bâtiments publics, Logements individuels,. 79

80 Expérience de l agence Mais les gains les plus importants sont à réaliser : dans les réseaux d adduction distribution d eau pour la consommation et bien sûr dans l habitat collectif et individuel 80

81 Les outils Des outils pour aider les acteurs des économies d eau : des «fiches argumentaires» avec des chiffres clés, des références, des rappels méthodologiques des «sites Internet» pour améliorer et partager les expériences : OIEau : et Agence de l eau Loire Bretagne : des aides de l agence de l eau : 30 % du montant des dépenses retenues 81

82 Usages de l eau récupérée Récupération d eaux pluviales : On en parle beaucoup!! Mais de quoi parle-t-on?? Trois usages potentiels sont à distinguer : Arrosages et nettoyages extérieurs, Alimentation des chasses d eau, Usages sanitaires et alimentaires. 82

83 Usages de l eau récupérée Arrosages et nettoyages extérieurs : Aucune contrainte réglementaire Sur le plan économique : bien faire ses calculs Usages sanitaires et alimentaires : La qualité des eaux de consommation est définie par le Code de la Santé Public, les contraintes réglementaires sont nombreuses et les dérogations exceptionnelles. Alimentation des chasses d eau : Une ouverture possible, mais un cadrage réglementaire est nécessaire, des risques sanitaires existants 83

84 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU 3ème partie : Les questions L utilisation des eaux récupérées dans les bâtiments collectif 84

85 Forum régional - 2 mars 2006 ECONOMISONS L EAU Récupération des eaux pluviales et Économies d Eau 85

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne. www.eau-adour-garonne.fr

Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne. www.eau-adour-garonne.fr Économisons l eau Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne Des économies faciles à réaliser Á confort égal, économiser 30% d eau avec des petits équipements adaptables, rentabilisés en moins d

Plus en détail

Eco quartier Vauban Freiburg - Allemagne

Eco quartier Vauban Freiburg - Allemagne Eco quartier Vauban Freiburg - Allemagne En périphérie de Freiburg, à moins de 3 km du centre ville, le quartier Vauban s étend sur 38 hectares, en lieu et place de l'ancienne caserne de l armée française.

Plus en détail

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65 Préservez les ressources naturelles par des constructions écologiques n est qu une étape dans la protection de l environnement. Cela passe aussi par des gestes éco-citoyens au quotidien. Pour en savoir

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE

EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE Dernière révision du document : août 2013 INTRODUCTION L'étape préalable nécessaire à la mise en place d'actions d'économies d'eau en entreprise

Plus en détail

RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS

RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy

Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy Contact : Bernard Tauvel au 5 rue Fabert 54000 Nancy Tél : 06 76 39 39 50 et 03 83 27 67 73 Email : bernard.tauvel@laposte.net

Plus en détail

1 Concevoir son projet et construire

1 Concevoir son projet et construire Se loger avec l économie sociale et solidaire avec l économie sociale et solidaire 1 Concevoir son projet et construire Soutien à la conception de votre projet de construction ou de rénovation, Assistance

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

Classification des actions d efficacité énergétique

Classification des actions d efficacité énergétique Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de

Plus en détail

Présentation du cas de la Région de Bruxelles-Capitale (RBC)

Présentation du cas de la Région de Bruxelles-Capitale (RBC) Présentation du cas de la Région de Bruxelles-Capitale (RBC) Par Bruxelles-Environnement (IBGE) Département Eau Les grandes lignes de la présentation - Particularités de la RBC face au cycle naturel de

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat 2012 Construction éco-citoyenne : l intérêt de chacun, un bienfait pour tous! La Région Martinique a renforcé

Plus en détail

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable

Plus en détail

POLITIQUE IMMOBILIERE DE LA REGION CHAMPAGNE-ARDENNE PLAN PATRIMOINE ENERGIE ACCESSIBILITE PPEA

POLITIQUE IMMOBILIERE DE LA REGION CHAMPAGNE-ARDENNE PLAN PATRIMOINE ENERGIE ACCESSIBILITE PPEA 1 POLITIQUE IMMOBILIERE DE LA REGION CHAMPAGNE-ARDENNE PLAN PATRIMOINE ENERGIE ACCESSIBILITE PPEA SOMMAIRE 1. OBJECTIFS ET ENJEUX 2. METHODOLOGIE 3. AUDIT ENERGETIQUE ET GROS ENTRETIEN 4. STRATEGIE ENERGETIQUE

Plus en détail

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs

Plus en détail

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

LOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence

Plus en détail

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS 1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX

Plus en détail

Toitures et charpentes

Toitures et charpentes Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont

Plus en détail

ÉCO-RÉNOVER EN TOUTE SIMPLICITÉ

ÉCO-RÉNOVER EN TOUTE SIMPLICITÉ ÉCO-RÉNOVER EN TOUTE SIMPLICITÉ Mieux maîtriser les enjeux de la construction et de la rénovation durables Engagé dans une démarche éco-volontaire depuis ses débuts, Raboni lance le programme R+. Son objectif

Plus en détail

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience Bernard de Gouvello CEREVE-ENPC/CSTB Séminaire Fac Eco Bruxelles 1 er Octobre 2009 1 Structuration de la présentation

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

Construction modulaire pour la Faculté des sciences

Construction modulaire pour la Faculté des sciences Construction modulaire pour la Faculté des sciences Résultat de l'évaluation Outil mis à disposition par l'unité de développement durable du Département des infrastructures de l'état de Vaud. Données concernant

Plus en détail

étudié pour les étudiants!

étudié pour les étudiants! étudié pour les étudiants! Réussir, c est une question de volonté, c est aussi être accompagné. Un concept étudié pour les étudiants On ne réussit jamais par hasard. Qu il s agisse de ses études ou de

Plus en détail

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Supplément au guide :

Supplément au guide : Supplément au guide : De très nombreuses aides peuvent financer une partie des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics, prestations de maîtrise d œuvre fourniture et pose

Plus en détail

Choisir un professionnel compétent

Choisir un professionnel compétent L habitat Choisir un professionnel compétent COMPRENDRE Pour des bâtiments économes en énergie Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction Faites appel à des professionnels compétents... 3 Des

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,

Plus en détail

SURFACES ET EFFECTIFS

SURFACES ET EFFECTIFS 2,91 m 3,50 m 6 m 3,50 m 3,50 m 5,80 m 3,50 m 3 m 3,50 m rue des Sablons COUPE RESTRUCTURATION D'UN ENSEMBLE IMMOBILIER 29-31 rue des Sablons - Impasse des prêtres 75016 PARIS COMMERCIALISATION COUPE COMMERCIALISATION

Plus en détail

Un projet Bois Energie Citoyen?

Un projet Bois Energie Citoyen? Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Supplément au guide :

Supplément au guide : Supplément au guide : Les aides pour les propriétaires au 1 er janvier 2014 De très nombreuses aides peuvent financer jusqu à 95% des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics,

Plus en détail

COLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF»

COLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF» COLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF» LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Michel BOURLOUX 06/03/2013) LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Sommaire 1. Préambule 1.1 Les Besoins

Plus en détail

Présenté par Stéphane Hurens

Présenté par Stéphane Hurens Présenté par Stéphane Hurens Le 7 octobre 2013 annonce du gouvernement du Québec Politique économique Priorité emploi avec 2 milliards de dollars en fonds publics : 43 000 nouveaux emplois d ici 2017.

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail

NF habitat & nf habitat hqe TM

NF habitat & nf habitat hqe TM NF habitat & nf habitat hqe TM Certification rénovation maison l essentiel pour les professionnels Applicatif NF 500-02 - Version 1.0 introduction Depuis 1999, CÉQUaMi, filiale de l association QUaLiteL

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

p. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11

p. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11 L eau est une ressource essentielle partagée par tous. Elle est indispensable à l équilibre des écosystèmes, au développement durable et à notre survie même. L eau fait partie des préoccupations prioritaires

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2 Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

Opluvia, qui sommes-nous?

Opluvia, qui sommes-nous? CLEANTUESDAY Nord-Pas-de-Calais 06 mars 2013 Opluvia, qui sommes-nous? Notre métier: spécialiste des installations de récupération et de valorisation de l eau de pluie Notre activité: Distribution de produits

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

l éco-agent Le Guide de Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou

l éco-agent Le Guide de Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou Le Guide de l éco-agent Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou «L'écologie est aussi et surtout un problème culturel. Le respect de l'environnement passe par un grand nombre de changements comportementaux.»

Plus en détail

<< easylife.dedietrich-thermique.fr >> Wingo EASYLIFE

<< easylife.dedietrich-thermique.fr >> Wingo EASYLIFE Chaudière fioul à condensation Wingo EASYLIFE La condensation fi oul à prix gagnant! >> Un maximum d économies >> Le confort accessible >> Idéale pour la rénovation

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES

ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES ASSEMBLAGE DE NOEUDS SOCIO-ÉNERGÉTIQUES : CHAINES DE DÉCISIONS ET APPROCHES EXTRA- ELECTRIQUES PCEHT Séance 3 Gilles Debizet Université de Grenoble 1 UMR PACTE (CNRS, IEP, UPMF, UJF) 16/04/13 DEBIZET PCEHT

Plus en détail

2.0 MegaWattBlock pour parcs solaires

2.0 MegaWattBlock pour parcs solaires The better electric. 391 MWc puissance photovoltaïque construite par BELECTRIC 2011. BELECTRIC est le leader mondial de l étude, la fourniture et la réalisation (EPC) de systèmes photovoltaïques selon

Plus en détail

Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures

Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures 2012 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire et normative a été établie à partir : de la norme NF EN 858-1 COMPIL sur les

Plus en détail

Hélianthe. L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique

Hélianthe. L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique Hélianthe L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique La société EIFFAGE CONSTRUCTION METALLIQUE, anciennement Eiffel Construction Métallique, a fait l objet, par décision exécutoire

Plus en détail

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

C.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8

C.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8 Communauté de communes de la MONTAGNE BOURBONNAISE CONSTRUCTION D UN BATIMENT LOCATIF A USAGE ARTISANAL OU INDUSTRIEL Zone d activités du Mornier 03250 LE MAYET DE MONTAGNE Marché de travaux C.C.T.P. D.P.G.F.

Plus en détail

Choc de simplification

Choc de simplification Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

L Envol La destination shopping et détente de Montélimar

L Envol La destination shopping et détente de Montélimar L Envol La destination shopping et détente de Montélimar Dossier de presse 15 octobre 2013 www.groupe-sodec.com Contact presse : Jeanne BAZARD jeanne.bazard@groupe-sodec.com 01 58 05 15 59-06 82 43 45

Plus en détail

livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr

livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr www.hdgdev.com 1 PROVAIR POUR EN SAVOIR PLUS! CODEVair : Livret d éd épargne monétaire rémunr munéré. Fonctionnement identique à celui d un d livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr munération indexé

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT :

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT : Proposition d Assurance Responsabilité Civile et décennale des Entreprises de Construction A retourner par Fax au 04 37 24 52 79 ou par mail à narjisse.boughanemi@entrepreneursdelacite.org Tél : 04 37

Plus en détail

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit

Plus en détail

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice

Plus en détail

L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012

L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012 L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes Réunion d information le 16 novembre 2012 1. Introduction générale 2. Projection du film «Auto-construction accompagnée

Plus en détail

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille

Plus en détail

Catalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010)

Catalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010) Département des finances, des institutions et de la sécurité Service cantonal des contributions Section des personnes physiques Departement für Finanzen, Institutionen und Sicherheit Kantonale Steuerverwaltung

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013. Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif

Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013. Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013 Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif Le rôle de l architecte Par Alain Stevens, Chef de Service en maîtrise d ouvrage et construction

Plus en détail

Les aides financières

Les aides financières Guide Pratique Les aides financières Travaux d amélioration et d entretien L HABITAT RÉCONCILIONS PROGRÈS ET ENVIRONNEMENT TRAVAUX D AMÉLIORATION ET D ENTRETIEN : DÉCOUVREZ LES AIDES FINANCIÈRES ET RECOMMANDATIONS

Plus en détail

Mise en œuvre de les capteurs dans la gestion de l eau

Mise en œuvre de les capteurs dans la gestion de l eau Mise en œuvre de standards OGC pour les capteurs dans la gestion de l eau Forum OGC France Journée de l interopérabilité 5 décembre 2012 Simon Le Grand 09/12/2012) Veolia Eau Ile de France Direction Technique

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail