1.1 Quelles sont les sources de la croissance économique? CH- Intérêts et limites du PIB comme mesure de l activité économique
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- Gabrielle Larocque
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1 1. Croissance, fluctuations et crises 1.1 Quelles sont les sources de la croissance économique? CH- Intérêts et limites du PIB comme mesure de l activité économique I/ Intérêts et limites du PIB comme mesure de l activité économique. A) INTERÊTS Rappels de Première : L activité économique renvoie à l ensemble des biens et des services produits par les agents économiques d un pays ou d une zone. En d autres termes, mesurer l activité économique revient à évaluer la production globale de biens et de services réalisée par tous les agents économiques situés dans un pays ou une zone géographique à un moment donné ; Problème : «comment mesurer la contribution de chacun des agents économiques installés sur le territoire national à la création de ces richesses?» (Donc évaluer l ensemble de la richesse produite!) Réponse de la comptabilité nationale* : «En utilisant la Valeur Ajoutée (VA) afin de mesurer la production d un agent» Valeur ajoutée (VA) = Chiffre d affaire* Consommations Intermédiaires* NB : La VA mesure la valeur (= richesse) qu un agent économique a créé (= ajoutée) par son activité en détruisant / transformant les biens et services qu il a achetés à d autres producteurs (= Consommations Intermédiaires). «Le PIB (Produit Intérieur Brut) afin de mesurer la production globale à l intérieur du pays». En simplifiant PIB = Somme des VA des acteurs productifs installés sur le même territoire quelles que soient leurs nationalités. Plus précisément PIB = somme des VA + impôts sur les produits subventions sur les produits Pour information, le PIB de la France en 2012 représente environ milliards d. Le PIB permet de mesurer : - La production «MARCHANDE» (EX : Automobiles), c'est-à-dire celle qui est destinée à être vendue à un prix qui couvre plus de 50% des coûts de production (elle est mesurée par le PIB marchand) ; 1
2 - La production «NON MARCHANDE» (EX : services d éducation), c'est-à-dire celle qui met à disposition des produits (principalement des services) gratuits ou dont le prix ne couvre qu une faible partie du coût de production (elle est mesurée par le PIB nonmarchand). B) LIMITES ATTENTION : Le PIB peut être exprimé : en «valeur», en «volume», en «courants», en constants, etc. (Voir votre TD de Première sur le POUVOIR D ACHAT / Euros courants / Euros constants). C est à partir du PIB que l on va pouvoir calculer le TAUX DE CROISSANCE ECONOMIQUE*. Taux de croissance économique = taux de variation en % du PIB entre deux dates. Ou encore Taux de croissance économique = x 100 Voici la liste des principales critiques que l on peut adresser au PIB. 1) «Des activités peu ou pas prise en compte du tout». Article : J. Gadrey et D. Méda, Alternatives Economiques Poche n 48 mars Une même activité peut-être produite en contrepartie d une rémunération ou de manière gratuite. Le PIB va mesurer la première et ignorer dans certains cas la seconde (EX : «passer l aspirateur chez soi ne change pas le PIB, alors que payer une femme de ménage pour le faire l accroît ; même chose quand on aide [gratuitement] un voisin). - Les activités de l économie souterraine échappent à la mesure du PIB. Le travail clandestin et les trafics en tous genres (organes / drogues / cigarettes / prostitution, ) conduisent à des transactions monétaires (certes!) mais volontairement cachées qui ne peuvent donc pas être évalué par le PIB. 2) «Le PIB ne dit rien de la répartition des richesses qu il comptabilise». Article : J. Gadrey et D. Méda, Alternatives Economiques Poche n 48 mars «Le PIB et sa croissance indiquent le «beaucoup produire» * + Une augmentation du PIB, signe d une augmentation des richesses disponibles dans une économie peut donner l illusion que ces richesses profitent à tous de manière égalitaire alors qu en fait cet enrichissement profite seulement à une minorité. Ainsi un pays avec un PIB élevé et/ou un taux de croissance rapide (EX : la Chine) peut connaître un creusement des inégalités (économiques mais aussi sociales!) au sein de sa population. Ainsi, la hausse du PIB peut très bien s accompagner d une hausse de la pauvreté, de l exclusion et de la précarité pour une partie de la population alors qu une autre voit son niveau de vie croître de manière insolente! 3) «La hausse des richesses n est pas toujours une bonne nouvelle!», «on peut être plus riche mais de quoi??!». 2
3 Une des critiques les plus fortes adressées au PIB est qu il comptabilise de la même manière les activités qu elles aient des conséquences positives ou négatives sur l environnement, la santé humaine et donc sur le bien-être social! «[ ] D'une manière générale, tout ce qui peut se produire et se vendre avec une valeur ajoutée monétaire va gonfler le PIB et la croissance, indépendamment du fait que cela ajoute ou non au bien-être individuel et collectif. La destruction organisée des forêts tropicales pour y planter du soja transgénique ou des végétaux destinés aux agro-carburants est bonne pour le PIB des pays concernés et pour le PIB mondial. Peu importe que ce soit une catastrophe écologique et que les peuples indigènes soient chassés manu militari, rien de tout cela n'est reflété dans le PIB. Car le PIB est indifférent à la nature de l'activité génératrice de revenus : que ce soit une augmentation des ventes d'armes, d'antidépresseurs, ou une hausse des services thérapeutiques effectués à cause de l'explosion du nombre de cancers, tout cela est compté comme «positif» par le PIB. [ ] Par ailleurs : [ ] «le PIB augmente du fait d'activités qui consistent seulement à réparer des dégâts divers commis par d'autres activités qui, elles aussi, gonflent le PIB (par exemple, dépolluer). Il y a alors croissance économique mais aucune progression du bien-être puisqu'on ne fait, dans le meilleur des cas, que revenir au point de départ. [ ]». En France, la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social créée par le gouvernement en 2008, et présidée par Joseph E. Stiglitz (prix Nobel d économie en 2001) a publié un rapport qui adresse 2 critiques fondamentales à notre système statistique de mesure de nos performances : - Il met principalement l accent sur la production économique et pas assez sur la mesure du bien être de la population. Selon le rapport, il ne faut pas nécessairement le faire disparaitre le PIB mais le compléter avec des indicateurs capables de mesurer d autres dimensions du développement (tout ce qui touche au bien être de la population présent et futur et plus généralement au progrès social). - Le PIB n évalue pas la «soutenabilité» de notre croissance. Cet élément renvoie à l idée que la croissance (= l augmentation des richesses produites dans un pays) doit «permettre de satisfaire les besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs». (c est la définition du «développement soutenable ou durable» défini par le Rapport Brundtland, ONU, 1987). Ni le développement, ni le bien-être ne se réduisent à la dimension économique : Source : Manuel de Première ES, Hatier 2011 D où l apparition de nouveaux indicateurs. 3
4 Article : «La bataille des indicateurs» issu du dossier «Richesse, bien-être, progrès : comment refaire les comptes», Alternatives Economiques n 270 et BIP 40 (Baromètre des Inégalités et de la Pauvreté) ; - Epargne nette ajustée ; - L empreinte écologique ; - Les PIB «verts» ; - L IDH* (Indicateur de Développement Humain) qui a été proposé par le PNUD (Programme des Nations Unis pour le Développement) en C est un indicateur composite dont la valeur varie entre 0 et 1 et qui a pour objectif de refléter 3 aspects du développement économique et social : le PIB réel par habitant, l espérance de vie à la naissance et le degré d éducation (mesuré par le taux d alphabétisation des adultes et la durée moyenne des études). 4) «Le PIB : un indicateur courant du niveau de vie des populations pas si fiable que cela!». a) Le PIB/Hab : un indicateur largement utilisé dans la mesure de l évolution des niveaux de vie. Croissance économique et évolution du niveau de vie sur la longue période dans les pays développés. Evolution du PIB par habitant dans les pays développés Source : Manuel de Première ES, Hatier 2011 NB : La méthode de la PPA permet d évacuer les erreurs liées aux écarts de taux de change des monnaies entre pays et dans le temps. «22 825» «En 2001, dans les pays développés, le PIB par habitant aux prix de 1990, s élevait à US$ PPA». Depuis la révolution industrielle (début du XX ème siècle en Europe), ce niveau de vie a été multiplié par 19 environ. La principale explication est l augmentation de la production de biens et de services. «3,3» Entre 1950 et 1973, dans les pays développés, le PIB par habitant aux prix de 1990 et en US $ PPA, a augmenté en moyenne de 3% par an». On constate que la croissance du PIB/Hab. n a pas été régulière : d abord modeste de 1820 à 1950, elle s accélère pendant la période dite des «30 Glorieuses» ( ) avec le taux de croissance le plus élevé sur la période observée, et enfin moins forte depuis le 1 er choc pétrolier. 4
5 IMPORTANT : Nous verrons plus loin qu une des causes principale de la forte croissance du PIB/Hab. pendant les 30 Glorieuses tient aux importants gains de productivité obtenus au cours de cette période. Croissance économique et évolution du niveau de vie sur la longue période dans les pays développés. Source : Manuel de Première ES, Hatier 2011 Sur l'ensemble de La période, les inégalités de revenus per capita entre la France et l'ensemble des pays en développement (pays émergents inclus) ont peu évolué. Ce constat doit cependant être affiné: malgré l'amélioration constatée à partir de 2000, la position relative des Africains est sensiblement moins bonne en 2008 qu'en 1980, alors que celle des Chinois et des Indiens n'a pas cessé de s'améliorer. b) mais croissance du PIB/habitant croissance du niveau de vie A partir de l article : «Le niveau de vie des français est au point mort», 15/11/2011 consulté le 04/12/2011. Qu entend-t-on par «niveau de vie*»? Cela renvoie à la quantité de biens et de services qu un individu, un ménage ou un groupe social peut se procurer compte tenu de ses ressources. IMPORTANT : C est donc une notion quantitative qu il ne fait pas confondre avec le «mode de vie *» qui renvoie aux manières de vivre, de consommer, d utiliser son temps libre, etc. d un ménage ou d un groupe social. 5
6 Puisqu on utilise le PIB/Habitant pour évaluer le niveau de vie, on peut donc en déduire que ce qui mesure le niveau de vie ce n est pas la production totale de biens et de services dans le pays mais la production consommée par habitant. «il ne faut pas confondre taux de croissance du PIB et taux de croissance du niveau de vie». Pourquoi? : taux de croissance du PIB réel = + 1,1% par an, dans le même temps la population a augmenté de 0,7% par an. Conclusion : le PIB par habitant (= le niveau de vie) n a augmenté que de 0,3% (0,4% si on simplifie) et non de 1,1%! Dans le signe «PIB», le «B» signifie «Brut», c'est-à-dire qu il ne prend pas en compte l usure du capital fixe (que l on appelle l amortissement*). Ainsi, le capital usé doit faire l objet d un remplacement ; une partie de la production va être utilisée dans ce but et ne sera donc pas distribuée aux ménages pour couvrir leurs besoins et leur consommation. Dans ces conditions, ce qui va permettre aux ménages de couvrir leurs besoins, ce n est pas la production «Brute» mais : la production brute l amortissement = la production nette. Or, sur la période , les amortissements ont augmenté plus vite que le PIB, ce qui amènerait à minorer encore une fois le taux de croissance annuel du PIB par habitant de 0,4% à 0,2%. Enfin, il faut prendre en compte l évolution des investissements (= FBCF). Or, on sait que les investissements réalisés au cours d une année n affectent pas immédiatement le niveau de vie des habitants ils auront en fait des répercutions sur leur niveau de consommation des années futures! Dans ces conditions, si les investissements augmentent plus vite que le PIB alors la croissance du PIB par habitant risque encore d être diminuée. AU FINAL : sur la période , si on part d un taux de croissance annuel du PIB de 1,1% sur la période et que l on tien compte des remarques formulées en, et alors le niveau de vie n aura augmenté que d à peine 0,1% (pour info : les données officielles parlent d une augmentation de 0,7%). Niveau de vie = (d après Rémy Prud homme). «d autres éléments affectent le pouvoir d achat des ménages et doivent être pris en compte pour attester ou non d une élévation du niveau de vie». - Le niveau d endettement des ménages. Le crédit permet aux ménages de consommer des biens et/ou des services que leurs seuls revenus ne leur auraient pas permis d acquérir. C est la raison pour laquelle une augmentation de la consommation des 6
7 ménages peut s accompagner d une augmentation de la dette des ménages avec les risques qui lui sont liés (surendettement, insolvabilité, etc.). - L évolution des impôts sur les revenus et le patrimoine. Le revenu disponible* des ménages détermine la quantité d argent qu ils vont pouvoir consacrer à la consommation (et/ou à l épargne). La fiscalité (directe ou indirecte*) va impacter la consommation (puisqu elle se traduit par une ponction sur les revenus du ménage) et l épargne (puisqu il existe une fiscalité particulière sur certains produits d épargne). Ainsi, au niveau de l économie dans sa globalité, si les impôts augmentent plus vite que le PIB, le niveau de vie de la population va être amputé. Remarque : de même, l augmentation de la dette publique et des charges d intérêt qui lui sont liées peuvent conduire les pouvoirs publics à rechercher des sources de financement pour les payer. Dans ce cas encore, c est une part de la richesse du pays qu aurait pu se partager la population qui va aux préteurs étrangers! - Le niveau de l inflation*. Qu il s agisse de l augmentation du prix des énergies fossiles importées à grands frais, ou des obligations et réglementation autour de la sécurité (EX : rénovation contrainte des ascenseurs), et de l environnement (EX : éco participation, malus écologique, etc.), la note payée par les ménages a tendance à s alourdir ce qui grève aussi leur pouvoir d achat! P. Bailly 01/
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