Rentrée scolaire 2014/2015 LE GUIDE DU COLLÉGIEN. Éducation - L action Départementale
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- Edgar Faubert
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1 Rentrée scolaire 2014/2015 Éducation - L action Départementale LE GUIDE DU COLLÉGIEN
2 Conseil Général de La Réunion 2, rue de la Source Saint-Denis Cedex Tél. : Fax : Photos : Daniel Lebon / Bruno Bamba / Alexandre Rivière / Florian Gauvin / Erland De Vienne / D.R. Septembre 2014
3 3 SOMMAIRE Édito...4 La politique départementale en matière d éducation...7 Cartographie de tous les collèges de l île...8 Le patrimoine : les collèges publics...10 Les collèges : construction et entretien...11 Le nouveau collège 12 e km au Tampon...12 L ACTION DÉPARTEMENTALE EN FAVEUR DE L ÉDUCATION Les collèges publics : les dotations financières...15 Les collèges publics : les dotations financières en faveur des nouvelles technologies de l information et de la communication...17 Les collèges privés : les dotations financières...19 Les personnels techniques : les ATTEE et les EMATT...21 Les personnels techniques : les missions...22 Les collèges publics : la restauration scolaire Promouvoir et valoriser : la production locale dans la restauration scolaire...26 La restauration scolaire : les actions innovantes Collégiens en mobilité : filières spécialisées...31 Les actions volontaristes : le développement et la promotion du sport : U.N.S.S Les actions volontaristes : le Passeport Éducatif du Collégien (PEC).. 33 Les actions volontaristes : l embellissement du cadre de vie des collégiens, dont le concours du plus beau collège fleuri...34 Les actions volontaristes : les carnets de voyages...35 Les actions volontaristes : l offre culturelle et environnementale Les actions volontaristes : le Conseil Général des Jeunes...37
4 4 Depuis les lois de décentralisation, le Département a des compétences accrues et obligatoires en matière d éducation et particulièrement en direction des collèges. Les interventions du Département, notamment au niveau du transport scolaire et des collèges sont dites obligatoires car fixées par les textes de lois. Cependant, le Département a souhaité développer en parallèle des dispositifs facultatifs bien souvent méconnus et qui viennent en appui à nos compétences en matière d éducation. La réussite scolaire est un axe majeur et prioritaire de notre politique éducative. En effet, notre collectivité est pleinement consciente que le succès de sa mission en matière d éducation est un des facteurs clés pour améliorer la situation sociale des Réunionnais et prévenir ainsi l exclusion. Nous avons comme ambition d accompagner nos jeunes vers le chemin de l excellence. Nos interventions ciblent à la fois un public très large et des compétences transversales. S agissant du public, nos dispositifs d aide touchent aussi bien les enfants des écoles primaires, les collégiens que les étudiants. Concernant les compétences transversales, nous avons développé des politiques et des dispositifs dans les domaines suivants : > La mobilité (voyages linguistiques des collégiens) > Le sport (subvention aux associations sportives affiliées à l Union Nationale du Sport Scolaire - UNSS) > Les bourses (bourses départementales et allocations de scolarité)
5 5 > Les technologies de l information et de la communication (réalisation de travaux de câblage et d extension des réseaux informatiques des collèges) > L éducation à la citoyenneté (Conseil Général des Jeunes) > Le logement étudiant (CIUP - Cité Internationale Universitaire de Paris) > La lutte contre l illettrisme (le Département finance l accompagnement scolaire des enfants bénéficiaires de l aide sociale à l enfance et a été signataire du plan d orientation de la prévention et de la lutte contre l illettrisme / ) > L enseignement primaire (les sorties pédagogiques, les classes de lecture et d écriture) > Le bâti scolaire (construit et rénove les collèges) > Le transport (le Département facilite le transport des étudiants : carte Libre Circulation) > L excellence éducative (le Département attribue chaque année des prix aux collégiens les plus méritants et favorise aussi les filières d excellence en participant aux frais de scolarités lorsque ceux-ci sont supérieurs à ) La priorité pour la collectivité est de faire associer l égalité des chances et réussite scolaire et d inscrire l homme réunionnais dans son rôle de citoyen du monde. Le Département mobilise les solidarités sociales et se positionne au cœur de cet enjeu. Présidente du Conseil Général
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7 7 La politique départementale EN MATIÈRE D ÉDUCATION Le législateur, avec les différentes lois relatives à la décentralisation, a confié au Département des compétences accrues en faveur des collèges. Malgré ses nombreuses obligations, le Conseil général va plus loin et mène une politique volontariste forte en matière éducative, afin de concourir à la réussite scolaire de sa jeunesse. Ses obligations légales concernent la mise à disposition des établissements les moyens nécessaires à un bon fonctionnement, en vue d'assurer un accueil de qualité aux collégiens et de gérer les missions de restauration scolaire, d'entretien général et technique du bâti, exercées par les personnels ATTEE dans les collèges. Par ailleurs, il doit participer aux dépenses de fonctionnement des collèges privés sous contrat d'association. Pour les collèges, sa politique volontariste est axée autour de la mise en œuvre des initiatives favorisant l'épanouissement, l'enrichissement et l'ouverture des élèves vers l'extérieur à travers : > le Passeport Éducatif du Collégien (PEC), > le Conseil Général des Jeunes, > le soutien aux associations sportives affiliées à l'unss. Répartition des montants attribués aux collèges : > Dotations financières 2014 : 14,8 M > Construction - entretien 2013 : 15 M > Ressources Humaines : 38 M > Actions facultatives 2014 : 1,2 M
8 8 Cartographie de TOUS LES COLLÈGES DE L ÎLE Saint-Denis : Collèges : Deux-Canons, Montgaillard, Mahé de Labourdonnais, Le Chaudron, Émile Hugot, Bourbon, La Montagne, Jules Reydellet, Juliette Dodu, Les Alizés, Les Mascareignes, Bois-de-Nèfles La Possession : Collèges : Texeira da Motta, Jean Albany, Raymond Vergès Le Port : Collèges : Jean le Toullec, l Oasis, Edmond Albius, Titan Saint-Paul : Collèges : Célimène Gaudieux, Albert Lougnon, le Bernica, Plateau-Caillou, L Étang, Jules Solesse, Antoine Soubou, Les Aigrettes Trois-Bassins : Collège : Trois-Bassins Entre-Deux Collège : Le Dimitile Saint-Leu : Collèges : Marcel Goulette, Chaloupe Saint-Leu, Pointe des Châteaux Cilaos : Collège : Alsace Corré Les Avirons : Collèges : Adrien Cadet Aimé Césaire (inter-communal Étang-Salé/Avirons) Étang-Salé : Collège : Simon Lucas Saint-Louis : Collèges : Plateau-Goyaves, Jean Lafosse, Leconte de Lisle, Le Ruisseau, Hegésippe Hoarau Saint-Pierre : Collèges : Terre-Sainte, les Tamarins, Henri Matisse, La Ravine-des-Cabris, Paul Hermann, Ligne des Bambous, Émilien Adam de Villiers
9 9 PRÉVISIONS DE RENTRÉE 2014 Les collèges : 77 collèges publics : collégiens (dont en SEGPA et ULIS) 6 collèges privés : collégiens (dont 50 en SEGPA et ULIS) Sainte-Marie : Collèges : Jean d Esme, Adrien Cerneau, Beauséjour Sainte-Suzanne : Collèges : Hippolyte Foucque, Quartier Français-Lucet Langenier Saint-André : Collèges : Cambuston, Mille-Roches, Terrain Fayard, Chemin Morin, Joseph Bédier Salazie : Collège : Auguste Lacaussade Bras-Panon : Collège : Bras-Panon Saint-Benoît : Collèges : Hubert Delisle, Amiral Bouvet, Bassin Bleu, Guy Moquet Sainte-Rose : Collège : Thérésien Cadet Plaine-des-Palmistes : Collège : Gaston Crochet Le Tampon : Collèges : Michel Debré, La Châtoire, Trois-Mares, Terrain-Fleury, Marthe Robin, 14 e km, Tampon 12 e Saint-Philippe : Collège : Bory de Saint-Vincent Petite-Île : Collège : Joseph Suacot Saint-Joseph : Collèges : La Marine, Achille Grondin (ex Sang Dragons), Joseph Hubert
10 10 Le patrimoine LES COLLÈGES PUBLICS 77 COLLÈGES EN 2014 : > 25 SEGPA > 366 logements de fonction > m 2 de surface de terrain > m 2 de surface de plancher n 1986 : m % n 2014 : m 2 > Surface par élève [planchers] (32 collèges neufs livrés dont 6 reconstruits, 8 SEGPA neuves réalisées, 230 modules) Typologie : salles d enseignement général et spécialisé, bureaux, EPS, restauration scolaire, logements. > Surface bâti scolaire [planchers] (32 collèges neufs livrés dont 6 reconstruits, 8 SEGPA neuves réalisées, 230 modules) n 1986 : 6,2 m % n 2014 : 11,1 m 2 > Investissement : : 564 M dont : n 351 M (collèges neufs, extensions, équipements sportifs, resto-sco) n 213 M (grosses réparations, maintenance, subventions)
11 11 Les collèges CONSTRUCTION ET ENTRETIEN LES OBJECTIFS POUR LE BÂTI SCOLAIRE : >.Assurer l accueil des élèves, avec des surfaces de locaux suffisantes. > Améliorer les conditions de travail des élèves et de la communauté éducative. > Assurer nos obligations de propriétaire. LES MISSIONS DU CONSEIL GÉNÉRAL : > Gestion des sites : relationnel collèges, connaissance des sites, immobilier, programmation technique et financière des travaux, subventions aux collèges. > Conduite des opérations de travaux LES MOYENS FINANCIERS MOBILISÉS EN INVESTISSEMENT POUR LES COLLÈGES : Budget moyen annuel en M > Constructions neuves : 5 > Grosses réparations : 7 > Subventions EPLE : 3 Total : 15
12 Le nouveau COLLÈGE 12 E KM AU TAMPON
13 DÉBUT EFFECTIF DES TRAVAUX : NOVEMBRE 2011 OUVERTURE : AOÛT 2013 (COLLÈGE) COÛT DE L OPÉRATION : 19,5 M
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15 15 Les collèges publics LES DOTATIONS FINANCIÈRES Depuis les premières lois de décentralisation, le Conseil Général assure le fonctionnement et l équipement des collèges au moyen de dotations financières. Objectif : mettre à disposition des collèges les moyens nécessaires à un fonctionnement de qualité. LE BUDGET ALLOUÉ AUX COLLÈGES EN M ,8 M 0 Fonctionnement Investissement LE BUDGET ALLOUÉ AUX COLLÈGES DE 2012 À 2013 Les activités Accompagner les collèges dans leur fonctionnement et projet Actions financées DGF DGE Dotations spécifiques Fonctionnement Objectifs Contribuer au fonctionnement Contribuer à l équipement Répondre à des situations spécifiques (transport, chauffage, fuites d eau, etc.) Montant Montant TOTAL
16 16 Modalités d intervention : Une dotation globalisée allouée annuellement à tous les collèges pour la constitution de leur budget. Elle comprend : > une Dotation Globale de Fonctionnement (DGF), > une Dotation Globale d Équipement (DGE), réparties sur la base de critères tels que les effectifs, le bâti (surface/vétusté) et la superficie foncière. Ce calcul est ensuite pondéré en fonc- }tion des réserves financières de chaque collège. Des dotations complémentaires allouées sur demande des EPLE pour prendre en compte des situations particulières (transport EPS pour les collèges ne disposant pas d équipement à proximité (hors natation et sections sportives), transport demi-pensionnaire si SEGPA éloignée du collège, surconsommation d eau liée à des fuites, équipements pour SEGPA,...). DOTATIONS GLOBALISÉES ,4 M DGF 2,46 M DGE
17 17 Les collèges publics LES DOTATIONS FINANCIÈRES EN FAVEUR DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION Depuis 1999, le Département a engagé une politique TICE pour l acquisition et le renouvellement des matériels informatiques (ordinateurs, câblage, mise en réseau, tableaux blancs interactifs, périphériques divers) des collèges publics en priorisant les salles Informatiques et multimédia, les CDI et les salles de classes.
18 Dans le cadre de ses obligations légales, le Département dote les 77 collèges publics de crédits nécessaires à leur bon fonctionnement, afin de garantir un accueil de qualité des collégiens. La collectivité développe un certain nombre d'actions dans le domaine des TIC afin d'être à la hauteur de cet enjeu. Jusqu'à aujourd'hui, la mise en œuvre de cette politique départementale en faveur des collèges est déclinée autour des items suivants : La connexion internet haut débit Fourniture de connexions internet aux collèges, et liens avec les ressources numériques hébergées au rectorat. Le câblage des collèges Chaque année le Département procède à une mise à niveau du câblage informatique dans certains collèges, afin que les salles de cours puissent profiter des ressources numériques, mais également des applications livrées par le rectorat (cahier de texte numérique, gestion des absences des élèves, etc.). Les dotations Elles doivent permettre le renouvellement des postes informatiques obsolètes, l'équipement en vidéoprojecteurs et autres périphériques, l'accompagnement au déploiement de l'espace Numérique de Travail (ENT), et le changement des pièces d'usure. L'école est donc amenée à se convertir au numérique, car le législateur à mis le cap sur cet objectif. Le Département de La Réunion se doit d'accompagner ce changement qui s'inscrit et rejoint, par ailleurs, entièrement les priorités de la mandature, en termes de réussite éducative de nos collégiens.
19 19 Les collèges privés LES DOTATIONS FINANCIÈRES Forfait externat / Part matériel Depuis le 1 er janvier 1986, le Département a pour obligation de verser aux collèges privés une contribution forfaitaire par élève et par an dont le montant est aligné sur le coût moyen d un élève externe de l enseignement public. Forfait externat / Part personnel La loi de décentralisation du 13 août 2004 et le décret n du 15 décembre 2006 ont confié aux Départements la responsabilité de verser aux collèges privés sous contrat d association, une contribution forfaitaire qui correspond à la prise en charge des frais de personnels techniques, en application du principe de parité enseignement public/enseignement privé. Cette contribution est calculée par rapport aux dépenses de rémunération des personnels ATTEE affectés à l externat. PARTICIPATION DU DÉPARTEMENT AU FONCTIONNEMENT Forfait externat / Part matériel en 2014 : Forfait externat / Part personnel en 2014 : Total : ÉVOLUTION DES EFFECTIFS DES COLLÈGES PRIVÉS (2014/2008) 2013/ / / / / /
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21 21 Les personnels techniques LES ATTEE ET LES EMATT Les personnels Adjoints Techniques Territoriaux des Établissements d Enseignement (ATTEE - anciennement TOS) sont des agents départementaux recrutés par le Conseil Général. Ces personnels contribuent au bon fonctionnement de l établissement. Les Équipes Mobiles d Adjoints Techniques Territoriaux (EMATT) du Département exercent leurs missions sur plusieurs collèges : > L EMATT du collège de Trois Mares au Tampon, composée de 9 agents, est spécialisée en maintenance climatisation, froid et cuisine. > L EMATT du collège Paul Hermann, composée de 5 agents, est spécialisée en maintenance et entretien du bâtiment. > L EMATT du collège les Alizés à Saint- Denis est composée de 5 agents et est spécialisé dans les espaces verts.
22 22 Les personnels techniques LES MISSIONS Les missions des ATTEE : > Agent d entretien polyvalent > Agent d accueil et d entretien > Agent spécialisé en maintenance > Responsable d équipe > Agent d entretien polyvalent en cuisine centrale > Agent d entretien et de restauration en cuisine centrale > Chef de cuisine centrale > Agent spécialisé en cuisine et restauration (cuisine centrale) > Chef de cuisine autonome > Agent spécialisé en restauration (cuisine autonome) > Magasinier > Responsable de satellite > Agent d entretien et de restauration > Chauffeur > Agent remplaçant polyvalent / spécialité cuisine centrale > Agent remplaçant polyvalent / spécialité magasinier > Agent remplaçant polyvalent / spécialité maintenance
23 23 LES EFFECTIFS Moyens humains : ATTEE mis à la disposition des collèges par le Conseil Général. Besoins quantifiés sur la base d un référentiel. Répartition des agents : > 901 sont des permanents > 281 sont en contrats aidés Évolution des effectifs du transfert à 2014 : Postes Temporaires et permanents Emploi aidés Évolution 27,6 % 22,8 % Frais de gestion Masse salariale TOTAL ,5 % Pilotage des effectifs / référentiel de gestion : Permanents : tous les départs sont remplacés, implantations revues annuellement en fonction des besoins.
24 24 Les collèges publics LA RESTAURATION SCOLAIRE La loi du 13 août 2004 a confié au Département une compétence générale en matière de restauration scolaire. Il lui revient notamment : > De fixer les tarifs de restauration et d hébergement > D équiper et d organiser les services de restauration > De veiller au respect des règles d hygiène et de sécurité alimentaire LE SCHÉMA DÉPARTEMENTAL DE LA RESTAURATION Un schéma général de la restauration des collèges est basé sur un maillage entre la Région et le Département. Le Département dispose de 3 cuisines centrales > Cuisine centrale de Titan > Cuisine centrale de la Ligne des Bambous > Cuisine centrale d Achille Grondin Dans les 77 collèges publics, nous disposons de : > 1 sans restauration > 5 collèges hébergés > 56 satellites liaison froide > 3 satellites laison chaude > 12 cuisines autonomes 4,6 millions de repas servis aux plus de demi-pensionnaires parmi les collégiens.
25 25 La restauration des demi-pensionnaires des collèges est assurée par les cuisines centrales du Département et celles de la Région au titre d un partenariat. LES DIFFÉRENTS TYPES DE SITES DE RESTAURATION CUISINE CENTRALE Site de production des repas pour le compte d unités satellites 3 types de cuisine CUISINE AUTONOME Production sur site des repas pour ses propres besoins CUISINE SATELLITE Desservie par la cuisine centrale 2 modes de liaison Liaison froide Préparation à J-1 Stockage en chambre froide Liaison chaude Préparation et conditionnement pour une consommation le jour même Remise en température
26 26 Promouvoir et valoriser LA PRODUCTION LOCALE DANS LA RESTAURATION SCOLAIRE LA RESTAURATION SCOLAIRE : UNE COMPÉTENCE DÉPARTEMENTALE DEPUIS LA LOI DU 13 AOÛT 2004 Celle-ci revêt des enjeux importants, notamment en terme de Santé publique et Économique. Compte tenu de ces enjeux, notre collectivité s est engagée dans une démarche de promotion et de valorisation des produits locaux dans nos restaurants scolaires. OBJECTIFS : > Améliorer la qualité des repas de nos collégiens par la consommation de produits frais, > Promouvoir la consommation des produits «péi» auprès de nos collégiens, > Favoriser le développement de la production locale. RÉSULTATS : > Impact en tonnage Presque 70 % des légumes servis à ces collégiens proviennent de la production locale. Pour les fruits et les viandes, le taux d intégration est respectivement de 80 % et de 37 %. > Impact financier Le constat est le même pour la part financière. Les dépenses liées à la confection des menus avec des produits locaux représentent un volume de 43 % (soit ) et 50 % (soit ) pour les fruits et les viandes, et 60 % (soit ) pour les légumes. La politique volontariste du Département Depuis la signature de la charte pour une meilleure valorisation des produits locaux dans la restauration collective scolaire en décembre 2010, le Département a impulsé une nouvelle dynamique en la matière. Dynamique croisée, puisqu elle touche aussi bien les fédérations des producteurs locaux que les acheteurs que sont les EPLE.
27 27 Évolution des produits locaux dans la restauration de 2009 à 2012 FRUITS (kg) locaux import % FRUITS LOCAUX LEGUMES (kg) locaux import % LEGUMES LOCAUX VIANDES (kg) locales import % VIANDES LOCALES TOTAL % % % TOTAL % % % TOTAL % % % TOTAL % % %
28 28 La restauration scolaire LES ACTIONS INNOVANTES 1. VALORISATION DE TROIS VIANDES FRAÎCHES LOCALES Le Conseil Général a financé, à titre expérimental, une action de «Valorisation de trois viandes fraîches locales» auprès de 5 collèges pilotes. Une enveloppe de a été accordée pour conduire cette action de promotion qui s est achevée en PLANIFICATION PARTENARIALE ANNUELLE Afin de faire correspondre l offre à la demande, une planification annuelle entre collèges et producteurs s impose. Cette action vise à avoir suffisamment de production locale pour les besoins des collèges et aussi d en écouler la surproduction. Ce mode de fonctionnement exige d améliorer l organisation des filières et nécessite une interface unique entre les EPLE et les producteurs. 3. INNOVATION ET NOUVELLE GAMME DE PRODUITS Certains fruits sont en surabondance pendant les vacances scolaires. Une réflexion a été engagée sur les techniques de transformation afin de les conserver pour les périodes scolaires. Associer alimentaire et moyens techniques, humain et compétence L effort qui est fait pour intégrer les produits locaux aux menus des restaurants scolaires nécessite certains préalables qui peuvent sembler évidents, mais qu il faut rappeler : > Des effectifs stables et formés en cuisine, > Des cuisines aux normes, > Du matériel adapté en nombre et en qualité.
29 29 La sectorisation DES COLLÈGES 1. LES CHIFFRES CLÉS 77 collèges = une capacité théorique maximale d accueil estimée à élèves. 2. LA CAPACITE D ACCUEIL 35 collèges > 900 élèves 18 collèges = 900 élèves 20 collèges < 900 élèves 2 collèges < 500 élèves 2 collèges = 500 élèves 3. LE CONTEXTE Depuis la loi du 13 août 2004, le Conseil Général arrête, après avis du Conseil départemental de l Éducation nationale, en tenant compte de critères d équilibre démographique, économique et social, le secteur de recrutement des collèges publics. Cette disposition est entrée en vigueur le 1 er janvier 2005 et correspond à la sectorisation. Il s agit de l affectation d un élève dans un collège en fonction de son adresse de résidence. L affectation est décidée par le Recteur. 4. LA RÉVISION DE LA CARTE SCOLAIRE Objectif L objectif général de la sectorisation est de garantir un confort pédagogique aux élèves par la bonne adéquation entre la capacité d accueil des établissements et leur secteur de recrutement, en prenant en compte notamment les évolutions démographiques, l urbanisation, les enjeux de scolarisation de l ensemble des publics.
30 30 Méthodologie La révision de la sectorisation intervient : > sur la base d un constat d évolutions d ordre démographique, urbain, mais aussi sociologique qui peuvent impacter la capacité d accueil des collèges et leur équilibre ; > automatiquement lors de la construction d un collège neuf. Elle s effectue en partenariat avec l ensemble des acteurs, à l initiative du Département ou sur proposition des Chefs d établissement : > les représentants des associations de parents d élèves, > le Rectorat (SAIO et Chefs d établissement), > Les Communes, > les EPCI responsables de l organisation des transports scolaires.
31 31 Collégiens en mobilité FILIÈRES SPÉCIALISÉES Cadre d intervention : règlement départemental d aide n 118 du 23 juin 2013 OBJECTIFS : Permettre aux collégiens désirant s inscrire dans des filières spécialisées non existantes à la Réunion de bénéficier d un dispositif spécial afin de poursuivre leurs études secondaires et leur parcours sportif. MODALITÉS D INTERVENTION : Ces collégiens boursiers départementaux en mobilité, peuvent prétendre à l ensemble des aides départementales visé au règlement n 118. PUBLIC CONCERNÉ : Collégiens boursiers s inscrivant dans des filières spécialisées (section sportétudes) en Métropole ou dans l Union Européenne. Montant maximum / an ( ) Échelon Bourse Allocation de scolarité
32 32 Les actions volontaristes LE DÉVELOPPEMENT ET LA PROMOTION DU SPORT : U.N.S.S. Cadre d intervention : en complément des compétences confiées par le législateur, le Département de La Réunion mène une politique volontariste afin de favoriser l épanouissement et la réussite éducative de sa jeunesse. OBJECTIFS : > Développer la pratique sportive, > Offrir un véritable lien avec le socle commun et les activités sportives. PUBLIC CONCERNÉ : Les bénéficiaires sont les 83 associations sportives des collèges publics et privés et le Comité Régional de l U.N.S.S. MODALITÉS D INTERVENTION : Une aide forfaitaire de 800 est attribuée à l ensemble des associations sportives, avec en une majoration de 400 pour les associations situées dans des zones excentrées. Cette aide est versée pour permettre le transport des collégiens vers les lieux où sont exercées les activités sportives. BUDGET 2014 :
33 33 Les actions volontaristes LE PASSEPORT ÉDUCATIF DU COLLÉGIEN (PEC) OBJECTIFS : Inscrire les actions périscolaires des établissements dans les priorités de la mandature et accompagner leur autonomie. PUBLIC CONCERNÉ : Collégiens de l enseignement public et privé. MODALITÉS D INTERVENTION : Ce nouveau dispositif opérationnel depuis le 1 er janvier Le PEC comporte 6 programmes : > Quatre sont basés sur un montant forfaitaire par élève et la subvention correspondante est accordée pour la réalisation de : n Classes de découvertes, n Voyages linguistiques, n Parcours culturels et/ou artistiques, n Parcours scientifiques et environnementaux ; > Un est basé sur un montant forfaitaire annuel accordé (en priorité aux établissements labélisé «Éco- École») afin de favoriser les actions de développement durable et d embellissement du cadre de vie organisées par les personnels et les élèves des collèges, les parents ; > Un concerne un projet formalisé par le Département fait l objet d un appel à candidature des collèges. BUDGET 2014 :
34 34 Les actions volontaristes L EMBELLISSEMENT DU CADRE DE VIE DES COLLÉGIENS OBJECTIFS : Offrir aux collégiens les meilleures conditions d accueil et de travail ainsi qu un environnement propice à leur épanouissement. Le programme d embellissement des collèges est une démarche affirmée, généralisée à partir du lancement du concours du «plus beau collège fleuri», en Il porte sur la végétalisation des espaces communs (abords, halls d accueil, etc.) et fait appel à un projet d établissement dans lequel divers acteurs (élèves, communauté éducative, parents d élèves, associations de quartier...) apportent sa pierre. Ce concours n est pas une action ponctuelle mais le point de départ, pour 3 années, d une action que s approprient pleinement les collégiens. PUBLIC CONCERNÉ : Collégiens de l enseignement public. MODALITÉS D INTERVENTION : Ce nouveau dispositif est opérationnel depuis Chaque année 20 des 77 collèges publics participent au concours. À leur inscription, les collèges reçoivent une subvention pour la réalisation des projets. Pour mener à bien les projets, les équipes concourantes peuvent bénéficier, à leur demande, de l expertise et l intervention technique de la filière bois de goyavier du Département, du CAUE. Pour l année suivante, chacun des 20 collèges bénéficient d une nouvelle subvention et, pour la 3 e année, selon les résultats de l évaluation des projets, les établissements peuvent être destinataires d une enveloppe complémentaire. BUDGET 2014 :
35 35 Les actions volontaristes OBJECTIFS : Le Département veille à impliquer les collégiens, dans les événements culturels importants. Il s agit pour cette opération, qui commémore les 350 ans d histoire du peuplement de La Réunion, d amener les élèves à comprendre comment la singularité du peuplement a façonné et donné différentes composantes à notre société. PUBLIC CONCERNÉ : Collégiens de l enseignement public. MODALITÉS D INTERVENTION : Le Conseil Général défend l idée "que les voyages sont nécessaires à l épanouissement des enfants et des jeunes, car ils leur apprennent l autonomie et ils ouvrent leur esprit sur la nature, la diversité des environnements, leur fragilité et la nécessité de les protéger, mais aussi sur les civilisations et les peuples du monde avec leurs coutumes, leurs religions, leurs richesses culturelles, leur passé". Sur l année scolaire, les établissements bénéficient de l intervention des agents des services culturels, avec un accès privilégiés aux équipements, pour la réalisation de carnets de voyage. Tous les collégiens participant à l opération devront en tenir un lors de voyages qui les conduiront en Chine, à Madagascar, au Mozambique, en Inde ou en France. BUDGET 2014 :
36 36 Les actions volontaristes L OFFRE CULTURELLE ET ENVIRONNEMENTALE L OFFRE CULTURELLE DU DÉPARTEMENT La Direction Culture et Sport a pour mission de promouvoir et valoriser le patrimoine culturel du Département et gère 7 équipements culturels : > Muséum d'histoire Naturelle > Musée Léon Dierx > Musée Historique de Villèle > Artothèque > Archives Départementales > Bibliothèque Départementale > Bibliothèque Départementale de Prêt Chaque année, à l occasion de la fête de la musique, il est proposé aux collégiens de participer aux opérations «collèges en musique» et «concours de slam et de danses urbaines». PUBLIC CONCERNÉ : Collégiens de l enseignement public. MODALITÉS D INTERVENTION : Au cours du 1 er trimestre, la direction de l éducation fait parvenir les fiches d inscription dans les établissements. «Collèges en musique» Il est proposé à chaque établissement d organiser une rencontre avec un artiste issu du quartier du collège, afin d avoir un échange concret et direct avec les jeunes sur son parcours, sa passion, son travail... et qui sera suivi d un échange musical à des fins de valorisation des productions. Le Département prend en charge le cachet de l artiste. «Concours de slam et de danses urbaines» Il s agit de donner au slam toute sa place dans les collèges et de favoriser une ouverture culturelle par une sensibilisation et une pratique de danses actuelles, urbaines.
37 Après une année de travail avec leurs enseignants, les collégiens sont invités, le 21 juin, à se produire sur la scène du théâtre de Champ Fleuri. Le Département se charge alors de toute l organisation. L OFFRE ENVIRONNEMENTAL DU DÉPARTEMENT La Direction de l environnement a pour mission d élaborer et mettre en œuvre une politique cohérente et partagée de la gestion des déchets, de préserver et valoriser les espaces naturels et la biodiversité, et de développer les énergies renouvelables et mettre en œuvre une politique partenariale de maîtrise de l énergie. MODALITÉS D INTERVENTION : Les collèges participant à des programmes d embellissement et environnementaux peuvent faire appel à l ingénierie de la Direction de l environnement du Département.
38 38 Les actions volontaristes Président : Saméry TÉCHER Collège de Bras-Panon 1 re Vice-présidente : Mélissa ABRANTÈS Collège Edmond Albius FONCTIONNEMENT : 2 e Vice-président : Nicolas VIDOT Collège Saint-Michel Total Conseil Général des Jeunes 2013/2014 : 143 (107 filles et 36 garçons) Dans le collège Élection de 2 représentants : élèves de 4 e et élève de 3 e délégué de classe ou volontaire Au Département Élection du Président et de 2 Vice-présidents par les Conseillers Généraux Jeunes Répartition des Conseillers Généraux Jeunes par commissions en secteur géographiques Élaboration des projets : Réunions dans les commissions : Nord, Est, Sud et Ouest 2 Assemblées plénières : Octobre : élection du (de la) Président(e) et de 2 Vice-présidents (es) Avril : vote des actions à mener dans l année en cours Juin : bilan des actions réalisées
39 39 CADRE D INTERVENTION : Instance démocratique créée en 1989 permettant aux collégiens de faire l expérience d une vraie mandature en tant qu élus. Ce travail doit emmener les jeunes adolescents à découvrir et rencontrer d autres institutions départementales assurant ainsi l encadrement des Conseillers Généraux Jeunes. OBJECTIFS : > Encourager la prise de responsabilités et la prise de parole en public > Devenir un citoyen responsable de son avenir > Participer, contribuer à la vie de la cité et de son collège > Connaître l institution départementale PUBLIC CONCERNÉ : > Un élève de 4 e et un élève de 3 e, délégués de classe ou volontaires, élus en qualité de Conseillers Généraux Jeunes > 77 titulaires (3 e ) et 77 suppléants (4 e ) représentant leur collège, élus selon l adhésion de leur établissement scolaire. BUDGET 2014 : MODALITÉS D INTERVENTION : Les Conseillers Généraux Jeunes reçoivent une formation en communication afin de permettre aux jeunes élus de s affirmer dans leurs futures activités et de s approprier le fonctionnement de l institution. Le choix des projets effectué en commission est finalisé lors d un séminaire de formation regroupant toute les commissions.
40 40 L organisation des services LE SERVICE Référent de Proximité Mickael DIAS Ingénieur TIC Vincent THIAW THI et François DEFAUD Responsable Serv Denis Cellule Ressources et Restauration Mission de la Cellule 1 - Mettre en œuvre l'acte II de la décentralisation 2 - Animer et développer les partenariats externes Activités de la Cellule 1 - Assurer l'accueil, la restauration, l'hébergement ainsi que l'entretien général et technique des collèges - Équipements sportifs 2 - Arrêter le secteur de recrutement des collèges 3 - Mettre en œuvre et animer les réseaux - Établir les procédures du travail partenarial Responsable de la cellule Patricia THIREL Assistante Administrative Marie-Françoise CHANE - KUI Gestionnaire Sectorisation Virginie MAYER Technicien Restauration Scolaire Sully ADRIEN
41 41 DES COLLÈGES ice des Collèges PAYET Secrétariat Service Mercedes PANDOR et Anaëlle VICTOIRE Cellule Gestion Contrôle des actes et dotations financières Mission de la Cellule 1 - Mettre en œuvre l'acte I de la décentralisation 2 - Animer et développer les partenariats externes Activités de la Cellule 1 - Gérer les dotations financières aux établissements 2 - Veiller au respect des conditions d'attribution des logements de fonction 3 - Gérer les actes administratifs et budgétaires 4 - Assurer la dénomination des collèges 5 - Suivre le mandat des personnes qualifiées 6 - Mettre en œuvre et animer les réseaux - Établir les procédures du travail partenarial 7 - Forfait externat collèges privés Gestion Admnistrative et Financière des EPLE Éliane TRENOUL Mireille LEBEAU Martine KISCHENIN Assistante Arletti CLAIN
42 42 L organisation des services LE SERVICE DE LA VIE COLLÉGIENNE Responsable Jessie ROBERT Secrétariat du service Maud PAYET Éloïse PAJANIANDY Gestion Conseil Général des Jeunes et PEC Pierrette RAMSAMY Gestion UNSS et PEC Julie LI AH CHONG
43 VOS INTERLOCUTEURS > Service des Collèges Tél. : deduc.colleges@cg974.fr > Service de la Vie Collégienne Tél. : deduc-vie-collegienne@cg974.fr > Service de l Enseignement Tél. : deduc-bourses@cg974.fr > N vert Info Étudiant : > Site Internet de télé-inscription des demandes d aides départementales : Rubrique : Net Bourses Étudiants net-bourses@cg974.fr > Service des Politiques Éducatives et Partenariales Tél. : deduc-bourses@cg974.fr DIRECTION DE L ÉDUCATION 26, AVENUE DE LA VICTOIRE SAINT-DENIS CEDEX TÉL. : FAX : deduc@cg974.fr
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