INTÉRÊT DU MONOXYDE D'AZOTE DANS LA DÉFENSE ANTI-PARASITAIRE DES MACROPHAGES HUMAINS (*)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INTÉRÊT DU MONOXYDE D'AZOTE DANS LA DÉFENSE ANTI-PARASITAIRE DES MACROPHAGES HUMAINS (*)"

Transcription

1 7 Bull. Soc. Pharm. Bordeaux, 1999, 138, 7-17 INTÉRÊT DU MONOXYDE D'AZOTE DANS LA DÉFENSE ANTI-PARASITAIRE DES MACROPHAGES HUMAINS (*) M. Djavad MOSSALAYI (1), Martine APPRIOU (1) Au cours des helminthiases, l'augmentation de l'expression du récepteur de faible affinité pour l'ige (CD23/FcεRII) par les macrophages et/ou des taux élevés d'ige circulants ont été décrits, mais leur rôle dans la protection de l'hôte ou dans l'évolution de la maladie n'est pas encore entièrement élucidé. Récemment, il a été démontré que la stimulation du CD23 provoquait la mort intracellulaire des parasites du genre Leishmania dans les macrophages humains, ce phénomène mettant en jeu la production du TNFα et de NO. En se basant sur plusieurs études, aussi bien in vitro qu in vivo, de leishmaniose cutanée humaine, nous allons discuter, dans ce travail, d un modèle de réponse immunitaire qui entraîne la libération du NO, dépendante de la liaison CD23-IgE, au cours de la leishmaniose cutanée, aussi bien dans sa protection qu'au stade évolutif. (*) Manuscrit reçu le 2 Décembre (1) Laboratoire d Immunologie et Parasitologie, UFR Sciences Pharmaceutiques, Université Bordeaux Victor Segalen 2, Bordeaux, France <Djavad.Mossalayi@umr5540.u-bordeaux2.fr>

2 8 Mots-clés : CD23, IgE, leishmaniose, macrophage, monoxyde d'azote. MACROPHAGES ET INFECTION À LEISHMANIE Suite à une infection bactérienne ou parasitaire, les macrophages tissulaires ou sanguins constituent la première ligne de défense non spécifique, car il ont pour fonction de phagocyter ces agents et de présenter leurs antigènes aux lymphocytes initiant ainsi une réponse plus au moins spécifique de ces cellules [ 1-2 ]. Certains de ces agents infectieux pénètrent et s'installent dans les macrophages et développent ainsi des pathologies plus agressives. Ces micro-organismes sont : Leishmania, Trypanosoma cruzi, Toxoplasma gondii, l agent de la Lèpre lépromateuse, Listeria monocytogenes, Mycobacterium avium, Candida albicans, Theileria parvum, etc. [ 1 ]. La survie de ces parasites à l'intérieur des macrophages montre que ces agents ont survécu à l'action lytique exercée par l'environnement intra-cytoplasmique (ph acide 4,5-5,0, enzymes lysosomiales, hydrolases, etc.). Lorsque l'agent ne peut être éliminé par l activité anti-microbienne non-spécifique, une réponse spécifique peut être établie, dirigée en partie par les cytokines et anticorps dérivés des lymphocytes reconnaissant de manière spécifique les antigènes parasitaires exprimés sur les macrophages. Cependant, un échappement de cette défense est souvent observé, aboutissant à l'apparition des signes cliniques de ces infections. Parmi les agents infectieux des macrophages, nous allons étudier tout particulièrement la leishmanie. La leishmaniose est une pathologie provoquée par des parasites transmis à l homme par des phlébotomes. Selon l OMS, 12 à 14 millions de cas sont recensés dans le monde, avec un demi-million de nouveaux cas par an. Le traitement de la leishmaniose muco-cutanée par les sels antimoniés ainsi que les pentamidines est peu efficace et provoque d importants effets secondaires [ 3-4 ]. Les parasites infectent préférentiellement les macrophages. Cependant, le rôle des cellules immunitaires, ainsi que des nombreux

3 9 médiateurs qu'elles sécrètent, dans la guérison des leishmanioses ou au cours de leur évolution, n'a pas encore été élucidé. LA RÉPONSE IMMUNE ANTI-LEISHMANIE Le rôle des cellules T et de leurs cytokines dans l'évolution des leishmanioses a été très largement étudié [ 5 ]. Chez les souris, l'incapacité de contrôler l'infestation par les leishmanies a été corrélée à l'absence de production d'ifnγ par les cellules T spécifiques des parasites ainsi qu'à leur échec à activer des macrophages dans le but de détruire les formes amastigotes intracellulaires. Le TNFα provenant des macrophages, la poussée oxydative et /ou la NO synthase inductible fonctionnelle (NOSi ou NOS de type II) semblent être essentiels dans l'élimination des parasites de ces cellules [ 5 ]. La réponse immunitaire humaine contre l'infection à Leishmania a été décrite en détail par de nombreux auteurs. Des modèles expérimentaux ont nettement démontré des antigènes spécifiques de Leishmania dans l'induction des réponses immunitaires, à la fois par les cellules TCD4 + et TCD8 + [ 2 ]. L'IFNγ, les lipopolysaccharides et/ou le TNFα peuvent augmenter l'activité leishmanicide in vitro des monocytes/macrophages humains. Cependant, le mécanisme exact de la mort des leishmanies n'a pas été clairement démontré et, jusqu'à récemment, on ne savait pas si le NO était impliqué dans les fonctions macrophagiques humaines. L'activité leishmanicide des macrophages humains infectés par L. major ou L. infantum a été observée après leur activation in vitro par de nombreux facteurs, comprenant l'ifnγ, ou par le pontage de l'antigène activateur CD23/FcεRII [ 1,6 ]. En attendant d'élucider le rôle des IgE, du CD23 et des facteurs pro-inflammatoires au cours de l'infection par Leishmania, nous avons comparé l'expression in vivo de plusieurs médiateurs, comme l'ont rapporté plusieurs groupes, et leur effet sur l'activité leishmanicide in vitro des macrophages humains.

4 10 LE CD23 ET L'ACTIVITÉ LEISHMANICIDE DES MACROPHAGES HUMAINS La synthèse d'ige et l'expression du CD23 sont modifiées au cours des parasitoses mais les mécanismes sont peu ou pas connus. De nombreuses données démontrent maintenant une rapide expression in vivo du gène codant pour l'il-4 pendant l'activité anti-microbienne. L'IL-4, comme l'il-13, provoque l'expression du gène de l'ige, tandis que l'expression de l'arnm du CD23 par les cellules humaines est fortement induite par l'ifnγ, l'il-4 et l'il-13 et nécessite l'activation des kinases Janus et l'activité Stat6 [ 7 ]. La ligation du CD40 induit également l'expression du gène du CD23, en partie grâce à l'activation d'un membre de la famille des facteurs associés au récepteur du TNFα [ 7 ]. L'analyse in situ d'une peau enflammée au cours d'une leishmaniose cutanée nous a permis de détecter une expression relativement importante du gène du CD23 en comparaison avec la peau humaine normale [ 2,8 ]. L'isoforme b de l'antigène CD23 appartient à la famille des lectines de type C et est un antigène d'activation exprimé par les macrophages humains, de singes et de rats, mais il n'a pas été détecté chez les souris. Comme plusieurs antigènes majeurs de surface dans les maladies infectieuses, le domaine lectine du CD23 semble réagir avec le fucose et le mannose [ 7 ]. La stimulation du CD23 par les complexes immuns IgE et anti-ige (IgE-IC) ou par des anticorps monoclonaux spécifiques, réagissant avec le même épitope que l'ige, a montré qu'il peut induire une réponse pro-inflammatoire de la part des macrophages humains et de rats [ 6,7 ]. Les cellules dont le CD23 a été stimulé produisent du TNFγ, de l'il-6, de l'il-1, du thromboxane β2 et de nombreux intermédiaires oxygénés [ 9 ]. L'addition, sur des macrophages infectés par Leishmania, d'ige-ic ou d'anticorps monoclonaux anti-cd23 a comme résultat l'élimination de nombreuses formes intracellulaires de L. major, L. infantum et L. braziliensis. Un effet similaire, mais moins puissant, a été observé avec les cellules infectées traitées par de l'ifnγ. En outre, la stimulation du CD23 de cellules saines les protège d'une contamination ultérieure par L. major, alors que le prétraitement par l'ifnγ n'a pas un tel effet [ 6 ].

5 11 CORRÉLATION DES RÉSULTATS IN VIVO ET IN VITRO L'analyse de l'expression des cytokines au cours des leishmanioses cutanées et cutanéo-muqueuses humaines, bien que principalement limitées à des zones endémiques restreintes, a montré une bonne corrélation entre l'expression des cytokines in vivo, l'évolution de la maladie et l'effet de ces mêmes cytokines sur l'activité leishmanicide des macrophages humains [ 2,10 ]. Nos études suggèrent que deux voies indépendantes peuvent contribuer à l'activité leishmanicide des macrophages humains infectés in vitro : (a) via le récepteur de l'ifnγ et (b) via la ligation du CD23. Les deux voies sont capables d'induire la production de TNFα et de NO par les macrophages humains infestés, ces deux facteurs étant impliqués dans la destruction de L. major par ces cellules. Cependant, le TNFα ne peut pas induire la destruction directe in vitro de L. major par les macrophages. Quand les macrophages ont été stimulés par l'ifnγ ou l'anti-cd23 seul, l'addition d'il-4 ou d'il-10 recombinants réduit de façon significative l'activité leishmanicide in vitro. Il est intéressant de noter que l'activation des macrophages par les deux voies CD23 et IFNγ les protège de l'effet inhibiteur de l'il-4 et/ou de l'il-10 [ 11 ]. Ces résultats suggèrent que les cytokines inhibitrices ne peuvent pas éliminer l'activité leishmanicide effective des macrophages humains quand les deux voies en synergie, IFNγ et CD23, ont été activées. Ceci est exactement en corrélation avec les types de cytokines mises en évidence in vivo au cours des réponses immunitaires effectrices observées avant la guérison ou durant les manifestations de l'hypersensibilité de type retardé (Figure 1). In vitro, en absence d'ifnγ, la combinaison IL-4, IL-10, IgE-antigène et TNFα n'arrive pas à induire l'élimination des Leishmania des macrophages humains infectés et ceci est en corrélation avec l'expression in vivo de ces facteurs pendant l'aggravation de la maladie [ 2,8 ]. Ces résultats suggèrent que la maladie active peut être en rapport avec des taux élevés d'il- 10 et de faibles taux d'ifnγ in vivo, alors que des taux élevés d'il-4 ne sont pas toujours en rapport avec l'évolution de la maladie. Ainsi, l'expression continue et paradoxale d'il-4 in vivo au cours de l'infection à Leishmania peut être expliquée par ces effets opposés ; indirectement, en induisant l'activité leishmanicide grâce aux IgE et à l'induction du CD23 ou,

6 12 directement, en inhibant la destruction du parasite en diminuant la production de NO. État in vivo Facteurs Effets in vitro Mort des parasites Production du NO Pas d infection Aucun IFN γ Réponse aiguë CD23 / IgE IL % TFN α IFN γ CD23 / IgE Réponse chronique IL % + + TFN α IL-10 Ulcération CD23 / IgE IL-4 < 30 % + / - TFN α IL-10 Guérison IFN γ % + + Fig. 1 : Types de cytokines impliquées dans l'activité leishmanicide in vivo et in vitro LE NO EST-IL IMPLIQUÉ? Parmi les oxydants, le NO a émergé comme un médiateur cytotoxique et cytostatique vis-à-vis de divers parasites intracellulaires [ 1 ], dont de nombreuses espèces de Leishmania. Le NO provient de l'oxydation des atomes N guanido-terminaux de la L-arginine par des enzymes dépendant du NADPH, les NOS [ 12,13 ]. L'implication du NO dans l'activité leishmanicide

7 13 des macrophages de souris [ 1 ] nous mène à poser la question de l'intervention du NO dans la destruction du parasite médiée par le CD23. En utilisant le pontage du CD23 exactement au niveau de son épitope fixant l'ige, la libération du NO arginine-dépendant a été observée chez les macrophages, les éosinophiles et les cellules épithéliales humaines, ainsi que chez les macrophages de rat. Il est intéressant de noter qu'un autre membre de la famille des sélectines, le CD69, s'est montré capable de médier l'induction du NO dans les monocytes humains [ 10 ]. Cependant, la génération de NO par les macrophages humains est diminuée par divers paramètres endogènes, à savoir : (a) la faible densité de CD23 membranaire ; (b) des taux de production élevés d'il-10 ou de TGFβ ; et (c) l'activation cellulaire avant la ligation du CD23. Néanmoins, contrairement à certains travaux antérieurs, nos résultats suggèrent l'implication de la voie du NO dépendant de la L-arginine dans la destruction des Leishmania par les macrophages humains pour les raisons suivantes : (a) l'addition de l'inhibiteur de NOS, la N G -monométhyl-larginine, a inversé l'activité leishmanicide ; (b) l'effet protecteur de la ligation du CD23 était en corrélation avec la production de NO ; et (c) les donneurs chimiques de NO induisent la destruction extracellulaire et intracellulaire des espèces de leishmanies cutanées. Par ailleurs, l'augmentation de l'expression des facteurs inhibant le NO physiologique, comme l'il-10, le TGFβ et l'il-4, est observée durant l'évolution de la maladie (Figure 2) [ 1 ]. A part les dérivés NO, les superoxydes ne semblent jouer qu'un rôle mineur (s'ils en jouent un) dans la destruction de L. major par les macrophages. Ceci est suggéré par l'incapacité qu'a la superoxyde dismutase (SOD) de reverser la destruction des Leishmania par les macrophages humains ou murins infestés [ 6 ]. Le traitement avec la SOD augmente même la production de NO dans les macrophages, ceci résultant peut-être de l'inhibition des interactions entre O 2 - et NO qui sont connus pour réduire les taux intracellulaires de NO. La présence de superoxydes peut également avoir comme résultat la production de peroxynitrites, agents toxiques puissants et pro-apoptotiques qui peuvent détruire les macrophages plutôt que les parasites. L'exposition chronique aux peroxynitrites peut également jouer un rôle dans l'évolution de l'ulcération et de la maladie [ 12 ].

8 14 Infect ion Parasitaire M acr ophages Ly. T IL4 Ly. B IFNγ IL4 IgE FCεRI I / CD23 Ligands du CD23 CD21 CD11b/c Mannose-X Fucose-X IFNγ IL12, Anti-ROI + TNFα/N O - IL10 IL4 ROI TGFβ Mort d es Parasite s Long Terme Cyto toxicité Apopto se Nécrose Fig. 2 : Cellules et médiateurs impliqués dans l'évolution de la leishmaniose Finalement, les analyses préliminaires effectuées pendant l'hypersensibilité de type retardé déclenchée par les antigènes leishmaniens ont suggéré que la protéine NOS II est produite in situ mais la nature des cellules synthétisant le NOS II reste à élucider (Vouldoukis, non publié). De plus, la destruction des parasites semble impliquer un réseau de cellules et de médiateurs multiples maintenu en équilibre, comme il est montré sur la figure 2.

9 15 LES IMPLICATIONS DANS LE TRAITEMENT Ces observations in vivo et in vitro peuvent peut-être élucider le rôle de l'il-4, des IgE et du CD23 au cours des leishmanioses cutanées et être étendues à d'autres protozooses. Les résultats dont on discute ici indiquent également un rôle pour le NO et sa régulation pendant l'activité anti-microbienne des macrophages humains. Des approches thérapeutiques pourraient exploiter cette voie du NO, ou "lier" directement le CD23 par des contre-structures appropriées. Cette dernière approche permettrait le ciblage de la réponse des macrophages et prévenir une toxicité non spécifique provoquée par le NO. Des travaux, utilisant des donneurs chimiques de NO [ 14 ] et/ou des ligands du CD23 afin d'obtenir une approche thérapeutique appropriée par les leishmanioses, sont en cours. RÉFÉRENCES 1 - MacMicking (J.), Xie (Q.W.), Nathan (C.) - Nitric oxide and macrophage function. - Annu. Rev. Immunol., 1997, 15, Reed (S.G.), Scott (P.) - T-cell and cytokines responses in leishmaniasis. - Curr. Biol., 1993, 5, World Health Organisation. - In Tropical diseases. Geneva : WHO, 1990, p Hart (D.T.) - Leishmaniasis. New York : Plenum, Reiner (S.L.), Locksley (R.M.) - The regulation of immunity to Leishmania major. - Annu. Rev. Immunol., 1995, 13, Vouldoukis (I.), Riveros-Moreno (V.), Dugas (B.), Ouaaz (F.), Bécherel (P.A.), Debré (P.), Moncada (S.), Mossalayi (M.D.) -. The killing of Leishmania major by human macrophages is mediated by

10 16 nitric oxide induced after ligation of FcεRII/CD23 surface antigen. - Proc. Natl. Acad. Sci. U. S. A. 1995, 92, Mossalayi (M.D.), Arock (M.), Debré (P.) - CD23/FcεRII: signaling and clinical implication. Int. Rev. Immunol., 1997, 16, Vouldoukis (I.), Issaly (F.), Fourcade (C.), Paul-Eugène (N.), Arock (M.), Kolb (J.P.), da Silva (O.A.), Monjour (L.), Poinsot (H.), Tselentis (Y.), Dugas (B.), Debré (P.), Mossalayi (M.D.) - CD23 and IgE expression during the human immune response to cutaneous leishmaniasis: possible role in monocyte activation. - Res. Immunol., 1994, 145, Dugas (B.), Mossalayi (M.D.), Damais (C.), Kolb (J.P.) - Nitric oxide production by human monocytes. Evidence for a role of CD23. - Immunol. Today, 1995, 16, Mossalayi (M.D.), Arock (M.), Mazier (D.) Vincendeau (P.), Vouldoukis (I.) - The human immune response during cutaneous leishmaniasis: NO problem. - Parasitol. Today, 1999, 15, Vouldoukis (I.), Bécherel (P.A.), Riveros-Moreno (V.), Arock (M.), da Silva (O.), Debré (P.), Mazier (D.), Mossalayi (M.D.) - Interleukin- 10 and interleukin-4 inhibit intracellular killing of Leishmania infantum and Leishmania major by human macrophages by decreasing nitric oxide generation. - Eur. J. Immunol., 1997, 27, Moncada (S.), Higgs (E.A.) - The L-arginine-nitric oxide pathway. - New Engl. J. Med., 1993, 329, Stamler (J.S.) - Redox signaling: nitrosylation and related target interactions of nitric oxide. - Cell, 1994, 78, López-Jaramillo (P.), Ruano (C.), Rivera (J.), Téran (E.), Salazar-Irigoyen (R.), Esplugues (J.V.), Moncada (S.) - Treatment of cutaneous leishmaniasis with nitric-oxide donor. Lancet, 1998, 351,

11 17 ABSTRACT Interest of nitric oxide in antiparasitic defense of human macrophages During helminthism, overexpression of the low affinity receptor for IgE (CD23/FcεRII) by macrophages and/or high levels of serum IgE have been reported, but their role in host protection as well as in disease development is not yet fully established. Recently, it was demonstrated that, in human macrophages, CD23 stimulation resulted in intracellular killing of parasitic agents including Leishmania, through TNFα and NO generation. In the present work, on the basis of both in vitro and in vivo studies in patients with cutaneous leishmaniasis, we discuss an immune response model which induces NO generation through CD23-IgE ligation in cutaneous leishmaniasis during disease protection as well as disease progression. Key-words : CD23, IgE, leishmaniasis, macrophage, nitric oxide.

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine 2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière

Plus en détail

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration

Plus en détail

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021 Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

QuantiFERON TB Gold in tube

QuantiFERON TB Gold in tube Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

Les nouveaux traitements du psoriasis

Les nouveaux traitements du psoriasis Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE

STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE d'après le cours de Jean-Louis VIRELIZIER, Unité d'immunologie Virale, Institut Pasteur, Paris. INTRODUCTION L'étude des moyens de défense de l'organisme

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Système immunitaire artificiel

Système immunitaire artificiel République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieure Université des Sciences et de la Technologie D Oran Mohammed Boudiaf (USTO) Faculté des Sciences Département d Informatique

Plus en détail

Apport d un nouveau test Interféron Gamma

Apport d un nouveau test Interféron Gamma Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des

Plus en détail

Sommaire de la séquence 8

Sommaire de la séquence 8 Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques

interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques Le mécanisme m d action d et les effets de l interfl interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques Présentation du domaine de terminologie Fanny Jarnet Le 13 avril

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du

Plus en détail

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous

Plus en détail

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,

Plus en détail

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales

Plus en détail

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21. 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS 4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

III. Le rôle des Cellules «Natural Killer» (NK) dans l Immunité anti-pathogènes

III. Le rôle des Cellules «Natural Killer» (NK) dans l Immunité anti-pathogènes III Le rôle des Cellules «Natural Killer» (NK) dans l Immunité anti-pathogènes Elie Mavoungou Professeur d Immunologie Résumé Les cellules tueuses naturelles ou natural killer (NK) sont des cellules lymphoïdes

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Patentamt JEuropâisches European Patent Office Office européen des brevets (g) Numéro de publication : 0 458 661 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (g) Numéro de dépôt : 91400889.1 mt Cl.5: A61K 31/415, C07D

Plus en détail

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives? Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc

Plus en détail

Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)

Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du

Plus en détail

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait

Plus en détail

ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT

ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes

Plus en détail

Master Développement et Immunologie

Master Développement et Immunologie Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation

Plus en détail

La maladie de Huntington, une maladie du cerveau

La maladie de Huntington, une maladie du cerveau Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles

Plus en détail

Réception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage

Réception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage Déroulement du processus Tutoplast Don de tissus accord du patient questionnaire au patient (don vivant) questionnaire aux proches du défunt (don mort) prélèvement du tissus sur le patient (ou en pathologie)

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»

Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

Contrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus

Contrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus AIX-MARSEILLE UNIVERSITE Faculté des sciences de Luminy Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE DE DOCTORAT Biologie - Spécialité : Immunologie En vue d'obtenir le titre de DOCTEUR

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation

Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation Paris, 23 avril 2015, 20h00 OSE Pharma SA (ISIN : FR0012127173 ; Mnémo : OSE), société biopharmaceutique qui développe des produits

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

82 collaborateurs 52 millions

82 collaborateurs 52 millions Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires

Plus en détail

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR

Plus en détail

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Séquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire

Séquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail