Fiche conseil n Ce qu exigent les référentiels. 2. Introduction et points particuliers. Revue de direction Environnement et/ou SST

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fiche conseil n 17. 1. Ce qu exigent les référentiels. 2. Introduction et points particuliers. Revue de direction Environnement et/ou SST"

Transcription

1 Fiche conseil n 17 REVUE DE DIRECTION 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO : Revue de direction EMAS Annexe I.-A.6 : Revue de direction SST OHSAS : Revue de direction Correspondance avec ILO OSH Examen par la direction 2. Introduction et points particuliers La revue de direction a pour objet de permettre à la direction à son plus haut niveau - i.e. la direction qui a signé la politique et donc qui a alloué des ressources pour que le système de management (SM) soit mis en place, qu il soit suffisant et efficace de vérifier que le SM répond bien à l ensemble de ses attentes et notamment à sa politique et aux objectifs qu elle s est fixés. Il est fréquent que les acteurs de la revue de direction aient une fausse perception des attendus de cet exercice et considèrent qu'il est plus destiné à évaluer les performances du responsable du SM que celles du SM lui-même. Il est essentiel qu'une prise de conscience se fasse à ce niveau de façon à ce que les données d'entrée soient communiquées de manière transparente et objective pour permettre une réelle amélioration. Revue de direction Environnement et/ou SST La revue du SM par la direction est exigée par les référentiels Environnement et SST, ainsi que par le référentiel Qualité ISO 9001:2000. Il y a tout intérêt, lorsque cela est possible, à ce qu'elle soit commune Environnement, SST et Qualité. En effet, la revue de direction étant un lieu de prise de décisions, il est pertinent d'effectuer simultanément les choix concernant les différentes composantes des SM. Dans l hypothèse où les SM ne sont pas intégrés, c est à dire quand les exigences n ont pas été déployées par processus, cet exercice reste très compliqué et pas vraiment recommandé. Dans ce cas, il reste quand même possible de traiter certains points en commun lors des revues de direction (ex : politique, audits, formation, gestion de la documentation..) afin d éviter des redondances. Efficacité et efficience Dans la partie 1 - «Ce qu exigent les référentiels» - il est précisé qu il est nécessaire de s assurer que les systèmes de management soient «efficaces». Cette notion d efficacité étant souvent mal comprise, il est intéressant d en rappeler la définition. L ISO 9000:2005 précise que le niveau d efficacité consiste en une appréciation du «niveau de réalisation des activités planifiées et d obtention des résultats escomptés», c est-à-dire de la proportion des objectifs et autres actions planifiés dans le cadre du système qui ont été réalisés dans les délais et des résultats attendus qui ont bien été atteints. Un autre critère d évaluation apparaît souvent dans le jargon normatif : l efficience. L ISO 9000:2005 précise que l efficience est le «rapport entre le résultat obtenu et les ressources utilisées», autrement dit, dans quelle mesure un objectif qui a été atteint l a-t-il été avec le juste nécessaire (ou un optimum) en terme de ressources financières, humaines et/ou matérielles. Bilan annuel HSCT et revue de direction SST L'article L236-4 du Code du Travail impose, pour les organismes de plus de cinquante salariés, la réalisation d'un bilan, au moins annuel, de la situation générale de l'hsct. Ce bilan, dont le contenu est précisément fixé par l'arrêté du 12 décembre 1985, doit être présenté par le chef d'établissement au CHSCT. Ce bilan nécessite de collecter un certain nombres d'informations qui sont également des données d'entrée de la revue de direction. Il peut donc s avérer utile de rapprocher réalisation du bilan HSCT et préparation de la revue de direction du système de management SST. FC17_V1 1 / 6

2 3. Vue synthétique des actions à réaliser Politique Objectifs et programme de management (année N) / état de réalisation Plan de formation (année N) / état de réalisation Plan de communication (année N) / état de réalisation ou communication interne et externe réalisée sur l'année N, point de vue des parties intéressées Résultats des évaluations de la conformité aux exigences réglementaires et autres exigences Programme d'audit (année N) / état de réalisation Résultats des audits Incidents, accidents Non-conformités, actions correctives préventives Revues de processus (si management intégré) Résultats de la surveillance / Indicateurs (suivi du tableau de bord) Changements (environnement du site, réglementation, activités et processus) Proposition pour l'amélioration Analyser les données et préparer la revue de direction Données d entrée analysées, synthétisées et mises en forme pour une présentation Organiser et animer la revue de direction Compte-rendu de la revue de direction : Liste des AES / risques SST validée Objectifs et Programme de management (Années N+1/N+2/ /N+X) y compris nouvelles opportunités d amélioration de la performance E/SST et/ou de la performance du SM Plan de formation (Années N+1/N+2/ /N+X) Programme d audit (Années N+1/N+2/ /N+X) Plan de communication (Années N+1/N+2/ /N+X) Décision concernant la communication externe (AES) Programmation des test de situations d urgence (Années N+1/N+2/ /N+X) Politique (éventuels besoins de changement) Evaluation factuelle de la performance du SME FC17_V1 2 / 6

3 4. Actions à mettre en œuvre ➊ ANALYSER LES DONNEES ET PREPARER LA REVUE DE DIRECTION La revue de direction est un exercice délicat car il est réalisé en un temps limité au cours duquel des arbitrages seront rendus et les décisions consignées. A ce titre, il est donc impératif de consacrer le temps nécessaire à sa préparation, gage d une revue de direction «efficiente»! Cela contribue notamment à répondre à l exigence suivante : «Le processus de revue doit garantir que l'information nécessaire est recueillie de façon à permettre à la direction de mener à bien cette évaluation». Si par exemple le programme environnemental est validé en revue de direction, la définition préalable en concertation avec la direction, des objectifs potentiels permettra de consacrer le temps prévu dans la revue uniquement à la sélection des objectifs qui seront conservés au final dans le programme (et non à leur élaboration) ainsi qu'à la validation des budgets. Quels sont les éléments à aborder en revue de direction? La revue de direction se doit d'aborder un certain nombre de points, d'une part parce que les référentiels l'imposent (par exemple examiner les résultats des audits), d'autre part parce qu'il s'agit d un moment privilégié pour le faire puisque les personnes qui ont autorité sont présentes (valider les programmes d'actions et autres planifications). Il est nécessaire que le champ de la revue de direction couvre tous les éléments du système de management (de l analyse des AE/risques SST à l'audit). L'ensemble des sujets peut être balayé en une ou plusieurs revues au cours de l'année. Il est donc conseillé d'élaborer un ordre du jour "type" de revue de direction reprenant l'ensemble des éléments à traiter. Préalablement à chaque revue, seront identifiés, au sein de l'ordre du jour "type", les sujets à aborder. Ces derniers conditionneront la préparation et notamment les données d entrée à collecter. ORDRE DU JOUR TYPE Quelles données d entrée? Les données d entrée sont clairement établies dans le cadre du référentiel ISO ; elles peuvent cependant être généralisées aux systèmes de management SST. Elles portent notamment sur : - l'état de réalisation des objectifs planifiés et des programmes associés, - le suivi des actions décidées lors des revues précédentes, - la réalisation du plan de formation de l'exercice précédent, - la réalisation du programme d'audit de l'exercice précédent, respect des délais, report ou annulation d'audits - les résultats de la communication interne et externe, la réalisation du plan de communication de l'exercice précédent (s'il existe), y compris le point de vue des parties intéressées : résultats des consultations du personnel, observations du médecin du travail, de l'inspection du travail, de la CRAM, de l'inspecteur IC, bilans des plaintes et réclamations, point de vue des parties intéressées... - le suivi du tableau de bord rassemblant les principaux indicateurs relatifs à la performance environnementale ou SST et à la performance du système (notamment les résultats de la surveillance), - les résultats des audits internes : analyse et résolution des écarts, efficacité des pistes d'amélioration proposées, appréciations sur les auditeurs - les résultats des évaluations de la conformité aux exigences réglementaires et autres exigences, - les incidents, accidents et le retour d'expérience associé, ainsi que maladies professionnelles survenues, situations de dangers graves et imminents, recours à un expert, bilans des tests des situations d'urgence - la synthèse des non-conformités identifiées, l'état des actions correctives et préventives : taux d'avancement, traitement dans les délais - les résultats des revues de processus (si management intégré), - les changements de circonstances : les modifications des activités, produits, et services de l'organisme, le contexte économique (difficultés, nouveaux marchés ), les résultats de l'évaluation des aspects environnementaux/risques SST à partir des nouveaux développements ou des développements planifiés, les modifications des exigences légales applicables et des autres exigences applicables auxquelles l'organisme a souscrit, les avancées scientifiques et technologiques - de recommandations pour l'amélioration issues par exemple du benchmarking en matière de bonnes pratiques dans les autres organismes, - Qui fait quoi? La préparation peut par exemple être orchestrée par le responsable du système de management [Renvoi Fiche n 5] Celui-ci demandera éventuellement aux personnes responsables de la gestion et du traitement des données d entrée nécessaires à la revue de direction de réaliser des synthèses pour faciliter leur analyse ultérieure. FC17_V1 3 / 6

4 Les personnes en charge de collecter et/ou d analyser l information sont par exemple : - les pilotes de processus, le responsable environnement, le responsable sécurité, le responsable qualité, le responsable développement durable, le responsable de la formation, le responsable des ressources humaines, les responsables de production, les relais HSE dans les unités - les représentants du personnel (CHSCT, délégués du personnel), le médecin du travail L existence d un canevas pré-établi, définissant les informations à collecter par ces différents acteurs, peut être appréciable. Il permet d'une part de ne pas oublier d'informations, et d'autre part d'en faciliter la synthèse globale, puisque tous les éléments sont remontés de manière homogène. Toutes les données d entrées utiles à la revue de direction, après compilation et synthèse par le responsable du SM, peuvent être diffusées aux participants de la revue avant la tenue de cette dernière afin de permettre à chacun de les étudier et de préparer éventuellement leurs commentaires et propositions. Les possibles manques d informations, conflits ou discussions complémentaires pourront de ce fait être traités avant la revue de direction et en faciliter ainsi le déroulement. Les échanges lors de la revue seront ainsi plus pertinents et la prise de décision pourra être plus efficace. ➋ ORGANISER ET ANIMER LA REVUE DE DIRECTION La revue de direction vise à permettre à la direction à son plus haut niveau, en une seule ou plusieurs réunions : de faire un bilan sur le fonctionnement du système de management pendant la période écoulée et de juger de son efficacité sur cette période de conclure quant aux éventuelles modifications à apporter dans une perspective d amélioration, de planifier les actions de progrès à engager pour la période à venir. Qui assiste à la revue de direction? Les participants à la revue de direction sont : des membres permanents (le comité de direction, le responsable du système de management, les chefs de site ), des invités (chefs de service, opérationnels, ), en fonction de l ordre du jour. Faire le bilan du fonctionnement / évaluer l'efficacité du SM La revue de direction consiste tout d abord à analyser les données d entrée relatives au fonctionnement du système en vue de statuer sur son efficacité. Cette dernière tâche revient à la direction à son plus haut niveau, c est-à-dire à celui ou ceux qui se sont engagés, à travers la politique, à fournir des ressources pour mettre en œuvre le système de management et à atteindre les objectifs qu ils se sont fixés. La direction doit apprécier "l aptitude du SM à remplir les fonctions pour lesquelles il a été mis en place". Comment évaluer l'efficacité? En l absence d une approche structurée pour évaluer l'efficacité, la direction doit prendre sa décision à partir des éléments de synthèse et des indicateurs (notamment ceux relatifs au fonctionnement du système) présentés et discutés en revue de direction pour juger de l efficacité. Il est souhaitable d'établir une grille d'évaluation, qui reprenne, par exemple, pour chaque composante du système (veille réglementaire, formation, communication, audit ), les critères d'appréciation quantitatifs et/ou qualitatifs permettant de se prononcer objectivement sur l'efficacité du système. Le fascicule de documentation de l AFNOR FDX propose une démarche d évaluation de l efficacité d un système qualité à l aide d une grille de cotation (à préciser) basée sur une échelle de 5 niveaux de progrès appliquée aux critères d évaluation du système définis par l organisme. Cette méthodologie peut évidemment être appliquée aux systèmes de management Environnement et SST. Il est important de consigner l'évaluation de l'efficacité du SM, mais sans doute plus encore les raisons qui ont conduit à cette évaluation et les décisions qui en découlent. Evaluer l'efficacité ne se résume pas à consigner à la fin du CR de la revue que "la direction considère le SM comme efficace ou non". Il ne s'agit pas d'une conclusion binaire (tout blanc ou tout noir) mais plutôt d'évaluer la teinte de gris et de décider des actions qui permettent d'aller vers le blanc. Certains éléments du SM peuvent donner satisfaction, alors que des besoins d'amélioration peuvent être décelés pour d'autres. L'objectif est donc ici de ne pas s'arrêter à un simple constat "le SM est ou n'est pas efficace", mais bien de s'appuyer sur cette évaluation pour identifier les opportunités d'amélioration (ex : améliorer le processus d'identification des exigences légales applicables, afin que la conformité soit évaluée dans de meilleurs délais) et décider des actions à mettre en œuvre [Renvoi Fiche n 4]. FC17_V1 4 / 6

5 Comment évaluer l efficience? Au-delà de l efficacité, il est intéressant mais difficile de statuer sur l efficience d un système, c est à dire d évaluer la pertinence de l organisation et des ressources mises en oeuvre par rapport aux résultats obtenus. Par exemple, un organisme peut planifier un seul audit interne annuel (audit complet réalisé par un organisme extérieur apportant une compétence spécifique et un regard tiers) ou au contraire prévoir une douzaine d'audits ponctuels (participant à l'action de sensibilisation du personnel, et reposant sur l utilisation de ressources internes). Dans ce dernier cas, les moyens à mettre en œuvre peuvent être importants. Il convient alors de se poser la question : les moyens mis en place sont-ils appropriés par rapport aux résultats obtenus? Selon l'organisme, la solution la plus efficiente pourra être la première ou la deuxième. Cet exercice n est jamais simple puisqu il suppose l existence d indicateurs ou plus simplement d informations en lien avec la "bonne" utilisation des ressources. Entériner des décisions Au-delà des décisions prises lors de l'étape précédente, les référentiels insistent notamment sur les éventuels besoins de modifications des objectifs et de la politique. Ces évolutions peuvent notamment s'avérer nécessaires en cas de changement important du contexte comme par exemple une évolution importante de le réglementation, une restriction importante des ressources affectées au SM, due à une conjoncture économique difficile, ou bien une évolution importante de l'organisation Elles sont à la base du principe d amélioration du SME La revue de direction est un espace de discussion privilégié pour la prise de décision. Il est donc opportun de prévoir de statuer sur différentes obligations faites par les référentiels au cours de cette revue. Par exemple, l obligation de statuer par écrit sur «l opportunité d adopter des processus de communication externe portant sur les aspects environnementaux significatifs[renvoi Fiche n 8]» peut être traitée au cours de la revue. Il en va de même pour : la détermination du caractère significatif des aspects environnementaux la validation des objectifs et du programme environnemental ou santé, sécurité au travail, concernant les actions techniques (associées notamment aux AES ou risques SST) et les actions liées à l amélioration du système (issues de la 1 e étape de bilan du fonctionnement du SM), la validation du plan de mise en conformité réglementaire, l approbation du ou des plans de formation, l approbation du programme d audit, l approbation du plan de communication,, l approbation du programme de test des situations d urgence. etc... Documenter la revue de direction La revue de direction doit être documentée. Il est donc nécessaire d une part de préparer un certain nombre de documents qui seront présentés en revue de direction et d autre part d établir un compte rendu reprenant l ensemble des décisions prises. Il est souvent utile de consigner les raisons qui ont conduit à rendre tel ou tel arbitrage. Par exemple, les objectifs qui n ont pas été retenus dans le programme peuvent être repris dans le compte rendu ainsi que les justifications qui ont amené à les écarter. Ceci facilitera leur réexamen. CR DE REVUE DE DIRECTION Quelle diffusion pour les conclusions? Les conclusions de la revue de direction doivent être communiquées au personnel sous une forme adaptée. Cela peut faire l objet d une présentation par la hiérarchie ou d un affichage pertinent (synthèse). FC17_V1 5 / 6

6 DEFINIR LES MODALITES DE REVUE DE DIRECTION Aucune procédure n'est exigée par les référentiels. Il est cependant usuel de formaliser les modalités de revue de direction concernant la préparation, la tenue et la documentation de la revue de direction, le plus souvent dans le Manuel. MANUEL Quelle est la périodicité de la revue de direction? La périodicité de la revue de direction doit être définie. Elle peut évoluer au cours du temps, plus fréquente par exemple lors de la mise en place du système et de sa pérennisation, plus espacée par la suite, dès lors que le système est jugé satisfaisant et que les outils permettant de l alimenter sont correctement mis en œuvre par le personnel (gestion des remontées d information, des non-conformités, réalisation des audits ). Classiquement la revue de direction est annuelle, voire semestrielle. Le positionnement dans le temps de la revue de direction doit être décidé à la lumière du calendrier de l organisme concernant l allocation des budgets et autres ressources afin de garantir la cohérence et la crédibilité des décisions prises. Ces revues sont souvent utilement complétées à intervalles plus réguliers par des réunions d un comité de pilotage ou de suivi [Renvoi Fiche n 5] permettant de suivre en particulier l état de réalisation du programme, le traitement des NC/AC/AP, les demandes externes et les remontées d information interne Ceci permet de s'assurer du bon avancement des actions et de la progression des résultats vers les buts à atteindre afin de détecter les dérives au plus tôt et de réagir rapidement. A noter que, lors de la mise en place du système, les organismes certificateurs exigent d'avoir mené, au minimum, une revue de direction complète (abordant l'ensemble des éléments du SM) avant l'audit de certification ou d'enregistrement. 5. Compléments Exigences réglementaires en matière de bilan annuel d'hsct - Voir article L236-4 alinéa 1 du Code du Travail - Voir arrêté du 12 décembre 1985 précisant les informations devant figurer au rapport prévu à l'article L236-4 alinéa 1 du Code du Travail FC17_V1 6 / 6

Fiche conseil n 16 Audit

Fiche conseil n 16 Audit AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS

Plus en détail

Fiche conseil n 8. 4.4.3 : Consultation et communication

Fiche conseil n 8. 4.4.3 : Consultation et communication Fiche conseil n 8 COMMUNICATION 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.4.3 : Communication EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2 Annexe I.-A.4.3 : Communication Annexe I.-B.3

Plus en détail

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives INERIS DVM-11-121612-08005A - HPa Fiche n 15 NON-CONFORMITE, ACTION CORRECTIVE ET ACTION PREVENTIVE ACCIDENTS ET INCIDENTS 1. Ce qu'exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.3 : Non-conformité,

Plus en détail

Annexe sur la maîtrise de la qualité

Annexe sur la maîtrise de la qualité Version du 09/07/08 Annexe sur la maîtrise de la qualité La présente annexe précise les modalités d'application, en matière de maîtrise de la qualité, de la circulaire du 7 janvier 2008 fixant les modalités

Plus en détail

Charte de l'audit informatique du Groupe

Charte de l'audit informatique du Groupe Direction de la Sécurité Globale du Groupe Destinataires Tous services Contact Hervé Molina Tél : 01.55.44.15.11 Fax : E-mail : herve.molina@laposte.fr Date de validité A partir du 23/07/2012 Annulation

Plus en détail

Rapport d'audit étape 2

Rapport d'audit étape 2 Rapport d'audit étape 2 Numéro d'affaire: Nom de l'organisme : CMA 76 Type d'audit : audit de renouvellement Remarques sur l'audit Normes de référence : Autres documents ISO 9001 : 2008 Documents du système

Plus en détail

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001 SARRAMAGNAN Viviane Master II Économie et Gestion de l Environnement Année universitaire 2008/2009 Sommaire Présentation

Plus en détail

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

Rapport d'audit interne du processus RESSOURCES MATERIELLES NANCY

Rapport d'audit interne du processus RESSOURCES MATERIELLES NANCY Rapport d'audit interne du processus RESSOURCES MATERIELLES Date de l'audit : 23/03/2010 - Processus audité(s) : Système management qualité Site audité : Nancy Référentiel(s) : ISO 9001 : 2008 Équipe d'audit

Plus en détail

Fiche conseil n 13. 4.5.1 : Surveillance et mesure des performances

Fiche conseil n 13. 4.5.1 : Surveillance et mesure des performances Fiche conseil n 13 SURVEILLANCE ET MESURE 1. Ce qu'exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.1 : Surveillance et mesurage EMAS Annexe I.-A.5.1 : Surveillance et mesurage SST OHSAS 18001 4.5.1

Plus en détail

Prestations d audit et de conseil 2015

Prestations d audit et de conseil 2015 M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations

Plus en détail

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme

Plus en détail

Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise

Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise CCI Moselle, le16 avril 2013 Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement Un atout pour l entreprise Intervention de Olivier Rousseaux, Auditeur QSE, Expert en organisation et management

Plus en détail

RAPPORT D AUDIT INTERNE

RAPPORT D AUDIT INTERNE RAPPORT D AUDIT INTERNE Transcriptomique Génomique Marseille Luminy ontexte Dates d'audit : 1 au 2 octobre 2014 Périmètre d'audit : ensemble du système de management intégrant un SMQ Objectif de l'audit

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

HEG Gestion de la Qualité L.Cornaglia. Les référentiels SMI, normes, processus de certification

HEG Gestion de la Qualité L.Cornaglia. Les référentiels SMI, normes, processus de certification Les référentiels SMI, normes, processus de certification 1 Définitions selon le Guide ISO/IEC 2:2004 Norme Document, établi par consensus et approuve par un organisme reconnu, qui fournit, pour des usages

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION 02 CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 REGLES DE CERTIFICATION MARQUE MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

CONFÉRENCE INTERAFRICAINE DES MARCHÉS D'ASSURANCES. C () N SEI L n E S M l!\ 1 S T l{ l': S J) E S A S S II [{ A NeE S

CONFÉRENCE INTERAFRICAINE DES MARCHÉS D'ASSURANCES. C () N SEI L n E S M l!\ 1 S T l{ l': S J) E S A S S II [{ A NeE S I~,0:.----------, c 1 M A CONFÉRENCE INTERAFRICAINE DES MARCHÉS D'ASSURANCES.'.- 1. ~ 0 0 0 SI: C () N SEI L n E S M l!\ 1 S T l{ l': S J) E S A S S II [{ A NeE S REGLEMENT N,.ICIMAlPCMA/ CE/ SG/ 2DD9

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie

Caisse Nationale de l'assurance Maladie Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Mesdames et Messieurs les Médecins Conseils Régionaux Date : Monsieur le Médecin Chef de La Réunion

Plus en détail

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance Procédures de contrôle interne relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière

Plus en détail

LA QUALITE DU LOGICIEL

LA QUALITE DU LOGICIEL LA QUALITE DU LOGICIEL I INTRODUCTION L'information est aujourd'hui une ressource stratégique pour la plupart des entreprises, dans lesquelles de très nombreuses activités reposent sur l'exploitation d'applications

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-3 Réponses globales... 4-6 Procédures d'audit

Plus en détail

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER

Plus en détail

Certification OHSAS 18001 Santé et sécurité au travail : exemple d'application dans une AASQA (AIRFOBEP)

Certification OHSAS 18001 Santé et sécurité au travail : exemple d'application dans une AASQA (AIRFOBEP) Certification OHSAS 18001 Santé et sécurité au travail : exemple d'application dans une AASQA (AIRFOBEP) BouAlem MESBAH - AIRFOBEP? 3 Questions avant de commencer Du document unique au SMS Du SMS à l OHSAS

Plus en détail

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005

LEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005 LEXIQUE DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr NF EN ISO 9000 octobre 2005 DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) - GENERAL ISO

Plus en détail

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES 1 SOMMAIRE 1. Les sources d information 2. Les conditions d acceptation de mission 3. La planification de l audit de la consolidation 4. Les travaux d

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION

PROGRAMME DE FORMATION Innovation - Prévention conseil - accompagnement - formation Innovation-Prévention 19 rue Paul Séramy 77300 Fontainebleau N SIRET : 48155965600030 Tel : 09.88.99.99.59 www.innoprev.com Contact Direct avec

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP

REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP REGLES GENERALES DE CERTIFICATION HACCP Date d application 1 er Mars 2012 Angle Avenue Kamal Zebdi et rue Dadi Secteur 21, Hay Riad-Rabat Tél.: (+212) 537 57 24 49/53 Fax: (+212) 537 71 17 73 URL : www.imanor.ma

Plus en détail

Tremplins de la Qualité. Tome 2

Tremplins de la Qualité. Tome 2 Tome 2 CET OUVRAGE EST UN GUIDE D INTERPRETATION DE LA NORME NF EN ISO 9001 VERSION 2000 AVANTPROPOS Ce guide d aide à la rédaction du Manuel de Management de la Qualité a été rédigé par la Fédération

Plus en détail

SOMMAIRE. Bureau Veritas Certification FranceGP01 Certification de systèmes de management 2015-05-15.docx Page 2/21

SOMMAIRE. Bureau Veritas Certification FranceGP01 Certification de systèmes de management 2015-05-15.docx Page 2/21 Procédure de Certification de systèmes de management GP01 Version du 15 mai 2015 SOMMAIRE 1. Proposition de certification... 3 1.1 Candidature... 3 1.1.1 Schéma général... 3 1.1.2 Schéma Multi-sites...

Plus en détail

Rapport de stage de fin d étude

Rapport de stage de fin d étude Université de Technologie de Compiègne Entreprise Deveryware «Mise en place d un Système de Management Environnemental conforme à la Norme ISO 14001 :2004 en vue d une Certification» Rapport de stage de

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM Dossier paru dans la tribune de l'industrie des Editions WEKA N 29 Mars 2006 Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM La mise en place d'une démarche TPM nécessite plusieurs

Plus en détail

Diagramme d'une mission d'audit interne

Diagramme d'une mission d'audit interne Diagramme d'une mission d'audit interne Ordre de Mission Prise de connaissance du sujet & Découpage en Objets Auditables TaRi = Tableau de Risques Risques Finalités scénarios Points Impact de contrôle

Plus en détail

Rapport du président établi en application de l article L. 225-37

Rapport du président établi en application de l article L. 225-37 78 Gouvernance d entreprise Rapport du président établi en application de l article L. 225-37 Rapport du président établi en application de l article L. 225-37 Rapport du président établi en application

Plus en détail

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI

Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information

Plus en détail

La pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle

La pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle La pratique de l ITSM Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle Création : avril 2012 Mise à jour : avril 2012 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat

Plus en détail

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent

Plus en détail

MS PROJECT 2000. Prise en main. Date: Mars 2003. Anère MSI. 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere.

MS PROJECT 2000. Prise en main. Date: Mars 2003. Anère MSI. 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere. DOCUMENTATION MS PROJECT 2000 Prise en main Date: Mars 2003 Anère MSI 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere.com Le présent document est la propriété exclusive d'anère

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel Planifier le projet > Identifier les étapes > Organiser le projet > Identifier les étapes - Le Diagramme de Gantt > Organiser le projet - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier

Plus en détail

Guide pour la mise en place par étapes d un système de management de la santé et de la sécurité au travail

Guide pour la mise en place par étapes d un système de management de la santé et de la sécurité au travail Guide pour la mise en place par étapes d un système de management de la santé et de la sécurité au travail 1 Ce document méthodologique a été élaboré par un groupe de travail animé par Pierre-Olivier Viac,

Plus en détail

RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE

RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB

Plus en détail

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Copyright 2001 de The Institute of Internal Auditors, 247 Maitland Avenue, Altamonte Springs, Florida 32701-4201. Tous droits réservés. Conformément

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL 15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel

Plus en détail

ITIL V3. Exploitation des services : Les fonctions

ITIL V3. Exploitation des services : Les fonctions ITIL V3 Exploitation des services : Les fonctions Création : juin 2013 Mise à jour : juin 2013 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé en se basant

Plus en détail

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS 1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant

Plus en détail

Référentiel Engagement de service

Référentiel Engagement de service Toute reproduction intégrale ou partielle faite en dehors d une demande expresse d AFNOR Certification ou de ses ayants droits ou ayants cause est illicite (code de la propriété intellectuelle artt. L122-4

Plus en détail

PROCESSUS DE CERTIFICATION

PROCESSUS DE CERTIFICATION v. 02/02/2015 PROCESSUS DE CERTIFICATION COSMETIQUES ECOLOGIQUES ET BIOLOGIQUES Le présent document a pour objectif de décrire les étapes clefs du processus de certification et fait partie intégrante de

Plus en détail

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834 1 PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN 2 SYNTHESE DES REVISIONS Révision 0 : Révision 1 : édition originale de la procédure modification du paragraphe 3.3.1 c) : critères pour évaluation des coordonnateurs

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com 37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com Programme de formation Prospection commerciale Contexte de formation 2 Objectifs de formation

Plus en détail

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces 1 Origine du Responsible Care Démarche volontaire de l'industrie

Plus en détail

EXPERT FINANCIER POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE. Poste de rattachement hiérarchique : Chef de service Conseil et Expertise Financière

EXPERT FINANCIER POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE. Poste de rattachement hiérarchique : Chef de service Conseil et Expertise Financière Direction Finances EXPERT FINANCIER J CHARGE DU CONTRÔLE INTERNE DU FONDS SOCIAL EUROPEEN (FSE) ET DE CONSEIL EN GESTION POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction Finances Poste de

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Panorama général des normes et outils d audit. François VERGEZ AFAI

Panorama général des normes et outils d audit. François VERGEZ AFAI Panorama général des normes et outils d audit. François VERGEZ AFAI 3 Système d information, une tentative de définition (1/2) Un système d information peut être défini comme l ensemble des moyens matériels,

Plus en détail

ITIL V3-2011 Préparation à la certification ITIL Foundation V3 (3ième édition)

ITIL V3-2011 Préparation à la certification ITIL Foundation V3 (3ième édition) Chapitre 1 Introduction et généralités d'itil V3 A. Introduction 26 1. Le contexte 26 2. Des réponses à ce contexte 27 B. Les bonnes pratiques ITIL V3 28 1. Les bonnes pratiques 28 a. Introduction 28 b.

Plus en détail

ITIL V3-2011 Préparation à la certification ITIL Foundation V3 (2ième édition)

ITIL V3-2011 Préparation à la certification ITIL Foundation V3 (2ième édition) Chapitre 1 Introduction et généralités d'itil V3 A. Introduction 26 1. Le contexte 26 2. Des réponses à ce contexte 27 B. Les bonnes pratiques ITIL V3 28 1. Les bonnes pratiques 28 a. Introduction 28 b.

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT

CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT Manuel des Normes 281 MANUEL DES NORMES TITRE 5 CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT Version janvier 2009 Titre 5- Conclusions de l audit et rapport Manuel des Normes 282 CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT

Plus en détail

Conditions générales pour la certification de systèmes de

Conditions générales pour la certification de systèmes de Page : 1 de 5 1 Généralités Le Service de Certification ESCEM propose aux entreprises de certifier leurs Systèmes de Management Qualité (SMQ), Santé Sécurité au travail (SMS) ou Environnement (SME). Les

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE DES REFERENTIELS RELATIFS AU MANAGEMENT DE LA SANTE ET DE LA SECURITE AU TRAVAIL APPLICABLES AUX ENTREPRISES EXTERIEURES

ETUDE COMPARATIVE DES REFERENTIELS RELATIFS AU MANAGEMENT DE LA SANTE ET DE LA SECURITE AU TRAVAIL APPLICABLES AUX ENTREPRISES EXTERIEURES RAPPORT D ÉTUDE JUIN 2006 N 35129 ETUDE COMPARATIVE DES REFERENTIELS RELATIFS AU MANAGEMENT DE LA SANTE ET DE LA SECURITE AU TRAVAIL APPLICABLES AUX ENTREPRISES EXTERIEURES Aide au transfert des acquis

Plus en détail

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Bank Briefing n 2014-19 ARCHIVES

Bank Briefing n 2014-19 ARCHIVES Bank Briefing n 2014-19 ARCHIVES Vendredi 14 novembre 2014 Arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises du secteur de la banque, des services de paiement et des services d'investissement

Plus en détail

Démarche de traçabilité globale

Démarche de traçabilité globale Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Objectifs de la conférence n Préciser les modalités pratiques de mise en œuvre de la NEP 510 - Contrôle du bilan d ouverture du premier

Plus en détail

Guide de lecture de la norme ISO 9001 MANAGEMENT LA QUALITE

Guide de lecture de la norme ISO 9001 MANAGEMENT LA QUALITE 1 - PREAMBULE Ce guide de lecture a pour but d'expliquer la finalité de chaque exigence, de montrer l'intérêt pour l'entreprise à mettre en œuvre les dispositions exigées par cette norme. Pour des raisons

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

Appendice A I. Mission II. Domaine d'activité A. VÉRIFICATION

Appendice A I. Mission II. Domaine d'activité A. VÉRIFICATION Appendice A Charte du Bureau de l'inspecteur général I. Mission 1. Le Bureau de l'inspecteur général assure la supervision des programmes et des opérations de l'organisation, par des opérations de vérification

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

GUIDE SUR L ASSISTANCE A LA MAÎTRISE D'OUVRAGE EN INFORMATIQUE

GUIDE SUR L ASSISTANCE A LA MAÎTRISE D'OUVRAGE EN INFORMATIQUE GUIDE SUR L ASSISTANCE A LA MAÎTRISE D'OUVRAGE EN INFORMATIQUE Validé par la Commission technique des marchés le 9 décembre 2004 1.1 OBJET DU GUIDE...3 1.2 LE PERIMETRE DU GUIDE...3 1.2.1 Terminologie

Plus en détail

THEORIE ET CAS PRATIQUES

THEORIE ET CAS PRATIQUES THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise

Plus en détail

Excellence. Technicité. Sagesse

Excellence. Technicité. Sagesse 2014 Excellence Technicité Sagesse Audit Conseil ATHENA est un cabinet de services créé en 2007 et spécialisé dans les domaines de la sécurité informatique et la gouvernance. De part son expertise, ATHENA

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : DEVR1412297D et DEVR1412294A Intitulé du texte : Décret et arrêté relatifs aux modalités d application de l audit énergétique prévu par le chapitre III

Plus en détail

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de

Plus en détail

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de

Plus en détail

Projet de plateforme collaborative pour la mise en œuvre d'un Système de Management de la Sécurité dans les PE/TPE

Projet de plateforme collaborative pour la mise en œuvre d'un Système de Management de la Sécurité dans les PE/TPE Projet de plateforme collaborative pour la mise en œuvre d'un Système de Management de la Sécurité dans les PE/TPE Evolution de l'offre des Services Interentreprises de Santé au Travail Présentation de

Plus en détail

> innovation. Action «Normalisation» descriptif

> innovation. Action «Normalisation» descriptif Action «Normalisation» descriptif > Pour répondre aux questionnements des entreprises, la CCI Paris Ile-de-France et AFNOR Normalisation proposent aux entreprises de réaliser un pré-diagnostic normalisation

Plus en détail

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme "

MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme Organisme certificateur 11, avenue Francis Le Pressensé F 93571 SAINT-DENIS LA PLAINE CEDEX MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme " N d identification AFAQ AFNOR

Plus en détail