ENQUÊTE Produits dangereux NORBERT DENTRESSANGLE. Seveso III rebat les cartes
|
|
- Marie-Claude Lefrançois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NORBERT DENTRESSANGLE Seveso III rebat les cartes du classement ICPE A partir du 1 er juin 2015, les règles du jeu vont changer en matière de stockage de produits dangereux. La nomenclature ICPE actuelle est rendue caduque par l adaptation en droit français de la directive Seveso III. Et les nouveaux critères peuvent entraîner des changements de statut Seveso de certains entrepôts existants, même s ils ne sont pas classés comme tels aujourd hui. Pourquoi un tel changement et comment s y préparer? 58
2 Toxiques, comburants, explosifs, inflammables, corrosifs, radioactifs, réactifs avec l eau. Il a de quoi faire peur cet inventaire des matières dangereuses, dont certaines se retrouvent dans des produits de consommation comme les peintures, les parfums, les cosmétiques, les bombes aérosols ou encore les colorants alimentaires. Mais il est rassurant de savoir que leur entreposage est régi par la réglementation ICPE (Installation Classée pour la Protection de l Environnement) : en fonction de la nature des produits (rubrique ICPE, de 1100 à 1800) et des seuils de quantité de stockage, le règlement détermine s il suffit d une simple déclaration, d un enregistrement ou bien s il faut demander préalablement une autorisation administrative auprès d une Dreal (Direction Régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement), dans le cadre d une procédure qui prend de 12 à 18 mois. A chaque nature de danger sont également associées des prescriptions en matière de construction du bâtiment, regroupées dans des «arrêtés types». Le régime d autorisation ajoute à cela une série d obligations d analyse des risques potentiels (explosions, incendie, fuite de substances toxiques dans l air ou dans l eau) ainsi que la mise en place de mesures préventives (EDD, PPAM, POI, SGS, voir lexique page 61). Depuis la première directive européenne dite Seveso en 1982, ce régime d autorisation au niveau français peut être de deux types : «Seveso seuil bas» (autorisation simple) ou «Seveso seuil haut» (autorisation avec servitudes ou AS), suivant que le cumul de quantité de substances dangereuses présentes dans l établissement dépasse ou non certains seuils de danger, avec des obligations plus contraignantes dans le second cas. Le paradoxe du marché français Au 1 er janvier 2014, la France comptait installations Seveso dont 642 «seuil haut». La plupart sont des sites industriels, dont certains sont utilisés également pour le stockage, les autres étant des entrepôts, exploités par les industriels eux-mêmes ou sous-traités à des prestataires. «Il y a un réel manque de plates-formes dédiées à la logistique des matières dangereuses en France. Malgré cela, en tant que prestataires, nous avons quand même énormément de mal à capter une partie du marché», reconnaît Serge Pommelet, Président d Ectra, qui exploite un entrepôt Seveso seuil haut du côté de Saint Clair du Rhône. La raison? Les industriels ont bien souvent tendance à conserver les produits à l intérieur de leurs usines, déjà classées Seveso, plutôt que de payer un service logistique à des tarifs forcément plus élevés que pour des produits classiques. «Tout le monde cherche aussi à diminuer ses stocks, dans une logique de flux de plus en plus tendus», note Yves Tanchou, Président de Via Logistique, qui a ouvert à Bourges il y a cinq ans un entrepôt Seveso seuil haut de m 2. «On voit par ailleurs apparaître de manière plus marquée cette année des besoins ponctuels de clients pour stocker de petites quantité de débord sur une période donnée», remarquet-il. Un troisième facteur explicatif de ce paradoxe franco-français serait lié à l exode des stocks de certains clients à l étranger, notamment à proximité des ports du nord de l Europe (Anvers, Rotterdam ou Hambourg). Cela n empêche pas de nouveaux projets de sites logistiques dédiés aux matières dangereuses de bientôt voir le jour en France (voir page 64). Classements et déclassements en perspective A partir du 1 er juin 2015, l adaptation en droit français de la directive Seveso III risque de modifier quelque peu le paysage établi, avec notamment un chamboulement des nomenclatures ICPE (voir page 61). Selon le Ministère du développement durable, l utilisation de nouveaux critères pourrait conduire à classer Seveso 20 % d installations supplémentaires, alors que dans le même temps un nombre similaire d installations existantes seraient à l inverse «déclassées». De petits stocks, classés aujourd hui en marchandises ECTRA VIA LOGISTIQUE Serge Pommelet, Président d Ectra Yves Tanchou, Président de Via Logistique générales, pourraient par exemple dépasser le seuil de toxicité dans la nouvelle classification et des entrepôts, jusqu ici sous le régime de la déclaration, risquent de devenir obsolètes. Mais pas de panique : les installations concernées auront un an à compter du 1 er juin 2015 pour se faire connaître auprès de la Préfecture et disposeront ensuite d un délai de un à deux ans supplémentaires pour se conformer à la réglementation. «Je ne pense pas que cela change grand-chose pour les prestataires de bâtiments Seveso seuil haut. En revanche, les industriels auront plus de souci à se faire sur quelques-uns de leurs bâtiments qui risquent de changer de statut à cause de certains produits. Ce qui pourrait les inciter à externaliser pour réduire leurs quantités stockées sur site», estime Serge Pommelet (Ectra). Par où commencer? «Nous allons devoir avant le 1 er juin 2015 réévaluer nos installations mettant en œuvre des substances ou mélanges à risque afin de déterminer si elles relè- OCTOBRE SUPPLY CHAIN MAGAZINE N 88 59
3 vent du statut Seveso. Si une première évaluation a déjà été lancée en interne, en raison de la forte technicité de l exercice, nous allons prochainement nous faire accompagner par un bureau d étude spécialisé dans la revue de l ensemble des fiches FDS des produits traités dans les différentes installations du groupe», nous précise-t-on par exemple chez Norbert Dentressangle, qui possède cinq sites Seveso dans l Hexagone. D autres prestataires, comme FM Logistic, ont déjà assez bien avancé dans la définition de leur plan d actions Seveso III (voir page 62). La première chose à faire, le plus rapidement possible, est d effectuer un pré-recensement des substances et mélanges dangereux sur la base de la nouvelle classification CLP (voir page 61) pour déterminer si les bâtiments concernés risquent ou non de changer de classification ICPE et de statut Seveso. Pour cela, il faut pouvoir analyser dans le détail les Fiches de Données de Sécurité (FDS) attachées aux produits considérés comme à risque. Et la grosse difficulté de l exercice est de convaincre les fabricants de passer aux nouvelles FDS «requalifiées CLP». Pour aider industriels et prestataires logistiques dans cette démarche, l Ineris (Institut national de l environnement industriels et des risques) a mis à disposition sur son site* un guide sur la classification des substances et mélanges dangereux. Et les services du Ministère du développement durable proposent sur le site un logiciel d aide à la détermination d un éventuel statut Seveso, développé par la DGPR (Direction générale de la prévention des risques). FM LOGISTIC MAPROCHIM des services de la préfecture dans un délai d un an maximum après parution du décret qui change la donne, soit jusqu au 1 er juin Mais attention : le fait de bénéficier de ce droit d antériorité n empêchera pas forcément l administration d imposer de nouvelles prescriptions techniques de génie civil, ou de demander à l exploitant de produire une étude d impact et une étude de dangers. Parallèlement, il faut également se lancer dans un chantier informatique qui peut être assez lourd, afin de préparer les WMS (logiciels de gestion d entrepôt) existants aux nouvelles nomenclatures. Quelques éditeurs, comme Sitaci ou encore Infflux, ont déjà entamé ce travail avec leurs clients (voir page 66). Ces risques de reclassifications pourraient aussi donner l idée à des industriels ou distributeurs de réorganiser leur logistique entre leurs différents sites pour éviter de dépasser ponctuellement les seuils Seveso sur certains produits. Enfin, il ne faut pas oublier dans les mois à venir d effectuer un travail de veille réglementaire car le ministère travaille actuellement sur la refonte d un certain nombre d arrêtés type. Les Dreal sont aussi là pour répondre aux questions, soit lors des réunions publiques qu elles organisent, soit sur rendez-vous. Il paraît même que leurs inspecteurs vous accueillent à bras ouverts JEAN-LUC ROGNON (*) gesdoc/70566/guide_technique%20 _version_juin_2014.pdf L antériorité, ça s anticipe Une fois ce travail effectué, et dès lors qu il n y a pas de modifications ou d extensions prévues dans les bâtiments éventuellement concernés par ces changements de classement ICPE, il est possible de demander à bénéficier du régime de l antériorité. En effet, il est inscrit dans l article L513-1 du code de l environnement qu en cas de modification du classement ICPE, l entreprise peut obtenir le droit de continuer à exploiter, à condition de faire une demande de droit d antériorité auprès MAPROCHIM 60
4 Lexique ADR : Accord européen sur le transport international des marchandises dangereuses par route. Définit les conditions (emballage, étiquetage, documentation, équipements, etc.) à respecter suivant les classes de produits. Régulièrement modifié et mis à jour depuis son entrée en vigueur, en La version actuelle date de La prochaine fera son apparition en EDD : Etude de Danger. Analyse approfondie des risques (sources, scénarii d accident, conséquences, probabilité d occurrence) que doit réaliser le futur exploitant d un bâtiment Seveso dans le cadre de sa demande d autorisation. FDS : Fiche de Données de Sécurité. Ce document, qui existe depuis de nombreuses années, doit être transmis par le fabricant de matières ou de mélange dangereux à son logisticien. Il contient des informations sur la composition du produit, ses propriétés physiques et chimiques et les renseignements associés liés à la prévention et à la sécurité (16 rubriques). Certains produits, comme les parfums et cosmétiques, sont exemptés de la fourniture de FDS. PETE PAHHAM-FOTOLIA ICPE : Installation classée pour la protection de l environnement. Système de classement défini sur la base de seuils indiqués dans la nomenclature des installations classées qui détermine le cadre légal, technique et financier applicable pour la création et l exploitation d un établissement. POI / PPI : Plan d Opération Interne. Plan d urgence, élaboré par l exploitant d un bâtiment Seveso, pour organiser les moyens, les équipements et méthodes d intervention en cas de sinistre dans une installation PPRT : Plan de Prévention des Risques Technologiques. Document d urbanisme, élaboré par les services de l Etat, qui détermine un périmètre de servitude autour des installations Seveso seuil haut, la nature des risques à prendre en compte et la liste des personnes publiques associées. SGS : Système de Gestion de la Sécurité. Ensemble contrôlé d actions planifiées ou systématiques visant à réduire au maximum le risque d accidents majeurs identifiés dans l EDD. C est une obligation pour les exploitants de bâtiments Seveso seuil haut. Pourquoi une directive Seveso III? La directive européenne Seveso III du 4 juillet 2012 a été créée par souci d harmonisation avec les obligations fixées par un autre règlement européen, dit CLP (Classification, Labelling, Packaging), portant sur la classification, l emballage et l étiquetage des substances et des mélanges (adopté fin 2008 avec une entrée en vigueur progressive entre 2010 et le 1 er juin 2015). Alors que la directive Seveso II s appuyait sur le système de classification des substances dangereuses (DSD/ DPD), avec 15 classes de nature de danger, Seveso III utilisera les 28 classes de dangers de CLP, de nouvelles règles de classification des mélanges, ainsi qu un nouveau système d étiquetage et de pictogrammes. Seveso III en 3 questions Quelles sont les conséquences sur le système actuel? Le classement actuel des sites ICPE va être impacté car la transposition en droit français de la directive Seveso III, qui entrera en vigueur le 1er juin 2015, conduit à modifier en profondeur la nomenclature ICPE figurant au Code de l Environnement. Cela implique la suppression de plus de 60 rubriques ICPE 1000, la modification de 12 autres et la création de 80 nouvelles rubriques 4000 concourant au statut Seveso, avec parfois de nouveaux seuils haut et bas. Certains produits, comme les aérosols, peuvent ainsi voir leur régime «sévérisé» ou au contraire «assoupli» suivant leur appartenance aux nouvelles catégories (aérosols avec gaz propulseur inflammable ou pas). Et d autres, considérés jusqu alors comme peu toxiques, deviennent classés dans le nouveau système. Y aura-t-il de nouvelles obligations? Oui. Les industriels et logisticiens doivent réévaluer leurs installations pour déterminer si leur classification a changé. Par ailleurs, la directive Seveso III introduit de nouvelles obligations en matière d accès à l information (création d un site Internet dédié aux établissements Seveso) et de renforcement de la politique de prévention des accidents majeurs, avec une remise à jour périodique du recensement des substances dangereuses, de l étude de danger (EDD) et du système de gestion de la sécurité (SGS) OCTOBRE SUPPLY CHAIN MAGAZINE N 88 61
5 Francis Clemades, Directeur environnement industriel de NG Concept et Alain Kerinec, Directeur Qualité Hygiène Sécurité Environnement France FM Logistic «Nous avons lancé un plan d actions Seveso III en avril» Dans son portefeuille de 22 sites en France (hors pharmacie), FM Logistic exploite six bâtiments Seveso seuil haut et trois Seveso seuil bas, notamment pour des industriels de la cosmétique et des acteurs de la distribution. Alain Kerinec, Directeur Qualité Hygiène Sécurité Environnement France et Francis Clemades, Directeur environnement industriel de NG Concept, la filiale ingénierie du groupe, nous détaillent le plan d actions qu ils ont engagé dans l optique de l entrée en vigueur de Seveso III. Supply Chain Magazine : Que pourrait changer pour vous l entrée en vigueur en juin 2015 de Seveso III? Alain Kerinec : Le plan d actions, que nous avons lancé en avril en comité de direction, recouvre de nombreuses dimensions. Il y a bien sûr le volet technique, avec l analyse, l état des lieux des différentes fiches FDS pour l ensemble de nos clients qui peuvent être concernés, c est-à-dire une trentaine environ. Côté informatique, il faut également s assurer que tous les WMS des sites potentiellement concernés (12 au total) intègrent bien les nouvelles données concernant les classes de produits et les règles de stockage. D un point de vue opérationnel, le changement de nomenclature peut également entraîner des impacts minorants ou majorants sur l organisation du picking de certains produits, et sur leurs localisations dans les palettiers. Cela va entraîner aussi des changements en matière de formation aux nouvelles rubriques et aux nouveaux risques. Potentiellement, il existe aussi des implications commerciales, car il faut récupérer de la part de nos clients un maximum d informations concernant les FDS de leurs produits (même s ils n y sont pas astreints, comme pour les parfums), des implications contractuelles, dans le cas où les modifications de seuils entraînent des ajustements tarifaires ou de réservations de capacités, et enfin des implications sur les cotations des dossiers que nous traitons actuellement. Sans oublier évidemment le niveau administratif, puisque FM LOGISTIC FM LOGISTIC Francis Clemades, NG Concept Alain Kerinec, FM Logistic nous aurons jusqu au 1 er juin 2016 pour demander à la préfecture de bénéficier du régime dit d antériorité. SCMag : Concrètement, en quoi consiste l analyse des fiches FDS? Francis Clemades : C est un prérequis obligatoire. Il s agit notamment d établir des tables de correspondances en ce qui concerne la classification et les changements de rubriques ICPE. L analyse au niveau chimique des fiches FDS des fabricants est une tâche gigantesque. Pour les 30 clients concernés, cela représente plusieurs milliers de FDS à éplucher, à mettre à jour, à compléter avec des demandes de renseignements, de façon à pouvoir se projeter sur l ensemble des changements potentiels. D autant qu il ne s agit pas forcément des nouvelles fiches FDS, issues du règlement CLP qui ne seront applicables qu en juin C est donc un travail de haute volée, que nous avons commencé en avril, et qui devrait s achever en ce mois d octobre. Ce n est qu à partir de ce moment-là que nous aurons une idée précise de l impact de la directive Seveso III sur nos activités et que nous pourrons informer nos clients sur les éventuels changements à effectuer. SCMag : Quelles seront les modifications à effectuer en matière d informatique? Alain Kerinec : Ce sera un gros chantier car toutes les architectures des WMS concernées devront être modifiées, ainsi que leurs interfaces et les outils EDI. En effet, le changement de nomenclature implique de modifier les messages EDI que nous envoient nos clients. Nous devrons également revoir l interfaçage du WMS avec les outils utilisés par les inspecteurs de la Dreal pour vérifier l état des stocks en fonction des rubriques et des tonnages. Cela représente plusieurs dizaines de jours de développement. PROPOSRECUEILLISPAR JEAN-LUC ROGNON 62
6 JP.GUILLAUME Eiffage croit à l avenir de la logistique Seveso en France Le groupe Eiffage croit dur comme fer à l avenir des sites logistiques spécialisés produits dangereux en France. Il a dans ses cartons pas moins de cinq projets dans ce domaine. Zoom sur les deux programmes les plus avancés, à Moulins et à Dunkerque, qui devraient voir le jour d ici à deux ans. La réalisation de sites logistiques de produits dangereux n est évidemment pas l activité principale d Eiffage Construction, un des leaders européens du BTP. Il n empêche que la filiale du groupe Eiffage s intéresse au sujet depuis maintenant 10 ans, et que ses premières réalisations devraient voir le jour dans l Hexagone dans les années qui viennent. «Une étude commandée au cabinet Asconit il y a cinq ans nous a permis d identifier les potentialités de ce marché qui n est pas tout à fait une niche puisque les flux de matières dangereuses Un entrepôt Seveso évolutif dans l Allier en 2017 Logiparc 03, près de Moulins dans l Allier, au cœur de la Sologne Bourbonnaise. C est dans ce parc multimodal de 184 ha, en cours d aménagement que le groupe Eiffage prévoit, en partenariat avec les Transports Bourrat, de bâtir une plate-forme de nouvelle génération dédiée à la logistique des matières dangereuses. Le dépôt des demandes administratives (permis de construire et autorisation d exploiter) d un entrepôt Seveso seuil haut, sous plusieurs rubriques ICPE, devrait intervenir en début d année prochaine, en même temps que le lancement de la phase de pré-commercialisation. «Pour une procédure de ce type, il faut en général compter 18 mois. Si l on ajoute à cela les huit mois de construction, cela nous EIFFAGE JP.GUILLAUME Fabienne Thiéry, Logiparc 03 Patrick Marissael, Eiffage représentent environ 10 % des flux globaux de marchandises en France», indique Patrick Marissael, Chargé d affaires pour Eiffage Construction (et examène à une ouverture du site début de 2017», estime Patrick Marissael, Chargé d affaires chez Eiffage Construction. D une surface totale de m 2 pour une capacité de palettes, le bâtiment sera divisé en six cellules de m 2, afin de pouvoir répondre aux règles de stockage d une large gamme de produits relevant des ICPE 1100, Pascal Robat, Logiparc 03 Directeur du développement de l immobilier logistique du prestataire Chevallier). C est à la lumière de ces réflexions qu Eiffage Construction envisage de réaliser un certain nombre de sites logistiques Seveso dans l Hexagone, notamment à Rouen (Petite Couronne), à Saint-Clair du Rhône (en partenariat avec le promoteur Proudreed), et peutêtre un jour également à Marseille Fos. Les deux projets les plus avancés, qui devraient aboutir en 2017, sont situés à Moulins (Logiparc 03) et à Dunkerque (projet Horn). 1200, 1300, 1400, 1500, 2100, 2200, 2500 et En effet, si les phytosanitaires sont généralement stockés dans des cellules classiques de m 2, ce n est pas le cas par exemple des produits inflammables. «Le centre de la France est une grande région utilisatrice de phytosanitaires, mais une étude d opportunité et de faisabilité a également mis en évidence un besoin de stockage en grande quantité de produits de consommation tels que peintures, bombes aérosols, cosmétiques et colorants alimentaires», explique Fabienne Thiéry, Directrice du développement économique de Moulins Communauté, maître d ouvrage de Logiparc 03. En vue d offrir un maximum de modularité et de flexibilité vis-à-vis des besoins clients, chaque cellule sera dotée de quatre systèmes indépendants d évacuation et de récupération d eau des sprinklers, afin de pouvoir facilement les diviser en sous-cellules de 750 m 2, voire de 500 m 2. «L un des gros intérêts de ces cellules sécables, inédites sur le marché de la logistique des produits dangereux, est de pouvoir facilement s adapter aux évolutions de la réglementation telles que la directive Seveso 3», souligne Pascal Robat, le Consultant logistique qui a aidé Moulins Communauté à monter le projet Logiparc
7 Horn, une plate-forme de m 2 à Dunkerque Sous le nom de code Horn, pour Hub Open Access Rail Nord, l autre grand projet d Eiffage Construction en matière de logistique des produits dangereux est d une tout autre envergure. Il s agit d une zone logistique qui s étendrait sur 75 ha dans le Port de Dunkerque (qui compte déjà une quinzaine de sites industriels classés Seveso). Eiffage prévoit d y aménager près de m² d entrepôts couverts, une zone sécurisée pour le stockage de conteneurs équivalent 20 pieds (EVP), ainsi qu un terminal rail-route (18 km de voie ferrées, avec possibilité de stocker des wagons de produits dangereux). Coût du projet, découpé en trois tranches : environ 200 M. Avec la promesse à terme de créer 450 nouveaux emplois directs sur le port. Le dépôt de la demande d autorisation à la Dreal est prévu en début d année prochaine, EIFFAGE avec pas moins de 70 rubriques ICPE. La cible des secteurs concernés est large, des produits industriels aux cosmétiques, en passant par le bricolage/ jardinerie, l agroalimentaire ou la distribution. «Nous n en sommes pour le moment qu au stade des intentions avec nos partenaires potentiels, mais 60 % du site est déjà pré-rempli, assure Patrick Marissael (Eiffage Construction), qui estime que le site pourrait ouvrir à l exploitation dès le deuxième semestre J ai par exemple deux industriels basés à Dunkerque qui n ont d autre alternative aujourd hui que de faire venir leurs matières premières par le port d Anvers, de les faire transiter vers la France par camions pour les usiner avant d aller les restocker à Anvers pour les reexpédier par bateau dans le monde entier. Nous sommes également en contact avec un grand de la chimie qui souhaite s implanter en France et n a pas trouvé d implantation.» JLR OCTOBRE SUPPLY CHAIN MAGAZINE N 88 65
8 WMS : Infflux et Maprochim s attaquent aux incompatibilités MAPROCHIM Co-création en mode gagnantgagnant. Telle est la philosophie générale d Infflux pour développer un nouveau module métier main dans la main avec un client pilote. L éditeur du WMS Bext s appuie sur le cahier des charges du client pour coller au plus près à la demande du marché, et peut tester et valider son produit dans des conditions réelles. De son côté, le client pilote bénéficie quasi gratuitement de fonctionnalités qu il aurait dû faire développer en spécifique. C est précisément ce qui se passe avec le prestataire logistique Maprochim (groupe Translocauto), qui a soumis en début d année à Infflux une problématique liée à la gestion des matières dangereuses. «Suite à une demande de la Dreal, nous souhaitions pouvoir contrôler et gérer en temps réel et de manière informatique les incompatibilités entre les produits que nous stockons sur notre site Seveso seuil haut de m 2 de Saint Aubin les Elbeuf», précise Steven Lefrançois, DG de Translocauto. Un acide ne doit jamais être stocké près d une base, ni un corrosif au-dessus d un produit INFFLUX Patrick Mercier, Chef de projet «Gestion des Produits Dangereux» chez Infflux toxique. Jusqu à présent, le prestataire effectuait un pré-allotissement par défaut de ses emplacements en fonction des familles de produits pour éviter les risques de mise en contact potentiellement dangereux de certains produits avec d autres. Organiser la mixité Cette méthode, couramment utilisée dans les entrepôts Seveso, a un inconvénient majeur : réserver a priori des zones pour des produits qui ne sont pas forcément toujours présents en stock peut en effet constituer un gros problème lorsque l entrepôt, comme chez Maprochim, atteint un taux de remplissage proche de 100 %. Le gros du développement en cours du module «Gestion des Produits Dangereux» de Bext porte donc sur la gestion dynamique des incompatibilités. Autrement dit : la mixité organisée. «En s appuyant sur les fiches produits et les données FDS des matières stockées dans les emplacements contigus, le WMS va calculer en permanence pour chaque emplacement libre la compatibilité ou non du stockage avec les différentes familles de produits, en leur attribuant une note, explique Patrick Mercier, Chef de projet «Gestion des Produits Dangereux» chez Infflux. C est une véritable petite révolution car à ma connaissance, aucun WMS du marché ne fait cela, avec en plus une représentation de l entrepôt en 3D et des codes couleurs pour vérifier que les règles d incompatibilités sont bien respectées.» Les algorithmes utilisés s appuient sur des règles paramétrables par le client en fonction des exigences réglementaires à respecter. Le logiciel sera également compatible avec la future directive Seveso 3 grâce à une table de correspondance entre les anciennes et nouvelles nomenclatures lors de l enregistrement de la fiche article. D autres fonctionnalités viendront compléter ce nouveau module du WMS Bext, dont la commercialisation devrait débuter au premier trimestre 2015, après validation et tests chez Maprochim à partir de mi-décembre. JLR 66
CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises
CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises Forum de la Sécurité et Santé au Travail Luxexpo, 27 mars 2014 Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailFICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques
FICHE PRATIQUE CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques Contexte : classifier et identifier les substances chimiques «En vue de faciliter les échanges internationaux tout en
Plus en détailPrincipes et objectifs du CLP classification, étiquetage et emballage des substances et mélanges chimiques
Principes et objectifs du CLP classification, étiquetage et emballage des substances et mélanges chimiques Forum Sécurité et Santé au Travail 30 mars 2011 Virginie PIATON Helpdesk REACH & CLP Luxembourg
Plus en détailQuelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé
Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailCONNAISSANCE DE LA BRANCHE TRANSPORT. Cours interentreprises 4
CONNAISSANCE DE LA BRANCHE TRANSPORT 1 Objectif Vous connaissez les moyens de transport courants avec leurs avantages et paticularités. Vous êtes capable de choisir le moyen de transport et l emballage
Plus en détailAchats de prestations logistiques : les bonnes pratiques
Salon Logistics 360 2011 Parc Exposition La Beaujoire Nantes Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques par Philippe de COUESBOUC, cabinet conseil Creach Partenaire, administrateur CDAF (Compagnie
Plus en détailCLP le nouveau système pour la classification, l étiquetage et l emballage des substances et mélanges chimiques
CLP le nouveau système pour la classification, l étiquetage et l emballage des substances et mélanges chimiques Chambre des Métiers, 10 mai 2010 Caroline FEDRIGO Virginie PIATON Helpdesk REACH & CLP Luxembourg
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailDES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE
12 13 I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P ROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) 1.RÉGLEMENTATION 2.OBJECTIFS 3.LES PRINCIPES 3.1. LES ACTEURS 3.2. DÉCLARATION 3.2.1.PROCÉDURE 3.2.2.CONTENU DU DOSSIER 3.3.
Plus en détailGESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION
GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS
Plus en détailStratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Logistique urbaine : Sogaris imagine des solutions adaptées à la ville de demain Le 16 avril 2014 Contacts
Plus en détailPole Formation Catalogue 2013-2014
Pole Formation Catalogue 2013-2014 Mise à jour Octobre 2013 Page 1 de 13 Nos valeurs Respect : de nos partenaires clients et fournisseurs, de nos engagements Performance : par l exigence que s imposent
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailCarrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier
Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant
Plus en détailLa plateforme Cloud Supply Chain. Présentation de GT Nexus
La plateforme Cloud Supply Chain Présentation de GT Nexus Une idée simple mais très efficace Les entreprises gagnantes fonctionneront en réseau A l avenir, les entreprises les plus performantes n opèreront
Plus en détailStockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours
Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours Objectif Être capable : - d'appliquer la réglementation relative au transport des marchandises dangereuses et au stockage. - de rechercher
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailSage ENTREPÔTS. La solution progicielle de gestion de vos flux d entreposage. «S engager auprès de vous pour fiabiliser votre quotidien»
Sage ENTREPÔTS La solution progicielle de gestion de vos flux d entreposage «S engager auprès de vous pour fiabiliser votre quotidien» Entrez dans le monde de Sage Un éditeur leader spécialiste de votre
Plus en détailIntroduction : Informations clés et activités du Helpdesk REACH et CLP Luxembourg
Helpdesk REACH & CLP Luxembourg Café REACH&CLP - 6 octobre 2011 1 2 3 Introduction : Informations clés et activités du Helpdesk REACH et CLP Luxembourg Helpdesk REACH&CLP Luxembourg Chambre de Commerce
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailétiquetage des produits chimiques
Le nouveau règlementr GHS / CLP pour l él étiquetage des produits chimiques Carlo Erba RéactifsR actifs-sds Brigitte Coulange Les systèmes de classification existants au niveau mondial LE TOLUENE Au Canada,
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailLA LOGISTIQUE GLOBALE ET LE SUPPLY CHAIN MANAGEMENT Enjeux principes exemples. Philippe-Pierre Dornier Michel Fender. Deuxième édition 2007
Philippe-Pierre Dornier Michel Fender LA LOGISTIQUE GLOBALE ET LE SUPPLY CHAIN MANAGEMENT Enjeux principes exemples Deuxième édition 2007, 2007 ISBN : 978-2-7081-3384-6 Sommaire Remerciements... V Préface...
Plus en détailFILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE. Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs. Synthèse
FILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs Synthèse avril 2004 Source : Agence de développement et d'urbanisme de Lille Métropole - 2004 2 L Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailLe règlement dit «CLP» définit. dmt. Le nouveau système. harmonisé de classification et d étiquetage des produits chimiques),
dmt TC d o s s i e r m é d i c o - t e c h n i q u e 125 Le nouveau système de classification et d étiquetage des produits chimiques La réglementation en matière de classification, d étiquetage et d emballage
Plus en détailAchats Industriels Efficacité et Sécurité
Achats Industriels Efficacité et Sécurité Mes domaines d intervention Achat de maintenance Achat investissement Achat de sous-traitance Mon expertise en achats industriels Elaboration de cahiers des charges
Plus en détailGarantir aux enfants une protection maximale. Commission européenne DG Entreprises et industrie
SÉCURITÉ DES JOUETS Garantir aux enfants une protection maximale Commission européenne DG Entreprises et industrie Fotolia Orange Tuesday L Union européenne (UE) compte environ 80 millions d enfants de
Plus en détailEntreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux
Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux obligation depuis le 1 er juillet 2012 Un nouveau téléservice pour construire sans détruire www.reseaux-et-canalisations.gouv.fr
Plus en détailMODULES ECBL DESCRIPTIF SENIOR
MODULES ECBL DESCRIPTIF SENIOR Modules ECBL Basic Supply Chain Concepts (BSCC) Core Management Skills (CMS) DESCRIPTIF/CONTENU Maîtriser l environnement de la Supply Chain (SC): - Loi de l offre et la
Plus en détailSUPPLY CHAIN MASTERS CABINETS DE CONSEIL EN SCM. Pour vos appels d offre. 8 e ÉDITION
Octobre 2013 Pour vos appels d offre CABINETS DE CONSEIL EN SCM 8 e ÉDITION SUPPLY CHAIN MASTERS SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. NOM DU CABINET SUPPLY CHAIN MASTERS
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailParis, le 10 février 2014
Paris, le 10 février 2014 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la création d une place de marché commune aux zones GRTgaz Sud et TIGF au 1 er avril 2015 Les tarifs d utilisation
Plus en détailPOLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES
Cégep de Saint-Jérôme Politique M A 1 3 2002 POLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES Responsable : Coordonnateur des ressources matérielles Approbation : Comité exécutif
Plus en détailLE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION DE COMMANDES
LE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION POURQUOI CHOISIR LA DIVISION SAVOYE... + de 30 ans de savoir-faire au service
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailNote Conflagration. Janvier 2010
Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général
Plus en détailExtension de garantie Assistance
1 Afin de vous garantir les meilleures conditions de service, une société indépendante et spécialisée gère les prestations d assistance : Mutuaide 8-14 avenue des Frères lumière 94366 Bry-sur-Marne cedex
Plus en détailTraçabilité Du besoin à la mise en oeuvre
20/09/2007 Traçabilité Du besoin à la mise en oeuvre Joseph FELFELI, PDG Groupe ACTEOS 1 PRESENTATION ACTEOS Éditeur de progiciels et intégrateur de technologies avancées pour la synchronisation et l optimisation
Plus en détailStratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d
Plus en détail«Cofely Endel apporte la force d un groupe, leader sur le marché de la maintenance. Ses
CHIMIE Maintenance d un centre de stockage NUCLÉAIRE DÉFENSE NUCLÉAIRE PO Augmenter la disponibilité de ses équipements de stockage Avoir un interlocuteur unique sur les prestations de maintenance et capable
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détaill'ouverture d'un centre logistique totalement dédié à un pure-player du e-commerce, Zooplus.
Rhenus Logistics, prestataire logistique global du e-commerce et du commerce multi-canal En Allemagne, deuxième marché du e-commerce en Europe, Rhenus Logistics a été l'un des pionniers de la logistique
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailLE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION DE COMMANDES
LE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION POURQUOI CHOISIR SAVOYE... + de 30 ans de savoir-faire au service de la logistique
Plus en détailRÉSUMÉ NON TECHNIQUE SOCIÉTÉ MILLE FEUX. SITE de FAYMOREAU. STOCKAGE d ARTIFICES de DIVERTISSEMENT
Résumé non technique Résumé non technique V RÉSUMÉ NON TECHNIQUE SOCIÉTÉ MILLE FEUX SITE de FAYMOREAU STOCKAGE d ARTIFICES de DIVERTISSEMENT Référence : 1000F / FAY / EBA / RESNTECH Indice : Date de Création
Plus en détailInjection intempestive de mousse dans un entrepôt de produits phytosanitaires 30 avril 2012 Ludres (Meurthe-et-Moselle) France
IMPEL - Ministère du Développement durable - DREAL Lorraine / UT 54/55 Injection intempestive de mousse dans un entrepôt de produits phytosanitaires 30 avril 2012 Ludres (Meurthe-et-Moselle) France Communication
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailExternaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN
Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...
Plus en détailConditions d entreprise
1. Contenu du contrat 1.1. Tout entrepreneur qui exécute des travaux pour le compte de (nommé ci-après BASF) accepte l application de ces conditions générales à l exclusion de ses propres conditions standards.
Plus en détailINTRODUCTION : INFORMATIONS CLÉS ET ACTIVITÉS DU HELPDESK REACH&CLP LUXEMBOURG. 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg
INTRODUCTION : INFORMATIONS CLÉS ET ACTIVITÉS DU HELPDESK REACH&CLP LUXEMBOURG 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg LIST INTRODUCTION AUX RÈGLEMENTS REACH ET CLP INTRODUCTION Règlements
Plus en détailLA (LES) LOGISTIQUE (S) Qu'est-ce que c'est? Que peuvent faire les pouvoirs publics? Michel VIARDOT WP 24 CEE/ONU 17-18 mars 2008 1
LA (LES) LOGISTIQUE (S) Qu'est-ce que c'est? Que peuvent faire les pouvoirs publics? Michel VIARDOT WP 24 CEE/ONU 17-18 mars 2008 1 Quatre volets - Description et périmètre de la logistique - La logistique
Plus en détailBARTHEL & SCHUNCK CONSULTING
ctobre 2013 Pour vos appels d offre CABIETS DE CSEIL E SCM 8 e ÉDITI BARTHEL & SCHUCK CSULTIG SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. M DU CABIET BARTHEL&SCHUCK CSULTIG 2.
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailCOMMENT AMÉLIORER LA RENTABILITÉ DE VOTRE ENTREPÔT. Logiciel de gestion d entrepôts
COMMENT AMÉLIORER LA RENTABILITÉ ENTREPÔT DE VOTRE Logiciel de gestion d entrepôts Les caractéristiques essentielles de votre entrepôt : Productivité Efficacité des mouvements Stock optimisé Exploitation
Plus en détailDes TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises
Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Sonia Besnard, Pascale Chevalier, Patrice Victor, Insee Pays de la Loire Danièle Guillemot, Yusuf Kocoglu, Centre d études de l emploi En France,
Plus en détailSommaire... 2. Le mot du Maire... 3. Glossaire... 4. Pour en savoir plus... 4. Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5
Sommaire Sommaire... 2 Le mot du Maire... 3 Glossaire... 4 Pour en savoir plus... 4 Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5 Les risques naturels... 6 Les inondations... 6 Les phénomènes météorologiques... 7
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule
DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule Commune de Préambule La société H. REYNAUD & FILS est spécialisée dans la production et la commercialisation d'huiles essentielles, d'arômes et de bases
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailFiche de données de sécurité
1 Identification de la substance/préparation et de la société/entreprise 1.1. - Identification de la substance ou de la préparation FREECAN 1.2.- Emploi de la substance : déboucheur Concentrations utilisées:
Plus en détailPour vos appels d offre. WMS Warehouse Management Systems 7 e ÉDITION. Décembre 2013. JDA Software. RedPrairie
Pour vos appels d offre Décembre 2013 WMS Warehouse Management Systems 7 e ÉDITIN JDA Software RedPrairie 1. Nom de la société JDA Software 2. Nom du PDG Hamish Brewer 3. Appartenance à un groupe New Mountain
Plus en détailParole d utilisateur. Témoignage Infrastructure Windows Server. Italcementi Calcia réduit ses coûts par la consolidation de son infrastructure
Parole d utilisateur Témoignage Infrastructure Windows Server Italcementi Calcia réduit ses coûts par la consolidation de son infrastructure Témoignage Infrastructure Windows Server Italcementi Calcia
Plus en détailSupport méthodologique pour la mise en place d un Système de Gestion de la Sécurité
Support méthodologique pour la mise en place d un Système de Gestion de la Sécurité Rapport intermédiaire DRA-08 Opération 1 Direction des Risques Accidentels Décembre 2001 Support méthodologique pour
Plus en détailOptimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies
Application Services France the way we do it Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Chaque direction informatique
Plus en détailLa fiche de données de sécurité
La fiche de données de sécurité ED 954 AIDE-MÉMOIRE TECHNIQUE Erratum Texte explicatif : Le tableau 3, contrairement à ce qui est indiqué en page 19 de l'aide-mémoire technique ED 954, ne correspond pas
Plus en détailGestion commerciale. Une réponse fonctionnelle quel que soit votre secteur d activité
Gestion commerciale La rentabilité d une entreprise passe par l augmentation du chiffre d affaires et la maîtrise des coûts de gestion. Avec Sage 100 Gestion Commerciale, vous contrôlez votre activité
Plus en détailArchiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans
Sécurité Livre de paie (applicable jusqu au 31/07/1998) art. L. 143-5). Déclarations préalables à l embauche L. 320). Relevé mensuel des contrats de travail art. R. 320-1-1). Tous documents, en général,
Plus en détailSBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz
SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SDV, UN SERVICE DE PROXIMITÉ ET UNE PERFORMANCE ASSURÉE La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un
Plus en détailLa réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme
La réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme 1 PREAMBULE Quelques dates pour situer la réforme du permis de construire 2 Le permis de construire en quelques dates 1852 : décret relatif
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RESTRUCTURATION PARTIELLE DU RESEAU CVC CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES EN APPLICATION DU CODE DES MARCHES PUBLICS DECRET N 2006-975 DU 1ER AOUT
Plus en détailQUESTIONS RELATIVES À LA SIGNALISATION DES DANGERS. Étiquetage des très petits emballages
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.4/2006/12 25 avril 2006 COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ DE CLASSIFICATION ET D ÉTIQUETAGE
Plus en détailLA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT. Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages
LA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages L ÉCOLE : UN ÉQUIPEMENT PUBLIC DE PROXIMITÉ La ville de Paris, comme toutes
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailPrésentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale. Asurances, soins, biens médicaux
Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale 2003 Asurances, soins, biens médicaux Une culture globale et entrepreneuriale orientée client Innovation et fonctionnement en réseau
Plus en détailPROFIL D ENSEIGNEMENT BACHELIER en GESTION DES TRANSPORTS ET LOGISTIQUE D ENTREPRISE
PROFIL D ENSEIGNEMENT BACHELIER en GESTION DES TRANSPORTS ET LOGISTIQUE D ENTREPRISE Une formation aux couleurs de la HELHa L'enseignement de la Haute École Louvain en Hainaut donne une place centrale
Plus en détailPour saisir le sens des leviers d amélioration, il est d abord nécessaire de comprendre les caractéristiques du supply chain management.
Introduction La dynamique «mesurer, analyser, agir» en supply chain management implique la mesure d indicateurs de performance et la mise en œuvre de leviers porteurs d amélioration. Il y aurait plus de
Plus en détailSILOG, éditeur & intégrateur d ERP
SILOG, éditeur & intégrateur d ERP silog.fr éditeur & intégrateur - Spécialiste en solutions ERP SILOG est un Groupe français, privé et indépendant, spécialisé dans l édition et l intégration de solutions
Plus en détailBilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse. CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012
Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012 Formation et sensibilisation Personnel du site : extrait des formations suivies en 2012 (12 personnes) : Nb de personnes
Plus en détailFormation à l outil REACH EXCEL TOOL
Formation à l outil REACH EXCEL TOOL 3 Octobre 2013 Virginie PIATON Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu Helpdesk REACH & CLP Luxembourg Service d assistance technique
Plus en détailProjet Nador West Med
ROYAUME DU MAROC Projet Nador West Med NOTE DE PRESENTATION SOMMAIRE Mai 2014 Sommaire EXECUTIVE SUMMARY 3 PARTIE I - PRESENTATION GENERALE DU PROJET NWM 5 1. Positionnement stratégique du Projet 2. Composantes
Plus en détailaux entreprises textiles Le parte n aire dédié www.sc-2.com Mail : commercial@sc-2.com
8 rue des 2 communes 94300 Vincennes, France Fax : +33 (0)1 70 70 21 30 SC-2 accompagne les entreprises textiles en leur apportant ses compétences multiples et significatives acquises au sein d enseignes
Plus en détailMontée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH
février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée
Plus en détailMicrosoft France. Pour en savoir plus, connectez-vous sur www.microsoft.com/france/dynamics/nav ou contactez notre Service Client au 0825 827 859*
Microsoft France Pour en savoir plus, connectez-vous sur www.microsoft.com/france/dynamics/nav ou contactez notre Service Client au 0825 827 859* * 0,15 TTC/min Microsoft France - SAS au capital de 4 240
Plus en détailLivre Blanc. ETL Master Data Management Data Quality - Reporting. Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect?
Livre Blanc ETL Master Data Management Data Quality - Reporting Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect? Sommaire I. Les 3 principaux canaux de distribution... 3 II. Les
Plus en détailGESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale
Bernard Barthélemy et Philippe Courrèges GESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale Deuxième édition augmentée, 2000, 2004 ISBN : 2-7081-3041-2 SOMMAIRE SOMMAIRE Introduction.....................................................
Plus en détailFonction Publique Territoriale
Fonction Publique Territoriale CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2EME CLASSE DES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT SPECIALITE : MAGASINAGE DES ATELIERS MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 EPREUVE
Plus en détailFaire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise.
IBM Global Services Faire de l infrastructure informatique une source de valeur ajoutée pour l entreprise. Les services d infrastructure et d intégration IBM Pour une infrastructure informatique qui participe
Plus en détailCIRCULAIRE DRT n 2006/10 du 14 avril 2006 relative à la sécurité des travailleurs sur les sites à risques industriels majeur s
Ministère de l emploi, de la cohésion sociale et du logement Direction des relations du travail Sous direction des conditions de travail et de la protection contre les risques du travail Bureau des conditions
Plus en détail1COMPRENDRE LE REGLEMENT REACH
1COMPRENDRE LE REGLEMENT REACH 1.0. Une nouvelle réglementation sur les substances chimiques 1.1. Quels sont les produits concernés dans mon entreprise? 1.2. Quel est le rôle de mon entreprise dans le
Plus en détail